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C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

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Henrietta Van Hellsing

Créature

Ha ! Rien de mieux qu'une excursion en territoire inconnue, enfin pas si inconnue que ça, car j'ai toujours des plans. Mon but aujourd'hui était de piéger la triste et célèbre, prison Eternum, en quoi est-ce un défi ? Très simple, primo c'est la prison la mieux gardée, ensuite c'est celui d'où personne n'en est revenue, sauf exception. Ensuite, depuis une tentative d'évasion, il y a de cela une semaine, la sécurité c'est vue augmentée et même un prince se voit fouillé et interrogé avant de pouvoir voir un prisonnier, en gros tous ce qu'il faut pour mettre une raclée à ces humains qui se croient eu dessus des créatures.

En plus j'avais entendue dire que Morte, une de mes sœurs avait été emprisonnée, rassurez vous je vais allez la voir pour ensuite … et bien … la laisser pourrir en cellule, cela ne lui ferra que le plus grand bien, le première chose est l'infiltration et rien de mieux que de passer par la porte principale, ben quoi je suis intelligente ... des fois. J'eus le droit à la fouille , je n'avais rien sur moi, il allèrent même jusqu'à me demander de retirer mes fringues pour s'assurer que je ne cachais pas une lime ou un poignard.

Normalement j'aurais appelée Belphegor et je leur aurait arraché la tête, mais cela aurait ruiné plus de trois jour de préparation. J'eus le droit à l'interrogatoire, je leurs explique que je me suis présentée pour aller voir une détenues, qui était ma sœur et que je voulais lui parler, tous cela avec une imitation parfaite de la grande sœur qui s'inquiète de l'état de santé d'une de ces cadette. Après plus de deux heure à me cuisiner, sans réussir à me faire perdre ma concentration, ils me conduisirent vers Morte et me laissèrent parler avec elle sans qu'il y est d'oreille indiscrète.

- Alors ça fait quoi de connaitre un avant goût des enfer, gamine.
- Rien par rapport à ce que te fera père quand il saura que tu es venus me voir, tu es reniée de la famille rappel-toi cela.

Ma main vola sur sa joue et elle fut bien rouge, Morte massait sa joue pour chasser la douleur.

- Tu as de la chance que je veuille piéger cet endroit, cela te permettra de fuir, si tu profites du bon moment pour courir bien sur.

- Tu n'y arriveras pas, c'est l'une des prison ...
-les mieux protégées, je sais, mais c'est justement cela qui est amusant.

Je sortie de la cellule discrètement et dit avant de m'engouffrer dans les dédale de cet enfer miniature.

- Bonne chance et que l'enfer brule Ta famille de ma part.

J'avais apprit par cœur le plan, le premier endroit à piéger c'était la salle des caméras. Ce fut facile au changement des gardes, qui prenais deux minute, le temps d'utiliser un sort vampirique pour amener le matériel en attente dans une de mes planques et de déposer les pièges, ces dernier étant en cascade, mes préférée. Puis vint la cour, qui me pris environ une heure, il fallait éviter tous les systèmes, sans se faire repérer. Puis pour finit le toit, alors là il n'y avait pas trente-six solution. L'escalade.

Comment faire pour qu'un vampire monte une mur lisse haut de trente mètre, sans savoir un sort permettant cela et ayant la flemme d'utiliser ces ailes … Réponse : Utiliser un sort qui renforce ces ongles, bon l'ennui c'est que j'aurais le droit de les remettre en états demain matin. Je fit donc de l'escalade, jusqu'à un moment où je rata ma prise, seule solution, faire apparaître mes canines et les planter dans la pierre, c'est fort désagréable mais cela évite de chuter de vingt mètres et de se retrouver nez à nez avec des gardes armés de fusil à très grande cadence de tire.

Une fois le mur franchit, sans autres ennuie, je me mit à poser des pièges que j'avais conçu pour cette événements. Il y avait un capteur de vibration, les explosions de mes pièges à l'intérieur de la bâtisse en serait les déclencheurs. Quand je vous disais que j'avais tous planifiée. Je pose le piège, une fois qu'il s'activerait, les gardes croiront à une attaque massive venant de toute part; Je pus souffler et étendre mes jambes au sol en contemplant le ciel décliner vers l'obscurité, mes canines avais disparut, n'ayant plus aucune raison des les utiliser.

Il ne restais plus que d'attendre qu'un des pièges s'activent et mettent ce lieux dans un bains de lumière et de désordre innommable. Je rigolais d'avance. L'avantage quand on est sur le toit, c'est que personne pense à observer cette endroit, on pourrait crier aux gardes que ce sont des abrutie, il n'entendraient même pas, c'est un lieux où le silence est mettre, un lieux parfait pour une vampire comme moi et personne n'irais me chercher des noises.

On a beau dire, piéger un endroit comme ça épuise, quatre sort de ce niveau pompait beaucoup d'énergie. Mais j'avais encore de quoi piéger cet endroit deux fois, trois en m'économisant. Je voulais voir le feux d'artifice et rien ne m'en empêcherais d'admirer l'un de mes plus beau chef d'œuvre du sabotage.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 1 samedi 08 août 2009, 23:50:13

-Hj-Je parlais d'un défi pour moi en fait :) mais ça me change-Hj-

Quand Henrietta sortit de la cellule elle croisa un grand homme bien batti, deux mètres de haut, des muscles saillants, des cheveux noirs en bataille et des yeux comme la nuit. Sa peau était légèrement cuivrée et il ne portait pas le costume des gardiens. Lui n'avait eu aucun problème a entrer dans la prison, lui n'avait pas eu a se déshabiller ou quoi que ce soit de reglementaire, pourquoi ? Parce qu'il payait assez grassement les gardes sans qu'il viennent lui chercher des noises tiens ! On avait pas idée, et puis c'était bien connu, les visiteurs n'avaient pas a se déshabiller, les gardiens étaient juste des pervers. Henrietta serait étonnée de savoir combien de détraqués sexuels il y avait dans cette prison, les prisonniers n'étaient pas a l'abri de devoir se soumettre a l'autorité des gardes. Pour sa part Don venait parfois ici, en graissant la patte aux gardiens, il les avait convaincu de lui mettre les plus belles prises de coté. Leur deal était simple, les prisonnières qui valaient la peine d'être prises, il les prenaient, eux empochaient une somme honteuse d'argent et faisait passer la prisonnière pour morte en prison, celle ci se retrouvait alors sur le marché, et les taulardes, croyez moi, ça vaut un maxx, après qu'il les ait domestiquée elles étaient non seulement soumises et dociles, mais en plus elles provoquaient un frisson de danger et d'adrénaline pour le noble qui les acheterais tel qu'elles faisaient vraiment fureur.

Don croisa Henrietta dans le couloir et détourna discrètement les yeux vers elle...Hm...Une fille du genre garçonne, ses préférées avec un beau corps. Il adorait briser les garçons manqués tels que celle ci. Souriant, il fit signe au gardien qui se mit a chuchotter


-C'est pas une détenue

"Qui t'as dit que je m'en souciais ? Si tu arrive a me l'avoir, je te paye le double de son prix."

