Hana a encore craqué! [PV Myumi Ichtora]

Moui... Sur ce point, Myumi avait des doutes. Vu la répulsion d’Hana pour le sexe (et, surtout, sa peur), elle la voyait en réalité très bien traquer les pervers... Ainsi, même en sortant « innocemment » pour juste « s’entraîner », Hana avait quand même cassé quelques figures. Myu’ n’était pas dupe. Hana avait une telle peur du sexe que cette peur s’était muée en une sorte de dégoût du sexe... Mais elle ne rejetait pas le sexe parce qu’elle en était révulsée. Non, Myumi était sûre que c’était, en réalité, tout l’inverse. La psychologie humaine était en réalité quelque chose de compliquée, et de profondément fascinant, ponctuée de paradoxes, d’oppositions, et de contradictions. Mais elle, la belle senseï, elle n’était pas dupe, et, tandis qu’Hana se confiait, elle voyait les angles d’approche, elle voyait ses futures cartes.

Hana revint ensuite sur le fait qu’elle était seule chez elle, ne cessant de tendre, sans s’en rendre compte, des perches vers sa professeur. Elle semblait même en avoir oublié la teneur de leur conversation initiale, puisqu’elle s’excusa de se plaindre.

*Bon... Il est temps de lui mettre un petit coup de pression...*

Souriant encore, Myumi posa alors sa main sur celle d’Hana, et lui sourit :

« Il n’y a pas de problème, Hana, au contraire, même... Tu te souviens ? Je t’ai dit que je voyais mon rôle comme allant au-delà du simple enseignement scolaire. Nous vivons, hélas, dans une société où les parents sont défaillants. Je le regrtete, mais c’est un constat qui doit être dressé, et je ne suis pas hypocrite. Les parents ne sont plus là pour se charger de l’instruction qui leur incombe, et, plutôt que de les accuser, nos représentants, assurément pour des raisons &lectoralistes, préfèrent accuser le corps enseignant que les parents démissionnaires. Je pense que notre rôle a évolué, et qu’un professeur ne peut plus juste se contenter d’enseigner, simplement, sans s’impliquer. »

Elle en revenait à son idée de base, et, maintenant, Hana devait mieux le comprendre. Myumi, avant d’être une amante, se voyait surtout comme une sorte de confidente, recueillant les besoins et les désirs de ses élèves. Elle reprit donc, tout en maintenant la main d’Hana.

« La solitude te pèse, ma chérie, et c’est normal. Les adolescents ne sont pas faits pour rester seuls. »

Myumi déposa un baiser sur la main d’Hana, et reprit ensuite :

« J’admire tes talents en arts martiaux, Hana... Tu crois que tu pourrais être ma garde du corps ? Il ne faudrait pas que des inopportuns viennent me violer à la sortie des cours, après tout... »

Myu’ sortit cela avec un sourire espiègle et une lueur amusée, comme si cette idée, parfaitement saugrenu au demeurant, l’amusait plus qu’autre chose.

Ce qui était entièrement vrai.

Je sursautais quand la main d'Ichtora-Sensei vint de nouveau toucher la mienne. Mes joues redevinrent rouge, cependant je me sentais... un peu plus à l'aise. C'était comme si le fait d'avoir vidé mon sac un peu plus tôt m'avait libéré d'un poids et m'aider à mieux encaisser ma gène.

« Il n’y a pas de problème, Hana, au contraire, même... Tu te souviens ? Je t’ai dit que je voyais mon rôle comme allant au-delà du simple enseignement scolaire. Nous vivons, hélas, dans une société où les parents sont défaillants. Je le regrtete, mais c’est un constat qui doit être dressé, et je ne suis pas hypocrite. Les parents ne sont plus là pour se charger de l’instruction qui leur incombe, et, plutôt que de les accuser, nos représentants, assurément pour des raisons électoralistes, préfèrent accuser le corps enseignant que les parents démissionnaires. Je pense que notre rôle a évolué, et qu’un professeur ne peut plus juste se contenter d’enseigner, simplement, sans s’impliquer. »

Je me contentais de timidement hocher la tête, un peu inquiète tout de même. Elle n'avait pas tort, ma mère n'avait pas été présente pour moi ses dernières années, et mon père n'étant plus de ce monde... je n'avais personne pour me guider dans ce monde de fous.

