La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]

« Et voilà, Mélinda... Ton dernier cadeau, le mien ! »

Assise sur son fauteuil, Mélinda esquissa un sourire, en voyant sa chère femme, Vanillia Warren, amener une grosse boîte, recouverte d’un élégant papier-cadeau rouge, tiré par deux hommes bien musclés, torse nu et pantalons de cuir. Elle se mordilla les lèvres, regardant autour d’elle. Partout, ses esclaves étaient ravies, et elles pouvaient l’être. Aujourd’hui, Mélinda Warren fêtait son anniversaire, et, comme à chaque fois, elle avait eu droit à une ribambelle de gâteaux, et énormément de cadeaux. Combler leur Maîtresse était le rêve de ses multiples esclaves, et, dans ce domaine, ils s’affairaient à satisfaire ses désirs, et, surtout, à la surprendre, en lui offrant de superbes cadeaux. Outre des tenues particulièrement sensuelles, on lui avait aussi offert d’excellentes bouteilles de sang, des jouets sexuels très développés, des livres, des bijoux...  Et le clou de la soirée approchait.

Pour le coup, Mélinda avait, précisément, enfilé l’une des tenues qu’on lui avait acheté, un magnifique morceau de lingerie rose moulant ses formes, et qui lui allait à ravir. Assise sur le fauteuil, elle avait les jambes croisées, tandis que Vanillia, sa femme, lui expliqua qu’elle avait dû batailler pour pouvoir lui acheter ce cadeau, mais elle était sûre que Mélinda aimerait.

La vampire, grâce à son sixième sens vampirique, sentit quelque chose émaner de cette caisse, un groupe sanguin... Ce qui l’amena à comprendre qu’il y avait, là-dedans, une esclave. Elle se pinça alors les lèvres, tout en se redressant, et marcha vers son gros cadeau, fendillant le sol de ses talons, et commença à dénouer les rubans et les nœuds du cadeau. On lui avait également donné un magnifique parfum, très sensuel, qu’elle avait utilisé autour de son cou. De fait, la bonne moitié des filles étaient en train de mouiller, se mordillant les lèvres, observant les longues jambes de leur Maîtresse, mais, surtout, ses magnifiques fesses, très rebondies, ce que la lingerie rendait très bien.

La fête avait lieu, non pas dans le manoir de Mélinda, sur Terre, mais dans son harem, au sein de la capitale impériale. Elle se déroulait dans un grand et confortable salon, avec une table de banquet comprenant de multiples petits fours, des gâteaux, des bouteilles... C’était un salon assez riche, avec de la tapisserie de luxe, des colonnes en marbre dans les coins, un grand lustre au-dessus, et plusieurs mezzanines et balcons donnant sur le salon. Il respirait le luxe et la richesse, et Mélinda continua à déchiqueter le papier-cadeau.

Sous ce dernier, il y avait une belle boîte, et elle sourit quand Vanillia lui tendit la clef.

« Merci, mon amour... »

La vampire enfonça la clef dans le gros cadenas situé sur la face supérieure du carton, et déverrouilla cette dernière. Les lourdes chaînes métalliques entourant la boîte s’ouvrirent alors, et tombèrent sur le sol, puis la vampire déchira le scotch avec ses griffes, creusant des sillons de lumière à l’intérieur. Vanillia avait été acheter cette esclave lors d’une prestigieuse vente aux enchères, et avait tenu impérativement à l’acheter, sûre qu’elle serait du plus bel effet pour sa femme. En conséquence, la jeune femme était impatiente que Mélinda découvre son cadeau...

...Et les mains de cette dernière filèrent au centre de la boîte, et ouvrirent cette dernière, éclairant la magnifique créature se trouvant dessous...

Être une vachette, cela voulait dire une chose : Son destin était donc d'être acheté, et ainsi, d'être récuépéré pour être utilisée… Cela était relativement logique. Après tout, à quoi servait une Ushi, mise à part, donner du lait ? Franchement, il fallait bien le dire… Cela ne servait à rien. Elle donnait du lait, et ainsi, cela servait et cela était particulièrement utile. Donc, beaucoup de vachettes étaient achetés chaque année, pour leur lait, et uniquement leur lait. Elles étaient enfermés, et traite, parfois même 24h/24, et ainsi, tout le monde était satisfait ! Aussi bien ceux qui vendaient le lait, que ceux qui le recevaient… Il y avait même des cas, dans le cas des Ushi les plus masochistes, où ses derniers étaient très contente, car elle appréciait ce traitement. Il fallait quand même dire qu'une Ushi avait besoin d'être traite…

Après l'achat, il fallait amener l'Ushi vers sa nouvelle résidence. Bien sur, le plus simple était de la donner, enchainer, et ainsi, qu'elle puisse marcher jusqu'à sa nouvelle résidence. Bien sur, cela était particulièrement gênant pour les personnes très riches, qui ne vivaient pas à Nexus. Bien souvent, ils n'allaient pas faire la marche jusqu'au fameux marché, et acheter eux même, ils envoyaient des hommes… Alors, que faisait-il ? Bien souvent, ils envoyaient des intendants, des gouverneurs, voir d'autres esclaves. Cependant, dans le cas d'une vierge comme Cassandre, que deux choix. Envoyer une femme non futanari, ou alors, dans le pire des cas, un castrat. Comme ça, les hormones ne risquaient pas de s'activer, et donc, de poser problème.

Mais il restait une troisième solution… Qu'est-ce que c'était ? Et bien, tout simplement… Il fallait l'envoyer. Ainsi, leur de la fête d'anniversaire de la fameuse Melinda Warren, sans doute l'une des personnes les plus importantes et les plus affluentes du monde, dans la Terrible Dictature d'Ashnard (mais si, vous savez, le méchant Dictateur, le Roi Fou (avant Gangrel de FE13), de FE09, Fire Emblem Path of Radiance !), et bien, un cadeau était à l'honneur, pour cette glorieuse fête d'anniversaire. Le cadeau, magnifiquement emballé -on ne rigole pas avec ça, ce n'est pas une fête d'anniversaire de votre petite sœur !- fut ainsi le dernier déballé d'une multitude de cadeaux tous plus glorieux les uns que les autres…

C'est alors qu'on put voir le cadeau… Cassandre. Celle-ci était entièrement nue. Cela mettait en valeur sa glorieuse poitrine, toujours rempli du lait. Non traite depuis trois jours, ses seins étaient presque au bord de l'explosion, débordant de lait, prêt à en donner énormément, tout cela pour que cela soit le plus impressionnant possible. Bien sur, les seins étaient impressionnant, mais ce n'était pas la seule chose qui fallait voir sur le corps de la vachette. D'un grand blanc immaculé, la vachette était parfaitement propre, étant donné qu'on avait tout fait pour qu'elle soit parfaite pour le moment M du jour J à l'heure H. Elle était prête à être consommée, utilisée, et traite, traite, et encore traite… C'était son destin !

Mais ce n'était pas la seule chose… on remarquait qu'elle mouillait énormément. En effet, le carton, ventilé -histoire que la vachette ne meurt pas stupidement de manque d'oxygène, avait fait que le parfum aphrodisiaque avait particulièrement réussi à atteindre les narines de notre pauvre vachette… D'ailleurs, on pouvait voir qu'elle avait les yeux bandées, et un énorme baillon-boule qui empêchait sa bouche de se fermer, et le moindre son trop fort de sortir… Logique ! Le but était que le cadeau reste une surprise jusqu'à la fin. Si la vachette pouvait parler, elle aurait pu vendre la mèche, et diminuer la surprise… Ce qui aurait été quand même extrêmement décevant… Enfin, ce qu'on pouvait dire, c'est que la vachette était bien immobilisée, pour qu'elle ne puisse pas bouger, et faire du bruit, encore une fois, ce qui gâcherait la surprise. Le cadeau était charmant. Comment allait réagir celle qui le recevait ? On ne sait pas, mais en tout cas, la vachette semblait excitée, avec énormément de lait à donner.

