[OS] Tous aux abris ! [PV Ariman & Ponia]

L'abri 68, mille personnes, une seule femme, 69, l'inversent. Chaque abri à ses propres choses à tester, des expériences mises en place par "Vault-Tec" la société qui a frabiqué les abris avant la Grande Guerre atomique. Le jour où les bombes sont tombées, tout les désignés coururent aux abris, et les non-désignés, se voyaient contraint à rester dehors, et mourir. Par chance, l'abri 99 lui était encore ouvert, les bombes étaient annoncées à la télévision depuis quelques heures, elles pouvaient tomber à tout moment ! Les gens se précipitaient donc vers les abris de leurs régions, avec ou sans invitation d'ailleurs.

Heureusement pour Rebecca, elle était arrivée ici à temps, bien à temps en fait. Elle avait travaillé pour la construction de l'abri, comme technicienne en électricité. Elle faisait partie du personnel de l'abri, enfin, jusqu'à sa fermeture face au monde extérieur qui ne saurait tarder. Car oui, elle faisait partie du peu de gens au courant de ce qui se tramait ici... L'expérience sur la soumission, elle avait reçu à l'avance sa carte à point. Tous les gens qui entraient ici depuis quelques heures en recevaient une. Homme ou femme, en fonction du métier on démarrait avec plus ou moins de points. Les métiers manuels étaient assez bas, les techniciens utiles étaient au-dessus de certains, inférieurs à d'autres. Le superviseur était chargé de veiller sur tout cela.

Pour se faire, il avait dans son bureau des écrans avec les caméras de surveillances, il y en avait partout, même dans les toilettes et les douches. Elles pouvaient être camouflées dans les murs, les pommeaux de douches, les téléphones portables, etc. ... Les téléphones portables étaient de toute façon peu utiles, une fois l'abris fermé il sera coupé du réseau et ne fonctionnera pas sans une carte "sym" spéciale de l'abri qui était donné en même temps que la carte à point. Chaque heure d'appel coutait un point ! Oh, pas grand-chose au final, et on gagne des points en faisant bien son travail. Ou en récompense de mission, d'obéissante ou encore simplement en étant sage.

Les règles étaient donc claires, tous ceux qui entrent, doivent obéir, ou alors seront jetés dehors une fois à zéro point. Oh bien sûr avant d'en arriver là il y a des avertissements, à dix points on vous expose à une faible dose de radiation. À cinq points c'est le service "public" ou une douche d'eau irradiée... Oh, et bien sûr les gens irradiés sont ensuite isolés pro des expériences inhumaine... Enfin tout ça est détaillé dans le fascicule de l'abri distribué à l'entrée. En ce moment les gens arrivaient, les techniciens et techniciennes eux avaient déjà leurs cartes à points. Rebecca donc était dans les couloirs, étant là à l'avance elle faisait partit du groupe de test. Et avec ses vingt points, elle était un peu juste...

C'est pour ça qu'elle savait déjà ce qu'était l'autre partie de l'expérience, et détestait le superviseur qui l'avait dans le collimateur ! Ce matin encore elle l'avait sucée pour remonter de quinze points à vingt ! Elle dut même avaler son foutre pour avoir cinq points et non trois ! D'ailleurs, ici tout le monde avait le choix de la tenue, sauf les gens avec moins de cinquante points... Eux gagnaient une  tenue d'abris au choix d'un "mentor" censé leur faire regagner des points. Pour elle ce mentor était le superviseur de l'abri, pour d'autre c'était simplement la première personne élue par l'informatique. Et pour les arrivants bas c'était une loterie en fonction de l'importance de leur rôle au sein de l'abri.

C'est ainsi que débarqua une nouvelle jeune femme, grande, cheveux foncés, belle poitrine et boule d'oreille. Idéale, mais... pas sur la liste, ce qui voulait dire que si elle veut une place... ça ne se fera pas sans quelques sacrifices... Le superviseur était d'ailleurs allez la prendre à part. Rebecca étant soumise à la volonté du superviseur savait qu'elle serait appelée à un moment ou un autre dans le bureau, et verrait en face cette jeune femme.

" Le beurre l'argent du beurre et le cul de la crémière. " Pensa Grymm qui en avait fait sa devise.

On peu dire que sur un certain point il avait eu de la chance d'avoir été engagé comme superviseur de l'abri. Certes il n'était qu'un employé il y en avait qui était bien plus puissant que lui et devait donc répondre aux ordres de ses supérieur. Par chance on laissait les superviseur gérer eux même les survivants chargé au bon fonctionnement de l'abri. Tant que le rendement était au rendez vous et que l'abri était bien tenu il pouvait vivre comme un roi de son secteur voire même se livrer à certaines activité qu'il n'aurait jamais imaginé comparé au monde d'avant.