« La solitude te pèse, ma chérie, et c’est normal. Les adolescents ne sont pas faits pour rester seuls. »


Les douces lèvres d'Ichtora-Sensei vinrent se poser sur ma main ce qui me fit frémir. Ce contact fut bref et en soit un baiser sur une main ce n'était pas grand chose, pourtant je me sentais toute chose!

*Oh...sensei...*

« J’admire tes talents en arts martiaux, Hana... Tu crois que tu pourrais être ma garde du corps ? Il ne faudrait pas que des inopportuns viennent me violer à la sortie des cours, après tout... »

Je n'arrivais pas trop à déterminer si elle était sérieuse ou si elle se moquait de moi mais quoi qu'il en soit, j'étais de plus en plus sous le charme de ma sensei, et de ce fait, ça m'aurais fait mal au cœur de la contrarier. Dans le doute je décidai donc de faire comme si elle était sérieuse quitte à passer pour une idiote. Et puis l'idée... réalisable ou non était séduisante... Ce n'était probablement qu'un fantasme irréalisable, mais suivre la splendide Ichtora-Sensei partout calmerais surement les regards de beaucoup de mes camarades mais surtout me permettrais de profiter un max de la vue moi même...

"Je... Bien sur! Je peux vous protéger Ichtora-Sensei! Je vous promet qu'aucun pervers ne tentera quoi que ce soit sur vous tant que je serais à vos côtés!"

J'avais répondu avec pas mal d'enthousiasme. Peut être que dans toute cette idée c'était le fait de ne plus jamais me retrouver seule qui me séduisait le plus.

"Et... et je pourrais même vous faire la cuisine! On dit de moi que je suis une bonne cuisinière... Et je fait du bon thé aussi!"

Je baissais la tête, un peu gênée. Je m'étais peut être un poil emballée et je ne savais pas comment elle allait réagir.

"P-pardon... je m'emporte...Je n'aurais pas du..."

Evidemment, tout ceci n'était qu'un rêve, ma solitude brisée. Mais ce n'étais qu'une utopie, ça n'arriverait jamais.

La faille était repérée, et l’hameçon était lancé. Une jeune fille, belle et timide, qui vivait seule, et qui pensait que personne ne s’intéressait à elle. Elle s’était réfugiée dans ses plaisirs profonds, les arts martiaux, probablement comme un défouloir contre sa famille et contre toute sa frustration. Myumi trouvait ça très amusant, et sourit donc quand Hana bondit sur l’idée, en proposant de la protéger contre tous les pervers possibles, et même d’être sa cuisinière.

*Diable, Hana, tu me tends tellement de perches que c’est tout l’arbre qui risque de me tomber dessus…*

Elle se proposait presque pour être sa servante… Non, le « presque » pouvait s’enlever. Était-ce une manière inconsciente de dire que, fondamentalement, au-delà de sa violence, elle était une soumise ? Myumi, dans une perspective très freudienne et très succube, pensait que le sexe expliquait et justifiait tout. Le sexe, c’était comme le tronc commun à tout, la colonne vertébrale de la vie, et les penchants sexuels permettaient d’identifier les tempéraments et les comportements. Peut-être bien qu’Hana se démenait de toute son âme pour ne dépendre de personne, pour n’avoir de rendre de comptes à personne, parce que, précisément, et en son for intérieur, elle avait envie de dépendre de quelqu’un ? De dépendre de quelqu’un de sûr, de fiable, quelqu’un qui ne la jugerait pas et l’accepterait pour ce qu’elle était ?