HRP ~ Voilà à quoi Cassandre ressemble, sans les tentacules bien sur ~

Les doigts de Mélinda ouvrirent le carton, et elle écarquilla les yeux en comprenant rapidement de qui il s’agissait. Dans un coin, il y avait une petite ouverture abritant la tenue de l’Ushi, ses vêtements blancs avec des tâches noires. Car oui, il s’agissait bien d’une Ushi, et, sous l’effet de la stupeur, les yeux de Mélinda s’écarquillèrent. L’Ushi figurait parmi les esclaves les plus onéreux du marché, en raison de leur rareté, mais aussi de la qualité exceptionnelle du lait qu’elles produisaient. Mélinda fut donc frappée par la surprise pendant plusieurs secondes, observant, médusée, ce délicieux cadeau, qui gémissait et soupirait lentement. Elle perçut l’aphrodisiaque dominant dans le carton, qui remonta quand elle l’avait ouvert, et sourit peu à peu, en voyant ce beau visage, ces formes amples, cette poitrine généreuse, et toute cette décoration, tout cet équipement… L’Ushi avait été équipée d’un bandeau noir recouvrant ses yeux, d’un gag-ball, et d’une sangle en cuir retenant ses bras et ses jambes dans une position recroquevillée.

Sans encore la libérer, Mélinda se pinça les lèvres, et retourna son visage vers sa femme, qui souriait également, visiblement très ravie de voir la lueur de bonheur qui se dessinait dans les yeux de la vampire.

« Tu es folle, Vanillia…
 -  Rien n’est de trop pour toi, Mélinda. Elle s’appelle Cassandre… Elle est vierge, comme tu peux t’en douter. »

Mélinda hocha la tête, et aventura sa main, venant caresser les jambes de Cassandre, remontant sur sa peau, sentant la douceur de sa chair, les gouttes de sueur glissant le long de sa peau. Elle sourit lentement, remontant jusqu’à tapoter de son doigt le gag-ball de cette dernière. Elle appuya alors dessus, et sourit à nouveau, enfonçant ce gag ball contre les lèvres closes de Cassandre, qui soupira encore, faisant cliqueter les sangles qui la retenaient sur place.

« Elle est vraiment magnifique…
 -  Regarde comme ses seins sont distendus, ses tétons assoiffés… Elle a envie de se faire traire, les Ushis fonctionnent comme ça… »

Cassandre était privée de la vue, mais pas de l’audition, et pouvait donc entendre les deux femmes parler entre elles. Mélinda sourit, et déplaça son doigt, caressant le téton de la femme, glissant sur son sein, tournoyant autour. Elle sentit encore le sang de Cassandre onduler, son ongle pointu filant sur sa peau, grattant cette tendre chair moelleuse… Mélinda remonta ensuite, et posa son doigt sur le généreux téton rose.

« Oui… Les Ushis peuvent jouir quand on les traite bien. »

Et, effectivement, tandis que Mélinda titillait les pointes rosâtres de Cassandre, elle pouvait sentir son sang se concentrer à hauteur de son intimité, délivrant de fines traînées translucides, ce qui ne manqua pas d’amener sur les lèvres de la vampire un nouveau sourire. Sans relâcher Cassandre de sa souffrance, elle ordonna aux livreurs de la retirer. Ces derniers s’exécutèrent, soulevant Cassandre par les aisselles et par les chevilles, et la posèrent sur le sol, hors du carton. Là, le corps de l’Ushi glissa lentement sur le côté, se couchant sur le flanc, et Mélinda s’agenouilla sur le sol, puis caressa ses épaules, glissant ses doigts sur sa peau, grattant sa chair, et remonta jusqu’à son gag ball, qu’elle défit dans un cliquètement.

« Cassandre… » susurra Mélinda dans le creux de son dos.

Sa main se posa sur son mamelon, et elle pinça alors son sein, faisant rapidement fuser du lait, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Cassandre était effectivement à point, visiblement assoiffée. Mélinda s’humecta les lèvres, et se pencha encore, embrassant la joue de l’Ushi, tout en la retournant lentement, la couchant sans trop de problème sur le dos, avec les sangles qui immobilisaient ses membres.

« Je m’appelle Mélinda, et je suis ta Maîtresse, Cassandre… Tu produiras du bon lait pour moi… »

La vampire n’avait pas encore daigné lui enlever ses sangles, et, comme la position de Cassandre ne l’empêchait guère d’accéder à ses seins, elle voulait encore la torturer un peu. Se pinçant les lèvres, la jeune vampire approcha donc son visage de l’un de ses gros seins, tout en étant rejointe par Vanillia, qui s’attaqua, elle aussi, à l’autre sein. Leurs mains se posèrent délicatement sur ses mamelons, et Mélinda les remua, pouvant sentir le lait dessous, qui remuait dans les lobes de son sein. Cassandre en était bien gorgée, et les deux femmes se regardèrent mutuellement, avant de se sourire, l’une en face de l’autre.

« Bon appétit, mon amour…
 -  Offre-nous ton bon lait, Cassandre… »

Et les deux apposèrent leurs lèvres sur ses tétons, et commencèrent à les sucer énergiquement, faisant jaillir le lait des lobes vers les canaux galactophores, où le liquide blanc rejoignit ensuite les tétons… Pour se diffuser dans les petites bouches gourmandes de Mélinda et de Vanillia.

« Hmmm… »

Tant de plaisir… Masochiste comme elle était -mais elle ne s'en était pas encore totalement rendue compte, notre vachette n'attendait qu'une chose… Que ses tourments continuent. Qu'elle soit une vachette utilisée et appréciée… N'était-ce pas sa vie ? La vie parfaite ? Peut-être était-ce cette aphrodisiaque qui était trop puissant… Ou bien était-il diablement efficace pour dévoiler le côté cachée de la vachette ? Mmh… C'était une bonne question. Quoiqu'il en soit… Ce qu'elle voulait n'avait aucune importance, étant donnée qu'elle n'était qu'une esclave ! Pire encore, un cadeau, réduite vulgairement à un simple objet, valant extrêmement chère, et faisant ainsi un très très bon cadeau, n'est-ce pas ?

« Tu es folle, Vanillia…
 -  Rien n’est de trop pour toi, Mélinda. Elle s’appelle Cassandre… Elle est vierge, comme tu peux t’en douter. »

Comme ce fut très bien remarquée précédemment, la vachette pouvait parfaitement entendre tout ce qui se passait autour d'elle. Pourquoi ce choix ? Et bien, tout simplement car c'était BEAUCOUP plus drôle ainsi. En effet, l'Ushi ainsi ne pouvait rien faire, mais pouvait entendre tout ce qu'on disait sur elle, toute l'excitation que les paroles pouvaient lui donner… Bref, vous imaginez le résumtat ? Un truc… énorme. La vachette pouvait presque en être folle. Surtout que Mélina n'hésitait pas à passer ses mains sur son présent, ce qui excitait la vachette… Tellement de bonheur…

« Elle est vraiment magnifique…
 -  Regarde comme ses seins sont distendus, ses tétons assoiffés… Elle a envie de se faire traire, les Ushis fonctionnent comme ça… »

Oui ! Vite ! Elle ne voulait pas réclamer… Mais elle n'avait qu'une envie… Qu'on la trait. Vite ! Qu'on la trait… C'était urgent… Mais pour le moment, visiblement, ce n'était pas encore le moment, étant donnée qu'elle restait toujours baillonnée… Oh ! En effet, alors qu'elle avait déclaré ceci, la vachette fut attrapée. Elle put ainsi sortir du carton, bien qu'elle n'avait aucune idée de ce qui était entrain de se passer, ne voyant rien. Sortant du carton où elle avait été enfermée pendant bien trop longtemps (ou pas assez), elle se retrouva sur le sol, mais toujours bien incapable de bouger, étant donnée qu'elle était toujours attachée bien solidement. Elle sentait les mains de sa maîtresse passer sur son corps, et finalement, après un long moment, détacha le baillon-boule, ce qui déçu presque la vachette, de ne plus rien avoir dans sa bouche… Mais au moins, cela lui permettait de parler, et de répondre aux déclarations de sa maîtressse :

« Cassandre… »

« Maî… Maîtresse… ? »

« Je m’appelle Mélinda, et je suis ta Maîtresse, Cassandre… Tu produiras du bon lait pour moi… »

« Oui… Beaucoup de lait… Aah... »

Enfin libre de son baillon, notre vachette pouvait de nouveau parler, ce qui était bien avantageux si on voulait savoir un peu plus sur son état… Cependant, ses déclarations restaient… Comment dire… Quelques peu difficiles, étant donné qu'elle n'avait toujours pas pu véritablement résister à l'aphrodisiaque.. Excitée comme une folle, elle parlait de ce qu'elle connaissait le mieux, en toute logique : son lait. Sa raison d'être dans ce monde, et sa raison d'être dans ce manoir, plus précisément… Elle avait devant elle, mais ne pouvait pas voir, sa maîtresse. Mélinda Warren. Elle ne savait pas à quoi elle ressemblait, mais elle avait une excellente odeur, qui mouillait encore plus son intimité vierge et non protégée.