Maintenant que le monde avait changé certains tabou culturel étaient tomber on essayait de garder une certaine dignité et un semblant d'ordre mais il était clair que l'abri tombait lentement mais surement vers une aire de barbarie ou le fort dévore le faible. Remarque fait l'humanité n'est pas si diffèrent de l'animal quand il est en mode survie, il ne pense que manger, dormir et se reproduire à la différence que l'humain est encore assez évoluer pour survivre plus longtemps comparés aux organisme inferieur. Grymm contrairement aux autres résidents avait été mis au courant des expérimentations diverse qui ont été mise en route soit disant pour permettre la survie de l'humanité mais il fallait avouer que ses expériences  avait un faux air de ce qu'on faisait dans les camps de prisonnier durant l'avant dernière guerre à la différence que le nombre de cobaye était pour le moins limité.

L'abri recueillait encore des candidats potentiel mais cela devenait de plus en plus rare. Afin de remonter la démographie les grosse tête scientifique avaient l'intention de recourir à l'insémination artificielle mais encourageait aussi au sexe Grymm ne se fit pas donc prier pour abuser de sa position en tant que superviseur mais il était suffisamment malin pour ne pas aller trop loin. Il y avait suffisamment de femelle qui était belle mais qui étaient en couple ou sous la houlette d'un protecteur. Afin d'éviter les ennuis Grymm avait jeter son dévolus sur les femme solitaire mais suffisamment soumise pour obéir à ses ordres en se servant du système de points et il fallait dire que cette Rebecca était une vrais salope pour avoir autant besoin de points. Ses fellation était royale mais tôt ou tard il faudra bien qu'elle passe un jour à la casserole.

Ce fut quelques temps plus tard que Grymm vis dans les dossier d'arriver une nouvelle candidate et une proie potentielle. Elle n'était pas sur la liste des arrivée prévus c'était donc une clandestine qui n'as pas encore été jaugé dans ses qualifications. Si elle était inutile elle risquait bien de terminer comme sujet d'expérience dans les laboratoires. Grymm décida donc de la convoquer une fois son admission effectuer dans son bureau ainsi que Rebecca. Si la nouvelle à des qualification utile Rebecca lui servira de guide et de lui rappeler les règles de l'abri.

Tu te souviens encore de cette matinée. Tu revenais de la piscine municipale où tu allais assez souvent, dans le quartier on te connaissait comme une femme sportive et très proche de ton mari. Tu avais été marié assez jeune, le coup de foudre pour un homme qui devait avoir le double de ton âge et qui fut bien content d’avoir une jeune femme à ses côtés. Bien évidement tu ne te faisais pas d’illusion sur le fait qu’il devait lorgner sur des femmes plus jeune et belle que toi, mais en tant qu’épouse tu restais fidèle à cette personne.  

Tu n’avais pas de métier, aidant simplement dans les tâches de ton mari en tant que secrétaire, tout en faisant tes tâches en tant que femme au foyer. Il t’interdisait d’avoir un métier, te laissant avoir des activités sportives en contrepartie, ce que tu n’étais pas prête à faire pour l’amour de ton mari.

Tu avais entendu les sirènes annonçant un entrainement d’évacuation. Enfin, comme toute la population, tu pensais qu’il ne s’agissait que d’un entrainement, jusqu’à ce que tu voies des militaires passer devant ta maison et ton mari, avec une autre femme, qui semblait inquiet, appuyant sur l’accélérateur en te voyant. Tu savais à cet instant que ce n’était pas un entrainement, ton intuition te le disait.  Tu n’avais pas vraiment eut le temps de te changer, mettant par-dessus ton maillot de bain tes vêtements, l’idée de porter des tenues à moitié trempée étant bien la dernière chose à penser que de survivre. Tu savais que ton mari t’avait abandonné contre cette minette et qu’il fuyait vers l’abri, tout comme toi.  

Tu avais vu ses personnes se masser contre l’entrée principale, se marchant dessus, l’armée n’hésitant pas à faire feu pour que la masse recule. Tu découvris l’horreur de la sélection. Tu tentas ta chance, faisant fit d’avoir des bleus sous la bousculade pour être dans les premières de la masse et découvrir que tu n’étais pas sur la liste.  Tu voyais au loin la menace se rapprocher et tenta le tout pour le tout.

Tu avais fait le tour, tu t’étais caché pour te lancer vers la porte au dernier moment. Tu avais été chanceuse, une seconde de plus et tu aurais certainement eu le corps broyé par la lourde porte qui se refermait. Un nouvel appel fut entamé, venant à faire tourner ta bague de mariage sur ton annulaire droit, signe de ta nervosité. Tu fus incarcérées, quoi de plus normal pour une clandestine, le temps de l’enregistrement. Il y eu des tests physiques et intellectuels.  