Myumi en sourit légèrement, et se redressa alors. Elle se recula de son fauteuil, puis fit le tour du bureau, et, sans rien dire, mais avec un sourire bienveillant sur ses lèvres, elle se posa sur une chaise à côté d’Hana, et lui sourit encore, avant de poser une main sur les hanches de la femme, les caressant. Des pieds, elle poussa sa chaise pour se rapprocher un peu plus d’Hana, amenant ainsi leurs jambes à se rapprocher.

« Hana…  Je te l’ai dit, tu peux tout te permettre ici, avec moi. »

Sa voix était douce, accueillante, avenante, et, alors qu’elle aurait pu en rester là, Myu’ prit un risque. Elle remonta sa main, et caressa la joue d’Hana, très tendrement, puis la posa sur son menton, maintenant ce dernier, et empêchant surtout la jeune lycéenne de baisser les yeux. Ainsi immobilisée, son regard ne pouvait pas fuir celui de sa senseï, et Myumi se pencha ensuite vers elle… Et alla déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Sa bouche se colla contre la sienne, et, pendant quelques secondes, elle l’embrassa joyeusement, tendrement.

« Hmmm… »

Le baiser fut aussi bref qu’inattendu, et Myumi le rompit ensuite, avec un sourire sur les lèvres, libérant ensuite le menton d’Hana.

« Je veux de toi dans ma vie, ma belle Hana… Et toi, maintenant que tu as goûté à ce que je peux t’offrir, est-ce que tu en as toujours envie ? Veux-tu d’un autre baiser ? »

Un autre hochement de tête suffirait…

Je rêvais les yeux ouverts si j'imaginais une seule seconde qu'Ichtora-Sensei était sérieuse. Il était évident pour moi que j'allais rentrer chez moi après cet heure de colle, dans cette grande maison froide et  vide, et mourir d'ennui comme toujours. C'est en tout cas ce que je me disais. Mais ma sensei se leva tranquillement de son fauteuil, s'approchant de moi avec un sourire au lèvre. Son sourire me semblait plutôt ... rassurant. Cependant son silence l'était moins. Elle s'asseya finalement sur la chaise voisine et ne tarda pas a poser une main sur mes hanches en me caressant. Je laissa échapper un petit gémissement digne d'une petite fille un peu surprise. Mais les caresses étaient agréables et même si j'étais rouge et que je ne savais trop comment réagir... j'en voulais plus... Elle se rapprocha alors, nos jambes se  frôlant l'une l'autre ce qui me fis frissonner de désir. Elle s'adressa à moi avec une voix toute douce.

« Hana…  Je te l’ai dit, tu peux tout te permettre ici, avec moi. »

C'était... rassurant, mais je ne savais pas quoi faire. La proximité d'Ichtora-sensei me donnait des envies inavouable, et le fait qu'elle ai parlé d'initiation sexuelle quelque temps plus tot devait y être pour quelque chose. Elle me caressa la joue avec tendresse, ce type de caresse, c'était quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis si longtemps... J'aimais ce contact, mais j'étais gênée et je détournais le regard. Cela sembla gêner ma Sensei qui plaça sa main sous mon menton ce qui m'incita à la regarder droit dans les yeux. Un regard hypnotique dans lequel je me perdais.

"I....-Ichtora-Sensei... je..."

Je n'eut pas le temps de terminer ma phrase car elle posa ses lèvres contre les miennes et étouffa un léger gémissement. Mon cœur battait à toutes vitesse, mais néanmoins, c'était moins violent que quelques temps avant, quand j'ai failli faire un malaise. En réalité... je me sentais merveilleusement bien et j'aurais voulu que ce contact, lèvres contre lèvres dure toujours. Malheureusement il fut de courte durée. Trop courte à mon gout, mais je sentais la pression diminuer un peu. C'était comme si le baiser de ma sensei avait brisé quelques barrières entre nous. J'en voulais encore plus.