« Bon appétit, mon amour…
 -  Offre-nous ton bon lait, Cassandre… »

« Aaah… Merci… Maîtresses... »

Bien sur, le lait put couler à flot… Ses seins, parfaitement remplie, donnait un excellent lait, sucrée et bien agréable à la bouche… Cette Ushi était réputée pour la qualité de son lait, d'où son prix assez important sur les marchés. Mais visiblement -et c'est relativement logique- rien n'était de trop pour une maîtresse comme Mélinda Warren. Pour ce qui est de notre Ushi… Et bien, elle était extrêmement contente. Enfin, son lait était prélevée. Enfin, on lui permettaient de pouvoir être libre de ce lait, qui était une bénédiction pour les autres, mais pour les Ushi, cela nécessitait quand même le besoin d'être traite régulièrement. Le lait, ainsi, était excellent, et arrivait rapidement, pour que les maîtresses, celle qui étaient entrain d'en profiter, puisse en boire le plus possible… pendant que la vachette gémissait de plaisir, et délirait presque en déclarant :

« C'est si bon… Utilisez-moi, enfermez-moi… Aah... »

L'aphrodisiaque était visiblement puissant… Car notre vachette en perdrait presque la tête, et commençait à dire tout ce qui lui donnait envie… Encore une fois, on sentait son côté masochiste qui prenait le dessus, avec le fait qu'elle était bien toujours attachée. Pourquoi une telle excitation ? Et bien, en petit cadeau supplémentaire, elle avait ingurgité une certaine quantitée d'aphrodisiaque, pour que celle-ci soit bien excitée au moment clef, son arrivée. De plus, il parraissait que cela rendait le lait meilleur… Bref, on pouvait voir que ce cadeau allait très certainement être extrêmement appréciable… Tant mieux ! Après tout, on apprécie les cadeaux… Surtout quand ceux-ci étaient aussi plaisant, mais qu'on pouvait, une fois qu'on avait fini de jouer avec, facilement les ranger au placard, n'est-ce pas ? Bref, voyons-voir ce que notre nouvelle maîtresse avait prévue avec son jouet à corne…

Qu’est-ce qui rendait le lait d’une Ushi si bon ? C’était difficile à dire. Pour beaucoup, ce n’était que du snobisme, et le lait d’Ushi avait une valeur onéreuse sur le marché parce qu’il venait d’une esclave, mais, pour le reste, était similaire au lait produit par n’importe quelle vache laitière. Une telle analyse était cependant tronquée par bien des études et des examens comparatifs de différents laits. De plus, il était prouvé que le lait d’Ushi comprenait des éléments aphrodisiaques, et que prendre le lait directement à la source était bien plus stimulant que de le prendre dans une bouteille. Mélinda et Vanillia se servirent donc, et, rapidement, le lait afflua considérablement.

« Mmmhmm…
 -  Hmmm… »

Chacune des deux femmes suçait les tétons de la jeune femme, et, en suçant, ells faisaient jaillir le lait, mordillant également les tétons de Cassandre. La belle Terranide-vache se mit à gémir, se tortillant lentement sur place, faisant cliqueter ses liens et ses chaînes, tout en sentant le plaisir éclater en elle. Ses seins étaient distendus, vu que personne ne l’avait trait depuis plusieurs heures, et, outre le plaisir naturel de la traite, ou celui de sentir des bouches jouer sur ses seins, il y avait aussi le plaisir supérieur de sentir la douleur partir. Cassandre avait donc toutes les raisons du monde d’être heureuse, et ce d’autant plus que, chez les Ushis, les seins étaient une zone érogène encore plus prononcée que chez les humains.

Mélinda, donc, se régalait. Yeux clos, elle suçait vigoureusement ce sein, sentant le lait affluer, tapant contre sa gorge pour filer dans ses intestins, la faisant doucement chauffer de l’intérieur. Ses jambes remuèrent faiblement sur le sol, et elle émit plusieurs nouveaux soupirs. Quant à Vanillia, elle était une femme hermaphrodite, ce qui fit que Cassandre put sentir, contre sa cuisse, une virilité caresser sa peau, se dressant lentement sur sa peau nue. Les deux vampires continuaient à la pomper, encore et encore, comme si Cassandre avait un flux intarissable de lait.

« Haaaa… »

Les deux beautés cessèrent brusquement, libérant les seins rougis de l’Ushi, et s’embrassèrent vigoureusement, leurs bouches débordant de lait. Leurs langues vinrent remuer ensemble, dans une longue étreinte buccale sensuelle, tout en pinçant entre leurs doigts les tétons de Cassandre, faisant éclater du lait sur leurs joues. Elles s’embrassèrent ainsi fougueusement pendant quelques instants, puis retournèrent ensuite s’attaquer aux seins de Cassandre, se régalant de son lait délicieux, mais aussi de ses gémissements.

Étant des vampires, elles perçurent l’excitation sanguine de l’Ushi, et réagirent en conséquence. Mélinda déplaça sa main entre les jambes de la jeune femme, et caressa avec ses doigts son intimité. Assez rapidement, les doigts de Vanillia la rejoignirent, et, ensemble, elles s’amusèrent à la doigter, sentant leurs doigts s’imbiber de la mouille de la jeune femme. Et, tandis que Mélinda continuait à boire, elle-même laissa parler son hermaphrodisme… Et sa belle culotte rose se déforma par son appendice sexuel, un phallus venant pointer le bout de son nez, et caressant les cuisses de Cassandre.

Cassandre allait commencer son existence d’Ushi dans un superbe orgasme…

Que de plaisirs à se faire têter… S’il y avait une chose que les Ushis aimaient… C’était bien la traite. Faut dire, elles étaient conditionnées pour apprécier cela… Et puis, une Ushi qu’on ne trayait pas, qu’on forçait à rester comme ça, et bien, elle avait de grandes choses qu’elle finisse par se tordre de douleur, et tente de presser ses seins de toutes les manières possibles, pour qu’elle puisse enfin se débarasser de ce lait, qui était une bénédiction… Mais parfois, une malédiction pour ses pauvres vachettes ; Une manière de torture des Ushi désobéissante était justement de ne pas les traire, pendant un long moment, et se délecter de leur souffrance… Bien sûr, Cassandre allait tout faire pour être une adorable vachette et ne jamais avoir à être punie… Mais le destin d’un esclave était bien souvent plus complexe…

Bref, passons sur ce point, et admirons… En effet, Mélinda Warren, et sa femme, étaient toute deux entrain de profiter du lait de la vachette. Zone la plus érogène de son corps, sans aucun doute, la vachette était entrain de prendre son pied, et d’apprécier fortement son traitement… Son lait coulait à flot, comme un flot intarissable, Cassandre ayant la chance d’arriver à parfaitement mettre ensemble qualité et quantité. Non qu’elle était la meilleur Ushi de tout Nexus, ou même de tout Terra, mais sans aucun doute, elle se classait parmi les meilleurs. Heureusement, si cela était un grand plaisir pour l’esclave, cela l’était aussi pour les deux femmes… Mais sans doute que l’excitation, pour le moment, était la plus grande chez Cassandre… Ou peut-être pas… Regardons, si vous le voulez bien.

En effet, le phallus de la femme de Mélinda, était en pleine érection, et se frottait contre la jambe de notre Ushi… Cela se couplait bien avec la mouille, la cyprine, qui commençait à être abondante chez notre vachette, qui se trémoussait avec difficultés à cause de son cadenassage qui l’empêchait de faire quoique ce soit, d’autres qu’un maigre tremblement, qui, devant son impuissance, ne devait qu’exciter encore plus sa nouvelle maîtresse. L’Ushi n’avait qu’une envie : qu’on la satisfaite… Mais malheureusement, cela ne semblait pas le moment. Une fois satisfaite, les deux femmes quittèrent les seins de l’Ushi, pour s’embrasser, laissant la vachette et son excitation de côté… Excitation qui ne faisait que croitre…

Heureusement, notre maîtresse était une femme clémente et bonne -dans les deux sens du termes, d’ailleurs-, et elle, comme son amante, retournèrent sur la vachette… D’abord, ce fut les doigts… en effet, alors que les deux maîtresses étaient de retour sur la vachette, toujours enchaînée, et ne pouvait rien faire de bien particulier, mise à part « subir », et apprécié cela, et bien… Les doigts des Warren commencèrent à se faire plaisir, caressant l’intimité de l’Ushi, qui ainsi, sentait l’excitation augmentée… Elle avait chaud, très très chaud, il fallait bien le dire. Elle haletait presque… On pouvait félicité l’aphrodisiaque, qui avait été véritablement efficace sur la vachette, très certainement à cause de dose importante, et par le fait que cette dernière était vierge, donc, ne connaissait en rien ce qui était entrain de lui arriver. Et d’ailleurs...

