Identité : Junko
Sophronia Malone - « Jun » pour ses (rares) intimes.
Âge : Vingt-huit ans – n'étant pas pourvu d'un organisme à 100% humain, le vieillissement de Jun est ralentie.
Occupation : Ex-millitaire de l'US Army et mercenaire. Après son retour sur Terre, elle a décroché un boulot de professeur d'EPS au lycée de Seikusu.
Sexe : Féminin
Origines : Américano-japonaises du côté de sa mère, Infernales du côté de son paternel
Race : Cambion (Demi-démone) – elle est née de l'union d'une humaine et de Guerre, Cavalier de l'Apocalypse. Les raisons de sa conception lui sont pour l'instant inconnue bien qu'il semble que l'entité semble avoir des projets pour elle.
Sexualité : Hétérosexuelle – quoique n'étant pas fermé à d'éventuelles expériences, les conquêtes de la belle sont majoritairement masculines.
C'est l'écarlate changeant de sa chevelure qui saute au regard lorsque l'on pose ses yeux sur le visage de la jeune femme. Elle encadre un visage fin où se dessinent une bouche rosée. Sa peau est pâle, occasionnellement marquée par le soleil de longues journées d'été. Finement musclée, Jun exhibe une silhouette forte agrémentée de rondeurs délicates. Son buste est marquée d'une poitrine opulente et son corps se prolonge jusqu'à une croupe robuste et des cuisses fermes. De l'adolescente un peu gauche qui bataillait, il en est sorti une jeune femme en parfaite harmonie avec son enveloppe, dotée d'un galbe finement ciselé acquis au fil des années. Aucune cicatrice pour la belle, une tâche de naissance grande comme son index, à l'intérieur de sa cuisse gauche. Son épiderme est d'un blanc marmoréen, occasionnellement doré par le soleil. Les quelques rares proches de son sang pourraient presque identifier quelques traits, héritage de sa famille maternelle, mais le reste semble provenir de nul part si ce n'est du néant (aka. Cher paternel).
On remarque rapidement les encres sous sa peau ; ces tatouages, motifs floraux, qu'elle trimbale depuis quelques années déjà. Partant du poignet, ils tracent leur chemin jusqu'à l'omoplate et s'achève au milieu du dos. Aux questions avides des plus curieux, désirant connaître l'origine de ces dessins, Junko n'offre qu'un léger sourire distrait. Dans cette ensemble harmonieux, seule une hellébore gravée au creux de ses reins semblent s'en détacher de façon irréelle. (...) Elle privilégie les tenues pratiques - peu friandes des caprices éventuels de la mode. La jeune femme rassemble généralement sa tignasse en un chignon négligé. Son affection va aux tons chauds - rouge, orange, rose. Depuis son arrivée à Terra, elle a troqué son look habituel contre un style plus traditionnel, semblable à un kimono relâché assorti au katana qui la quitte rarement lors de ses excursions. Sous ses couches de tissus amples et virevoltantes, Junko a toujours tendance à conserver un arsenal portatif (couteau papillon, etcaera...).
«
Connasse au grand cœur », «
monstre », «
esprit libre », «
salope sociopathe », Junko s'est coltinée des petits noms fleuris depuis le jour de sa naissance. Arrachée du giron de sa mère alors que les spéculations allaient de bon train pour deviner l'identité de son père, Jun a grandit au carrefour de la folie naissante d'une mère, du jugement d'un entourage amer et de l'affection désespérée de son père d'adoption. Si les deux premiers auraient plûtot eut tendance à l'attirer vers le fond, le dernier a appris à la gosse que : « la vie a beau vous craché à la gueule, faut tenter de trouver du bon même dans son mépris ».