« Je veux de toi dans ma vie, ma belle Hana… Et toi, maintenant que tu as goûté à ce que je peux t’offrir, est-ce que tu en as toujours envie ? Veux-tu d’un autre baiser ? »

Je hochais lentement la tête en laissant échappé un petit "Oui..." à peine audible. Cette fois ci j'osais, bien qu'assez nerveuse, approcher moi même mon visage de ma sensei, déposant mes lèvres sur celle de ma Sensei en posant timidement mes mains sur ses jambes, les caressant brièvement, n'étant pas trop sur de ce que je faisais et... me sentant un peu plus en confiance je relâchait mon étreinte un moment, un peu tremblante et rougissante, fuyant un peu son regard.

"I-Ichtora-Sensei... Je... Je n'ai jamais embrassé personne avant... Je ne sais pas bien m'y prendre..."

Je relevais alors les yeux vers ma prof, osant la regarder dans les yeux. Un regard qui trahissait de plus en plus mon désir pour elle.

"Apprenez moi...Sensei..."

Je cédais de plus en plus à ma prof... Ma si belle prof...

Lentement, mais sûrement, Hana avait basculé. Maintenant, elle était entre les mains de Myu’, prisonnière de son corps, prisonnière de ses désirs, prisonnière de la bonne volonté de sa senseï. Impossible de s’échapper, maintenant, Hana devait suivre, et se laisser aller. Entre elles, le courant passait, et, désormais, Myumi sentait que le désior balayait la grande nervosité d’Hana. Un désir motivé, outre par des pulsions sexuelles, par le constat qu’elle était effectivement tombée sur une personne envers qui elle pourrait se confier. Tout cela amena même Hana à faire fi de sa timidité naturelle pour se rapprocher de Myumi. La démarche était gauche, maladroite, on avait l’impression qu’Hana pesait 300 kilos, mais elle posa ses mains sur les genoux de Myu’, et cette dernière lui sourit, puis elles partagèrent, ensemble, un second et bref baiser, presque un frottement des lèvres. Un petit pas pour le sexe, mais un grand pas pour Hana Midorikawa. Myu’ pouvait presque entendre les battements surexcités de son cœur, tant cette dernière semblait nerveuse.

« Hmmm… Ton premier baiser, donc ? »

Myumi sourit alors, et amena Hana à se rapprocher d’elle, en posant ses mains sur ses hanches, et en appuyant dessus. Finalement, la jeune femme se retrouva assise sur ses cuisses, avec l’une des mains de Myu’ posées sur ses hanches. On pouvait la voir arborer un sourire assez insolent sur les lèvres, un sourire qui traduisait tout son amusement. Son nez était proche de celui d’Hana, et, tout en conservant sa main sur ses hanches, elle posa l’autre sur sa nuque, s’en servant comme appui pour se frotter à elle. Tout était doux, calme, pesé, et mesuré… Ne pas faire paniquer Hana en agissant précipitamment, voilà ce que la senseï suivait comme méthode. Une méthode qui, pour l’heure, s’avérait être plutôt efficace.

Prenant donc tout son temps, la senseï rapprocha ses lèvres d’Hana, après ce tendre baiser d’esquimeau.

« Mais nous ne nous sommes pas encore embrassées, Hana… Ce n’était qu’un simple frottement de lèvres. Un baiser, vois-tu, un vrai baiser, ça requiert qu’on y glisse la langue. Laisse-moi être ta première fois, ma chérie… Rassure-toi, je t’apprendrais tout ce qu’il y a à savoir. »

Là-dessus, il n’y avait aucun problème à se faire. Myu’, en tout cas, rapprocha ses lèvres de celles d’Hana, et opta pour un nouveau baiser, plus lourd, plus appuyé, un baiser pendant lequel elle mordilla l’une des lèvres de la femme, tirant dessus. Myumi prenait tout son temps, savourant ce moment, le corps d’Hana contre le sien. Elle se collait contre elle, maintenant ses mains contre Hana, et ne rompit pas le baiser, après l’avoir mordillé.

Au lieu de ça, elle s’évertua à soulever sa lèvre supérieure, car elle avait mordu la lèvre inférieure, la coinçant dans sa bouche, et, par ce biais, elle dessina un trou dans la bouche d’Hana, trou par lequel Myumi put glisser sa langue, l’enfonçant ainsi dans la bouche d’Hana.