C’est alors qu’apparut, au niveau de l’entrejambe de sa maîtresse, un très beau phallus, visiblement prêt à l’utilisation. Celui-ci vint se frotter au niveau de l’entrejambe de la vachette, toujours bien exposée, ne demandant qu’une chose : être véritablement pénétrée, que sa nouvelle maîtresse puisse la « marquer » autrement qu’au fer rouge, si vous voyez ce que je veux dire… bref, en tout cas, la vachette était entrain de meugler d’excitation :

« Meuh… Meuh <3... »

La vachette était bien excitée, mais il n’y avait rien à faire, elle était toujours bien bloquée par ses chaines… D’ailleurs, cela ne la dérangeaient pas plus que ça. Elle aimait comme ça, être immobilisée, prête à être utilisée comme l’objet qu’elle était… Enfin, la vachette. De l’autre côté, il  était classique que les vachettes et les esclaves en général soient considérés comme des objets… Donc, on pouvait dire que c’était pas si étonnant qu’elle y soit jabituée, qu’elle y ait été préparé… Bref, notre vachette attendait l’engin de Mélinda, tout en regardant celui de la femme de cette dernière. Qu’allait-elle faire avec ? D’ailleurs qu’allait faire exactement Mélinda ? L’excitation était telle qu’elle pensait que quoiqu’il arrive, cela allait faire énormément de bien… Mais pour tout dire, il fallait bien comprendre que dans les faits, et bien… Notre vachette n’avait aucune idée de ce qui allait se passer… Attend un peu, tu vas apprécié, je te l’assure, ma chère Cassandre…

Cassandre était en train d’être magnifiquement traitée, et son intronisation au sein du harem ne faisait que commencer. Les doigts de Mélinda se recouvraient de mouille, son délicieux nectar, pendant qu’elle continuait à boire son lait, ayant de plus en plus de mal à se retenir. Devenue très dure, sa queue lui faisait furieusement mal, tant elle l’élançait. Il fallait bien admettre que le lait de l’Ushi était aussi bon qu’aphrodisiaque, et, comme Cassandre n’avait pas été traitée, d’épaisses quantités de lait venaient remplir les gorges des deux puissantes vampires, de telle sorte que, pour elles aussi, les simples caresses digitales devenaient bien insuffisantes pour épancher leur grandissante soif.

Mélinda se redressa donc finalement, et observa brièvement Vanillia. Leurs membres en érection se frottèrent ensemble, glissant doucement l’un contre l’autre. C’était un contact que Mélinda avait tendance à apprécier, et elle s’amusait à frotter sa queue en érection contre celle de sa femme. De fait, quand elle fit cela, son propre sexe vint à se redresser, émettant quelques ondes de douleur qui se répandirent dans son être.

« Hmmmm... »

La vampire se pinça une nouvelle fois les lèvres, puis se positionna devant le corps de l’Ushi, posant chacune de ses mains sur ses jambes. Elle caressa sa peau, glissant jusqu’à ses pieds, et son corps fila vers l’avant, son sexe effleurant celui de sa jeune esclave. La trompe se heurta à cette faille luisante, très humide. Quant à Vanillia, elle alla se placer de l’autre côté, la tête de l’Ushi filant entre ses jambes, ses mains venant caresser chacune de ses joues, ses deux pouces titillant la bouche de leur proie. Elle caressa ainsi les lèvres de la belle, enfonçant ensuite délicatement ses doigts dans sa bouche. Elle décrivit ensuite des cercles avec ces derniers, puis gloussa lentement, et les éloigna.

Vanillia agrippa ainsi son sexe d’une main, l’autre se posant sur le menton de la jeune femme, redressant un peu son visage, amenant Cassandre à s’appuyer sur le sol avec le sommet de son crâne, surélevant ainsi un peu sa bouche, dont les lèvres vinrent lécher l’extrémité du phallus de Vanillia.

« Haaaa... Suce-moi bien, ma chérie... »

Naturellement, les deux vampires se répartissaient joyeusement la tâche. Cassandre avait un corps généreux, qui méritait bien d’être exploré à deux... Et même plus. Depuis sa position, Mélinda n’avait en effet nullement oublié les seins de Cassandre, et fit signe à deux de ses meilleures esclaves d’approcher. Deux sœurs s’approchèrent ainsi, se substituant aux vampires pour venir ponctionner le lait aux seins de Cassandre, White & Rose. Aussi belles que talentueuses, elles s’empressèrent d’aller ce délicieux lait.

Ce fut ensuite au tour de Mélinda de parfaire la situation, ce que cette dernière ne tarda nullement à faire, en enfonçant sa verge dans l’intimité de l’Ushi. Un soupir de plaisir s’échappa fort logiquement de ses lèvres, et elle commença doucement à remuer. Cassandre se retrouvait ainsi avec quatre femmes s’occupant de son corps, deux jouant avec ses seins, une enfonçant sa queue dans sa bouche, et l’autre la pénétrant.

Quelle meilleure manière pouvait-on trouver pour intégrer un harem ?

« Haaaa, ma petite Cassandra, ta chatte est... Vraiment merveilleuse ! »

Quel bonheur ! Quel plaisir ! Quel fantasme ! Notre vachette, toujours solidement attachée, était ainsi le cadeau parfait pour ce harem, littéralement une petite esclave, une Ushi, capable de tout subir, et qui en plus, en contrepartie, donnait du lait… Si ce n’était pas merveilleux ? Elle donnait, et donnait encore. Mais bien sur, visiblement, ses maîtresses avaient décidés que cela méritaient aussi en grande partie à recevoir… N’est-ce pas ? Visiblement, c’était bien ce qu’elles avaient décidés, vu que les maîtresses étaient maintenant au niveau de la vachette et n’était pas à prendre leur lait… Mais à leur offrir « leurs » lait. Si vous voyez ce que je veux dire… Quoi ? Non, vous ne voyez pas ? Mais mes amis, il faut tout vous expliquer, bon sang de bonsoir ! Alors...

Et bien la vachette était maintenant prête à être utilisée des deux côtés… En effet, alors qu’elle avait été pour le moment seulement utilisée par les bouches de nos deux maîtresses, des deux femmes Warren, ses dernières décidèrent d’utiliser d’autres organes sur la pauvre et heureuse vachette, qui allait sans doute ainsi découvrir un très grand plaisir… De toute façon, elle ne pouvait y échapper. Aussi bien mentalement, condtionnée par le fait qu’elle était une esclave, et qu’elle était sous l’emprise de ses aphrodisiaques, qui en gros, ne faisaient que lui chuchoter dans ses oreilles « Oui… Prend du plaisir… Aime ça... »… Tandis que physiquement, son magnifique bloquage était bien toujours présent, la transformant presque, pour notre plus grand bonheur, en sextoy vivant. Un très beau sextoy vivant. Le plus agréable… Il donne même du lait !

« Haaaa... Suce-moi bien, ma chérie... »

Chose demandée, chose reçue ! La vachette ouvrit amoureusement la bouche, et accepta ce merveilleux présent… Elle commença à sucer, bien activement, bien qu’on pouvait dire, sans aucun doute que le tout était plutôt… Maladroit. Elle ne savait pas encore bien faire, elle avait encore visiblement beaucoup à apprendre dans ce domaine… Ce n’était pas catastrophique, et sans aucun doute, on pouvait apprécié, mais elle devait avoir plus d’expérience, plus l’habitude d’utiliser la bouche… D’ailleurs, chose qu’elle n’allait très certainement pas avoir du mal… Car elle prenait son pied. Elle adorait le fait, comme ça, d’avoir sa bouche remplie, martyrisé, utilisée… Elle voulait que ça soit encore plus gros, plus présent dans sa bouche… Elle rêvait presque qu’elle reste comme ça, la bloquant… Être traite, mais recevoir ce plaisir en échange, par des dizaines, et des dizaines de gens… Quel délice !

