La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]

Que de plaisir elle avait gagné avec Mélinda Warren ! Un paradis... Un vrai paradis. Il y avait pas d’autres mots pour décrire ce qui avait été sa journée pour le moment... Et elle était extrêmement heureuse ! Elle espérait qu’elle allait souvent pouvoir vivre cela, car c’était presque aussi bon qu la traite... Et les Ushi, je le rappelle avait la partie la plus érogène de leur corps au niveau des seins, pour qu’elle puisse prendre beaucoup de plaisir être têter, traite, etc... Donc, on pouvait dire que Mélinda avait réussi à faire énormément de bien à la petite vachette. Pour tout dire, même, si Mélinda avait ne serait-ce qu’eut le quart du plaisir de la vachette, on pourrait dire qu’elle a bien prit son pied. Bref, en tout cas, l’Ushi était encore lovée contre sa fameuse maîtresse... Mais il était temps que cela cesse !

En effet, comme cela avait été très bien dit précédemment, pour le moment, notre chère Vachette n’avait encore rien vu de ce qui l’entourait... Il était temps de remédier cela. Ainsi, la vachette put voir où elle était. Un beau manoir français, dans le style bien sur, pas la nationalité, avec ses très grandes fenêtres tout à Fait classique dans le style. Tel une cours Louis XIV, un salon qui tentait de montrer grandeur et gloire de son propriétaire. On pourrait presque deviner le marbre des pierres, les boiseries orientales, et tout ce qui faisait le charme de Versailles, ou de châteaux plus privé, comme le Trianon. L’autre point qui nous faisait penser à Louis XIV ? Et bien, toute la cour était présente. Enormément de monde pouvait être admirés, tous présent pour fêter l’anniversaire. L’ushi était impressionnée. Elle n’avait pas de honte à se montrer ainsi, elle n’était pas timide, mais quand même... C’était impressionnant. Bref, alors que la vachette était entrain de regarder, elle eut le droit à un baiser, suivi de :

« Bienvenue, Cassandre ! Ici, il va falloir que tu t’habitues aux baisers, tu sais... »

« Bonjour ! »

C’était une nouvelle femme, que Cassandre ne connaissait pas. Alors, bien entendue, elle n’avait vu presque personne pour le moment, comme dit précédemment. Mais c’était à la voix qu’elle pouvait dire qu’elle ne connaissait pas cette personne. Une très charmante jeune femme, peut-être a peu près du même âge qu’elle, d’ailleurs, qui s’appelait Akira Warren. Cassandre ne fit pas le rapprochement entre les deux Warren, mais il ne fallait pas s’étonner. Notre chère Cassandre n’avait jamais briller par sa jugeotte. Bref, ainis, la vachette était tranquillement entrain de regarder tout ce qui l’entourait, et était encore très contente du baiser qu’elle venait de recevoir. Donc, cette Akira disait qu’elle devait s’habituer aux baisers ? Et bien, soit ! Elle le ferait, et avec grands plaisirs ! Après tout, si c’était son devoir, elle le ferait ! Elle était une bonne servante, et elle obéissait aux ordres, quoiqu’il arrive !

« Maintenant, Cassandre, voici ta première tâche... Tu vas faire tout le tour de la table, et te présenter à chaque membre du manoir, en les embrassant. Ensuite, tu reviendras jusqu’à moi... »

« Bien, maîtresse... »

Premier ordre direct donc, donnée par sa maîtresse ! Et c’était pas un ordre trop difficile en plus ! Elle en avait de la chance, se disait-elle ! Ce n’était ni un ordre compliqué, ni un ordre chiant à faire, problématique etc. Donc, elle devait se présenter à tout le monde ? Mmh... oui, c’était logique, pensait-elle toute contente ! Elle était la nouvelle parmi eux, une Ushi qui étaient là pour sa maîtresse avant tout, mais elle savait très bien que les Ushi étaient des esclaves tout en bas ! Pourquoi cela ? Et bien, car tout le monde avait le droit de boire le lait des Ushi ! Sinon, c’était malheureux, et les gens étaient triste ! Hors, notre chère Cassandre, n’aimait pas que les gens soient triste. Elle... Ce qu’elle aimait, c’était quand les gens étaient heureux ! Donc, elle était tout à fait prête à partager son lait avec n’importe qui. Ainsi, la vachette se dirigea tranquillement vers la première personne qu’elle pouvait voir, toute contente et toute joyeuse.... Bref, prête à l’embrasser comme demander.

« Bonjour je suis... mmh ! »

Ainsi, elle avait trouvée sa première personne ! Elle l’embrassa tranquillement, puis se détourna un peu pour lui dire son nom... Cependant, elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. La jeune femme qu’elle avait embrassé, une jeune minette d’a peu près son âge, l’avait de suite de nouveau embrassé, plus fougueusement qu’avait fait notre chère Cassandre. Elle s’habitua assez rapidement, et finalement rompit le baiser... Avant de de suite se faire embrasser par un homme cette fois, qui commença à masser ses fesses, tranquillement, écrasant son torse contre les beaux seins de l’Ushi, qui commencèrent à voir couler du lait. Ainsi de suite, les différents hommes et femmes commencèrent à l’embrasser, chacun leur tour...

« Mmh... »

Elle embrassait au fur et à mesure les différentes personnes ici présentes... Et, comme pour aider la vachette (ou bien pouvoir la tripoter plus rapidement... Qui sait ? Je ne voudrais pas être médisante!) les personnes s’étaient aggroupés autour d’elle, et leur mains passaient sur la vachette. On sentait que plusieurs hommes avaient très envie d’aller plus loin avec la magnifique Ushi, mais ils se retenaient. Ils n’avaient pas envie de faire des gestes que pourrait mal prendre la maîtresse des lieux, Mélinda Warren. Mieux valait se retenir, le temps que d’un geste, d’une parole, n’importe quoi, la fameuse chef des lieux, Mélinda Warren, autorise qu’elle puisse être utilisée... Une ushi ! C’était tellement chouette d’en avoir une sous la main. Surtout qu’avec ses magnifiques cheveux roses, et surtout, ce qui intéressait : ses deux gros seins remplis de lait... Disons que l’envie de les utiliser était plus que présente. Maintenant, il fallait attendre l’autorisation, un peu comme des élèves.

La belle Cassandre était partie pour son « petit » tour de table. Petit... Tour qui ne serait en réalité pas si court que ça. Non seulement la table était plutôt longue, mais l’Ushi allait vite comprendre que, au sein du manoir, les jeunes personnes prudes étaient plutôt l’exception. Et, quand on avait sous le nez une belle Ushi comme ça, ce n’était que justice que de vouloir en profiter le plus longuement possible. Elles l’embrassaient donc, la pelotaient, la caressaient, et les hommes n’étaient pas en reste. Ils se montraient autant entreprenants que les femmes, certains n’hésitant pas à serrer l’Ushi dans leurs bras, frottant leurs verges en érection contre elle. Tout était fait pour que l’Ushi se sente bien, qu’elle comprenne qu’elle était arrivée à un point de non-retour, à un endroit magique où tous ses rêves allaient se concrétiser. Elle était arrivée au manoir de Mélinda, un endroit où ons ‘occuperait tout le temps d’elle, de son corps, de ses envies... C’était comme si un nouveau chapitre de son existence s’ouvrait, un chapitre magnifique, fait de tendresses, de douceurs, et de magnifiques attentions.

C’est ainsi que Noémie, une jeune esclave qui était en swimsuit, n’hésita pas à l’embrasser sensuellement, fourrant sa langue dans sa bouche. Elle joua avec elle, collant son corps au sien, en gémissant tendrement. Noémie caressa ses beaux cheveux soyeux, pressant encore son corps, jusqu’ »à ce que Cassandre ne doive se décoller. Peu à peu, Mélinda sentait la chaleur croître, monter au sein du salon.

Pour autant, elle laissa faire, conservant néanmoins sur ses lèvres un tendre sourire, ses doigts venant caresser ses cheveux, dans une posture relativement nonchalante sur sa chaise. Elle pouvait autoriser à l’un des esclaves la capacité de faire l’amour à l’Ushi, mais, pour l’heure, elle laissait les choses se faire. La belle Ushi continua son petit tour, commençant à allaiter, probablement sous l’effet du plaisir. Elle se rapprocha ainsi de l’un des hommes du manoir, Yoosung, un beau blondinet qui avait une magnifique érection.

