Interstellar - Chapitre I [PV : Miranda Forge]

Assise sur le rebord du lit, Miranda souriait en voyant Tanisha. La belle jeune femme, très musclée, était soumise à) un rôle très difficile, celui de spectatrice silencieuse. Les ordres de la PDG avaient été claires, et c’était là, à ce moment précis, qu’elle allait pouvoir évoluer la dévotion de Tanisha à elle, et jusqu’à que point elle était une déité. Par expérience, Miranda savait combien la frustration sexuelle était une chose difficile à restreindre, surtout quand, comme la Gardienne, on avait une formidable expérience sexuelle. La belle soldate ne devait pas avoir l’habitude de devoir attendre, et, vu la taille de sa trique, elle devait souffrir. D’aucuns auraient pu se sentir coupable, mais, pour Miranda, ce spectacle ne contribuait qu’à l’exciter davantage, durcissant et gonflant sa queue, tandis qu’Elise, de son côté, allait la lécher avidement. Elle s’attaqua à ses testicules, puis sa langue remonta sur sa hampe, et Miranda la regarda alors, en écartant un peu plus les jambes, faisant crisser ses collants en latex, ses mains se crispant un peu plus sur le rebord du lit.

« Hmmmm... »

Fermant les yeux, Miranda soupira brièvement, puis vit Elise ouvrir la bouche, et avaler ce sexe, le prenant en bouche, tout en continuant à jouer avec, de haut en bas. Elle voulait montrer de quoi elle était capable, et, pendant les prochaines minutes qui suivirent, s’évertua à prodiguer à sa Déesse le plus grand bien possible, avec un talent indéniable. Elise était douée, et Miranda ne pouvait que soupirer, laissant tout son plaisir s’exprimer. Ses yeux s’ouvraient et se refermaient, et sa main alla se crisper sur les cheveux de la femme, appuyant dessus. Un nouveau soupir s’échappa ensuite de ses lèvres quand elle vit Elise enfoncer sa queue le plus loin possible.

Miranda ne pouvait qu’apprécier le talent de cette femme. Elle avait beau être jeune, et encore inexpérimentée, elle bénéficiait d’un magnifique potentiel. Qu’elle soit née à Tekhos ou non, elle avait le profil de ces pures Tekhanes que Miranda ne pouvait qu’apprécier, celles qui maîtrisaient pleinement le sexe. Encore, elle soupira, et, après de longues minutes, Elise eut finalement droit à sa récompense ultime. La verge de Miranda se durcit encore, et tressauta sur place, puis, dans un grand soupir, expulsa d’intenses filaments de foutre dans la bouche d’Elise, se vidant joyeusement en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Les secousses de sperme fusèrent dans la gorge de la jeune Elise, qui en reçut une belle quantité. La PDG soupira ensuite de plaisir, et se dépêcha d’attraper Elise par les aisselles, l’aidant à se relever, et l’assit sur ses cuisses, non sans lui offrir un nouveau et tendre sourire. Sa main caressa le visage rougi de la jeune femme, ses doigts glissant sur ses lèvres closes, encore remplies de sperme.

« Vas-y, ma chérie, avale tout... »

Elle l’embrassa sur le nez, tout en approchant sa main de ses cuisses. Elise mouillait, et, en enfonçant ses doigts dans son intimité, elle sentit rapidement une résistance.

« Oh... Tu es vierge ? Tanisha t’a conservé pour moi... »

Miranda sourit, et attendit qu’Elise eut fini d’avaler pour venir l’embrasser sur les lèvres, enfouissant sa langue dans sa bouche. Le baiser dura de nombreuses secondes, Miranda soupirant de plaisir. Les lèvres d’Elise avaient un délicieux goût de fraise, et elle en profita pour attraper l’une des mains de la jeune caporale, la posant ensuite sur sa verge, l’incitant ainsi à la masturber pendant ce baiser. La magnifique blonde continua ce baiser, jusqu’à finir par le rompre, conservant sur ses lèvres un tendre sourire.

« Je vais te faire l’amour, maintenant, Elise... Mais je te laisse décider si tu veux te coucher, ou te mettre à quatre pattes en regardant Tanisha. À toi de voir quelle est la position que tu préfères mon ange... »

Sa voix était doucereuse et mélodieuse.

Miranda, pour le dire simplement, était très excitée par ce qui se passait.

Elise était quelque part le symbole de ce que sera la future génération. Pas n’importe laquelle ; celle qui aura le privilège de naitre sous l’égide de Miranda Forge, une fois qu’elle serait parvenue à ses fins. Si elle y parvenait bien entendu. Mais Elise était un avant-gout de ce que ça pourrait être. Obéissante, dévouée, ne possédant strictement aucune once de doute ou d’autres mauvaises choses à l’égard de l’Elue. Une fille à la pureté de cœur, qui ne battait que si celui de sa Maitresse battait en retour. C’était ça, la future génération. Des êtres placés sous la coupe d’une seule et unique femme, qui possèderait un grand pouvoir sur eux. L’influence qu’elle avait à Tekhos était certes très forte, et on pouvait déjà parler d’un statut quasi omnipotent. Mais, ce n’était rien comparé à ce qu’elle pourrait accomplir une fois tout ceci terminé.

Elise était en train de vivre le jour qu’on lui avait promis depuis sa plus tendre enfance. Elle était en train de vivre cette promesse qu’on répétait inlassablement depuis des lustres. Cette promesse qui était l’une des bases de l’éducation / endoctrinement de toute personne ici-même. Autant dire que lorsqu’un tel évènement arrivait, on en ressortait différemment. Pour Elise, elle avait en ressortir dépucelée d’une part, et irrémédiablement convaincu par la Cause d’autre part. L’Elue, par sa bonté et sa grâce, allait offrir à Elise sa toute première fois au sens propre du terme, et ça ce n’était pas rien pour une jeune comme elle. Elise n’avait plus qu’à se laisser envahir, à offrir son corps et son âme à cette femme qui était prédestinée à devenir maitresse de tout et de tout le monde, un jour ou l’autre …

En attendant, elle continua de la pomper jusqu’à ce que le délicieux jus afflua dans sa gorge et sa bouche. Tanisha se mordit la lèvre en voyant sa maitresse juter ainsi, ne pouvant pas s’empêcher de gentiment jalouser Elise pour cela. Oui, gouter au foutre de Miranda était aussi un présent précieux et unique. Elise s’en régala complètement mais avait du mal à tout avaler d’une seule traite. Ses joues étaient donc gonflées comme celles d’un hamster, alors que sa maitresse l’aida à se relever, en la prenant tendrement ses aisselles. Assise sur ses genoux, elle rougit et couina de bonheur quand Miranda caressa sa joue, avalant progressivement le délicieux jus qu’elle avait en bouche. Son baiser sur son nez lui fit extrêmement plaisir, Elise étant naturellement une femme hyper friande de ces petites attentions câlines.

