Oh, je veux me montrer digne d'Akira ; elle m'a dit que j'étais une bonne salope, et je vais lui prouver qu'elle a raison. En plus, j'adore sa chatte, elle mouille si facilement et si longtemps.
« Oui ma chérie, lèche moi la chatte jusqu'à plus soif et doigte moi à en attraper des crampes. »
Oh, tu ne crois pas si bien dire ma chérie. « Mmmhhhh oui, chérie slmmmmm », je murmure juste, tandis que la pointe de ma langue s'active, tournoie à la découvertes des parois vaginales empreintes de mouille.
Le spectacle de ses cuisses ouvertes est grandiose. Je m'arrête quelques secondes pour le contempler :
« Oh chérie, j'adore quand tes petites lèvres sont comme ça, gonflées, ouvertes, qui m'attendent. »
Et je replonge de plus belle au cœur de ce trésor.
Je ne me suis pas lavé depuis qu'Akira a inondé mon visage de mouille. Je sens la fornication de partout, même avec le foutre séché qui reste sur mes cuisses. Mais peu importe, je suis la salope d'Akira, et je veux me montrer digne de ma sensei.
J'ai même préparé la carafe, pour récolter tout ce liquide, et je dois faire vite, car le plat est déjà servi. Akira est si sensible, qu'elle coule dès mes premiers coups de langue, et entendre cela tinter dans la carafe est doux à mes oreilles, me pousse à continuer plus fort encore. Je veux lui extraire plein de mouille, pour assaisonner le plat, et pour la boire aussi, que je la sente couler en moi à me déclencher un orgasme !
Mon doigt n'est pas inactif, et son petit bouton de chair décalotté est un délicieux dôme, dont je joue avec plaisir. Il est sensible, réactif, gonflé, et j'aime quand Akira gémit. Elle semble indifférente, comme moi, aux passants.
Heureusement pour moi aussi, car ma chatte est à nouveau en fusion, pas calmée du tout, et, furtivement, je glisse la carafe en dessous pur y récolter de ma mouille que je mélangerai, avant de la repositionner pour bien collecter toute la mouille d'Akira.
Et j'en veux, je la lèche, je la tète, je la dévore, je la distends, sa chatte. Pour stimuler la montée du désir, et favoriser ma collecte, je glisse, avec insistance, ma main, jusqu'à ce que mon index trouve l'entrée de son cul et y rampe avec douceur.
J'arrête juste quelques secondes ma succion :
« Hum, chérie, là aussi, tu es ouverte ».
Avant de reprendre de plus belle. Je veux tout, je veux la boire !