Madelyne n’en avait pas fini avec Psylocke, bien au contraire. Son orgasme n’était que le début de plaisirs bien plus intenses, et les deux femmes avaient envie d’en continuer. La
Goblin Queen laissa la femme l’embrasser sur le ventre, l’ardeur et le désir d’Elizabeth renforçant l’excitation de Madelyne, et son envie, phénoménale, de la baiser puissamment. Oui, en ce moment, l’esprit de Madelyne ruisselait d’idées perverses sur toutes les manières de s’occuper du corps de cette femme, et, comme Psylocke, le nota, de son fessier. C’était une chose que Madelyne avait vu quand Betsy s’était battue, et encore plus après, quand elle s’était retrouvée dans cette combinaison : elle avait un
cul d’enfer.
Ainsi, Betsy, qui comprit ce que Madelyne voulait, après plusieurs baisers contre son ventre, se laissa tomber élégamment en arrière, se retournant dans sa chute pour se mettre à quatre pattes devant sa Reine, sous le regard de la danseuse aux cheveux rouges, qui avait également eu un orgasme. Madelyne sourit en voyant Psylocke se dandiner sous son nez, lui présentant ses fesses, bombant ce cul parfait. Silencieuse pour le moment, Madelyne l’observait. Elle sentait sa gorge s’assécher, son rythme cardiaque s’alourdir lentement, des signes que le désir de la femme était en train de croître irrémédiablement.
Finalement, Madelyne ferma les yeux pendant quelques secondes. Son pagne était revenu devant son intimité, et elle se concentra donc, en appelant à sa magie rose, et aux sortilèges qu’elle avait appris. Elle sentit alors son corps évoluer, frémir à hauteur de son bassin... Puis son pagne se redressa alors tandis que Madelyne poussa un léger cri.
«
Haaaa... !! »
Un phallus venait de pousser, se redressant en soulevant le pagne, puis Madelyne se releva alors, en soupirant longuement.
«
Hmmmm... Haaaaa... »
Les deux mains de la femme s’abattirent alors sur les fesses de Psylocke, les griffant, et elle crispa ses mains dessus, avant de soupirer encore, sa queue se redressant, l’extrémité venant caresser la croupe d’Elizabeth. Finalement, Madelyne sembla retrouver ses esprits, et conserva ses mains sur le postérieur de Psylocke, massant généreusement son cul.
«
Oui, ma chérie... Pardonne-moi pour ce moment, je n’ai pas l’habitude d’user de ce sortilège... Mais tu es une telle chienne, une telle pute en manque qu’il me faut recourir à des méthodes plus intenses que de simples doigts... Beaucoup plus intenses. »
Mais, pour l’heure, elle voulait explorer ce fessier. De plus, il fallait aussi préparer son cul, car Madelyne avait une trique impressionnante, preuve de tout son désir, ce désir insatiable et immense. Elle fléchit donc les genoux, et son visage se retrouva ainsi devant ce cul, ce doux et magnifique cul. Deux belles bosses bien rondes, tendres et moelleuses. De la main, elle ne tarda pas àtirer sur le morceau de sa combinaison qui protégeait sa croupe, et relâcha ensuite cette tenue, la faisant claquer contre les fesses de la femme.
Souriant de plaisir, Madelyne déposa alors un baiser sur chacune des deux fesses de la femme, et, pendant plusieurs minutes, entreprit de masser, de mordiller, de malaxer ce cul, tout en s’attaquant à sa croupe. Elle en profita donc pour écarter le morceau de la combinaison qui gênait, et, utilisant ses pouces pour écarter les fesses de la femme, fourra son visage contre sa croupe, son nez caressant sa fine croupe, puis sa langue partit à l’assaut, et ne tarda pas à se concentrer sur sa porte arrière, léchant et titillant cet anus. Encore une fois, il ne fallait pas oublier que, si Madelyne avait le sentiment d’être une grande sodomite, son corps, lui, n’avait jamais goûté à ce plaisir. La Reine Noire préférait donc préparer sa Psylocke d’amour, et entreprit donc de la lécher, tout en revenant régulièrement lécher et embrasser ce boule.
«
J’ai couché avec de nombreuses personnes, Betsy, toutes plus belles les unes que les autres, et même avec des top model... Mais aucune n’avait un cul similaire au tien, ma chérie. Tes fesses sont une véritable œuvre d’art, ma petite pute. »
Pour le coup, ce n’était pas de la flatterie, mais la pure réalité. Madelyne lécha donc l’anus de la femme, puis se redressa. Son fondement était bien trempé. Elle aurait pu y glisser ses doigts, mais... Elle voulait que cette première sodomie soit la plus authentique possible. Et, de plus, à force de lécher ce cul, la verge de Madelyne était devenue bien dure, assoiffée, impatiente. Impossible de patienter plus longtemps.
Madelyne se releva donc, et donna alors une belle gifle sur le cul d’Elizabeth.
«
Tu es prête, ma chérie ? J’ai une telle envie de te baiser, c’est fou... Je vais te faire hurler, ma chienne, te traiter comme la pute que tu es. Tu veux me sentir en toi, hein ? Dis-le, Elizabeth... Dis que la grosse pute que tu es veut sentir la trique de sa Maîtresse lui exploser le cul et la faire hurler comme une folle... Dis-le ! »
Le sexe de Madelyne tapait contre la croupe de la femme, et elle gifla à nouveau son derrière, un peu plus fort, une claque bien audible qui résonna dans toute la pièce. Le corps de Madelyne en était parcouru de spasmes nerveux.
La sodomiser... C’était tout ce qu’elle voulait faire.