Tu n’étais pas plus brillante que les femmes au foyer de ton âge, seul tes compétences sportives, comme l’apnée et l’endurance musculaire semblèrent intéresser les scientifiques présents ici.  On te laissait tes vêtements, venant  t’annoncer que n’ayant aucun métier, le superviseur allait devoir jauger ton utilité dans l’abri et que cela serait tes points de départ.

Tu n’avais pas le choix que d’accepter, ton esprit restant en alerte sur le fait qu’à tout moment on pouvait te jeter dehors, ce qui voulait dire une mort lente et douloureuse, comme on te l’avait enseigné dans les manuels d’évacuation. Tu n’avais jamais eu un esprit combatif, sans doute est-ce pour cela que ton ancien mari t’a lâché. Tu n’avais pas abandonné ma bague, elle était sertie de diamant et pouvait certainement servir dans cet abri.  Une fois devant la porte du superviseur on te fit entrer, venant à refermer la porte derrière toi, te bloquant dans cette pièce avec deux personnes. Tu ne te présentais pas, ils devaient avoir reçu les informations.

Tu te nommais Bianca Yang, nom de jeune fille Rosière. Tu avais vingt ans, aucun antécédent avec les forces de l’ordre, une bonne réputation dans le quartier où tu habitais, aucun enfant à ce jour, tu étais mariée depuis deux ans. Tout ce qui décrivait une femme au foyer active avec un caractère soumis à l’homme de la maison.  Tu étais bien droite devant ses deux personnes, les mains devant toi et tu recommençais à faire tourner ta bague de mariage, te demandant si le superviseur et cette femme allaient t’accepter ici.

Grymm était le chef ici, et son supérieur direct pour... apriori le restant de sa vie ! C'était énervant, car certaine plus chanceuses, avaient même droit à des "maitres" cool et complaisant qui n'abusent pas d'elle. Des femmes qui ne sont pas forcées à sucer des bites ou parfois pires... L'abri avait en effet une véritable ménagerie dans les étages inférieurs, chevaux, chiens, chats, il fallait préserver les espèces ! Des fermes industrielles à cochons et vaches étaient aussi présentes dans les souterrains. Et ça consommait beaucoup de courant tout ça, pour alimenter tout ça, un réacteur nucléaire le top de la technologie actuelle ! Et pour l'eau des cultures et des vaches ? Une source souterraine de plusieurs millions de litres, et un système de recyclage à haute performance. Bref, l'abri était virtuellement capable de tenir éternellement tant que sa population ne grossit pas au-delà de ses capacités.

Et elle là-dedans ? Pour le moment elle craignait pour son avenir ici, ces points étaient trop juste pour refuser quoi que ce soit. Et elle savait comment avoir des points bonus facilement... Sucer son superviseur, ou accepteur certain de ses demandes vestimentaires... C'est donc nerveux qu'elle enfilât une combinaison moulante noire, un tissu élastique très doux, mais surtout, pas le droit à porter de dessous avec ça... Elle l'enfile et la ferme par devant, puis ravale sa salive et met aussi le collier avec un médaillon à son nom. Elle se rend au bureau du superviseur avec une tenue si moulante qu'on pouvait voir qu'elle pointait, et qu'elle ne portait aucun sous-vêtement.

- Bonjour, Bianca, Maitre Grymm et moi allons juger tes aptitudes, et voir combien de points tu auras au départ.

Ensuite elle lui tend une carte à puce et va s'assoir à genoux cuisses écartées sur le sol. Elle rosit et débute alors les explications :

- Voilà, ici tout marche avec des points, s'ils vont trop bas, tu es éjectée de l'abri, à certains nombres de points, tu as des sanctions qui vont du service public, à l'irradiation légère, ou mortelle.

Puis elle reste en position bien rose à présent, regarde parfois son "maitre" et puis reprend :

- Si tu souhaites remonter tes points, il faut t'arranger avec ton "supérieur, ou maitre" selon là façon dont il souhaite être nommé. Pour moi c'est maitre Grymm, tant que mes points sont inférieurs à cinquante, je suis obligée de le sucer pour remonter mes points, et porter les tenues de son choix jour et nuit.

