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Virginité & Littérature. [Verena]

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Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 60 mercredi 18 juillet 2018, 17:34:27

Le lendemain.

Verena est réveillée avec une sodomie aussi brutale que soudaine. A peine a-t-elle le temps de se rendre compte de ce qui se passe qu'Elizabeth est à quatre pattes sur elle, et lui enfonce sa queue dans l'anus. La jeune femme rit, lui envoyant de violents coups de reins, faisant claquer ses couilles contre le cul de la belle qui n'a pas d'autre choix que de se laisser faire. Sodomisée ainsi, à sec, la douleur doit être horrible. Et Elizabeth y prend un grand plaisir.

- Hmmm... haaaan... haaan...

Le rythme s'accélère alors qu'Elizabeth tire Verena par les cheveux pour ramener sa tête près de la sienne, afin de pouvoir lui susurrer à l'oreille.

- Hmm... dorénavant je te réveillerais chaque jour d'une manière brutale, toujours différente pour que tu ne puisses jamais t'y préparer.

Lui dit-elle alors qu'elle continue de l'enculer à sec, plus brutale que jamais.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 61 mercredi 18 juillet 2018, 21:09:31

Il n'y a aucune lumière qui filtre, je ne sais ce qu'il en est de la nuit ou du jour, quand je sombre dans le sommeil, après le dernier cauchemar. À chaque fois, ces horreurs m'éveillent, parce que je me débats, parce que je tire sur ce collier, donc sur la chaîne.

Le dernier cauchemar de la courte nuit est le pire, violent, abject, révélateur de mon état à néant décidé par Elisabeth. Mon bas-ventre est labouré par l'immonde phallus qu'elle a de je ne sais où. Mon anus, qu'un des trois salauds à davantage broyé, subit ds coups de boutoir ininterrompus.

Le réveil est brutal, mais ce n'était pas un cauchemar. Elisabeth me chevauche, comme un homme, et m'encule encore, faisant des allers et retours contre mes muqueuses pas préparées. Elle a forcé l'entrée, c'est sûr, tant j'ai mal

« Hmmm... haaaan... haaan... »
Elle prend son pied. À chaque coup de reins, mon corps vole en avant, et elle recommence aussitôt, plus fort encore. Je suis anéantie, je ne dis plus rien, j'essaie de me concentrer pour ne pas trop souffrir.

Mais Elisabeth ne doit pas aimer que je ne dise rien ! Elle tire mes cheveux sans ménagement, m'obligeant à écouter ses menaces :
« Hmm... dorénavant je te réveillerais chaque jour d'une manière brutale, toujours différente pour que tu ne puisses jamais t'y préparer. »

C'est clair, elle n'arrêtera jamais.
« Elisabeth, laisse-moi, arrête ! »
Je sais que ma prière ne servira à rien ; il me reste deux choix, la liberté ou la mort, si je ne veux pas sombrer plus encore sous sa folie.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 62 jeudi 19 juillet 2018, 00:39:25

Elizabeth continue de lui tirer les cheveux et la mord au cou, sodomisant Verena sans la moindre once de pitié. Cette idiote pense vraiment que ses paroles auront le moindre impact ? Qu'elle arrêtera parce qu'elle le lui demande ? C'est à se demander quel niveau de naïveté a-t-elle atteint. Une chose est sûre, Elizabeth ne la trouve pas assez expressive, et ça lui déplaît très, très, très fortement. Si bien qu'elle la jette contre le mur avec violence, bouillonnante de rage.

- Sale pute, tu vas crier oui ? Pourquoi tu ne dis rien, connasse ?!

Elle la gratifie ensuite d'un coup de pied dans la mâchoire, et lui écarte les jambes pour l'enculer à nouveau violemment. Pas de répit, pas de douceur, Elizabeth veut la faire crier et le déroulement ne lui plaît pas du tout. Cette salope essayerait-elle de lui tenir tête ? Impossible, improbable ! Si tel est le cas, il lui faudra simplement un peu de dressage.

Elizabeth lui donne de grandes claques sur les fesses à mesure qu'elle lui pénètre le cul, lui faisant face cette fois.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 63 jeudi 19 juillet 2018, 07:42:28

Je ne sais quelle douleur est la plus forte, ce phallus irréel et qui me laboure pourtant l'anus, ces violences gratuites de me tirer les cheveux ou de me mordre, ou bien cette déchéance où mon corps serait parfois complice de m'entraîner.
Oui, je me bats contre moi-même, et je ne comprends pas ! C'est vrai que, quand ces trois salauds m'ont violée, j'ai eu un moment où j'aurais pu basculer. C'est vrai que, ce matin, sous la saillie d'Elisabeth, j'aimerais céder, tendre mon cul, et jouir tant ça me trouble.
Mais non !

