Orgie végétale [Anya Nyan]

Eriendor était une magnifique et profonde forêt, située au sein des Contrées du Chaos. Une forêt millénaire, dont l’aura magique vous imprégnait quand vous approchiez. Rares, sur Terra, étaient encore les forêts qui n’avaient pas été souillées par l’activité industrielle de l’Homme, et Eriendor avait su être une forêt préservée. Dans cet endroit magique, on trouvait d’immenses arbres, et de multiples communautés. Il y avait plusieurs villages vivant à la lisière d’Eriendor, et, plus on s’y enfonçait, plus on tombait sur d’autres peuplades, comme des dryades, ou encore des fées. C’était un endroit somptueux, et le parfait endroit pour que Poison Ivy y passe des vacances.

Elle ne s’y était pas rendue seule, et passait plusieurs semaines à Eriendor en compagnie de sa fille, Kyli. Elles avaient emprunté un Portail, et s’étaient rendues à l’un des villages environnants, où, usant de leurs sortilèges, elle savaient rapidement su convaincre les hommes et les femmes de venir avec elles. Pamela avait guidé Kyli et leur troupeau vers l’une de ses amies locales, une belle fée répondant au nom de Pixie, et qui vivait autour d’un magnifique arbre, là où Pixie avait établi son repaire.

Rapidement, Pamela avait su organiser les vacances, créant un beau village végétal. Des fleurs géantes avaient poussé, et de multiples hommes étaient attachés le long des troncs d’arbres, ainsi que des femmes, pénétrés par des tentacules, tandis que d’autres barbotaient dans des fleurs grosses, remplies d’un liquide agréable, une forme d’eau aphrodisiaque. Pixie avait également ramené quelques dryades et même des animaux, transformant son bosquet en une fête érotique à la gloire de la Nature.

Bien sûr, les enfants avaient été amenés, mais, n’étant pas suffisamment âgés pour endurer cette fête, ils avaient été plongés dans des bulbes, où ils sommeillaient, vivant de doux rêves. De cette manière, les autres pouvaient librement se consacrer à leurs exploits.

Ce matin, Ivy se tenait devant un homme, attaché à un arbre. Il était entouré par des tentacules, l’un planté dans ses fesses, l’autre posé à hauteur de son sexe, le suçant énergiquement. Ce tentacule ressemblait à une grosse fleur à l’extrémité, ses pétales posées sur sa peau, et, à l’intérieur, de multiples langues s’étaient enroulées autour de son membre, masturbant l’homme dpeuis plusieurs heures. S’approchant de lui, Ivy se mit à sourire. Elle avait pris une apparence très végétale, et embrassa la peau de l’homme, apposant ensuite sa tête contre son torse, sentant ses battements cardiaques.

« Hmmm... J’adore vraiment être ici ! »

Poison Ivy lui mordilla doucement la peau, et se déplaça ensuite, en percevant une présence qui s’approchait...

...Une jeune femme. Ses plantes l’avaient repéré, et, intriguée, Pamela s’écarta de l’homme, et se rapprocha de l’entrée de la forêt, afin d’aller voir de qui il s’agissait.

Je ne sais pas combien de temps que je restais là, à tomber tout doucement dans le vide sans savoir où arriver. Je ne sais pas où j'étais tout simplement, j'essayais d'ouvrir les yeux, mais rien, je n'arrivais pas. J'étais encore trop faible, mais mon corps en décida d'autre chose et créa une sorte de protection florale pour me protéger du sol, j'atterris dans l'herbe et voilà que mon cocon laissant une lumière jaunâtre voulant me protéger des ennemis. Je reste donc couchée sur le sol, me reposant et me régénérant tout doucement. Il me fallut des heures pour me reposer, mais je stoppais cela et je me réveillais tout doucement en toussotant, regardant les alentours. L'endroit était magnifique et la nature, j'aimais toujours la nature depuis que je suis une enfant. Je regardais l'apparence que j'avais prise, c'était une basique, une des premières.. Un teint mat, des cheveux roses et des yeux vairons, voilà ma forme actuelle.

Je marche en couinant un peu de douleur et en ayant senti une bonne odeur, je m'étais dirigée vers le centre de la forêt. Je me stoppais un peu pour reprendre mon souffle quand des petits animaux s'approchèrent de moi, je rigolais les laissant donc faire et en leur parlant, faisant des bruits semblables pour leur parler. Je comprenais les animaux et les animaux semblaient vraiment m'apprécier et je restais des minutes avec eux, ils semblaient m'apporter un peu de la nourriture sous ma demande pour reprendre des forces. Je sentais que la forêt n'était pas dangereuse puis de toute façon, la forêt n'était pas dangereuse, seuls les êtres qui y vivent le sont et le plus pire, ce sont ceux qui ne respectent pas la nature, voilà ce que je pense.

