Même les aventurières peuvent se perdre. [Pv Lyli]

- Comment ai-je pu me retrouver ici ?

C'est bien ce que se demandait Akira en cet instant, bloquée entre deux parois rocheuses alors que l'eau montait peu à peu vers elle. Il faut croire que ses habitudes d'exploratrice avaient fini par lui porter préjudice. S'être lancée seule à la recherche de la zone sous marine, comptant seulement sur ses talents de nageuse... sa confiance avait visiblement pris le dessus. A cours d'oxygène, et épuisée, la jeune femme galbée s'était réfugiée par chance dans cette cavité sous marine dans l'espoir d'y reprendre un peu d'oxygène. Malheureusement, la surface était trop loin maintenant.... et la marée montait considérablement. Avant même d'utiliser son pouvoir sur la roche, Akira se retrouva aspirée dans les profondeurs des abysses par le courant. Privée de surface solide, son pouvoir devenait inutilisable.

Son seul espoir serait de remonter à la surface. Mais impossible. Le soleil est à peine visible d'ici, et le courant est trop fort pour elle.... malgré tout, Akira est loin de se laisser abattre. Ce n'est pas la première fois que la jeune femme se retrouve en position critique, cela a même quelque chose d'excitant. En réalité, l'urgence de la situation lui fit avoir une idée. Après tout, s'il lui faut une surface solide pour utiliser sa capacité... son maillot en est une ! La jeune femme ne tarda pas à tracer un cercle sur son sein droit, duquel s'échappa une lumière bleutée, presque divine. Il ne lui restait plus qu'à se réfugier dans la dimension parallèle... mais un nouveau problème survint.

Avant d'avoir pu terminer le cercle, ce qui n'aurait du prendre que trois pauvres secondes, Akira sentit quelque chose lui agripper la cheville. Lorsqu'elle baissa les yeux, Akira aperçut une créature inconnue. Une sorte de sirène couverte d'écailles, au visage monstrueux. Bien loin de l'idée qu'elle se faisait de ces élégantes créatures marines. La jeune femme tenta de se dégager du mieux qu'elle le pouvait, mais rien à faire. Cette chose était en train de l'attirer au fond de l'eau, et elle risquait bien d'arriver à ses fins. Comment pouvait-elle s'en sortir dans une pareille situation ? Devait-elle regretter son choix de partir à l'aventure seule ? Non, bien sûr que non. Au milieu des quelques problèmes que cette vie lui a apportés, une multitude d'instants merveilleux avaient eu lieux. Pour rien au monde Akira ne regretterait cela.

D'un mouvement sec, la jeune femme parvient à se dégager de l'emprise de la bête, déstabilisée un court instant. La jeune femme ne perdit pas une seconde pour nager à toute vitesse en direction de la surface, retenant sa respiration presque à court comme elle le pouvait. Alors que la bête reprenait ses esprits, Akira continuait de nager. Manifestement, elle n'atteindra pas la surface avant quelques minutes. C'est bien trop court. La créature nage déjà vers elle à une vitesse folle, elle l'aura rattrapée dans quelques secondes. Dans un pareil moment, Akira ne pourra pas s'en tirer sans aide.

Certaines cavités rocheuses étaient de véritables dédales sous marins au large du japon. Près d'une petite ile de sable ressemblant à un cliché de celles que l'ont voyait dans les histoires de naufrages, serpentait l'une de ces galeries. Des mètres et des mètres de grottes, certaines immergées, d'autres possédant de petites cavités avec de quoi respirer. Nombreux étaient les plongeurs qui s'y étaient noyés en s'y perdant. Enfin ça, c'était la version officielle des gardes maritimes. Car si effectivement diverses noyades naturelles avaient eu lieux, d'autres corps eux étaient retrouvés à des killomètres de la zones, comme déplacées. Dévorés, la thèse d'un animal sous-marins carnivore avait été retenue, mais moi, je connaissais la vérité.

Depuis peu, des sirènes plus diaboliques et plus perfides s'étaient installé dans ces mers, traversant un portail abyssale de Terra. Bien plus gourmandes, dangereuses, et monstrueuses, leurs nouveaux terrain de chasses semblaient être les alentours de cette île, et peu le savaient. J'étais d'ailleurs moi même une de leurs cibles et devait perpétuellement me battre contre elles. Aujourd'hui encore, je patrouillait dans cette zone maudite avec un atout de tailles. Si je n'avais pas forcément l'avantage du nombre, mon compagnon sous marin qui n'était qu'une sorte de grosses pieuvres géante, avait bien de quoi effrayer même ces créatures. Alors que je finissais à me battre avec l'une d'elle, le cri d'une sirène maléfique plus éloignée se répercuta dans l'au, comme blessée. Quelqu'un d'autre se battait contre ces bestioles ? Surement un plongeur imprudent.

Va t'occuper d'elle.

