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La débauche à son paroxisme.

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Sophiana Caldo

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La débauche à son paroxisme.

vendredi 14 juillet 2017, 20:16:27

Cela doit faire 2 mois que je suis dans le nid de Mélissandre, jonglant entre la brutalité de la queue de l'immense drider et les pontes de nos unions, me faisant traitée comme une reine pondeuse, malgré la violence dont elle fait preuve en moi pour me fécondée. Je pouvais sortir, mais je devais revenir avant trois jours, me laissant libre recours à faire mon boulot sur Terre et rassurer ma famille, mais cette fois, la situation était tout autre.

Lors de notre énième débat, la belle reine drider me parla qu'elle a mise au courant sa déesse, Sha, de ma présence, tout en me poutrant de sa grosse verge juteuse qui me fait crier de plaisir, et m'annonce que je devrais aller voir une des épouses de celle-ci, après avoir fini de me fourrer comme il se doit. Donc, après les heures a passer au bout de sa queue, je fini par me diriger vers cette forteresse dans mon plus simple appareil, une tenue d'Eve que j'avais pris l'habitude de porter depuis que je suis ici.

Je marche une longue heure vers la forteresse de Sha, me présentant aux gardes, qui reste très sérieux en me voyant, avant d'appeler un esclave pour me mener à la déesse Sanguillia, Perséphone de son vrai nom. De ce que j'en ai entendu parler, elle a complétement laisser tomber son ancienne identité avant de s'échapper des griffes et vices d'Hadès, mais ce n'est qu'une rumeur parmi tant d'autres. L'esclave et moi étions très silencieux durant la marche, les regards des soldats qui imaginaient déjà toutes les positions dans laquelle ils pourraient me fourrer, des regards pervers qui ne tardent pas à me faire frissonner d'excitation jusqu'au pointes.

L'esclave s'arrête juste devant une porte, assez haut dans la forteresse, le regard et tête baisser.

Voici la chambre de notre Déesse Sanguillia, permettez vous d'entrer, Madame. Elle préfère que les inviter rentrer directement.

Il s'incline et part en trombe, comme si quelque chose lui faisait peur, en plus du fouet. Je le regarde s'éloigner en haussant les sourcils puis regarde cette porte, menant à une chambre d'une déesse persécutée par le passé, j'allais peut-être, certainement, me retrouver entre deux cuisses à la satisfaire, mais soit... Je soupire longuement et ouvre doucement la porte puis m'y engouffre lentement.

Bonsoir, déesse... Je suis Sophiana, la pondeuse de Mélissandre...

Sanguilia

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 1 lundi 17 juillet 2017, 00:31:53

L'été déclinait à vue d'oeil et doucement les arbres commençaient à arborer leur parure jaune. Mais la météo était clémente avec notre région et on pouvait encore avoir chaud au zénith. Et aujourd'hui, il faisait encore bien lourd, les fenêtres étaient ouverte sur ma chambre qui servait aussi de bureau. Justement, après avoir nourrit Pyrrha, Sha avait fait venir la nounou pour que Pyrrha et Sha puissent passer la journée ensemble, me laissant le champs libre pour m'occuper de mon royaume. La maintenance rencontrait des soucis au niveau des sabotages au niveau des voies terrestres. Maudits brigands, quand je rentrerais, j'irais moi même les chasser avec Yenessä.

Bref, deux colombes allaient prendre leur envole vers mon palais afin de transmettre les nouvelles instructions de gouvernance. Les consignes écrites devaient donner le plan de route pour les trois prochains mois, sauf soucis, et permettre le royaume d'entamer au mieux l'approche de l'hiver. Après avoir fini décrire les deux messages, j'avais apporté les deux colombes à ma fenêtre pour les faire partir. Une fois fait, je métais assise dans un fauteuil confortable avec un livre et du vin. Mais la pause fut de courte durée quand une femme nue entra dans ma chambre et se présenta. Mes yeux changèrent immédiatement en jaune me signalant que la femme était une puissante succube.

- Bien Sophiana, merci de frapper avant d'entrée, on n'est pas chez les sauvages.