Le gardien frémis avant de hocher la tête puis de suivre discrètement Henrietta tandis que Don et l'autre gardien arrivaient devant la cellule, il ouvrit le petit mirador et montra la jeune femme a l'interieur.

-Elle s'appelle Morte, c'est une vampire, et j'ignore son âge

"Je n'aime pas les vampires. Ce n'est pas original."

Fit Don en soupirant avant de regarder par le mirador, celle ci avait néanmoins une apparence décente, l'esclavagiste hocha la tête

"Je vous la prend a moitié prix, vous savez ce que les vampires valent sur le marché, c'est ma dernière offre."

-Ca marche

Lança le gardien soucieux de se débarasser de la femelle, Don s'éloigna dans les couloirs en sifflant alors que le gardien sortait la jeune fille de la salle en l'attachant par ses menottes, ils prirent un détour de couloir différent et ils emmenèrent la jeune femme dans une pièce où se trouvait assis Don, le garde la laissa a lui et lui enleva ses menottes avant de refermer derrière elle, descellant ses pouvoirs magiques sur le coup

-Qui êtes vous? Que me voulez vous?

"Ne t'en fais pas, je suis un ami. C'est grâce a moi que tu va sortir de cette prison, et soit tranquille, je dis toujours la vérité."

Lança Don en se levant de sa chaise

"J'ai de l'influence, enormement d'influence, grâce a cette influence j'ai fait enlever tes bracelets, j'espère que ça sera une preuve de confiance suffisante, si tu coopère, tu sortira de prison par la porte de devant, j'ai juste quelques petites questions a te poser. Cette femme qui est sorti de la cellule, dis moi tout ce que tu sais d'elle."

La vampire sourit en dévoilant tous ses crocs.

-Elle s'appelle Henrietta Van Helsing c'est mon aïnée, elle ne supporte pas le son de la flute qui la neutralise et on peut la tuer seulement si elle est entièrement vidée de son sang

"Je vois"

Fit Don avec un sourire alors qu'il se levait et saisissait Morte par le poignet

-Qu'est ce que vous faites? Vous avez dit que je sortirais

Paniqua t'elle alors qu'elle se débattait mais aucun de ses pouvoirs ne marchaient brusquement. Le pouvoir d'annulation de pouvoirs était entré en jeu et Don frappa la vampire dans le ventre, a présent dénuée de sa super force, celle ci ne lui posait aucun problème. Don lui lança

"Je t'ai dis la vérité, tu sortira, je ne t'ai jamais dit comment."

D'une main il la gifla alors qu'il saisissait ses vetements de  bagnard et les arrachait

A l'exterieur Henrietta sabottait tranquillement tous les dispositifs, observée par les gardiens qui pour le moment la laissaient faire, ils cherchaient un moyen de la faire condamner, mais on dirait qu'elle allait le faire tout seul, Henrietta sous estimait grandement les humains, contrairement aux vampires, ils savaient que leur force était dérisoire.

Voilà pourquoi ils étaient parfaitement organisés et appellèrent en catamini des renforts Ils la laissèrent pieger l'endroit et lorsqu'elle sembla avoir fini trois des gardiens les plus costaud jaillirent de derrière elle pour la plaquer au sol.

Pendant ce temps Don avait installé dans la bouche de Morte un objet spécialement concu pour les vampires : un mords qui possédait un large trou au milieu, il permettait a la dite vampire de pouvoir lui faire une fellation sans prendre de risqu'elle le morde a cet endroit inaproprié, saisissant Morte par les cheveux, il avait fini par jouir dans celle ci et la remplir


-HJ-Ce topic sera divisé en deux situation, la première sera le combat d'henrietta, la seconde sera le sexe avec Morte :) a toi de jouer !-HJ-
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Henrietta Van Hellsing

Créature

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 2 dimanche 09 août 2009, 00:46:09

Partie Henrietta :

D'un coup, mon sens de vampire m'indiqua un danger, peine perdu trois colosses me maîtrisèrent au sol. Un erreur qui allaient leurs coûter très chère, alors que l'un me prenait à la gorge j'articulai avec difficulté.

- Bel ... phe ... gor.

Dès que ce mot fut sortie de ma bouche un vent d'une violence inouïe balaya les agresseur, je prit ma faux en main, crachant par terre pour chasser cette impression d'avoir été étranglée. Je remarque qu'un bout de mes cheveux étaient par terre, ces humains avaient osés toucher à mes cheveux

- Bande de larves, vous allez me la payer. Phantom.


Cette technique faisait des merveilles contre un groupe, les trois colosses se virent à terre en train de vomir les repas de la journée. La technique alliait et précision.

Des lumières puissante me visèrent, m'obligeant à supprimer mon sens de la vue, un des plus important chez un vampire, puis je reçu un liquide, de l'eau bénite. Cela eut comme conséquence de me faire rire. Un  guignol voulut m'attaquer, il eut le malheur de crier, un débutant à tous les coup, j'en avais un peu marre d'avoir l'impression d'être une souris en face de matou de salon, aussi je sortie le grand jeu.

- Belerophon


Ma faux devint un katana argentée, et je décapita le débutant, je concentra mon énergie et détruisit les spots, en ouvrant les yeux je vit pourquoi la prison avait comme renommée, la prison des enfers. Deux cent gardes m'entourais, même avec la technique la plus puissante, il y aurait encore assez de monde pour me maitriser. Dès cette instant je réfléchit et un type s'avança vers moi avec le sourire.

- Allons, du calme mademoiselle, vous n'avez pas encore fait quelque chose qui mérite la peine de mort, nous ne voudrions pas utiliser ceci contre vous.

Je pus voir un collier avec en sont centre une pierre écarlate où semblait se refléter un crâne de démon. Je baissa mon arme et le renvoya, cette pierre était crainte de tous le monde, quiconque le porte se voit infliger ces faiblesses, souvent jusqu'à ce que mort s'en suive, cette pierre avait un nom : la lame de la mort.

- Je ne savais pas que des humains pouvaient prendre cette pierre sans mourir.

- C'est un cadeau d'une personne qui voulait que certaine détenue se tiennent tranquille.

Les gardes m'enchainèrent, il faut dire que je n'avais pas encore jouée ma carte maîtresse, alors qui voulurent me faire descendre, je mordit le cou à un humain trop proche et me jeta dans le vide, pour éviter de m'écraser au sol et d'en souffrir, je couru sur le mur, pour sauter et rentrer dans le bâtiment, c'était le seul  moyen de les semer, je connaissait, via les plans, celui-ci mieux qu'eux et je me réfugia dans un des couloir d'aération, en attendant de récupérer un peu, tout cette dépense d'énergie m'épuisais et savoir que ces humains avait cet pierre ne me rassurais pas le moins du monde. Comment diable était-il au courant de mon plan.