Sur ces mots, le " kraken " passa devant tandis que je m'occuperais d'aider la victime... Enfin... peut-être... on verra bien sur place ! En l'occurence comme il semblait que ce soit une jolie baigneuse en détresse, je ne me priais pas pour nager dans sa direction. Au même moment, la sirène monstrueuses sur le point d'attraper ses jambes, pousse un hurlement et disparait dans les fonds, tirée par de longues et puissantes tentacules qui s'enroulent autours d'elle. Mon compagnon a fait du bon boulot, et moi j'en profite me rapprocher de la belle petite chose perdue. Bon ça n'as pas l'air terrible, à en juger par la couleur de ses joues ça doit surement faire un sacré moment qu'elle se bat pour ne pas respirer. Il va lui falloir de l'air, et très vite... Mais la surface est encore loin. Tant pis, que cela lui plaise ou non je ne vois qu'un seul moyen : presser mes lèvres férocement contre les siennes et l'obliger à écarter ses lèvres avec ma langue. Pas pour lui rouler une pelle, non, mais pour soulager ses pauvres poumons en expirant. C'était comme... lui faire du bouche à bouche, en quelque sorte... De quoi la faire patienter le temps de remonter lentement vers la surface et enfin crever ce voile d'eau, pour regagner le soleil.

Fiou et ben, on peut dire que t'es une sacrée chanceuse toi, et aussi une sacrée imbécile... Depuis quand on nage à de tels profondeurs sans équipements de plongée ? T'es suicidaire ?

Bon, après tout c'était son problème, et puisque le petit ilot de sable n'était pas loin autant y nager. Ca lui serait surement plus facile de reprendre ses esprits là bas.

Si tu viens pour ces histoires de trésors oublie ça, ces cavités sous marines sont pires qu'un labyrinthe, c'est impossible de les traverser sans s'y noyer.

Le soleil était vraiment pesant sur ce petit ilot et je sentais que je ne pourrais pas y rester très longtemps sans manquer d'eau.

Lorsqu'elle aperçut le kraken s'attaquer à la monstrueuse sirène, Akira pensa tout d'abord à un autre prédateur ayant pour but de la dévorer. Cependant ses craintes furent rassurées en constatant que le monstre ne s'attaquait pas à elle. Le seul problème restait son manque d'oxygène. Alors que la jeune exploratrice était à deux doigts de perdre connaissance, elle sentit de charmantes lèvres se presser contre les siennes. La jeune femme ouvrit les yeux pour constater qu'il s'agissait d'une séduisante sirène venue lui porter secours. Elle compris rapidement ce qu'elle voulait, et inspira profondément pour lui dérober un peu d'oxygène et ainsi éviter la noyade. Akira avait déjà suffisamment frôlé la mort. La splendide jeune femme s'agrippa au cou de la sirène a l'aide de ses deux bras, pressant son corps contre le sien afin d'être certaine d'atteindre la surface.

L'arrivée à l'air libre fut une libération. Akira prit une grande bouffée d'air, exténuée, mais soulagée d'être enfin de retour à la surface. Elle ne put même pas répondre à la première phrase de sa sauveuse, trop essouflée pour placer un quelconque mot. Elle se laissa emmener sur le petit ilôt, toujours agrippée à la sirène. Akira la relâcha finalement une fois sur la terre ferme, et se laissa tomber au sol, allongée dans le sable.

- Je ne viens pas pour les trésors, seulement pour explorer. Ces galleries avaient l'air pleines de surprises... la preuve.

Malgré la situation Akira n'avait pas perdu son humour. Elle s'étira, souriante, heureuse d'être saine et sauve. Le regard tourné vers le ciel, elle commença simplement à profiter du soleil. Qu'il est bon de ressentir sa chaleur lui caresser la peau... cet endroit est un vrai petit coin de paradis. De plus, maintenant qu'elle y est allée, elle pourra y revenir à volonté grâce à son pouvoir. C'est dans la poche !

- Tu es bien tombée, petite sirène. ♥

Akira toisa la sirène de ses yeux bleus envoutants, un petit sourire naissant sur ses lèvres pulpeuses. C'est la première fois qu'elle rencontre une sirène amicale, et qu'elle en voit une d'aussi près. Elle est plûtot jolie de surcroît, quelle chance...

Généralement après une telle approche, j'ai le droit à des remontrances qui ressemblent à " pourquoi tu m'as embrassé putain ! " alors que je leurs sauves juste la vie. Quand ce n'est pas ça, le rouge se se prive pas de monter à leurs joues, comme de petites pucelles toute timides d'avoir sentie les lèvres d'une sirènes contre les leurs. Avec cette femme il n'en était rien, elle ne semblait même pas surprise de comprendre que j'étais une sirène, comme si ce genre de mystère était pour elle une habitude. Bon, au moins ça changeait un peu, et je n'aurais pas besoin de passer les explications pour prouver que j'étais bien une sirène. Elle se permet même d'en rire. Je rêve ou elle essayait de me faire du charme là ?

Ouai enfin, y avait combien de chance pour que tu tombes sur moi juste à ce moment ? L'océan est vaste. Tu as juste du une chance qui dépasse l'imagination.

Son sourire est rayonnant et ses lèvres pulpeuses me donneraient presque envie de lui refaire du bouche à bouche tout de suite. Dommage, elle ne semble déjà plus assez essoufflée pour ça ! Ce qui ne m'empêche pas de m'approcher encore dangereusement de sa bouche, tournant la tête de droite à gauche pour l'observer. Mon maillot deux pièces moulant mes formes à force d'être trempé, est d'une superbe couleurs pourpres, et touche à plusieurs reprises le corps de la belle, sans le faire exprès. On aurait presque pu croire que c'était intentionnel pourtant, devant ma poitrine rebondissant contre sa peau.