Pendant ce temps là, « l’autre bouche » de Cassandre attendait toujours… Mais, n’oubliez pas ce que l’on dit : « Tout vient à point qui sait attendre ! » Et bien, cela marchait aussi pour le plaisir… Alors que la vachette était ainsi entrain de sucer la queue, pour la première fois de sa vie, et commençait déjà à en devenir addict, son vagin fut alors pénétrée par sa maîtresse… Son sexe découvrit alors la joie de se faire pénétrer. Bien sur, on  ne put échapper au sang, obligatoire après que son hymen se fut brisée par l’imposant phallus de sa nouvelle Maîtresse… Mais quand même ! La vachette poussa un profond gémissement de plaisir, mélé à un poil de douleur, quand le pénis profita de son vagin… Et bien, on pouvait dire qu’elle n’était pas la seule à prendre du plaisir, car en effet, sa maîtresse déclara :

« Haaaa, ma petite Cassandra, ta chatte est... Vraiment merveilleuse ! »

« Mmmh...! Meuuuh ! »

Le plaisir était intense… Sans aucun doute, notre vachette était au paradis. Sans doute très liée à l’abus d’aphrodisiaque, celle-ci ne semblait que chercher à recevoir du plaisir, quitte à abandonner son vrai caractère, son honneur, et tout ce qu’elle pouvait avoir, tant qu’elle pouvait être pénétrée et traite… Mais après tout, était-ce si étonnant ? Nous avions affaire à une vachette… Une simple vachette, une créature extrêmement peu intelligente, enfin, ce que les gens considéraient… Ce n’était pas totalement vrai… Mais dans le cas de Cassandre… Meh. On pouvait dire que si, c’était bel et bien vrai, et qu’elle était moins intelligente. De toute façon, sans doute très liée à son aprhodisiaque, elle était entièrement d’accord : elle était tout à fait prête à être utilisée, ainsi, pour toujours, tant qu’elle avait du plaisir… Mais qu’allait penser les deux femmes Warren ? Cela était une question très intéressante…

Vanillia était vraiment digne d’être la femme de Mélinda, car elle avait pensé à tout. En effet, non seulement avait-elle offerte à sa femme une magnifique Ushi, mais, en plus, elle lui en offrait une qui soit vierge. Vanillia savait en effet combien Mélinda aimait ça. Le plaisir immense qu’on ressentait à pénétrer une vierge était indescriptible, non seulement pour la symbolisme du geste, mais aussi pour le fait de sentir le sang virginal de la douce colombe caresser son membre. C’était pour ses raisons que Mélinda prenait toujours la virginité de ses esclaves, laissant à Vanillia la virginité anale. Mine de rien, sa femme était une sodomite plus grande encore qu’elle, mais, pour l’heure, se contentait de la délicieuse bouche de l’Ushi. Soucieuse de bien faire, cette dernière suintait le plaisir de part en part, de la tête aux pieds. Avec le harnais de cuir immobilisant ses bras et ses jambes, elle ressemblait véritablement à un sex-toy animé, magnifique allégorie de ce que son destin, maintenant, allait être.

Mélinda grognait et soupirait en sentant les parois internes de Cassandre se heurter à son sexe. Se forcer un passage n’était pas une chose aisée, et elle devait s’y reprendre à plusieurs reprises, soupirant lourdement, remontant tendrement d’avant en arrière. Sa queue frottait contre la chatte de l’Ushi, forçant progressivement le passage, baignant dans la mouille de la jeune femme.

« Haaaa... Ouiiii, hmmmm... »

C’était... C’était bon, tout simplement. De magnifiques sensations la traversaient, une joie indicible qui s’exprimait en elle au fur et à mesure qu’elle remuait dans l’organisme de la belle Ushi. Rien n’était épargné à la jeune femme, et la belle meuh-meuh se tortillait sur place. White & Rose, elles, continuaient à doucement boire, avec un insatiable appétit. Les seins de Cassandre étaient ainsi paradoxalement en train de se dégonfler, du fait de la disparition progressive de ses réserves de lait, et de se durcir, du fait de l’excitation intense qu’elle ressentait. Quatre belles femmes s’occupant de son corps, il fallait bien admettre que ce n’était pas rien !

Vanillia, quant à elle, était également très affairée à pénétrer la belle bouche de son Ushi, et s’amusait à effectuer quelques brèves gorges profondes, en tenant le menton de Cassandre, et en poussant dessus. Elle agissait plus délicatement que Mélinda pour le coup, préférant savourer le moment, et ressentait, contre son phallus dressé, les coups de sa femme. Son regard oscillait entre le visage partiellement dissimulé de Cassandre, et le corps de sa femme, magnifique beauté qui ondulait dans sa tenue rose, ses joues rougies par l’effort, mains posées sur l’intérieur des cuisses de Cassandre, et se penchant de plus en plus.

« Hmmmmm... Haaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaannn...
 -  Tu es si belle, ma chérie, hmmm... »

Usant de la position particulière de l’Ushi, Mélinda se pencha en avant, courbant son corps vers le devant, et partagea avec Vanillia un tendre baiser, ardent et sec, leurs langues remuant ensemble pendant quelques secondes, faisant se crisper le corps de Cassandre. Mélinda se recula ensuite, et recommença ses coups de reins, de haut en bas.

Sous ce régime, Mélinda ne tarda plus à jouir, et, dans un ultime cri, répandit des filaments de foutre dans le corps de Cassandre. Vanillia, de son côté, n’avait pas encore joui, ce qui, au demeurant, ne la dérangea pas plus que ça, et les quatre femmes, après l’orgasme de Mélinda, délaissèrent provisoirement le corps de cette dernière. Reprenant son souffle, Mélinda voyait du liquide intime s’écouler de la chatte de l’Ushi, et, enfin, entreprit de lui retirer ses liens. Le harnais partit, et la femme se retrouva couchée sur le sol, puis Mélinda, en souriant, se coucha contre elle, glissant ses jambes contre les siennes, et retourna fourrer la chatte de l’Ushi avec sa queue, tout en retirant son bandeau.

La première chose que Cassandre vit fut ainsi le beau visage de sa Maîtresse, en train de reprendre ses coups de reins, sur un rythme plus doux et plus sensuel que préalablement. Avec l’une de ses mains, elle pinça l’un des seins de l’Ushi, et, avec l’autre, caressa ses lèvres, puis l’embrassa tendrement.

« C’est moi, Cassandra... Ta Maîtresse. Est-ce que... Hmmm... Est-ce que tu m’aimes ? »

Tant de femmes sur elle… Dois-je préciser qu’elle avait déjà jouie une fois… ? Oui, je dois préciser, étant donné que je ne l’ai pas dis précédemment. Bref, les mains, les phallus… Tout sentait le professionnalisme, montrait bien que nos amantes avaient parfaitement maitrisé le corps humain, et donc, étant assez proche, le corps de la vachette… Et savait parfaitement comment lui donner du plaisir. Cela se voyait que notre vachette était ainsi rentrée dans ce qui était un magnifique Harem… C’était donc un magnifique véritable bonheur constant qui était donc offerte à la vachette… Elle suçait, se faisait pénétrer, et traire, ainsi, ses seins continuaient de donner du lait, perdant un peu de leur volume excédentaire qu’ils avaient gagnés pendant le voyage sans traite. Et n’oublions pas, évidemment, le vagin de la vachette, qui était empalée avec grand plaisir, découvrant ainsi les joies du sexe… Et visiblement, cela plaisait à sa maîtresse…

« Haaaa... Ouiiii, hmmmm... »

Son corps était balloté, utilisé, presque martyrisé… Mais cela n’avait aucune importance. Car il y avait ce plaisir. Ce si grand plaisir. Cela était tellement… Agréable ! Elle était tellement heureuse… Que dire de plus ? A part décrire bien sur ! Ainsi, alors que ses seins et son vagin étaient complètement utilisée, et faisaient leur travail avec efficacité, la bouche de la vachette commençait à prendre l’habitude de ce traitement si violent, mais pourtant, si agréable. Bien sur, la bouche de la vachette n’était pas sa zone la plus érogène, mais elle prenait un grand plaisir, au passage du phallus de la très belle femme qui avaient décidé d’en faire un cadeau pour sa femme, phallus qui n’hésitaient pas d’ailleurs à parfois s’aventurer relativement profondément en la vachette… Cela était un plaisir intense, et visiblement, elle n’était pas la seule à aimer ce plaisir qui l’irradiait avec tant de bonheur :

« Hmmmmm... Haaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaannn...
 -  Tu es si belle, ma chérie, hmmm... »

Cassandre ne pouvait toujours rien voir, mais elle y croyait avec grand plaisir, tandis qu’elle sentait son fondement se faire remplir d’un sperme bien chaud, qui l’irradia de plaisir, lui donnant une nouvelle jouissance. A l’inverse, sa bouche n’avait pas encore reçue se divin nectar, et malheureusement pour la vachette, sa bouche retrouva la liberté, laissant un profond sentiment… De vide. Oui, c’est bien ça. De vide pour la vachette, au niveau de la bouche. De plus, comme si la partie était terminée, elle fut libérée de son emprisonnement, libérant ses membres engourdies par le voyage. Incapable de se lever, haletant de plaisir, bref… Le bonheur absolu, mais incomplêt… La vachette était maintenant libre, mais toujours grandement sous l’influence des aphrodisiaques… Quand soudainement, elle retrouva la vue, la lumière attaquant violemment ses yeux, après tant de temps passer dans l’obscurité, elle put voir sa maîtresse… Et entendre ainsi sa déclaration… Enfin, ce n’était pas grâce à la libération des yeux… M’enfin, vous me comprenez !

