- Quelle cochonne. Tu n'est pas très hygiénique ma fille. Regarde-toi, tu est devenue une salope sous mes bottes, je peux te tuer quand je veux comme maintenant. Rassure-toi, c'est moi qui décidera ou et quand tu devra rendre ton dernier souffle et en attendant ce ce jour. Tu restera avec moi, tu me dois une nouvelle couvée et profite de ce dernier jour car après cela, tu ne reverra plus jamais le soleil.
A l'évocation de sa mort, Rachele se ressaisie et supplie du regard la reine du marais de l'épargner. Mais celle-ci n'en a que faire et continue son discoure.
Rester avec elle ? Se demande Rachele. Comment ? Où ? Combiens de temps ?
Toutes ces questions se bousculent dans sa tête et la terrifie. Elle ne comprend pas ce qu'elle veux dire.
- Une ... une nouvelle couvée ? Que... que voulez vous dire... je ne HAG !
Le poing de la mexicaine percute son ventre et lui coupe le souffle net. Rachele retombe à genoux par terre et essai de reprendre son souffle.
Soudain, elle sent une longue langue visqueuse s'enrouler autour de ses jambes. Elle se retourne et écarquille les yeux d'horreur, devant elle, une énorme limasse , au moins aussi grosse qu'une fourgonnette, ouvre une immense bouche pleines d'étranges griffes.
- Nan !!
Hurle Rachele alors que la langue de la bête commence à l’attirer lentement vers sa gueule. La mafieuse s'aggripe à tout ce qu'elle trouve par terre, racines, pierres, mais rien ne résiste à sa lente progression vers la bouche de la bête.
A mesure qu'elle se rapproche, d'autres langues sortent de l'orifice monstrueux de la limasse et serpentent au sol vers Rachele. Elles s'enroulent à leur tour autour de ses cuisses pour faciliter la progressions, puis, quand la prisonnière est suffisamment proche, s'enroulent autour de ses bras pour les lui sangler le long du torse. Incapable de se défendre ou de se retenir à quoi que ce soit, Kijima assiste alors au spectacle savoureux de sa proie qui hurle de peur et se tortille entre ses liens à mesure que la grande bouche l'avale, centimètres après centimètres.
Au passage des cros, Rachele s'attendait à être déchiquetée, mais à sa grande surprise, ceux-ci s'écartent pour la laisser passer et se contentent de déchirer des lambeaux de sa robe. A mesure qu'elle descend dans son estomac, l'étoffe découpée se détache du corps de la belle jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'en cuissardes, porte jarretelle et gants noirs. Seuls quelques bouts de la robe restent encore, plaqués contre le mucus sur ses formes généreuses.
Arrivée dans sa "panse-prison", les langues qui enserrent et paralyses Rachele se mellent à la chaire spongieuse de l' organe et s'y enfoncent pour maintenant la prisonnière engluée contre une parroie. Elles tirent sur ses poignets et ses chevilles pour lui faire écarter les bras et les jambes et la mettre en étoile, la gangster essai de se débattre, mais les muscles de la bête sont trop puissants. Pour écraser sa résistance, les tentacules commencent à tirer sur ses membres pour l'écarteler. La belle sent ses muscles, ses tendons et ses os commencer à s'étirer et la faire souffrir, elle s'arqueboute en arrière et pousse un cris avant de cesser de luter, consciente que si elle s'entête plus longtemps, la répugnante limasse la démembrera comme avec un chevalet de torture avant de la digérer purement et simplement.
Quand Shia la rejoint, son invité est déjà prête pour l'interrogatoire, totalement immobilisée par les tentacules qui tendent ses membres à l'extrème. Son corps totalement vulnérable et offert aux regard et aux caprices de la mexicaine est couvert d'une myriades de minuscules petits tentacules qui serpentent entre ses seins et dessus pour venir goutter la peau de ses tétons en mes léchant et les mordillant. D'autres serpentent serpentent au dessus de sa vulve et de son anus, mais sans prendre le risque d'entrer sans l'accord de leur Maîtresse.
Quand Shia arrive devant la gangster, toutes ces petites bouches affamés se rétractent autour du corps de Rachele et se tortillent.
-Nous allons plonger a plus d'une centaine de mètre sous terre, il y a une fosse et des galeries et c'est là-bas que moi et les miens y vivons.
Entendant la première phrase de sa tortionnaire, la captive ouvre de grands yeux pleins de surprise et de peur et tourne vigoureusement la tête de droite à gauche pour dire "non".
Elle comprend soudain ce que Shia voulait dire par "ne plus jamais revoir la lumière du jour", cette femme étrange et répugnante alait la cloitrer dans son bourbier infame jusqu'à ce quelle décide de la tuer... Mais qui pourrait bien venir la secourrir ici bas ? Les écoute de recherche la retrouverait elle seulement un jour ?
-Je vais te baiser jusqu'à ce que tu complète ma portée tombée en disgrâce par ta faute... Tu vivra, t'assoiras, te torchera les fesses qu'à mon commandement ! C'est clair ?!
Entendant le verdict de son ennemie, Rachele tourne à nouveau violemment la tête de droite à gauche en murmurant d'une voix tremblante:
- Non... non pitié pas ça... tout mais pas ça... je ne veux pas... non...
Mais la mexicaine se moque totalement des supplications dérisoirs de Rachele et continue:
-Et maintenant, dis-moi comment tu t'appelle et c'est comment a présent le monde des humains ?
Comprenant qu'elle n'obtiendra rien de cette femme cruelle et sans concession, Rachele détourne la tête et fronce les sourcils, refusant d'offrir à son ennemi le plaisir de la voir se mettre à table. Voyant qu'elle refuse de répondre à sa Maîtresse, l'organisme spongieux qui l'entoure se fache et se met à gonfler autour de Rachele, comprimant ses côtes pour l'etouffer et tirant encore sur ses membres tendu à l'extrème.
-HAA !
Hurle Rachele en sentent ses coudes et ses chevilles commencer à se démettre.
-Je m'appel Rachele ! Rachele Florenza ! Des Florenza de Sicile, émigrés au Japon, sur Terre, pitié ! Stop ! Vous allez m'arracher les bras !
Les tentacules relachent un tout petit peu leur étreinte, Rachele retombe légèrement en avant. Elle respire fort, sa poitrine, couverte de sueur et de mucus dégage une odeur capiteuse et érotique.
- Le monde des humains est toujours le même... violent... brutal... cruel... il n'y a que la technologie qui évolue... J'y ai une bonne place, si vous me libérez et que vous ne me faite pas de mal je promet de vous y enmener pour vous montrer...