Petite promenade nocturne[PV Don]

Audrey qui venait d'être transférée dans un nouveau lycée, décida, vers 19h00, d'aller faire une petite promenade dans le parc de la ville.
Elle quitta sa chambre au lycée puis, tranquillement, elle se dirigea vers le parc. En marchant, notre jeune lycéenne regarda les alentours, car, même si elle habitait dans cette ville depuis 16 ans, elle la trouvait toujours aussi magnifique. Même si la nature n'était pas vraiment présente, quand il en avait, elle était toujours magnifique. Ce soir- là, Audrey avait envie d'un peu de nature et, elle se dit alors :

*Pourquoi pas le parc ?*

Donc, elle fit ce que j'ai dit plus hauts.
En arrivent là-bas, elle commença à faire une petite promenade qui dura Presque 1 heure. Il était main tenant 20h00. Notre jeune lycéenne, qui n'avait pas pris le temps de changer de vêtements, portait toujours son uniforme habituel. Elle traînait comme toujours, son Ipod et était en train d'écouter ''My Heroine'' de ''Silverstein'', un groupe quelle venait de découvrir.
Audrey décida d'aller un peu se promené dans le bois, où est-ce qu'il y avait personne.
Là-bas, elle s'assis sur une roche et regarda la nature. Puis, elle sortit une feuille et un crayon puis, commença à dessiner la nature. Après quelques minutes, un bruit de pas se fit entendre mais, vue qu'Audrey écoutait de la musique, elle ne put entendre les pas et continuaient toujours à dessiner.

[Privée Don]

La forêt, l'endroit préféré de Don. Préféré parce qu'il était plein d'aventure et lui rappellait l'univers de la chasse, la traque sans fin qui permettait au final que le chasseur soit content d'obtenir son gibier. Il était le chasseur, et il n'était pas forcement a la recherche d'une proie. La plupart des portails de Terra a Seikusu se trouvaient dans les bois, aussi n'était t'il pas rare qu'il apparaisse ici, cache ses vetements et en prenne des nouveaux pour que ceux ci soient adaptés a l'endroit où il voulait aller dans la ville...Peut être qu'aujourd'hui ça serait la boite?Il avait encore son costume et sa fausse licence de videur qu'il pouvait arborer en cas de problème. Mais évidement, on ne trouvait pas toujours de la véritable qualitée dans ces boites...Surtout des thons a vrai dire.

Don commença a enlever la cape qu'il avait autour du cou quand il entendit des bruits confus a l'autre bout du bois...Il y avait t'il un invité innoportun qui se trouvait par ici?Il tendit l'oreille doucement et se dirigea vers la source du son, avec discretion et lenteur...Il vit une fille assise sur un rocher en train de dessiner tout en écoutant de la musique...

En un seul geste il aurait pu s'approcher d'elle, l'étouffer et l'entrainer avec lui là où il le voulait...Mais ce n'était pas du sport, où était le défi?Ou était la traque?Et puis il ne voyait cette fille que de dos, vallait t'elle vraiment la peine a ce qu'il s'abaisse a lui faire l'honneur?

Peut être qu'il allait être temps de tester une couverture suplémentaire. Revenant près du portail, il enfila des vetements différents et finalement revint vers Audrey, avec un pas plutôt lourd, et comme elle ne l'entendais pas il posa la main sur son épaule.

"Helà ma p'tite, qu'est ce que tu fais là?"

Derrière Audrey se tenait un homme immense qui devait bien faire deux mètres de haut pour cent cinquante de muscles, il était bien proportionné et agréable. Il portait une salopette de travail et une chemise ainsi qu'une hache sur son épaule. Inutile de lui demander qui il était, il avait le physique pour ce metier, visiblement rien de plus qu'un bucheron...

"C'est dangereux pour une jeune fille de trainer dans le coin aussi tard tu sais?"

Fit il avec serieux, bluffant comme ça n'était pas permis, mais toujours avec ce sourire agréable qui montrait qu'il était quelqu'un de bon

"Il pourrait t'arriver beaucoup de choses ici, et personne ne t'entendrais crier tu sais!"