Il était évident que cette tenue moulante et humiliante n'était pas de son choix, elle reste en place, à bonne hauteur cela dit pour une démonstration de fellation s'il y avait besoin. Elle expliqua les restes des règles générales, obéissance à qui à plus de points qu'elle, obéissance parfaite à son supérieur choisit, monsieur Grymm dans son cas. Elle lui donna quelque piste pour gagner des points :

- Pour les points c'est au choix de ton superviseur, mais, il existe des bonus, par exemple toute personne que tu suces peut te donner trois points, cinq si tu avales. Si tu offres ta chatte, c'est de 6 à 8 points et deux de plus s'ils jouissent dedans. Ton cul vaut seulement 3 points et cinq avec le bonus, mais, si le gars aime bien l'annal il doigte donner entre cinq et sept.

Oui ça faisait beaucoup d'information, et ce n'était qu'une petite partie de l'histoire, il y avait des gros bonus de points pour les vidéos striptease bien fait, les journées volontaires aux piloris, ou encore le fait de s'offrir à l'animal de compagnie d'un membre de l'abri. En fait les choses volontaires rapportent plus de points, mais sont généralement plus dégradantes.

Grymm ne dit rien il se contentait de lire le dossier de la nouvelle arriver tandis que Rebecca donnait les consignes. Visiblement la femme qui lui faisait face n'avait aucune qualification technique. Il regarda la clandestine engoncer dans ses vêtement mouillé on pouvait voir sa nervosité en le voyant car Grymm n'était pas un modèle de beauté.

Grymm était une grosse brute à la face buriné et au nombreuses cicatrices issue de nombreux conflits auquel il a participé. Il était revêtus d'un uniforme et une armure typique des gardes de la sécurité de l'abri et pas du genre à faire dans la dentelle. Son regard était à la fois mauvais et gourmand.

- Vu le manque de qualification tu n'aura le droit qu'une carte à vingt cinq points et un travail basé sur l'entretien hygiénique. Il ne tiens qu'à toi de te rendre utile à la vie communautaire de l'abris. Outre ses directives il y as les suivantes. Pas de drogue, pas de troubles, tu obéis aux ordres sans discuter. Dit Grymm qui calla son dos sur son fauteuil tandis que sa main se posa sur la chevelure de Rébecca qu'il mis à caresser comme si elle était son animal de compagnie.

- Pour commencer tu va te déshabiller. Comme tu es une clandestine la procédure veux une fouille en règle et en profondeur afin que tu n'ai pas fait entrer une arme ou un objet illégal. Tu passera ensuite à la désinfection et on te fournira des vêtement de rechange. Ordonna Grymm qui suivis la procédure bien qu'il y mis une touche de vice dans son travail.

Tu te faisais dicter les règles par la femme qui était présence, dans une tenue qui était très moulante, sans parler du collier qui faisait un peu collier pour chien, autant dire que ce n’était pas vraiment le genre de vêtement à ton goût. Cependant, tu fus bien rapidement plus attentive à ce qu’elle se mettait à dire qu’à sa posture ou encore sa tenue.  Tu appris que la femme se nommait Bianca, que l’homme au niveau du bureau était un dénommé Grymm. Tu n’aurais pas survécu de justesse à cette attaque, tu aurais presque put te permettre de faire une petite blague sur les contes de Grimm, mais bon, tu sentais bien que dans cette pièce cet homme semblait très important et tu ne désirais pas finir dehors et mourir pour une blague. 

L’explication que tu allais être certainement sous la direction d’une personne qui aurait droit de te dicter ta conduite et ta tenue pour éviter les sanctions. Tu ne pouvais t’empêcher d’avoir une petite grimace en entendant que la femme était réduite à l’état d’esclave sexuelle pour avoir els points, mais tu n’en voulais pas à cette Bianca, elle n’avait pas tellement le choix, comme toi tu n’en avais pas réellement. Bianca vint à t’expliquer comment gagner de points et cela te faisais frémir, pas de plaisir loin de là.  Mais, tu le savais très bien, tu n’étais clairement pas en position pour objecter quoi ce soit, même si l’idée de te vendre pour des points n’était clairement pas une perspective très attirante. Ton ancien mari était peut-être un pourri, mais il n’aurait pas permis que tu te donnes pour des points, bien que tu n’étais plus réellement sûr cde ce qu’il aurait put faire.   

Ta tête tournais un peu, sans doute la pression qui redescendait ou tout simplement l’annonce que tu étais tombé dans un lieu qui semblait encore plus terrible que la mort elle-même, non non, tu avais survécu, c’était déjà un exploit en soi, surtout en n’étant pas marquée sur la liste.

Le dénommé Grymm se mit à parler, venant à te donner le nombre de point et un travail, pour toi l’entretient hygiénique n’était que  l’entretient de l’abri en faisant comme au foyer. Ce n’était pas un travail facile, mais cela serait certainement mieux que rien.  Par contre tu eu un frisson de peur en voyant l’homme caresser Bianca, comme si elle n’était qu’un chien, te laissant deviner que tu aurais de gros soucis si tu venais à t’attirer ses foudres. 