Je m'endormis tout doucement avec les animaux, mais quand j'entendis des bruits, je me réveillais venant remarquer que des animaux s'étaient endormis contre moi, un petit faon et un lièvre.. Je les câline tout doucement venant me redresser tout doucement, déposant le lièvre contre le faon et je lui caresse tout doucement en me redressant et regarde les alentours. Je me demandais qui pourrait venir, un prédateur ? Je devrais me protéger ? Je ne suis pas encore en état pour l'instant, mais s'il le faut, je le ferrais. Mais pas de conclusion rapide, je restais donc attentive à ce que j'attendais en usant de mes sens pour savoir la nature du bruit.

- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous voulez ? J'ai atterrit sur votre territoire ?

Ivy retrouva rapidement le mystérieux étranger. Elle dormait paisiblement sur une clairière, entourée par un lièvre et un petit faon. Proche de la Nature, vu que les animaux sauvages n’étaient nullement effrayés par elle, ce qui, pour Ivy, était une bonne chose. Une très bonne chose, même. Pamela considérait la Nature comme une force fondamentale nettement supérieure à l’Homme, qui n’était qu’un animal parmi tant d’autres, quoique plus évolué que les autres. Elle observa donc l’inconnue, admirant sa beauté, ses formes, quelques tentacules végétaux se déplaçant pour caresser sa peau, en ressentant la douceur et la chaleur... Avant que la femme ne se réveille brusquement. Ivy, bien entendu, replia ses tentacules, et la laissa s’éveiller.

Vigilante, la mystérieuse Terranide aventureuse ne tarda pas à regarder autour d’elle, sentant une présence étrangère, et se mit à la héler. Ivy aurait pu choisir de rester dissimulée encore, mais elle préféra sourire, et s’avança alors, faisant volontairement remuer des buissons, signalant ainsi à la femme qu’elle approchait. Pamela sortit d’entre deux arbres, avec sa délicieuse peau verte, et sourit à la jeune femme.

« Bienvenue, jeune femme. Tu es effectivement sur mon territoire, mais... Je ne te veux aucun mal. »

Sortant des buissons, un loup s’approcha alors, et se frotta contre les jambes de la femme. Ici, dans la clairière, le duo était encore éloigné du véritable cœur du territoire, là où il y avait la fête. Mais, pour autant, Pamela comptait prendre son temps, et ne pas paniquer cette jeune femme à la peau bronzée.

« Je m’appelle Ivy, mais tu peux m’appeler Pamela. Comme je le vois, les animaux ont l’air de beaucoup t’apprécier. »

Et c’était un compliment. Pamela se rapprocha d’elle, ses spores aphrodisiaques naturelles venant se répandre sur le corps de la jeune femme. Elle posa tendrement ses mains sur ses épaules, se montrant, comme à son habitude, et surtout dans un état si euphorique, très proche et très câline.

« Qu’est-ce qu’une jeune beauté comme toi vient faire par ici, hum ? Je n’ai pas souvenir de t’avoir vu jusqu’à présent... Et je suis toujours intriguée quand je vois des amis de la faune. »

Ce que cette mystérieuse femme était, à n’en point douter...

J'attendais donc tout doucement, j'attendais que la créature ou autre soit là.. Puis je l'ai vue, une jeune femme charmante à la peau verte, mais aux cheveux très rouge. Elle me parla et me fit signaler qu'elle ne voulait pas me faire du mal.. Elle se présenta et je hochais la tête quand elle me dit que les animaux m'appréciaient énormément. Elle s'approchait de moi tout simplement quand je sentis une drôle d'odeur, une odeur chaleureuse, elle posa ses mains sur mes épaules.. Je sentais qu'elle était là et surtout d'humeur assez câline. Je sentais une chaleur monter en moi, elle était faible et agréable, je me demandais bien ce que c'était...

Elle me posait la question également ce que je faisais là, elle posait quelques questions, j'agitais tout doucement mes oreilles en l'écoutant avant de venir lui tendrement.

- Enchantée de te connaître, Pamela.. Mon nom est Anya Nyan. Princesse du royaume de Zaërys, je suis une miqo'te.. Une créature s'étant mélangée à la perfection entre l'animal et l'humain, encore plus que les créatures qu'on appelle nekomimi, kistune, ou tout cela... Je ne sais pas, j'étais en combat puis j'ai créé un vide chez moi et je suis arrivée ici, enfin en tombant puis je me suis réveillée dans cette forêt.. Je... Je suis désolée si, c'est votre territoire, je ne voulais pas le souiller.

J'étais assez perturbée et quelque chose m'empêchait de sombrer dans mes souvenirs, c'était un petit écureuil qui s'était approché de moi par mon épaule venant m'offrir une noisette, je le remerciais tout simplement venant lui donner un baiser sur le front, ce dernier partit ensuite rejoindre sa famille en gloussant légèrement, je regardais la noisette et je la déposais près de l'arbre où ils étaient. Je savais que l'hiver peut être rude et je préférais leur laisser à manger et si cette noisette pouvait les aider à cela.. Autant leur laisser. Je me retournais vers Pamela avec un léger sourire, ne voulant pas être impolie..