Ouai pas de doute, t'es qu'une humaine. Plutôt jolie, mais qu'une simple humaine quand même !

Je reste très proche d'elle, un regard interrogateur sur le visage, penchant la tête sur le côté.

Bon, toi t'as le visage d'une inconsciente qui reviendra quand même explorer... c'est ça ? Il serait plus prudent d'y aller tant que je suis là avec mon compagnon alors... Au fait, je m'appelle Lyli.

En parlant aussi proche de son visage, le souffle de mes paroles s'écrasait contre ses lèvres, l'enivrant de mon parfum océan. Si elle voulais explorer, je ne comptais pas la laisser y retourner seule, c'était trop dangereux. Et puis... moi aussi j'étais une sirène, il ne fallait pas l'oublier... Attirer sa proie dans l'eau était une base... Peut-être aurais-je envie de m'amuser avec elle, qui sait... probablement ! Elle était si belle !

- J'aime l'aventure, peu importe les risques je finis toujours par m'en sortir !

Akira étouffa un petit rire élégant, amusée par la remarque de la sirène. La chance, c'est sa meilleure amie après tout ! Combien de fois lui a-t-elle portée secours. Si la chance était une personne, elle lui aurait sûrement déjà fait l'amour sauvagement. Mais pour le moment, quelqu'un se trouve déjà à sa portée... et son corps semble l'avoir ressenti, puisque ses mamelons durcissent peu à peu jusqu'à être visibles à travers son maillot. Akira se passe lentement la langue sur les lèvres en sentant le corps de la sirène contre le sien.

- Tu es jolie aussi, mais je ne suis pas une humaine comme les autres, petite sirène. Tu as entendu parler des Esper ?

La jeune brune passe lentement ses doigts sur le ventre de Lyli, atteignant peu à peu son nombril. Elle ne la quitte pas des yeux, un regard ardent la dévore presque. Un parfum aux senteurs de framboise s'échappe de ses lèvres lorsque la sirène exhale son parfum marin, les deux senteurs s'entremêlant avec sensualité. Akira semble réceptive aux charmes de Lyli, c'est indéniable.

- Oh... vraiment ? Serait-ce une invitation ?

Demande t-elle d'une voix doucereuse, venant presque lui caresser la peau. Akira est indéniablement intéressée par la sirène en face d'elle, attendant d'en voir plus encore. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas pu se faire plaisir, et l'occasion est peut-être toute trouvée... après tout, peu de gens sont dignes de prendre du bon temps avec elle. Ce n'est pas une femme ordinaire ! Et manifestement Lyli non plus. Qui se ressemble... s'assemble. Elle en a plusieurs fois fait l'expérience.

Non je ne rêve pas elle me fait bien du rentre dedans là ! Son doigt toisant mon nombril, son souffle fruité sur mon visage, puis... son regard. J'ai l'impression qu'elle me veut, qu'elle est prête à me sauter dessus comme un félin joueur, chassant sa proie. Houla, elle ne sait vraiment pas ou elle met les pieds, et à vrai dire j'aime ça ! Elle est téméraire, belle, et l'idée de plonger avec une sirène ne lui fait même pas peur malgré ce que les légendes disent de nous... On va peut-être bien s'amuser.

Les Espers ? Des humains avec des capacités c'est ça ? Oui, tu n'es pas la première que je rencontre.

Pour une humaine elle est étrangement envoutante, et impolie aussi ! Je lui dit mon nom, mais je n'ai pas le droit au siens ? Ou alors, elle est beaucoup trop occupée par l'idée d'observer mon corps ? De m'imaginer sans ce maillot ? Mais j'avais encore bien d'autres surprises qui n'étaient pas visibles... Enfin, si c'est ce qu'elle semblait vouloir de toute façon, nul besoin d'user de stratagème supplémentaire pour lui suggérer de faire un petit plongeon. Je me lève donc, brisant ce contact rapproché avec un petit sourie joueur, sans même la prévenir que je m'en allait. Au moins, elle peut profiter de mon superbe déhancher de fesses pendant que je me dirige vers l'eau, dans les premières vagues. L'eau arrivé à la taille, je me retourne avec un air coquin.

Une invitation ? Peut-être, mais une invitation dangereuse mademoiselle l'aventurière... les sirènes sont parfois si lunatique... qui sait ce qui pourrait se produire. Des choses très agréable peut-être...

Avec grâce, je me laisse tomber en arrière pour faire la planche sur l'eau, fixant ce ciel d'un bleu magnifique.

Mais je pourrais aussi changer d'avis, et vous laissez boire un peu la tasse juste pour m'amuser... Oui, les invitations des sirènes sont dangereuses ma chère...

Le défis était lancé !

Oh oui, la sirène ne se trompe pas. Akira étant en manque de sensations depuis un petit bout de temps, croiser une si belle créature est une occasion qu'il ne faut pas laisser passer. La jeune femme remet lentement son soutien gorge en place, laissant entrevoir un très court instant ce qu'elle cache dessous... et sans surprises, cela ne manque pas de beauté.

- La mienne est un peu spéciale...

