Hannah's Day [Hannah LaBelle]

« Elle arrive... »

Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres. Aujourd’hui, Hannah célébrait son anniversaire. Pas son année de naissance, non, mais un jour bien plus important : le jour officiel où Miranda avait fait d’elle son esclave. Un jour très particulier, le plus important des jours pour Hannah, que la jeune femme chérissait par-dessus tout, car c’était une journée qui lui était exclusivement consacrée. Miranda s’arrangeait toujours pour décaler tous ses rendez-vous et tous les évènements importants, afin que ce jour soit un jour spécial, qui portait d’ailleurs un nom, aussi bien entre elles, que dans GWC, les cadres connaissant toute l’importance de ce jour... Le « Hannah’s Day ».

Chaque année, le Hannah’s Day suivait un rythme bien précis. Pendant toute la journée, Miranda organisait des évènements spéciaux, et, en fin de journée, Hannah avait droit à un vœu. Peu importe lequel, Miranda s’efforçait alors de le réaliser. C’était, en conséquence, un jour qu’Hannah chérissait énormément, car elle passait tout ce temps en compagnie de sa Maîtresse. Et, aujourd’hui, c’était donc le jour spécial.

Miranda avait enfilé une tenue spéciale, un élégant uniforme noir en cuir, portant également de longs gants noirs en latex, et se tenait devant une belle limousine, voyant un fourgon de sa firme s’arrêter, des ouvriers descendant une grosse caisse noire métallique. Tenant une cravache dans le creux de sa main, Miranda se déplaça un peu, faisant claquer ses talons sur le sol. Il était dix heures du matin, et Hannah se trouvait maintenant depuis deux heures dans cette caisse, préparée à son traitement. Miranda, avant de la mettre à l’intérieur, lui avait glissé un gros plug anal dans les fesses, puis avait mis une cagoule sur sa tête, un masque en latex intégral, avec une paille lui permettant de respirer. Le tout était agrémenté par une combinaison noire brillante en latex, extrêmement moulante.

« Voilà, Madame... »

Les deux ouvriers ne purent s’empêcher de rougir devant le look de leur chef, et Miranda, en souriant, appuya sur ses lentilles, et enclencha un détecteuir thermique, ce qui lui permit de voir que les deux ouvriers avaient, sous leurs pantalons, de belles érections. Adossée contre la limousine noire, la chauffeur de Miranda, Lyra, sourit en voyant la main de Miranda caresser la queue d’un des deux hommes, serrant ses doigts à travers le tissu du pantalon.

« Vous êtes tout durs, Messieurs...
 -  Haaa... Ma... Madame... »

Ils étaient plutôt bien bâtis, et Miranda masturba l’autre homme, tout en souriant à nouveau. Eux étaient ravis d’être ici. Ils travaillaient au sein de la firme, et avaient pu quitter le ghetto. De plus, comme ils étaient plutôt beaux, ils avaient parfois l’immense honneur d’être des participants aux shows télévisés organisés par leur patronne. Alors, forcément, être là, face à elle, c’était un moment particulièrement grisant pour eux. Miranda, elle, les masturba donc, puis finit par retirer ses mains.

« Enlevez vos pantalons, les garçons ! »

Elle se déplaça alors, et se dirigea vers la petite console se trouvant au sommet de la boîte, et appuya sur un bouton, ce qui ouvrit cette dernière. L’une des faces du carton s’ouvrit, celle en avant, et Miranda esquissa un sourire, puis attrapa la laisse qui pendait là, et qui était reliée à un collier située autour du cou d’Hannah, puis tirant dessus, venant la libérer. Hannah sortit ainsi, à quatre pattes, incapable de parler ou de voir, mais capable d’entendre.

Sa combinaison se composait d’une fermeture dans le dos qui glissait jusqu’à ses fesses, et Miranda se tourna vers les deux garçons.

« Allez ! Sodomisez-moi cette petite chienne, l’un après l’autre ! »

C’était un bon moyen de commencer la journée, surtout que, grâce au plug, les fesses de sa majordome devaient être bien dilatées, maintenant...

Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres ! Surtout pour Hannah qui savait parfaitement quel jour c’était. Mais, modeste comme toujours, elle faisait mine de laisser les autres y penser pour elle. D’ordinaire c’était sa maitresse qui se chargeait de préparer ce jour-là et en toute vérité, Hannah était tellement soumise et dévouée que même si Miranda avait zappé son jour, elle n’aurait rien fait. Pas une once de déception, pas une once de rancœur … C’était Miranda, on ne pouvait strictement rien lui reprocher. Mais Miranda était la hauteur des espérances de sa majordome, et comme toujours, elle pensa à elle. Aujourd’hui, c’était le Hannah’s Day ou autrement dit, l’anniversaire d’Hannah. Oui, car elle avait beau être un bébé éprouvette, n’en demeurait pas moins qu’elle avait un véritable anniversaire. Il ne correspondait pas au jour où elle était née, mais au jour où elle était devenue officiellement l’esclave de Miranda. C’était infiniment mieux !