« Hmmm… ! »

Avec plaisir et délectation, Myumi se régalait de ce contact, tendre et raffiné. Hana avait un corps agréable, une bouche magnifique, et l’embrasser ainsi s’avérait être particulièrement jouissif. Myu’ prolongea volontiers le baiser pendant un certain temps, en remuant lentement sur le fauteuil, caressant le dos de la femme, grattant même ce dernier.

Elle le prolongeait, en espérant qu’Hana l’aimerait… Mais, à ce stade-là, le doute n’était plus vraiment permis.

J'étais prise entre les griffes, les douces griffes de ma prof de math. Ma grande nervosité vis à vis du sexe s'envolait petit à petit tant le désir était grandissant.


« Hmmm… Ton premier baiser, donc ? »


Je hochait la tête pour lui faire comprendre que oui. Bon il y avait ce type qui m'avait embrassé par surprise aussi, mais ça compte pas, je préfère l'oublier celui la. Les couilles du mecs ou du moins ce qu'il en reste doivent s'en rappeler par contre... Alors que je repensais vaguement à ce souvenir, Ichtora-Sensei se rapprocha de moi, et s'installa sur mes cuisses. Elle y allait avec une douceur, lentement, gentiment... Cela me faisait frémir de bonheur.

« Mais nous ne nous sommes pas encore embrassées, Hana… Ce n’était qu’un simple frottement de lèvres. Un baiser, vois-tu, un vrai baiser, ça requiert qu’on y glisse la langue. Laisse-moi être ta première fois, ma chérie… Rassure-toi, je t’apprendrais tout ce qu’il y a à savoir. »


"Je... d'accord... je vous fait confiance Sensei..."

Je savait bien sur que les vrai baisers impliquait que la langue rentre dans la bouche de son/sa partenaire. J'avais vu quelques pornos, ou hentai ou c'était explicitement montré. Ma jolie prof me mordillait gentiment les lèvres. Je pouvais sentir nos poitrines respective se toucher ce qui me fit frémir au point de me laisser échapper un petit gémissement. Puis ce fut le moment ou la douce langue de ma sensei rentra dans ma bouche. Cette langue explora ma bouche dans tout les sens, caressant la mienne. Je me permis de caresser les cheveux de ma belle prof' pendant le baiser. Je tremblais un peu mais c'était du désir plus que de la nervosité désormais. Le baiser se prolongeant, je m'habituais petit à petit à ce contact langue contre langue et prenait un peu confiance, essayant de suivre le rythme de la langue de ma partenaire. Je me serrai de plus en plus contre elle, ce qui trahissait mon désir de vouloir sentir son corps sur le mien. Après un certain temps, le baiser se rompit. Le corps d'Hana devenait brûlant de désir.

"C'est... Très agréable Ichtora-Sensei... Je ne pensais pas que ça serait si... agréable..."

Mais je n'étais pas dupe. Les choses n'allait pas en rester là, et a ce stade, je n'avais pas du tout envie que ça s'arrête à un simple baiser de toutes façon. C'était peut être ma première fois, mais je ne voulais pas paraître non plus totalement empotée. J'avais lu beaucoup de choses sur le sexe, et je savais, d'un point de vue théorique, ce qui pouvait augmenter le désir de son ou sa partenaire. J'avançais donc lentement mes lèvres vers le cou de ma prof et commença à l'embrasser, car apparemment, c'était un moyen efficace d'attiser le désir d'une personne. Je lui fit donc plusieurs bisous et me permit également de la léchouiller un peu. Au bout d'un moment je reculais, pour me remettre face à Ichtora-Sensei, avec un regard signifiant que je recherchais son approbation.