Tu répondis par un hochement de la tête quand l’homme se mit donner l’interdiction de la drogue, du trouble et d’obéir, comme le ferais un soldat en somme. Tu n’avais jamais goûté à la drogue et tu ne désirais pas y toucher, tout comme tu comptais rester discrète et éviter au maximum les problèmes, sachant que n’étant pas venue légalement, tu serais certainement plus facile à éjecter dehors. 

S’en suivit une demande qui rougissait tes joues, on t’avait fouillé une première fois, mais uniquement les vêtements.  Tu ne pouvais cependant pas désobéir, cela serait montrer une mauvaise image et tu te doutais que cet homme avait le pouvoir de te retirer des points. 
Tu t’exécutais, mais en lui tournant le dos, il n’y avait pas d’endroit pour se changer  danse bureau. Tu retirais rapidement ta tenue, te retrouvant en maillot de bain, que tu retirais aussi, non sans rougir à l’idée d’être totalement nue face à un autre homme que ton ancien mari. Tu te mis à hésiter, avant de retirer ta bague.

Tu ne savais pas comment l’inspection allait se faire, espérant juste que cela serait rapide. 

Rebecca n'était là que pour servir le superviseur, son seul et unique maitre dans l'abri. Enfin officiellement, car avec ses pauvres vingt poids, elle n'était pas loin des radiations. Bien qu'il était en soi possible de troquer les radiations contre des sévices sexuels... À choisir elle préférait clairement sucer quelques pervers ou répondre à des demandes un peu crades, que de risquer sa santé physique avec des radiations potentiellement mortelles. Mais le mieux était de ne plus perdre de points à présent, et même d'en gagner, c'est pourquoi elle portait cette tenue humiliante, fortement moulante et sans avoir droit aux moindres sous-vêtements, c'était comme être toute nue toute la journée en fait.

Elle avait donc donné les explications à Bianca, le minimum nécessaire pour comprendre le système ici. Un système implacable auquel, même elle, fière jeune femme, avait du se plier. Ce n'avait pas été facile au début, c'est pourquoi elle avait si peu de points aujourd'hui, et pourtant elle avait anticipé le système... C'est moche la vie quand même, enfin aujourd'hui elle préférait ne plus trop penser à sa vie d'avant. Ce n'est pas comme si elle pourrait sortir de son vivant, maintenant, elle et les autres pensionnaires de l'abri, y était pour leur vie, et celle des générations suivantes sur au moins cent ou deux-cents ans.

Elle écouta donc son chef rajouter quelques explications. La pauvre, vingt-cinq points c'était bien peu, à peine de quoi subsister une ou deux semaines et après elle devra sucer des bites ou lécher des minous. Oh, la partie sur les drogues était assez ironique ici, car une partie des points à gagner consiste aussi à subir des expériences incluant des drogues qui exacerbent les désirs... Ou encore des drogues sensées faire grossis les seins ou les fesses, etc. Enfin, c'était toujours mieux que s'accoupler à des animaux pour gagner des points dans le fond. Elle avait entendu parler d'une fille incapable de marcher pendant huit jours après qu'un cheval se soit trompé d'orifice lors de la saillie... Outch !

Rébecca toujours caressée écouta donc la suite, la nouvelle devait se mettre nue, se faire fouiller et sera désinfectée... Une façon simple de dire qu'il allait la tripoter un peu partout, la doigter, la caresser, lui enfoncer une sonde rectale et probablement lui faire un lavement. Oui, ça allait être long, et pas toujours joli à voir ! Pendant ce temps Rebecca observe, silencieuse, soumise et caressée comme une chienne. Heureusement elle n'était pas obligée de faire la belle sur la pointe des pieds ce qui aurait d'autant plus moulé sa petite chatte. Rébecca la regarda donc se dénuder lentement et de dos, elle aimait la vue quand même, cette nouvelle arrivante n'était pas moche pour un sou.

En prévision de la suite Rebecca se redressa, s'excusa et s'absenta deux ou trois minutes pour allez dans une salle, puis revenir avec un spéculum propre, de la vaseline, une grosse seringue à lavement et du sérum physiologique. Mais également un pot de chambre et déposa tout cela sur le bureau de son maitre.

- Voilà le nécessaire pour votre inspection maitre.

Dit-elle simplement avant de revenir à ses pieds se remettant à genoux ? Elle allait sans doute simplement observer la suite, la nouvelle l'ignorait surement, mais tous les pièces et couloirs étaient filmés, même les vestiaires et douches !