Suivant cette philosophie de bas étage (presque) à la lettre, Junko a su s'épanouir et devenir la femme qu'elle est aujourd'hui. Franche et coriace, déterminée et fière, elle s'est illustrée dans bien de nombreux domaines (ex : sports de combats, histoire, etcaera...) pour échouer misérablement dans d'autres. Préférant poursuivre là où se trouvait ses forces, Jun a souvent prouvé être une femme impatiente. Encore aujourd'hui, elle vit sa vie à 100 à l'heure quitte à foncer droit dans le mur ou à se mener vers sa propre destruction. Elle privilégie le vrai, l'instant présent, les émotions les plus primaires. La manipulation n'est pas un de ses talents et la jeune femme a tendance a être direct avec ses interlocuteurs – quitte à blesser ou à vexer. Malgré tout, elle reste quelqu'un d'assez sociable qui peut s'attacher aux autres. Jun n'a pas de types particuliers d'amis ou d'amants – elle se fit à un feeling sans nom qui lui prend les tripes. Jun a tendance à aborder chaque situation comme un conflit, baissant difficilement la garde même lorsque la situation est au plus mal. Elle peut foncer tête la première dans un combat quitte à perdre quelques plumes au passage.
Derrière son assurance, il y a malgré tout cette crainte omniprésente de perdre le contrôle. Depuis la découverte de sa véritable nature, Junko lutte farouchement contre ses propres démons. Malgré le mépris – un peu mitigée depuis qu'elle a appris un peu plus de chose sur l'enfer – porté à la gente démoniaque, elle possède une fascination étrange à l'égard de ceux qu'elle rechigne à appeler les « siens ». Peut-être par impression que ceux-ci pourraient mieux la décoder que les autres mortels. Junko tire cependant sa force de son humanité.
Il y a avait eut une explosion.
Suivit du sang, des cris et du désespoir.
Puis le
silence.
On l'avait retrouvé errante, le visage maculé de poussière mais ses vêtements intactes. Elle errait parmi les combats, attrapée au passage par un soldat qui passait par là. On l'avait ramené à la base et tout lui avait semblé se dérouler comme dans un rêve. Kaede avait prononcé son premier mot que trois jours après sa découverte.
«
Maison »
On l'avait rapatrié dans sa petite maison de Maple Street perdue dans la banlieue de Baltimore. William « Bill » le bon gars amourachée de la jeune militaire lui avait rendu visite. Ses parents étaient à Boston tandis que le reste de la famille se trouvait au Japon, sa patrie d'origine. Il s'était occupé d'elle pendant prés de huit mois, jusqu'à la naissance de sa fille. Il n'avait pas osé lui demander ce qu'il s'était passé, personne n'avait osé à vrai dire. Ce bon vieux Bill l'avait fermé, soutenant son amie et gardant ses fichus questions dans un coin de sa caboche. « Plus tard, plus tard » s'était-t-il dit.
***
C'est de Kaede qu'est née Junko Malone. De son père, la gamine n'eut jamais réellement le droit à la vérité. Pas jusqu'à son adolescence en tout cas. Mais qu'importait. Il y avait William, le grand couillon, le gars qui avait collé sa mère jusqu'à ce qu'elle admette enfin les sentiments qu'elle avait pour lui et qu'elle l'arrache à la friendzone. Jun' avait six ans et elle considéra depuis Bill comme un ersatz paternel acceptable. Il lui fallut atteindre onze ans pour déclencher la première monstrueuse dispute avec sa mère, tentant de lui arracher une vérité – nimporte laquelle – derrière les secrets de son existence. « Je ne sais pas. Il n'y a rien. Rien du tout » avait chuchoté sa mère en larmes avant de sortir en furie de la maison.
Sa mère était évanescente, rien qu'une présence spectrale sur le tableau de la vie de Jun et de William. Lui semblait un peu plus concret, supporter de l'adolescente lors de ses compétitions de kendo ou d'escrime tandis que sa mère restait en retrait ou oubliait... purement et simplement. Junko tenta de créer un point entre elle et celle qui lui avait donné la vie mais rien ne semblait y faire. Elle oscillait entre crises de colères et de catatonie, passant ses journées devant la fenêtre de sa cuisine.
