Nuit Exquise Au Nighty Night. [PV]

La propriétaire des lieux, se leva alors doucement, lui indiquant qu'elle avait une clientéle a gerer. Se leant a son tour pour laisser les appartements de la demone a ses boins soins, Odin fut echanté de constater l'entrer de deux nouvelles servantes, toutes aussi belles que la premiére. Levant un sourcil en direction de la demone, il se fend d'un immense sourire quant elle lui annonce qu'il pourra profiter de ses appartements pour cette nuit. Pas de doute, Elysia savait recevoir les divinités, méme les plus recalcitrantes comme le Maitre d'Asgard. La saluant, tandis qu'elle filait vers le hall en refermant soigneusement la porte des appartements, Odin consulte les trois beauté d'un oeil ravi. Il se reinstalle, et profite alors pleinement des soins de belles donzelles humaines.

Il se laissa devetir sensuellement, tandis qu'il sentait les mains douces de l'une d'entre elle parcourir ses epaules. Le contact pour l'humaine devait étre glacial, si bien qu'il remonta quelque peu sa température interne, il n'avait pas envie d'abimer le si jolie cadeau de la Maitresse de Maison. Prenant son verre que l'une d'entre elle avait bien aimablement remplit, il prit d'abord les lévres qui venait vers lui, echangant un baiser hors normes, avant que ses mains ne parcourent doucement le corps sensuel de cette derniére...

Decidement, le monde des humains et de Terra etait plein de surprise. Odin cessa le baiser, prenant une lampé d'Hydromel, pour finalement recapturer les lévres de la servantes, melange de salive et de nectar fort, ses muscles se detendant a mesure que le massage avancé...

De toutes les servantes qu'Élysia possédait, les Jumelle Célérine étaient certainement les plus belles et les plus expérimentées dans les domaines du plaisir. Les trois démones étaient aussi celles qui accordaient le plus de faveurs, car elles aiment le plaisir, même si elles doivent le faire elles-même. Elles avaient tous un superbe kimono, de beaux cheveux blonds et des corps pouvant rivaliser avec les nymphes. Seuls les yeux pouvaient les trahir. Gabrielle avait les yeux bleus, Alecto avait les yeux verts et Circé avait les yeux mauves. Elles étaient tout simplement sublime.

Alecto et ses soeurs, d'un rire enchanteur et complice, retirèrent toutes leurs tenues, s'exposant aux yeux du dieu. Les voir était un tel délice que cette simple contemplation faisait jouir tous les hommes normaux. Évidemment, il en fallait plus pour impressionner un dieu, mais leur apparence faisait sont effet sur le soldat-caché-dans-le-pantalon. Souriante, Alecto quitta les lèvres du bel homme pour aller satisfaire ses désirs. Les soeurs, caressant d'une passion pratiquement non-feinte le corps du dieu, le dévêtirent. Un vent étrange souleva la divinité de terre et la déposa dans le lit aux draps soyeux d'Élysia. Rejoignant leur maître, déposant la coupe d'hydromel sur la table de chevet, les trois beautés allèrent réchauffer le corps d'Odin. La plus jeune, prise d'émerveillement, prit soudainement le sexe de l'homme en bouche et commenca une lente fellation tandis que ses splendides soeurs s'occupaient du dieu. L'une , à califourchaon sur le Dieu, l'embrassait et le caressait tandis que Gabrelle se mit à lui masser les seins.