- Si je suis proche de la flore et de la faune, c'est peut-être à cause de mon passé et de l'histoire de ma famille... Je suis née sans souffle dans mon corps, je ne serais pas là si une déesse m'avait béni tout simplement.. C'était une déesse proche des animaux, peut être différent de ceux qu'on connaît, mais je pense avoir héritée de son côté bienveillante.. Mon père s'est battu à la grande guerre de mon monde pour unifier les peuples.. C'est un Stalker, un être qui... Aime la nature et les animaux plus que tout et.. Il voulait unifier les races afin de protéger ensemble à ce monde, aux êtres qui y vivent. Mon père m'a toujours appris à respecter la nature et les animaux, c'est quelque chose de tout simplement fondamental pour moi et surtout primordial..

La nature m'a fait comme je suis, un être aimant et respectant cette dernière... Tout mon enfance, mes rencontres, ma vision des choses sont pour le bien être des animaux et de la nature, et personne ne pourra me changer.

La main verte d’Ivy, infiniment douce et chaude, caressa le visage de la femme face à elle. Anya venait de lui expliquer ce qu’elle était, et, même si Pamela n’avait pas forcément tout compris, elle avait au moins retenu l’essentiel. Cette petite femme était une Terranide particulière, bénie par le souffle d’une divinité, et qui semblait, apparemment, venir d’un autre monde. Comment s’était-elle retrouvée là ? Anya n’en avait pas la moindre idée, mais Pamela pouvait sentir ses yeux se plisser légèrement, sa peau chaude rougir davantage sous la proximité d’Ivy.

« Une beauté comme toi, Anya, ne souillera jamais ces lieux. »

Et, pour qu’il n’y ait plus aucun doute dans son esprit, Pamela se pencha contre elle, et l’embrassa tendrement. Un baiser bien naturel, qui allait dans la droite lignée des choses. Ivy était heureuse, et, ce faisant, elle se montrait particulièrement sensuelle, proche, et tactile. Ici, en ces lieux, toutes ses inhibitions venaient de sauter, ce qui faisait que le baiser se prolongea encore un peu, pendant plusieurs longues et délicieuses secondes.

« Voilà... Pour t’ôter tout doute, créature des bois. Tu es ici chez toi, et, si tu souhaites te reposer, cette forêt sera ton refuge. Je n’en suis pas la propriétaire, juste une hôte qui t’invite humblement à vouloir nous rejoindre. »

Tout en parlant, elle avait descendu ses mains, les joignant dans ceux de la femme. Ses mains se serrèrent aux siennes, et elle lui sourit encore.

« Mais c’est une invitation... Tu es libre de partir si tu le souhaites, cela va de soi... Bien que je serais particulièrement ravie que tu acceptes mon invitation. »

Parce qu’il fallait bien admettre qu’Anya était particulièrement mignonne. Partant de là, Ivy serait en effet très heureuse de la voir la suivre. Le choix, en définitive, lui appartenait pleinement, même si le désir qu’elle devait sentir commencer à perler en elle viendrait probablement fausser ses capacités de réflexion.

Ivy n’était pas l’Empoisonneuse pour rien !

Elle était très câline, c'est tout ce que je pouvais vraiment dire, elle ondulait comme un serpent cherchant une proie, je devais me méfier et pourtant mon instinct me disait que cette femme était quelqu'un de la nature mais je me devais tout de même faire attention à moi. Elle vient d'un coup m'embrasser, mais restant tout simplement tendrement. Elle ne m'avait pas forcé à l'embrasser, elle avait été resté assez tendre et je devais l'avouer. Pamela était heureuse et voulait me le montrer tout simplement, je la regarde donc assez étonner qu'elle me le montre ainsi, c'était tout de même étrange et je ne connaissais pas qu'on pouvait faire cela, même étant proche à cause de la nature, j'en rougissais tout simplement venant détourner mon regard, voilà que ses mains descendaient tout doucement vers les miennes, je la regarde donc avec un sourire en hochant la tête à son invitation, je sentais toujours cette chaleur autour de moi tant bien que je vinsse regarder les alentours en gémissant faiblement, comme pour essayer de le cacher.

- Je... Je serais intimidée de te rejoindre ainsi, pas maintenant, enfin...

J'étais gênée, je sentais cette gêne qui était contre mon entrejambe, cette envie de me faire du bien, j'essayais de rester calme dans ma réflexion essayant par tous les moyens de venir réfléchir clairement, je ne pouvais pas accepter une invitation dans un état pareil et je devais lui faire comprendre faiblement sans non plus à être impolie, chose que je ne voulais pas, je cachais mes gémissements faibles en sentant toujours cette gêne venant bouger légèrement mes cuisses comme pour faire partir ce qui clochait chez moi, je me reculais d'elle tout doucement venant ensuite la regarder.

- Je... Je pourrais venir plus tard, si te plaît ?