Si Tanisha était une guerrière au lit, Elise avait tout de la fille douce, sensuelle, émotive, qui préférait faire l’amour que baiser. Bien entendu, elle se plierait à la moindre des moindres requêtes de Miranda, l’un n’empêchait pas l’autre. Elle finit par tout avaler, alors que Tanisha bandait férocement en arrière-plan.  Difficile de se retenir de se toucher, voire même de simplement juter. Elle n’en avait pas le droit, et elle ne devait pas le faire. Déterminée comme jamais, la Gardienne tenait le cap et comptait bien prouver sa volonté de fer à l’Elue. C’était maintenant ou jamais où elle pouvait lui prouver qu’elle est sa Gardienne, et qu’elle en est digne. Pour le moment donc, elle tenait le coup, même si sa veine phallique était forte bien visible …

Miranda se rendit compte qu’Elise était vierge – ayant été préservée rien que pour elle – et lui fit donc la proposition de la prendre. Elise avait rougit et ressentir une furieuse vague de chaleur, et de plaisir, la parcourir au moment où les doigts de l’Elue s’étaient enfoncés en elle. La proposition, c’était de lui faire l’amour, exactement comme l’avait toujours rêvé Elise. Enfant, on disait à Elise que l’Elue était une personne merveilleuse et qui se souciait de chaque vie de ses fidèles. On lui disait qu’elle prendrait de chaque personne ici et que pour elle, l’Elue l’élèvera au rang de femme. C’était une manière de dire à l’enfant qu’elle allait la dépuceler plus tard. Elise ne rêvait pas de princesse, de château et de dragons en étant enfant. Elle rêvait de l’Elue qui lui ferait des câlins, qui l’instruirait, qui la protégerai. Que le moment où elle ferait d’elle une femme, ça serait un moment magique, beau, unique ! L’Elue était l’équivalent du prince charmant en quelque sorte … À quelques différences près. Tout ceci pour dire qu’elle en rêvait, de ce moment, et qu’elle était prête. « La Gardienne m’en pardonnera, votre Grandeur … Mais je ne désire que voir votre beauté et seulement la vôtre durant ce moment … Je veux retenir de ce beau moment que votre faciès s’éblouissant de seconde en seconde … » Dit-elle de sa douce voix.

Tanisha comprenait et avait anticipé que Elise répondrait ça. Quelle personne ici, à bord du Forge, déciderait de regarder ailleurs que Miranda ? Personne. La Gardienne eut même un petit sourire en l’entendant. Elise se déplaça et se coucha sur le dos, finissant sous sa maitresse adorée. Miranda n’avait plus qu’à se servir ! Mais qu’Elise ne bouge, elle pencha doucement sa tête et vint donner un doucereux baiser à son amante, lui transmettant via sa tendresse et son caractère langoureux tout l’amour et les sentiments qu’elle ressentait à son égard. Tout en continuant de caresser, masturber doucement son mandrin.

Tanisha devait en être au stade où la douleur devait être forte. Miranda connaissait ça, cette frustration, et cette envie irrésistible de soulager cette forte tension. Son sexe était bien dressé, dur et assoiffé, et elle bandait ses muscles, ralentissant sa respiration pour se calmer. Une véritable torture, mais aussi un magnifique spectacle pour Miranda, qui, tout en s’occupant de la caporale Elise, ne manquait pas de relever la tête pour voir ce phallus se dresser, irrésistiblement dur, assoiffé de sexe. Tanisha devait faire appel à tout son sang-froid pour ne pas rompre sa promesse, et, malgré le calme apparent sur son visage, Miranda la voyait bien se pincer les lèvres, crispant ses mains, jambes écartées, tâchant de retenir autant que possible les vagues qui refluaient en elle. Le spectacle était amusant... Mais n’attira pas autant l’attention de Miranda que celui d’Elise, qui s’apprêtait à lui offrir sa virginité, et qui avait consciencieusement veillé à avaler toutes les gouttes du sperme de celle qu’elle considérait, non pas uniquement comme sa Maîtresse, mais comme sa Déesse.

Assez rapidement, elle trancha donc en se couchant sur le dos, sous Miranda, frottant avec l’une de ses mains la queue de la femme. Miranda sourit alors, les idées défilant alors dans sa tête. Elle se pencha vers la belle Elise, et l’embrassa sur les lèvres, pendant quelques secondes, tout en courbant son corps vers l’avant, appuyant son bassin contre le sien, sa queue joufflue venant glisser sur la peau lisse de la Caporale, remuant dessus tendrement.

« Hmmmm... »

Miranda rompit ensuite le baiser, et caressa, avec sa main, la joue de la femme, déplaçant ensuite ses doigts le long de ses tendres lèvres.

« Dans ce cas, Elise, tu vas me regarder, et me toucher. C’est très simple. Pendant tout le moment où je vais te prendre, tes yeux ne devront jamais cesser de me voir. Tu n’as pas le droit de les fermer plus d’une seconde, et tes mains devront toujours tenir mon corps, peu importe la partie. Le dos, les cheveux, les épaules, mes fesses... »

Elle sourit encore, et poursuivit :

« Et ton regard... Chaque fois que tu en auras l’occasion, je veux que tu me regardes, ma chérie. Regarde ta Déesse en train de te prendre, Elise... »

Miranda lui sourit encore, et l’embrassa une nouvelle fois, puis posa une main sur sa verge, et la guida vers l’intimité d’Elise, tout en lui souriant légèrement. Son regard restait rivé sur le sien, et ses lèvres se crispèrent légèrement quand elle sentit la résistance de l’intimité de la femme. Un soupir supplémentaire s’échappa de sa bouche, et elle soupira encore, avant de s’enfoncer, perçant l’hymen de la femme...

Ça y est, Elise venait d’être déflorée par sa Déesse !

Que pouvait-il avoir de plus beau, de plus artistique et même poétique qu’une Elue fière de vous ? Rien, strictement rien. Elise était totalement subjuguée par la beauté de sa maîtresse et le plaisir qu’elle lui apportait de seconde en seconde. Plus qu’un simple câlin, c’était un véritable moment solennel et terriblement important aux yeux de la caporale. C’était le moment où son rêve le plus cher se réalisait, voire même, son rêve d’enfant. Elle avait choisi de ne regarder que Miranda et seulement elle, pour conserver le spécial et la beauté de ce moment. Non pas que la Gardienne ne méritait pas un détour de l’œil, mais c’était simplement qu’Elise désirait garder le maximum de souvenir de sa maîtresse seule.

Ainsi elle se coucha sur le lit et fut rapidement en-dessous de Miranda. L’Elue dirigea son gourdin de chair contre elle, glissant contre sa douce peau. Tout ceci promettait une forte expérience pour Elise, qui était sur le point de perdre sa virginité entre les mains de Miranda Forge … On ne pouvait espérer meilleure première fois ! Elise acquiesça face aux directives de sa Déité, prête à les appliquer scrupuleusement. Ce n’était pas comme si la fixer en permanence était une corvée … C’était tout le contraire. Elise ne se lasserai jamais de sa beauté, de sa voix, de son odeur. Tout chez Miranda était beau et sacré. Absolument tout … Et ça, on le devinait facilement en regardant les yeux d’Elise. Un regard ô combien admirateur et doux envers sa maîtresse, mélangea fascination, admiration et vénération.