*J'y compte bien de toute façon...*

Pensa t'il en continuant a sourire amicalement alors qu'il riait sous barbe

Audrey qui continuait toujours de dessiner tout en écoutant de la musique, sursauta quand une main se déposa sur son épaule.
Elle éteignit son Ipod puis, entendu ce que le « bûcheron » avait à lui dire. L'homme était immense ! On aurait presque dit un géant ! Mais enfin, quand il eût fini de parler, elle rangea son crayon puis, pris sa feuille dans sa main et se leva. Après quelques secondes de silence elle dit :

« Je ne savais pas...désolé... »

Après avoir dit cela, un gros coup de vent fit tomber le dessin d'Audrey sur le sol.
Elle, qui voulait l'avoir, se pencha pour le prendre. Mais, sa jupe qui était courte, laisse apparaître sa petite culotte. L'homme pouvait l'apercevoir et, si c'était un pervers, il en aurait profité.
Après au moins une minute, elle se releva, rangea son dessin puis dit au bûcheron :

« Je me nomme Audrey...et vous ? »

Audrey se forçait de sourire.

Don en profita pour evaluer un peu le prix qu'il tirerais d'une fille pareille, et il était sur que sa mise en vente partirait a un bon prix, elle était jeune, mignone, et de toute évidence surement encore innocente, car son innocence transparaissait même maintenant quand elle lui répondit qu'elle ne savait pas qu'elle pouvait se faire agresser. Don resta figé sur son sourire amical et lui répondit simplement avec conviction.

"Vous ne saviez pas?Pauvre enfant, heureusement que je passait dans le coin..."

Lança t'il, certes il était heureux, mais pas pour les raisons qu'il laissait présager. Elle fit tomber son carnet de croquis et Don se rinça l'oeil, néanmoins sans se baisser ou le montrer d'une quelconque manière, il aurait tout le temps pour ça. Il observa plutôt le dessin. Vu le temps qu'elle mit a ramasser ce croquis...Au moins une bonne minute, il se dit que non, c'était du gachis. Car si ce n'était pas lui maintenant, ce serait un benet qui la prendrais plus tard, mais chaque chose en son temps.

"Bien le bonsoir petite Audrey, je m'appelle Donald, Donald Trump."

Fit il, s'inventant un énième pseudonyme. La peau de Don était bien ambrée et il n'avait pas l'air d'être japonais, il devait donc porter des noms qui correspondaient a ça. Quand a Audrey elle portait l'uniforme typique, un vetement qui plaisait bien a Don car il était vendeur

"Quoi qu'il en soit je suis surpris que vous ne soyez pas au courant, vos parents ne vous ont donc pas mis en garde sur ce qui arrive aux jeunes filles seules le soir?"

Audrey qui fixait les yeux du dénommés ''Donald'' entendu ce qu'il avait à lui dire.
Mais, quand il prononça le mot ''parent'', notre jeune lycéenne ne pût se retenir de baisser les yeux en signent de tristesse. Sa mère qui était morte à la naissance de sa fille tendit que son père, qui agressait sa fille et qui est mort en ayant un couteau planté dans le coeur. Ses parents étaient tous morts et le seul qu'elle aie vraiment connue, c'était seulement occupé d'elle quelques années pour commencer à l'abuser alors, pourquoi lui aurait-il dit cela ? Mais enfin, il fallait que la jeune lycéenne répondent à la question de Donald donc, elle répondit :

« Ma mère est morte à ma naissance tendit que mon père lui, abusait de moi et, il est mort... »

Audrey avait envie de pleurer mais, elle se retenait.
Donald pouvait sûrement voir sa tristesse mais, Audrey, ne le savait pas. Elle croyait que le bûcheron ne remarquerait pas sa tristesse mais c'était complètement faux. Mais, le pire était à venir. Audrey ne savait pas les intentions de l'homme devant elle.