Je ne savais pas pourquoi elle était rentrée ainsi sans raison apparente, mais si elle me donnait pas plus d'explication, elle ressortirait avec des coups en prime. Je levais doucement la tête pour mieux la voir et j'étais pas déçu du lot, une belle plante, tout en forme et rondeur là où il fallait surtout. Par réflexe, je passais ma langue sur le quoi de mes lèvres.

- Bref, que me vaut la surprise de recevoir le bac à foutre de la charmante Mélissandre dans mes appartements?

Sophiana Caldo

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 2 lundi 17 juillet 2017, 01:04:25

A sa remarque, je regarde la porte puis elle avant de pousser un léger grognement envers ce foutu esclave, je comprend mieux pourquoi il est parti aussi vite après ce qu'il m'a dit, moi qui voulu ne pas trop faire de mauvaise impression face à Sanguillia, cela est rater à cause de lui, je doit donc déjà rattraper donc cette faute, que je ne vais pas me laisser impunément agresser alors que je n'y peux. Mes yeux turquoises regardant les ambres de la propriétaire de la chambre.

Je suis désolée, déesse Sanguillia, mais l'esclave qui m'a amenée jusqu'ici m'a dit que vous préfériez que vos inviter rentre directement. Conseil que j'ai cru bon suivre, vu que c'est ma première visite près de vous.

J'incline la tête doucement puis referme la porte avant de m'avancer lentement vers celle qui m'accueille. Même a cette vitesse, mes seins sautillent à ce rythme, mon chibre moue danse lentement et mes hanches, par habitude, se trémoussent assez sensuellement, mon corps est fait pour chauffer et mes gestes pour tenter, malgré que ce ne soit pas le but premier de ma visite. je viens me mettre face à elle, un léger sourire doux sur mon visage, le bassin légèrement sur le coté. Perséphone est donc devenue des plus jolies, plus qu'auparavant, j'ai enfin le droit de me retrouver en sa présence, chose que j'ai voulu à l'époque, mais que j'ai vite abandonner en entendant toutes ses rumeurs sur elle. Elle a des formes généreuses qui s'harmonisent entre elles, aussi splendide que quand elle était sous les caprices d'Hadès, je ne peux que être ravie d'avoir attendue si longtemps.

Mélissandre m'a parlé de vous pendant notre ébat, il y a quelques heures, et que la déesse Sha avait demandée que je vienne vous voir, sans plus d'explication que cela, déesse Sanguillia.

Malgré ma puissance, je ne préfère pas être trop familière avec elle dès le début, je ne suis pas dans mon élément et devoir me défendre dans un tel lieu risque de me couter plus qu'un bras.

Sanguilia

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 3 lundi 17 juillet 2017, 01:51:31

Sophiana s'excusa rapidement et donna la faute à l'esclave, mouais pourquoi pas... Mais je fixais son corps si parfait, j'étais excitée comme jamais, cette succube réveillait en moi le désir de luxure.

- Je m'occuperais de l'esclave moi même. Je lui avais demandé de faire ceci avec Sha et ses épouses mais pas les inconnues.

Sophiana m'expliquait que c'était Sha qui l'envoyait à moi, peut être que l'histoire de Yenessä l'avait touchée plus que prévue. J'étais honorée d'un telle cadeau mais est ce qu'elle me méritait? Je devais le savoir.

- Bien, c'est un excellent cadeau de Sha. Une superbe créature, si belle et si puissante. Tu es magnifique Sophiana... Une belle succube.

Je m'étais levée du siège pour me rapprocher d'elle.

- Tu m'excites beaucoup mais est ce que je t'excite moi?

Je défais ma robe afin d'être nue et je l'avais jeté à côté d'elle. Je passais à côté d'elle, effleurant son corps avec ma main gauche; ses épaules, son dos, sa verge, son cul... La luxure était incarnée en elle, même le plus pieux des hommes banderait comme un taureau avec cette femme.

- Je veux que tu sois digne de m'avoir dans ton lit. Réponds moi sincèrement, qu'attends tu de moi?

Mon petit tour se termina devant elle, nos tétons se touchèrent et son souffle était perceptible sur ma bouche.
« Modifié: lundi 17 juillet 2017, 02:03:08 par Sanguilia »

Sophiana Caldo

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 4 lundi 17 juillet 2017, 14:59:13

Je la lorgne d'un regard flatteur quand elle vient se placer devant moi après un tel compliment, elle, qui a eu tant d'amants, femmes comme homme, qui est des plus gratifiant pour moi et savoir que je lui plais, me charme d'autant plus, surtout au vu de ses regard qui m'ont dessiner les courbes.