Akira fait un clin d'oeil à la sirène. Elle n'a pas donné son nom pour laisser une petite part de mystère, il s'agirait de simplement rester une jolie femme à ses yeux pour l'instant. Faire l'amour avec une inconnue est tellement plus excitant. La jeune femme ne se prive pas d'observer le magnifique fessier de la sirène lorsqu'elle se dirige vers l'eau, se mordant les lèvres avec sensualité en contemplant ce spectacle. L'Esper trace de son index un cercle dans le sable, jusqu'à ce qu'il s'auréole d'une aura bleutée. L'espace d'un court instant, le cercle qui se transforme en trou semble absorber littéralement Akira, puis se referme.

- J'aime le danger, je pense l'avoir prouvé tout à l'heure... non ?

Lance alors une voix venant d'en dessous. En quelques secondes, la sirène sent une paire de mains venir effleurer son dos, pour finalement qu'Akira ressorte de l'eau entièrement dans une aura toujours bleutée. La jeune femme lui sourit avec candeur.

- Je sais aussi m'amuser à ma manière.

J'étais désormais hors d'atteinte, loin du sable, je n'avais plus pieds. Etrangement, la belle restait sur le petit ilot avec ce petit sourire, celui qui promet de bien belles choses à venir. Il fallait qu'elle se dépêche pourtant, je serais bientôt trop loin, et elle allait sacrément se fatiguer à nager à contre courant pour me rejoindre. Je pensais presque qu'elle était devenue hésitante face au danger quand...

Que... quoi ?! Oh !!!

Je ne savais que dire, étonnée par le contact de ces douces mains sur mon dos. De nouveau un regard vers la plage, plus personne, elle avait disparue ! Je regardais en tout sens, agitant mes cheveux mouillés quand enfin... je fini par comprendre ce qui se passe. Enfin pas tout à fait. Elle est apparue dans cette étrange aura, comme si la belle au maillot rouge avait traversée une dimension ou quelque chose de ce genre. Toujours perplexe et étonnée, je la regardais sortir de l'eau avec autant d'éclat et de prestance qu'une sirène. Elle aussi sait s'amuser à sa manière hein ? J'en affichais déjà un large sourire qui chassait mes doutes, avant de disparaitre sous l'eau sans un mot. Comme un requin en chasse, ma silhouette tournait autours de son corps juste sous la surface, avec grâce.

J'ai pas compris toute l'astuce de ton pouvoir, mais il a l'air amusant.

Parler si clairement sous l'eau confirmait encore une fois que j'étais une sirène, si le doute persistait encore. Mais déjà, un autre danger se profilait entre ses cuisses, le danger d'une vilaine sirène au désirs grandissant. Profitant de ne pas avoir besoin de respirer sous l'eau, je recrache des bulles d'air par grosses goulées au niveau de ses cuisses. Elles chatouilles l'intérieur de ses jambes, les longent, avant d'éclater contre sa culotte rouge. Ce ne sont peut-être que les prémices de ce qui pourrait l'attendre, mais il fallait bien la faire languir un peu avant non ? Je me permettais même d'y déposer mes lèvres soigneusement, comme pour partager un doux baiser, droit contre sa culotte.

Si tu me veut, il va falloir m'attraper !

D'une voix joueuse, espiègle, je longe mes mains contre ses cuisses, jusqu'à la pointe de ses pieds. Je les quitte presque avec regret lorsque je commence à m'évader, nageant un peu plus vers le large et les dites profondeurs qu'elle a déjà exploré. J'étais sure qu'une aventurière comme elle ne me laisserait pas partir aussi facilement !

Akira suivit du regard la séduisante sirène lorsqu'elle lui tourna autour, sourire aux lèvres. Les mains jointes dans le dos, comme si elle attendait poliment quelque chose, Akira adressa un sourire à Lyli. La jeune esper émit un petit rire soyeux devant la surprise de la sirène, elle était habitée à ce genre de réactions. Après tout son pouvoir n'était pas commun et particulièrement difficile à comprendre dans sa totalité. Mais pour l'instant, ce n'est pas ce qui l'intéressait...

- Amusant ? Oui, je prédis que nous allons nous amuser.

Akira se laissa totalement faire, offrant sa culotte aux lèvres de la sirène et même plus encore. La jeune femme sentit un léger frisson lui parcourir le corps jusqu'à l'échine, signifiant que les avances de Lyli avaient leur effet. Chaque seconde, à chaque contact, son corps lui rappelait ô combien il désirait enfin relâcher ses pulsions sexuelles. Et la sirène semblait savoir jouer de cela à la perfection. Il serait dommage de s'arrêter là non ? Akira porta un doigt à ses lèvres, et prit un air de petite fille battue.

- Oooh, je ne vais pas pouvoir résister...

Akira laissa la sirène s'éloigner durant quelques secondes avant de ramasser deux coquillages, lentement. Rien ne sert de se presser. Personne ne peut lui échapper, une fois qu'elle y a apposé sa trace. Un simple effleurement du doigt suffit. Souriante, Akira traça un cercle sur le petit coquillage qu'elle venait de ramasser, et disparut une fois de plus. Elle réapparut quelques secondes plus tard, juste en face de la sirène, si bien qu'elle n'eut aucun mal à l'attraper pour se blottir contre elle l'air de dire "tu ne peux pas m'échapper". Sous l'eau, Akira ne pouvait pas parler... mais les actes suffisent pour se faire comprendre. Les douces mains d'Akira commencèrent à longer dangereusement le corps de Lily en direction de sa poitrine...