« Sale pute, tu vas crier oui ? Pourquoi tu ne dis rien, connasse ?! »
Elisabeth en est furieuse, elle voudrait peut-être que je lui dise que j'aime, et que j'en veux encore. Mais où cela m'entraînerait-il ? Elle m'a jetée contre le mur avec sa violence devenue banale avec moi, avant de m'envoyer un nouveau coup de pied. Mais ma seule réaction est la montée de larmes.

J'ai même l'impression que ses coups de boutoir sont de plus en plus violents. Pourtant, elle me fait désormais face, et elle peut voir mes larmes, mais n'en a cure. Je serre les poings, mes fesses me font mal battues à sang, mon anus me fait mal écartelé avec rudesse.
Je dois tenir. Céder serait la ravir. Je ne suis pas un objet, je ne suis pas sa chienne, je suis Verena, fière et intègre !

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 64 jeudi 19 juillet 2018, 13:45:46

Elizabeth, troublée de la voir se débattre ainsi, décide de passer à la vitesse supérieure. Elle ne veut pas crier ? Très bien, qu'elle ne crie pas. La belle blonde de saisit de la chaîne de sa laisse pour l'enrouler autour du cou de Verena et l'étrangle tout en continuant de l'enculer par devant. Elle ne la ménage pas, tirant très fort, étouffant peu à peu l'ex surveillante réduite à l'état de chienne. Elizabeth ne manque d'ailleurs pas de boire les larmes sur les joues de Verena, terriblement excitée.

- Huummm... sluuuuurp... continue, continue de pleurer...

Elle l'encule avec une violence inouïe, l'étrangle, la frappe à l'abdomen et au visage, sans aucune pitié. Plein d'autres idées viennent à elle, et elle ne manquera pas de s'en servir pour la faire souffrir. Un jour, elle aimera ça et en redemandera, la jeune femme en est persuadée. Mais en attendant, qu'elle souffre.

Elizabeth matérialise des pinces en touchant le métal de la chaîne pour les attacher aux mamelons de Verena, ce sera plus amusant et plus douloureux ainsi. Étranglée, enculée, frappée et pincée, cette séance n'est pas de tout repos !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 65 jeudi 19 juillet 2018, 14:08:09

C'est de pire en pire, je suis ballottée, mon corps doit se disloquer, mes entrailles ne doivent être que bouillie. Mais c'est angoissant, plus la douleur monte, plus la frontière avec le plaisir devient légère.

Elisabeth ne s'arrêtera jamais, malgré mes larmes, et je sens les froids maillons de la chaîne serrer mon cou.
Ma liberté est peut-être là ! Alors, face à elle, les jambes relevées pour mieux asseoir sa position et m'enculer en me regardant souffrir, je la regarde les yeux dans les yeux, après un nouveau :
« Huummm... sluuuuurp... continue, continue de pleurer... »
Et je trouve la force de lui dire : « Continue, Elisabeth, tu vas me tuer, tu me délivreras » entre deux sanglots.

Pour toute réponse, je prends un nouveau coup de phallus, d'une violence inouïe, claquant mon dos au mur, violent comme s'il avait achevé de détruire mon intérieur.
La gorge comprimée, je suffoque, je respire comme je peux.

Je sais que je l'ai provoquée, et je trouve encore la force de hurler quand le métal froid de deux pinces enserre d'un coup sec mes tétons.
Mes tétons dressés ! Pourquoi ? L'a-t-elle remarqué ?

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 66 jeudi 19 juillet 2018, 16:49:18

Elizabeth lui envoie plusieurs décharges de foutre sans pour autant s'arrêter. Cette situation la rend folle de plaisir, si bien qu'elle jouit en continu, tout en continuant de l'enculer. Elle ne se prive pas pour la doigter en même temps, à la limite du fist vaginal. Elizabeth veut la défoncer, dans tous les sens du terme. Et quelle n'est pas sa surprise quand elle se rend compte que Verena commence à apprécier. Ses tétons en sont la preuve.

- Tu aimes ! Tu aimes, tu vois ! Je vais continuer jusqu'à ce que tu en redemandes !