------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Partie Morte :


Morte comprit bien vite à qui elle avait à faire, aussi le son de la bataille en haut fit sourire la gamine, elle espérait que cette pouffiasse de Henrietta crève et souffre bien avant de donner son dernier soupir, mais ce qu'elle voulait surtout c'était la tuer elle même. Aussi se dit-elle que ce colosse pourrait l'y aider, bon après être esclave n'a pas vraiment de contrainte, obéir, baiser manger, dormir, c'étati une vie qui ne lui déplaisait pas trop.

Aussi fit elle un fellation dont elle a le secret, bon se qui était dommage c'était ce machin qui l'empêchait d'en faire une aussi bonne que d'habitude, mais elle ne s'en plaindrait pas. Quand Don se vida dans sa bouche, elle bu tous le sperme qui avait un bon goût. Avec un ongle elle se saigna l'index et écrivit sur le sol.

- Pourriez-vous m'aider à me venger d'Henrietta, maître ? Vous pourriez avoir deux esclave par la même occasion.

Morte avais très vite comprit que sa vie serait comme ça, mais savoir que Henrietta ne recevait rien la mettait en colère, elle voulait pratiquer ces techniques sur cette grande sœur qu'elle avait toujours détestée. Comme preuve de bonne volonté, elle aspira tous le spermes qui restait et attendit les ordres de son nouveau maître. Cette fille est une cinglée, elle aurait vendu son âme au diable pour pouvoir faire souffrir son ainé.

Pourquoi Morte détestait sa grande soeur ? primo car elle avait transfusée son sang sur une servante, une vulgaire humaine, ce qui aurait fait une vampire imparfaite, mais l'aurait libérée de sont rôle de domestique.
Ensuite car elle avait pleuré la mort de cette servante qui n'était qu'une simple humaine et enfin. Car Henrietta a faillit la tuer quand elle avait dit qu'une servante se remplaçait aussi facielement qu'un jouet et que, malgré tous cela, elle soit encore une vie et non condamnée à mort, comme l'exigeait la règle.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 3 dimanche 09 août 2009, 01:12:28

Le garde fit craquer les os de ses articulations et lança avec calme et sérénité

-Tu es dans la Prison éternum ici.

Alors qu'il parlait une dizaine de gardes avançaient a l'avant, le premier se dressa devant le vampire le front haut alors qu'il brandissait devant lui son épée qui se mit a briller de flammes d'or tandis que deux autres de ses pairs faisaient de même, des paladins de l'Ordre Immaculé. Le pire ennemi de créatures telles que les vampires, les démons et tous les humanoïdes monstrueux, l'eau bénite n'avait certainement pas réussi a repousser Henrietta, mais leur sainte magie oui. Derrière eux trois femmes activèrent d'une pression le système sur leur poignet alors que de leur dos jaillissait une armure de metal intégrale équipée de différent canons lasers, des soldats de Tekhos. A coté d'elles, un homme et une femme de forme féline montrèrent des crocs aiguisés avant de voir leur corpulence doubler et de se changer en loups. Des Garous d'Ashnard. Les deux derniers gardiens sourrirent alors que le premier faisait jaillir des éclairs de ses paumes et que le second créait une orbe d'un vert gélatineux dans sa main, deux ESPERS. Le chef des gardiens lança avec un petit rire

-Tu t'attendait a ça ? Tu n'es pas la seule a détenir des pouvoirs ici et des moyens de stopper.

Si henrietta avait les plans de la structure elle savait peut être que tous les états du monde lui envoyait des subventions, ici il y avait de toutes les menaces et les moyens de retenir indéfiniment tous les prisonniers. Devant elle, Dix personnes aux pouvoirs spéciaux, et il devait y en avoir bien plus dans la foule des deux cent gardes.

-N'oubliez pas les ordres ! Ne la tuez pas ! Maitrisez la !

Les paladins se mirent aussitôt a prier, déployant autour de la gorge de chacun des hommes une auréole de lumière qui préviendrais Henrietta de toutes les morsures qu'elle leur ferait, que ce soit a la gorge ou ailleurs, leur peau la bruleraient alors comme du feu, les garous se ruèrent vers la vampiresse tandis que derrière eux les femmes de Tekhos offraient un tir de couverture, propulsant de leurs canons différents projectiles, car même si Henrietta était plus forte qu'eux, ils avaient quelque chose qu'elle n'avait pas.

Ils travaillaient en equipe.

La première des Tekhanes tira un projectile de fumée alors que la seconde tirait un puissant jet d'eau que l'Esper electrifia, la troisième des Tekhanes surchargea Henrietta de balles, les tirant a la mitrailleuse. Quand au dernier esper, il restait en retrait, préparant surement quelque chose.


****************************

Dans sa cellule Don ne faisait pas attention aux bruits d'affrontement, et s'occupait de la vampiresse, il lui retira son bloqueur alors qu'elle souhaitait apparement lui parler. DOn pouvait annuler ses pouvoirs, mais il ne pouvait pas l'empecher de sucer du sang, comme c'était une habilité naturelle, aussi resta t'il en retrait et écouta Morte avec distance avant de lui donner un coup de pied dans le ventre

"Qui t'a donné l'autorisation de me donner des suggestion esclave ? Est ce que tu me crois assez bête pour ne pas y avoir pensé ? Si il y a quelqu'un de stupide ici c'est bien toi pour t'être fait prendre."

Après tout c'était Don qui avait imaginé ce plan pour laisser Eternum régler le problème a sa place. Lui n'aurait qu'a attendre qu'ils lui ammenent Henrietta. Cette pièce était aménagée exprès pour Don quand il faisait ses visites ici, il récupara un martinet et lamina le dos et les fesses de Morte avant de saisir une petite boite.

"Les vampires comme vous me dégoutent. Votre arrogance n'a pas de limite"

Fit il avant de saisir une pincée de poure et de la répendre sur les coups, c'était du sel, en plus de provoquer de nouvelles douleurs chez Morte ça voulait dire que les blessures sur son corps ne se refermeraient jamais et laisseraient des cicatrices permanentes. Normalement Don n'abimait pas ses marchandises, mais chez les vampires, ça faisait monter leur côte, leur donnant un petit coté torturé plutôt qu'une peau blanch laiteuse qu'ils arboraient toujours peu importe le maitre. Il la saisit par les cheveux et la retourna

"Tu semble plutôt expérimentée, je ne vais donc pas me géner."

Fit il alors qu'il s'enfonçait en elle et commençait ses va en vien tout en empoignant ses seins, il la ramena contre lui, la prenant de dos pour ne pas être mordu.
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Henrietta Van Hellsing

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 4 dimanche 09 août 2009, 01:44:57

Partie Henrietta :

Et merde, ils m'avaient découvert bien vite ces humains, c'est en les regardant que je comprit vite mon erreur, ils étaient tous sauf des humains, il y avait des membres de cette église à deux balles qui avaient tiré leur épingles du jeux en faisant la chasse à tout être démoniaque, ils ne savaient sans doute pas la différence entre un démon et un vampire, je pus voir d'autre personne tout aussi spéciale dans la dizaine de personne, je n'avais qu'un sortie, celui de fracasser la ventilation et de passer par les cuisines, un endroit parfait pour piéger un vampire tels que moi, car il n'y aurait que deux sorties à condamner. il travaillèrent ensemble pour œuvrer à ma capture. Il ne m'aurais pas vivante, plutôt crever, si c'est pour que ma famille m'achète et me prenne pour une servante à tous faire et quand je dit tous faire, c'est absolument tous, alors la mort était préférable.