Je m'éloigne ricanant mais la belle au maillot rouge ne bouge pas, une fois encore. Je m'attends à un coups comme celui de tout à l'heure et accélère même la cadence jusqu'à la perdre totalement de vue, pour tester la portée de son sortilège. Elle ne semble pas avoir de limite, même hors de vu et sous plusieurs mètres de profondeur, la belle inconnue me rejoint sans même se soucier de l'atterrissage. C'est vrai quoi, j'aurais pu la piéger à des centaines de profondeurs, sous une pression qui lui aurait été difficile à retenir, et pourtant elle ne s'était même pas posé de question. Cette femme était vraiment du genre à prendre des risques pour de bon et ça me plaisait. J'avais même l'impression qu'elle était capable de prendre son pied dans bien des situations... Soumise ? Dominante ? L'aura qu'elle dégageait semblait presque murmurer " quel importance du moment qu'ont s'amuse ". J'en décocha un sourire, en la laissant guider ses mains sur mon corps presque nue.

Gourmande...

Quand ses doigts effleurent enfin ma poitrine, je pose mes mains sur les siennes pour stopper sa progression, avec un sourire amusé. Je la retient, l'empêche de saisir ces deux monts de chaires moelleux pendant un instant, avant de la guider moi même sur eux. Je ne sais pas vraiment combien de temps elle était capable de rester en apnée, mais après tout elle aimait le danger non ? Alors autant prendre tout mon temps. Elle savait de toute façon que mes lèvres étaient son réservoir d'oxygène... Si elle le méritait cependant... hi hi !

Voyons voir combien de temps notre aventurière peut retenir sa respiration, après tout, la notion de danger a l'air de t'exciter, non ?

Mes mains glissent hors des siennes, maintenant qu'elle est installée sur ma poitrine, l'objet de ses convoitise, elle n'as plus besoin de guide ! Ce qui me laisse libre de venir caresser ses cuisses et de longer à mon tours sensuellement son corps, jusqu'à son derrière. Quel maillot rouge superbe, caresser ses fesses au travers est un pure bonheur et pour montrer toute ma satisfaction, je lui donne une petite tape dessus, en la fixant d'un regard coquin. La lueur lubrique dans mes prunelles ne trompe pas mes intentions, mes désirs... Une compagnonne de jeu si téméraire était rare, et la petite sortie aquatique n'allait pas durer qu'une poignée de minute...

Soudain, les caresses sages sur sa croupe prenaient toute une autre allures, et mes mains filaient entre. A travers le tissus impossible d'y pénétrer mes doigts à l'intérieur de cette paire de fesses, pourtant je m'efforce de m'amuser comme si cette barrière n'existait pas, introduisant mes doigts freinés par la culotte et introduisant bien le tissus entre ses fesses à chaques coups.

Akira ne se fit pas prier de son coté pour commencer sa petite affaire, aggripant avec fermeté les deux lobes de chair de la sirène. Elle commença par les malaxer doucement, appréciant simplement le fait de les toucher. Depuis que sa poitrine a commencé à se développer, Akira a toujours été passionnée par les seins. Que ce soient les siens ou ceux des autres... quoi de plus agréable que de les lécher, les sucer, les pincer jusqu'à l'extase ? Cependant, Lyli semblait avoir trouvé une zone d'autant plus érogène... et cela se ressentait. Akira esquissa un petit cri étouffé, puisqu'elle ne pouvait pas ouvrir la bouche sans avaler de l'eau. Elle allait devoir faire avec...

Pas besoin de mots. Akira adressa un sourire de défi à la sirène, et arracha son soutien gorge avec les dents, presque sauvagement. La voilà seins nus. La jeune esper agrippa cette fois sa partenaire aux fesses, enfonçant ses doigts dans toute la chair qu'elle pouvait attraper, et commença à mordiller les mamelons de Lily avec espièglerie. Elle les mordilla, les aspira, et commença même à enrouler sa langue autour avec sensualité, répandant sa salive sur ces boutons roses. Mais de son coté, les assauts de la sirène ne pouvaient pas la laisser indifférente... et elle comptait bien le montrer, puisqu'elle se mit à remuer les fesses au rythme des doigts de Lyli.

- Hmmm...

Tandis qu'Akira suçait et léchait les seins de sa partenaire, la sirène arrivait peu à peu à introduire le tissus de la culotte d'Akira entre ses deux fesses, lui donnant l'apparence d'un string. D'ici elle pu se rendre compte, du bout des doigts, qu'Akira mouillait malgré le fait qu'elle soit totalement immergée dans l'eau... le liquide est plutôt différent après tout. Akira commence à sentir qu'elle est à bout de souffle, et plonge donc ses lèvres contre celles de la sirène, prenant une grande bouffée d'air salvatrice.

D'ailleurs, Akira ne manqua pas d'introduire sa langue à l'intérieur de la bouche de Lyli, parcourant ses parois buccales avec un appétit dévorant, entremêlant leurs salives sans retenue ni pudeur.