Et ce jour commença très bien. Il était déjà le matin, et le programme de la journée était bien chargé. Hannah savait que sa maitresse avait prévu plein de choses pour elle, notamment le célèbre et traditionnel vœu de fin de journée. Car effectivement, il était tradition pour Miranda d’exaucer un souhait d’Hannah, n’importe lequel, en fin de journée. Chaque année elle peinait à trouver quelque chose car elle était déjà comblée et heureuse. Elle avait la considération de Miranda, qu’est-ce qu’on pouvait avoir de plus ? C’était très difficile pour elle de trouver quelque chose chaque année. Mais, pour ce jour, elle avait déjà une idée … Un peu spéciale, mais elle était sûre que ça étonnera au moins un peu Miranda. En attendant le soir, Hannah allait bien s’amuser la journée en compagnie de sa maitresse qui commença très fort ; elle lui fit enfiler une tenue spéciale en latex, ainsi qu’un masque pour la faire respirer, avant de la faire soigneusement enfermer dans un caisson.

De cette manière Hannah ne savait ni où elle était, ni où elle allait. Elle savait qu’elle était dans une voiture ou camionnette, et qu’au bout d’un moment, on déchargea le caisson où elle était enfermée. On fit ouvrir le devant puis, Hannah sentit sa laisse se faire tirer. Docilement, elle sortit à quatre pattes pour sentir l’air frais, mais aussi pour entendre ce qui allait lui arriver. Apparemment, il y avait là deux hommes en rut à qui on avait proposé de sodomiser la petite Hannah Labelle, sous les ordres de Miranda. Hannah reconnaissait bien le gout de sa maitresse ce genre d’exercice, et elle savait qu’elle allait passer un bon quart d’heure. La sodomie était, comme toujours, très plaisant pour Hannah qui en couiner déjà derrière son masque. Elle sentit qu’on ouvrit la fermeture éclair au niveau de son fessier, avant qu’une paire de main ne vienne claquer sa croupe.

On retira son plug, qui avait bien servit à la dilater pendant tout le trajet puis … « Hmpfff ! » Couina Hannah dans son masque, sentant une belle et veineuse queue se planter brutalement entre ses fesses. Même en ne voyant et sentant rien, Hannah pouvait clairement sentir qu’il ne s’agissait pas de la queue de Miranda … Même si elle avait entendu que c’étaient des hommes, elle en était au point où elle pouvait reconnaitre le sexe de sa maitresse d’un autre sexe ! C’était ça, d’être complètement accro à une personne … En attendant, son corps se balança joyeusement en avant et en arrière au rythme des coups de trique du premier bonhomme, qui se faisait une joie de défouler sa frustration sur la généreuse croupe d’Hannah, qui en couina et soupira de plaisir.

Le Hannah’s Day était une journée que Miranda n’avait jamais manqué. Elles n’en parlaient jamais avant, car Hannah n’osait jamais lui demander quoi que ce soit, et, même si Miranda savait qu’Hannah ne lui en voudrait pas si elles oubliaient de fêter son anniversaire, quand elles le fêtaient, elle était toujours heureuse. Et, même si Hannah n’était, à proprement parler, que sa majordome, la PDG entretenait quand même des liens très importants avec elle, bien plus encore qu’avec sa fille légitime, Kara, qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps. Il fallait donc entretenir Hannah, et, au-delà même de ça, Miranda voyait le Hannah’s Day comme un moyen de déclencher ses pulsions, et de s’amuser pendant une journée. Le sexe était en effet aussi fondamental, chez Miranda, que l’argent.

Les deux ouvriers étaient, quant à eux, particulièrement ravis. Travailler avec Miranda, c’était la chance de servir d’amants sexuels, et, pour ces hommes-là, coucher avec Miranda ou avec ses employées magnifiques, c’était bien plus que tout ce qu’ils avaient jamais pu espérer. Certes, ces femmes les toisaient de haut, mais, au moins, elles ne les traitaient pas avec dédain, ni ne voyaient en eux des monstres génétiques. Le premier enfonçait donc avec plaisir sa belle queue dans le cul d’Hannah, faisant gémir cette dernière. Le corps d’Hannah fila d’avant en arrière, faisant longuement crisser sa combinaison en latex, el tout s’accompagnant de longs soupirs et gémissements de plaisir.