« C’est moi, Cassandra... Ta Maîtresse. Est-ce que... Hmmm... Est-ce que tu m’aimes ? »

« Meuh… Je vous aime ! Vous êtes ma maîtresse… Quel plaisir... »

Elle regardait sa maîtresse… Une si belle femme… C’était un peu comme une découverte, comme un aveugle qui pour la première fois de sa vie pouvait voir… De plus, lié aux aphrodisiaques, cela renforçait l’effet… Bref, en un mot comme en cent, ce fut le véritable coup de foudre. Et c’était repartit ! En effet, alors que sa maîtresse avait déclarée cela, elle continuait de nouveau des vas et viens, qui étaient cependant légèrement plus doux que précédemment… Bien que le tout restait extrêmement erotisant, et extrêmement satisfaisant pour la vachette… Sentant son vagin, empli de sperme, continuer à se faire pénétrer, avec un bon vas et viens très satisfaisant… On pouvait dire que pour la vachette, c’était un véritable paradis. D’ailleurs, le plaisir continuant d’augmenter, comme cela, sans aucune interruption, notre vachette, la bouche étant toujours libre, laissa échapper, en même temps que son corps et son esprit atteignait le septième ciel :

« Meuuuuuuuuuuuh ! »

Une nouvelle jouissance ! Son corps venaient de jouir presque trois fois en si peu de temps, montrant bien l’inexpérience de la vachette en ce domaine, et surtout… Le magnifique traitement qu’elle recevait. Amorphe mais emplie de plaisir, la vachette était entrain de rêver de ce traitement, ainsi, tout les jours, tandis que ses seins, semblant presque intarissable, continuait de donner du lait, montrant le talent et la préciosité de notre vachette… Sa capacité quasi sur-naturel à continuer à donner ce merveilleux et très bon lait. Bref, la vachette regardait sa nouvelle maîtresse, maintenant libre… Mais en même temps, paradoxalement, maintenant, entièrement captive. Cela avait été son baptême de sa vie d’esclave, et sans aucun doute, le début d’une excellente vie. On allait apprécié la continuation, car après le baptême, il y a Confirmation… N’est-ce pas ?

Mélinda était en train de prendre un pied incroyable avec l’Ushi. Ce n’était pas tous les jours qu’on lui faisait un tel cadeau, et elle ne tenait pas à le laisser passer. Cassandre était une jeune Terranide aussi belle qu’endurante, et, pour son malheur, le fait de produire autant de lait avait sensiblement stimulé la libido de Mélinda, qui se montrait particulièrement insatiable. Et puis, Cassandre était son cadeau, alors il était bien normal qu’elle l’honore longuement et joyeusement. Elle remuait lentement en elle pour l’heure, accélérant doucement le rythme, se délectant des meuglements de l’Ushi. Mélinda soupirait, et n’hésita pas, venant embrasser la jeune Ushi dans le creux du cou, à la titiller. Du lait coulait encore contre sa main, et elle se régalait des meuglements de la jeune Ushi. Elle se tortillait sur place, la queue de sa Maîtresse continuant à tendrement s’immiscer en elle, s’insinuant sensuellement et longuement.

« Oh, Cassandre, ma belle Cassandre, hmmm, tu… Tu es si bonne, ma chérie, ma vachette d’amour… »

La vampire continuait à la bourrer, tendrement. Cassandre venait encore de jouir, mais la belle n’en était encore qu’au début. Les Ushis bénéficiaient d’une endurance exceptionnelle, surtout en matière sexuelle, et l’Uhsi était à la hauteur de leur réputation. Mélinda continuait à la bourrer, avec amour, mais, plus elle agissait, et plus elle sentait une nouvelle forme de soif la traverser. Sa langue léchait la peau de la jeune femme, et ses dents se posèrent sur elle, formant un délicat suçon.

Mélinda ne parla plus, et mordit alors, en plantant ses canines. En perçant la chair de la jeune Ushi, une douleur allait sûrement la traverser, mais elle disparaîtrait bien vite, compensée, non seulement par la verge de sa Maîtresse en train de la prendre, mais aussi par ce sentiment euphorique que la succion, quand elle était bien faite, pouvait provoquer.

« Hmmm… Mmmhmmmm… »

Ah, le délicieux sang d’une Ushi ! Un sang plein d’énergie, plein de vitalité… Si fort, si vibrant ! Il était plein de tonus, comme une sorte d’étonnant mélange entre le sang et le lait. Mélinda gémissait langoureusement, et d’autres femmes se rapprochèrent alors. White et Rose ne comptaient pas rester inactives, car elles attrapèrent les bras de Cassandre, et les posèrent sur le sol, sans rien dire, mais en souriant gentiment.

Leur Maîtresse continuait à pénétrer Cassandre, avalant lentement son sang, car il était tellement bon qu’il méritait d’être longuement savouré, et non pas bu hâtivement. Elle l’avalait donc, provoquant plusieurs bruits de succion, pendant que ses deux magnifiques esclaves se saisirent des affaires de Cassandra, à savoir ses longs gants et collants noirs et blancs. Elles avaient immobilisé ses bras pour pouvoir, toutes les deux, enfiler les gants. L’Ushi n’avait qu’à se laisser faire, et à pousser ses soupirs et ses adorables meuglements. Les gants lui firent donc mis, sous les regards amusés et enthousiastes des deux esclaves.

« Elle a vraiment de magnifiques mains…
 -  Et son lait… Ha, je sens qu’on va beaucoup s’amuser avec elle ! »

Elles n’avaient toutefois pas fini, car les deux femmes, tout en relâchant les mains de Cassandre, et en ne manquant pas, cela allait de soi, de les embrasser et de les lécher, pour les poser ensuite sur le corps de leur Maîtresse. White se pencha même vers l’oreille de Cassandre, venant glisser à l’Ushi quelques conseils :

« N’hésite pas à lui palper les fesses, ma chérie… »

Les deux esclaves attrapèrent ensuite les bottes, mais y allèrent l’une après l’autre, soulevant et maintenant l’une des jambes pendant que l’autre glissait le collant. La première des sœurs tirait ensuite sur le collant, le remontant le plus loin possible, et celle qui était à la base du pied terminait en déposant un baiser dessus. Elles s’attaquèrent ensuite à la seconde jambe, et, tandis qu’elles s’affairaient, Mélinda continuait à boire.

Quand Cassandre fut finalement bien habillée, White et Rose s’écartèrent, et Mélinda rompit finalement la succion. Elle lécha le cou de l’Ushi, et alla l’embrasser tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes.