Après qu'elle se soit déshabiller et pendant que Rebecca allas chercher le matériel Grymm ordonna à Bianca de se tourner, de se pencher en prenant appuis au mur.

La fille n'était pas mal un beau cul bien rond, pas de cicatrice et des seins assez gros mais naturel. Après avoir palper ses vêtement et fait l'inventaire de ses objets Grymm s'occupa du corps en prenant une petite lampe torche.

Bianca sentis des mains graisseuse la palper et la caresser. Grymm sentait à la fois la sueur rance le tabac et l'alcool bon marché. Après avoir bien palper le haut de son corps, s'occupa du bas. Il fut un peu déçut de constaté que Bianca n'était plus vierge quand il entra ses doigts dans son vagin mais visiblement sa chatte encore souple et étroite avait disons le très peu servis de même que son cul. bien étroit sous tout rapport. Elle était une candidate idéale pour certaines expérimentations vu son inutilité technique contrairement à Rebecca dont les connaissances technologique et électrique était encore vitale bien que le personnel de l'abri avait encore assez de personnel les grosse tête avait penser à d'autres genre de punition que les irradiation modéré au personnel vital seul l'exclusion était envisagé en cas de rébellion ou d'actes grave.

- Voilà le nécessaire pour votre inspection maitre. Dit Rebecca en amenant le materiel elle s'appretait à s'assoir mais Grymm l'arrêta.

- Tu va t'en charger vu que tu connait la procédure. Ce sera un bon moyen pour toi de grappiller quelques points en plus t'as les mains plus fine que les mienne. Fouille la bien et purge là bien en profondeur ! Ordonna t'il en s'asseyant derrière son bureau alors qu'une bosse se fit dans son pantalon. Maintenant qu'il avait deux fille à disposition rien de plus bandant de voir deux filles se toucher comme des gouines pour se mettre en condition. Natturellement elle n'étaient surement pas lesbienne mais Rebecca était prête à tout pour améliorer sa condition de vie quitte à faire des choses dégradante même sur une autre esclave et cette Bianca qui semblait vouloir obéir poour survivre.

Alors que Rebecca s'occupait de fouiller en profondeur Bianca et la désinfectait Grymm avait sortis son gros engin de son pentalon et se masturbait en regardant le spectacle.

Quand l'homme se mit à te demander de se mettre contre le mur et prendre une position des plus inconfortable, tu ne vins pas à opposer de résistance, cela était futile, en jetant rapidement un coup d'oeil, tu constatais que l'autre femme n'était plus présente, te laissant donc seule avec cet homme, qui fouillait tes affaires avec  un certain professionnalisme, il regardait la moindre poche, je n'avais aucun élément sur moi qui pourrait servir d'arme, c'est tout juste si j'avais de quoi permettre de vérifier mon identité, après tout j'étais partie à la base pour me baigner, pas pour faire des courses ou autre chose nécessitant plus de matériel. 

Tu vis l'homme s'approcher et poser ses mains sur ton corps, tu t'obstinais à regarder le mur en fermant les yeux et éviter d’avoir des gestes, tu ne pouvais rien faire à part subir en silence, le moindre haussement de ton ou protestation pourrait te coûter des points. Tu te mis à te mordre légèrement la lèvre inférieur quand l'inspection était plus intrusive. Tu pouvais sentir les muscles de tes bras commencer à te faire mal, sous la tension que tu exerçais, sans parler de tes doigts qui se crispaient de temps à autres. Tu commençais à te demander si cela avait été une si bonne idée de survivre. Mais très vite tu te disais que ta survie n'était pas assurée, qu'il allait falloir chaque jours faire de son mieux pour ne pas passer sous le palier des points indiqués, ce qui promettait d'être une nouvelle vie assez difficile.

S'en suivit la voix de la femme avec des objets dont tu n'avais connaissance de leurs utilité, autant dire que cela ne présageait rien de bon pour toi. Par contre tu entendis l'homme dire que ce n'était pas lui qui allait s'en charger. D'un côté du te disais que cela était pour le mieux, de l'autre, tu ne savais pas encore ce qui allait t'arriver, continuant de prier que cette entrevue se termine rapidement. 

Grymm avait fait l'inventaire, et la petite soumise elle regardait cela se faire tranquillement. Elle avait donné le matériel à son chef, de quoi faire tout le nécessaire, puis entendant qu'elle doit le faire seule, elle hoche la tête, ce n'était pas le moment de se plaindre surtout. Même si franchement sa tenue bleue ultramoulante n'était pas des plus pratique, sans compter sa finesse qui la faisait lui coller à la peau. Mais bon, avec ça elle gagnait des points, et si elle en regagne assez, elle sera à nouveau libre et pourra travailler normalement pour avoir d'autres points. Pour elle c'était facile dans un sens, une fois son travail reprit, elle aura des points faciles en réparant des trucs à droite et à gauche, mais pour la petite nouvelle... Sans capacité particulière ni savoir à offrir... La pauvre...