Ivy esquissa un sourire devant la gêne manifeste d’Anya, qui lui avoua toute sa surprise, et indiqua ne pas être en état de venir maintenant la rejoindre. Le sourire de l’Empoisonneuse ne put que s’accroître. Elle comprenait très bien ce que la jeune femme ressentait. Des symptômes très similaires à ceux de ses proies habituelles, en réalité. La main de Pamela remonta donc pour caresser la joue de la femme, et son pouce se frotta contre ses lèvres, son front venant caresser le sien.

« Bien sûr... Mais je crois surtout que, si tu pars maintenant, ça ne résoudra rien à tes émois, ma chérie. »

L’humeur d’Ivy dépendait beaucoup de l’environnement dans lequel elle vivait. Gotham la rendait agressive et belliqueuse, mais Eriendor, si pure, si belle, la rendait beaucoup plus sensuelle, chaleureuse, et séductrice. C’était la belle Anya qui en faisait les frais, sans possibilité d’évasion. Oh non, Ivy n’allait pas laisser partir si facilement une si belle femme ! Elle continuait à se maintenir contre elle, et déposa plusieurs baisers sur sa joue. D’une main, elle continuait à caresser son visage, mais, avec l’autre, descendit le long de ses reins, jusqu’à poser cette main sur le renflement de ses fesses, très visibles à travers sa fine cape verte légèrement transparente.

Ivy lui sourit à nouveau, et l’embrassa encore sur la bouche, fourrant sa langue entre ses lèvres pendant quelques secondes.

« Tu as besoin de mon expertise... Je suis docteur, tu sais. »

Elle continua à palper ses fesses, comprenant que la jeune femme devait avoir une grande inexpérience sexuelle pour ne pas comprendre ce qui lui arrivait. Pamela décida d’en jouer, de la taquiner, ne se sentant, du reste, nullement gênée à l’idée de l’initier ainsi à des plaisirs si forts, et de manière aussi brusque. Pamela n’aimait pas tourner autour du pot, et, comme indiqué précédemment, elle était d’humeur très sensuelle.

« Laisse-moi deviner tes symptômes... Est-ce que tu as chaud ? Ressentirais-tu des frémissements un peu partout ? Des battements précipités de ton cœur ? Une incapacité à réfléchir clairement ? Pour le dire autrement... Une gêne inexplicable ? »

La forêt était plus que calme, le vert était toujours présent et ce qui donnait l'apparence d'Ivy assez étrange, surtout le fait qu'elle possède la peau légèrement verte, ce qui accentuait donc plus la forêt. Je regardais une nouvelle fois la femme qui était proche de moi en me prévenant que de ne pas venir n'allait pas m'aider à me soigner en quelque sorte. Je sentis sa main sur ma joue puis de l'autre main, c'était contre mes fesses. Je dois avouer que par réflexe, je venais de détourner le regard puis la tête, me sentant assez gênée de notre position. Elle vint une nouvelle fois m'embrasser, la langue dans ma bouche, je vins fermer les yeux me laissant faire avant qu'elle vienne me préciser qu'elle était doctoresse et que j'avais besoin d'une consultation en quelque sorte.

Elle continua de palper mes fesses ce qui me faisait gémir une nouvelle fois, je détourne la tête venant abaisser mes n'oreilles et ma queue se colle contre ma propre cuisse, je regardais toujours la femme restant contre elle venant détourner une nouvelle fois la tête en hochant la tête pour lui confirmer donc ce qu'elle venait de dire. Je me sentais vraiment mal, je n'étais pas bien, j'avais chaud et je ne sais pas ce qui ne m'arrivait pas, je ne me sentais pas bien, je la regarde venant me rapprocher d'elle et mettre mes mains sur ses épaules pour me maintenir. Je refermais mes cuisses, l'une contre elle en serrant donc ces dernières en sentant quelque chose couler tout doucement..

- Pourquoi je me sens ainsi ? Je me sentais bien avant puis là, d'un coup, c'est... Ce serait à cause de la forêt enfin je veux dire que certaines forêts ont des particularités différentes et parfois cela pouvait donner un impacte pour certaines personnes, je suis désolée, j'essaye de trouver une solution et de comprendre ce qui m'arrive, je sais, c'est assez farfelue.. Mais je cherche des explications à ce qui m'arrive..

Je lui souriais timidement mais mon regard était fuyant cherchant des réponses à ce qui m'arrivait, cherchant ce que je ressentais là tout de suite, je me sentais d'un autre côté serein et d'un autre côté, mouillée, oui c'était le mot, je me sentais mouillée...