Elizabeth modifie ses cellules pour se donner plus de force et de vivacité, l'enculant comme jamais personne ne l'enculera jamais, avec une force herculéenne. Si Verena ne perd pas connaissance, c'est uniquement grâce au pouvoir d'Elizabeth qui lui redonne des forces en continu expressément pour qu'elle ne s'évanouisse pas. La douleur et le plaisir, en revanche n'en sont pas altérés.

Puisque ses deux mains sont occupées avec la chatte de Verena, la jeune femme tire la chaîne enroulée autour de son cou avec les dents. Verena doit avoir des marques horribles autour du cou, et se situe à la limite de l'évanouissement sans pour autant y arriver. Encore un agissement du pouvoir d'Elizabeth, qui veille bien à la maintenir en conditions. Ce serait dommage de baiser une poupée inanimée.

- Tu ne vas jamais mourir ! Je te baiserais jusqu'à la fin des temps !

Elizabeth la détruit littéralement, Verena doit ressentir une immense douleur, qui s'estompe inévitablement peu à peu pour laisser place au plaisir...

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 67 jeudi 19 juillet 2018, 17:10:14

Après tout ce que m'ont mis les trois salauds, Elisabeth continue, les jets brûlants viennent taper au fond de mon anus, les bruits sont immondes, le trop plein fait s'écouler du sperme au dehors, je le sens. Son horrible engin a l'air inépuisable, et il est au service de sa perversité.
Avec ses doigts qui broient ma chatte, distendent mes lèvres intimes, s'en servent comme d'un jouet auquel on peut tout faire subir, j'ai l'impression d'avoir un bas-ventre à la fois creux, dilaté, rempli, prêt à se disloquer.

« Tu aimes ! Tu aimes, tu vois ! Je vais continuer jusqu'à ce que tu en redemandes ! »

La phrase d'Elisabeth me cueille au moment où une très violente décharge zèbre mon bas-ventre. Atroce, mais pas douloureuse, bien au contraire. Je devrais m'évanouir, je ne sais comment je tiens. Assez lucide pour subir ce martyre, assez lucide pour entendre des bruits insolites venant de ma chatte, comme si les doigts d'Elisabeth baignaient dans de la mouille.
Ce n'est pas possible !
« Non ! Jamais je ne cèderai. »

Je sais que je la rends folle,car elle manque m'étouffer de plus en plus. Je sais que le manque d'oxygène peut décupler ces moments-là. Mais, si elle continue, la mort sera peut-être ma délivrance. Je dois tenir !
« Tu ne vas jamais mourir ! Je te baiserais jusqu'à la fin des temps ! »
Sa phrase cueille mes derniers espoirs. C'est quoi la fin des temps ? L'Enfer aussi ? Je ne le sais pas, mais je sais qu'une deuxième décharge, encore plus violente que la précédente, vient de traverser mon bas-ventre, et s'est traduite par un « Ooohhh ! » très sonore.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 68 jeudi 19 juillet 2018, 18:00:20

Elizabeth continue de l'enculer sauvagement, doigtant sa chatte baignait dans la mouille en émettant toutes sortes de bruits obscènes. Verena n'est pas indifférente, elle en est certaine à présent. Elizabeth, elle, continue de lui envoyer du foutre par cargaisons, son pouvoir lui permettant d'en générer à l'infini. Verena en est tellement remplie qu'il commence même à ressortir par son nez et sa bouche. Elizabeth continue, toujours plus violemment, à la pilonner comme personne. Les bruits sont obscènes, bien moins que ce qu'elle fait à Verena, mais contribuent à la scène immonde qui se déroule dans cette toute petite pièce.

- Allez, jouis ! Pisse, gicle !

Avec son pouvoir, Elizabeth pourrait mener Verena à l'orgasme mais ce ne serait pas drôle. La jeune femme continue de tirer sur le collier avec ses dents, l'étranglant complètement, alors qu'elle agit au niveau moléculaire sur ses glandes urinaires et sa vessie. La jeune femme les remplit entièrement, ce qui force inévitablement Verena à uriner sous peine d'imploser.

Et Elizabeth ouvre la bouche, prête à s'en délecter.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 69 jeudi 19 juillet 2018, 18:16:09

Je ne peux plus parler, à peine respirer. Ma gorge est serrée à être étranglée, mon nez se remplit de je ne sais quoi, mes yeux tournent hagards.
Mon corps n'est plus sous ma commande, mes reins viennent en avant.
« Noonn ! », ce n'est qu'un faible murmure, pour trahir cette perte de contrôle, avant qu'un deuxième coup de reins n'envoie encore mon corps en avant sur ce phallus immonde.