Le moment délicat arriva et l’Elue commença à s’enfoncer en elle. Elle perfora son hymen, arrachant un léger râle de douleur à Elise qui encaissa tant bien que mal le coup, même si elle était préparée pour cela. Ses petits doigts de fée s’agrippèrent à ses épaules dans un premier temps, et son regard se planta fermement dans le sien. Elle allait admirer sa maîtresse en train de la prendre. Et cela commença très bien, puisqu’Elise remua au rythme des coups de butoirs de Miranda. Sa petite voix ravie s’éleva dans l’air, soupirant, couinant face aux tendres coups que lui mettait l’Elue. « Hmm … Haaan … » Gémit doucement Elise, se mordillant nerveusement les lèvres. Ses muscles se crispèrent, de même que ses doigts de pieds et de mains. Et en parlant de mains, les siennes se déplacèrent avec délicatesse sur le corps parfait de Miranda, glissant le long de son dos jusqu’à ses hanches, qu’elle gratta avec tendresse avant de les caresser, de les masser.

Tanisha observait tout ceci et se sentait ravie pour Elise. Elle n’en montrait signe, restant sur son expression sérieuse et concentrée, mais elle était réellement heureuse pour sa jeune caporale, qui réalisai son rêve le plus cher. Elle tentait de se distraire de la frustration sexuelle en repensant à toute les fois où Elise et elle parlaient de l’Elue, à quel point était-elle une merveilleuse femme, etc. Tanisha se souvenait de toutes les fois où Elise lui disait à quel point elle l’aimait et qu’elle mourrait d’impatience de la voir, de la connaitre. C’était donc réellement beau de voir Elise accéder à ce rêve, de voir son amour et sa dévotion envers une personne qu’elle n’avait jamais vue lui permettre de ressentir un tel plaisir. Vu ses soupirs et ses couinements, Elise devait bien en profiter …

Pour la pure Tekhane que Miranda était, offrir sa virginité était un acte fort, et très symbolique. Elle sentit l’hymen d’Elise se briser, et faillit bien jouir sur place, tant ce contact l’excita. Maintenant, elle savait que, avec la chirurgie, ou avec la magie rose, on pouvait reconstituer les hymens, mais rien ne vaudrait jamais la véritable première fois. Là, avec Elise, elle sentait que c’était bien la toute-première fois qu’une queue s’enfouissait dans son vagin, et... C’était terriblement excitant ! Miranda sentit des frissons la traverser de part en part, et se mordilla les lèvres, tout en gémissant. Le sang remua contre sa queue, avant de s’évacuer progressivement, au gré de ses coups de pilon... Et, si Elise avait vraisemblablement dû avoir mal, elle semblait tellement heureuse que la douleur avait disparu instantanément, au profit d’une vague incroyable de plaisir. Particulièrement émue, elle souriait tout en gémissant, ses joues rougissant furieusement, ce qui allait à merveille avec sa peau pâle et ses cheveux roux.

« Hmmmm... Ma petite chérie, haaaaa... Caresse mon dos, hmmm... Griffe-le, descends jusqu’à mes fesses, palpe le corps de ta Déesse... »

Elise obéit, et Miranda se pressa sur elle, aplatissant son corps contre le sien, en l’embrassant. Forte, son érection l’élançait douloureusement, remuant furieusement dans son organisme, formant comme une pointe de chair qui la poussait vers l’avant, la stimulant à agir. Son bassin continuait en conséquence à remuer, de haut en bas, Miranda enfouissant sa queue à chaque coup de trique dans la chatte de la petite Elise, tout en fourrant ensuite sa langue dans sa bouche, ses mains posées sur ses épaules. Le baiser dura un certain temps, avant que Miranda ne le rompe, et ne le baise plus franchement.

Ce fut le moment où les deux femmes ne cessèrent de se regarder, conformément à ce que Miranda avait ordonné à Elise. Elle, elle caressait les hanches de sa Déité, pour rapidement poser ses mains sur ses fesses, les crispant, et les deux femmes continuèrent à se faire l’amour, le mandrin de Miranda s’enfonçant lourdement en elle, avant de repartir, et de s’enfoncer encore. Miranda la baisait bien proprement, et sentit rapidement Elise avoir un nouvel orgasme. Le premier, elle l’avait eu dès que son hymen avait été percé, et le second vint alors que sa Déité la prenait vigoureusement. Ceci amena Elise à, outre gémir, pleurer de joie, ses yeux s’embuant tandis qu’elle observait le visage merveilleux de Miranda.

« Hmmm... Tu aimes vraiment ça, hein, ma petite puce... ?! Haaaa... »

Miranda continuait à la prendre, et embrassa à nouveau ses lèvres, puis posa une main sur l’un des seins de la jeune timide, pinçant son téton, la sentant se tortiller contre elle, gémissant et soupirant de plaisir. Le lit remuait contre ses mouvements, et la PDG continuait à la prendre, sans relâche, imperturbable, offrant assurément à Tanisha un spectacle des plus magnifiques. Il était important de bien prendre Elise, de lui offrir un spectacle qui vaudrait la chandelle. Les minutes défilaient ainsi, jusqu’à ce que le corps de Miranda ne se tende.

Pour Elise, ce moment avait dû être pure magie, et Miranda s’efforça de tenir aussi longtemps que possible. Elle avait pris ce con étroit, enfonçant peu à peu sa verge, déformant progressivement les parois de la jeune beauté... Jusqu’à se répandre en elle. Le sperme s’accumulait, la tension croissait... Puis Miranda sentit le déclic, et poussa un long soupir, avant de contracter ses muscles, et relâcha tout.

« Hmmmmm... !! »

Le sperme fusa, et explosa contre la chatte toute trempée d’Elise, Miranda donnant de multiples coups de reins, tout en sentant le plaisir ultime, névralgique, s’emparer de tout son être, la noyant dans des vagues de foutre, qui s’enfoncèrent dans le corps de sa chérie.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! » soupira-t-elle ultimement.

Elise était si heureuse … Elle n’avait jamais été si heureuse et si comblée de toute sa vie entière. Ce jour était un véritable moment de pur bonheur, un morceau de paradis qui lui avait été promit et qui s’avérait vrai. La rencontre avec sa maitresse, la réalisation de de son souhait le plus cher qu’était lui offrir sa virginité. Pour les Tekhanes, il était vrai que ceci était un acte terriblement fort et puissant, ayant de très lourdes significations. Elise n’était peut-être pas une Tekhane de sang, mais pour tout le reste, elle l’était. Comme tous les membres du Culte. Elise, en offrant sa virginité à Miranda, lui faisait une véritable déclaration d’amour et de dévotion ne connaissant ni limite, ni fin. Elise était complètement sous la coupe de Miranda, et cela se voyait … L’Elue prit un grand plaisir à lui prendre cette virginité et à combler ses attentes. Les coups de butoirs commencèrent et amenèrent rapidement la jeune Elise au bord de son premier orgasme.