-Ô mon dieu, Alecto meut d'envie que vous daignez de caresser son corps impure de vos saintes mains... s'il vous plait, accordez-lui votre divin touché

Le spectacle etait des plus exquit, et ces trois nymphes devant lui, le mettait deja dans un etat de chaleur intense. Les regardant une a une, il ne parvenait a les différencier que par leurs Iris de couleurs differantes. La propriétaire de l'Hotel avait eu bon gout en matiére de choix, elles etaient toutes trois splendides, et sans attendre, Odin degusta des yeux ces merveilles. Mais il se sentit alors doucement soulever par une force magique. Il sourit, les voyant rire, avant de se trouver poser delicatement sur le lit de soie d'Elysia.
Nue, et ainsi allongé, il se laissa peu a peu choyer par les mains et les lévres des trois soeurs, se rappelant avec nostalgie les grande cérémonie en Asgard, avec ses pretresses, toutes aussi belles que ces trois soeurs splendides. Alors qu'il s'apprétait a leurs demander de le rejoindre, les jeunes femmes le prirent de vitesse, s'approchant de son corps, glissant voluptueusement de lui, leurs peaux brulante le rendant plus docile encore.

Il eu un soupir de surprise, suvit d'un plaisir non feint quant il sentit des lévres prendre son membre. Il pouvait sentir la langue agile de l'une des trois jouer sur son arme de chair, lui provoquant un torrent de plaisir. Les autres ne restaient pas inactive, et l'une d'elles prit les lévres du Dieu, dans un baiser suave et erotique a souhait. Repondant avec envie, il sentait ses muscles caressé par des mains fines, alors que la voix melodieuse d'une des nymphe resonna... Toucher cette créature? Il n'hesita pas longtemps, caressant l'autre sein d'Alecto, regardant sa soeur faire de méme a l'autre, tandis qu'il soupirait par le bien que lui procurait la derniére.

Pincant delicatement les pointes de chaire, il glissa ses mains vers son intimité, embrassant Gabrielle, sa langue s'entremellant avec la sienne, tandis que ses mains decouvraient la peau douce d'Alcto, et son sexe desirable. Il se recula un bref instant, prenant le cou de Gabrielle, et portant son visage tout contre celui de sa soeur, lui intimant silencieusement de l'embrasser a son tour, alors qu'il jouer de caresses sur tout leurs corps, gemissant par la fellation de la petite derniére.

Le dieu semblait apprécier leurs traitements et les trois soeurs en étaient très fières. Poussée en ce sens, les deux ainées s'embrassèrent. Taquine, Gabrelle renversa doucement sa soeur sur Odin, faisant bien attention de ne pas gêner les activités de leur invité et de leur petite soeur qui poussait des gémissements, les mêmes qu'on laisse échapper lorsqu'on goûte à un plat délicieux. En fait, la nostalgie qu'elles avaient ressentit dans l'aura d'Odin les avait vexées, mais, sachant contrôler leur émotion, n'en laissaient rien paraître. Alecto, allongée sur le dieu, laissait celui-ci poursuivre ses attouchements, embrassant Gabrelle avec un air coquine sur les yeux. C'est alors que l'ainée se mit à glisser rejoindre la benjamine et se mit à suçer les bourses d'Odin, les léchant. Pour l'exciter, elle retira soudainement le sexe de la bouche de Circé, telle une maîtresse et son esclave, et se mit à la caresser.

Elles entendîment alors un bruit étrange et elles sûrent que la cadette prenait énormément de plaisir, caressée ainsi par le dieu. Une autre idée traversa l'esprit de l'ainée et elle força la benjamine à prendre plaçe sur sa soeur dans la position du soixante-neuf. Connaissant l'esprit tordu de la plus vieille, Alecto se mit à lécher la croupe de la plus jeune qui, gémissante, retourna à sa fellation. Gabrelle lécha alors, à sa grande surprise, son anus. La voix de la jeune fille résonna, mélodieuse.

-O...Onee-chan...

Lorsque l'anus fut bien humide, la belle soubrette se mit à enfoncer deux doigts dans l'anus de la jeune femme. Elle avait donc l'intention de la préparer à la sodomie, traitement que Circé recevait habituellement et même qu'elle adorait franchement.