- Vous pouvez rêver bande de mollusque.

Ne pouvant pas me libérer de mes chaines, qui semblait faite pour tenir sous ma force, je pris la fuite, donnant des coups de savates au sac a puces qui voulaient me mordre la cheville, l'un d'eux eut la tête explosé contre le ventilateur qui le tua net, l'autre, lui eut la chance de pouvoir atteindre ma cheville, mais Belerophon apparut une seconde pour lui couper la tête. Je ne devais pas l'invoquer trop souvent, sinon ils pourraient vouloir l'enfermer, je tomba dans la cuisine et me dirigeai vers une porte de secours en boitant.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Partie Morte :

Morte se prit un coup dans le ventre, la faisant crier de douleur, effectivement cette petite vampire n'avais rien d'une combattante et n'avais pas de connaissance en douleur que pendant ces séance sado-masochiste, bien qu'elle avait un peut de mal à y trouver un plaisir quelconque.
elle murmura.

- Mes excuses maître.

Elle étouffa des cries de douleur quand elle sentit sont corps agressé par un objet qu'elle connaissait très bien, mais elle ne fut pas au bout de ces surprises en sentant une douleur la transpercer, elle vit l'origine de sa douleur, du sel. Seul Henrietta savait en guérir, ce qui donna un excès de rage à la vampire, qu'elle gardait pour l'arrivée de sa grand sœur.

Elle se fit mettre dos à son maître et se fit pénétrée à sec, la faisant pousser de cris d'abord de douleur, puis rapidement de plaisir, elle gémit bien quand Don commença à s'occuper de ces seins dont elle était fière, car ils étaient plus grosse que sa grande sœur.

- Vous êtes si bon mon maître.


Quand je vous avait dit que cette fille était une cinglée, elle ne s'apercevait même pas qu'elle allait connaitre l'enfer des esclaves. D'un autre côté c'est la plus avide de sexe de la famille, donc il ne faut pas s'étonner qu'elle aime ça, surtout si c'était un colosse avec une grosse bite qui la dominait.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 5 dimanche 09 août 2009, 02:20:09

Les gardiens se dispercèrent rapidement pour retrouver la captive, les paladins se ruèrent dans les couloirs suivit d'une foule d'autres soldats, les Tekhanes utilisèrent les réacteurs dans le dos de leur armure de Combat pour bondir depuis la cour au dessus du batiment. Le chef cria

-Encerclez là ! Elle ne doit pas sortir du batiment F !
-Cette gamine a tué Hubert et Aline, comme si c'était des jouets
-Plus ils sont grand, plus ils tomberont de haut !

Répondit le chef de la prison a l'homme a la boule verte, celui qui utilisait la foudre se tourna vers le chef

-Je m'occupe de désactiver ses pieges

L'esper se mit a foudroyer le terrain, a distance respective néanmoins au cas où ça lui peterais a la gueule, les décharges qu'il envoyait allait plus court-circuiter les pieges qu'autre chose. En un coup il en fit exploser pratiquement les 3/4, les pieges avaient en réalité été neutralisé par l'homme aux sphères gluantes qui avait non pas attaqué, mais répendu son pouvoir partout sur ceux ci. Le chef se tourna vers l'homme a la sphère verte.

-Gérard, bloque moi le conduit d'aeration
-A vos ordres

L'homme posa sa sphère sur l'entrée des conduits alors que celle ci se tapissaient instantanément de slime gluant vert qui empecherait Henrietta de passer sans s'embourber.

PEndant ce temps les paladins barricadaient des issues, deux d'entre eux étaient occupés a benir des portes pour qu'elles brulent henrieta a son contact, bientôt ils auraient tout béni. L'eau benite n'avait pas marché sur elle, pour la bonne raison que celle ci n'était pas bénite PAR l'ordre. Elle faisait d'ailleurs depuis longtemps la chasse a la contrefaçon.

Quand a Henrietta, elle vit dans l'encadrure de la porte une quarantaine de gardes lui bloquer le passage


***********************
Cette petite vampiresse était bien bavarde malgré son destin, elle l'avait rapidement accepté, c'était louche, soit elle comptait lui fausser compagnie, ce qui n'arriverais pas vu le contact qu'il avait avec elle depuis 20 bonnes minutes elle n'aurait pas ses pouvoirs avant demain, et comme il continuait a la toucher ça ne faisait qu'acroitre au compteur...Qu'a celà ne tienne, il allait rapidement lui faire regréter sa décision. Si il ne voyait pas Morte être déchirée par ce qu'il allait lui faire et qu'elle regrette, qu'elle le haisse ou le maudit, il n'aurait jamais confiance pour la vendre a ses clients, car elle devait passer par là AVANT d'être soumise, sinon ça voulait dire qu'il allait où elle le voulait.

Cette vampire semblait completement accroc aux parties de jambe en l'air et il comptait bien en profiter un maximum, il lui sussura a l'oreille


"Morte...Ma chère esclave. Ca te dirais d'être là quand je déflorerais ta copine?"

Lança t'il avec un ton mielleux tandis qu'il entrait et sortait en elle, il lança

"Je te laisserais peut être même intervenir quand j'aurais fini de jouer avec elle, a une condition."

Lança Don alors qu'il s'arrêtait brusquement de lui donner du plaisr, profitant de l'effet de manque qu'il lui procurait pour lui soutirer les informations

"Dis moi tu as parlé d'une famille, où se cache t'elle, et combien de membres féminins comme masculins compte t'elle? Parle moi d'eux. Si je suis satisfait je te laisserais ce plaisir."

Elle allait surement lui dire dans l'urgence du moment pour elle d'avoir sa dose de sexe. Après quoi elle s'en voudrait, mais si elle ne le lui disait pas il avait encore de nombreux moyen de la faire parler.
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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 6 dimanche 09 août 2009, 03:05:27

J'entendis du remue-ménage dehors, de quoi me faire hésiter à metter la main sur la poigné, à la place j'arrache un de mes cheveux et le laisse tomber sur la poignet, la bénédiction le brula entièrement.

- Et merde. L'autre doit être pareil.

Je regardai le conduit et il y avait quelque chose qui m'y attendait. J'étais prise aux pièges, mais je n'allait pas m'avouer vaincus devant des êtres inférieurs. Je sentis d'un coup un présence familière. Celui-là avait la fâcheuse tendance d'apparaitre dans des situation fort compliqués et se moquer de moi.

- Lursse ! Sort de ta cachette !

un démon apparus devant moi, le sourire aux lèvres.