Comme c’était amusant ! Bien entendu, Ivy aurait pu rassurer immédiatement la jeune Anya en lui expliquant tout ce qu’elle ressentait. Car, si la Terranide basanée ne comprenait pas ce qu’elle ressentait, ce n’était pas le cas de Poison Ivy, qui, elle, connaissait très bien le domaine du sexe. Néanmoins, elle comptait encore s’amuser un peu de son émoi. C’était l’innocence même d’Anya qui s’exprimait sous ses yeux, une candeur incroyable qui ne manquait pas de fasciner l’Empoisonneuse, qui comptait bien en profiter. Sa bouche retourna embrasser la joue de la femme, ses mains ne se décollant pas de ses belles fesses, les malaxant tout en serrant ce corps contre le sien. Pour le coup, Ivy n’avait pas traîné. Elle avait littéralement sauté sur la pauvre Terranide, venue ici avec toute l’innocence du monde, et happée par les phéromones de Poison Ivy. Comme quoi, les humeurs de Pamela étaient profondément liées à l’environnement dans lequel elle évoluait. Ici, dans cette forêt paisible et profonde, Pamela ne pouvait être que détendue, relaxée, ce qui expliquait pourquoi elle se montrait si tactile, si familière avec les autres.

« Hmmmm... Tu sens vraiment très bon, ma chérie... Une odeur princière, mais aussi douce et... Naturelle. Tu as quitté ton royaume pour explorer ce monde, n’est-ce pas ? Pleine d’innocence, et pleine d’espoir... »

Pamela sourit encore, et remonta sa main, caressant le dos de la femme, sachant combien les Terranides aimaient les caresses, et la posa sur la nuque de la femme, serrant ses cheveux roux, avant de retourner l’embrasser tendrement sur les lèvres. Chaque geste de Pamela continuait à enivrer la femme, et à la faire trembler sur place, continuant à la bouleverser, à la perturber. Ivy pouvait deviner l’ensemble de ses questions. Que lui arrivait-il ? Que ressentait-elle pour justifier les émotions qu’elle ressentait actuellement ? Tout ça, Ivy en souriait, amusée plus qu’autre chose, surtout quand Anya avoua être mouillée.

Le sourire de Poison Ivy s’accentua suite à cet aveu, et elle décida de la taquiner encore un peu :

« Oh... Vraiment ? La Princesse se serait fait dessus ? »

Son autre main s’éloigna de son agréable fessier pour caresser sans ménagement sa culotte noire, entre ses cuisses, et elle hocha la tête.

« Effectivement... C’est humide. Mais... Penses-tu vraiment que ce soit de l’urine ? »

Elle allait voir jusqu’à quel point cette femme était candide, et rajouta rapidement, sans retirer sa main, qui continuait à caresser son sexe à travers son vêtement :

« As-tu jamais entendu parler de... De cyprine ? »

Pamela était en train de me parler de mon odeur, comment pouvait-elle ? Je ne possédais pourtant pas une odeur comme du parfum ou quelque chose ainsi, car je n'en possédais pas actuellement, est-ce qu'elle parlait d'une odeur comme les animaux arrivant à nous capter ? Oui, c'était sûrement cela, je la regarde donc avec un petit sourire. Quitter mon royaume pour explorer, oui, c'était totalement cela, je lui fis un oui de la tête afin de lui confirmer ses dires, les joues toujours aussi rouges. La jeune femme aux cheveux de feux était en train de venir continuer de me caresser comme si elle appréciait de me faire cela, elle était intime, mais c'était comme si cela ne la dérangeait pas, comme si c'était totalement normal.

Elle était en train de venir me parler du fait que, voilà... Je m'étais fait dessus et je dois avouer que j'étais plus que gênée, je ne pouvais pas réagir venant détourner la tête donc avant de sentir une main sur mon propre entre-jambe, je la regarde donc faire avant de venir rougir quand elle me posait plusieurs questions et surtout le fait de si je pensais vraiment que c'était de l'urine, je lui fis non de la tête et c'était là qu'elle me parla de cyprine. Je réfléchissais rapidement mon cours d'histoire et surtout du corps humain avant de venir, d'un regard un peu rêveur, d'une tête qui réfléchissait quand elle parlait.

- La cyprine est un liquide secréter par le corps d'une femme ou alors tu parles d'une variété de vésuvianite, qui est une espèce minérale du groupe des silicates, sous-groupe des sorosilicates, formée de silicate double d'alumine et de calcium un truc quelque chose ainsi bien que j'avais déjà entendu parler de cyprine comme deuxième nom pour le mollusque Arctica islandica... C'est cela que tu parles ?

Je la regarde avec un petit sourire tout simplement innocent, venant toujours rester contre elle, les mains contre le torse de Pamela en rougissant quand je venaient de lui parler, j'avais l'impression de lui avoir fait un cours d'histoire et j'espère tout simplement que je ne venais pas de l'offenser, je ne pouvais m'empêcher de lâcher un petit désolé, toute triste et toute gênée. Je n'aimais pas faire l'intéressante ou l'intelligente car cela pouvait faire déplaire aux autres personnes. Je reste muette donc assez gênée, resserrant mes cuisses donc quand Pamela continuait de me caresser à cet endroit, c'était gênant mais c'était également plaisant... Je me devais l'avouer.