L’Ushi se pencha vers lui, et l’homme l’embrassa à son tour, posant une main sur l’un de ses seins, pinçant le téton, et faisant couler du lait, son autre main caressant tendrement ses fesses.

« Mmmhmmm... »

Yoosung ferma les yeux de plaisir, en offrant à Cassandre un magnifique baiser, tendre, particulièrement sensuel, témoignant ainsi de tout son talent en la matière. Mélinda se racla alors la gorge, et, quand le baiser entre les deux se rompit, Yoosung tourna la tête vers elle, implorant des yeux la vampire. Cette dernière continuait à arborer sur les lèvres une ombrelle de sourire, et savait que l’auditoire était suspendue à elle. Le temps sembla ainsi se suspendre pendant quelques secondes, puis la tête de la vampire se hocha de haut en bas.

Le jeune homme déglutit alors, et en profita pour se redresser subitement, manquant renverser Cassandre. Il la coucha sur la table, et abaissa son pantalon, libérant son phallus.

« Tu es si bonne, Cassandre... »

Excité et nerveux, Yoosung s’enfonça en elle, et poussa un soupir de plaisir, avant de commencer à remuer, se tortillant joyeusement en elle, ses mains venant pincer ses tétons, les malaxant fermement.

Cassandre était maintenant autour de la table, à faire ce qu’elle devait faire… Mais la mission devenait de plus en plus difficile. Comme c’était les gens qui venaient à elle, et non l’inverse, la famesue Ushi avait beaucoup de mal à savoir qui elle avait déjà embrassée… Certains n’hésitaient pas à revenir, et finalement, de nouveau embrasser la vachette… Mais finalement, ce fut un jeune homme, tout à fait séduisant et charmant, tout à fait au goût de la vachette, qui finit par la prendre et la garder, pour le moment rien qu’à lui… Elle était ainsi gardée précieusement, telle l’anneau de Gollum, et elle avait le droit à un traitement en or… Les mains étaient chaleureuses, chaudes, et passaient sur le corps appétissant de la vachette, tandis qu’elle se laissait faire. Bien sur, le jeune homme alors fit un regard presque suppliant à sa maîtresse, vu que Mélinda Warren possédait tout, ici, littéralement tout, et qu’elle ne fut pas son bonheur quand elle autorisa enfin la libération. Yoosung remercia véritablement et longuement sa maîtresse, avant de pénétrer la vachette, qui n’était plus vierge, mais pas depuis longtemps…

« Tu es si bonne, Cassandre... »

« Mmh… Meuh... »

Cassandre commença alors à se faire pénétrer, et les vas et viens doux vinrent lui arracher des gémissements de plaisirs… Mmh… Pour une Ushi qui découvrait tout juste le sexe, elle commençait déjà à adorer cela. Comment elle avait put vivre avant sans cela ? Oups… Visiblement, les aphrodisiaques lui étaient quand même un peu monter au cerveau… Boah ! Ce n’était pas très grave ! Après tout, les deux amants, sur le coups, étaient entrain de prendre leur pied, Yoosung se pressant même contre la fameuse Ushi, sur la table, qui sentit ses seins se faire écraser par le torse du jeune homme… Alors sur la table, elle fut décalée, et déplacée pour être plus libre d’accès par les hommes et les femmes qui commençaient à s’attrouper autour d’elle, voulant tous un petit bout, au moins, de la fameuse vachette… D’ailleurs, on pouvait entendre les fameuses déclarations, très révélatrice :

« Elle est si bonne… Vive les Ushis !
-Ouais ! »

De nouveau, la vachette était prise. Et ignorant de potentiels autorisations, un homme vint fermer la bouche de la vachette, la bouche gémissant, à l’aide de sa queue, que la vachette commença à sucer assez maladroitement, il faut bien avouer. Bah ouais elle n’était pas une experte, ce n’était que la deuxième queue, de toute sa vie, qu’elle avait décidée de commencer à sucer. On pouvait donc pardonner son état de débutante… Bref, elle faisait ça, se faisant balotter dans un sens par Yoosung, qui était plus doux, et dans la bouche par l’autre, plus brutal et moins attentionnée. Deux femmes, dont Noémie qui revenait à la charge, commencèrent à caresser le corps de l’Ushi, pendant que de nombreuses personnes continuaient à admirer le spectacle, tout en jettant des regards rapides, assez régulièrement en direction de Mélinda, pour savoir quand s’éloigner, s’il y avait quoique ce soit qui commençait à déraper, pour ne pas être une victime collatéral d’une éventuelle colère, punition, ou envie sadique de leurs maîtresse. Pendant ce temps là, une des servantes, en tenue de maid, s’approcha de Mélinda pour déclarer :

« Merci, madame, de votre gentilesse et de cette achat. Nous avons hâte de l’utiliser en cuisi… Enfin, son lait !!! Son lait madame ! »

La jeune servante s’excusa tout de suite de sa confusion. Certains fous -pensaient quasiment l’intégralité des autres- aimaient la viande d’Ushi, en déclarant que ce n’était pas du canibalisme. Aux yeux du reste de l’humanité, cela l’était, mais passons… La servante ne voulait ainsi pas passer pour une folle devant sa maîtresse. Après tout, Claire n’était pas servante depuis longtemps… Et elle regardait avec envie l’esclave Ushi qui étaient entrain de se faire prendre maintenant par deux hommes, et deux femmes, qui n’avaient pus se retenir. Elle adorait être avec eux, mais elle devait se concentrer sur ses devoirs, la cuisine. Bref, pendant ce temps là, Cassandre apprenait peu à peu sa nouvelle place… Et elle aimait de plus en plus. On pouvait dire qu’elle avait de la chance d’être tombée sur cette maîtresse… Maîtresse d’ailleurs, dont le rôle était surtout celui de spectatrice pour le moment. Qu’allait-elle faire par rapport aux gang bang qu’avait la vache, et à la jeune servante devant elle… ? Que de questions, les réponses arriveront sans doute bientôt.

Mélinda restait silencieuse, un sourire amusé sur les lèvres. Elle aurait pu agir pour arrêter l’escalade... Mais n’en fit rien. Pourquoi les restreindre ? Pourquoi interdire ce gang-bang d’avoir lieu ? Par sentiment puritain fort déplacé ? Mélinda n’avait rien d’une sainte vierge, et aimait le sexe, la luxure... Et là, c’était ça qui parlait. Aucun ordre, aucune supplique, ses esclaves agissaient naturellement, et, si certains jetaient parfois des regards inquiets envers leur Maîtresse, l’absence de réaction de la part de cette dernière était suffisamment notable pour que Yoosung soit rapidement rejoint. Le jeune homme, simple lycéen au demeurant, était comblé. C’était la première fois qu’il prenait une Ushi, et, très rapidement, elle se mit à juter, libérant du lait tout autour d’elle, jusqu’à ce que des mains supplémentaires ne viennent presser encore ses tétons. Le lait éclata contre le torse de Yoosung, et deux filles se penchèrent vers lui, léchant amoureusement son torse, des mains caressant également ses fesses, durcissant encore sa queue. Le jeune homme rougissait furieusement en se pinçant les lèvres, crispant ses mains sur les hanches de l’Ushi, cherchant surtout à retenir son orgasme. En effet, plus il tarderait à jouir, et plus il pourrait profiter de ce corps magnifique, de cette sensation de plaisir extatique qui le traversait de part en part.

« Haaaaa... Hmmmm... »

Un autre homme grimpa rapidement sur la table, et amena l’Ushi à pencher sa tête vers l’arrière, enfouissant sa virilité dans sa bouche. On pouvait entendre Cassandre meugler, tandis que sa clochette cliquetait sous les coups de reins qu’elle subissait, et les mouvements qu’elle faisait, du fait de son excitation. Elle se tortillait sur la table, prise par ses amants, des mains caressant ses seins, son ventre, ses jambes, ses mains. Elle était le centre de l’attention des esclaves de Mélinda.