- Oui je connais la procédure, monsieur, je m'y mets tout de suite.

Et ça n'avait rien de glorieux, elle s'avança et alla remplir le bassin d'eau tiède, puis alla remplir la seringue dans ce liquide et lentement fit se pencher en avant la jeune victime. Elle enfonça l'embout et poussa alors doucement le liquide en elle, le tout avec une lenteur horrible, mais nécessaire pour une première fois. Elle fait donc rentrer une seringue, puis cela fini elle apporte le pot de chambre et la prit de laisser évacuer tout ce liquide. Bien sûr ce qui sortit n'était plus juste du liquide bien transparent, mais bon, c'était le risque avec ce genre de choses.

- Bon, maintenant va falloir te détendre et expirer quand je te le demande.

Elle alla mettre un gant, puis l'enduit de vaseline et lentement met un doigt, un second, et n'ayant surement pas toute la journée, elle continue par trois doigts allants et venants. Elle ne savait trop quoi faire pour le confort de la jeune femme... En plus elle devait faire en sorte de ne pas obstruer la vue de son maitre qui se branlait surement bien à son aise. Enfin elle continua tentant maintenant de passer toute sa main les doigts formant alors un cône. Elle l'enfonce et finit heureusement par passer, non sans douleur sans doute, mais c'est pour ça que la vaseline aidait ! Une fois, dedans elle pousse encore un peu, gigote et semble bien raclé l'intérieur comme si elle cherchait un truc.

- Non, monsieur, c'est nickel, je ne sens aucune arme ou aucune pochette de drogue.

Grymm eu énormément de plaisir à voir son esclave doigter l'autre fille. Sa queue était bien raide et ne rêvait pas mieux de jouir dans un sexe chaud. Quand Rebecca eu terminé l'inspection sur l'autre fille et se tourna vers son maitre celui ci se leva. Il avait son affreux sexe à l'air immense au gland turgescent consteller d'excroissance et aux bourses lourdes.

- Très bien il est temps de lui montrer les base d'une travail qu'elle doit faire. Tu en aura donc la responsabilité Rebecca. Histoire de lui montrer ce qu'elle doit faire et grappiller quelques points montre lui la gâterie que tu fait habituellement. Dit Grymm en agitant sa queue de manière obscène.

Même à distance cette horreur exposait puais un mélange de pisse, de foutre et de sueur rance. Pire que tout cette queue était velue aux poils gras. C'était immonde à la voir. Sans douceur il mis Rebecca à genou qui se retrouva face à ce membre immonde et ce colla à l'autre fille.

- Allez montre lui ce que tu sait faire le mieux. Dit il en exalant une odeur d'alcool bon marché.

Tu en vis pas ce que la femme préparait dans ton dos. Tu ne voulais en faite pas savoir, tu ne voulais rien d'autre que cette inspection se passe rapidement et aller récurer l'endroit. Tu préférais de loin passer la serpillière dans le couloir que de rester encore davantage de temps ici. Tu ne pus retenir un sursaut en sentant un embout se faire enfoncer en toi, tu ne pus retenir aussi un regard en arrière et voir l'immense seringue et le liquide dedans, venant à voir une sueur froide, alors qu'elle appuyait pour t'injecter cela.

La sensation était humiliante, venant rapidement à regarder le mur et fermer les yeux, ton corps tremblant en sentant le liquide tiède venir à rendre de plus en plus de place en toi. Quand la seringue semblait avoir été vidée, tu ne pouvais retenir une contraction. Venant à lutter pour éviter d'avoir à me relâcher, la femme se reprit à plusieurs fois pour que tu ne finisses pas céder, plus par manque de force pour retenir plus longtemps le liquide, venant à avoir quelques larmes devant cette expérience humiliante, le tout à la vue de cette homme.  Mais ce n'était pas finis, la femme se mit à entrer ses doigts en toi, retenant des gémissements, essayant d'éviter qu'elle n'entre trop en toi.

Quand la main se mit à entrer en toi, tu ne pus retenir un cri, sentant ton corps se resserrer sur le poignet de cette femme pour bloquer l'avancée. Tu expirais l'air de tes poumons quand le bras avançait en toi tes jambes tremblant tellement que tu te demandais comment tu faisais pour ne pas t'effondrer. Tu ne souhaitais que ça de t'effondrer, mais le regard obscène de cet homme t’inspirait la peur. Tu le craignais, tout comme ton regard avait tout de même de la haine à son égard, un visage larmoyant, peureux et colérique. Tu ne pouvais rien dire à son égard, tout comme tu  retenais une expression de dégoût en voyant son membre. Tu n'avais certainement pas eu un mari exemplaire, mais à tes yeux il valait davantage que cet homme immonde.