Pathétique.Oui, sa mère lui semblait pathétique, un bout de femme racornie et ridicule. Un instant, elle s'en voulait de penser comme ça, puis se faisait la résolution de l'ignorer, purement et simplement. Kaede était absente. Junko était vivante. Alors à quoi bon s'acharner ? Chaudron d'hormones bouillonnantes, la jeune fille traversait la puberté avec l'élégance d'un pachyderme sur glace. Entre visite chez le psy' du lycée, crises spontanées d'angoisse, bagarre et autres joyeusetés, la vie chez les Malone était loin d'être aussi ennuyante.
C'est là que tout commença. Jun traduisit ces élans soudain de colère comme les réponses inappropriées du fameux âge bête. Pourtant, il y avait quelque chose d'autre. Les insomnies la harcelaient, elle manqua de briser la mâchoire d'une adversaire en compet' et elle survécu miraculeusement à un incendie ravageant le réfectoire. Bizarre, non ?
***
Cinq années plus tard. Elles avaient filées en un clin d’œil. Étalée dans poussière, Junko se souvenait de la remise des diplômes à la fin du lycée, de son engagement dans l'armée en quête de sens et de la réaction de sa mère lorsqu'elle l'avait appris. Il y avait la lettre de son beau-père qui annonçait l'entrée de sa mère en maison de repos. Puis, il y a avait l'entraînement et sa poursuite d'études en parallèle. Puis, il y avait eut la crasse et le sang : le champ de bataille dans sa plus parfaite cruauté.
Blackout. La militaire s'était réveillée dans la poussière ; et autour d'elle, rien que le silence des morts.
Six mois de thérapie plus tard, partie de l'armée, elle enchaînait boulot minable sur boulot minable. Junko avait achevé de couper les ponts avec sa mère, se contentant de téléphoner à Bill de temps en temps. Hors de questions d'aller la voir dans ce trou. Elle finit par trouver une stabilité illusoire dans un petit boulot de barmaid, travaillant occasionnellement pour quelques types peu recommandables. Mais l'évidence était là : la guerre lui manquait. Elle s'était giflée, descendant ses « pilules du bonheur » afin d'éviter d'y penser, s'arrosant copieusement de jurons. Etait-t-elle folle ? Tournait-t-elle la carte comme sa mère ? Puis il y avait ces hallucinations qui la suivait partout, ce reflet déformé qui lui rejetait ses regards haineux.
Je dois être folle.
Nouveau blackoutElle s'était réveillée dans un endroit qui sentait la poudre, la fumée et une lourde odeur métallique. Sur son dos, un débardeur déchiré et un short dans un misérable état. Junko se souvenait vaguement d'une affreuse dispute avec son minable copain du moment. Il lui avait coller un coup de poing et elle l'avait repoussé. La jeune femme se souvenait d'une fuite, d'être entrer dans sa voiture avant de filer sur l'autoroute. Puis le crash. Puis le silence.
Alors qu'elle ouvrait péniblement les yeux, Junko posa un regard sur ce qui l'entourait. Il n'y avait que le silence d'après bataille, des cadavres étaient éparpillés un peu partout tandis. Le reste des troupes avaient dû se replier. Comment était-t-elle arrivée là ? Les armures portés par les soldats morts étaient hors du temps. Rêvait-t-elle ?
Zuriel Le chuchotement se transforma bientôt en grondement. Les restes de fumée se regroupèrent en une massive silhouette qui toisa bientôt la jeune femme.
«
Zuriel » rugit-t-elle.
«
Là où Guerre te mènes » ricana l'entité avant de disparaître.