*Quel beau spectacle ! Tu aimes ça, hein, ma petite Hannah ?*

Elle l’observait, tout en filmant naturellement la scène, grâce à un petit drone qui les survolait. Miranda conservait des souvenirs de chaque Hannah’s Day, essayant à chaque fois de se surpasser. L’homme qui la pénétrait était fasciné par la rapidité avec laquelle le cul d’Hannah s’était dilaté. Il plongeait en elle, enfonçant sa queue jusqu’à la garde, crispant ses mains sur ce latex, et poussait peu à peu des grognements étouffés. Il la prenait en plein public, et les personnes qui passaient n’hésitaient pas à les regarder. Toutes reconnurent bien entendu Miranda, et, si certaines semblaient offusquées de voir un mâle en pleine activité, beaucoup d’autres avaient plutôt tendance à saliver. Pour autant, il n’y avait pas vraiment de scandale. À GeoWeapon Corp., le sexe public était une constante.

L’homme la prenait donc, et essayait de faire durer ce plaisir autant que possible, tant il aimait cette sodomie. Il s’appuyait sur la croupe de la femme, enfonçant ses doigts contre la combinaison en latex, et crispait ses doigts dessus. Le brave voulait tenir, mais... Ce cul, ce corps... Tout ça était tout simplement trop fort pour lui, elle était... Trop bonne !

« Haaa... Bon sang... !! »

Ses muscles se contractèrent, et, dans un grand soupir, le premier de ces messieurs se vida en elle. Son cul se remplit de foutre, et, juste après, une seconde queue alla s’enfouir dans son corps. Miranda en profita alors pour fléchir les genoux, et caressa le visage d’Hannah avec ses mains gantées.

« Je sais que tu peux m’entendre, ma chérie... Profite bien de ces deux queues qui labourent ton petit cul, et sache que ce n’est que le début de la fantastique journée que je t’ai prévu ! »

Miranda sourit encore, et déposa un baiser sur la tête d’Hannah, avant de parler contre son oreille, la léchant à travers le latex de son masque :

« Aboie pour moi, petite chienne ! »

Hannah reconnaissait bien le fantasme de sa maitresse à ce moment-là ; ce fantasme qui semblait la faire jubiler de plaisir en voyant sa petite esclave se faire sodomisée par des hommes bien robustes. A de nombreuses reprises la patronne de GWC avait montré son penchant pour ce genre de pratique, au grand bonheur d’Hannah qui de toute façon, les yeux bandés, ne pouvait que prendre son pied avec cette délicieuse sodomie. Cette queue qui rentrait et sortait d’elle nerveusement l’amenait dangereusement au point de non-retour, au point où un saisissant orgasme broierait ses entrailles. Elle reconnaissait aussi là le fait que sa maitresse avait parfaitement prit connaissance de ses goûts, d’où le fait que les bonhommes étaient en train de la sodomiser. Elle couinait et gémissait fortement, mais se crispa totalement quand le premier amant finit par juter en elle, fourrant chaudement son anus de son foutre.

« Hmmmm … » Couina la majordome dont les doigts se crispèrent au sol. Bien entendu le fait que son amant avait bien malaxé ses fesses moulées dans le latex avait grandement aidé au plaisir. Elle n’avait pas joui pour autant mais, ce fut fichtrement plaisant ! Elle serra fortement des dents quand son deuxième amant s’enfonça en elle, écartelant à nouveau ses chairs pour enfoncer nerveusement sa queue. Hannah avait après tout une croupe tellement généreuse, tellement tendre et agréable, qu’il était difficile de résister à l’envie de la sodomiser. En fait, là-aussi elle était à l’image de sa mère ; quelle femme à Tekhos avait un meilleur cul que Miranda Forge en personne ? Pas grand monde. Personne, en fait. Pas même Hannah, qui ne faisait que s’en approcher, sans jamais l’égaler.

Au milieu de cette sodomie Hannah sentit sa chère maitresse se pencher et caresser son visage au travers son masque de latex. Elle avait eu grande envie de lécher ses doigts, si sa bouche n’était pas prisonnière ou plutôt, si elle pouvait bouger sa tête. Néanmoins cette caresse lui fit beaucoup plaisir et quand elle entendit la suggestion, l’ordre de Miranda au creux de son oreille, elle s’exécuta. Hannah, balancée d’avant et d’arrière par les puissants coups de trique de son amant, se mit à aboyer doucement pour Miranda, tel qu’elle le lui avait demandé. Son cul claquait sévèrement contre le monsieur la sodomisant et, à force de se faire prendre ainsi, Hannah sentait l’extase pointer son nez au milieu de son plaisir constant et saisissant. Tous ses muscles étaient tendus, ses entrailles se contractaient puissamment à chaque coup de butoir alors que le plaisir s’accumulait encore et encore, n’attendant que peu pour déborder et exploser.