Cette dernière se retourna vers une servante, qui, attirée par le bruit, était sortie des cuisines, et expliqua que l’Ushi serait un grand atout pour les cuisines. Mélinda sourit devant la confusion de la jeune femme. La cuisinière, Claire, était une esclave assez récente, et qui portait, pour l’heure, une cage de chasteté, restreignant sa capacité de se faire du bien. C’était une mesure que Mélinda prenait parfois à l’occasion d’esclaves timides, ce que Claire était. En jouant sur la frustration sexuelle de son esclave, elle stimulait son appétit, pour des résultats... Magiques.

Yoosung finit enfin par se lâcher en elle, et fut rapidement remplacé par quelqu’un d’autre... Noémie ! La jeune femme était, elle aussi, comme bien des esclaves de Mélinda, une hermaphrodite, et s’enfonça, à son tour, dans le vagin de la belle Ushi, continuant ainsi cette délicieuse tournante.

Mélinda, de son côté, esquissa un léger sourire, et se retourna encore vers Claire.

« Oh... Oui, il n’y a pas qu’en cuisine que Cassandre saura se montrer indispensable. Je gage qu’elle soit réclamée par tous les services, en fait. »

En tout cas, le harem avait, semble-t-il, déjà décidé d’adopter l’Ushi... Et ça, ça ne pouvait que faire plaisir à Mélinda, qui se félicitait de voir que Cassandre n’aurait aucun problème d’intégration dans sa grande communauté !

Les esclaves étaient rassurés : Le gang-bang était autorisé.. Cela n’était nullement étonnant, Melinda n’était pas visiblement du genre à refuser ce genre d’amusement, de magnifique spectacle qu’elle avait le droit à mirer, en temps que maîtresse du Harem… Mais de l’autre côté… C’était littéralement le principe du : « Oui, mais on ne sait jamais. » Il suffirait d’un mauvais jour, d’une mauvaise ambiance, et la vampire pourrait s’énerver. Bien sur, Cassandre le sentait… Le lieu n’était pas du tout un lieu despotique. On sentait que rien ici ne marchait pas la terreur, qu’il y avait possiblement des punitions, mais ce n’était pas une ambiance, ou tout du moins ce que sentait Cassandre, un lieu de terreur… Enfin, ce qu’elle sentait… Pour le moment, elle sentait surtout une chose : c’était la bite de Yoosung, qui continuait de profiter de l’Ushi.

« Oh... Oui, il n’y a pas qu’en cuisine que Cassandre saura se montrer indispensable. Je gage qu’elle soit réclamée par tous les services, en fait. »

« Sans… Sans doute madame ! »

Claire était rassurée, elle n’avait pas fait de faute, puis, elle se tourna, un peu toujours médusée par ce magnifique spectacle. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle était là, mais quand on était relégué à la cuisine, mais qu’on ne pouvait rien faire de sexuelle, car la cage de chasteté bloquait tout, c’était un peu frustrant… Surtout dans ce genre de lieu. Non qu’elle était une avide de sexe… Mais l’ambiance, tout cela… C’était franchement assez érotique, et très excitant à son sens, mais elle devait se concentrer sur son rôle de cuisine. Sinon, cela n’allait pas bien se passer. Elle était une servante obéissante, et très satisfaite, elle se l’assurait.

Mais ce n’est pas Claire, notre personnage ! Bien qu’elle soit intéressante, et puis, il y avait énormément de personnages dans ce harem, cela serait bête d’ignorer les autres, en les transformant en des « no-name », à la pur fonction fonctionnel (ouah, la répétition). Donc, Cassandre… Que faisait-elle ? Et bien, elle reçu alors presque en même temps le cadeau dans son vagin, et dans sa bouche… Deux jouissance ensemble, qui fit plaisir à la vachette. Elle avala goulument, très gourmande, ce qu’on lui offrait, tandis qu’elle remarqua que Noémie commença à la bourrer à son tour. Chose amusante, cela ne la surprenait absolument pas. Pour le moment, les deux seules femmes qu’elle avait vue nue, avaient toute deux des pénis. Donc, cela ne lui semblait absolument pas étonnant, finalement…

Et cela continua, ainsi, avec grand plaisir… Beaucoup vinrent embrasser la vachette, lui enfoncer des pénis dans la bouche, la têter… Bref, le haut de son corps n’était pas épargné. Elle apprit même  à faire une branlette, et une branlette espagnole, qui fut offert à Noémie, qui n’était pas encore totalement fini, après avoir joui une première fois à l’intérieur de la vachette… Cela était particulièrement amusant, la branlette espagnole, dans le cas de l’Ushi, car évidemment, en pressant les seins, régulièrement, du lait venait être projeté, tachant un peu les gens autour… Alors, pas d’inquiétude, de l’autre côté, du côté de son intimité, et bien, les différentes personnes profitaient aussi de son intimité et, même, de son anus. En effet, un courageux eut la chance incroyable de s’offrir la virginité anale de la vachette. Nullement un manque de respect envers Melinda, qui aurait pu vouloir l’avoir, juste un manque de bol : bah… Il ne savait pas que notre chère Cassandre était vierge de cet orifice… pas de bol. Quoiqu’il en soit, une fois le gang-bang, ou du moins, sa première partie, finie… Cassandre revint vers Mélinda, déclarant :

« Voilà… Mmh… J’ai embrassé tout le monde… Enfin, je crois, j’ai un peu perdu le compte au bout d’un moment ! »

En effet ! Elle ne savait pas trop donc si elle avait vraiment réussi sa mission, mais elle espérait vraiment. Donc, elle était retournée voir Mélinda. Elle était vraiment contente d’être une esclave pour son harem… Mais le mieux, était sans aucun doute le fait qu’elle semblait en plus accepter par tout le monde ! Cela voulait dire pour elle plein de nouveaux amis… pendant qu’elle était entrain de parler ainsi à Melinda, personne ne pouvait rater les coups d’oeils que poussait la fameuse Clair en direction des seins de la vachette… Mais passons, c’était normal après tout. Elle n’était pas loin, et les deux seins, d’où un peu de lait coulait encore des tétons, et bien… Et bien, c’était attirant. En tout cas, pour ce qui était du reste du harem… C’était un grand bonheur. L’arrivée de l’Ushi plaisait beaucoup à tout le monde, et ils étaient très heureux d’apprendre qu’elle faisait maintenant partie du grand ensemble… Heureusement qu’elle avait été offerte ! On pouvait dire… Que c’était un anniversaire réussi… Et loin d’être fini.

La cravate de notaire avec Cassandre s’avéra particulièrement délicieuse à voir. Mélinda sourit, en se disant qu’elle risquait de le répéter avec l’Ushi à plusieurs reprises, car, au vu de sa production de lait, quand elle frottait ses seins contre une queue, elle crachait des filaments de lait, éclaboussant son partenaire, ce qui était particulièrement exquis à voir. Mélinda se dandinait sur place, serrant les lèvres. Dans la tournante, la virginité anale de l’Ushi fut prise. Dans l’idéal, Mélinda aurait aimé être la première à la prendre par cette porte, mais, comme elle lui avait déjà ôté sa virginité, elle n’allait pas se familiariser outre mesure. Emportés dans leurs élans, ses esclaves baisèrent bien proprement Cassandre, d’abord contre la table, puis ensuite à même le sol. Cassandre se retrouva assise sur un homme, pendant qu’une femme hermaphrodite lui agrippait les cheveux, et bourrait cette dernière avec sa queue, multipliant les gorges profondes. Des mains pressaient régulièrement les seins de la belle vachette, faisant jaillir son lait, au milieu du sperme et de la cyprine, formant ainsi d’épaisses tâches.

La scène finit par se calmer, et une Cassandre toute épuisée retourna près de sa Maîtresse, lui indiquant avoir accompli ce qu’on lui avait demandé... Même si elle n’en était plus trop sûre. Mélinda sourit doucement.

« Tu en as même fait plus que ce que je t’ai demandé, ma chérie. Viens, assieds-toi à côté de ta Maîtresse. »

Cassandre obtempéra. L’Ushi était au bout du côté de la table, Mélinda étant à l’extrémité, Vanillia et Akira sur sa droite, Cassandre à gauche. De la main, la vampire caressait ses beaux cheveux.

« Tu es déjà la coqueluche de notre petite communauté, Cassandre... »

C’était un doux compliment, et Mélinda sourit encore, puis se pencha vers Cassandre, et l’embrassa sur la joue, visiblement toute fière de sa nouvelle acquisition.