Elle avait fait son chemin, vacillante, jusqu'au plus proche village. Le monde qui l'entourait était bizarre et étrange. Sa tenue – ou plutôt sa non tenue – attirait de nombreux regards. « N'y faite pas attention » gronda une voix éraillée. Elle sentit un tissu épais se poser sur ses épaules tandis qu'une femme la tenait vers une échoppe, marmonnant une excuse montée de toute pièce aux badauds. A peine eut le temps de poser les yeux sur ce village étrangement médiéval que Junko se trouvait propulsé dans des sources d'eau chaudes. La vieille femme qui l'y avait amené disparu, ne laissant derrière elle qu'un paquet de vêtements. Après un long bain chaud, et la résolution qu'elle était en train de rêver, la jeune femme s'habilla et rejoignit le comptoir où se trouvait sa bonne samaritaine. Tirant une longue bouffée d'un calumet qu'elle tenait entre deux doigts tremblants, elle lui fit signe de s'asseoir. « Eri. » Junko la regarda sans la comprendre. « Eri, c'est l'nom » dit-t-elle en se désignant du pouce. Elle posa ses deux yeux – un fonctionnel et l'autre voilé de blanc – sur son invitée.
«- Je suis en train de rêver
J'crains que non, petite. »
Un long silence s'installa entre les deux femmes.
« - Qui...
Chaque chose en son temps. »
Il lui fallut plus d'une semaine pour réaliser que le sort l'avait emmené loin de chez elle. La femme appelait ce monde Terra et s'était contentée de lui révéler que sa venue lui avait été annoncé. Par qui ? Elle ne daigna pas lui révéler ce détail. Toutefois, un soir, autour d'une bouteille de gnôle, Eri lui révéla avoir « vu » son arrivée et qu'un homme – le propriétaire des lieux – reviendrait pour tout lui expliquer. C'est Gadreel qui le fit, deux semaines plus tard. Homme dans la fin de la cinquantaine, kimono dépareillé jeté sur le dos et katana au poing, il se présenta rapidement avant de l'intimer de le suivre.
Il l'amena jusqu'à l'endroit où elle était apparu, un champ de désolation où reposaient encore les carcasses brûlées des soldats qui y avaient de nouveau combattu ici. La chose qui était apparue n'était (heureusement) pas présente. «
Pourquoi ? Pourquoi t'as-t-il envoyé ici ? » siffla-t-il. Junko s'écarta perplexe, évitant de peu le coup de l'homme. Alors qu'elle se retourna, elle sentit l'épée de l'homme entailler sa chair. Puis, un coup de poing l'envoya à terre. «
Peut-être a-t-il un plan pour toi. Il en a eut un pour moi... autrefois » continua-t-il, sybillin avant de tendre la paume de sa main vers la jeune femme étendue sur le sol. Essuyant du revers de sa manche, le sang qui maculait encore son visage, Junko finit par accepté la main tendue de son agresseur. «
Qui ? » demanda-t-elle en fronçant les sourcils.
***
Zuriel, rejetonne démoniaque. Elle lui avait fait part de l'épisode sur le champ de bataille et il l'avait silencieusement écouté. Peut-être que la réalité ne lui avait pas parut si incroyable. En fait, ces explications semblaient mettre un sens sur tout les étranges épisodes de son existence. Fille de Guerre, Cavalier de l'Apocalypse. Gadreel l'avait côtoyé autrefois, désormais ange déchu de la guerre (autre info' à avaler). Il se subsistait de sa nature d'autrefois que deux cicatrices sur ses omoplates et les connaissances acquises au fil des siècles. Gadreel avait été le pantin de Guerre et rien n'assurait à Junko qu'il ne l'était pas encore. Mais qu'importait. Elle avait besoin de réponses.
Après que l'homme l'ait prise sous son aile, elle passa une année en apprentissage, travaillant en parallèle pour les sources. Son corps étant déjà rodée au combat, c'était vers la connaissance de ce nouveau monde que ses leçons se tournaient désormais. Elle peinait à retenir les détails, les glyphes enocheans visant à se protéger des démons. «
Il te retrouvera tu sais ». avait-t-il expliqué calmement. « Ta seule existence n'est pas le fruit d'un misérable hasard. ». Junko n'avait pas avancé plus de questions. C'était à elle de faire son propre chemin, cela elle l'avait bien compris.