« Mais enfin...il ne faut plu penser à cela maintenant... »

Don eut un rictus qu'il effaça de son visage. Plus de parents hein?Personne pour te pleurer, tu fera une bonne marchandise, tu ne risque pas de regretter ce qui va t'arriver de toute façon, ton père a abusé de toi?Bien, comme ça tu es habituée alors, mais peut être que j'aurais quand même droit a ma crise de larmes non?Ah, il resta un peu réveur. Il comprenait un peu les pères de telles beautées de vouloir coucher avec leur filles, lui même si il en avait (et après tout c'était bien possible vu le nombre de personne a qui il avait fait l'amour) ne se génerais pas le cas échéant, il aurait même préféré que ça soit lui plutôt qu'un autre. Don n'avait aucune notion de moral, ce type était surement la pire ordure sur laquelle Audrey eut pu tomber, en ce soir si triste, dommage pour elle. Il posa une main sur son épaule

"Oh, je suis navré, je ne voulais pas rappeller des souv'nirs douloureux."

Fit il tandis qu'il sortait un mouchoir de sa poche pour le tendre a Audrey d'un air tout paternel. Pourquoi se donnait t'il cette peine?Quel était l'interêt de brutaliser une cible déjà déprimé?Comment pourrait t'il lire la tristesse dans des yeux déjà triste?Autant gagner la confiance de la jeune fille

"Allez, faites moi un joli sourire d'accord?Vous êtes jeunes, vous avez la vie devant vous..."

*La vie que je te proposerais en tout cas...*

"Faut pas déprimer comme ça!Allez, venez, je vous emmene vous reposer quelque part où vous vous sentirez mieux, vous voulez?"

Lança Don en lui faisant signe de le suivre

Audrey qui avait commencé à pleurer, sentit la main de Donald se déposer sur son épaule puis, il lui tendit un mouchoir qu'elle pris pour essuyer ses larmes.
Puis, après quelques secondes, quand le bûcheron lui demanda de sourire, elle sourit puis, recommença à fixer son futur agresseur. Après quelques secondes de silence, Donald proposa à notre jeune lycéenne d'aller dans un endroit où elle se sentirait mieux et, elle ne pût se retenir de dire un petit :

« Oui... »

Elle était naïve, elle avait embarqué dans son piège et elle ne le remarquait même pas.
Audrey regarda le bûcheron droit dans les yeux tout en souriant. L'agresseur avait gagné la confiance de sa proie, il ne restait plu qu'à l'abattre. Mais, le thermes ''abattre'' servait pour ce cas, de l'agresser.

« ...je veux bien.. »

Audrey avait continué sa phrase, comme d'habitude, longtemps plus tard.
Mais, elle savait que Donald avait compris ce qu'elle voulait dire enfin, elle l'espérait.

Ce je veux bien sonna un peu comme un aveux a ses oreilles, aussi, il lui fit signe de le suivre avec liesse. Il ne savait pas vraiment pourquoi il lui avait dit ça, a vrai dire, il voulait gagner la confiance de la personne, et puis aussi du temps pour la connaître, s'attaquer a une personne sans la connaître, c'était comme s'attaquer a un sac de sable, aucun interêt...L'agresseur s'étira un peu et poussa un long soupir de satisfaction, il y avait un peu de route avant qu'il n'arrive jusqu'a l'endroit prévu, alors autant faire la conversation a Audrey, si ça se trouve elle était une garce, comme il le suspectait, et peut être n'aurait t'il même pas besoin de la forcer...Celà l'écoeurait rien que d'y penser, réussir a l'avoir consentante?C'eut été une honte...Néanmoins ça valait toujours le coup d'essayer

"Ca m'fais chaud au coeur que vous vouliez bien me suivre."

Fit il tandis qu'il avançait il lança sur un ton un peu plus inquiet

"Mais vous savez, faut pas faire confiance aux inconnus, et surtout ne jamais en suivre quand vous en croisez, ça peut être dangereux, vous comprennez en quoi hein?"