Aucune arme, aucune drogue, tout semblait pour le moins en ordre ! Rebecca attend donc les demandes de son maitre, elle avait vraiment besoin de points ! Elle regarde la grosse bite de son maitre s'agiter dans les airs, hoche la tête doucement et reste bien à genoux pour faire un grand "ah" et l'enfourner au fond de sa gorge. C'était un gros pénis, avec un gros gland et il n'était pas bien joli à voir, mais pour sur, il saurait satisfaire les dames ! Bref, elle fit son travail jouant avec cette énorme bite dont la propreté l’assoyait des doutes sur l'hygiène de son propriétaire. Mais bon, il faut bien gagner ses points si elle veut éviter de vivre ça un autre jour ! Elle se mit donc à reculer, puis allez et venir sur ce gros engin bien dégoutant grimaçant parfois, mais après une dizaine d'allez et venue c'était redevenu normal. Elle pouvait donc le sucer tranquillement comme si ce n'était qu'une bite bien normale et ravissante.

Quand Rebecca l'eu bien chauffé Grymm vis que son sexe était beaucoup plus gros. Il était sur le point de jouir dans la bouche de son esclave mais il eu une autre idée.

- Errr ! Ca suffis ! Dit il en se retirant et s'approchant de l'autre fille. Il lui attrapa ensuite l'épaule et la força à se baisser pour se retrouver face à l'immonde objet couvert de bave et sentant fort. Le sexe se pressa contre son visage.

- A ton tour maintenant ! Maintenant que t'as vu tu sait ce que tu doit faire ! Dit Grymm dont le sexe se pressa plus fort contre la joue de l'autre fille.

Sentant la fille rétive Grymm commença à s'énerver. Il s'énervait vite quand il était contrarié.

- Putain ! Tu va me sucer oui salope ! Dit il plus haut en saisissant la chevelure de la fille et la tira brutalement.

La fille poussa un cri vite étouffé quand la queue de de Grymm pénétra sa bouche et allas jusqu'à sa gorge. Grymm enfonça son membre jusqu'à la garde et fit des va et viens brutaux en grognant comme un porc sans considérations pour sa victime qui était en train d'étouffer. Il mis pas longtemps à jouir comme un possédé et déverser un immonde liquide dans la gorge de la fille.

Tu poussas un soupire de soulagement quand la main qui t'inspectais se mit à sortir, ton corps continuait de trembler devant cette inspection, tu avais un léger haut le coeur, mais cela passa très vite, le choc sans doute d'avoir subit ce genre d'expérience. Cela n'était visiblement pas dans ta mentalité d'accepter facilement de te faire fouiller ainsi. Se n'est qu'en jetant un regarde derrière toi, que tu pouvais voir cette femme venir sucer ce membre qui était absurdement gros. Tu n'en avais pas vu d'aussi gros et la situation ne te mettais clairement pas en état de pouvoir apprécier la vision d'une tige si épaisse, la personne détenant de mandrin étant clairement plus du genre à faire peur que prendre soin des partenaire.

Il se mit à proférer des mots dure, avant de saisir une épaule, il se mit à serrer, encore et encore, jusqu'à ce que la douleur t’oblige à poser un genoux à terre, venant à être devant le sexe découlant de salive et semblant pulser d'une envie mauvaise. Bien évidement, ton premier geste fut de resserrer ta mâchoire et tes lèvres, pour éviter que cela n'entre, il vint à riper une fois, puis deux. Il n'y eut pas de troisième tentative, venant à sentir ta chevelure saisit et tirée,  la force utilisée vint à te faire gémir et crier, vidant un peu tes poumons, il attendait que tu ais la bouche ouverte pour venir enfonurner son membre, venant à ne pas faite attention si tu t'étouffais et s'est justement ce qui se passais. Tu avais des haut le coeur, mais ta gorge ne savait pas quoi choisir entre essayer de rejeter le membre et l'avaler; Tu te mit à essayer de frapper les cuisses de cet homme, pour te sortir de cette situation, mais tout ce que tu obtins s'est le fait de le sentir se soulager dans ta gorge, venant à avoir des larmes,  essayant de ne pas avaler ce qui sortait, quitte à ce que cela remonte, mais ton maque d'oxygène rendait ton corps rebelle, essayant de se sortir de cet apnée qu'il considérait comme dangereux. Tu sentais ton visage chauffer, tu devais être rouge comme une écrevisse.