Aussi incroyable que cela puisse paraître... Les choses entre elles commençaient à s’améliorer sensiblement. Difficile de l’expliquer concrètement. Alice avait juste eu vraiment très peur au début, car elle s’était, après tout, réveillée devant une femme-araignée. Or, vu la réputation que les Driders avaient, elle avait de quoi être effrayée. Mais, passée la surprise initiale, elle avait pu se rapprocher de cette femme. On pouvait aussi donner du crédit aux amantes d’Alice, qui, à leur manière, lui avaient appris à ne plus avoir peur du sexe. Indéniablement, c’était bien ça, le sexe, qui avait permis de les rapprocher, et qui les rapprocherait encore. Maintenant qu’Alice n’avait plus peur, elle ne voyait plus forcément Algogia comme un monstre. Alors, certes, Alice n’aimait pas spécialement les araignées, mais elle n’était pas non plus arachnophobe... Même si l’idée de donner naissance à des araignées continuait quand même à l’angoisser un peu. Ce n’était pas très esthétique, après tout ! Mais, pour l’heure, le désir effaçait ses doutes et ses angoisses.
Algogia tissa une nouvelle toile, et elle posa Alice dessus, avant de se rapprocher. Sa langue fila alors à l’assaut de ses lèvres intimes, et Alice serra les poings en gémissant. Ses bras étaient étalées à droite et à gauche de sa tête, et elle se pinça les lèvres, gémissant longuement en sentant la langue de la Drider filer entre ses cuisses. La Princesse se mit à soupirer, ferma les yeux, et remua faiblement les jambes. La tâche était difficile, car la soie la bloquait, mais elle pouvait les déplacer un peu. Yeux clos, elle s’imagina la scène, elle, prisonnière de ce grand monstre arachnéen, au milieu de cette belle toile, et en ressentit une pointe d’excitation supplémentaire.
« Hmmmm... Haaaaa... !! »
Ses joues s’empourprèrent encore, et elle se dandina sur place, incapable de retenir le plaisir qui croissait en elle, s’exprimait entre ses cuisses, et se déversait dans son corps. Elle mouillait encore, longuement, mais était bien incapable de pouvoir faire quoi que ce soit dans sa position. Algogia finit alors par soulever Alice, qui, telle une poupée de chiffon, se laissa faire, avant de se retrouver à l’envers. Elle vit alors l’abdomen d’Algogia se rapprocher, et serra ses poings... Avant de constater qu’elle avait retrouvé l’usage de ses bras, comme si la soie sur laquelle ses bras étaient n’était pas aussi collante que le reste. Devant son nez, il y avait la carapace chitineuse séparant le tronc humain du reste, et elle vit la carapace s’ouvrir, révélant une intimité luisante. Quelques gouttes tombèrent sur son nez. Alice gémit alors. Algogia avait laissé sa verge à l’air libre, bien tendue, qui partait au-dessus de son intimité, et elle continua à s’écraser contre elle.
« Gnnnnnnnnnnnn... !! »
Alice serra les poings, et caressa le corps lisse d’Algogia, son gros ventre, tout en léchant son sexe, fourrant sa langue dans son vagin, se délectant de son intimité, elle-même mouillant de plus en plus. Alice ne le réalisait pas vraiment, mais, par rapport au reste de la pièce, elle avait la tête en bas, la toile d’araignée décrivant un arc ascendant. Elle couinait donc, et ses mains se caressèrent, venant s’agripper à une paire de pattes, ses doigts gantés s’appuyant dessus, s’en servant comme d’un appui efficace pour lécher plus vigoureusement la délicieuse fente intime de sa magnifique ravisseuse...