«
Ça fait toujours aussi mal ? » gronda-t-elle. « Avec un peu de chance, tu n'auras pas à en ajouter ». Elle grimaça lorsque l'aiguille repassa sur sa chair. Le sceau apposé sous sa peau n'avait rien de semblable à ses autres tatouages. La cérémonie du Don avait été douloureuse mais nécessaire après l'arrivée soudaine de deux démons menaçants. La vieille et Gadreel avait manqué d'y passer et Jun se voyait déjà en train de croupir au fin fond d'une quelconque geôle démoniaque. « Splendide » ronchonna-t-elle.
Le lendemain, Gadreel avait annoncé leur dernier leçon. « Masamune » Elle avait haussé un sourcil, écoutant sans un mot les indications de son maître. « Un sabre, perdu dans un sanctuaire ». S'il elle était capable de le récupérer et de le manier, il y avait quelque chose à sauver de la corruption qui menaçait de la ronger. Sinon...
Son départ fut fixé au soir même – juste avec un poignard et une gourde. Junko revint le matin du troisième jour, l'arme soigneusement rangé dans son fourreau. Elle échangea quelques mots avec ses hôtes, et convint de repartir aussitôt. Son temps ici était fini. La jeune femme étreignit son maître avec reconnaissance et se mit en route. Des obstacles qu'elle avait rencontré dans le sanctuaire, Jun ne partagea rien. La chose semblait trop personnel et seul le résultat comptait désormais.
***
« Pourquoi ?! » cria-t-elle en tirant le col de son adversaire. Ses yeux luisaient d'une lueur farouche irréelle. Des cornus qui se pointaient partout où elle se rendait, Junko ne tenait plus le compte. Elle finit par arracher à l'un d'eux – un peu plus faiblard que la moyenne, peut-être avait-t-il cru tenter sa chance chez la pauvre demi-humaine – qu'il y avait un contrat. Sa tête était mise à prix par son géniteur en personne. Pas qu'il la voulait morte, bien au contraire. Le sceau était-t-il aussi efficace ? Etait-t-elle aussi hors de danger qu'on lui avait promis ? Une montagne de questions l'étouffait et elle continuait ses vagabondages, ses contrats en tant que mercenaire... dans le but, peut-être, de trouver une solution à ce fardeau fillial qui l'amenait tout droit à sa perte.
Son salut vint sous la forme d'une curieuse rencontre. Alors qu'elle aspirait à retrouver le chemin de son monde d'origine, une jeune sorcière lui procura le moyen d'y retourner après lui avoir sauvé la peau d'une bande de brigands sanguinaires. Ce n'était qu'une solution temporaire mais peut-être que se retrouver en terrain connue était un moyen de combattre cette « malédiction » qui la poursuivait.
Elle était de retour.
Enfin. "Fury, oh fury don't you misguide me
I need my wits to set me free"
De par sa nature d'hybride, Junko a hérité d'une fraction des capacités de son père. Celles-ci sont principalement tournés vers l'art de la guerre. La jeune femme n'a cependant pas tout à fait accès à son plein potentiel. Désireuse de résister à l'influence de son géniteur, Junko a sut recourir à différents moments pour résister à sa nature démoniaque. Une tâche qui se révèle de plus en plus ardue pour notre chère combattante.
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organisme résistant - De par son héritage démoniaque, Aya est dotée d'une
force physique nettement supérieure celle d'un être humain. Elle peut dominer la majorité des mortels mais peut se révéler en difficulté face aux démons ou créatures plus expérimentés. La jeune femme est capable de soulever jusqu'à deux fois son poids et de briser un mur de pierre à la seule force de ses poings. Cette capacité est doublée d'une tolérance à la douleur fortement élevée et d'une capacité de
régénération. Elle peut récupérer de blessures graves dans une période de temps allant d'un quart d'heure à deux heures (dépendant de la façon dont elle a été infligée). /!/ Junko n'est en aucun cas invincible. - elle ne survivrait pas à la décapitation ou à des dommages trop élevés. - L'hybride n'est aussi pas soumise aux aléas des maladies humaines.
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pyrokinésie – de façon modérée, Jun est capable d'effectuer un contrôle sur les flammes (mais / !/ pas de les créer). Son corps est aussi totalement ignifugé, une caractéristique qui semble s'être enclenché pour la protéger après avoir survécu à un incendie ayant subvenu lorsqu'elle était encore lycéenne.
