Qu’allait-il faire de cette femme ? Oh, pour ça, il trouverait bien quelques idées ! Amara était une créature fascinante, qui dansait sur ses cuisses. Après avoir léché ses jambes, et son sexe, elle avait obéi. Libre, indépendante, mais toujours une simple humaine. Était-ce le charme magnétique du vampire qui jouait sur elle ? Alexandre savait que certains de ses ancêtres, très puissants, pouvaient user de leur magie vampirique pour influer sur les battements sanguins des humains, et parvenir ainsi à les hypnotiser. Les vampires pouvaient se montrer vraiment très puissants, et Alexandre s’était souvent demandé si, outre son charisme naturel et sa fortune, le succès qu’il rencontrait auprès de certaines femmes ne venait pas aussi, inconsciemment, de sa magie vampirique. Peut-être s’en servait-il sans même le réaliser ? Quoi qu’il en soit, Terria se trouvait sur lui, dansant sur son sexe, qui disparaissait dans les profondeurs de son corps.
D’une main, il tenait ses cheveux, les caressait, les griffant même, et, de l’autre, caressait le bas de son dos, s’appuyant sans vergogne sur ses fesses. Il les pinçait sans ménagement, frissonnant au contact de ce corps, aux soupirs de Terria, à sa peau tendre et chaude qui se pressait contre la sienne.
« Oui, hmmm... Un bras droit, hein... »
Elle l’amusait. Cette femme ne manquait pas de toupet, et, preuve de son expérience en la matière, arrivait tout à fait à tenir avec lui une conversation cohérente, tout en dansant sur sa verge. Peut-être aurait-il dû s’en sentir un peu frustré, mais il savait qu’il n’avait pas à rougir de la taille de son sexe, ou de ses performances en la matière. Il sentait l’excitation de ses partenaires à travers leur sang, et s’était souvent amusé à en jouer. À travers le sexe, à travers la pratique, on apprenait étrangement à contrôler bien plus facilement son rythme sanguin, et les conséquences à en tirer.
Alexandre cligna des yeux, et se redressa brusquement, s’extirpant du fauteuil. Debout, l’homme alla plaquer Terria contre le plus proche mur, écrasant son corps contre le sien, sa verge retournant s’enfoncer en elle, jusqu’à la garde. Il soupira en sentant les mains de la femme se crisper à son cou, afin d’y trouver un appui, et commença à la bourrer, s’enfonçant en elle, se retirant pour s’y glisser de nouveau. Son sexe l’élançait douloureusement, cette douleur jouissive et bienvenue, annonciatrice du plaisir suprême. Elle agissait comme un fouet sur lui, le stimulant, le dynamitant, occupant toutes ses pensées, remplissant son esprit, l’empêchant de penser à quoi que ce soit d’autre. Le vampire se laissait absorber par cette vague, bien incapable de la repousser. Ses canines pointèrent quand il retourna embrasser la femme, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, avant de grogner contre son cou, léchant sa peau... Pour finir par y planter ses dents, par y déposer sa marque. Mais pas d’absorption sanguine, car il en avait déjà bu, il se contentait juste de lui rappeler qui il était. Ses yeux se froncèrent légèrement, et ses dents s’imbibèrent quand même d’un liquide pourpre. Quand il retira ses dents, deux lignes de sang coulèrent délicatement de l’épaule de la femme, tandis que Dowell reprenait ses coups de reins, avec une intensité renouvelée.
« Tu seras ma concubine, répéta-t-il alors. Tu ouvriras tes cuisses et ton cerveau pour moi, ma belle. Ta beauté, tes charmes, ton talent... Ne crois pas que je laisse mes concubines dans un placard doré. Tu participeras au rayonnement de mon clan, tu me conseilleras, tu séduiras... »
Il la prenait encore, ne faisant plus qu’un avec elle. Lui, le puissant vampire ashnardien, noble héritier d’une lignée millénaire. Elle, la jeune esclave qui, le long de ses doigts, pouvait sentir l’occasion de se hisser dans l’échelle sociale. Non pas redevenir une esclave, mais une femme influente, qui userait de tous ses charmes au service d’une cause qui les dépassait tous deux. Dowell continua à la prendre, imperturbable, témoignant de la vigueur exceptionnelle des vampires en la matière. Il se délectait de ses gémissements, de ses couinements, et s’assurait de la faire hurler, que ce soit en la mordant, ou en la pinçant, n’hésitant pas à tirer sur ses tétons, ou à donner volontairement d’épais coups de reins, sa queue se retirant presque intégralement, avant de s’enfoncer brutalement, faisant rebondir le corps de la femme contre le mur.
« Comme une véritable Ashnardienne... Voilà ce que je te propose, Terria, ma belle... »
Pour paraphraser les Terriens, c’était là une offre qu’on ne pouvait pas refuser.