Sous la surface, là ou l'air était absent, notre petite secret était bien gardé et chaque plaintes étouffées ne seraient jamais découvertes. C'était comme un autre monde, une autre dimension dans laquelle Pauline était plongée pour travailler en toute sécurité. Ce qui marchait d'ailleurs bien à en juger par mon intimité, qui se réchauffait dans l'eau froide de la piscine scolaire. Peu à peu, je perdais mes moyens au point de ne plus savoir comment retenir mes gémissements, qui se faisaient plus présent. Certains élèves regardez même en notre direction en se demandant s'il ne s'agissait pas d'autre chose qu'un simple cours d'apnée... Heureusement, je pu garder mon calme lors de l'orgasme en empoignant ma poitrine à pleine main, et en mordant ma lèvre inférieur, le regard vague en me concentrant sur une seule pensée * Ne pas crier... ne pas gémir... mais surtout ne pas crier ! * Et avant même de m'en rendre compte je déversais mon nectar entre ses lèvres en serrant les cuisses, dandinant mes hanches de droite à gauche pour garder un appuis stable.
Lorsque ce fut fini, je ne lâchais qu'un petit gémissement ainsi qu'un soupire d'aise, expirant une bouffée chaude en prenant Pauline contre mon corps, tête contre ma poitrine... Mais au loin déjà le professeur appelait les élèves à se rassembler au vestiaires, pour une petite pause de 10 minute. Après une bonne heure dans l'eau quoi de mieux qu'une entracte après tout..
Elle a bien travailler monsieur, mais nous allons faire l'impasse sur la pause, Pauline veut encore travailler, elle me dit qu'elle est sur la bonne voie.
Une fois tout le monde sorti de la salle, je la regarde d'un air carnassier avant de sortir de la piscine, sortant de mon sac à coté du banc un long gode ceinture, d'un calibre long. Lorsque j'avais dit que j'allais la violer je ne mentais pas,, et je comptais bien prendre son derrière dans la piscine, après avoir enfiler l'instrument autours de la taille.
Ne t'en fais pas, personne ne t'entendra crier sous l'eau... et ça devrait être rapide vu ton excitation...
D'un coups net, je plaque ma main dans sa chevelure et lui plonge la tête sous l'eau d'un geste en avant, penchant son corps fesses bien en arrières. Et effectivement, elle pouvait toujours crier maintenant qu'elle était sous l'eau, avec ses fesses en offrande à mon bassin qui pilonnait déjà son derrière. D'abord par de petits mouvements à l'entrée de son anus, puis plus sauvagement, sans ménagement... Après tout, un viol ne devait pas être doux...
T'en jouiras, même si tu dois t'en noyer et finir à l'infirmerie...
Des mots bien cruels alors que ma poigne sauvage resserrait encore sa chevelure... je voulais clairement l'entendre crier à plein poumon sous les assauts ravageurs qui irritaient son derrière. Et j'y allait de bon coeur, son corps se faisait maltraiter et je commençais à avoir du mal à pousser plus loin. Qu'importe, je continuas à utiliser son derrière comme une porte sens unique qui ne pouvait qu'être enfoncé. Il ne fallait cependant pas oublier le but de ce viol sous-marin et ma main libre passait sous son maillot pour aller masturber du bout de l'index, son intimité encore chaude. J'espérais un orgasme haut en couleur pendant qu'elle s'étouffait, avant de la laisser ensuite tranquille pour un petit moment...