J'en suis touchée, j'avoue que vous m'ex...

Je n'eu le temps de lui répondre qu'elle fini nue devant moi, laissant mes yeux sculptées son corps si convoité et que je désire tant, montrant mon envie à la déesse en me léchant les lèvres devant elle avant que ses doigts ne me fassent frissonner quand ils parcourent ma peau dans une longue caresse délicate. En tant que démone de Luxure, je réagis très facilement à l'excitation d'autrui envers moi et les avances tactiles, c'est donc ainsi que les mots n'ont plus lieux d'être et que mon mandrin se lève doucement en se durcissant jusqu'à se qu'il atteigne sa taille vertigineuse, largement de quoi comblée la déesse aguicheuse que je fixe d'un regard séducteur, tournant la tête pour l'admirer bouger ses formes.

Ce que j'attend de vous ?

Ses tétons touchent mes pointes aussi dur que mon pénis et mon souffle, percutant ses lèvres, est brulant de désir pour celle-ci et c'est avec envie que je me penche sur son cou pour le humer délicatement, collant mes mamelons aux siens doucement, voulant connaitre son odeur corporel puis remonte à son oreille, effleurant son lobe avec mes lèvres pulpeuse pour enfin lui susurrer suavement, sincèrement :

J'attend de vous que vous me permettiez de vous combler, Déesse Sanguillia, même si il faut qu'on y prenne des heures, des jours et, peut-être, vous donner un héritage digne de nos puissances et beauté.

Il est sur que ce qui est de la tentation, je ne suis clairement pas à mes débuts, je jouais à son petit test tout en la chauffant, j'avoue l'expertise suffisante pour comblée une divinité, sans parler de mes atouts qui pourrait satisfaire Zeus lui-même, mais il y un point que je tenais à tout prix. Combler mes amantes comme il se doit, que cela ne soit pas qu'une partie de jambe en l'air pour m'offrir du plaisir sans le rendre et, en ce moment, je tente de le faire comprendre à la sublime déesse qui, au passage, mon cou offert à ses crocs, montrant que je suis loin d'être apeurée par ce qu'elle pourrait me faire, et mon gland frôlant son nombril.

Sanguilia

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 5 lundi 24 juillet 2017, 02:00:54

Après son discours, Sophiana m'offrait son cou à ma mâchoire, savait elle ce qu'elle faisait? J'en étais sûre à cent pour cent, elle me testait à mon propre jeu. Mais l'odeur qui se dégageait était très fort, une odeur de foutre de cyprine, d'orgies, de sexe brutal, anale, orale, vaginale et bien d'autre encore. Tous ses parfums me faisaient tourner la tête, elle était la succube parfaite.

- Je vois que tu n'as pas peur de moi... parfait. Mais prends garde à ta façon de m'allumer, à moins tu veux que je sois une vilaine petite salope?

Finissant ma phrase, je passais mes lèvres sur sa peau douce de son cou, caressant sa peau délicatement, je passais de temps en temps ma langue pour goûter son épiderme. De ma main droite, j'avais attrapé ses cheveux et je tirais dessus pour ouvrir son cou plus fort et de ma main gauche, j'avais bloqué son bras droit afin qu'elle resta droite.

- Je vais te demander une toute dernière chose?

Je concentrais une puissante aura de luxure afin que son esprit soit atteint par moi.

- Qui est ma nouvelle petite chienne?

Je voulais voir si Sophiana serait prête à plonger dans la folie pour me satisfaire, serait elle prête à jouer le jeu jusqu'au bout ou sinon elle ne me touchera pas du tout. Mais, je savais très bien que ces succubes étaient des succubes puissantes et tellement ardues concernant le sexe. Et puis dominer pendant un temps une si belle créature était pas donnée à tout le monde. Malheureusement pour elle, j'avais envie de jouer avant de me faire bien baiser.