Pour les deux livreurs, c’était un moment magique. Ils avaient le droit de sodomiser une femme, et, même s’ils ignoraient de qui il s’agissait, ils savaient qu’un ordre de Miranda Forge ne se refusait jamais. Quant à elle, elle s’amusait énormément. Au sein du calendrier de GWC, le Hannah Day tenait presque du jour férié, preuve de l’affection dont Miranda était capable d’avoir envers ses plus proches subordonnées. Hannah LaBelle était, depuis toujours, une femme très spéciale. Miranda l’aimait, en un sens. Elle l’aimait profondément, comme la parfaite majordome qu’elle était susceptible d’avoir. Son second amant lui butinait le cul, et elle entendit les couinements étouffés de la femme, puis ses aboiements, tenant plus, en réalité, de soupirs et de gémissements, et ce d’autant plus qu’ils étaient, fort logiquement, étouffés par le bâillon de latex recouvrant son visage.

Miranda n’allait pas la laisser ainsi toute la journée, ce n’était que le début. Elle caressa le visage d’Hannah en la sentant approcher de l’orgasme, ce qu’elle pouvait voir à la manière dont son corps se cambrait, dont elle gémissait, ou dont son visage tournait sur place. Peu de choses, concernant Hannah, échappaient maintenant à Miranda, qui embrassa les joues de la femme, mordillant le latex, frottant ses dents dessus, avant de le lécher.

« Petite pute, tu te fais baiser en public... Certaines te filment déjà... »

Un peu de voyeurisme pour en rajouter, c’était toujours ça... Et, effectivement, autour d’elles, plusieurs personnes étaient attablées à leurs téléphones ou à leurs tablettes, filmant sans gêne la scène, se mordillant les lèvres, excitées sur place. Il fallait bien admettre, à leur corps défendant, que le tableau qu’Hannah et Miranda offraient était des plus saisissants.

« Offre-leur un beau spectacle... » termina Miranda en lui mordillant le lobe de l’oreille, toujours à travers le masque.

Et le spectacle en question ne tarda pas à venir. Le second mâle continuait à la bourrer, crispant ses mains sur le cul d’Hannah, jusqu’à serrer les lèvres, surtout quand Miranda se rapprocha de lui, et caressa son torse. L’homme sursauta, et Miranda attrapa la queue du premier mâle, qui respirait lourdement, et le masturba tendrement, sa main glissant le long de la hampe de chair, faisant doucement soupirer ce dernier.

« Vous avez été parfaits, mes beaux...
 -  C’est... C’est un plaisir, Madame...
 -  Et vous avez bien fait de vous épiler...
 -  C’est... Haaaa... Tout naturel, Ma-Madame... »

L’homme avait du mal à respirer, et Miranda finit par relâcher sa queue, puis s’approcha de l’autre mâle, celui qui prenait Hannah.

« Jouis. »

Dans un soupir, l’homme s’exécuta presque immédiatement, soupirant en relâchant des filaments de foutre dans le corps d’Hannah, se répandant joyeusement en elle.

« Voilà... »

Miranda s’écarta de lui, et le repoussa presque, sa queue se retirant du cul d’Hannah, tout en libérant un peu de foutre. Agissant rapidement, Miranda referma la fermeture Éclair, coinçant ainsi ce sperme, qui allait couler le long des fesses de son esclave, mais sans ressortir, coincé par sa combinaison. Miranda caressa ensuite le dos d’Hannah, tout en retournant devant elle, et fit un nouveau sourire.

« Est-ce que tu as joui, ma beauté ? » vint-elle s’enquérir.

Ce jour si spécial, censé symboliser l’anniversaire d’Hannah, était toujours sous le thème du sexe. Comme bien souvent à Tekhos, fête rimait avec plaisir, et plaisir avec sexe. Quoi de plus normal pour une pure Tekhane comme Miranda d’avoir prévu tout un programme dans cette logique pour sa petite Hannah, pour un jour si spécial ? La majordome sentait et savait que le reste de la journée allait être très palpitante – pas seulement les queues qui allaient s’enfoncer en elle aujourd’hui. Et en parlant de queue l’esclave de Miranda était peu à peu poussée vers son premier orgasme à force que le jeune homme la sodomise aussi sèchement. Il se soulageait sur elle, calmant son appétit sur son délicieux et généreux cul qui mangeait avidement son mandrin.