- Alors on est prisonnière dans une cuisine, j'espere que ce n'est pas toi le plat principal.
- Dis moi ce que mon ex-vieux veut, au lieux de faire le guignol.
- Le maître est au courant de la situation de Morte et voudrait te donner une tâche importante.
- Laquelle ?
- La tuer
- Je ne tue que par vengeance et non pour un caprice d'un pervers.
- Tu n'as pas le choix rappel toi de cela.
- Tss, j'essaierais, mais donne moi un indice pour m'enfuir.
- La capitulation peut être salvatrice.

Et ce démon disparut comme à chaque fois en riant comme un taré, personne ne savait pourquoi il pouvait apparaitre dans une enceinte que l'Ordre même bénissait et repartir sans la moindre égratignure . Je prit une serviette, ouvrit la porte et m'agenouille en mettant mes mains sur la tête.

Morte devait mourir ce soir et c'était à moi de le faire, nul doute que pour que ce déchet me demande cela, c'était qu'il y aurais une grave conséquence, même si pour moi cela serait de leurs fautes et non de la mienne, mais quoi que j'en dise, j'étaie toujours sous le serment de la famille et cela, rien ne pouvait l'effacer.

- J'abandonne, vous avez gagné.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Morte continuait de gémir et crier de plaisir sous le traitement de Don, elle ne dit rien, mais en voulait encore, encore plus. Elle ne savait pas qu'à ce moment son père avait décidé de la mettre à mort pour la faire taire et ce débarasser d'un élément qui serait un handicap pour la famille. Quand la question de Don effleura son esprit elle répondit entre deux gémissements.

- Oui maître, j'en serais ravie.

Quand elle sentit les mouvements s'arrêter, elle fut en manque et tremblait, elle voulait sentir ce membre continuer de lui traverser le vagin. Mais la demande la fit changer du tout au tout.

- Je peut vous dire l'effectif de la famille et de ces servantes, mais par contre dire le lieux où ils habitent signerait ma mort immédiate. Dès notre enfance nous faisons tous vœux de ne pas divulguer l'endroit où nous vivons sous peine de mourir avant que les mots ne sortent de notre bouche. Je suis désolée maître, mais je ne veux pas mourir, tous ce que je veux c'est faire du mal à Henrietta, la faire connaitre une mort lente et douloureuse, parce qu'elle aurait du crevée en faisant l'un des tabou des vampires. Pour le peu que je puis dire, nous somme sept frères et six sœurs, Henrietta ne comptant pas. Il y a trois démone et un démon, eux quatre chargé de transmettre des messages, il y  a notre père et notre mère, ainsi qu'une cinquantaine de servante.

Morte voulut bouger pour sentir son membre en elle, amis n'y arriva pas. La famille Van Hellsing avait toujours réussit à cacher sa présence de tous esclavagiste et même si cela devait conduire à la mort de plusieurs de leurs rejetons.

- Je suis désolée maître, vraiment désolée.

Morte n'était pas du genre suicidaire, loin de là cette idée, mourir par le serment était quelque chose d'horrible et le spectacle affreux. Puis quelqu'un frappa à la porte avec une furie au son de la voix d'Henrietta.

Don

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 7 dimanche 09 août 2009, 03:34:38

Henrietta fut attaquée par la cinquantaine de garde a peine eut elle finit d'en placer une, ils la frappèrent de leurs armes pour la réprimer, ils n'étaient qu'humains, elle avait tué deux garous a elle toute seule, elle était une menace potentielle et ils ne s'arrèterent que quand elle eut son compte de coup de matraque, c'est a dire, jamais, il fallait que les paladins de l'ordre arrivassent et arrétèrent les gardes en appellant au calme, le corps d'Henrietta était couvert de bleu et ensanglanté, le paladin lança avec une voie forte.

-Imbéciles ! Vous ne la tuerez point ainsi, il ne lui faudra que quelques minutes pour retrouver l'étendue de sa forme, les vampires se régénèrent.

Le prêtre saisit Henrietta par les cheveux et la traina alors qu'il était suivi par ses deux accolytes. Les trois paladins l'entrainèrent dans une cellule d'intérrogatoire pleine d'objets de torture, le plus vieux lança

-Frère Baptiste, attache la solidement a la planche a épine

L'homme acquiesca alors que le chef regardait les objets de torture sur la table, il lança sans se retourner a Henrietta

-Une abbération telle que toi mérite d'être tuée sur le champ, ne t'en fais pas, tu trouvera le repos une fois morte, et tu pourra faire alors pénitence.

Les piquants se plantaient dans le dos d'Henrietta et commençaient a la vider de son sang, saisissant un petit couteau et un autre il s'apprétait a la vider de tout son sang et de la bruler comme l'hérétique qu'elle était. Il allait désobeir aux ordres et la tuer ici et maintenant. Fort heureusement, le prêtre avait l'air expérimenté, et les deux paladins semblaient jeunots, car aucun des deux n'avaient beni ses fers, ce que voulait surement dire l'homme en disant "attachez la"

*********************

Don se retira avec dégout de Morte, la laissant en pleine envie sur le carrellage froid alors que le chasseur lui écrasait la gorge avec le pied, elle ne respirait peut être pas, mais ce n'était pas agréable. LE marchand d'esclave se tournait vers l'étagère et attrapa le fouet avant de fouette Morte sur tout l'avant de son corps, écrasant ses seins, balafrant son ventre et ses hanches alors qu'il saissait la boite de sel, l'ouvrait et la vidait entièrement sur la vampire

"Tu es mon esclave, ta famille maintenant c'est moi. Ta vie a présent c'est moi. Ne me sous estime pas, vous les vampires vous êtes vains et arrogant, et j'ai descendu beaucoup des tiens qui se croyaient a l'abri, l'église n'est pas la seule a tout savoir de vos faiblesses."

Don savait très bien que ce monde était fictif, par conséquent il connaissait bien mieux que n'importe quel homme du peuple les faiblesses des vampires, comme il les avait lu

"Et si la mort viens avant que les mots ne viennent, tu es déjà condamnée non ? Tu m'en a non seulement trop dit, mais en plus de ça, les vampires sont arrogants et prudents, ils n'accepterons pas que tu puisse me délivrer ton secret, en restant en prison, ou plus tard avec moi. Tu représente toujours un risque"

Il sourit et lança a la vampiresse en s'asseyant dans le fauteuil derrière lui, nu comme un verre, son sexe tendu vers Morte comme une provocation.

"Dis moi ce que tu sais, et je te promet que personne ne te tuera, tu sera sous ma protection, et tu verra Henrietta cracher exactement la même chose que ce que tu sais avant la fin de la journée, en plus de ça, tu pourra également finir ce que nous avons commencé. C'est d'accord ?"

Lança Don avec une voix impérieuse

(On fait durer encore un peu la poursuite ? Jveux voir si je peux faire craquer Morte avant de m'occuper d'Henrietta :) )
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Henrietta Van Hellsing

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 8 dimanche 09 août 2009, 04:12:52

Je fut ruée de coups, ce n'était que des petite piqures, même si cela me faisait des bleu et des saignements, mais cela n'étaient que mineur, il suffit d'avoir la volonté et elle cicatriseraient vite fait. Quand ils furent arrêtée j'eus un sourire, ils étaient marrant, leur figure remplies de haines et pourtant ils devaient s'incliner devant des représentant d'une église décadente et bancale, qui finirait par s'écrouler sous leur propre pêchés.

