Quelque chose d’exceptionnel allait se passer, quelque chose qui n’était pas encore arrivé, et ne se reproduirait sans doute pas avant longtemps ! Helena allait en effet sodomiser Karen. Dans l’histoire très perverse de ces deux femmes, c’était une première ! Karen avait déjà ramoné à de nombreuses reprises le délicieux cul d’Helena, mais l’inverse était loin d’être vrai. C’était bel et bien la première fois qu’Helena allait s’y risquer. Ceci étant dit, après ce que son amante avait vécu entre les mains d’Ishtar Naviento, Karen pouvait lui offrir ce plaisir. Certes, des deux, Power Girl était la dominatrice, mais ce n’était pas une raison pour négliger Helena. Cette séance avait aussi pour but de voir ce qu’Helena valait quand on lui donnait du Maîtresse. En ce moment, les deux femmes étaient bien éloignées de leurs ambitions de justicières. Karen ne pensait qu’à s’envoyer en l’air avec Helena, et frémit quand cette dernière se plaça dans son dos, et la sodomisa rapidement.
«
Hnnn... !! »
C’était une sodomie à sec, sans aucune préparation préalable... Mais, comme Helena le remarqua rapidement, les parois internes de Karen se dilatèrent bien vite. Le sexe était vraiment quelque chose de fort chez Karen, qui avait des tendances proches de la nymphomanie. Pendant certaines réunions interminables au siège de Starr Industries, il lui arrivait de porter un
plug anal. Elle-même aimait d’ailleurs affubler ses secrétaires de ce genre d’engins. Autant dire que, si jamais l’une de ces femmes avait envie de faire un procès pour harcèlement sexuel, Karen allait souffrir ! Mais, fort heureusement, elle payait très généreusement ses employées, et personne n’avait jamais eu l’idée de la poursuivre pour harcèlement.
Elle sentit la trique d’Helena s’enfoncer profondément en elle, et ses gémissements ne tardèrent pas à se transformer en hurlements, la douleur irradiant joyeusement et délicieusement en elle.
«
Haaaaaa... !! Haaaaaaaaaaa... !! »
On ne le réalisait pas, mais, pour une Kryptonienne, souffrir était une expérience vraiment atypique. Il était très rare que Karen se blesse, et, même là, cette sodomie, aussi brutale soit-elle, ne pourrait jamais lui infliger autant de douleur que sur une humaine. Impossible de déchirer sa peau. La douleur venait de l’étirement de la chair, mais s’arrêtait là. Et, comme Karen étant peu habituée à souffrir, elle appréciait d’autant plus les sodomies brutales, qui représentaient pour elle la quintessence de la souffrance. Les coups de fouet n’étaient que des chatouilles pour elle, mais ça... Ça, ah, c’était somptueux !
«
He-Helena, aaaahhh... Haaaaaaaaaaa...!! HAAAAAAAAAAAAAANNN... !! »
Dans son dos, Karen sentait Helena se défouler, continuant à martyriser ses fesses, défonçant son cul, faisant crisser leurs combinaisons. Puis Helena se pencha vers elle, et palpa ses seins, tout en se lovant dans son dos, ralentissant et approfondissant le rythme. Power Girl se pinça les lèvres, couinant avec les joues rouges. La douleur, la douleur... Magique sensation ! Elle se tortillait sur place, et couina encore, sa queue bien dure... Et ne tarda pas à avoir, elle aussi, un très bel orgasme. Karen se mit à jouir furieusement sur le sol, tout en sentant Helena se relâcher dans ses fesses, crachant sa semence depuis son gode.
Karen hurla une ultime fois en se relâchant, yeux clos, et, quand elle rouvrit les yeux, et revint à elle, ce fut pour voir Helena demander grâce, en se posant au sol. Huntress n’était qu’une humaine, et était épuisée. Karen en eut la confirmation en voyant le gode se retirer de lui-même, retombant mollement sur le sol. Karen soupira lentement en se relevant, des gouttes de sueur filant le long de son visage.
«
Très bien, Helena... Je vais te border. »
Karen prit la jeune femme entre ses bras, et laissa Hakuba et Kiba pour le moment. Elle rejoignit rapidement une chambre, et coucha Helena au milieu d’un confortable lit en latex. Elle la coucha au milieu du lit, et, tout en continuant à agir, la déshabilla, non sans lui laisser collants et gants en latex. Karen agissait rapidement, sans toutefois la précipiter, puis surprit peut-être Helena quand elle attacha ses poignets et ses chevilles au lit.
«
Tu n’espères quand même pas faire ta feignante devant moi, quand je sais quel traitement intensif t’a fait subir Ishtar, hm ? »
Une telle position ne devrait pas être totalement inconnue à Helena, puisque c’était comme ça qu’elle dormait avec Ishtar. Karen récupéra une culotte rose en latex avec deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur, et la mit sur le corps d’Helena, enfonçant les godes dans son fondement et dans sa chatte. Nul cri de protestation n’amènerait Karen à stopper, bien entendu, et, tandis qu’elle faisait ça, elle attrapa également un
strapon, et l’enfonça dans la bouche d’Helena, tout en attachant la sangle derrière elle.
L’attirail était presque complet ! Karen souriait en croisant le regard d’Helena. La pièce était plongée dans la pénombre, éclairée par des bougies dans les coins, et des bruits de pas se firent entendre. Helena vit alors Kiba et Hakuba s’approcher, grimpant sur le lit, souriant malicieusement... Puis Karen se racla la gorge, ramenant le regard d’Helena vers elle... Et vers le curieux appareil qu’elle tenait entre les mains, des grosses lunettes.
«
Tu le reconnais, ma douce ? demanda-t-elle d’une voix mielleuse.
Ce sont les Starr’s Glasses, des lunettes de réalité virtuelle. »
Elle les approcha, tout en poursuivant :
«
J’ai rencontré Ishtar, comme tu le sais... Et elle m’a montré les films qu’elle a faits de tes prestations, ma petite salope... Je me suis dit que ce serait bien, pour t’accompagner dans ton sommeil, de te faire une compilation... Il y a ce que tu as fait avec elle, mais aussi avec moi. Tu en as pour plusieurs heures de visionnage, pendant que Kiba et Hakuba prendront soin de ton corps. »
Les lunettes étaient fournies avec des écouteurs, pour permettre les sons. Karen sourit une dernière fois, puis posa l’appareil sur le visage d’Helena, et, juste avant de le démarrer, embrassa l’une de ses oreilles :
«
Bonne nuit, petite pute. »
Puis elle enclencha la vidéo...