La réponse d’Anya était… Totalement inattendue. De fait, les yeux d’Ivy s’écarquillèrent légèrement sous l’effet de la surprise, pendant que la femme lui expliquait à quoi correspondait le mot « cyprine », récitant visiblement les leçons qu’elle avait appris. Curieuse et intrépide, elle était partie explorer Terra sans visiblement trop savoir sur quoi elle allait tomber. Mine de rien, c’était presque un miracle qu’elle soit tombée sur Pamela pendant que cette dernière était en vacances. Sous d’autres circonstances, la situation aurait pu être bien plus tendue. Elle aurait pu tomber sur des bandits, ou des monstres affamés. Pour autant, Pamela était sûre que cette femme devait avoir des moyens de défense. Les apparences étaient trompeuses sur Terra. En revanche, il était sûr que le sexe lui était une grande inconnue.

Prenant conscience que son discours pouvait la faire passer pour une femme pédante, la petite Terranide s’empressa de s’excuser, tout en restant proche d’Ivy. Cette dernière lui sourit alors.

« Ne sois pas désolée de donner une bonne réponse, amour… »

Pamela l’embrassa encore.

« Tu es une scientifique, hein ? Moi aussi, pour être honnête… Mais la cyprine qui nous intéresse ici, c’est la première définition que tu as donné. »

Ivy avait encore ce liquide intime sur ses doigts, et caressa avec les lèvres de la femme. Elles restaient proches l’une de l’autre, mais Ivy finit par s’écarter, et glissa sa main dans le creux de la sienne, avant de se mettre à marcher. Après tout, elles n’allaient pas rester indéfiniment à la lisière de la forêt.

« La cyprine est un liquide produit par des glandes sécrétoires figurant dans le vagin de la femme, expliqua Pamela en marchant. Ce sont les glandes endocervicales, situées au niveau du col de l’utérus. Il provient aussi des glandes dites de Bartholin, à hauteur de la vulve. On trouve de l’eau, de l’urée, de la pydrine, du squalène… Mais tout ça, je suppose que tu le dois savoir, ma chérie. »

Elle sourit encore, et s’arrêta en chemin, pour retourner l’embrasser, et la serrer contre elle… Et ce non pas pour la corrompre ou pour s’assurer que l’aphrodisiaque soit toujours actif en elle, mais tout simplement parce qu’elle aimait le corps de cette femme, son contact délicieux et soyeux.

« Tes percepteurs ont dû te dire que la cyprine servait à permettre le renouvellement des parois utérines lors du cycle menstruel… C’est l’une des fonctions de la cyprine, notamment des sécrétions émanant des glandes endocervicales. Mais, ce qui m’intéresse davantage, et ce sur quoi on a dû te parler, c’est la fonction de la cyprine venant des glandes de Bartholin. »

Belle et intelligente, Ivy était aussi très cultivée, d’un strict point de vue scientifique. L’anatomie humaine n’avait plus beaucoup de secrets pour elle, au vu des expériences génétiques multiples qu’elle avait réalisé au cours de ces dernières années.

« Les glandes de Bartholin, donc, aussi appelées glandes vestibulaires, ont pour fonction de lubrifier les parois vaginales dans des cas très particuliers. C’est une lubrification qui permet d’éviter l’irritation, et qui facilite la pénétration vaginale, quand un pénis s’enfonce dans ton corps. »

Elle sourit alors, tandis que le duo était près d’un arbre, et poussa délicatement Anya contre ce dernier. La Terranide ne le vit pas, mais des tentacules se situaient sur le tronc de l’arbre, et remuèrent lentement, sous l’impulsion de leur génitrice, Poison Ivy. Pamela fléchit alors les genoux, et se rapprocha de l’intimité de la jeune femme, venant la renifler.

« Ces glandes sécrètent de la cyprine quand leur utilisatrice est excitée… Ce qui est ton cas, ma chérie. Autrement dit, et pour le dire simplement… Tu mouilles. »

Entre les cuisses d’Anya, un tentacule se redressa peu à peu, mais ce ne fut pas lui qu’Anya sentit, mais la langue de Pamela, qui s’enfonça contre ses cuisses, et vint lécher directement son sexe, avant qu’elle ne dépose un baiser sur ses lèvres intimes, et ne recommence à fourrer sa langue à l’intérieur, léchant l’intérieur de son vagin, recueillant de la cyprine, stimulant l’excitation de la femme.

« …Et j’adore boire de la cyprine ! »

J'écoutais ce qu'elle me disait en souriant faiblement, elle semblait vraiment étonnée de la réponse que je lui avais faite comme si elle ne s'attendait pas à cela, comme si Pamela avait pensé que j'allais lui répondre bêtement sans rien n'avoir dans la tête, mais non, j'avais fait quelques études, toute façon, j'avais le temps d'en faire en quelque sorte donc bah, je savais beaucoup de choses même si on ne croirait pas, je regarde donc Pamela avant qu'elle vienne de nouveau à m'embrasser, elle semblait vraiment adorer cela et semblait "me vouloir". Elle m'expliqua donc que c'était, la ne dut que j'étais excitée.. j'étais vraiment gênée quand elle m'en parla si ouvertement, je n'avais pas l'habitude que l'on me parle ainsi...

