Il ne voyait qu'elle. Une fois encore. Il avait la sensation qu'elle aurait pu faire de lui ce qu'elle voulait. Et c'était d'ailleurs un peu le cas. Il avait baissé sa garde rapidement en sa compagnie ;un peu trop même mais il n'avait plus l'intelligence et la retenue necessaire que pour se raisonner. Comment aurait il pu face à pareil spectacle ?
Elle avait léché son doigt mais pas seulement. Elle avait guidé sa main sur sa poitrine, l'encourgeant à poursuivre ses caresses. Glissant sous la chemise, il avait la sensation de n'avoir jamais rien touché de si bon. Ces seins étaient volumineux, lourds, parfaits tout simplement. D'ailleurs, il passa d'un à l'autre avec le même bonheur, sa main gagnant en assurance dans sa façon d 'exécuter les gestes.Il n'hésitait pas vraiment et se mit même à malaxer avec plus de dextérité les seins, venant titiller les tetons durcis par ses caresses. Continuant de la fixer, il essayait de deviner ses pensées, l'effet qu'il pouvait lui faire.
« Mais elle n'est pas toi . »
Funika était bien loin de ses pensées. Et s'il sourit, c'était parce qu'elle avait parlé de peinture et pas de photo. Défintivement, elle n'était pas d'ici mais il n'en avait rien à faire. Surtout qu'elle avait commencé à jauger son équipement puis qu'elle avait posé une main sur son entrejambe, par dessus la robe de cérémonie et son caleçon, ce qui le fit légèrement soupirer et se raidir un peu plus.. Inutile de préciser que le jeune homme de 16 ans bandait dur. C'était même un doux euphémisme de dire cela. Bon, pour la plupart des garçons, surtout à cet âge, le petit jeu consistait à croire qu'on était monté bien au dela de la norme . Qu'en quelque sorte on était un dieu du sexe superbement membré. Pour autant Eiji n'avait effectivement pas à rougir de son équipement. Il y avait mieux mais il y avait pire et sa verge , longue, fine, imberbe et non décalottée saurait satisfaire la jolie démone. D'autant qu'Eiji n'attendait que cela et qu'il se sentait comme habité d'un désir ardent incontrolable.
« Mes parents risquent de rentrer tres tards, on est seul et tranquille dans ma chambre pour un moment....... »
C'est qu'il prenait véritablement de l'assurance ma parole. Mais bon il suffisait de regarder ses yeux pour comprendre qu'il se consumait de désir pour elle. Comment pourrait il en etre autrement ? Approchant légèrement son visage de celui de Karla, il semblait chercher sa bouche alors que les mains sur la lourde poitrine continuait d'explorer de nouveaux plaisirs.
Marquant une hésitation, il finit par venir glisser sa langue entre les lèvres de Karla pour venir chercher sa jumelle et entamer une danse sensuelle et langoureuse melant les deux bouches et les deux salives. Prolongeant autant que possible les échanges buccaux, il finit par murmurer dans le creux de l'oreille de la succube
« Il y a une tenue que j'aimerais que tu essaies si tu le veux bien. C'est à Funika mais je pense qu'elle t'irait à merveille »
L'oeil lubrique, le souffle court et chaud Eiji était décidemment et visiblement un sacré petit pervers ....