Forcément au bout d’un temps, Hannah comme lui finit par jouir. Si l’homme vida ses couilles dans l’anus de la belle Hannah, celle-ci sentit sa mouille couler alors que son corps trembla de plaisir, un délicieux orgasme la saisissant. Mais pour être honnête, si cette queue avait bien fait son travail il fallait aussi dire que les gestes de Miranda y étaient pour quelque chose. Comme d’habitude, tout ce qui émanait de cette femme avait un effet automatiquement plus fort sur Hannah. Ainsi, ses lèvres se posant sur son masque, sa langue léchant le latex, tout ceci n’avait fait que chauffer la majordome encore plus qu’elle ne l’était. Inutile de dire aussi que le fait que ça se fasse en public excita grandement l’esclave qui derrière ses couinements, adorait le fait d’être filmée …

Elle sentit sa maitresse repousser le mâle qui venait de jouir en elle, avant de faire refermer sa combinaison pour piéger le foutre s’échappant. La combinaison refermée, l’esclave entendit la voix suave de Miranda lui demander si elle avait joui. Il suffisait de voir la chaleur et l’humidité au niveau du bas-ventre de sa tenue pour s’apercevoir que, effectivement, elle l’avait fait. D’une voix douce mais emprunte au vice, Hannah répondit à sa chère maitresse. « Oui … Oui madame, et c’était … Bon … Très bon ! » Dit-elle, derrière son masque. La voix quelque peu étouffée, mais compréhensible à souhait. Elle mourrait d’envie de voir la suite … Ce serait mentir que d’affirmer que malgré son professionnalisme et sa dévotion, la jeune Hannah n’était pas excitée par son propre anniversaire !

Ceci n’avait été qu’un prélude, comme une pré-entrée. La journée d’Hannah était évidemment bien loin d’être finie, et Miranda avait encore plein de choses à lui faire découvrir. Tout ça n’avait été qu’une heureuse introduction, et elle avait au moins rendu fou de joie deux hommes, qui avaient eu l’occasion de satisfaire leurs pulsions primaires. Miranda était donc décidée à passer à la suite, et tira sur la laisse, entrant dans la GeoTower. Hannah ne pouvait rien voir, difficilement entendre. Elle se laissait porter, sans trop savoir où elle allait. Parfois, la laisse cessait de la tirer, comme si Miranda attendait, ou parlait avec d’autres personnes. Elle était la PDG, après tout, et elles avançaient dans l’atrium. Ça, Hannah pouvait aisément le sentir, vu le nombre de corps qui se pressèrent contre elle, généralement des jambes, mais parfois des mains, s’appuyant sur ses fesses, lui donnant des fessées. GeoWeapon Corp. était une vaste structure, une construction massive où le sexe était l’un des piliers de soutènement. On le voyait très bien en ce moment, car, à chaque fois qu’Hannah s’arrêtait, des mains venaient presser ses fesses, les malaxer, voire les gifler. Autant dire qu’on s’occupait très bien d’elle !

Le duo finit par rejoindre un ascenseur de l’atrium, et, cette fois, pour Miranda, Hannah ne devait plus du tout savoir où elles allaient. Mais, d’un autre côté, tout ça faisait partie du charme du moment. Il y avait beaucoup de surprises dans les évènements du Hannah’s Day. Hannah LaBelle ne connaissait jamais le programme à l’avance, ce qui était, aussi, une manière de tester sa fidélité et sa confiance. Le duo s’aventura dans un couloir, et passa à travers une porte.

« Voilà… Il est temps de te préparer, maintenant… »

Miranda se déplaça un peu, et des mains saisirent alors Hannah par les aisselles, et la soulevèrent, la forçant à se relever, puis à l’amener à se coucher sur une sorte de divan d’examen. Là, des mains saisirent les bras et les jambes d’Hannah, tandis qu’elle pouvait entendre des gloussements. Des sangles attachèrent ses poignets et ses chevilles, puis elle resta ensuite ainsi, pendant plusieurs minutes. Un néon l’éclairait. Que se passait-il donc ? Un premier élément de réponse vint quand on ouvrit sa combinaison à hauteur de son sexe, tirant sur la fermeture Éclair pour révéler son pubis. On ôta ensuite son gag-ball, et des doigts gantés s’immiscèrent dans sa bouche.

« Avale, petite traînée » ordonna une voix autoritaire.

Une gélule fut déposée contre sa langue, et un verre d’eau fusa ensuite, répandant le liquide, aidant ainsi le comprimé à filer dans l’organisme d’Hannah. Ceci fait, on lui remit ensuite le gag-ball, et il fallut encore attendre un peu. Néanmoins, cette foi, des mains caressaient les jambes d’Hannah, son ventre, puis ses seins, pinçant les tétons à travers sa combinaison. La gélule, bien sûr, était une pilule d’hermaphrodisme, et, au bout de quelques instants, la verge d’Hannah se mit à pointer, bien dressée.