- En effet, j'ai fait quelques expériences de ce que je savais et j'ai beaucoup lu, j'adore lire... Revue scientifique, toutes des choses ainsi. J'adore apprendre de nouvelles choses tant que cela reste "normal" et que cela ne tourne pas à l'obligation, je n'aime pas faire du mal aux autres et je me refuse même si comme certains scientifiques le diraient, cela pourrait faire avancer le monde... C'est hors de question pour moi...

Elle restait proche de moi, comme si elle cherchait quelque chose, je me recule, me sentant plus que gêner avant qu'elle vienne m'expliquer, pendant que nous marchions ce que c'était, comment cela se produisait, toutes des choses ainsi.. Nous nous approchons d'un arbre quand Pamela vint me pousser contre, je n'ai pas eu le temps ni de l'esquiver ni de trop bouger que cette dernière vient me coller et voilà que Pamela me fit du bien en laissant une langue se promener sur mes lèvres jusqu'à doucement s'enfoncer, je gémis de surprise venant bouger doucement, me sentant vraiment gênée... Je coulais, je fondais quand elle me fit du bien venant gémir une nouvelle fois. je m'étais doucement recroquevillée contre Pamela venant bouger tout doucement en gémissant toujours avant de venir la regarder faire tandis que la pointe de mes seins vient doucement se redresser. Je bougeais tout doucement donc essayant de retenir la jeune femme qui était à genoux afin qu'elle ne le fasse que très peu étant plus que gênée, je regardais donc la femme en reprenant doucement ma respiration..

- Je suis navrée de t'avoir interrompu malgré que tu aimes cela, mais, je trouve cela gênant, c'est... Comment t'expliquer, c'est un peu sale non, c'est là quand même enfin sur ses parois que mon urine passe et puis, on ne m'avait jamais fait cela, je suis désolée, je ne sais pas, j'ai peur.. D'avoir mal, j'ai peur de ce que je ne connais pas... Excuse moi, vraiment... Pardon... C'est juste que je n'ai pas du tout l'habitude...

Belle, cultivée... Et aussi innocente qu’un jeune bébé qui viendrait de naître. Le Destin montrait parfois se montrer très généreux envers la belle plante, et elle comptait bien s’occuper comme il faut de la belle Anya. Confuse, elle se tortilla contre l’arbre, tandis qu’Ivy lécha son sexe, fourrant sa langue en elle, avalant sa cyprine. Affreusement gênée, et devant surtout faire face à des sentiments et des émotions qu’elle ne connaissait pas, elle finit par demander à Ivy d’arrêter ça. Cette dernière se redressa alors, et gloussa, avant de retourner caresser le visage de la femme, et l’embrassa même.

« De l’urine, hein ? Tu crois que ce que j’ai bu, c’est de l’urine ? »

Ivy comptait bien la rassurer, et l’éduquer. Cette petite Terranide cultivée était sans défense, entre ses mains. Si innocente, si naïve... Elle aurait pu tomber sur des individus beaucoup moins attentionnés que Poison Ivy, et, même si Pamela se montrait assez directe et autoritaire, au moins, elle ne venait pas à la forcer. Devant cette bouille d’innocence, elle était surtout amusée, mais ne ressentait aucune animosité particulière vis-à-vis d’Anya. Elle était juste en train... De la former, de l’éduquer, avec sa manière très particulière, mais, somme toute, irrésistible.

Les lèvres de Pamela l’embrassèrent donc, et elle frotta son corps contre le sien, sensuellement. Sa main se déplaça de la joue de la femme, et vint masser son sein, le sentant dur, tendu, assoiffé. Elle serra son pouce et son index sur l’un des tétons, et tira dessus, pour le simple plaisir d’entendre Anya gémir et se tortiller.

« Tu n’as pas à avoir peur de faire mal quoi que ce soit, Anya, c’est moi qui prends les commandes... Tu as quitté le cocon familial, ma chérie, j’y vois ça comme une manière symbolique et métaphorique de signer ton entrée dans le monde des grandes personnes, des responsabilités... Mais aussi des plus grands plaisirs. »

Tout ça devait encore être très nébuleux pour Anya, qui ignorait ce à quoi Poison Ivy faisait référence... Mais elle aurait le temps de le découvrir, Pamela allait y veiller. Elle allait s’occuper d’elle avec amour, avec dévotion... Et avec un brin d’autoritarisme. Anya était tout simplement trop soumise pour qu’Ivy puisse réagir autrement.

« Tu aimes ça, hein ? Cette sensation de plaisir sur ton corps quand je maltraite tes seins... »

C’était davantage une question rhétorique qu’autre chose. La seconde main de Pamela était allée s’attaquer à l’autre sein, et elle les malaxait tendrement, mais aussi fermement, pinçant les tétons, tirant dessus, se délectant de voir le désir éclater sur le visage d’Anya, en même temps qu’une forte incompréhension. Que lui arrivait-il donc ? Que signifiait tout ce qu’elle ressentait ? Ivy pouvait sentir le doute sur son visage, et il lui appartenait naturellement de la guider... À sa manière.