« Ma petite Ushi à moi... Tu es un magnifique cadeau ! »

Mélinda remercia encore Vanillia, et les deux femmes s’embrassèrent. Après ce gang-bang sauvage, les esclaves retournaient calmement à leur situation d’antan, signe que le sexe, ici, était une chose très normale.

« Je dois même admettre que tout ça m’a... Fortement excité. »

De malicieux, le sourire de la vampire devint plus pervers, tandis qu’elle écartait les jambes. On pouvait voir son phallus se dresser, déformant sa longue robe dorée en formant une pointe qui ressortait sensiblement.

« Et si tu allais sous la table pour me soulager pendant que nous mangions ? Rassure-toi, je te conserverai une part du gâteau... »

Elle sourit donc en précisant le fond de sa pensée, ne ressentant aucune gêne à l’idée de parler crûment :

« Je veux sentir ta bouche sur ma queue, Cassandre... Suce-moi bien fort, ma petite Ushi d’amour. »

C’était une première fois qui avait été... Disons... Incroyable ! Voilà ce que pourrait dire sans soucis la fameuse Ushi, qui considérait ouvertement qu’elle avait passé l’une des meilleurs matinée de sa vie... Mais il fallait dire quelques choses pour la fameuse Cassandre : Elle ne connaissait pas grand chose, et franchement, le début de cette vie lui semblait véritablement incroyable ! C’était donc ça la vie d’une vachette dans un harem ? Les gens étaient si gentils... Mais le plus important, pour la vachette, et elle avait bien raison de penser avant tout, à cela... C’était : Est-ce ce qu’elle avait été approuvée par la fameuse Mélinda Warren... Car c’était bel et bien ça le plus important pour une bonne servante : Etait-elle approuver par la maîtresse du manoir ? Et bien... Visiblement, cela marchait relativement bien :

« Tu en as même fait plus que ce que je t’ai demandé, ma chérie. Viens, assieds-toi à côté de ta Maîtresse. »

« Bien sûr, maîtresse ! »

Elle s’installa au côté de sa maîtresse... Si elle était plus connaissance de l’étiquette, de comment marchait les harems, etc... Elle pourrait se rendre compte qu’elle venait d’avoir un immense honneur ! Elle était quand même au côté de la femme et de la fille de La chef du Harem... Ce n’était pas rien, il fallait bien le dire ! Il faut dire, elle était véritablement la coqueluche du harem pour la journée. Sans doute, elle allait devenir plus « commune » avec le temps, et les gens allaient... Disons s’habituer à elle, et être moins impressionné par sa présence, enfin... Plutôt moins attiré. Sauf que là, aujourd’hui, ce n’était pas la même chose, c’était le jour de fête, pour Mélinda Warren, et pour Cassandre... C’était son premier jour, c’était la découverte, c’était tout cela... vous comprenez ?

« Tu es déjà la coqueluche de notre petite communauté, Cassandre... Ma petite Ushi à moi... Tu es un magnifique cadeau ! »

Alors, sa maîtresse était entrain d’embrasser sa femme. Cassandre était emplie de joie. Peut-être autant qu’elle avait été empli de Sperme... C’était pour dire ! Mais l’idée d’être « la coqueluche » de la communauté, d’être « un magnifique cadeau »... C’était incroyablement gentil ! Oui, l’objectification de la fameuse vachette ne la dérangeait pas. Après tout, les Ushis étaient souvent coimme cela... Mais combien d’Ushi avaient le droit à tout ses compliments... Là, Cassandre était sans doute l’une des rares à pouvoir s’en vanter. Pas toutes les Ushi avaient le droit d’être comme ça, installée à côté de sa maîtresse, lors du banquet d’anniversaire... Mais elle n’allait pas rester assise à cette endroit très longtemps. Changement d’avis de sa maîtresse... ? Non, c’est que cette dernière avait une bien meilleure place pour cette ushi.

« Je dois même admettre que tout ça m’a... Fortement excité. Et si tu allais sous la table pour me soulager pendant que nous mangions ? Rassure-toi, je te conserverai une part du gâteau... Je veux sentir ta bouche sur ma queue, Cassandre... Suce-moi bien fort, ma petite Ushi d’amour. »

« C’est avec plaisir que je vais vous sucer, maîtresse... »

Elle acceptait cette mission avec fierté ! Elle passa alors sous la table, et alors, vit... Qu’il y avait déjà du monde ! Comment cela ? Et bien, je vous rassure... Non, elle était seule pour le fameux magnifique engin de la vampire... Non, là où il y avait du monde, et bien... C’était sous la table. On trouvait de nombreuses personnes qui étaient placé, comme ça, et qui suçait avec amour, avec envie, et avec beaucoup d’entrain... Un peu moins d’une dizaine de personne. Cassandre aurait pu croire qu’ils étaient forcé... Mais non ! Ils semblaient tout à fait heureux de leur place, comme si leur rôle était celui de vide couille. Aussi bien des garçons que des filles ! Bref, Cassandre décida de se reconcentrer sur sa mission !

« Mmh… Elle a l’air si bonne... »

Et comment qu’elle avait l’air bonne... Elle avait l’air même... Délicieuse... Mmh... Faut dire, c’était quand même la bite de sa maîtresse ! Elle était sans aucun doute, sans la moindre hésitation, sans doute la meilleur de l’endroit... Déjà, elle était toute à fait charmante, cette fameuse bite, par sa taille, qui était tout à fait appréciable. Mais bon, assez de blabla, passe aux actes ! C’est à dire... A la bouche !

« Mmh... »

Voilà ! Elle avait la queue en bouche... Mmh... Cassandre était plus fellation que baisage. Elle préférait avoir quelques chose en bouche, plutôt que se faire enculer ou pénétrer. C’était... Comment dire... Cela était bien meilleure. Elle préférait manger, faut dire, et le sperme, devait avoir un goût merveilleux. Elle commença à sucer activement, pour être une bonne ushi. Elle était prête à rester tout le repas à sucer, s’il fallait ! C’était ça, une bonne esclave ! Donc, elle suçait, activement, tandis que d’autres faisaient de même. Il y avait presque autant de vie sous la table, que dessus... Si c’était pas une scène charmante ? Bref, en tout cas, Cassandre était bien placée, et elle n’échangerait sa place pour rien au monde... Sauf un ordre de sa maîtresse. Bien sur ! Elle était une bonne Ushi, et elle obéissait aux ordres ! Et la bite était tellement bonne... Mmmh... Elle allait en devenir si vite accroc...

L’une des particularités des repas de Mélinda, c’était qu’ils étaient longs. Évidemment, avec toute une communauté à nourrir, il y avait beaucoup de plats à servir. Dès lors, et pour rester conforme à l’esprit du manoir, Mélinda organisait les repas en trois groupes : un groupe principal qui mangeait, un groupe secondaire qui faisait la cuisine et fournissait les plats... Et un troisième groupe, qui s’installait sous la table, et venait lécher et sucer les membres assis, recevant parfois des morceaux de poulets, des bouts de pain, afin de pouvoir manger un peu tout en s’affairant. Les règles étaient clairs : ceux du dessous pouvaient lécher et sucer qui ils voulaient, et personne ne devait leur refuser le passage. Au manoir, le viol n’existait pas entre esclaves, au profit du sexe libre et partagé. Le sexe n’était pas qu’un but, un moyen de s’enrichir, c’était aussi un élément de cohésion et d’harmonie sociale au sein du harem.

Cassandre pouvait donc voir tout ça. Les esclaves du dessous étaient généralement des nekos, plus aptes à être à quatre pattes, portant des tenues en latex. L’une portait notamment un bandeau autour des yeux, et avançait à tâtons, suçant un peu au hasard, avec automatisme et gourmandise. Il y avait aussi des garçons, de beaux éphèbes androgynes qui n’hésitaient pas, pompant des dards chauds, avalant le sperme juteux qui suintait de leurs sexes.

Mélinda sentit soudain le souffle des lèvres de Cassandre contre son sexe, et se pinça les lèvres, un frisson venant la traverser.