Leur corps s’aplatirent l’un à l’autre, et remuèrent tout en se frottant chaudement ensemble. Poitrine contre poitrine, lèvres contres lèvres. Miranda gratifia Elise d’un délicat et savoureux baiser qui la rendit toute euphorique et passionnée, stimulant chaque sens et nerf de son corps. Le baiser se rompit et ce fut à ce moment où Miranda se mit à butiner Elise de manière plus forte et sérieuse. Ce fut aussi à ce moment qu’Elise ne quitta pas les yeux de Miranda, restant fixer sur la beauté surnaturelle et ahurissante de son faciès. Elle caressait les hanches de sa maitresse, finissant par les masser et les griffer, défoulant un peu de son énorme plaisir là-dessus. Bientôt elle dériva vers ses fesses et les malaxa avec obsession, les griffant, les massant, les pinçant vigoureusement. Les yeux d’Elise s’embuèrent alors qu’elle se mit à verser quelques larmes de joie, au moment où un second orgasme la frappa de plein fouet.

Un spectacle des plus magnifiques et touchant. Oui, c’était réellement touchant de voir une telle scène se produire. De voir une jeune fille toute émerveillée et rêveuse face à celle qu’elle considère comme sa Deité. Comme cette entité qui la protège et qui veille sur elle nuit et jour, même si elle savait que ce n’était pas encore le cas. En revanche, ce qui était déjà le cas, était que Miranda était à jamais présente dans son cœur … Et ça, c’était déjà amplement suffisant. Miranda la baisa férocement, pressant son corps contre le sien, massant son sein et son téton alors qu’elle repartit l’embrasser, encore et encore. Tanisha sentait la moutarde lui monter dangereusement au nez, alors que sa queue était dangereusement raide et joufflue. Ô combien désirait-elle la planter … Combien désirait-elle faire de nouveau l’amour à Miranda, et lui faire gouter toute sa hargne et sa fougue qu’elle était en train d’accumuler.

Mais, la magie du moment atteignit son paroxysme quand l’Elue fut elle aussi frapper d’un puissant et fort orgasme. Elle se vida en Elise, qui cria et couina de partout son plaisir. Pour elle, ce fut effectivement un moment de pure magie. Un moment qu’elle n’oubliera jamais ! Sentant la semence de sa douce maitresse remplir ses entrailles, elle mouilla abondement et se tortilla complètement, ses muscles se crispant face à l’orgasme qui déchira ses entrailles sous d’innombrables couches de plaisir. Après quelques temps, les deux femmes reprirent leur souffle. Elise était toute rêveuse et un peu extenuée – n’étant pas aussi aguerrie que les autres – mais continua de regarda profondément les yeux de sa maitresse. Elle porta doucement sa main à sa joue, qu’elle caressa avec la plus grande des délicatesses, puis lui offrit un sourire qui provenait du fin fond de son cœur, et de ses entrailles. « Merci Maitresse … Merci pour tout … » Dit-elle de sa douce voix, quelque peu essoufflée. Un regard terriblement affectif fut adressé à Miranda. S’il y avait bien une personne qui aimait Miranda sincèrement, sans jamais rien espérer en retour, c’était Elise. Son innocence faisait que ses sentiments pour Miranda étaient purs et sincères, et qu’elle était réellement émerveillée par ce qu’elle était, bien plus que par son corps.

C’était ça, la prochaine génération … Une génération de fières et dévouées adoratrices de Miranda Forge.

Le regard épanoui d’Elise, son sourire merveilleux, cette expression de bonheur absolue sur le visage... Miranda gravait tout cela avec fierté et avec plaisir. Elle avait devant elle une femme qui était encore pire qu’une esclave, une véritable dévote, zélote. Impossible d’expliquer quelle formation elle avait dû recevoir pour arriver à considérer la femme d’affaires comme ça, mais ces femmes ne faisaient que conforter Miranda dans le budget énorme qu’elle dilapidait, à Tekhos, pour valoriser sa propre image. Contrairement à la Terre, où les PDG de puissantes firmes étaient souvent mal vus, à Tekhos, les patronnes des mégacorporations avaient souvent tendance à s’afficher, de telle sorte qu’elles faisaient et défaisaient la mode. Miranda n’était en rien une exception, elle était juste... Nettement plus osée que ses autres collègues. C’était l’un des grands paradoxes de Tekhos, car, si les Tekhanes ne savaient virtuellement rien des activités opaques des mégacorporations, et avaient même tendance à s’en méfier, elles aimaient beaucoup leurs dirigeantes. Grâce aux mégacorporations, le chômage était très faible sur Tekhos, et c’était elles qui avaient sensiblement amélioré le niveau de vie des Tekhanes.

Miranda souriait donc devant le visage serein de sa belle Elise, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Mais de rien, Elise. Néanmoins... N’espère pas partir aussi vite. »

Elle lui caressa encore le visage, et l’embrassa une nouvelle fois. Cette fascination qu’elle sentait chez Elise était vraiment une chose magnifique à voir, et, si tous les membres de ce Culte étaient comme elle, Miranda allait vraiment se plaire ici ! Elle n’aurait jamais cru que ces filles pouvaient être aussi sérieuses quand Tanisha l’avait décrite comme leur « déité ». Et, visiblement, la perspective de rester encore davantage avec sa Maîtresse semblait être bien loin de déplaire Elise.

Miranda se redressa alors, et observa Tanisha, qui avait une queue bien dure, maintenant, assoiffée. Elle suait de plus en plus, frémissant sur place, et la PDG sourit lentement.

« Très bien ! Tanisha, va me chercher la prochaine personne, ma chérie ! »

Tandis qu’elle s’exécutait, Miranda retourna embrasser et masser les seins d’Elise un peu, avant de lui ordonner de lui lécher ses pieds et ses jambes, toujours recouverts par ses longs collants en latex, Miranda allant s’installer sur le rebord du lit.

« Quand Tanisha reviendra, Elise, je veux que tu ailles la sucer pendant toute la durée où je m’occuperai de ta camarade... Et tu devras noter le nombre d’orgasmes qu’elle fera, et tu me les diras ensuite. »

De fait, avoir pendant du public pendant que Miranda faisait l’amour ne la dérangeait nullement, et, comme la chambre était plutôt grande, elle comptait bien en profiter pour avoir, progressivement, tout un auditorium...

Le plus longtemps Elise serait entre les délicieux et attentionnés bras de sa Maitresse, le mieux elle se porterait. Cette vérité était d’ailleurs valable pour toutes les femmes présentes à bord. La moindre seconde passée en compagnie de Miranda Forge était une bénédiction, ainsi qu’un plaisir sans fin ni commune mesure. Il fallait que la patronne de GWC s’en rende compte encore plus que maintenant ; ces femmes la vénéraient de la tête aux pieds, la percevait comme leur Deité protectrice. Comme leur idole, comme leur Gardienne. Il fallait que Miranda s’y fasse plus que maintenant. Même si elle s’était rapidement accommodée à l’idée d’être vénérée, cela n’était pas encore suffisant. Aux yeux de tout le monde ça l’était ; en fait, quoiqu’elle ferait tout le monde serait d’accord avec. Mais elle pourrait en faire tellement plus, avec cette petite armée à ses pieds. Elle ne prenait pas encore sa place au sérieux mais, dans pas longtemps, ça allait changer.