Pendant qu’elle jouait avec ses seins, son tentacule, qui s’était rapproché du vagin de la femme, se glissa alors délicatement dessus, recueillant en réalité des dépôts de cyprine, puis remonta ensuite, s’approchant des lèvres d’Anya, la pointe verdâtre du tentacule recouverte d’un fin nectar.

« Voilà... Ta cyprine, ma belle. Goûte-y, lèche-moi ce membre vert, et dis-moi donc si c’est si horrible que ça à boire... »

Rien ne pressait. Ivy allait prendre tout son temps pour éduquer cette belle jeune fille, et en faire une perverse de premier plan !

Je restais toujours muette, si gênée et pourtant si excitée.. C'était tellement étrange.. Je continuais donc de la regarder en hochant la tête à sa question puis-je fis non de la tête. Bien entendu, je savais bien que ce n'était pas de l'urine mais c'était tout de même là où cela passait enfin, je veux dire, c'est là que passe l'urine quand on a besoin... J'étais plus que gênée et je regardais donc Pamela avec un petit sourire et elle s'était approchée de moi pour venir me pincer un peu les tétons et surtout me faire gémir, en effet, je ne connaissais rien et je le savais.. Je la regarde donc avant de venir lui dire..

- Je... Oui mais je sais qu'un jour, je devrais accomplir mon devoir de princesse de Sephyrias et devoir donner un héritier à Zaërys, mon royaume.

Je la regardais tandis qu'elle me parlait, je ne savais quoi dire, je finissais par hocher la tête avant de sentir quelque chose me frotter mes propres lèvres intimes, je sursautais venant gémir venant resserrer mes mains sur ses poignets avant de voir ce tentacule s'approcher de mes propres lèvres, je ne pouvais cacher mon regard que j'étais très gênée et je me posais surtout la question de ce que c'était, je finis par m'approcher doucement, les lèvres vers ce membre pour venir tout doucement tendre ma langue sur le membre et léchouiller un peu, récoltant donc un peu de cyprine, le gout était étrange, je dirais même qu'il y a très peu de gout, légèrement salée peu-être, mais pas plus, je regardais toujours Pamela avant de venir me blottir contre elle, tandis que le tentacule, si cette dernière n'avait pas bougé, était entre nous deux.

- Cela n'a as pas vraiment de gout,je dois dire...

Toute gênée, Anya était terriblement mignonne. Ivy raffolait de ce moment, et était bien décidée à en profiter le plus longtemps possible, à torturer la jeune femme en toute innocence. C’était tout simplement trop exquis. Elle restait près d’elle, et sourit quand le tentacule s’approcha de ses lèvres. Les joues rouges, Anya hésita un peu, puis approcha ses belles lèvres. Détachant ses mains de ses poignets, Ivy, tout en restant sensuellement contre elle, caressa ses hanches, approchant ses doigts du bas de son dos, serrant sa peau tendre et douce. La langue d’Anya lécha alors le bout du tentacule, et elle avoua, finalement, que la cyprine n’avait aucun goût.

« Ah oui ? Vraiment ? Dans ce cas, tu confirmes que ça n’est pas de l’urine, petit bout... »

Puisque ça n’en avait pas le goût, ni l’acidité, c’était bien la preuve que ce liquide n’avait rien à voir ! Cette constatation faite, Ivy recommença à embrasser les lèvres de la femme, pendant un long moment, plaquant son corps contre l’arbre. Entre ses bras, Anya ne pouvait rien faire d’autre que suivre, ce qui amena naturellement, pendant le baiser, les mains de Pamela à venir finalement se poser sur ses fesses. Elle en serra une dans chacune de ses mains, avant d’interrompre ce nouveau baiser.

« Donc, je vais devoir t’éduquer... Pour que tu sois pleinement en mesure de porter ton bébé. Est-ce que tu as déjà un prétendant, ma belle Anya ? Un homme qui fait rêver ton cœur ? »

Elle l’embrassa une énième fois sur le front, ne cessant d’assaillir la jeune femme à la peau basanée sous des torrents de douceur et de tendresse. Face à elle, il était bien difficile de lutter, et Anya, en ce moment, en faisait la fort délicieuse expérience. Que pouvait-elle faire, en effet, contre cette femme, cette vénéneuse plante verte qui ne cessait de l’embrasser, de la caresser, de l’ensevelir sous la douceur et la sensualité ? Lentement, Ivy la faisait basculer, prenant tout son temps, puisque, justement, rien ne pressait. Et, au contraire, elle voulait même étirer ces moments, profiter de l’innocence de la jeune femme, qui était très plaisante à voir.

Ivy lui souriait donc, collée contre elle, tandis que, peu à peu, les tentacules se rapprochaient pour caresser les cuisses et le corps de la jeune femme...

« En tout cas, cet homme aura bien de la chance de t’avoir comme femme... »