Puis je fut amené comme une vulgaire poupée dans une salle que je connaissais, pour l'avoir vue dans le manoir des Van Hellsing, une salle de torture et presque la même hormis la table d'outils. Je ne resta pas bien silencieuse face aux insulte.

- Va te faire enculé par ton dieux espèce d'humain décrépit. Je ne mourrais par car mon destin n'appartient à personne et surtout pas à un vioque de ton genre.

Je me mordis la langue pour ne pas crier, même si mon corps réagissait pour limiter la douleur. Il en me restais plus qu'un seul choix et je devait le prendre vite fait. EJ prit une inspiration et psamoldia.

- Du sang que j'ai versé, que mes chaines deviennent épée, et transperce mes liens et mes ennemies redoutés.

La table d'épine trembla et les épines furent éjectées partout, transperçant mon corps et ceux des trois prêtres, qui moururent sur le coups. Je force sur mes lien qui cédèrent et tomba a genoux au sol. J'appelle ma faux pour m'en servir de bâton d'appuis et décida de me cacher dans   un endroit que peu de personne irait. Le sous-sol, là où état enfermée les pire créatures que ce monde avait engendré et là aussi où personne n'osait y aller, car si l'on y allait, on en ressortait pas vivant, mais j'avais encore assez d'énergie pour refaire ce sort une fois. une minute suffit pour résorber mes blessures et je bu le sang des prêtres pour combler celui qu'ils m'avaient fait perdre, leurs sang étaient infecte, mais nourrissant. J'entendis des bruit de pas et me planque sous un lit d'une des cellules ouverte, en faisant disparaitre  Belphegor.

Je vis leur pieds passer devant mes yeux sans s'arrêter, ils ne semblaient pas savoir que j'étaie là, tant mieux.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Morte ne bougea pas quand, elle reçu les coup de fouet et se tordit de douleur quand le sel s'imprégna sur les plaies, rien de bien réjouissant. Elle tremblait, oui cette peste tremblait, de peur et de manque, elle ne savait aps quoi choisir, elle ne pouvait pas formuler ces mots qui la tuerais sur le coup, alors eut-elle une idée.

- Je ne peut le dire, mais je croit que si je suis assez vague je peut l'écrire, maître.

Morte tremblait de peur, elle en savait pas si cela marcherait et avait peur que cela la fasse mourir, mais elle voulait aussi avoir se sexe en elle et pouvoir s'amuser à faire souffrir Henrietta, quand elle sera capturée. elle prit une crayon en tenta une lettre, elle eut un horrible douleur, constat qu'elle n'était pas morte elle continua s'arrêtant à chaque lettre, car cela la faisait souffrir. Manque de chance pour Morte l'adresse était très longue et à la moitié elle souffrait tellement qu'elle ne pouvait pas continuer.

- Je n'y arrive pas maître, le mieux serait de vous y emmener, mais la nuit. Seul henrietta peut se balader le jour.

Morte était par terre entrain de souffrir le martyr. Elle essaya de prendre le stylo, mais la douleur revint à la charge.

- Désolée maître, je suis inutile, il faudra que vous le fassiez avouer par Henrietta, elle est la seul qui puisse vous le dire, sans que le serment en la tue.

Don

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 9 dimanche 09 août 2009, 04:29:25

La façon horrible dont Henrietta avait massacré les paladins fut vite découverte et la chasse a la sorcière continua néanmoins les recherches allaient être bien plus faciles qu'elle ne l'imaginait. L'homme fronça les sourcisl en découvrant les corps des paladins dans la salle de torture, il se retourna vers ses hommes et lança

-Ces hommes n'ont que ce qu'ils méritent, écoutez moi vous autres ! Que celà serve d'exemple a tous, ces hommes ont voulu enfreindres les ordres a cause de leur religion, a cause d'eux notre prisonnière est en fuite.
-Chef!

L'esper aux pouvoir de foudre arriva et lança au gardien chef

-Chef tout le batiment est scellé a l'exception de l'aile des monstres, elle a du y prendre refuge
-Frank ! Vérouilles les cages, elle ne doit pas libérer les créatures ! Elle n'aura nulle part où se cacher
-A vos ordres

D'un simple coup de jus dans le boitier de commande toutes les portes haute sécurité de l'allée des monstre furent vérouillées, ces portes avaient été concues expressement par les Tekhanes pour résister aux créatures et magiciens les plus puissants. Elles étaient faites d'energie pure a travers laquelle on pouvait voir si le prisonnier était encore là puisqu'affichant une vision infrarouge par détecteur de chaleur/mouvement. Tout ça pour éviter le bon vieux truc du geolier leurré dans la cage. Si Henrietta était dans une cage, ils le sauraient.

Du coté de la vampiresses les gardes se dispatchèrent et commencèrent a fouiller les cellules


***********************

Don soupira et se leva, il attrapa Morte par les cheveux et la traina au bord de son atelier, des braises il sortit deux aiguilles longues et fine et immobilisa henrieta avant de lui percer les mamelons, une pratique extremement douloureuse, mais également insérant un fort plaisir en elle, une fois insérées, il les retira et passa dans chacune des auréoles une petite poignée, comme dans le nez d'un taureau, il lança

"Ah, maintenant je reconnais bien une esclave, tu as mal maintenant ?Qui est le plus douloureux, ton maître ou ta famille?"

Il la plaqua contre le sol et s'enfonça en elle sans douceur avant d'utiliser ses hanches pour aller et venir en elle, il lui montra le stylo et le papier

"Ne crois pas que j'ai oublié, mais j'ai néanmoins fait un effort pour que celà te soit moins pénible, remercie moi et écrit"

Lança Don, 3 raisons pour laquelle elle allait y arriver cette fois.
-Lui en elle, ça la boosterait moralement
-La douleur de ses nouveau piercings allaient assourdir sa propre douleur
-Son pouvoir d'annulation des pouvoirs empecherais la malédiction de la famille de l'atteindre tant qu'il était en contact avec elle, elle n'avait aucun pouvoir.

Si une des trois raisons échouait, les deux autres rattraperaient le coup.


"Tu aime chienne ? Allez aboie un peu pour voir !"

Gloussa t'il avant de la fesser violement
« Modifié: dimanche 09 août 2009, 04:40:40 par Don »
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Henrietta Van Hellsing

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 10 dimanche 09 août 2009, 05:08:14

J'entendis des portes se fermer, sans hésiter, je sortie de la cellule qui se ferma derrière moi. J'avais eus de la chance que mon instinct mais dit de partir. Maintenant j'étais à découvert, mais j'avais aussi l'effet de surprise de mon côté. Je posa des pièges invisibles et me planque dans un coin du plafond, me retenant avec mes jambes et mes mains.

J'entendis une voix dire.

- Ici la section 4, rien à signaler pour l'instant, continuons la recherche.