Il jouait depuis lors sur l'ironie, la mettant en garde contre ce qui allait lui arriver et lui demandant lui même si elle comprenait en quoi. Il voulait savoir si elle avait une quelconque connaissance de tout ce qui pourrait lui arriver dans cette forêt, ou bien peut être était t'elle totalement innocente, comme ces filles ayant vécu dans un couvent

Audrey qui continuait de suivre Donald, était contente d'avoir ''chauffer'' le coeur du bûcheron.
Elle continuait toujours de le suivre jusqu'à temps qu'ils disent qu'il ne fallait pas suivre les inconnus. Alors, elle s'arrêta puis dit tout doucement :

« Oui je le sais mais...je vous fais confiance...vous avez de l'air d'un homme bien... »

Après avoir dit cela, elle recommença à fixer le bûcheron droit dans les yeux.
Elle trouvait Donald très charmant et gentil. Notre jeune lycéenne ne savait pas pourquoi mais, elle s'était vite lié d'amitié avec ce gentil bûcheron. Et, pourquoi voudrait-il lui faire du mal ? Mais enfin, Audrey était naïve et ne savait pas que Donald était un agresseur pervers qui allait lui sauter très bientôt.

Heureusement que Don lui tournait le dos a ce moment là, car son rictus de mépris sur son visage l'eut surement trahi. Il essayait de se retenir d'éclater de rire...Lui quelqu'un de bien?Il était a l'extrème opposé de tout ce qu'on pouvait appeller le bien, a moins que violer de jeunes demoiselles et les réduire en esclavage était considéré comme la vraie voie que tout homme doit arpenter, a ce moment là oui, Don était un saint parmis les saints.

"Oh vous savez, ne vous fiez pas a l'apparence, ce n'est pas parce que quelqu'un est gentil..."

Il laissa sa phrase en suspens et regarda Audrey en souriant, sous l'ironie il avait envie d'exploser de rire, mais ne le fit pas

"...Qu'il est digne de confiance. Mais excusez moi je digresse. Vous me disiez que votre père vous abusait."

Don eut un sourire bienveillant de personne qui veut juste parler

"Désolé de vous ramener ça en mémoire, mais peut être vous sentiriez mieux si vous en parliez un peu, ça libère vous savez...Que vous as t'il fait?Il n'est tout de même pas allé jusqu'a..."

Laisser les phrases en suspens était le meilleur moyen d'avoir ce qu'il voulait

Audrey qui continuait toujours de fixer Donald droit dans les yeux, remarqua que le bûcheron n'arrêta pas de dire des choses pour que notre jeune lycéenne ne se fit pas à lui.
Mais, elle ne pris pas cela en compte et continua d'écouter ce que Donald lui disait. Après quelques secondes, il recommença à parler du père d'Audrey. Alors, Audrey rebaissa la tête, en signe de tristesse puis, elle dit.

« Oui...il est allé jusqu'à...enfin...vous comprenez... »

Son père était la personne qu'elle avait le moins aimer de toutes son existence.
Lui qui, au début, prenait grand soin de sa jeune fille et qui après, commença à l'agresser sexuellement et même quelquefois, à la battre ! Cet homme était un être infâme qui avait mérité de mourir et qui va pourrir en enfer pour le reste de son existence ! Mais enfin, ceci était ce qu'Audrey pensait. Elle ne pensait pas que Donald lui, aurait fait la même chose sur sa fille et, vu qu'il en avait pas, le faisait sur d'autre femme. Audrey ne savait pas que le bûcheron allait largesse d'une minute à l'autre.

«...mais enfin, il est mort.. »

Dit-elle d'une petite voix.

Il posa une main paternelle sur l'épaule d'Audrey et lui sourit comme on sourit aux personnes ayant eu des passages difficiles dans sa vie :avec condescendance et démagogie. Il allait prendre un grand plaisir a lui faire ce qui allait lui arriver dans plus trop longtemps, car il sentait qu'elle n'allait plus tenir trop longtemps, et lui non plus d'ailleurs. Ils finirent par arriver un peu plus loin dans la forêt, là il y avait une souche d'arbre assez grande ainsi qu'une petite camionette garée là, le materiel de bucheron, au cas ou il devrait étoffer sa couverture. Bien, il allait commencer par ça.