La gourmandise dont elle faisait preuve sur ma poitrine réchauffait mes désirs, malgré l'eau, la belle aventurière ne craignait pas d'ouvrir la bouche et d'user de sa langue pour me satisfaire, léchouillant et mordillant mes tétons. L'injustice faisait que je pouvais gémir autant que je le voulais sans me noyer, de mon côté, pendant que mes deux boutons roses s'endurcissaient sous ses dents. Je gémis sans retenue, tapant son derrière d'une fessée plus féroce, à chaque fois qu'elle resserre ses dents. Même sous l'eau mes mouvements son fluides et ne sont pas ralentit grâce à mon affinité avec l'océan, elle peut aisément sentir chaque petits coups comme si nous étions sur le sable chaud. En parlant de quelque chose de chaud d'ailleurs, je peux clairement sentir une petit différence entre ses cuisses. Un liquide un peu plus chaud se mélange à l'eau, et semble se diluer d'avantage quand la culotte rentre dans ses fesses. Je suis persuadé qu'il s'agit de son nectar, et le baiser est surement le meilleur timing pour vérifier cela.

Concentrée sur mes lèvres pour quémander de l'air, je la laisse d'abord jouer avec ma langue et y réponds volontiers en enlaçant ma langue dans la sienne. Ces deux serpents avides de luxures qui gigotent entre nos lèvres, dans ce baiser gourmand, semblent tant la captiver que j'en profite pour la surprendre, glissant sous son maillot pour cette fois, réellement rentrer l'index dans son anus. J'y reste bien logée, tournoyant à l'intérieur et faisant de petits vas et viens pour la stimuler. Il s'agissait souvent de l'antre la plus tabou aussi bien pour les hommes que les femmes, mais cette aventurières semblait assez joueuses pour e pas être aussi prude. Raison pour laquelle j'y restais sans honte pour stimuler son fondement, en soufflant l'air qu'elle voulait tant pour regonfler ses poumons.

Déjà à cours de souffle ? on ne faisait que commencer pourtant.

Le baiser prend fin, et seul une main derrière sa tête nous maintient encore si proche. Je dépose un nouveau baise sur ses lèvres rouges, sans langues cette fois, et bien plu brève pour la distraire encore une fois. Avec un regard vicieux et amusé, je sors mon doigt de son fondement en attrapant sur mon passage l'arrière de sa culotte. Le devant qui recouvrait son intimité fait alors le même effet qu'un string, comme avec son derrière, mais cette fois c'est son intimité féminin qui se retrouve coincé dans ce " fil ". La culotte forme un large élastique qui se loge entre ses lèvres intimes, éclaboussant surement une belle trempée de cyprine au passage... Impossible de le savoir sous l'eau, mais je sens la chaleur autours de ses cuisses plus envahissante encore.

Je me demande si tu es assez excitée... Je suis sure que je peux te faire jouir juste comme ça...

Je ne lui retire pas sa culotte, au contraire, le tissus qui a formé cette espèce de corde rouge dans son sexe m'amuse, et je commence à le tirer d'avant en arrière, d'abord doucement. En produisant cette friction, je comptais bien lui offrir la délivrance, pendant que mes lèvres commençaient à explorer son corps. En l'allongeant sur le sable, il était plus facile de continuer à frotter sa culotte tout en embrassant son bas ventre, tendrement. Je ne saurais m'en contenter, toutefois, et laissait déjà ma langue vagabonder vers sa poitrine, que j'évitais étrangement. Ma destination fut en effet son cou, gracieux, doux, que je saisissais entre mes lèvres avec gourmandise. J'avais l'impression de vouloir dévorer un délicieux bonbon en embrassant et en saisissant ainsi entre mes lèvres la peau de son cou, comme un félin joueur.

Avec ça, le danger de ne pas respirer, et sa culotte qui devenait de plus en plus étroite en chauffant son sexe, je n'avais aucun doute sur le plaisir qu'elle pourrait prendre. Sans compte que mes baiser dans le cou et les mouvements de la frictions faisaient perpétuellement bouger mon corps, et donc rebondir ma poitrine au lourd bonnet, dans la sienne. C'était aussi une sensation agréable de sentir ces deux paires de seins se presser l'une sur l'autre, comme deux fruits moelleux...

Akira accepta le défi sans broncher. Elle aimait les défis, et n'en était pas à sa première expérience sexuelle. Elle mordit un peu les lèvres de la sirène avant que celle-ci ne rompe le baiser, appréciant de sentir son doigt enfoncé dans son anus. La pudeur n'était plus de mise en cet instant, et sentir cet endroit tabou souillé par la présence d'un doigt lui procurait beaucoup de plaisir. Alors que les muscles de son anus se raidirent pour contracter autour du doigt de la sirène, Akira sentit son intimité mouiller de plus en plus. Au bout d'un petit moment, Akira saisit la main qui lui avait servi à introduire l'index dans son anus, et le lécha sans retenue avec beaucoup de perversité, pour finalement la relâcher afin de la laisser s'occuper d'elle. Elle ne se fit pas prier pour éjecter un jet de cyprine lorsque Lyli tira sur sa culotte, a présent coincée entre ses lèvres intimes gorgées de plaisir. Une simple pression semblait suffire pour évacuer un peu de son nectar intime, a croire qu'elle s'était retenue spécialement pour l'occasion. Akira laissa échapper quelques bulles de sa bouche lorsque Lily arrêta de l'embrasser, elle allait maintenant devoir rester en apnée. Cela ne fit que rajouter du challenge !