Après ce tendre baiser, ce succulent French Kiss, Myumi était clairement en position de force. Posée sur le corps d’Hana, elle la dominait totalement, et, en se redressant, ses seins pouvaient se trouver à hauteur du visage de la jeune femme. Séduire Hana avait été un peu compliqué, Myumi le reconnaissait, mais, suite à ce baiser, toutes les résistances de la jeune femme avaient pu s’effondrer. Myumi, toutefois, se demandait encore si elle devait pousser sa chance, ou congédier Hana, et la revoir ultérieurement, afin de lui laisser le temps de mûrir, de caresser ses propres lèvres en songeant, dans les jours qui suivent, à la douceur de la bouche de Myumi.

Myu’ hésitait donc, et ce fut Hana qui alla la convaincre. La jeune femme, après ce tendre baiser, alla l’embrasser dans le creux du cou, déposant toute une série de baisers. Myu’ la laissa faire, écartant même sa tête pour faciliter l’accès des lèvres d’Hana vers son cou.

« Hmmm… ! »

Elle se mordilla les lèvres, et sentit Hana, outré les baisers, lécher sa peau. En conséquence, un sourire se dessina sur les lèvres de Myu’, puis elle vit ensuite Hana se reculer. Avec ses joues rouges, Hana était très belle, d’autant plus que quelque chose semblait être en train de se briser en elle. Myumi le voyait dans ses yeux, dans la manière dont son corps semblait frémir, et dont ses lèvres semblaient proches de revenir l’embrasser.

« Ma belle Hana, tu as vraiment envie de te servir de tes lèvres, n’est-ce pas ? »

Sa question n’appelait pas vraiment à une réponse, tant celle-ci semblait évidente. Myumi ouvrit ensuite son costume, le retirant. Sous ce dernier, elle avait un haut blanc avec quelques motifs rouges, et, en souriant, elle le retira également, finissant avec un soutien-gorge rouge à dentelle. Elle regarda ensuite Hana, et posa sa main sur ses cheveux, l’incitant ainsi à se rapprocher de ses seins.

« Viens, ma chérie… Viens téter les seins de ta Maîtresse… »

« Ma belle Hana, tu as vraiment envie de te servir de tes lèvres, n’est-ce pas ? »

J'étais sur le point de me jeter à nouveau sur les lèvres d'Ichtora-Sensei quand elle me dit ça. Je freinais alors mon élan en hochant la tête. J'avais envie de goûter à son corps, chaque parcelle de son corps. C'est quelque chose que je n'avais jamais ressenti avant, ce désir d'avoir quelqu'un contre soit, de s'occuper d'elle, et qu'elle s'occupe de nous. Ma première fois allait se faire avec une fille mais je m'en fichais. Vu les pornos et les hentais que je regardais, je savais depuis un moment qu'il n'y avait pas que les hommes qui m'attiraient. Ma prof ouvrit son costume et laissa tomber celui ci, puis retira également le haut qu'elle portait en dessous.

Finalement elle était en soutiens-gorge devant moi. Ses seins étaient vraiment... énormes...Les miens étaient ridicules en comparaison... Et j'en salivais d'avance, et à la façon dont j'étais hypnotisée par la poitrine, il était évident que je ne le cachais pas très bien. Je n'eus pas besoin de supplier puisque la prof passa sa main dans mes cheveux afin de rapprocher ma tête de ses seins.

« Viens, ma chérie… Viens téter les seins de ta Maîtresse… »

"Oui..." dis-je, un peu rêveuse.

Ma bouche entra finalement en contact avec son sein droit tandis que mes mains caressaient maladroitement le dos de ma sensei. Au début je l'embrassais timidement, par dessus le bout de tissus rouge à dentelle. Puis finalement je pris le téton à pleine bouche. Je pouvais le sentir au travers du soutif. J'agitais ma langue dans tout les sens au travers de celui ci, espérant bien m'y prendre. Puis pour ne pas laisser l'autre seins jaloux, je lui offrit le même traitement. Mais lécher un simple bout de tissus finis par me frustrer et je me permis de laisser glisser mes mains jusqu'à l'agrafe du soutien gorge afin d’ôter celui ci. Je reculais ma tête afin de laisser glisser le morceau de tissus perturbateur et aussi et surtout avoir une vue d'ensemble de la magnifique poitrine que j'allais dévorer.