"Oui, mais ne t'inquiète pas a présent il ne pourra plus te faire de mal, je vais m'occuper de toi."

Lança t'il avec un large sourire, ca va être a moi de te faire du mal, il lui désigna la souche

"Attend moi là quelques secondes je reviens."

Il partit dans la camionette chercher quelque chose puis revint voir Audrey et s'assit a coté d'elle en souriant

"En tout cas je suis content que tu voie en moi quelqu'un de si gentil."

Fit il en posant sa main sur la cuisse de la lycéene, la caressant avant de lui lancer un regard lubrique

"Tu m'a beaucoup facilité la tache Audrey..."

Audrey, qui se sentait bien avec Donald, s'assit sur la souche de l'arbre comme lui avait proposé le bûcheron et l'attendit.
Après quelques secondes, Donald revenu puis, déposa sa main sur la cuisse de notre jeune lycéenne. Mais, qu'est-ce qu'il faisait ? Et pourquoi avait-il dit "Tu m'as beaucoup facilité la tâche Audrey..." ? Audrey s'imagina le plus pire et, elle devina ce qu'il allait lui faire. C'est un agresseur pervers qui avait joué avec la naïveté de notre jeune lycéenne pour la tendre dans son piège. Pourquoi fallait-elle toujours quelle tombe dans des pièges pervers ?

« ...Vous êtes un...agresseur ..? »

Pourquoi posait-elle la question ?
Elle savait pourtant la réponse. Pendant qu'elle attendait la réponse, elle commença à se débattre pour et à essayer d'enlever la main du pervers de sa cuisse, car, elle savait ce qu'il allait faire et, elle ne le voulait pas ! Audrey ne voulait pas revivre ce que son père lui avait fait pendant des si longues années !

« ...Arrêtez...je ne vous est rien fait ! »

Don éclata de rire a nouveau quand il lui demanda si il était un agresseur. Non, il était le père noel...Serieusement, sa naivetée était un crime. Il gloussa un peu avant de pencher un regard inquiétant dans les yeux d'Audrey

"On me l'a jamais faite celle là, mais plutôt que de demander ma petite tu devrais constater."

Don croisa les bras et sa main se ressera sur la cuisse d'Audrey, son bras droit passant autour de sa hanche et l'amenant contre lui avec force mais un peu de douceur néanmoins, il lui lança avec sarcasme et triomphe

"Tu es tellement naïve, considère toi chanceuse que ça soit moi aujourd'hui et pas une bande de jeune demain...Quoi qu'il se peut que ça soit possible et que les deux se produisent..."

Il lui lécha la joue avec sa langue rapeuse et sa main remonta jusqu'a la culotte d'Audrey, Don commença a masser doucement son agresseur

"Tu ne m'a rien fait?Si, tu m'a provoqué avec ce joli minois et ce costume...Tu en payera les conséquences, et même dans le cas ou tu ne m'a effectivement rien fait..."

Il eut un rictus

"Moi je vais te faire quelque chose."

Audrey n'écoutait pas Donald, elle voilait plutôt s'enfuir.
Le bûcheron l'avait pris dans ses bras puis, avait commencer à masser l'intimité de notre jeune lycéenne. Elle n'aimait vraiment pas cela et faisait tout pour se débattre mais, Donald était trop fort pour elle. Alors, en gémissant un peu elle dit :

« La...Lâchez m...moi... »

Audrey qui continuait de gémir, ne put se retenir de pleurer.
Pourquoi fallait-il toujours que ça arrive à elle et non une autre personne ? Elle était peut-être naïve mais, pourquoi fallait-elle quelle tombe toujours sur les pervers ? Après quelques secondes où elle continuait de gémir, elle ne pût s'empêcher de crier :

« À L'AIDE !!! »

Même si elle savait que personne n'allait l'entendre, elle tentait le coup.