Mes ongles raclent le sol, cherchent à s'accrocher à quelque chose, mais en vain. Mes fesses sont soulevées de terre par les coups de boutoir, quand part la première giclée.
« Allez, jouis ! Pisse, gicle ! »
De l'urine, je ne comprends pas ! C'est comme si ma vessie trop comprimée par ce phallus, ces doigts, je ne sais plus, devait se soulager. Avec ma posture, ça part comme en geyser, avant de retomber, et je vois, horrifiée, Elisabeth s'en délecter. Après le premier, un autre, comme par saccades. J'ai rouvert les yeux, je vois Elisabeth, langue sortie, attendant la suite.

Elle ne cesse malgré tout de me pilonner l'anus. Et c'est alors que la troisième décharge intervient, un hurlement comme il peut, tant ma gorge est serrée, un cri indéfinissable, alors que mes hanches vont au devant de ce pieu de chair.

Mes yeux sont remplis de larmes, mais je ne comprends pas comment j'ai soudain retrouvé une telle lucidité. Si ma vessie semble apaisée, c'est un autre tonnerre qui se prépare. Je ne pourrai pas le contrôler davantage !

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 70 jeudi 19 juillet 2018, 22:09:08

Elizabeth se délecte de la pisse de Verena, qu'elle boit un peu pour ensuite la lui recracher au visage. Il ne faut pas oublier qu'elle est bien décidée à la traiter comme une chienne, une loque. Et alors qu'elle la pilonne et la doigte violemment simultanément, la jeune femme sent que quelque chose vient en Verena. Peut-être qu'elle va enfin se laisser aller à l'orgasme, et jouir ! Elizabeth n'attend que ça. La belle blonde a la queue en feu, à force de la pilonner ainsi, et l'allonge même pour pouvoir embrocher Verena davantage. Juste assez pour ne pas la blesser, il serait dommage de tout casser en elle.

- Hmmm... aaahhh... haaaan... t'es tellement tenace... que... je dois me retenir...

Elizabeth continue de déverser du foutre en elle, si bien qu'elle pourrait en tomber enceinte, mais fait un effort pour ne pas jouir. Verena va le lui payer, l'obliger à contenir son plaisir est un sacrilège qu'elle lui fera payer sous peu, elle peut en être certaine.

Trois, deux, un...


Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 71 jeudi 19 juillet 2018, 23:03:36

C'est peut-être un effet que je ne connais pas, mais c'est comme si le phallus avait encore augmenté de volume, à moins que ce ne soit moi qui me sois contractée. Le résultat est que je me sens plus remplie encore, plus détruite aussi.
Mes hanches, qui étaient collées au sol par la violence des poussées d'Elisabeth, s'en décollent maintenant ! Quand elle retire rien qu'en partie ce phallus, pour me pistonner plus fort encore, ce sont mes hanches qui vont au devant, comme pour le supplier de revenir

« Hmmm... aaahhh... haaaan... t'es tellement tenace... que... je dois me retenir... »


Je ne maîtrise plus rien ! Je ne me retiens plus ! Un « Oooohhh ! » violent sort, alors qu'Elisabeth vient de me claquer au sol d'un de ses coups de queue. Je n'ai même pas le temps de réaliser que le coup suivant est ponctué d'un « Encoreeeeeee ! » que je ne maîtrise pas.
Je sens qu'Elisabeth se déchaîne, mais mon corps ne m'appartient plus. Une vague nouvelle et inconnue est en train de monter. Je me tends comme un arc en avant, rassemblant le peu de forces qui me restent, ignorant la chaîne enfoncée dans la peau de mon cou, ignorant les pinces qui meurtrissent mes tétons, juste pour mieux sentir cette main qui me distend la chatte, et ce pieu qui me défonce le cul, et hurler « Ouuuiiiiiiiiii ! » en m'agitant de soubresauts incontrôlés.
Je jouis, oui je jouis, oui Elisabeth vient de me faire connaître la jouissance, pour la première fois véritablement, une jouissance que j'ai retenue si longtemps, mais qui me submerge toute entière.

Que se passe-t-il ensuite ? Je ne sais pas. Elisabeth continue-t-elle ses va et vients ? Je ne sais pas. Je m'écroule comme une loque, comme un pantin désarticulé.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 72 vendredi 20 juillet 2018, 00:12:42

Et Elizabeth jouit en même temps, remplissant la jeune femme de sperme à ras bord. Sa queue se rétracte à l'intérieur d'elle, et la jeune femme lui gicle ensuite une vague de cyprine au visage. C'est avant tout une femme, il ne faut pas l'oublier. Son pénis n'est qu'une conséquence de son extraordinaire pouvoir. La jeune femme s'écroule ensuite à côté de Verena, heureuse de l'avoir vue jouir et aimer ça. Elle ne va pas l'oublier de si tôt.

