Un cour à la Luhimi (PV reservé)

Romanxe s'était laissé emporter par Kamui, se retrouvant sur lui, à genoux, les fesses offertes à Luhimi. Il attendait sûrement qu'elle réagisse, mais Romanxe ne laissait pas Andrea prendre le dessus, se laissant embrasser et caresser par cet homme très doux. Elle l'embrassa avec plus de passion, à ses risques et périls, car elle se sentait fléchir, à vive allure. Sa main glissa le long du dos de Kamui et lorsqu'elle arriva à ses fesses encore couvertes par le tissus du pantalon, Andrea repprit le dessus. Elle plaqua violemment l'homme contre la table et se mit à quatre pattes au dessus de lui, lui mordant les lèvres, lui suçant les langues, les crocs à découvert. Elle le lâcha quelques secondes et se tourna vers Luhimi :

"Me ferais tu le plaisir de te joindre à nous ?"

Un sourire ravageur aux lèvres, elle se tourna vers Kamui et le regarda fixemment avant de l'embrasser à nouveau avec autant de fougue et de brutalité.

Décidement ces deux là voulaient vraiment me pousser à leurs montrer mon éducation sur cette matière, qu'est l'amour, en plus de voir Kamui s'amuser à me taquiner en positionnant la demoiselle pour que je puisse admirer son jolie derrière, Andrea m'invita explicitement à les rejoindre. cette dernière était plus sauvage, plus sulfureuse que Romanxe, mais cela était peut être du au fait que cette dernière appréciait uniquement le sexe opposé, alors que Andrea semblait n'en avoir que faire du sexe, temps qu'elle y prenait sont pied.

- Mais avec plaisir, fait attention à toi car je te ferrais supplier d'en avoir plus.

Cette phrase n'était pas du vent, j'allais tous faire, pour lui apprendre ce qu'était la joie d'avoir une femme avec un vagin  et un pénis comme partenaire. Certain diront que je suis une hermaphrodite, mais je déteste ce mots, car je n'ai pas eut les deux sexe à ma naissance. Quoi qu'il en soit je m'approche et commence à la chauffer un peu, de ma main droite je caresse avec sensualité le sein libre, tout en jouant de avec le téton, le pinçant, le tirant, l'enfonçant et le caressant. L'autre mains parcourut son ventre pour se faufiler avec aisance sous sa culotte et frotta le clitoris de la demoiselle, mais mon pénis commençait à se sentir un peu à l'étroit et une culotte n'est pas très habitué à contenir un appendice de ce genre, ce qui faisait que le tissus était plaqué contre mon entrejambe et me faisait davantage mouiller, c'est déplaisant de sentir la mouille parcourir les jambes.

L'agressivité d'Andréa faisait vraiment contraste à la tendresse de Romanxe. Alors que la deuxième se montrait très douce, son alter ego était brutale et sauvage... ce qui n'était pas pour me déplaire. Les deux me charmaient. Elle m'écorcha une lèvre avec ses dents, faisant couler le sang, et je lui rendis son baiser avec douceur, comme la sagesse contre la folie. Elle pourrait m'enfoncer ses crocs dans la nuque que j'embrasserais la sienne. Je suis peut-être un tout petit peu cinglé, mais je ne savais pas à ce moment-là que j'étais influencé par la nature de l'énergie en moi, soit celle de Fiela. Mes yeux s'illuminèrent une nouvelle fois, faisant sortir ce coté incontrôlable du désir qu'était le vice et la luxure. D'une voix profonde, je murmurai deux mots et le bas de Romance disparut pour réapparaitre plus loin, plié et tout. Aussitôt, je la fis avancer sur moi jusqu'à ce qu'elle atteigne mon visage. Une quantité raisonnable de mouille commençait à s'écouler de son antre tout chaud, provoquée par les caresses de Luhimi. Je n'hésita pas une seconde que je me mis à caresser le clitoris d'Andrea avec ma langue, léchant la cyprine par la même occasion. Soudain, je posai une main sur Luhimi et comme je fais apparaitre un chien démoniaque, je la fais apparaitre devant Andréa.

-J'aime voir ce qui se passe autour de moi, princesses.

Mes iris continuaient de briller jusqu'au moment où je fermai les yeux pour me concentrer sur la saveur de Romanxe, mes mains allant soutenir ses fesses bien ferme. J'aurais eu envie de dire "Ouah, quel cul" mais ce n'était pas, disons-le, très approprié pour le moment en plus d'être anti-romantique. À un certain moment, je vis l'image de Fiela et de Taya... une partie de moi tentait de m'arrêter et je décollai ma bouche des lèvres intimes d'Andrea, mes iris brillant de désespoir, comme si je suppliait la demoiselle de ne pas me laisser continuer. Que penseraient-elles de moi? Je ne veux pas être un salopard... mais le vice reprend le dessus et je recommence mes traitements sur l'intimité de la demoiselle.

HG - Je passe mon tour, zéro inspi, j'me rattrape au prochain tour promis. - HG