Sophiana Caldo

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 6 mercredi 26 juillet 2017, 00:25:16

Même si je m'offre quand même à la déesse, je me plait à ce jeu de séduction. Le cœur battant à la chamade pour cette situation empreint à la luxure de deux salopes qui se chauffent mutuellement, je ne peux que savourer l'odeur de la peau de Sanguillia, qui dégage la même que la mienne, en plus, je pouvais sentir son envie sexuelle envers moi, ce qui n'aidait pas à mon excitation pour elle et les choses ne se calment en rien quand elle me tire les cheveux sur le coté pour que j'offre encore mieux mon cou à ses lèvres, surement délicieuse, me léchant les lèvres sensuellement avec un sourire excitée, fermant même les yeux pour savourer ses délicates caresses buccale ainsi que son appendice buccal qui me fait frissonner d'envie.

J'aime les vilaines salopes.. comme j'aime l'être, Déesse..

Bloquée dans ma position, je ne peux que me laisser faire et n'oppose aucune résistance même. A la sensation de l'aura de luxure de la sublime déesse, je lâche un soupire de bien-être qui me fit frissonner constamment d'excitation, me mettant encore plus à l'aise qu'avant, me donnant cette impression d'être au Royaume de Luxure. Mais il n'y a pas que mon état qui réagis à cette aura si gouteuse, mon aura ressort aussi, une aura de luxure et perversité, qui rentre en contact avec le sien, clairement digne de la puissance que je dégage, faisant sentir à Sanguillia des envies des plus pervers et insensés avec moi. Celle-ci a une vraie perverse, une nymphomane et elle le sent beaucoup plus grâce à cette aura.

Vous.. je suis une petite chienne à vous, Déesse, ainsi que la pondeuse de reine Melissandre... Je suis celle pour comblée vos désirs... Celle qui vous offrira un héritage digne de vous, tout comme je le fais avec reine Melissandre... Mmmmh...

Je lui parle d'une fois suave, même dans cet état, je sais parfaitement qu'elle veut savoir si je suis prête à vraiment la comblée. Je ne suis pas qu'une vulgaire succube, si elle le savait vraiment, mais une futur archidiable prête à tout pour assouvir les pulsions de tout mes amants.

Je vous veux tant, ma Déesse...

Ma main libre vient lui effleurer la hanche gauche dans de caresse subtiles, voulant la faire frissonner autant que moi je frissonne à son contact, léchant de nouveau mes lèvres sensuellement et ouvre doucement mes yeux pour la regarder avec envies, mes yeux azur plongeant dans ses ambres, voulant lui partager cette même envie avec elle, une envie de sexe dans toutes ses versions.

Vous avez perdu votre beauté d'humaine, mais vous êtes devenue que plus magnifique... J'ai enfin la chance, ainsi que l'honneur de vous comblée, ma Déesse..

Je me mord doucement la lèvre inférieur pendant que mes doigts dessinent délicatement les courbes de son flanc gauche, de l'épaule jusqu'à son rond fessier, remontant et descendant sans cesse, toujours ayant cette volonté de la faire frissonner de désir. Sanguillia peut sentir, d'ailleurs, ma virilité pulsée rapidement contre son ventre, lui laissant sentir mes battements de cœur de par ma tige de chair tendue.

Sanguilia

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 7 jeudi 27 juillet 2017, 01:36:42

Bien bien bien, elle était aussi belle que motivée à me servir de petite chienne, j'avais envie d'elle et mon con d'humidifia de plus en plus sa trique contre mon nombril et mes hanches m'excitait de plus en plus. Elle n'était pas une succube classique, non bien mieux que ça, elle devait être d'un niveau bien supérieur à ces petites putes de démones. Son cou toujours ouvert à mes canines, j'hésitais de plus en plus à la vider de son sang ici, mon côté sadique s'activait tout aussi bien que mon envie sexuelle et puis zut. J'ai eu comme un petite rire quand elle me parla de chance.

- Tu sais même pas dans quoi tu t'es engagée petite chienne...