Le pauvre avait à peine finit sa communication que l'un de mes piège lui sectionna la jambe et la tête, les cinq autre finir sous la lame de Belphegor. Je replaça de pièges différents et changea de position, l'erreur pour quelqu'un qui s'embusque c'est de ce mettre deux fois au même endroit.

Je pus tuer cinq section de cette manière, mais je n'avais plus de matérielle et devais opter pour quelque chose qui me plaisais guère, je devait foncer de front et me trouver une sortie. JE murmura à ma faux.

- C'est le jour de montrer ta force en puisant les miennes.

Je lança ma faux en l'air qui me transperça le cœur, l'arme disparut et des ailes fait d'épée argentée apparurent dans mon dos.

- Cyhiraeth.

Je courut à une vitesse phénoménal devant mes adversaires, qui n'eurent le temps de voir que leurs morts, cinquante personne moururent en un instant, je répugnais à faire cette technique, mais ma vengeance devait être exécutée avant ma mort, je vis le mec avec sa drôle de sphère et voulut le tuer, une fois lui mort, les sceaux partiraient, je voulut donc le trancher de mes ailes, mais une force me repoussa en arrière, avec beaucoup de violence.

_____________________________________________________________________________

Morte se laissa faire quand Don lui prit les cheveux, elle avait arrêtée de vouloir se débattre depuis longtemps et puis sans doute allait-il se débarasser d'elle. La vérité fut très douloureuse, elle était dos au sol et son buste se leva quand les aiguille et les percing furent mit, elle souffrait tellement que aucun son ne sortait de sa bouche. Quand la question vint elle répondit aussitôt.

- Je souffre maître, votre douleur est plus forte que celle de ma famille.

Elle eut moins mal quand Don se mit à la pénétrée. Elle recommença à gémir de plaisir, aussi elle prit le stylo et marqua le reste de l'adresse, elle ferma les yeux à la dernière lettre et constata qu'elle était encore en vie. Elle entendis la demande de son maître et fit exactement ce qu'il attendait de la demoiselle, glapissant de temps à autre.

Elle attendait aussi la venue éventuel de Henrietta pour la faire subir un traitement que son maître avait de grande chance d'apprécier. mais pour l'instant Morte était occupée à combler son maître du moindre de ces désirs.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 11 dimanche 09 août 2009, 05:27:22

-Repondez je répète répondez !

Cria le supérieur avant de serrer les dents il lança aux membres de l'unitée spéciale

-Repli
-Quoi?
-EN ARRIERE!

Henrieta pourfendit les 50 soldats en un instant alors qu'elle jaillissait a toute vitesse. Frank et Gérard se tournèrent vers elle et le second plaqua la main sur le sol, la recouvrant de substance gélatineuse et gluante qui empecha Henrietta de se déplacer, Frank serra les dents

-Ca c'est Pour Hubert et Aline, monstre !

D'un seul coup il déchargea toute son electricité a travers la gelée, foudroyant henrietta sur place comme sur une ligne haute tension tandis que Gerar, loin de rester inactif faisait monter la gelée le long de son corps pour l'envelopper jusqu'a la tête avant de la solidifer d'un seul coup.

La vampire était immobilisée

***********************

Don saisit le bout de papier négligement, il était temps pour cette mascarade de s'achever, il mémorisa le lieu avant de ranger le papier dans sa poche, il lança a la vampire


"Si tu as menti un sort pire que la mort t'attend."

Fit il alors qu'il la prenait soudainement encore plus violement, frotant sa poitrine encore douloureuse contre le sol alors qu'il accellérait le rythme, il lui lança

"Alors c'est ça les redoutables vampires ? Regarde toi, tu es un animal et tu es fière de l'être, tu as été réduit a moins qu'une bête par un humain. Est ce que c'est pas pitoyable ? Et maintenant l'humain va venir en toi."

Quelques va et vien final dégagea Don de ses responsabilité envers Morte alors qu'il saisissait le fer rouge en train de chauffer et qu'il la marquait sur la fesse gauche, procédé douloureux, mais qui avait un but

"A présent tu te souviendra toujours a qui ta vie appartiens. Est ce que c'est clair?"

Don regarda sa montre (Il était seul qui en avait une dans cette dimension) il avait mis trois heures a torturer cette malheureuse et aucun signe d'Henrietta, il décida alors d'achever la préparation a la vente de Morte, il la saisit et la maintint avec des lanières et lui ouvrit grand la bouche, la maintenant par d'autre lanières avant de s'appliquer a lui limer les crocs. Le processus était extrèmement douloureux pour le vampire mais avec les crocs arrondis, elle ne pourrait mordre personne tant qu'on ne lui arrachait pas les canines pour qu'elles repoussent. Une fois ça fait, il saisit le talkie walkie et appella les gardiens

Alors vous l'avez eue?

Demanda Don, puis, sans qu'elle puit entendre la réponse de l'homme, Don raccroccha, lui passa le collier qui montrait sa nature d'esclave et la traina dans un coin de la piece avant de tirer un rideau.

"Elle ne va pas tarder a arriver, pas un mot, pas un bruit, quand je t'appellerais tu pourra signifier ta présence, si tu désobeis, méfie toi."

Fit il en tirant le rideau.
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Henrietta Van Hellsing

Créature

Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 12 dimanche 09 août 2009, 12:37:48

Je me retrouvai empêtrée dans un espèce de slime artificiels j'entendis un crier vengeance et que j'étais un monstre, je sourit, j'avais fait disparaitre mes canines et me mit à rire, enfin je n'ai pas eus trop le temps car de l'électricité à très haute tension transperça mon corps de part en part, si j'étaie humaine, j'aurais finit comme les poissons sur un feu de camps. On pouvait quand même voir que j'avais bien cuit à la chaleur et à une certaine  noirceur de la peau qui reprit vite sont aspect originel, alors que le slime entoura presque tous mon corps et se durcie jusqu'à m'empêcher tous geste, Belphegor était partie et temps mieux, cela aurait été chiant de le laisser au mains de l'ennemi. Je relève la tête avec un sourire.

- Alors la suite du programme, vous avez peur de moi ? Vous devriez, je suis Henrietta, ancienne membre de la famille Van Hellsing et l'une des plus forte de cette famille. Sang, Mort, tue l'effronté.

Le mec à la décharge facile se fit tuer par sa propre électricité mais multiplié par mille. Le slime fit en sorte m'empêcher de parler. je tenta l'hypnose, aussitôt le chef de la division cria.

- Que personne, je dit personne, ne regarde ces yeux.

L'un des jeunot croisa son regard et il se tira une balle dans sa tête, le pauvre n'avait pas eus le temps de comprendre, qu'il était déjà mort, quelqu'un banda mes yeux, puis je sentit le vent me frôler, nous bougions, puis j'entendis un dialogue entre le général et un homme qui devait avoir un fort carrure, pour parler avec cette voix et de la sorte.