Tanisha en était persuadée en tout cas. En attendant de montrer à sa Maitresse ce qu’elle était réellement – une réelle omnisciente à en devenir – elle l’observait délicieusement en train de faire l’amour à Elise. Elise qui symbolisait cette nouvelle génération, qui était complètement et irrémédiablement dévouée envers la cause et la personne de Miranda Forge. Elle était le symbole de ce que serait les gens une fois que Miranda parviendra à ses fins. Et ses groupies à Tekhos Metropolis n’étaient que des phénomènes de foire à côté de la réelle, de la sincère et de la puissante vénération que lui portaient chaque femme à bord du Forge. À Tekhos on adorait Miranda pour des raisons superficielles ; elle était riche, elle était belle, elle était puissante … Mais personne ne l’adorait réellement pour ce qu’elle était. Pour son âme, pour ce qu’elle symbolisait, en-dehors de la débauche. Le Culte avait vu qui étaient les Forge, ce qu’elles représentaient réellement … Et Miranda était la quintessence de tout ceci.

Elise était en train de nager dans son petit rêve tout tendre. Elle était sur son petit nuage paradisiaque après que Miranda lui ai fait l’amour, pour la première fois. Mais ce n’était pas finit ! A son grand bonheur sa maitresse avait encore des choses pour elle, et elle le fit savoir. Elle ordonna à Tanisha d’aller lui cherche la prochaine femme, et pendant qu’elle ferait ça, Elise lui lécherait ses pieds et ses jambes. Elle se mit en position, à genoux devant sa maitresse quand elle se plaça au bord du lit, puis prit soigneusement l’un de ses délicat pied entre ses mains. « Je ferai ce que vous désirez, Maitresse ! » Dit-elle avec conviction, avant de déposer un premier baiser sur son pied enveloppé de latex. La jeune Elise se mit donc docilement à lécher et à embrasser cette partie, remontant sensuellement le long des jambes de Miranda, comme elle le lui avait demandé. Elise était très appliquée et dévouée dans sa tâche, et on voyait bien que pour elle chaque baiser, chaque coup de langue était unique, sortant du cœur et de l’âme plutôt que de ses hormones.

Elle léchait donc ses pieds quand Tanisha revint avec une autre femme. Cette demoiselle était une soldate, une lieutenante pour être plus précis. Tanisha était assez fière d’elle, car Freya – son nom – était un élément très doué. Elle était curieuse de voir comment son caractère espiègle et taquin allait faire alchimie avec sa Deité … C’était intéressant à voir. Tanisha revint avec elle, et Freya faillit perdre les pédales en voyant l’Elue en chair et en os, d’aussi près. « Oh … C’est … C’est vous … Maitresse ! » Dit-elle d’une voix hésitante, non pas par timidité mais par excès de joie. Freya montra d’emblée qu’elle était différente d’Elise, en sautant prendre Miranda fortement dans ses bras quand la jeune Elise partit voie Tanisha. Freya, prenant fortement sa maitresse dans ses bras, n’arrêta pas de la bombarder de compliments et de mots sortants du cœur, comme quoi elle était si heureuse et comblée de la voir, de la toucher. Pour finir, la lieutenante plaqua fièrement ses lèvres contre les siennes, lui roulant une pelle pour de bon.

De son côté, Elise se mit à genoux devant Tanisha et approcha son visage de sa trique, qu’elle finit par embrasser. « Je suis fière de toi Elise. Tu as été largement à la hauteur et … Hmmm … Je vais bien te récompens … Haaaaaan … » Couina Tanisha, se mordant doucement la lèvre alors que Elise se mit tout simplement à lécher son sexe, finissant par l’engloutir pour offrir une délicieuse fellation à Tanisha. Cependant sa trique étant déjà très gorgée et assoiffée, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle n’explose une première fois, se mettant à jouir copieusement dans la gorge d’Elise. « Haaaaa ! » Soupira Tanisha de plaisir et de soulagement, sans pour autant que sa trique n’en démorde. Elle vida ses bourses une première fois mais, elle avait toujours autant la trique.

Face à cela, elle posa ses mains sur la tête de son amante puis l’incité à la pomper encore et encore, se délectant de chaque succions et gorgée que lui procurait Elise …

Elise était le genre d’amantes soumises que toute femme dominatrice et arrogante comme Miranda rêverait d’avoir. Discrète, silencieuse, humble, elle ne se révoltait pas, et la vénérait avec une telle fascination que ne pas se sentir excitée par elle était tout simplement impossible. Miranda avait adoré la pénétrer, la baiser, et adorait également ces moments d’après. L’adulation d’Elise à  son égard n’avait nullement décru, et la manière dont elle l’exprimait était magnifique. Elle lécha et embrassa amoureusement ses collants pendant de nombreuses secondes, jusqu’à ce que Tanisha ne revienne. Nue, la magnifique panthère noire avait une démarche bien raide, plus que d’habitude, sans aucun doute compliquée à cause de ce gros mandrin qui pulsait en elle.

*Néanmoins, elle a obéi... Son conditionnement est plus fort que ses propres désirs, elle est bien la Gardienne...*

Miranda était sincèrement impressionnée. Elise, en voyant ce beau monde arriver, continua encore à lécher les jambes de sa Déesse, comme si elle voulait profiter de la moindre petite seconde contre elle. Miranda sourit brièvement en lui ordonnant finalement de se retirer, et de faire ce dont elles avaient convenu. Tanisha, quant à elle, se remit sagement en position, et Miranda se retourna ensuite vers Freya... Qui se précipita rapidement contre elle, et la couvrit de louanges, avant de plaquer fermement ses lèvres contre les siennes.

Surprise, mais non gênée, Miranda laissa la femme l’embrasser pendant quelques secondes. Si Elise était introvertie, cette militaire semblait en être l’exacte opposée, très extravertie, et n’hésitant pas à manifester son surplus d’émotions et de joies.

« Oh, Maîtresse, Maîtresse, vous êtes si belle, hmmm, si... »

Miranda la poussa soudain, et Freya se retrouva étalée au milieu du lit. Miranda posa alors un doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence, tout en se mettant à califourchon sur elle. Les bavardes, elle savait aussi comment les gérer. Elle pouvait voir le désir papillonner dans les yeux de la magnifique blonde, qui lécha amoureusement son doigt, frissonnant en sentant le phallus trempé de sa Déesse caresser son ventre, glissant sur les replis de sa peau.

« Tu aimes beaucoup utiliser de ta langue, toi... »

La puissante blonde caressa avec son autre main l’un des seins de la femme, à travers sa tunique bleue, pinçant le téton dedans, faisant gémir la femme. Miranda n’attendit ensuite plus très longtemps, et se dépêcha de la pénétrer, écartant sa tunique pour accéder directement à son vagin... Mais, alors qu’elle aurait pu remuer en elle, elle s’arrêta sur place, et esquissa un léger sourire.

« Voilà... Maintenant, si tu veux que je remue en toi, ma chérie, il va falloir que tu me motives... Plus tu t’insulteras, et plus je te pénétrerai... C’est un marché équitable, non ? »

Et elle lui sourit malicieusement...