A ce moment précis, j'avais planté mes crocs dans la chair et rapidement le sang envahi ma bouche. Une sensation étrange me traversa tout le corps quand j'avais bu mes premières gorgées. Mon aura de luxure s'amplifia énormément et mes yeux n'étaient plus jaunes mais de couleur or. J'avais atteint un stade d'excitation encore jamais égalé. Son sang était un concentré de luxure pure, heureusement pour moi, j'étais une Déesse et les effets n'auront pas les mêmes effets sur moi que sur un mortel. Quand je la repoussais, je la fixais bizarrement, avec le bas du visage en sang, mes seins furent en parties recouvert aussi du liquide rubis. J'ai eu comme des spasmes musculaires et ma verge, un peu plus petite que celle de Sophiana, sorti d'entre mes lèvres vaginales sans que je la contrôle. Dans ma tête, une chose maintenant, baiser cette belle petite salope de succube mais pas avec de la tendresse. Je m'avançais vers elle lentement, comme un zombi qui avait trouver de la chair fraîche. Lorsque jétais devant elle, de ma main gauche, je tirais ses cheveux pour la conduire au lit et je la jetais dessus. Immédiatement après, je la retourne et d'une voix bestiale.

- Je vais te sodomiser tellement fort que tu pourras plus t'asseoir pour les siècles avenirs.

Je présentais mon gland contre son petit trou et pour bien l'ouvrir en deux, je plaçais mes mains sur ses hanches pour la pénétrer d'un coup si sec, qu'un filet de sang s'échappa de l'anus de la succube. Pour accompagner les coups de reins, de bonnes grosses gifles tombèrent sur les fesses de Sophiana qui devinrent rapidement rouge.

Sophiana Caldo

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 8 dimanche 30 juillet 2017, 00:03:23

Je sais exactement dans quoi je m'embarque, ce n'est pas la première déesse a qui j'offre mon corps pour des vices insensés, mais ce fut la première qui me goutta le sang, prenant le risque d'être sous mon contrôle, même si j'en étais point sur de cela. Je me concentre plus sur ses crocs plantés dans ma chair à m'en faire pousser de fins gémissement de plaisir, ma main libre tenant la fesse de la déesse gourmande dont je sent l'excitation grimpés en flèche à chaque gorgée de mon liquide vital qu'elle me vole avec plaisir avant de me repoussée d'un coup.

Je la fixe avec une envie monstre, laissant mon sang coulé le long de ma peau jusqu'à mon téton droit, goutant sur le sol et mon pied nue lentement. Nos regards pervers l'une sur l'autre, nos auras déployées pour se faire ressentir notre niveau de luxure, me léchant les lèvres en voyant le sang coulé sur ses seins et sourit grandement, avec surprise, quand elle sortit une belle verge de sa fleur intime, déjà bien excitée, me mettant l'eau à la bouche.

Avez vous encore.. d'autres surprises aussi.. délicieuses ?

Je la laisse avancer vers moi en me mordant les lèvres, empoignant ma queue pour me masturbé doucement, soupirante d'aise puis fini par m'accroupir devant la déesse une fois qu'elle est juste devant moi. Ayant à peine le temps d'avaler cette beau chibre à pleine bouche, qu'elle me relève violemment par les cheveux, me faisant grimacer légèrement avant d'être jeter sur le lit et retourner comme une poupée. Choutée à la luxure, je ne peux qu'adorée un tel traitement, tel un objet sexuel. Une petite chienne dont le corps est servi à assouvir des pulsions sadique et pervers. La parole de la déesse me fit frémir, une telle promesse ne peut être mise de côté, sa voix bestiale me faisant comprendre que je suis soumise à elle. Je plaque mes grosses loches à même le lit, lui offrant ma croupe généreuse qu'elle s'empresse de saisir fermement.

Mmmmh.. y a de quoi rattraper, vu que cerbEEEEEEEEEEEEEEERE !!

Le temps que je termine ma phrase, je pousse un long et puissant cri en la sentant fendre mon rectum, je redresse la tête et m'accroche aux tissus du lit. Ce qui pourrait surprendre Sanguillia, c'est ce n'est pas de douleur, mais de plaisir, malgré le filet de sang qui s'écoule de ma grotte serrée. J'en tremble d'un plaisir si brute, couinant d'aise et de souffrance à la rivière de fessées que je reçois sur mes miches, vibrante sous chaque claques majestueuses. Restant docile, je commence à déhancher mes fesses sur le membre empalé en son sein, dessinant tout en faisant aller d'avant en arrière, mon bassin qui le gobe entièrement, me causant gémissement fin et couinement. J'y prend du plaisir tout en me faisant maltraitée par les mains puissantes qui m'en fait voir de toute les couleurs, soutenu par les claquements sur mes globes de chair généreux, rougit, qui me font accélérer mes mouvements de cul, au point de le tapoter sur les hanches de ma tortionnaire fougueusement, m'en arrachant des gémissements intense sans qu'elle ne fasse un geste que ses mains. D'ailleurs, elle en reçoit tout autant que j'en prend, ayant serrer mon anus autour de sa verge pour qu'elle se sente emprisonné et compressé, une bonne masturbation anale.