Les gloussements reprirent. Hannah pouvait également sentir les parfums sensuels des femmes jouant avec elle. Finalement, des mains caressèrent son visage, et ôtèrent le bandeau autour de ses yeux, lui permettant de voir… Trois magnifiques hôtesses en latex, se dandinant sous son champ de vision.

« Coucou, Hannah !
 -  Madame Forge nous a demandé de bien nous occuper de toi…
 -  Et nous ne comptons pas la décevoir !
 -  Oh que non ! »

Hannah pouvait sans doute reconnaître les lieux. Elle était dans les locaux de GeoSlave, et les trois femmes n’étaient rien de plus que des dresseuses. La femme en bleu se rapprocha d’elle, et caressa ses cuisses, ses doigts près de sa verge.

« On va jouer avec toi, ma chérie…
 -  Te faire souffrir…
 -  Et te faire jouir… »

Miranda, elle, n’était pas loin. Elle observait la scène depuis une salle proche, derrière une vitre opaque.

Elle ne comptait rien perdre de ce moment !

Hannah, dans sa posture actuelle, ne pouvait pas voir grand-chose. Elle ne savait pas ce qui se tramait et cela l’excitait, d’ailleurs. Elle se demandait où se faisait-elle emmener, qu’est-ce qu’on allait lui faire, etc. Elle n’allait pas tarder à avoir sa réponse cela dit ! Néanmoins, Hannah connaissait GWC à un certain degré et même sans sa vue, elle devina finalement que Miranda était en train de la tirer au sein GeoTower. Elle sentait des jambes passer contre son corps, et parfois même des mains, qui venaient claquer son fessier, la faisant doucement couiner. Hannah était la chose de Miranda, cette dernière avait tout pouvoir sur elle – à la manière d’un objet. Hannah n’avait aucune forme de rejet quant à son traitement ; pas une once. C’était son métier, voire même, son but. Impensable pour elle de penser ne serait-ce qu’un instant que c’était de l’humiliation … Et quand bien même, si telle était la volonté de sa patronne, alors elle subirait avec grand plaisir.

Sa soumission lui permettait de toujours être heureuse et complaisante, gardant inlassablement une image belle et merveilleuse de sa patronne quoiqu’il arrive. Maitresse et esclave finirent par arriver dans un ascenseur et dès lors, Hannah perdit tout sens de l’orientation. Elle ne savait plus du tout où elle se faisait emmener. La seule chose qu’elle sentit fut qu’elle traversa un long couloir, puis une porte. Suite à cela, elle entendit la voix de velours de sa maitresse lui affirmant qu’il fallait la préparer. Hannah, telle une petite poupée de chiffon toute docile, se laissa prendre par les aisselles et sentit qu’on l’installa sur une sorte de couche. Elle entendit des gloussements pendant qu’elle sentit qu’on attacha ses poignets et ses chevilles avec des sangles. L’endroit lui semblait familier mais elle ne parvenait pas à savoir de quoi il s’agissait exactement.

La réponse commença à venir quand on lui retira son gag-ball, et qu’on lui fit avaler une pillule qui dès qu’elle fut ingérée, lui provoqua une saisissante chaleur au niveau de l’entrejambe. Elle couina, sentant un soudain plaisir à cet endroit-là, avant de sentir sa trique émerger de ses chairs, se dressant fièrement vers le plafond. C’était une pilule d’hermaphrodisme qui avait pour effet de réveiller son membre, et de le faire bien bander également. « Haa … » Couina-t-elle doucement en se pinçant la lèvre. Ses joues rougirent et elle retint de nombreux autres couinements quand elle sentit des mains se balader sur son corps, lui pincer les tétons, lui masser son ventre, ses seins. Un parfum délicat et enivrant s’échappait des femmes s’occupant d’elle. Hannah finit par avoir le fin mot de l’histoire quand son bandeau fut retiré ; elle était à GeoSlave.

GeoSlave, cet endroit où l’on changeait des gens en esclaves dociles. Cet endroit d’où elle venait elle-même, après être née à GeoSex. « Je ne … M’attendais pas à ça. Maitresse arrive toujours à me surprendre d’année en année ! » Déclara Hannah de sa voix douce, soupirant face à ces doigts papillonnant près de sa verge. Les joues rouges, le souffle haletant, Hannah était déjà bien excitée par la situation et les petites attentions qu’on lui portait.