Akira sentit son intimité vibrer au rythme des assauts de la belle sirène, sentant sa culotte s'introduire dans la fente de son vagin à chaque coup. Lorsqu'elles se posèrent sur le sable marin, toujours sous l'eau, Akira profita de l'occasion pour assaillir Lyli elle aussi. Elle ne devait pas être la seule à prendre du plaisir. Akira était néanmoins beaucoup plus directe, puisqu'elle commença par introduire son majeur dans l'anus de la belle sirène, sous sa culotte. La belle brune fit quelques va et viens à travers de la paroi anale de sa partenaire, se lécha le doigts à plusieurs reprises, et repris sans repos son activité. De l'autre main, elle introduisit deux doigts de plus dans l'anus de sa partenaire, bien décidée à commencer par cet orifice. Elle voulait se sentir sale, vilaine, perverse.

Leurs deux poitrines collées s'échangèrent leurs sueurs diluée à l'eau, tandis que les jets de cyprine s'échappant de son intimité en rythme venaient se répandre sur les doigts de la charmante sirène, lubrifiant au passage sa culotte pour se préparer à la suite. Akira ne jouissait pas encore, mais prenait énormément de plaisir à cela. Et elle espérait que ses trois doigts, auxquels elle ajouta un quatrième pour écarter l'anus de la sirène, suffisaient à lui faire plaisir également. Loin d'en arrêter la, Akira se vidait cependant bien vite de son oxygène, puisque le plaisir la poussait à ouvrir régulièrement la bouche pour laisser s'échapper de petits cris étouffés par l'eau. Les bulles d'oxygène s'échappaient à vue d'oeil vers la surface, rappelant qu'Akira ne pouvait tenir éternellement... mais elle aimait cela. Cette sensation de flottement, d'étouffement, d'évanouissement imminent... Akira était comblée, alors que ses yeux commencèrent à se révulser de plaisir.

Quel coquine, quel joueuse, quel sauvage... elle n'y allait même pas tendrement et prenait le chemin le plus direct dans mon anus étroit... bien plus étroit que le siens ! Oh ça oui ! Peu de mes amantes avaient eu le privilège d'y entrer,  durant longtemps ce sujet était même tabou et quiconque osait s'y aventurer subissait mon courou ! Il fallait un minimum d'intimité avec moi pour pouvoir explorer ce trou si jalousement gardé... ou faire fort impression. Il s'agissait du second cas de figure en l'occurrence, tandis qu'elle prenait un malin plaisir à multiplier les doigts. Avec les cris plus aigue et mon visages rougissant, elle devait bien se douter que je n'en avait pas l'habitude. Je me trémoussais de plus en plus, et mes parois anales bien trop étroites rendaient la tâche compliqué à son dernier doigts.

Aha .. ah, ho !!!!! Kya ah ! perverse !

Je ne savais plus vraiment ou me mettre et remuait les fesses plus qu'il ne le fallait, ce qui eu pour effet d'écraser sa poitrine bien plus forte sous la mienne. Ca ce n'était rien, et dans un sursaut quand le 4 eme doigts s'agita et perça mes défenses, je déchira la culotte. Oups, j'avais perdu le contrôle de ma force qui, sous l'eau, était largement supérieure aux créatures terrestres. Le bas de maillot rouge céda en rentrant plus férocement que jamais dans son intimité, sous le dernier assaut. Mais bientôt, un autre problème se fait sentir, je le vois en croisant ses yeux rongés par le plaisir... La belle aventurière commence à manquer de souffle. Je me presse alors dans l'urgence pour la faire respirer mais, au dernier moment, dépose un petit baiser sur ses joues prenant la couleurs de deux tomates, peu à peu.

J'ai l'impression que tu aimes ça... sentir l'air te manquer peu à peu, cette tête quoi tourne délicieusement... Oh oui je sais... je vais te faire découvrir les joies d'un orgasme puissant et dangereux, je vais te faire jouir sans air... Je retourne mordiller son cou, alors qu'une autre idée me vient en tête. j'avais bien vu avec quel gourmandise elle s'était léché les doigts, à plusieurs reprises après m'avoir pénétré par derrière... Je me relevais donc, quittant l'empalement de ses doigts dans mon anus avec un large soupire d'aise. Mes cuisses tremblante montrent toute le bonheur que j'ai pu en tirer grâce à elle, j'avais même été à deux doigts de jouir tant mon anus serré avait été stimulé...

Oui, on va faire comme ça... tu ne respireras pas tant que tu n'auras pas jouit...

Un jeu dangereux qui la pousserait au bord de l'étouffement à chaque nouvelles seconde mais qui, je n'en doutais pas, allait grandement l'excitait si je l'avais bien cernée !

Mais avec la culotte déchirée il allait falloir changer de méthode, ce serait donc mes doigts qui prendraient le relai. Au bien sure j'avais bien d'autres façon de la combler mais... garder un peu de mystère pour plus tard me paraissait être une bonne idée ! Elle devrait donc se contente de mes doigts qui caressaient lentement le contours de sa vulve, alors que je prenais une position allongée contre son corps. Mon visage devant sa vulve, et mes fesses devant son visages, elle aurait alors tout le loisir de s'amuser directement avec sa langue, plutôt que de lécher ses doigts. Je n'attendais d'ailleurs pas son approbation pour poser mon popotin contre son visage et m'y frotter, prenant soin de sentir son petit nez buter contre mon anus, et les bulles d'air le chatouiller. En penchant mes fesses ainsi en arrière, c'est mon visage qui s'avance vers son sexe humide, bientôt jonché de coups de langues félin. Miam, que son nectar a bon gout ! sa petite fente est si humide que je me peux m'arrêter de la léchouiller comme une petite neko. Si seulement ma position me le permettait j'en aurais fait de même avec sa poitrine, qui me faisait si envie... Mais bon nous n'étions pas pressées ! C'est bien pour ça que je prenais tout mon temps pour léchouiller et embrasser son clitoris, toujours en dandinant mes fesses sur son visage. Elle avait au moins assez à l'essentiel de mes zones érogènes juste sous ses yeux entre mes fesses et mon intimité.