Freya n’était pas comme Elise ; ce n’était pas une enfant née et éduquée ici. Elle n’était même pas de Terra, ni de la Terre. Elle venait d’une toute autre planète, d’un tout autre peuple qui s’il partageait l’apparence physique des Humains, avait bien des différences avec celui-ci. Tanisha n’avait pas uniquement désigné Freya prochaine amante pour sa simple beauté, mais aussi pour ses talents, afin que Miranda se rende compte du potentiel de l’équipage. Qu’elle se rende compte que le Forge abritait des êtres différents … Elle allait bientôt avoir un petit échantillon de ce que ça donnait. En attendant que Freya se décide, celle-ci bombarda le visage de sa maitresse de baisers et de coups de langue, la comblant, la couvrant de louages. Finalement elle plongea lourdement sa langue dans sa bouche et l’embrassa du plus fort qu’elle pouvait, défoulant tout son amour et sa dévotion pour elle.

Seulement voilà, il s’agissait de Miranda Forge et celle-ci n’était pas du genre à se laisser faire. Du moins pas dans ces conditions et elle réagit rapidement en poussant Freya pour la faire s’allonger. Elle vint à califourchon et intima le silence en posant son index sur les lèvres de sa dévote. On pouvait se demander ce qu’elle attendait en faisant ça … Comme si Freya allait se priver de lécher et sucer son doigt. La jeune femme le fit, et frémit intégralement de plaisir en sentant la juteuse queue de sa maitresse frotter contre son ventre, prête à la pénétrer. Quand son sein fut caressé elle poussa un gémissement, un soupir de plaisir, qui la traversa de part en part. Oh que oui, elle avait furieusement envie de se faire baiser par Miranda, de se faire écarteler les chairs jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse par excès de plaisir. Mais elle savait que sa maitresse était unique, spéciale, et qu’elle n’allait pas désirer une simple partie de jambes en l’air.

Ainsi, quand elle se mit à la pénétrer Freya cru devenir folle tellement le plaisir était immense, mais Miranda s’arrêta de remuer. Elle lui proposa un marché, et la miliaire sourit vicieusement. « Vous pensez que j’aurai du mal à faire ça, votre Grandeur ? » Dit-elle, posant ses mains sur le langoureux corps de Miranda, caressant ses hanches. Mais son sourire devint plus vicieux alors que ses mains glissèrent vers sa généreuse croupe, qu’elle pinça avidement tout en la malaxant. Aux yeux de Freya Miranda était très, très, très sacrée … Et de ce fait, elle obéissait strictement à tout ce qu’elle disait, y compris si l’ordre était de s’insulter elle-même. Un ordre, était un ordre. « La pute que je suis vous implore ... Prenez-moi ! Prenez cette petite salope qui s'offre à vous ... » Dit-elle fermement.

Freya avait typiquement le tempérament pour faire ce genre de choses. Il était sûr qu’elle était plus joueuse et féline qu’Elise, mais cette dernière ne pourrait en débattre car elle avait encore la bouche pleine. Tanisha se défoulait et déversait avidement toute sa frustration en baisant, encore et encore, sa petite gorge. Elle en était à son troisième orgasme et la Gardienne en voulait encore. Sa queue était encore bien rigide, et ses bourses toujours aussi pleines et lourdes, chargées de son onctueux foutre.

Miranda était la Maîtresse, ici, et, même au-delà de ça, la Déesse. On ne se contentait pas juste de la respecter, on l’honorait, et on la vénérait. Pour autant, Miranda voyait que cette vénération prenait des aspects divers, et avait des degrés divers. Freya et Elise en étaient les parfaits exemples. Avec Elise, Miranda avait pris son temps, explorant son corps, savourant la jeune femme, mais, avec Freya, les choses étaient différentes. Elle, elle était plus vive, plus sûre d’elle-même, et méritait donc, à ce titre, un traitement spécial. C’était là tout le sens du petit jeu de la belle blonde, qui avait planté sa queue en elle. Le plaisir s’était diffusé dans le corps de la femme lovée sous elle, mais Miranda stoppa ensuite le rythme,  restant de cette manière en position au-dessus de la femme. Elle reprenait lentement son souffle, et Freya se tortillait un peu sur place, accusant le coup.

Rapidement, une lueur d’amusement traversa le visage de Freya, qui assura à Miranda être capable de le faire, avant de commencer le ballet des insultes. De fait, Miranda n’avait jamais eu le moindre doute que Freya s’exécuterait... Sinon, elle n’aurait pas fait cette proposition ! En conséquence, elle ne répondit pas à la jeune femme, et se contenta de remuer en elle, soulevant et abaissant son bassin, ondulant contre son corps. Freya se mit à soupirer et à gémir, tout en régalant les oreilles de Miranda, qui lui mordilla le creux du cou, embrassant sa peau.

« Haaaa... Oui, Freya, hmmm... C’est... Haaaa... Continue, ma chérie, motive ta Déesse, dis-lui combien tu es une magnifique salope pour qu’elle te baise plus fort encore. »

Avec Elise, Miranda avait adapté l’intensité de ses coups de reins, en considérant le fait qu’elle était toujours vierge. Cependant, avec Freya, elle pouvait visiblement se donner à fond, et commença donc à remuer, sa queue ondulant dans le corps de Freya, de haut en bas. Elle donnait d’épais coups de reins, accélérant progressivement la cadence, tout en esquissant de longs et langoureux soupirs, au fur et à mesure que Freya la régalait en s’insultant.

C’était un nouveau coït, dans une position assez similaire à celle que Miranda avait précédemment eu avec Elise, mais, au bout de plusieurs minutes, elle commença, outre à sentir l’imagination de son amante atteindre ses limites (il n’existait pas non plus des millions de mots d’insultes), à vouloir aller au-delà.

« Ne... Ne te repose pas sur tes lauriers, Freya, haaa... Palpe... Palpe mes fesses, glisse un doigt dans... Dans le cul de ta Déesse, hmmmm... Tu peux... Tu peux même me gifler, si tu veux... Ma petite pute... »

Freya se faisait ainsi méchamment prendre par sa maitresse, qui ne la ménagea guère comparé à Elise. Effectivement, Elise et Freya étaient similaires et pourtant si différentes. Similaires car comme tout le monde ici, elles vouaient une admiration et une vénération sans fin à Miranda Forge, et différentes car elles s’y prenaient différemment. Là où Elise symbolisait la douceur, l’adoration par l’amour, le rêve, et toutes ces choses, Freya symbolisait quelque chose de plus dynamique, plus vicieux. Elle était plus dans l’optique d’être une offrande de chair pour l’Elue, d’être son jouet, son esclave. Une dévote dont le seul but dans la vie était de servir à plat ventre cette femme dont bientôt, la puissance ne serait pas que financière. Rien ne pouvait décevoir Freya au sujet de Miranda, et rien, absolument rien, ne pouvait changer sa perception et sa dévotion. Elle n’en avait pas l’air de prime abord, mais Freya était l’une des femmes les plus convaincu, ici.