"Ils... ils sont vraiment beau..."

Je réavançait ma tête jusqu'aux seins de ma prof. Devenant de plus en plus entreprenante et prenant un peu confiance, je pelotais désormais un seins tandis que je léchais l'autre. Je tétais, mordillais, suçais, léchais avec tendresse la si jolie poitrine d'Ichtora-Sensei en poussant de tout petit gemissements. Mon corps était déjà en sueur en je sentais que mon entrejambe s'était humidifié... Énormément humidifié...

Myumi et Hana passaient lentement aux choses vraiment sérieuses. Après les baisers et les caresses, on pouvait dire que Myu’ avait clairement franchi le point de non-retour, en se déshabillant. Elle exhibait désormais ses mamelons à Hana, et le regard de la jeune femme sembla se figer sur eux, ce qui ne manqua pas de faire sourire Myumi. Oui, cette fois, Hana était convaincue, et, très naturellement, sa bouche fila vers ses seins.

« Hmmm... Haaa, ma petite chérie... »

Lentement, Hana découvrait les volumineux seins de Myumi. La professeur avait effectivement une poitrine impressionnante, l’avantage d’avoir des gènes démoniaques dans le corps. Ses gros seins étaient souvent comme des aimants visuels, attirant les regards de tous les hommes (et de bien des femmes) la regardant. Elle sentit Hana s’attaquer à son sein à travers son soutien-gorge, avant de se déplacer vers l’autre, et ces douces tentations hérissèrent les pointes de ses seins, faisant frémir la jeune femme. La senseï soupira légèrement, en sentant Hana, peu à peu, prendre de l’assurance. Timide, la jeune femme n’en était pas moins maîtresse d’elle-même, elle manquait juste d’expérience en matière de sexe, et couplait cette inexpérience avec une peur fondamentale du sexe.

Myumi était lentement en train de la guider, et son emprise sur elle était désormais avérée, au fur et à mesure qu’Hana léchait et mordillait ses seins. Peu à peu, la femme prenait de l’initiative, confirmant qu’elle n’était pas aussi soumise que ce qu’on pouvait penser, et qu’il y avait en elle un fond d’action et de vitalité. Elle sentit ainsi les mains d’Hana dégrafer son soutien-gorge, avant de s’attaquer à nouveau à ses seins. D’une main, Myumi caressait les cheveux de la femme, crispant ses doigts sur sa crinière blonde.

« Haaa... ! Ha.... Hana, hmmm... Petite cochonne, tu les aimes, hein, mes seins ? »

Elle mordillait ses tétons, déplaçant sa main pour s’occuper de son autre sein, veillant ainsi à satisfaire l’intégralité du corps de la femme.

« Moi aussi, j’aime quand tu m’embrasses, Hana... Toi et moi, nous allons faire des choses fabuleuses ensemble. »

Les tétons de Myumi étaient en train de se durcir joyeusement, et on pouvait l’entendre soupirer de plaisir, crispant ses doigts sur ses cheveux.

« Hmmm... »

« Haaa... ! Ha.... Hana, hmmm... Petite cochonne, tu les aimes, hein, mes seins ? »

Quand la sensei me lança cette réplique, je ne répondit pas. La façon dont je m'occupais de ses seins par la suite fut en quelques sorte ma réponse. Les seins d'Ichtora-sensei étaient fabuleux et m'en occuper de la sorte me donnait de plus en plus d'envies.

*Ses tétons sont devenus vraiment durs...*

Mon corps commençait a gigoter sous le poids de ma prof et j'avais très envie de me caresser... et j'étais assez frustrée de ne pas pouvoir le faire. Je continuait de gouter à la douce poitrine de ma sensei pendant plusieurs minutes. Mon entrejambe était désormais brûlante de désir. Finalement je revint sur les lèvres de ma sensei pour l'embrasser. On ne peut pas dire que j'avais réellement confiance en moi mais je commençais à oser des trucs. J'étais peut être un peu maladroite mais j'essayais de faire de mon mieux avec ce que je venais d'apprendre pour donner un bon baiser à Ichtora-Sensei. Pendant le baiser, je pouvais sentir ses seins nus se frotter contre les miens.