« Hmmm... »

Oh, ce contact délicieux ! Elle sentit sur son membre la bouche de la jeune Ushi, qui se mit à remuer. Son membre avait perdu en virilité et en taille, devenant plus mou, plus flasque... Mais, au contact des lèvres et de la langue de Cassandre, qui se mit à lécher ce gland, le bâton se redressa soudain, gagnant en virilité. Son vit érectile vint à se redresser fièrement, se relevant, et l’Ushi le prit en bouche, remuant sa tête d’avant en arrière, commençant à le prendre en bouche, et à accélérer le rythme, de plus en plus fort.

« Aaaaah oui, ma chérie, vas-y, suce bien fort... Prends-le en bouche, profondément... »

Cassandre s’exécutait docilement, son corps se glissant entre ses jambes. Pendant ce temps, les gens discutaient, parlaient entre eux, provoquant un agréable bruit de fond. Les servantes amenèrent ensuite les plats, et Mélinda commença donc à manger et à boire un peu de sang, ce qui eut pour effet de durcir encore sa verge. Elle sentit, vers la fin de l’entrée, son premier orgasme approcher, et mit volontiers sa main sous la table, posant cette dernière sur ses cheveux, et eut un beau premier orgasme, jouissant dans sa bouche. Elle lui offrit son foutre, et laissa néanmoins Cassandre continuer à la lécher.

« Haaannn, c’est si bon, ma petite Ushi... Vas-y, suce-moi encore... »

Le temps continuait à défiler, et Cassandre allait se familiariser avec le sexe long, c’est-à-dire qu’elle allait devoir tenir un certain temps à astiquer ainsi son membre, à se faire à cette longue et magnifique fellation. L’Ushi s’évertuait à la satisfaire au mieux, et Mélinda eut un second orgasme, en se trémoussant sur place, peinant à retenir ses gémissements, se pinçant les lèvres. Inexpérimentée, Cassandre misait sur sa passion, et ça, Mélinda le sentait. Elle multipliait les gorges profondes, faisant disparaître son membre intégralement dans sa bouche, continuant donc à la sucer.

Mélinda finit par lui ordonner de se retirer au bout d’un temps, car c’était l’heure du dessert. Quand Cassandre rejoignit sa place, elle put voir qu’on lui avait offert plusieurs parts de gâteaux au chocolat, avec une crème anglaise bien chaude.

« Comme tu as pu le voir, Cassandre, mes esclaves se répartissent les tâches. Tu pourras manger avec les autres nekos après, si tu le veux, mais je pense que tu as bien mérité une part de gâteau. »

La vampire lui sourit tendrement, avant de rajouter, intriguée, une fois que Cassandre eut commencé à boire de la crème anglaise :

« Alors... Comment trouves-tu le goût du sperme, ma chérie ? »

L’organisation marchait parfaitement. C’était parfaitement huilée, et tout le monde s’adaptait… C’était relativement incroyable à penser, mais tout marchait comme sur des roulettes. Alors, sans doute que les éventuelles éléments indésirables, les grains de sables, avaient été retirés, avant qu’il puisse déréglée cette machine parfaiement huilée… Mais quoiqu’il en soit, cela ne se remarquait parfaitement. Le repas se déroulait à la perfection pour ceux qui mangeait, le tout dans un calme et des discussions tout à fait agréable, et bien mené… Ceux qui préparaient à manger, travaillaient bien et efficacement, n’hésitant pas à se relayer, apporter les repas, etc. Et cela, toujours aussi efficacement, et avec de grands efforts de ponctualité, pour que les plats chauds soient bien chauds, que les sauces soient onctueuses, et que les desserts soient particulièrement frais, quand ils devaient l’être...

Et la troisième équipe… Dont faisait partie Cassandre… Et bien, elle s’activait à toujours sucer activement les différentes queues qui se présentaient. D’ailleurs, quelques femmes non futa, avaient le droit elles aussi, à du plaisirs, vu que certains esclaves offraient non pas un suçage de queue intégral, mais de très beaux cunnis… Mais sur celle qu’on devait s’intéresser… C’était sans aucun doute Cassandre. Après tout, l’Ushi avait quand même le droit à la meilleure queue de l’ensemble, sans hésitation, étant donné qu’elle se faisait quand même la queue de la Maîtresse ! Ni plus, ni moins… Il fallait bien dire que cela n’était pas rien… Elle continuait de sucer activement, toujours aussi efficacement… Enfin, le plus efficacement qu’elle pouvait faire.

Deux fois, Cassandre eut le droit à la récompense… Quel récompense ? Et bien, par deux fois, elle eut le droit à une belle rasade de sperme dans sa bouche… La première fois, elle fut un peu surprise, il fallait bien le dire, mais elle arriva, avec un peu d’effort, à tout avaler, tranquillement et efficacement. La seconde fois, plus préparée, elle avala tout le plus goulument possible, telle une gorumande ;.. On pouvait dire, sans aucun doute, que visiblement, la fameuse esclave Ushi appréciait particulièrement la tache… Et même quand sa gorge se faisait empaler par plusieurs gorges profondes, elle appréciait ce traitement brutale, elle appréciait l’idée que sa gorge soit telle le fourreau, et le phallus telle l’épée qui se rangeait dans la fourreau. Cependant, tout les plaisirs eurent une fin, vu que Mélinda permit alors à la fameuse Ushi de revenir un peu au niveau de la table.

« Comme tu as pu le voir, Cassandre, mes esclaves se répartissent les tâches. Tu pourras manger avec les autres nekos après, si tu le veux, mais je pense que tu as bien mérité une part de gâteau. »

« C’est si gentil ! Mmh… C’est bon ! »

En effet… Cassandre n’y connaissait véritablement rien, en tout ce qui était matière de patisserie. Elle n’en n’avait jamais mangée auparavant. Alors, bien entendue, elle adorait cela… Mais la question vint alors sur… Une autre question de goût.

« Alors... Comment trouves-tu le goût du sperme, ma chérie ? »

« Oh, c’est délicieux ! »

Elle ne mentait pas. La vachette avait visiblement des goûts rien qu’à elle -et beaucoup de soumis du forum, mais passons sur ce point-, et trouvait cela véritablement délicieux. Donc, elle n’hésitait pas à avouer l’entière vérité à la fameuse vampire… Peut-être était-ce son sperme en particulier ? Elle ne savait pas trop. Pendant la tournante qu’elle avait subit avec grand plaisir -doit-on toujours alors utiliser le terme de subir ?-, elle a avait déjà avalée un peu de sperme, et elle avait déjà aimé à l’époque… Donc, bon… Mais bref, elle déclara cela avec un très grand sourire, montrant bien qu’elle était extrêmement heureuse, et elle continua l’explication, toujours aussi radieuse, le tout à sa fameuse maîtresse, pour expliquer à quel point elle avait adorée tout cela, elle déclara tranquillement :

« Personnellement, j’adore, n’hésitez pas à me redemander de le faire, c’est sans doute ce que je préfère, avec donner du lait ! »

Elle pensait qu’elle préférait sucer à se faire pénétrer… C’était sans doute mieux ! Après, elle adorait aussi quand on la trayait, c’était sans aucun doute ça le principale… Et puis, comme toujours, elle était une Ushi… Heureusement qu’elle aimait se faire traire ! Bref, notre fameuse Ushi se destinait à une très belle carrière de suceuse de queue, visiblement, ne semblant pas du tout déranger à l’idée de les sucer à longueur de journée… Après avoir déclarer cela, elle retourna à son gâteau. C’était bon ça aussi. Elle était vraiment bien tombée. Elle se disait que sans aucun doute, il y avaient des Ushi qui étaient bien plus malheureuses qu’elle… Maintenant, il fallait voir ce qu’allait dire, faire, ou déclarer, la fameuse Melinda Warren. En attendant, elle continuait de manger tranquillement son gâteau.

Sentir Cassandre sucer son membre avait été très agréable, et, ce soir, Mélinda se sentait particulièrement euphorique. L’Ushi avalait goulûment son gâteau, tout en expliquant qu’elle aimait beaucoup le fait de sucer. La vampire sourit de toutes ses dents, et hocha la tête.

