La caravane à Sylvandel (Pv)

Dans une prairie de Sylvandel la caravane c’était installer à l’entrée d’une ville un peu à l’écart. Installer en cercle laissant une ouverture pour former une place centrale, les installations formait un véritable camp. A l’entré des esclaves était exposé en cage et dansait ou jouait de charme pour attirer les clients. La caravane était constituée que de femmes et offrais des services de prostituer au gens qui le souhaitait. Il y en avait pour tous les prix, des esclaves, des filles plus ou moins jeunes et d’expérience et la plus cher de toute la princesse. Les prestations pouvaient aller loin, très loin tant qu’on y mettait le prix et qu’il n’y avait pas de danger pour les filles.

Nely-Lola se tenais dans la plus grande des caravane à dormir comme souvent. Quand personne n’avait besoin d’elle, c’était ce qu’elle aimait faire. Des rumeurs circulait entre les filles sur ce sujet. La princesse était la dirigeante de la caravane. Il y avait une part de mystère qui fasciné les autres filles, surtout celle qui n’était pas de sa cour.

Pour les client, il fallait passé par l’entré, entre les cage où une femme attendait pour diriger les visiteur et négocier les prix et demande.

La Caravane, la célèbre caravane des filles de joies étaient de passage dans mes terres. J'avais eu pour écho qu'elle s'était installé devant ma ville sur la prairie de Sylvandel. En tant que bon noble, je devais vérifier la qualité des filles chez qui mes hommes allaient visiter dans les jours à venir. J'avais donc pris mon cheval à l'écurie et sortie de la ville avec une petite escorte bien entendu. Sur mon cheval, un coffre en bois avec des dorures, siégeait sur le côté droit.

Très rapidement, je fini par arriver au niveau du cercle formé par les caravanes. La nuit tombait déjà et les longues torches plantés dans le sol commençaient à éclairer les toiles de couleurs écarlates. De la musique vient caresser mes oreilles au fur et à mesure que j’avançais vers elle. Il y avait presque un aspect magique à tout ceci, je me faisais envoûter. Et la suite, n’allait pas me laisser sur la faim. J’arrivais enfin au niveau de l’ouverture du cercle. Il y avait des filles de joies en cage, qui attiraient les jeunes hommes et femmes. L’ambiance était enivrante. Je posais pied au sol. J’enfonçais ma main droit dans mon gant à l’aide de mon autre main. J’avais la tête haute regardant les péquenauds salivant devant les cages. Je demandais à un garde de détacher le coffret et de me suivre pendant que les autres surveillaient les chevaux.

Je ne portais pas d’arme. D’ailleurs le garde qui portait le coffre n’avait pas d’arme aussi. Ce n’était pas un problème car les armes n’étaient pas autorisé dans l’enceinte des caravanes et même les mercenaires ou brigand respecter ça.   

A l’entrée de la caravane se trouvait deux cages. 0 l’intérieur des esclaves qui dansais, séduisais et envoutait la clientèle. Il y avait aussi deux femmes armés qui assuraient la sécurité, puis au milieux un bureau avec Kali. Une des succubes de la caravane, aujourd’hui elle était responsable de l’accueillie et recevoir les clients et de les diriger vers les filles de leur choix.

Kali regardait une petite troupe d’homme qui venais d’arrivé à leur porte. Surement un noble notoire à l’allure de celui qui pris les devants. Il avait avec lui un petit coffret qui promettait. La succube attendit que l’homme soit à leur niveau pour le salué respectueusement.

-Bonjour et bienvenue à vous monsieur. Qu’es que je peux pour vous ? Si vous venez cherchez du plaisir, vous êtes au bon endroit. Il y en a pour tous les prix et tous les fantasmes. Seul ou à plusieurs, tout se négocie.

Elle regarda les hommes qui l’accompagne, es que c’est dernier allait être aussi client ? Ou simple escorte ? Ici il y avait de tout, tant qu’on respectait les filles. Les armes étaient bien sûr interdite pour les clients. Ça n’empêchait pas les gardes et prostituer d’avoir de quoi se défendre au cas où.

J’arrivais au niveau de ce qui semblait être l’accueil. La créature, qui m'accueillis, était une engeance démoniaque, une succube. Je ne pus empêcher un rictus sur mon visage. J’étais un partisan de la lumière. Ces créatures mi homme mi animal ou les créatures du mal était pour moi des erreurs de la nature, des injures pour la création du monde. Pourtant, je me trouvais là, à succomber à des vices tout aussi peu honorable. Ce qui me tira un petit rire étouffé. Qu’est ce que la morale, qu’au final des limites créer par la société. Attention, je ne dis pas que certaines limites n’était pas bonne. Mais quand une minorité se permettait de créer ces limites morales pour mieux contrôler les autres, là le mal était présent. Bref !

“ Bien le bonjour. Créature ? Ou Dame ? Comment dois-je vous appeler ?.. Bâtard du démon peut être ? ”

Je n’avais pas pu m’empêcher cette petite attaque orale contre la succube. De toute façon, j’avais sûrement assez pour acheter son consentement. Je soupirais et fit signe que ce n’était que boutade. Mes gardes posaient le coffre rempli d’or sur la table. Je l’ouvris légèrement, pour que seulement la succube puissent voir ce qu’il y avait à l’intérieur. Le coffre était plein à craquer. Quelques pièces tombaient même sur la table au moment où je l’ouvris.

“ Offrait moi ce qui y a de mieux dans cette caravane. Je veux le meilleur. Et vous serez riche. ”

Je refermais le coffre d’un coup sec après ma phrase et fit comprendre que si je n’étais pas satisfait, la moitié de cet or pourrait très bien repartir avec moi.

Kali regarda l’homme gardant le sourire malgré l’insulte, après tous les prostituées étaient souvent mal vue, les prostituées téranide encore plus et les démones suivant les régions traversées et leur religion, elles avaient aussi leur dose. Les deux femmes qui montaient la garde, se tenir prête quand même au cas où. Mais l’homme ne cherchait pas plus à la provoqué.

La Succube se concentra plutôt sur sa demande et son offre en or. Elle regarda le coffre, mais surtout son contenue. Avec une tel somme il pouvait s’offrir n’importe quelle fille de la caravane et même plusieurs. Mais vue la somme et sa demande, elle savait déjà quoi lui proposé.

-Avec une tel offre je peux vous proposer La Princesse elle-même. C’est notre plus cher, mais aussi celle supporte et accepte le plus. Son titre de princesse est réel, ça et ses talant en font le prix de ses services. Du plus doux et classique au plus extrême, tout est possible selon vos désirs. Avec une tel somme, vous pouvez y aller seul, à plusieurs ou même avec ce que vous voulez.

D’un signe elle lui montra son convoie et leur monture.  La Princesse était particulière, très particulière ses pouvoirs lui permettaient de prendre des choses que d’autre ne pourrais tout simplement pas. Mais elle avait aussi son petit caractère après tout c’était une princesse avant tout.

-Par contre je vous avertit, si elle accepte tout et n’importe quoi. Il ne faut pas croire pouvoir abuser d’elle et de la dupé. Elle est tout sauf sans défense. Etes-vous intéressé ? Sa caravane est la plus grande derrière moi.