Les trois demoiselles etaient des expertesdans la maniére de jouer de leurs corps et de suciter le plaisir chez les hommes. Odin contempler ce spectacle magnifique d'un oeil nouveau, les comparants aux pretresses de son passé, se disant bien qu'elles n'avaient rien a leurs envié, tant son plaisir ne cessait de croitre a une vitesse fulgurente. Le dieu reçu l'une des soeurs sur son corps, l'accueillant avec ses bras puissants, pour la garder tout pres de lui, il continua de lui prodiguer ses caresses, glissant ses mains le long de ses seins, les decouvrant, volumineux et fermes a la fois, un delice pour un adorateur des formes feminines. Alors il sentit la seconde bouche s'occuper de son membre, et ne retiens pas un gemissement de plaisir, tout en embrassant le cou d'Alecto, la devorant sensuellement, alors que ses soeurs lui prodigue une fellation vertigineuse.

Les bouches laisserent le membre divin, et des caresses remplacérent l'humidité des lévres. Le plaisir etait differant, mais tout aussi intense. Mais bientot, il decouvrit un jeu bien plus sensuelle et acrobatique. Les trois soeurs s'entremélerent dans une danse erotique. La plus jeune, sur sa cadette, sucant toujours aussi avidement le sexe du Dieu, Alecto, lechant goulument sa petite soeur, et l'ainée, jouant de sa langue sur son anus, sous le regard petillant d'Odin, qui la vit ensuite pénétrer doucement la jeune femme de deux doigts... Il sentait le plaisir monter. Lentement, il glissa une main sous les cuisses de Gabrelle, sa main se posant sur son sexe, qu'il caressa avec passion, sentant sa mouille s'ecouler sur ses doigts fins... Il joua avec le clitoris de cette derniére, posant son autre main sur les fesses de Circé, lui claquant tendrement la peau. Il etait au pays des réves ce soir...

Les caresses de sa soeur sur son anus faisait vraiment gémir la petite Circé. Malgré les apparences, sa voix était vraiment infantile, pour exciter les hommes. Elle poussait de petits gémissements à chaque fois que les doigts de sa grande soeur entraient et sortaient de son cul, lui faisait perdre parfois le rythme qu'elle avait sur le sexe de leur divin amant. Elles allaient avoir droit à une partie de jambes en l'air avec l'un des êtres les plus endurants de l'univers. En sentant Odin lui taper une fesse, faisant un bruit que ne pouvait faire qu'une peau parfaite, elle poussa un petit cri de surprise puis elle se mis à suçer le sexe d'Odin avec encore plus d'entrain.

Amusée, Alecto se mit à lécher la cyprine de sa soeur, en prenant une certaine quantité en bouche, puis embrassa le dieu, déversant le liquide au goût de miel dans sa bouche, lui faisant goûté à un liquide diablement bon. Elle mouillai aussi et Odin pouvait le sentir sur son sexe, car chaque goutte y dégoulinait en plus de la salive de sa soeur. Elle se frotta langoureusement au corps musclé du dieu et lui murmura quelque chose à l'oreille, quelque chose en rapport à une étrange chaleur dans le bas-ventre de Circé qui aimerait être apaisée par la divinité. Doucement, la belle Circé se leva à la demande de ses soeurs, dont l'une se laissait caresser intimement par le dieu. Les deux plus vieilles, de chaque coté de la jeune fille, la soulevaient ensemble et lui écartaient les jambes avec leur bras et la vulve avec leur main. De leur voix magnifiques et chantantes, aussi envoûtantes que les chants de sirènes, elles parlèrent en duo.

-Soulagez notre soeur, bel Odin. Elle mouille pour vous et vous appelle, entendez sa prière silencieuse.

Les gemissements de ces trois Nymphes etait un son doux a entendre pour tout homme normalement constitué. L'erotisme de cet instant ne pouvait étre troublé de quelques maniére que ce soit, et le dieu entendait bien en profiter toute la nuit durant. Il ne se lassait pas d'entendre la plus jeune pousser de lon soupir sur son membre encore enfourné entre ses lévres, ni méme les petits gemissements de ses ainés, qui prenait un plaisir tout autre. Il captura ensuite les lévres d'Alecto, goutant au jus de sa petite soeur, qui avait decidement un gout merveilleusement divin. Il poursuivait quant a lui, la fouille minutieuse du sexe de l'ainée, et des seins de la cadette... Leurs formes etaient parfaites, de quoi faire palir de jalousie les plus belles déesse du panthéon du Nord.