« C’est une bonne chose, Cassandre, car, crois-moi, ta belle bouche d’amour va encore servir beaucoup de fois. »

C’était là une promesse certaine. Ici, au harem, l’amour était une valeur cardinale et récurrente. L’Ushi en avait eu un bel aperçu avec cette orgie improvisée, et, tandis qu’elle mangeait, les chaises se vidaient petit à petit. Ceux qui avaient mangé partaient, et laissaient le soin à la troisième équipe de pouvoir enfin se sustenter. Mélinda, elle, restait assise, saluant la plupart de ses esclaves, tout en jetant un regard attendri vers Cassandra, avant de finir par regarder à nouveau sa femme.

Vanillia lui avait fait un magnifique cadeau avec cette petite Ushi. Et, vu la lueur malicieuse que Mélinda croyait discerner dans les yeux de Vanillia, sa femme savait qu’elle avait visé juste. Elles parlèrent entre elles à voix basse, tout en glissant quelques œillades vers Cassandre, et Mélinda se mit même à glousser un peu, un sourire onctueux venant se dessiner sur ses lèvres. Finalement, la vampire reporta son attention vers Cassandre, et vint lui tenir compte de sa conversation avec sa femme.

« Tu sais, Cassandre, je ne dors jamais seule le soir. J’ai toujours besoin de charmantes personnes pour me border et me tenir compagnie. Ma femme se dévoue volontiers à cette tâche, mais il en faut d’autres, car, vois-tu, à elle seule, elle est bien insuffisante. »

Difficile de ne pas voir où Mélinda voulait aller, car elle avançait avec la discrétion d’un éléphant cherchant à faire le funambule sur un banc de banquise. Elle sourit donc, et reprit, après quelques secondes :

« J’ai notamment besoin d’un coussin sur lequel dormir pendant toute la nuit. Et toi, ma beauté, avec ta peau toute douce et tes seins moelleux et généreux, tu serais, je crois, parfaite pour ça. »

Elle laissa planer quelques instants supplémentaires, avant de reprendre, du bout des lèvres, pour une parfaite question rhétorique, mais dont le seul but était de redonner la parole à sa belle petite vachette d’amour :

« Qu’en dis-tu, ma belle ? »

Le repas peu à peu s’achevait. Cela avait été une merveilleuse soirée d’anniversaire, cela, on pouvait le dire, sans aucune hésitation. Il était même incroyable, toujours pour la vachette, qu’elle avait eu un superbe « cadeau », par son traitement, alors qu’elle était le cadeau ! C’était quand même fou comme idée… Mais vous supposez, qu’elle n’était pas contre, genre pas contre du tout. Au contraire, même, elle adorait tout ce qu’elle avait subit, même si encore une fois, je me demande si le verbe « subir », est vraiment adaptée, à la situation. Mais passons ! Alors que la fameuse Cassandre terminait alors tranquillement son repas, estimant qu’elle avait bien mangée (et qu’elle n’avait jamais mangée quelques choses d’aussi bon, ce qui quand tu connaissais ce que mangeais les Ushi lors de leur élevage, n’était pas si étonnant), et bien… La fameuse Mélinda avait une idée pour la suite des démarches…

« Tu sais, Cassandre, je ne dors jamais seule le soir. J’ai toujours besoin de charmantes personnes pour me border et me tenir compagnie. Ma femme se dévoue volontiers à cette tâche, mais il en faut d’autres, car, vois-tu, à elle seule, elle est bien insuffisante. J’ai notamment besoin d’un coussin sur lequel dormir pendant toute la nuit. Et toi, ma beauté, avec ta peau toute douce et tes seins moelleux et généreux, tu serais, je crois, parfaite pour ça.»

Oh ! Elle offrait de pouvoir dormir dans un lit !!! Vraiment !!! C’était !!! Ouah !!! Cela mérite beaucoup de point d’exclamation !!! On aime tous les points d’exclamation !!! Bon stop. Bref, en effet, la fameuse Melinda Warren offrait un honneur à la vachette assez impressionnant. Bien sur qu’elle acceptait ! Elle voulait dormir dans un lit avec sa maîtresse, c’était sans aucune hésitation, sans doute l’un des plus grands honneurs pour une esclave comme elle ! Elle se disait que la fameuse vampire était si gentille, si agréable… Elle était une maîtresse parfaite ! Et donc, pour une maîtresse parfaite… Que fallait-il ? Et bien, sans hésitation… Une servante parfaite ! Sinon, ce n’était pas digne ! Les maîtresses parfaites méritaient le meilleur du meilleur… Et Cassandre estimait qu’elle se devait d’être la meilleure des meilleurs.

« Qu’en dis-tu, ma belle ? »

« C’est avec plaisir maîtresse ! »

Elle aurait voulu répondre plus vite, mais malheureusement, la fameuse Melinda, après quelques secondes blancs, avait lancé l’interrogation… Chose logique, cela montrait bien qu’elle contrôlait la situation… Après tout, elle était la maîtresse. Si Cassandre acceptait avec joie, il fallait bien comprendre, qu’en vrai, la fameuse vachette n’avait pas vraiment le choix. C’était une proposition accepter d’avance. Oh, oui, Cassandre n’était pas du genre à comprendre cela, et elle pensait vraiment que sa maîtresse était un puits de sollicitude et de gentillesse, du genre à accepter des encarts, ou des problèmes… Non que Cassandre ne voulait en faire ! Au contraire, rappelez-vous des paragraphes précédents… Cassandre voulait être une servante parfaite ! Donc, il serait de son devoir de faire les choses le mieux possible… Juste -et c’était une excellente chose-, elle voulait le faire d’elle-même, et aucunement sous une contrainte ou une peur.

« Que devrais-je faire exactement ? Juste m’installer pour que vous vous installiez ? Mettre une tenue spéciale ? »

Cassandre posait tout un tas de questions… Car elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire. Là, on tapait, et sans aucune hésitation, dans le pire défauts de Cassandre : celle-ci était quasi incapable de prendre des initiatives, ou avoir ne serait-ce que des véritables idées… C’était un petit peu le problème avec elle. Elle était du genre à ne dire qu’une chose : « Que dois-je faire ? » Bien souvent, évidemment, on avait qu’une seule envie : lui répondre : « Mais réfléchis un peu par toi-même, bon sang de bonsoir... » Sauf qu’en général, dans ce genre de cas, et bien, qu’une seule idée lui venait en tête : « Et si je donnais mon lait ? »… Ce qui, il faut l’avouer… N’était pas toujours genre THE solution à avoir. Mais bon… Au moins… On pouvait dire qu’elle tentait ? C’était toujours mieux que rien… Bref, elle déclara alors :

« Je suis toute ouïe ! »

Au moins, l’avantage… C’était que la vachette était prête à tout pour satisfaire sa maîtresse. Attention, cela ne voulait pas dire qu’elle était prête à tout apprécier, elle n’était pas encore une parfaite soumise BDSM prête à tout subir, et en prendre du plaisir dans 99 % des cas… Cela ne serait tarder, mais ce n’était pas encore le cas, donc patience. Non, mais cependant, elle était prête à toute tenter, tant que c’était sa maîtresse qui le disait ou le proposait. Parfois, elle aurait peur, et elle croirait que c’est une punition, mais que parfois. Là, l’avantage, c’est qu’elle était tellement contente de l’honneur, de ce qu’elle avait mangée, subit, etc. Qu’elle était en parfaite disposition. Maintenant, plus qu’une question… Qu’allait proposer la fameuse Melinda ? C’était une très bonne question… Donc, wait’n see !

La proposition de Mélinda faisait effectivement partie de ces offres qu’on ne pouvait pas refuser. Elle ne demandait son avis à Cassandre que pour la voir accepter, et lui donner l’occasion d’exprimer sa joie. Quel esclave, en effet, serait déçu à l’idée de dormir avec sa Maîtresse ? Cassandre était ravie, et ça, Mélinda le sentait à la manière dont son sang bouillonnait dans sa poitrine. Elle l’exprima ensuite, et posa plusieurs questions. Qu’est-ce qu’il faudra qu’elle fasse ? Porter une tenue particulière ? La vampire sourit doucement, et se dépêcha rapidement de satisfaire sa curiosité :

« Si je veux que tu portes une tenue spéciale, je te le dirais... Mais je pense que je vais me contenter de ta tenue d’Ushi. »

Aucun changement vestimentaire à porter, donc. Pour le reste... Mélinda sourit encore, et se pinça les lèvres.