« Tu es maintenant définitivement mon Ushi, Cassandre… »

Et elle l’embrassa encore, tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche, sa queue toujours nichée en elle. Avoir bu son sang avait néanmoins considérablement excité Mélinda, qui commença à la bourrer sévèrement, enfouissant sa queue en elle, encore et encore, tout en continuant à la pénétrer durement…

Pour le moment, tant mieux pour Cassandre, le vas et viens restait relativement… Doux. Mais ce n’était qu’une question de temps, étant donné que la fameuse vachette commençait déjà à sentir le pénis s’accélerer en son être… Cela lui donnait encore plus de plaisir, et elle commençait déjà à apprécier cela à un point quasi intense… Elle ne voulait qu’une chose, que cela continue, et surtout, que cela ne s’arrête pas… Peu à peu l’accélération se faisait de plus en plus intense, rendant que plus excitant les mots de la vampire, maîtresse de Cassandre :

« Oh, Cassandre, ma belle Cassandre, hmmm, tu… Tu es si bonne, ma chérie, ma vachette d’amour… »

On pouvait remercier, en effet, l’endurance des Ushis ! Et il y avait une chose à dire : notre fameuse Cassandre était bien destinée à une être bonne baiseuse… Enfin, une bonne à être baisée… C’était sa première fois, mais malgré cela, elle tenait parfaitement, et continuait à suivre le moment, malgré  avoir déjà jouie plusieurs fois… Peut-être était-elle un peu trop sensible… ? Mmh… Sur ce point, cela était totalement possible. Après tout, elle avait déjà jouie plusieurs fois, alors que cela ne faisait que commencer, et ce n’était pas prêt de se terminer… Mais de l’autre côté… Tant qu’elle tenait, on s’en fichait, n’est-ce pas ?

C’est alors qu’elle se fit mordre… Elle poussa un véritable glapissement de douleur, et celle-ci irradia un bon moment dans tout le corps de la vachette… Mais peu à peu, le plaisir était telle, qu’elle en oublia la douleur, et le fait qu’elle était littéralement entrain de se faire boire le sang, littéralement étant le mot. Qu’importe la douleur, les vas et viens qui accélérait en elle, la permettait d’oublier littéralement la douleur, et de ne vouloir qu’une seule chose… Que tout cela continue. Que le plaisir ne s’arrête jamais, etc. Quel bonheur ! Quel plaisir ! La seule chose qui lui manquait, c’était bel et bien d’être cadenassé…

« Elle a vraiment de magnifiques mains…
 -  Et son lait… Ha, je sens qu’on va beaucoup s’amuser avec elle ! »

Pendant ce temps là, alors que le plaisir était intense, d’autres esclaves commençaient à s’occuper de Cassandre, preuve ultime qu’elle venait d’être accepter dans le Harem, qu’elle venait de devenir l’une des leurs. Non laissée simplement nue, ses bras, comme ses jambes allaient être habillée. Les compliments rendraient extrêmement heureuse la vachette, mais malheureusement, l’Ushi était un peu… Comment dire…Trop concentrée sur ce qui lui arrivait, sur le plaisir, le bonheur, etc. L’une et l’autre esclave se tenait à aider la vachette à être impeccable, commençant par les bras, puis continuèrent au niveau des pieds, l’une d’entre elle glissa même à l’oreille de la vachette, qui avait suffisamment de conscience et de raison pour bien écouter :

« N’hésite pas à lui palper les fesses, ma chérie… »

Chose conseillée, chose faites ! La vachette, qui était une passive dans les relations, vous l’aurez bien compris maintenant, décida de tenter de s’activer un petit peu, pour le plaisir de sa maîtresse. Alors qu’elle continuait à se faire habiller, comme dit précédemment, elle utilisa ses mains, nouvellement gantés, pour pouvoir caresser, malaxer, et profiter du magnifique postérieur de sa maîtresse… Que de plaisir de pouvoir malaxer ses magnifiques fesses, qui étaient si agréables au toucher… Elle continua alors qu’elle était toujours en extase, malgré une douleur lançinante, qui continuait à cause de la sucion du sang… Elle n’était définitivement pas du tout habituée à cela, et préférait largement qu’on lui récupère son lait plutôt… Mais encore une fois, le plaisir était telle qu’elle s’en fichait.

« Tu es maintenant définitivement mon Ushi, Cassandre… »

« Oui… Oui !!! »

Finalement, heureusement, la récupération du sang fut terminée, laissant une magnifique tache d’hémoglobine à l’emplacement où elle avait été mordue, mais pour ce qui était du pillonage, littéralement, et bien… On pouvait dire que cela continuait, et que cela continuait de plus belle. Plus cela continuait, plus elle appréciait, telle un cercle vicieux de plaisir… Plus Mélinda la baisait, plus elle appréciait, plus elle appréciait, plus elle avait envie de se faire baiser par Mélinda. Certains appelleraient cela donc, un cercle vicieux. Pour Cassandre… C’était plutôt un bonheur infini qui venait de commencer…

« Je ne veux qu’être votre Ushi, votre chose… ! C’est si bon maîtresse… ! AAAAH ! MEUH ! »

Et elle jouit de nouveau. Et elle vit que cela était bon. Son corps était comme un spasme entier, et son plaisir était intense. Elle adorait. C’était presque aussi plaisant, presque aussi indispensable pour son corps, à ses yeux, que la traite l’était pour ses seins… Vous voyez à quel point elle avait apprécié ? Elle avait presque l’impression que l’aphrodisiaque ne s’était pas dissipé, mais avait fussioné avec son sang, pour en devenir un élément naturel, vivant naturellement parmi elle, l’excitant constamment. Alors qu’elle haletait, toujours pénétrée, elle poussait toujours des petits « meuh » extatiques, presque sans raison… Pour que cela continue. Elle venait d’avoir son baptème pour la Harem de sa maîtresse, et le bonheur était maintenant là. Il venait d’arriver, et de s’installer pour la vachette.

Coucher avec Cassandre était assurément une chose très agréable. Après l’avoir habillé, White & Rose regardaient la jeune Ushi se faire prendre fougueusement par leur Maîtresse. Avoir bu le sang de l’Ushi avait considérablement accru l’excitation de Mélinda, et, dans sa belle tenue rose, elle était tout simplement somptueuse. Oui, White & Rose ne se lassaient pas de l’observer, frissonnant doucement sur place, se mordillant les lèvres, gloussant entre elles. Maîtresse était toujours belle à observer, surtout quand elle était en train de faire l’amour, comme en ce moment. La Ushi, sous elle, remuait son corps, meuglant en accompagnant les mouvements de sa Maîtresse, n’hésitant plus à palper ses fesses, les malaxant amoureusement. C’était ce genre de contact que la vampire appréciait énormément. Elle gémissait donc, embrassant régulièrement Cassandre sur les lèvres.

Encore et encore, elles se faisaient l’amour. Mélinda continuait à la prendre, à gémir longuement. Les deux esclaves avaient tapé juste en disant à Cassandre de s’attaquer au fessier de sa Maîtresse. C’était là une zone que Mélinda affectionnait tout particulièrement, et elle continuait à la prendre, à s’unir en elle, son mandrin disparaissant dans l’intimité trempée de l’Ushi. Elle meuglait de plaisir, et les deux corps se frottaient ensemble, la chair venant à claquer contre la chair.

« Hmmmm... Hnnnn... Ca-Cassandre, hmmmm... Hmmmm... !! »

Des gouttes de sueur glissaient le long des cheveux de la femme, tombant sur le corps de Cassandre. Mélinda gémissait près d’elle, et l’embrassa une nouvelle fois, fourrant sa langue dans sa bouche, tendant ses muscles, avant de se redresser, puis de s’enfoncer encore. Elle pilonnait ce corps, défonçait l’Ushi, et ce avec le plus grand des bonheurs, la plus immense des joies.

« Haaaaaa... Haaaaaa... !! »

Les gémissements de Mélinda remplissaient l’air, et, au bout de plusieurs minutes, elle se pinça les lèvres, et posa ses deux mains sur les seins de Cassandre. L’orgasme approcha, et explosa, tandis qu’elle pinça fermement les tétons de l’Ushi. Le lait explosa sur son visage et sur son torse pendant que sa verge se vidait joyeusement dans le corps de la femme, répandant des filaments de foutre. Dans un long soupir, Mélinda, yeux clos, affichait le visage d’une femme ravie, au comble du plaisir, tant elle jouissait. Sa queue tressautait furieusement dans l’antre de Cassandre, jusqu’à ce que le corps de Mélinda ne ralentisse progressivement.

Des gouttes de sueur roulaient le long de son visage, tandis qu’elle ralentissait peu à peu le rythme, jusqu’à soupirer à nouveau. Sa queue toujours nichée dans le corps de Cassandre, Mélinda lui sourit, et remonta ses mains pour frotter ses joues, ses pouces glissant sur sa peau.