Hannah n’était pas au cœur du véritable département de GeoSlave. GeoSex avait ses quartiers généraux au GéoDôme. Ici, il s’agissait davantage d’une sorte de galerie d’exposition, une reproduction miniature des salles de dressage de GeoSlave pour les investisseurs, les clients, ou pour le public. En effet, GeoSex était un vaste département, avec des laboratoires, des usines, et un important nombre de cellules et de salles de traitement. Il n’y avait pas assez de place, dans la GeoTower, pour contenir tout ça. Mais, finalement, c’était sans grande importance. Miranda avait appelé trois des dresseuses de GeoSlave, des femmes dont le rôle était d’humilier, de briser, et de soumettre. Elles étaient choisies sur la base de multiples critères, et, en réalité, très souvent, les dresseuses étaient des criminelles sexuelles, arrêtées et emprisonnées pour des agressions sexuelles multiples, des viols, des attouchements… Et qui bénéficiaient d’un programme de réinsertion.

Asuka, la femme en robe noire et aux cheveux bruns, par exemple, avait été en prison après avoir séquestré plusieurs camarades de sa classe, au lycée. Elle les avait enfermés chez elle, où elle les avait violés régulièrement, afin d’en faire des esclaves sexuelles. La police avait fini par intervenir, et Asuka avait été arrêtée. Condamnée à la prison, elle avait bénéficié d’un programme de réhabilitation qui l’avait amené à pouvoir laisser libre cours à sa perversion au sein des locaux de GeoWeapon Corp. Ces trois femmes étaient en réalité toutes des criminelles ayant un casier judiciaire. Exhibitionnisme, viols, outrages et attentats à la pudeur… Elles étaient la fine fleur de la génération tekhane, et avaient donc tout à fait leur place ici.

Lyra, la femme à la longue chevelure blonde et à la combinaison bleue électrique, avait, elle aussi, été emprisonnée. C’était une ancienne thérapeute qui s’était amusée à droguer ses patientes, afin de les violer. Une passion immodérée pour le sexe, jusqu’à ce qu’elle ne se fasse surprendre. Il y avait une procédure disciplinaire qui avait abouti à sa radiation, et un procès. Elle avait connu une seconde chance quand GeoWeapon Corp. était venue frapper à sa porte.

Quant à la dernière, la rouquine en combinaison rouge, qui s’appelait Mariah, elle était tout simplement une violeuse dont le plaisir était de coucher avec un couple, sans leur consentement. Elle se rendait dans leur maison la nuit, les neutralisait, puis les violait l’une après l’autre. Elle avait réussi à obtenir une complice, et avait décidé de s’attaquer à une famille entière lors d’un repas de famille, en les violant successivement. Les choses avaient dégénéré, et elle avait fini en prison.

Hannah était donc bien entourée, et, après ces premiers attouchements, elle put voir les trois beautés en latex se dressant devant elle, et qui se mirent à glousser.

« Et c’est que le début de ta journée, Hannah…
 -  Tu as intérêt à être très endurante…
 -  Mais, pour l’heure, tu es notre pute ! »

L’amour vache, c’était une spécialité de Miranda, et Hannah allait en faire encore les frais. Elles se déplacèrent, faisant crisser leurs combinaisons. Elles avaient beau être très perverses, elles étaient infiniment reconnaissantes envers Miranda Forge, et se considéraient donc volontiers comme leurs esclaves.

Ceci posé, les choses sérieuses commencèrent rapidement, quand elles grimpèrent toutes les trois sur son corps. Lyra se posa sur la tête de la femme, Mariah s’empala sur elle, où elle se mit à remuer d’avant en arrière, tandis qu’Asuka termina le tableau en se posant sur ses jambes, et en glissant l’un de ses doigts dans son fondement.

La femme était autrement dit bien entourée.

« Lèche mon intimité, salope… » ordonna rapidement Lyra.

Avec de si belles tortionnaires, Hannah n’allait pas tarder à sombrer dans la luxure la plus immense…

Hannah était issue du programme GeoSex, elle connaissait donc un peu les lieux, même si ce n’était pas exactement l’endroit où elle a été formée. C’était une reconstitution et elle le devinait ; les outils et les moyens employés n’étaient pas tout à fait les mêmes. En revanche, les trois femmes étaient réellement employées là-bas, et quand elles disaient qu’elles allaient bien s’occuper d’elle, c’étaient qu’elles allaient le faire. Hannah les regarda à tour de rôle et sourit doucement. Maitresse savait comment lui faire plaisir ! Plus on profitait de son corps, mieux c’était. Endurante, ça Hannah l’était ; elle fut conçue et formée pour ça. Il n’y avait pas d’inquiétudes à avoir de ce côté-là. Après tout, c’était bien elle qui avait participé à l’émission de Miranda. C’était bien elle qui encaissait beaucoup de son appétit sexuel au quotidien.