Miranda prévalait sur tout, même sur sa dignité. C’était pour cela qu’elle n’avait pas hésité un seul instant à s’insulter, rien que pour satisfaire la demande et le plaisir de sa maitresse. Aussi pour qu’elle la baise mais, c’était entendu. La jeune femme s’insulta en boucle, au milieu de ses gémissements et du plaisir que lui offrit sa Déité. Qu’est-ce qu’elle était si douée, si habile, si … Parfaite ! On ne mentait donc pas sur son compte ; elle était réellement la perfection incarnée. Belle, puissante, habile, intelligente … Elle avait tout. Strictement tout. Freya succombait au plaisir et sentait des papillons commencer à se manifester en son bas-ventre. Miranda la pénétrait avec force, le rythme dépendant du débit d’insulte qu’elle proliférait à sa propre encontre. Mais, la langue étant ce qu’elle était, on atteignait assez rapidement la limite.

Néanmoins Miranda lui donna de nouvelles instructions. En plus de s’insulter, Freya allait devoir jouer avec ses mains. Avec grand plaisir, la jeune femme obéit. Elle leva sa main et gifla sèchement la fesse de Miranda, à plusieurs reprises. Son autre main palpa son autre fesse, alors que progressivement, elle s’approcha de son petit trou. « Ouiii … Votre petite pute dévouée ! C’est ce que j-je … Haaaaaa … Je suis ! Une pute ne désirant que se faire … HMmmmmm … Baiser par vous !!! » Déclara Freya, avant de glisser ses doigts vers la petite rondelle de Miranda, puis d’y enfoncer tendrement son index et son majeur. Ainsi, elle se mit à la doigter vigoureusement, entrant et sortant assez rapidement ses doigts. Son autre main – celle qui giflait ses fesses – continua de caresser et palper son cul, pinçant celui-ci quand elle ressentait un pic de plaisir, comme pour se défouler.

De son côté, Tanisha en était à sa troisième jouissance. À force Elise commençait à sentir son estomac se remplir du foutre de la Gardienne, et c’était une terriblement bonne sensation. Tanisha continua de pénétrer sa gorge avec hargne, jusqu’à ce qu’elle soit un peu essoufflée. Depuis le début elle avait tenu le rythme, c’était un petit effort. Mais elle finit par sortir sa queue, et sourit chaudement à son amante. Elle redressa son visage et l’intima de se relever, avant de se mettre à l’embrasser langoureusement, raclant avec elles les reliquats de foutre sur ses lèvres et sa langue. « Hmmm … » Ronronna doucement Tanisha, adorant le baiser qu’elle partageait avec Elise. Mais, après celui-ci, elle tourna son regard vers l’Elue et Freya et eut une idée. Elles attendirent sagement que Miranda finisse par juter et jouir, pour la rejoindre sur le grand lit. Freya en était toute retournée mais regarda la Gardienne et Elise se faufiler de part et d’autre de Miranda, tandis qu’elle était toujours en-dessous d’elle.

« Votre Grandeur, on s’est dit qu’un peu de compagnie … Ne vous ferai pas de mal, après ce que vous avez mis à Freya. » Dit alors Tanisha, placée à gauche de Miranda. Elle glissa sa main dans son dos et la caressa doucement, de haut en bas. Tandis qu’Elise de son côté approcha ses lèvres vers sa joue et l’embrassa, et comme Tanisha, se mit à caresser son dos. « Vous êtes si … Belle, quand vous êtes à l’effort, Maitresse … » Lui susurra Elise. Le plan de Tanisha ? Très simple … Une petite orgie avec Miranda, et les trois femmes présentes autour d’elle. Freya comprit le plan et sourit vicieusement, ondulant légèrement du bassin pour remuer la queue de Miranda, toujours plantée en elle. « A trois, on saura canaliser votre appétit Maitresse … À moins que vous nous prouviez le contraire ? » Dit-elle sur un ton malicieux. Tanisha et Elise se mirent à embrasser Miranda sur ses épaules. Puis, alors que Elise se mit doucement à descendre vers son dos, le parsemant de baisers, Tanisha elle prit soigneusement le bras gauche de Miranda, et de manière subtile, et douce, se mit à le couvrir de baisers. De l’épaule, jusqu’à la main, dont elle lécha avidement les doigts. C’était à Miranda de décider si une petite orgie lui plairait …

Miranda prenait Freya avec sa hargne habituelle, encore plus lourdement et plus férocement que tantôt, avec Elise. Le fait est que, comme Freya l’avait elle-même indiqué, elle était plus solide et plus endurante qu’Elise. Miranda pouvait donc adapter son rythme à elle sans trop de problèmes, et s’enfonçait joyeusement dans son corps, la pénétrant longuement et rudement.

« Hmmm... Haaaaa... !! »

La PDG soupirait de plaisir, et les claques de Freya ne firent que la stimuler davantage, la forçant à la prendre plus intensivement encore. Elle ne cherchait pas à la ménager, et le lit craquait sous ses mouvements. Miranda soupirait longuement, venant régulièrement embrasser la femme. Néanmoins, comme elle passait l’essentiel de son temps à la pénétrer, avec un rythme soutenu, elle n’avait pas trop l’occasion de goûter à ses lèvres, préférant se gargariser de ses gémissements et de ses soupirs. Le spectacle ne manquait pas de charme, car Miranda semblait infatigable en matière sexuelle. Une telle performance était littéralement surnaturelle, et ne pourrait que s’ajouter à sa légende divine auprès des membres du Culte.

Au bout de plusieurs minutes, le plaisir finit par croître, et atteignit le point suprême. Dans un long soupir, Miranda ferma les yeux, et relâcha le plaisir, jouissant généreusement dans le corps de Freya, venant ainsi la remplir. Elle s’affaissa ensuite contre son corps, la respiration lourde, pour sentir ensuite ses bruits de pas dans son dos.

« Hmmm... ? »

Tournant la tête, elle vit Tanisha et Elise les rejoindre. La Gardienne allait visiblement mieux. Miranda n’avait pas pensé à la regarder se soulager dans le corps de la jeune femme, mais ne se faisait aucun doute là-dessus. Vu la trique juteuse qu’elle avait eu, la femme avait dû se relâcher généreusement dans le corps de la belle Elise, et lui proposa soudain une partie à quatre... Soit une orgie. Miranda sourit alors, Freya venant rapidement rejoindre les deux femmes. Les trois allèrent ainsi l’embrasser et la caresser, délicatement, cherchant très clairement, par ce biais, à l’inciter à sauter le pas.

De multiples frissons parcoururent le corps de Miranda, qui savait que les trois femmes n’attendaient que son geste pour agir plus sérieusement, se contentant, ici, de juste la titiller. Elle se pinça donc les lèvres, et finit par hocher la tête.

« Très bien... Je comprends votre soif à l’idée de vous occuper de mon corps, mes chéries. Alors... Faites donc. Venez vous occuper de moi, mes belles... »

Trois beautés rien que pour elle ! Il aurait assurément fallu être fou pour repousser de telles offres !