Il sentait la chaleur envahir cette piéces aux milles et uns ébats, et pouvait senir aussi cette cyprine precieuse couler sur son corps, celui d'Alecto, qui apprecié ses caresses visiblement. Mais le charme fut ronput un bref instant, quant les deux soeurs ainées soulevérent la cadette, pour la positionner face a Odin, les jambes ecartés, le sexe rose bien en evidence, degoulinant de ce jus de plaisir. Alors elles entamérent leurs requéte, et c'est avec un sourire malin qu'Odin leurs montra son membre dréssé au plus haut point.

"Empallez la, mes chéres..."

Il n'attendait que cela, gouter au sexe de ces Muses du plaisirs, voir si elle etait aussi gouteuse de leurs lévres, que de leurs vagins... Il revait de les voir toutes auprés de lui, remerciant silencieusement la patronne de l'hotel, de lui avoir offert un si jolie cadeau. Alors doucement, il prend les hanche de la plus jeune, et la raméne sur son sexe, aidé en cela par ses soeurs aux combiens pleines de surprise. Il sent enfin la chaleur de son humide caverne, entourer son membre tendut. Il gemit, soupir tant le plaisir et totale, et commence de long va et viens par des coups de bassin, qui souléve la jeune femme. Tandis qu'il demande a l'ainée d'approcher, posant son sexe prés du visage du Dieu, qu'il commence a lecher admirablement bien, de sa langue refroidit par son pouvoir. Son autre main ne reste pas inactive quant a elle, ventant glisser le long des lévres d'ALecto, entrant deux doigt lentement entre ses lévres, descendant vers ses seins, titillant ses tetons durcit par les plaisir de la nuit.

Le dieu avait vraiment très envie de sexe, tout autant que les trois soubrettes qu'il sautait. Il n'attendit pas une seconde avant de s'enfoncer dans la petite soubrette au vagin serré à souhait. Telle une jeune fille vierge (Non pas physiquement), Circé poussa de petits cris de surprise. Le sexe de son amant semblait surdimensionné comparé à son vagin et il n'en a même pas pris la moindre conscience. Elle ferma les yeux, étouffant ses cris dans sa gorge, crispée par ce qui se passait en elle. Elle sentait le pénis d'Odin entrer et sortir d'elle, cognant contre le col de son utérus. Effectivement, la plus jeune démone était bien plus petite sous sa forme réelle, même si elle avait bien des centaines d'années, alors le sexe du dieu en avait pour son argent. Son physique pouvait lui donner le jeune âge de quatorze ans.

-O...Odin-sama... c'est... gros...

Mais les gémissements de plaisir de ses sœurs étouffaient ses paroles. Alecto, à nouveau allongée sur le dieu, profita du moment que le dieu mettait ses doigts dans sa bouche pour les enduire de salive, les suçant pour éveiller davantage son désir. Lorsqu’il titilla ses seins pour lui faire plus de bien, elle se mit à baver malgré elle, la bouche ouverte par le plaisir. Au-dessus d’elle, la croupe offerte au dieu, Gabrelle embrassait sa plus jeune sœur, lui massant la poitrine et l’empêchant de parler pour ne pas qu’elle déplaise au dieu. Les léchouilles d’Odin étaient très efficaces, car elle mouillait énormément. Pour accorder plus de sensations à sa sœur ainée, Alecto prit la puissante main de leur amant et la porta à l’anus de celle-ci et y enfonça un des grands doigts de l’homme pendant qu’elle écartait les fesses de la demoiselle, les massant en même temps. Gabrelle avait un anus très doux et facile à pénétrer, alors le doigt rentrait pratiquement par lui-même.