« Tu joueras le rôle de ‘‘coussin’’, Cassandre, c’est-à-dire que je dormirais sur toi. Ton rôle sera donc de me bercer, me câliner, et de profiter de mon corps. Crois-moi, tu es très chanceuse, c’est un rôle que mes esclaves s’arrachent. »

Le « coussin » de Mélinda avait en effet la possibilité de passer toute la nuit avec la Maîtresse, de sentir son corps contre le sien, son souffle, et, dans un registre plus osé, de lui faire l’amour, de soulager ses soifs nocturnes, et d’être là, au réveil de la Maîtresse, pour la sentir vous pénétrer langoureusement en se réveillant. C’était une situation de choix, une place privilégiée, et Cassandre avait donc toutes les raisons du monde d’être heureuse. La vampire la laissait rêver et miroiter ce plaisir exquis, tout en se redressant, et en se rapprochant d’elle.

Sa main caressa la joue de la femme, et elle s’assit sur ses genoux, se mettant sur le côté, mains posées sur ses épaules. Elle lui sourit encore, et l’embrassa sur les lèvres, un joli et tendre baiser.

« Mais, en attendant, je te laisse explorer le manoir, Cassandre... N’hésite pas à aller voir les autres esclaves, vous appartenez tous à la même famille, maintenant. »

Mélinda n’allait en effet pas se coucher tout de suite, et elle ne voulait pas non plus traîner Cassandre partout derrière elle. Pour le moment, elle estimait plus judicieux de laisser l’Ushi prendre un peu ses marques, et découvrir par elle-même le manoir et toutes ses joies. Pour la vampire, c’était la meilleure approche possible, et elle esquissa un nouveau sourire à l’intention de la jeune femme, frottant tendrement son nez contre le sien, pour lui décerner ensuite un baiser supplémentaire.

Il y avait intérêt à ce que Cassandre ne soit pas une femme avare en matière de baisers, vu que, au sein du manoir, on en distribuait beaucoup !

« N’aie pas peur de te perdre, j’enverrais quelqu’un te chercher, ma petite vachette. »

Cassandre était stupide. Cela... Et bien, c’était un fait. Il faut bien le dire. Cassandre n’était pas une vachette très intelligente. Mais aussi stupide était-elle... Elle était tout à fait capable de comprendre que ce que lui proposait la fameuse Melinda... était littéralement un privilège qui, il faut bien le dire, n’arriverait pas si souvent... Après tout, Cassandre avait conscience qu’elle était que la star pour une seule et unique journée. Très vite, et elle en était bien contente, elle allait faire partie du Harem, et en être très heureuse. Pour le moment, donc, elle avait le droit à des privilèges que bientôt, elle n’aurait plus. Donc, elle devait en profiter... Et surtout, être honorée de cela ! Après tout, c’était quand même un honneur... Que la fameuse Melinda mit bien en avant :

« Si je veux que tu portes une tenue spéciale, je te le dirais... Mais je pense que je vais me contenter de ta tenue d’Ushi. Tu joueras le rôle de ‘‘coussin’’, Cassandre, c’est-à-dire que je dormirais sur toi. Ton rôle sera donc de me bercer, me câliner, et de profiter de mon corps. Crois-moi, tu es très chanceuse, c’est un rôle que mes esclaves s’arrachent. »

« Je devine maîtresse ! Et j’en suis honorée ! »

Voilà ! Donc, elle retenait... Son rôle avait l’air pas trop dur, mais elle ne devait absolument pas se craquer, le rater, etc... Elle devait être à la hauteur de la tache qui lui serait demandé... Car c’était sa maîtresse qui le demandait... Elle allait faire tout ce qu’elle devait faire ! Et être la meilleure des servantes, pour sa précieuse maîtresse ! Après tout, maintenant qu’elle avait vu tout les avantages à être parmi les différents esclaves qui étaient chez les Warren... Et bien, elle devait voir aussi les responsabilités ! Car n’oubliais pas ce que dis l’Oncle Ben : « Un grand plaisir... Amène de grandes responsabilités ». Quoi ? Comment cela, il n’a jamais dis ça ? Attendez, je vais aller remater les films Spiderman. A force de mourir, je devrais bien trouver quand est-ce que L’oncle Ben a le temps de dire ça !

« Mais, en attendant, je te laisse explorer le manoir, Cassandre... N’hésite pas à aller voir les autres esclaves, vous appartenez tous à la même famille, maintenant. »

« Bien euh... »

Elle avait une hésitation... Une hésitation d’importance... En effet, elle ne savait pas grand chose de où elle était. Vous pourriez me dire : « Ce n’est pas bien, elle aurait du retenir un peu plus ! » Sauf que rappelez-vous... Elle était venue dans une boite. Les yeux bandées... Bref, elle n’avait rien pu voir du tout, elle ne connaissait rien. Pour elle, depuis le moment où elle avait été littéralement mise en boite, et bien, elle n’avait rien vu de son trajet... Tout ce qu’elle connaissait du manoir de la fameuse maîtresse, Mélinda Warren... Et bien, c’était cette salle à manger ! Donc, cela lui semblait risquer de pouvoir se promener. Surtout qu’elle ne savait ni lire, que cela soit l’heure ou des écrits éventuelles, ni bien se réperer en lieux inconnu... Donc... Mais heureusement, la fameuse Warren déclara :

« N’aie pas peur de te perdre, j’enverrais quelqu’un te chercher, ma petite vachette. »

« Ah ! Cela me rassure ! Vous êtes si gentille maitresse ! »

Ouf ! Sa crainte s’envolait, comme ça, d’un seul coup ! Cela voulait dire qu’elle pouvait commencer à s’aventurer dans le manoir, sans craindre de ne pas arriver à temps pour sa fameuse maîtresse... Ce qui franchement, aurait été horrible ! Inacceptable ! Extrêmement triste ! Bref, vous aurez compris... Notre fameuse vachette n’aurait pas spécialement aimé l’idée de ne pas réussir à être à temps pour la fameuse nuité que préparait la fameuse Melinda. Donc, après avoir remercier une énième fois la fameuse Melinda Warren, notre fameuse vachette prit congés. Il était temps maintenant d’explorer tout cela, de découvrir par elle-même.

« Lalala... »

Elle se demandait ce qui allait se passer, et commençait à errer dans les différents couloirs de la résidences. Loin d’être une résidence du XV siècle, c’est à dire une série de plusieurs pièces en enfilades, sans la moindre complications pour se retrouver (Au XV siècle, vous trouverez ainsi plusieurs pièces à la suite, qui se suivent, et ainsi, vous pouvez aisément trouver votre chemin, étant donné qu’il n’y a presque jamais de couloirs), là, au contraire, on pouvait tout à fait se perdre quand on ne connaissait pas. Car l’ensemble était relativement, enfin, de ce que la vachette connaissait, gigantesque. Avec plusieurs salles un peu partout... Et surtout, des tas et des tas de gens, qui étaient très curieux de voir la fameuse vachette se promener. Surtout que comme beaucoup dans le manoir,  elle restait très peu vêtue.

Difficile pour Cassandre de rester inaperçue, car elle avait une clochette reliée à son cou, qui carillonnait à chaque fois qu’elle marchait. Le manoir, quant à lui, était une grande bâtisse de style victorien, en forme de U. La salle à manger se trouvait au rez-de-chaussée de l’aile centrale. L’aile droite comprenait principalement les chambres, et se composait de plusieurs longs couloirs donnant sur les chambres. La nuit tombant, plusieurs esclaves étaient déjà dans leur chambre, et faisaient l’amour. Si Cassandre tendait l’oreille devant les portes entrouvertes, elle pouvait tout à fait les entendre.

L’aile gauche comprenait surtout des pièces de vie, comme la bibliothèque, la salle de sport, la piscine intérieure... Ou encore le salon de détente, un véritable paradis pour otakus. Financièrement parlant, Mélinda n’était pas avare avec ses esclaves, et ce d’autant plus qu’elle ne comprenait pas forcément très bien le principe de monnaie virtuelle, ou l’utilisation de la carte bancaire. Les esclaves avaient donc acheté quasiment toutes les consoles de jeux vidéos possibles, avec de multiples accessoires, et des centaines de jeux vidéos, qui s’empilaient dans un grand placard. Cassandre put rapidement constater que le manoir était assez vivant, et que personne ne semblait peiné d’être esclave. Des gens venaient régulièrement l’embrasser, ou la câliner, de manière à ce qu’elle ne se sente pas trop seule, et, en définitive, on lui proposa même de jouer.

