Oh, Diable, c’était... C’était terrible ! Alice avait pourtant eu des partenaires intenses, qui la prenaient avec férocité, mais cette Drider... Avec son puissant son corps, et ses six pattes arachnéennes, elle disposait d’un appui pour lui balancer de véritables coups de butoir, des ondes qui laissaient Alice en transe, le corps totalement en sueur, la voix se cassant à force d’hurler. Elle tremblait sur place, sentant plusieurs fois son corps menacer de s’effondrer sur le sol, surtout quand Algogia se retirait, et recommençait ensuite, venant solidement en elle, soulevant son fessier et ses jambes, avant de repartir. Elle était là, cette Drider, cette terrible femme, qui avait su, à force de persuasion, mais aussi d’autoritarisme, balayer les doutes et les questionnements d’Alice. Elle la labourait furieusement, et les minutes défilaient à toute allure, pendant que la Drider, imperturbablement, soupirait et la prenait, griffant ses fesses, ses doigts se crispant sur ses hanches.
« Hnnnn... Hnnnn... !! »
Qu’est-ce qu’Alice pouvait faire de plus? Elle laissait Algogia la prendre, de la salive coulant déjà sur le sol, et sentit encore Algogia s’enfoncer lourdement en elle. Ses yeux s’écarquillèrent, et elle la sentit finalement jouir, l’énorme pilon dans son dos se dégonflant progressivement, au fur et à mesure que la Drider se répandait en elle. D’épais monceaux de sperme fusèrent dans son corps, et Alice gémit longuement. Un nouvel orgasme la transperça, et elle sentit à peine les œufs filer, se posant dans son corps, filant en elle, l’engrossant. Son ventre s’arrondit légèrement, en grande partie à cause de cette épaisse quantité de sperme, qui allait servir, avec sa mouille, d’incubateur pour les œufs.
Alice, épuisée, se retrouva ensuite couchée sur le dos, les bras étalés à gauche et à droite de son corps, la respiration lourde. Algogia l’embrassa à nouveau, et termina cette séance, en claironnant que, désormais, la Princesse était à elle. Alice sourit alors, et cligna des yeux, les joues rouges, la bouche entrouverte.
« Je... Haaaa... Com... Combien de temps encore... Vais-je rester ta... Hmmm... Ta ‘‘captive’’ ? »
Et, vu le ton qu’Alice employait, ou l’expression générale de son corps, elle était loin d’être contre cette idée.