Je sentais la présence de Morte, j'avais plusieurs moyen de la tuer, la plus facile et radicale était de transfuser mon sang en elle, ce qui causerait des dommage interne et elle finirait par mourir d'hémorragie interne, sans que sont pouvoir de régénération n'agissent, paralysé par mon sang.

______________________________________________________________________________

Ce que Don ne pouvais pas savoir, ni Morte d'ailleurs, c'est que la famille de vampires avait envisagée le pire et avait changée de résidence rendant celui que Morte avais donnée dans un état proche de la ruine.

Morte poussa des cris de plaisir quand Don recommença à la pénétrer, la vampire avais la bouche ouverte, sa langue légèrement sortie, si la salle était dix degrés en dessous, on aurait put voir de al vapeur sortir de la bouche de Morte. Elle continuait à glapir, puis elle finit par pousser une cris de jouissance, jamais poussé jusqu'à là. Elle ne poussa même pas un cris de douleur quand le fer rouges marqua son fessier.

- Je suis votre humble esclave maître.

La vampire cria de douleur et versa des larmes quand ces canines furent limées, normalement une vampire de la famille doit garder ces canines présente, il n'y avait que Henrietta qui avait développée la technique de disparition des attribut dentaires des vampires, qui était inscrit dans ces gênes et donc en nécessitait que de la concentration.

Ensuite Morte fut conduit dans un coin où un rideau se referma, la vampire se frottais doucement sa poitrine pour être dans le meilleur état pour assister Don, elle voulait aussi être en état de savourer la défaite de Henrietta. Elle avais divers idée tous aussi douloureuse les une que les autres, mais elle attendrait gentiment que son maître l'appelle et lui permette de jouer avec sa grande sœur, si elle pouvait la tuer, cela serait mieux.

Don

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 13 dimanche 09 août 2009, 22:57:36

Le gardien traina Henrietta jusqu'a la cellule de Don, le chef le dépassa et alla voir le marchand d'esclave d'un pas furibond et s'enferma avec lui pour que la vampiresse ne l'entende pas. En attendant qu'il arrive Don s'était évidement rhabillé convenablement.

"Alors?"

-Je l'ai, mais je vais vous demander un supplement et la note sera salée, croyez moi, elle a tué près d'une centaine de mes hommes dont plusieurs d'entre eux étaient les meilleurs.

"Un supplément? Je ne crois pas non. Vous allez m'en faire cadeau et sa copine aussi."

-Je vous demande pardon?!

"J'ai cru comprendre que cette femme complotait contre vous non? Sans moi elle aurait tué bien plus de personnes, si autant de gens sont mort c'est a cause de votre propre négligeance, vous devriez me payer pour le service que je vous ait rendu au contraire, mais comme je suis quelqu'un d'honnète, je vais vous laisser m'offrir ces femmes, je crois que c'est dans votre interêt qu'elles ne reviennent pas non?"

-...

"Allez, faites la rentrer."

Le gardien sortit de la porte et serra les dents avant de s'éloigner. On jetta Henrietta recouverte de Slime dans la piece. L'esclavagiste lui posa un doigt sur le front, ne la détachant pas ni n'essyant d'enlever son bandeau. Pourquoi avoir besoin d'une flute? Son pouvoir suffisait amplement a la transformer en jeune femme des plus normales, hormis peut être ses canines, tant qu'il annulerais son pouvoir elle ne pourrait rien faire, il lui limerais les canines comme sa petite copine et elle ne pourrait rien y faire tant qu'elle ne serait pas en dehors de la zone d'effet de son sort. Après quoi il acheterait un disque de flutte et il le lui diffuserais dans la tête, ça devrais la calmer.

"Salut toi."

Lança Don avec Sadisme, déjà 5 secondes, soit 5 minutes sans aucun pouvoirs. Et il continuait a appuyer son doigt sur son front

"Je crois qu'on a beaucoup de choses a se dire. Tu va me dire où se cache ta pitoyablement petite famille. Et tout sera plus simple pour toi"

Lança Don avec un sourire vicieux. Profitant du fait qu'elle avait les yeux bandés et qu'elle ne le voyait pas il arracha le Slime couvrant sa bouche. Elle ne sentait rien, seulement son doigt sur sa tempe, mais si elle essayait d'utiliser un quelconque sort elle remarquerait que rien ne se passerais

"Maintenant on peut le faire par la manière douce ou la manière forte."

Même si Don trouvait que le fait que la famille d'Henrietta aie déménagé être plus l'effet d'un ressort scénaristique inventé a la dernière minute par la joueuse d'Henrietta qui ne souhaitait pas que Don mette la main sur le reste de sa famille dans des RP ultérieurs, si il faisait cracher le lieu a Henrietta elle lui dirait l'adresse actuelle de la famille, et comme c'était ce qu'il comptait faire depuis le début...

Pourquoi lui demander l'adresse alors que Morte lui avait déjà dit ? Pour la bonne raison que si Henrietta finissait par le lui dire, ça voudrais dire qu'il l'aurait brisée.
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Henrietta Van Hellsing

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Re : C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

Réponse 14 dimanche 09 août 2009, 23:40:33

Je fut jetée comme un vulgaire sac de patate, cela eut comme conséquence de me mette en rogne. Si je recroisais Lursse, je lui ferait la tête en carrée et taille lilliputien, un contact sur mon front me fit réapparaitre mes canines et malgré mes efforts cela restait visible et présente.

"Je crois qu'on a beaucoup de choses a se dire. Tu va me dire où se cache ta pitoyablement petite famille. Et tout sera plus simple pour toi"

Cette phrase me fit trembler et quand il retira le baillon, je retint un rire qui étati largement visible, pour finir par me marrer. Je n'avais pas entendu l'aute phrase mais je me doutais un peu du type qui se tenait en face de moi, une fois mon rire évacuée, je reprit un air sérieux.

- Primo, je ne fait plus partie de cette famille de cinglé, deusio tu peus allez te faire foutre pour me piquer les dernière cibles de ma vengeance.

Morte apparut et me prit la gorge, voulant m'étrangler en criant.

- Tu veux nous tuer sale pouffiasse, crève la première.

Je ne sentis aucune morsure, mon tortionnaire devait l'avoir calmé d'une manière ou d'une autre, ce qui me fit rire.

- Oui (rire). Car l'assaut qui a tué Téthys vient bien des démons, mais aussi de ton chère père qui voulait me buter au passage. J'en étais où ... cela me revient, et enfin crève, même si Morte m'a piquer les mots de la bouche (rire).

Grande gueule, connaissant parfaitement la situation, j'étais la seule qui savait garder mon calme devant un danger qui pourrait me coûter très chère, mais je n'allais pas faire plaisir à un nigot qui n'avait même pas bougé le petit doigt pour m'affronter en singulier.

- Inflige moi les blessures que tu veux, torture moi si cela te chante, sache que je ne te dirais rien, car pour moi tu n'es pas un humain, car eux aurait eut le cran de m'affronter, toi, le cafard, tu attend dans ta cave pourrie que l'on te serve tous sur un plateau d'argent.

Je me calme un peut et finit ma monologue par.

- Tu veux encore des questions sans réponse ?


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