Certes, le sexe était fondamental dans le manoir, mais ce n’était pas la seule activité à laquelle les esclaves de Mélinda s’adonnaient.

« Tu as déjà touché à un jeu vidéo, Cassandre ? Là, on se fait une partie de Mario Kart ! »

Pour la belle Ushi, tout ça devait être difficile à appréhender, mais personne ne se moquait d’elle. Au contraire, à chaque fois qu’elle perdait, elle avait droit à des baisers, comme pour la consoler. À cette heure, il était en revanche rare de voir des individus totalement habillés. La plupart des filles étaient en sous-vêtements, jouant en gloussant entre elles.

Le temps fila donc, et Cassandre, si elle était lassée de jouer, pouvait aussi se rendre à la salle de cinéma, où d’autres esclaves regardaient un film. Mélinda avait de l’argent, et tout ça se voyait très bien dans la diversité des activités proposées. Finalement, et au bout d’un moment, une jolie neko en tenue de maid, répondant au nom de Liana, vint chercher Cassandre. L’Ushi était alors assise sur un canapé, en pleine séance d’embrassade avec un autre homme, dont le sexe tendu caressait ses cuisses.

La petite Liana se racla la gorge, les joues légèrement rougies.

« Maîtresse Mélinda souhaite la venue de Cassandre dans sa chambre pour passer la nuit avec elle. »

Liana avait une voix douce et tendre, mais précisa rapidement :

« Néanmoins, vous pouvez finir ce que vous avez commencé avant d’y aller... »

En effet, l’homme avait demandé à Cassandre de le masturber tout en l’embrassant, et Mélinda n’aimait pas qu’on s’arrête à mi-chemin...

TOP A LA VACHETTE ! Quoi ? On avait bien libérée la fameuse vachette dans les couloirs du manoir de Mélinda Warren... Donc, c’était un peu comme dans Interville ? N’est-ce pas ? Il manque Guy Bedos, mais bon... Non, enfaite, cela n’avait rien à voir avec Intervilles. Surtout qu’en plus, on avait personne qui était déguisée en poulet géant. Mais passons sur ce point. Bref, en tout cas, la fameuse vachette continuait de se promener dans les fameux couloirs...

Au fur et à mesure des promenades, elle découvrait un peu plus le manoir. Cela ne ressemblait en rien avec tout ce qu’elle connaissait, il fallait bien le dire. Errant toujours, elle regardait à droite, à gauche. Elle remarquait la quasi nudité constante de tout ceux qui vivaient dans le manoir. Elle ne savait pas du tout si c’était une règle... Mais elle s’en fichait. Chacun faisait comme bon lui semble. A froce d’errer, elle passa donc vers la partie gauche du manoir. Elle remarque que beaucoup visiblement étaient entrain de faire l’amour. C’était donc une occupation comme une autre. Finalement, elle se retrouva dans une grande salle donc la fonction lui échappait... Cependant, beaucoup de filles étaient justement entrain de « jouer » visiblement. Elle s’approcha alors, tandis que les filles l’interpellaient, curieuses :

« Tu as déjà touché à un jeu vidéo, Cassandre ? Là, on se fait une partie de Mario Kart ! »

« Je ne connais pas ! »

En effet ! Faut dire, Cassandre venait de Terra... Et ne connaissait même pas les plaisirs et les loisirs que connaissaient le monde de Terra, justement. Pour tout dire. En effet, toute sa vie avait toujours été une pure vie de vachette, et c’est tout. Rien d’exceptionnel... Elle avait eu des amis, mais elle avait découvert pas grand chose. Ainsi, elle découvrit le monde du jeu vidéo. Elle fut très très nule, vous n’imaginez même pas. Alors qu’elle avait la manette en main... Déjà, elle mit énormément de temps à comprendre les commandes, mais en plus... Elle était tout simplement très très nulle. Elle passa alors une grande partie de la soirée à ça, car il faut bien dire... Elle s’amusa fortement ! C’était très fun comme jeu ! Cependant, elle partit à un moment, laissant sa place à autrui, tout simplement pour faire autre choses.

« Maîtresse Mélinda souhaite la venue de Cassandre dans sa chambre pour passer la nuit avec elle. »

« Mmh... ? »

La jeune vachette se rappela ! En effet, elle devait aller rejoindre Mélinda ! Ouah ! Elle était surprise, elle ne pensait pas que le temps était passé si vite. Elle devait faire vite, cependant, si elle voulait pas se faire rouspeter. Les retards, quand on était une bonne esclave, cela ne se faisait pas ! Pas du tout ! Car qu’est-ce qu’elle faisait... Et bien, en se promenant, elle avait rencontré un beau mec, qui s’appelait Tim, et qui de suite, lui avait pressé un peu les seins. De suite, le fameux bel homme avait commencé à malaxer ses seins, et avaient demandé une belle branlette... Sans aucun soucis, la fameuse vachette avait accepter de faire cela... Mais malheureusement, cela allait devoir se faire plus tard... Car elle avait bien peur qu’elle devait faire quelques choses de plus urgent. Cependant :

« Néanmoins, vous pouvez finir ce que vous avez commencé avant d’y aller... »

« Je vais finir ça rapidement alors ! »

En effet, elle décida de passer à la vitesse supérieur. Ayant brisé le baiser qu’elle avait offert à l’homme, et bien... Elle se baissa, et libéras ses deux gros seins. Aller. On va le faire jouir rapidement. De suite, le phallus de l’homme fut emprisonnée entre les deux seins de la vachette, qui commença à lui offrir une bonne branlette espagnole. Elle décida de le faire jouir rapidement, et notre cher Tim, commençait à gémir de plaisir. Elle continuait d’accélérer, et n’hésitez pas à être efficace. Finalement, le phallus cria grâce, et offrit plusieurs jet de jouissance, qui vinrent tacher la tête de la vachette, les cheveux roses, etc. Elle lécha ce qu’elle pouvait lécher, tranquillement, et tenta de se nettoyer un peu. Quoiqu’il en soit, elle déclara avec grand plaisir, une fois que cela se soit passer :

« C’était agréable ? Je l’espère ! Au revoir, et à bientôt Timmy ! »

Elle l’embrassa de nouveau, et le laissa alors. Après tout, elle lui avait fait une bonne branlette espagnole, et sans aucun doute que ce dernier, surnommé affectueusement Timmy, allait sans doute revoir un jour la vachette... De toute façon, les deux vivaient ainsi dans le même manoir, et la fameuse Cassandre commençait à franchement se dire qu’elle ne voudrait pour rien au monde, quitter ce fameux Manoir. Après tout, les gens étaient trop gentil, on y mangeait bien, et sa maîtresse, pouvait lui demander tout ce qu’elle voulait, car elle était une gentille Ushi, qui obéissait bien aux ordres ! Car les méchantes Ushis n’obéissent pas aux ordres, tandis que les gentilles, elles, le font. C’est comme ça que ça marche ! Et c’est logique ! Mais oui c’est clair, comme dirait le plus grand savant de langue francophone qui existe. Mais oui, vous le connaissez. Le grand Eddy Malou... Bon, cesse de stupidité :

« Me voilà Maîtresse ! »

Elle se présenta, toute sourire, tandis que sa camarade passait plus dans l’ombre. Le fameuse Cassandre était prêt pour sa mission. CAPORAL CASSANDRE READY FOR DUTY. Je prend ça beaucoup trop au sérieux... en même temps, ce n’était pas illogique. Car Cassandre, elle aussi, prenait cela très au sérieux. Mais comme toujours, on pouvait repprocher une chose à Cassandre... Elle ne prenait pas assez le devant. Là, elle attendait, alors qu’en théorie, elle savait quoi faire. Mais comme toujours, comme une bonne esclave, comme une bonne servante, elle préférait attendre les ordres de sa maîtresse, pour faire exactement, au détail prêt, ce qu’avait demandée sa maîtresse. C’était un défaut, à mon sens, mais peut-être que la fameuse Melinda Warren allait apprécier cette marque de dévotion envers sa personne... ? Qui sait. C’est toujours un peu complexe, ce genre de question, si vous voulez mon avis.