Sanguilia

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 9 lundi 31 juillet 2017, 00:52:23

Ce cul... Un étrangleur de bite, si étroit pour une parfaite succube, ma verge semble coincée dans ses entrailles de chairs. Elle était si excitée qu'elle facilitait le passage et le travaille de pilonnage du fion de Sophiana. Elle hurlait se bonheur alors que je soupirais dextase par ce cul si bon à fourré. Après quelques minutes de coups de rein, cette diablesse faisait en sorte que c'était elle qui coulissait sur mon sexe droit et non moi qui la remplissait.

- Une gourmande comme je les aime...

Mais, je voulais garder la main sur notre corps à corps et pour la maintenir sous mon autorité, j'avais attrapé, avec ma main droite, sa belle chevelure pour tirer sa magnifique corps en arrière. Sophiana était pliée en deux et avec ma main gauche, je griffais son dos nue. Le sang coulait doucement sur son corps et je donnais maintenant de grand coup se reins qui faisaient claquer mes hanches sur ses fesses rubis. Son cul se faisait encore plus étroit, peut être que c'était sa façon de me dire quelle adorait cela mais depuis avoir bu son sang, ma tête me hurlait de la baiser comme la dernière des salopes.

- Tu aimes ça hein... Moi j'adore ton petit cul bien étroit, je le prendrais des heures et des heures... Aah...

Je tirais sur ses cheveux au même rythme que j'enfonçais ma bite au plus profond d'elle, le plus loin possible toit en m'assurant qu'elle ressente de la douleur avec son plaisir. Cette succube allait comprendre que je n'étais pas une simple Déesse.

Sophiana Caldo

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Re : La débauche à son paroxisme.

Réponse 10 mardi 05 septembre 2017, 14:47:17

Ce mélange de souffrance et de plaisir sur mon dos et dans mon tréfonds, j'en hurle tellement qu'il est bon d'être traitée comme une vulgaire putain facile à fourrée. Les deux quasiment pliée en deux et les cheveux tiré comme une chienne en chaleur, mes fesses venant à la rencontre des hanches de ma tortionnaire sexuel. Je la supplie de continuer de me défoncer aussi divinement, les claquements de mon cul meurtris résonnent dans la pièce avec mes plaintes de plaisir et douleur.

HAN ! HAN ! CONTINUEZ ! OUI ! OUI ! ÉCARTEZ MOI LE TROU DE CUL ENCORE ! HAAAAAN ! JE SUIS UNE GROSSE SALOOOHAAAAAAAAN !

Mes jambes tremblent et l'arrières de mes cuisses sont aussi rouges que mes fesses à forces de me prendre les coups puissants, effrénés d'une Sanguillia en rut. Je mouille tellement que ma cyprine coule le long de ma verge aussi dur que les fondations de ce domaine, mes seins n'arrêtent pas de ballocher à ce même rythme, les tétons frôlant le matelas à m'en faire frémir autant que le sang coulant sur ma peau déjà en sueur.

C'EST TELLEMENT BON ! ÇA... ÇAAAAAAAAH ! ÇA ME RAPPELLE MON TENDRE.... HAAAAAAAAN CERBÈRE !!!!

Mes pensées s'entrechoquent et se diffusent dans ma tête, ne contrôlant plus mes paroles ainsi que mes gestes, ce qui donne que ma queue viens se glisser autour des hanches de la dominatrice divine. Elle se mouve entre les fesses de la femme avant de pénétré le rectum violemment commençant à ondulé frénétiquement à l'intérieur jusqu'à son intestin, tel une tentacule au pelage doux qui viole une jeune pucelle.


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