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fille de la guerre - elle a hérité de son géniteur démoniaque, une petite fraction des pouvoirs de ce dernier. bien qu'il y ait aussi du travail sous cette adresse au combat, aya possède un talent presque naturel pour le maniement des armes. Il ne lui faut pas longtemps pour saisir le fonctionnement d'un modèle inconnu - cette prise de connaissance étant presque instinctif. ce
sixième sens lui permet aussi de savoir où frapper en combat, voir parfois d'être capable d'identifier le talon d’Achille de son adversaire (don un peu capricieux).
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hemokinesis – découverte assez récemment, Junko est capable de contrôler le sang d'un autre individu (quelque soit la race de la créature, tant que celle-ci possède du sang). Plus la personne en face d'elle est puissante, plus le contrôle s'avère difficile – étant donné que Junko reste une newbie dans le genre.
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bénédiction de la guerre - il s'agit d'une capacité récente qu'a développé Junko et qui ne serait pas tout à fait dépendante de son père (une sorte d'évolution de sa nature profonde). Par contact direct avec un individu, Junko est capable d'accroître d'augmenter le potentiel d'autrui (encore une fois, quelque soit l'espèce) – qu'il s'agisse de ses pouvoirs, de son endurance, etcaera...
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sceau d'héllébore - afin de pallier à ces "problèmes" liés à sa nature profonde, junko possède un sceau (sous forme de tatouage) au niveau des reins. Le motif lui permet d'être occulté du « radar » de Guerre et de résister à son influence.
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faiblesses : de par ses origines, Junko serait totalement incapable de faire face à Guerre (même si elle avait les facultés nécessaires pour le combattre). Ce dernier possède une ascendance presque totale sur sa fille – qui a trouvé à travers l'utilisation de divers symboles, et en se reposant sur sa moitié humaine, le moyen de lutter contre la domination de son père. Elle serait incapable de refuser un ordre direct de Guerre. + affiliée au feu, Jun est sensible aux températures basses. + étant plus proche de sa nature humaine que démoniaque à l'heure actuelle, la jeune femme reste tout de même mortelle. Bien que plus résistante qu'une humaine lambda, elle peut être tuée. + son véritable nom (Zuriel en est la version simplifiée) est une faiblesse supplémentaire si utilisé à travers des incantations. Il n'est connu par personne (pour le moment).
_ «
Masamune » – suite à sa visite au Sanctuaire, Junko a récupéré un long katana doté de caractéristiques spéciales. Plus résistant qu'une arme normale, il lui permet aussi de tailler plus facilement dans la chair d'un individu « mauvais », et de passer sans dommages à travers celle d'un individu bon. La lame semble évoluer en même temps que Junko et répondre à son degré de « corruption démoniaque ».
précis supplémentaires : Les raisons pour laquelle Junko a été amenée à Terra, à proximité de Gadreel, lui sont pour le moment inconnu. Il est possible que l'ancien ange ait été inconsciemment manipulé par le Cavalier ou tout simplement que ce dernier souhaitait avec un intermédiaire pour commencer à forger son héritière. Elle ne sait – ni personne d'autre d'ailleurs – pourquoi Guerre a engrossé sa mère. Il est (fort) probable qu'il souhaitait expérimenté en créant un(e) Emissaire. L'influence de ce dernier sur la jeune femme est notable et cela malgré le sceau. + pour le moment, Junko n'a pas accès à sa forme démoniaque. Il semblerait que d'éventuelles influences infernales pourraient lui permettre d'accéder à son plein potentiel. + Guerre a lancé un contrat en Enfer mais les tenants de ce dernier semblent flous pour le moment, tout comme la récompense promise par celui-ci.
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crédit(s) ; l'image du cavalier est de
theDURRRRIAN (deviant art), les images utilisés pour Aya sont de
puppeteerlee (deviant art). La bannière du haut est de
AndreeWallin (deviant art).