« Ma petite Cassandra, hmmm... Je suis si ravie de t’avoir... Cette fois, on peut se le dire, Cassandre... »

Mélinda lui sourit encore, et l’embrassa sur le front :

« Bienvenue dans ma communauté, mon amour... Ma petite chérie, je vais m’occuper de toi, sache-le bien... Avec attention et amour. »

Cassandre continuait de profiter du corps de sa maîtresse... Elle tentait de faire le plus de plaisir qu'elle pouvait avec ses mains, remarquant que visiblement, notre fameuse Mélinda semblait bien aimer se faire masser le postérieur... Tant mieux ! Après tout, visiblement, le merveilleux fessiers de sa maîtresse la poussait à continuer d'user de ses mains dessus... Que de plaisir... Quel merveilleuse maîtresse. Elle avait complètement oubliée qu'elle avait été mordue, depuis le temps. Maintenant, elle pensait avant tout au plaisir qu'elle était entrain d'avoir, qui était entrain de la submerger. Alors qu'elle était sur une boué au milieu d'un océan de plaisir, elle décida de complètement l'abandonner, sous les coups de reins qu'elle recevait...

« Hmmmm... Hnnnn... Ca-Cassandre, hmmmm... Hmmmm... !! »

Visiblement, Mélinda aussi prenait du plaisir, pour le plus grand plaisir de la vachette, qui estimait ouvertement -et c'était son rôle-, que cela serait inacceptable qu'elle soit la seule à recevoir du plaisir dans cette relation, dans ce merveilleux jeu de jambes, qui étaient entre les deux femmes. Aussi bien Mélinda que Cassandre gémissait, activement, jusqu'au point de jouissance, qui arriva finalement, pour les deux femmes.

« Haaaaaa... Haaaaaa... !! »

« MMMh... AAAH !! »

Les deux femmes jouirent presque d'un seul coup... Cassandre, toujours sous les derniers effets de son aphrodisiaques, qui peu à peu se dissipaient après avoir été extrêmement efficace, et la vachette commençait à reprendre « raison ». Enfin, raison... Tout est relatif... Elle avait franchement tellement apprécier, qu'elle avait jouit quand même assez de fois pour que cela soit applaudit niveau endurance ! Et la vachette avait véritablement pris au goût à tout cela... Visiblement, elle allait se plaire ici ! En même temps, ce n'était pas comme si elle avait vraiment le choix. Elle avait intérêt de se plaire ici, car en temps que cadeau, allait très certainement restée un long moment...

« Ma petite Cassandra, hmmm... Je suis si ravie de t’avoir... Cette fois, on peut se le dire, Cassandre... »

« Oui...? »

Elle... Elle était ravie de l'avoir ! Cela la rendait si heureuse ! C'était sans aucun doute, la moindre ombre d'un doute, le plus beau compliment qu'on pouvait donner à l'Ushi. Après tout, elle n'avait rien d'autres... Et là, maintenant, on lui disait qu'elle était digne de rejoindre le groupe... Elle attendait alors la déclaration de Mélinda, avec un grand sourire, remuant de sa queue de vache, de bonheur...

« Bienvenue dans ma communauté, mon amour... Ma petite chérie, je vais m’occuper de toi, sache-le bien... Avec attention et amour. »

« Oui, maîtresse...! »

Ca y est. Elle était officiellement acceptée dans la troupe. C'était un peu comme avec les Lions. Une fois qu'une lionne avait été prise par le mâle dominant, elle était maintenant dans la troupe du Lion. Et bien, là, le Lion, c'était la merveilleuse et magnifique Mélinda Warren, la maîtresse du Harem, celle qui décidait de tout, et auxquel Cassandre avait été offerte. Elle pensa rapidement à Vanillia Warren... Elle lui devait tout, sur le coup. C'était grâce à cette merveilleuse femme, qu'elle était maintenant une merveilleuse Ushi de compagnie, une membre de ce harem. Heureusement qu'elle avait été trouvée par elle. Elle aurait put être achetée par des tas et des tas de personnes... Et finalement, cela avait été cette magnifique femme, qui avait décidée qu'elle serait digne de rejoindre leur groupe, leur demeure...

« Je suis si heureuse de vous avoir été offerte. Je peux vous donner autant de lait que vous le souhaitez, c'est mon rôle... N'hésitez pas à m'utiliser... »

Elle supposa comme ça, en montrant ses gros seins, alors que ses cheveux roses -qui étaient blond au début du RP, c'est ce qu'on appelle un magnifique bug dans la matrice, ou un changement d'avatar-, tombaient en désordre autour de ses deux grosses mamelles. Elle avait hâte de voir ce qui allait se passer dans ce harem. Elle était un cadeau, et elle allait parfaitement s'intégrer... C'était normal qu'elle fasse tout ce qui était en son pouvoir, pour être la petite vachette parfaite ! Elle ne savait absolument pas comment marchait les « harem », étant donné que son destin l'avait plutôt conduit vers le poste de grosse productrice de lait, trait 24h/24, ou dans le poste de gouvernante, à nourrir les bébés, faire le ménage, la cuisine, et servir de petit défouloir sexuel, de temps en temps, pour les propriétaires de l'esclave... Donc, elle était encore assez naïve, et se demandait comment cela allait se passer.

Mélinda avait joui une énième fois dans le corps de la belle Cassandre, et reprenait peu à peu ses esprits. Dans sa magnifique tenue rose, elle était magnifique à voir, et, avec Cassandre contre elle, les deux femmes formaient assurément un magnifique couple. Mélinda souriait délicatement, et embrassa encore l’Ushi sur les lèvres, souriant ensuite de ses plus belles dents, puis se redressa finalement. Depuis le début, depuis qu’elle avait été sortie de sa boîte, Cassandre n’avait pas encore eu l’occasion de contempler une autre personne que celle de sa Maîtresse. Cette dernière se redressa donc, rendant à l’Ushi sa vue, et l’aida à se relever.

« Ne t’en fais pas pour ça, tu seras utilisée, Cassandre... »

Un lait d’une si précieuse qualité, Mélinda n’allait tout de même pas le laisser tarir sans rien faire ! L’Ushi était prédestinée à de grandes choses au sein du manoir. Maintenant qu’elle était debout, elle pouvait voir, non seulement Vanillia, mais aussi White et Rose, les deux femmes qui avaient aidé leur Maîtresse à habiller l’Ushi, et qui lui sourirent. Mélinda posa sa main dans le dos de Cassandre, et la retourna. Son regard embrassa une belle assemblée de personnes. Elles étaient au manoir de Mélinda, sur Terre, dans un grand et confortable salon, avec une grande table à côté. Le salon comprenait des fenêtres très hautes, dans un style occidental plutôt classique, avec de grands rideaux rouges. Une fine nappe blanche brodée avait été posée sur la longue table, et il y avait toute une série de gâteaux, de biscuits, de confiseries, témoignant du fait qu’elles étaient à la fin d’un anniversaire.

Surtout, il y avait une impressionnante foule de personnes, qui observaient Cassandre. Beaucoup étaient sorties de leur place pour se rapprocher, et l’assemblée avait ainsi vu Cassandre se faire prendre par leur Maîtresse. Cette dernière continuait à caresser le dos de l’Ushi, qui se sentirait peut-être intimidée par tant de personnes. La plus proche se redressa. Elle avait une belle robe chinoise, et offrit à Cassandre un ravissant sourire. Mélinda la présenta comme étant Akira Warren, sa fille. Akira lui fit un ravissant sourire, et posa ses mains sur les épaules de l’Ushi, puis l’embrassa tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes, enfonçant rapidement sa langue dans sa bouche.

« Hmmmm... »

Akira rompit le baiser en émettant un sourire ravi, se mordillant les lèvres.

« Bienvenue, Cassandre ! Ici, il va falloir que tu t’habitues aux baisers, tu sais... »

Pendant qu’Akira retournait l’embrasser, Mélinda récupéra un collier surmonté d’un grelot, et le mit autour du cou de Cassandre, perfectionnant ainsi sa tenue. Ainsi, chaque fois qu’elle se déplacerait, la cloche résonnerait, comme une vache laitière.

« Maintenant, Cassandre, voici ta première tâche... Tu vas faire tout le tour de la table, et te présenter à chaque membre du manoir, en les embrassant. Ensuite, tu reviendras jusqu’à moi... »

Et du monde à embrasser, il y en avait. Il n’y avait, néanmoins, pas que des filles, même si le beau sexe constituait une écrasante majorité, et tous avaient très envie de goûter aux lèvres de l’Ushi, de la palper, de caresser ses seins, ou de peloter ses fesses. Ici, dans ce manoir, Cassandre allait vite comprendre qu’il ne faisait pas bon d’être pudique !