Trois beautés, parmi les centaines qu’il y avait ici, à bord du Forge. Miranda allait être gâtée durant tout son séjour au sein du Culte. Elle allait avoir un mince aperçut de ce que pourrait devenir sa vie si elle accédait au rang ultime ou en d’autres termes, si elle parvenait à accomplir ce que sa famille voulait depuis des générations. Le Culte n’était qu’un avant-gout de tout ceci, et visiblement cela semblait déjà lui plaire. Miranda s’était rapidement faite à l’idée d’être une réelle Déité, de pouvoir faire absolument tout ce dont elle désirait, et avoir le contrôle total sur des êtres vivants. Même si à Tekhos son pouvoir était déjà grand, ce n’était rien comparé à ça, ou à ce qui l’attendait. Miranda avait le pouvoir financier, qui lui permettait d’améliorer son image ou de tordre l’esprit des gens grâce aux médias. Mais … Ce n’était pas le vrai pouvoir.

Des gens endoctrinés par les médias n’étaient pas de vrais fidèles. Ils ne croyaient pas en Miranda, ils ne faisaient que fantasmer sur son corps ou sur la prochaine débauche qu’elle pourrait faire. Les gens n’aimaient pas cette femme pour ce qu’elle était, encore moins sans attendre quelque chose en retour. Tout n’était qu’intérêt et égoïsme, ici-bas sur Terra. Mais là-haut, dans l’espace à bord du Forge, Tanisha espérait ouvrir les yeux de Miranda et lui montrer ce qu’était réellement le pouvoir. Être au centre de tout un culte à sa personne, être l’objet du désir que d’adoration de centaines d’âmes, qui étaient prêtes à se sacrifier pour elle sans rien attendre en retour. Un amour aveugle et sans limite, complètement désintéressé – presque, car tous les membres attendaient au moins le jour où elles pourraient voir l’Elue en chair et en os.

Mais ce jour étant enfin arrivé, le désintérêt était donc de mise. Tout ceci pour dire que Miranda allait bien se faire dorloter en ces lieux, et cela commençait dès maintenant. Freya, Tanisha et Elise se proposèrent à elle pour faire une petite orgie, rien que pour son propre plaisir. Celle qui venait de se faire tringlée était encore pleine d’aplomb et mourrait d’envie de repartir à l’attaque. Les trois beautés parsemèrent le corps de leur Déité de multiples baisers, jusqu’à ce qu’elles se mirent en place. Tanisha posa ses mains sur les épaules de Miranda et la fit s’allonger sur le dos. Ensuite, Freya et Elise se mirent de part et d’autres, approchant doucement leur visage près de sa poitrine, avant que Tanisha, d’une démarche féline, glissa entre les cuisses de l’Elue, s’allongeant sur le ventre. En d’autres termes ; Freya et Elise allaient chacune s’occuper d’une de ses doucereux seins, tandis que la Gardienne lui apporterait de terribles attentions au niveau de son entrejambe.

« Hmmm Maitresse … » - « On va bien vous dorloter, votre Grandeur … » - « Personne ne pourra vous en offrir autant à Tekhos, Maitresse. » Dirent-elles à tour de rôle. Freya et Elise posèrent leurs douces lèvres sur ses seins, se mettant à tendrement les choyer, tandis que Tanisha elle embrassa de manière révérencieuse son pubis, donnant un coup de langue dessus, avant de dériver vers sa trique. La Gardienne se mit à le lécher très généreusement, le parcourant en entier, sur tout le long. Lentement, sa langue appuyait dessus, allant même jusqu'à ses généreuses bourses qu'elle lécha aussi, n'hésitant pas à les prendre entre ses lèvres, voire en bouche, pour plus de plaisir. Ce n’était que le début et pourtant, Miranda était déjà au centre d’une petite orgie avec trois dévotes bien excitées et passionnées … Tellement excitées que Freya et Elise continuèrent de gouter à ses doux seins, avant de remonter vers ses joues, qu’elles se mirent à embrasser et lécher de manière taquines, mais asynchrones. Tandis que l’une l’embrassait, l’autre partit mordiller son oreille, et ainsi de suite, tout en gardant une main sur ses seins pour les caresser, afin de réellement la couvrir de plaisir.

Le but des Forge n’était pas de fonder une entreprise, et d’être riche. Miranda savait que le véritable but des Forge, c’était l’élévation. Toujours plus haut, toujours plus loin. Aux yeux des Forge, aucun défi n’était insurmontable, car l’humanité était appelée à dominer le monde, et, au-delà de ça, à dominer toute forme de réalité. C’est ainsi que les Forge voyaient le mythe de la tour de Babel comme un message erroné. Le rôle des humains était de rejoindre le divin, de supplanter les Dieux. Ce que le Culte faisait était certes surprenant au demeurant, mais, en réalité, correspondait tout à fait au rêve des Forge : devenir des Déesses, dépasser le temps, transcender leur propre condition de mortalité, pour atteindre un statut surhumain. Ici, Miranda goûtait aux joies de ce plaisir dominateur, de cette domination totale. Elle se couchait sur le lit, voyant les trois femmes tournoyer sensuellement autour d’elle.

Freya, Elise, et Tanisha... Instinctivement, les trois avaient décidé de s’occuper ensemble de la PDG. Leur « Déesse » se laissa faire, et se retrouva couchée sur le lit, entourée par ces trois beautés. Freya et Elise se concentrèrent sur leurs seins, les léchant, les mordillant, les suçant avec amour, pendant que Miranda, en soupirant, écartait ses jambes, laissant ainsi à Tanisha un bel accès à sa verge. Elle s’était attendue à ce que Tanisha la pénètre, mais, au lieu de ça, la Gardienne préféra jouer avec son membre, frottant son visage contre ses bourses, léchant ses testicules, sa langue remontant ensuite sur son vit, glissant sur sa hampe, s’imprégnant de cette chair intime.

« Haaaaa... »

Que faire de plus ? Que demander d’autre ? Trois beautés s’affairaient à la dorloter. C’était un doux rêve éveillé. Vierge peu avant, Elise n’en était pas moins talentueuse, compensant par son désir son inexpérience. Elles jouaient avec ses seins. Les tétons de Miranda durcissaient, à hauteur du plaisir qui la transperçait, et ses soupirs et jurons résonnaient aux oreilles de ces femmes.

« Hmmmm... Mes salopes, haaaa... Ouiii, continuez, allez... Honorez le corps de votre Déesse, honorez-moi, vénérez-moi ! »

Elles remontèrent ensuite, embrassant ses joues, léchant et mordillant ses oreilles, puis, rapidement, l’embrassèrent goulûment. Miranda les laissait faire, et elles étaient bien conscientes de la chance qu’elles avaient, de l’honneur que Miranda leur faisait en leur offrant si généreusement un accès à son corps parfait. Elles n’hésitaient pas à caresser les dos de ses amantes, descendant jusqu’à leurs fesses.

« Ouiii, hmmm... En-Encore, haaaaa... »

Chaque fois que Freya ou Elise l’embrassaient, elles fourraient leur langue dans sa bouche, se livrant ainsi à de tendres baisers, offrant leurs corps. Les doigts de Miranda n’hésitaient ainsi pas à explorer leurs fondements, s’enfonçant dans leurs fesses, les faisant gémir et couiner silencieusement. Face à elle, les deux beautés ne pouvaient rien faire d’autre que subir et suivre le rythme intense que Miranda leur imposait.

« Encore, réitéra-t-elle. Hmmmm... Allez, occupez-vous de moi... Montrez-vous à la hauteur de... Hmmmm... Votre idolâtrie... »