- Hmmm... ma petite chienne...

Elizabeth se blottit contre elle et vient lui lécher les fluides sur la peau, tout en la pelotant pour guérir ses blessures. Ses contusions au cou, ses bosses, ses dents cassées dû aux nombreux coups, elle est comme neuve. Mais terriblement épuisée.

Elizabeth ne manque pas de se mettre à quatre pattes sur elle pour lui pisser dessus ensuite, c'est devenu une habitude. Elle reste son territoire après tout, sa propriété. Et elle n'a pas oublié le temps qu'elle a mis pour enfin se laisser jouir, Elizabeth compte toujours le lui faire payer !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 73 vendredi 20 juillet 2018, 06:34:42

Je ne parviens pas à retrouver mon souffle, ni à stabiliser mon corps, agité de tremblements. Je sens juste des giclées au fond de mon anus, comme si Elisabeth avait joui de m'avoir vaincue, de m'avoir faite céder, de m'avoir vue jouir. Oui, j'ai joui, malgré moi ! Comment peut-on éprouver du plaisir à être traitée ainsi ?

J'entrouvre les yeux, pour voir, hallucinée, ce phallus qui était venu de je ne sais où, comme se rétracter, et Elisabeth redevenir une vraie femme, et m'arroser de vraie mouille, comme celle qui me coule entre les jambes, mélangé à... son sperme ! Même mon chirurgien fou de père n'a jamais inventé de phallus rétractile, même moi je n'ai jamais vu ça dans les livres de médecine.
« Mais, qui es-tu, Elisabeth ? »

Ma question demeure sans réponse ; elle est toute à son extase, aussi écroulée que moi.
« Hmmm... ma petite chienne... »
Elle a pris mon plaisir par la force ; elle m'a violée, après avoir massacré ma virginité !
« J'ai honte ! »
Elle s'en moque, elle me lèche de partout, comme une petite chienne justement. Et mes douleurs disparaissent, comme par... je ne sais quoi. Je ne ressens plus ma gorge martyrisée par le chaîne, ma dent cassée, les contusions au visage, les coups de pied dans le ventre, le bas-ventre broyé par ce phallus... rétractile. C'est comme si elle m'avait toute guérie, sauf ces courbatures qui demeurent en moi, vestige de tous ces coups de reins que je ne saurais compter, d'Elisabeth comme des trois salauds, comme aussi ce sperme qu'elle a léché sur ma peau mais dont des quantités demeurent en moi, avec soudain l'horrible image qu'un monstre pourrait ainsi m'engrosser.

Pourtant, Elisabeth est tendrement blottie contre moi, presque comme deux amantes normales. Mais ça ne dure pas ! Car Elisabeth ne peut s'empêcher de se lever, cassant cet apaisement, pour encore m'uriner dessus. J'ai peur, je suis, entre ses mains, comme un jouet qu'elle peut démolir et reconstruire à sa guise, un jouet qu'elle peut aussi faire jouir en m'ôtant tout contrôle, un jouet qu'elle m'a dit vouloir baiser jusqu'à la fin des temps.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 74 vendredi 20 juillet 2018, 15:31:24

La jeune femme essuie sa chatte pleine de pisse sur le visage de Verena, avant de lui souffler.

- Honte ? Mais nous ne sommes que deux ici ma petite chienne. D'ailleurs ne bouge pas.

De toute façon elle ne peut pas bouger à cause de la chaine. Elizabeth s'en va une petite dizaine de minutes avant de revenir, une batte de Baseball, un tabouret, une corde, et une casserole d'eau chaude a la main. Nul doute qu'elle va prendre plaisir à la torturer, son entrejambe mouille rien qu'à cette idée. Pour commencer, la jeune femme verse l'eau bouillante sur Verena, lui assurant une douleur immense.

- Allez, crie. Ça t'apprendra à me résister.

La jeune femme accroche ensuite la corde au plafond, puis l'enroule autour du cou de Verena avant de la mettre debout sur le tabouret. La jeune femme ne peut pas résister, difficile de résister à la force d'Elizabeth. Elle lui retire d'ailleurs le collier de chien, il ne ferait que gêner. Puis, sans prévenir, Elizabeth pousse le tabouret pour pendre littéralement Verena. La jeune femme se retrouve suspendue au dessus du vide, étouffant peu à peu.



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