J'en oubliais presque que la pauvre était en apnée forcée, bien que ça n'ait pas l'air de lui déplaire. Il fallait alors faire vite, et je commençais à me montrer plus concrète, englobant le tours de ses lèvres intimes chaude et enflées dans ma bouche, comme pour l'aspirer et sucer un délicieux bonbon. Oui, j'en suçais tout ce qu'elle pouvait m'offrir en y faisant peu à peu serpenter ma langue à l'intérieur, dansant sans retenue dans tous les sens. Je ne pouvais louper aucune goutte tant mes lèvres étaient refermées de manières imperméables et produisait une multitude de sons presque obscène, sous cette intense succion !

En effet, l'anus de Lyli était plus étroit que celui d'Akira, qui avait l'habitude d'être pénétrée par cet endroit aussi bien que par le devant. Il faut dire qu'elle avait eu nombre de rapports sexuels avec diverses créatures quelles qu'elles soient, allant de jeunes succubes jusqu'aux géants des montagnes. Cela confirmait bien qu'Akira aimait les sensations fortes, les risques et par dessus tout les défis ! Lyli n'eut aucun mal à le remarquer. Akira commença à sérieusement manquer d'air, mais le défi de Lyli lui donna la force de se contenir, quitte à entrer dans un état de semi conscience... D'ailleurs, lorsque son maillot s'enfonça une ultime fois dans son intimité avant de céder, un jet de cyprine surpuissant jaillit de la vulve d'Akira avec énergie avant de se diluer lentement dans l'eau. Akira poussa un nouveau cri étouffé. Après quelques minutes à élargir son anus, Akira fut contrainte d'arrêter puisque la sirène se leva. Elle n'eut cependant pas à se plaindre, puisque s'asseoir sur son visage lui offrait un repas encore plus appétissant... l'anus et la vulve de la sirène étaient maintenant collées à ses délicieuses lèvres. Des lèvres qui ne tardèrent pas à se coller à l'anus de Lyli, encore une fois. Ce petit orifice serré l'excitait incroyablement, tellement que la jeune esper décida de l'élargir le plus possible, dans le but de l'ouvrir totalement aux relations anales... ce challenge lui plaisait bien. D'un côté tenir le plus longtemps sous l'eau sans jouir, de l'autre élargir l'anus étroit de la sirène.

De son côté, alors que Lyli recouvrait de coups de langue l'intimité trempée d'Akira, elle reçut plusieurs giclées incontrôlées de cyprine chaude directement dans la bouche, l'abreuvant ainsi de ce délicieux nectar salé. Ses lèvres intimes déversaient sans cesse de ce liquide qui semblait pouvoir couler à flot sans jamais s'épuiser, provoquant une série de bruits obscènes particulièrement sales, mais terriblement excitants. Les parois intérieures de la jeune femme ne cessaient de se gorger et de se vider alors que la sirène aspirait son clitoris entre ses lèvres... Akira ne put s'empêcher d'avaler une gorgée d'eau involontairement, en poussant un cri étouffé. Quelle sensation... quelle extase incroyable ! La jeune femme cru perdre son mental tant la noyade était proche. Elle ne voyait d'ailleurs plus grand chose, puisque les formes commencèrent à devenir floues autour d'elle.

- Bloub !

Sentant qu'elle arrivait à la fin de sa courte réserve d'oxygène, Akira utilisa les grands moyens. La jeune femme plaça ses deux mains de chaque côté de l'anus de Lyli, entrant quatre doigts de chaque mains à l'intérieur, de gré ou de force. Seuls ses pouces étaient encore à l'extérieur... mais le pire restait à venir. Akira se mit à tirer violemment de chaque côtés pour élargir l'anus de la sirène et voir l'intérieur de sa fleur anale se dévoiler à elle... ou elle ne put s'empêcher de ruer sa langue à l'intérieur. Akira y cracha une gorgée de salive, puis entreprit de lécher sans aucune pudeur la région anale de sa partenaire, sans cesser de tirer en continu de chaque côtés. La sirène devrait trouver du plaisir dans la douleur, elle n'avait pas le choix... pourquoi serait-elle la seule à souffrir ? Hihi. ♥ Au bout d'une vingtaine de secondes, alors qu'Akira avait agrandit de force l'anus rougit de la sirène, elle sentit l'orgasme venir intensément, son bas ventre se raidir brusquement... et sa vulve déchargea une quantité astronomique de cyprine salée dans la bouche de Lyli. Cela ne s'arrêtait plus, a vrai dire. Akira laissa s'échapper un dernier cri de plaisir, alors que sa dernière poche d'oxygène s'échappait de ses poumons.

- HUMMMMBLBUBLBOURLGLGGLGL !