Quand on était la majordome d’une femme comme Mme Forge, on devait être au top. Néanmoins cela n’empêcha pas les trois dresseuses de monter sur son corps ; une sur son visage, le sexe bien en place pour se faire lécher, une empalée sur sa verge et la dernière, plus en bas, en train de lui doigter le fondement. « Hmmmm ! » Couina Hannah en sentant tout cet afflux monter en elle, la faisant encore plus rougir et gémir de plaisir. Puis un ordre fusa, et Hannah s’exécuta de suite. Sa petite langue sortit et vint se plaquer contre le sexe de Lyra, se mettant ainsi à le lécher copieusement. L’esclave de Miranda se prêtait bien au jeu, et elle obéit donc aveuglément à la dresseuse. Pendant que les deux autres continuaient de lui arracher des râles et des couinements.

Hannah sentait également sa trique se faire onctueusement enfournée dans une féminité bien chaude et accueillante. De quoi la faire frémir et fondre d’extase, vu comment la dresseuse se dandinait dessus. Et que dire de la troisième qui lui doigtait si bien la croupe ... Hannah se tortillait comme elle pouvait pour canaliser toutes ces délicieuses sensations et défoulait le reste dans sa langue qui papillonnait follement sur les lèvres intimes de Lyra. En effet, l’esclave embrassait langoureusement son sexe, et proliférait tendrement sa langue dedans, remuant onctueusement, la sortant de temps à autre pour venir la presser contre sa précieuse perle. En matière de cunnilingus, Hannah était plutôt une championne !

En matière de sexe tout court, elle était très douée. Et ça, les trois dresseuses allaient rapidement s’en rendre compte !

Bien entourée, Hannah était comblée, et, tandis qu’Asuka, Lyra, et Mariah, se partageaient son corps, des drones tournaient autour d’elles, filmant la scène. Miranda allait bien entendu faire un film à l’issue de cette soirée, un film qui ne serait consultable que par elle et par Hannah, faisant partie de sa collection privée. Elle aurait pu les publier et les diffuser, mais Miranda estimait qu’une telle action aurait atténué la relation particulière qui l’unissait à Hannah LaBelle. Elle n’était pas juste que sa majordome ou son esclave personnel, elle était avant tout sa propre création. Une relation très spéciale les unissait donc, et c’était à ce titre que Miranda organisait le Hannah’s Day, et regardait ensuite avec son esclave leurs précédents exploits. Miranda tenait beaucoup à Hannah, en réalité, et l’humilier ainsi, c’était clairement une manière de lui témoigner son affection.

Un véritable concert de gémissements, de couinements, et de crissements de latex avaient donc lieu, de quoi ravir pleinement Hannah, dont la queue était plantée dans le corps de Mariah, pendant que Lyra continuait à se dandiner de gauche à droite. Les trois filles gloussaient et gémissaient, profitant pleinement du corps d’Hannah, qui sentit des mains palper ses seins. Lyra et Mariah s’embrassèrent sensuellement, jouant avec leurs langues, pendant que quatre mains pelotaient la poitrine d’Hannah, la faisant encore gémir et se tortiller.

« Elle a… Elle a vraiment une grosse bite, haaaa…
 -  Et sa langue, hooo… Je n’ose imaginer combien de fleurs cette langue a déjà léché… Hmmm… !! »

Miranda observait la scène en souriant. Elle savait que ces dresseuses étaient aussi belles que talentueuses. Après tout, elle leur avait fait l’amour, et, à trois, aucun esclave potentiel ne leur résistait longtemps. Toutes finissaient par succomber, ne pouvant résister aux élans de ces femmes perverses et sensuelles. Et, tout comme Miranda connaissait leur potentiel, elles savaient qu’elles avaient toujours eu envie de coucher avec Hannah… Car c’était Hannah ! La belle majordome qui suivait toujours Miranda comme son ombre, et qu’elle offrait parfois en pâture à d’autres par pur plaisir personnel.

Là, la majordome se tortillait sur place, recueillant la mouille de Lyra. Asuka cessa brusquement de la sodomiser. Elle avait été jusqu’à enfoncer sa main dans ses fesses, pouvant voir à quel point le fondement de la femme se dilatait facilement, et se concentra un peu. Dans un long cri de plaisir, Asuka fit sortir une belle verge, un magnifique phallus, et le rapprocha du corps d’Hannah… Puis, sans ménagement, et sans attendre plus longtemps, elle le glissa en elle, crispant ses mains sur ses hanches, puis sur les cuisses de Mariah, avant de la pénétrer lourdement.

« Hooo… Hmmm… !! »

Elle se pinça les lèvres, et la pénétra plus fortement encore. C’était Hannah, elles pouvaient y aller à fond… Et elles ne s’en privaient pas !