Mélinda était bien placée pour savoir que le fœtus ne craignait rien. Encore une fois, elle avait eu l’occasion de le voir avec les multiples esclaves qui avaient déjà été enceintes. Elles faisaient régulièrement l’amour, même jusqu’à la veille de l’accouchement, ou au beau matin. Leurs ventres étaient tout ronds, et, mine de rien, les clients aimaient beaucoup coucher avec des femmes enceintes. Bien sûr, il y avait des précautions à prendre, des choses à ne pas faire, mais, globalement, il était quand même possible de faire plein d’activités ! Et puis, Sya était une femme très particulière, une Ange de la Luxure. Son corps était donc préparé pour ce genre de choses, et, si elle pensait pouvoir échapper à une séance de sexe intense avec le couple Warren, elle s’était lourdement trompée ! Mélinda était très heureuse d’avoir enfin une fille... Dire qu’elle était « très heureuse » relevait d’ailleurs d’un euphémisme ! C’était un rêve lointain, vieux de plusieurs décennies, qui venait de se réaliser. Que Sya le veuille ou non, elle faisait maintenant partie de sa grande famille. Mélinda voulait d’elle, et elle en était presque à se demander si elle n’allait pas lui faire boire son sang, et lui offrir le pouvoir du vampirisme. Qui sait ? Une Ange vampire, voilà qui pourrait être très prometteur !
Sya, heureuse, se trouvait entre les deux vampires, et commentait la scène actuelle, expliquant qu’elle se sentait comme une sorte de lien fusionnel entre elles. Mélinda sourit à l’intéressée, et embrassa Sya sur les lèvres, venant griffer ses côtes, et descendit ses mains ensuite, venant empoigner ses fesses. Elle sentait, contre ses pouces, le rebord de la virilité de sa femme, dont les mains allèrent palper les seins de Sya. Les deux vampires continuèrent ainsi à la prendre, à la pénétrer, accélérant le rythme, se débrouillant pour agir de manière synchronisée. Entre elles, il y avait clairement une relation fusionnelle, presque symbiotique. Samara avait expliqué à Mélinda que c’était une conséquence de leur union vampirique. Elles avaient mélangé leur sang, et, suite à ça, il y avait, entre elles, une sorte de fonctionnement instinctif, qui les amenait, quand elles faisaient l’amour, à se montrer parfaitement synchrones. D’un point de vue vampirique, elles étaient comme deux cœurs battant parfaitement à l’unisson, un phénomène rare et exceptionnel, qui témoignait de l’intensité de leur amour.
Tout en étant prise, Sya proposa ensuite d’inverser les rôles, et Mélinda sourit, avant d’aller l’embrasser encore. Vanillia, quant à elle, lécha le cou de Sya, sentant contre sa langue les deux petits trous dans le cou de Sya, la signature des vampires. Elle avait aussi deux trous de l’autre côté, les deux vampires l’ayant souvent mordu ensemble.
« Hmmm... Que tu es gourmande, Sya, haaaa...
- Mais on ne peut rien te refuser, ma chérie... Hmmm... !! »
Rien, en effet ! Sya était leur petite princesse, maintenant, un magnifique don du ciel, véritable bénédiction ! De quoi convertir Mélinda au prosélytisme, elle qui avait toujours été antireligieuse, refusant de croire en l’aide des Dieux, et en leur omnipotence. Mais là, comment nier que Sha avait bel et bien accompli un miracle ? Elizabeth poussait dans le ventre de Sya, et cette simple idée excita encore Mélinda, qui continua à la prendre. Les deux vampires avaient beau y aller « lentement », le sexe restait le sexe. Elles accéléraient donc, la prenant de plus en plus énergiquement, serrant son corps entre leurs cuisses.
Leur orgasme fut également simultané. Dans des soupirs, le couple Warren se relâcha dans le corps de Sya, venant répandre leur semence. Pas de temps pour le repos. Mélinda se redressa, et retourna Sya. Vanillia se coucha sur le dos, et Sya put s’empaler sur elle, avant que son corps ne soit penché vers l’avant. Vanillia embrassa ses lèvres, et, rapidement, Mélinda profita de sa position, dans le dos de l’ange, pour venir la sodomiser, s’enfonçant dans son beau petit cul. Celui-ci n’avait pas encore eu le temps de se refermer, et elle frémit en sentant le sperme de sa femme, contre lequel sa queue tapa. Sya avait effectivement pris cette délicieuse habitude de régénérer son corps, conservant ainsi un cul étroit, et reconstituant même son hymen.
« Là, oui, hmmm... Ma belle Sya, je t’aime, mon ange... !! »
Et les coups de reins se poursuivirent, énergiques, intenses, rapides, pendant que Vanillia allait griffer le cul de Sya, malaxant fermement ses fesses, tout en continuant à l’embrasser sensuellement et avidement, fourrant volontiers sa langue dans sa bouche pour profiter du corps parfait de l’angelotte...