* Sa bouche.... sa langue... son corps... C'est tellement bon... C'est ça qui me faisait paniquer tout à l'heure? C'est pas si terrible que ça...*

"Hm...Sensei...je..."

Je...ne pouvais pas finir ma phrase. Parfois des gestes valent mieux que des paroles et bien que rouge, tant d'excitation que de gène, je me permis d'attraper la main de la prof pour la poser sur mon sein gauche et lui fit faire quelques petit mouvements dessus.

"C'est...Mon tour non?" Lui dis-je timidement.

Je ne sais pas si j'allais trop loin... Mais j'avais envie, vraiment envie qu'on s'occupe de mon corps...

Hana était en train de succomber, encore et encore, cédant progressivement le pas à toutes ses pulsions. Elle suçait les seins de sa Maîtresse, qui, en conséquence, gonflaient légèrement, les tétons se durcissant sous les assauts buccaux d’Hana. Pour une inexpérimentée, la belle blonde se débrouillait bien. Une fois qu’on avait goûté au fruit défendu, on voulait dévorer toute la récolte. Myumi souriait donc, empoignant les doux cheveux de la femme, jusqu’à ce qu’elle ne finisse par l’embrasser sur les lèvres. Tout le corps d’Hana semblait en souffrance. Sa frustration, latente, était en train de se réveiller, d’exploser en elle, à tel point qu’elle alla jusqu’à prendre l’une des mains de Myu’, pour la poser sur son sein, qui semblait, lui aussi, bien assoiffé.

Myumi sourit donc, maîtresse de la situation, et, tout en conservant sa main sur le sein d’Hana, déplaça son autre main pour caresser les lèvres de la femme, les tapotant doucement.

« Ton tour… Vraiment ? Ça, ma chère, je crois que c’est uniquement à moi d’en décider. »

Joueuse, Myumi retira alors sa main du sein de la femme, et l’embrassa sur les lèvres, brièvement, avant de la libérer enfin. Elle reposa ses pieds sur le sol, puis, sous les yeux de la femme, acheva totalement de se déshabiller. Finissant ainsi toute nue devant elle, elle lui jeta sa culotte, une belle culotte rouge à dentelle, qui se posa sur le corps d’Hana, puis Myumi contourna son bureau, exposant, sans gêne aucune, la vue de ses fesses, de ses longues jambes fuselées, au regard mielleux de la femme.

Pensait-elle donc que Myu’ la satisferait aussi facilement ? Maintenant que la femme avait afféré sa proie, elle voulait délier son fil. Elle s’assit ainsi sur son fauteuil en cuir, et sourit à Hana, ne cherchant nullement à dissimuler ses seins.

« Je veux que tu me le demandes, Hana… Je veux l’entendre de ta bouche. Je veux que tu te lèves, et que tu dises : ‘‘Maîtresse, je souhaite vous que me fassiez l’amour’’. »

C’était une formule sacrée, et, dans ce genre de choses, les mots avaient leur importance. Et encore, Myu’ estimait avoir choisi une phrase extrêmement soft, ne comprenant aucun juron, aucune insulte ni provocation. Autant l’admettre, elle aurait pu faire bien mieux.

« Pour le reste, je te laisse décider si je te déshabille ou si tu te déshabilles, mais… Dans tous les cas, ma chérie, tu vas finir toute nue d’ici quelques minutes… Sauf si tu décides de partir, ou que tu refuses de prononcer les mots sacrés… »

Ce qui, en réalité, reviendrait au même.

Ichtora-sensei ne me donna pas ce que je voulais... pas encore en tout cas.

«  Ton tour… Vraiment ? Ça, ma chère, je crois que c’est uniquement à moi d’en décider. »

Mon dieu, que cette phrase était frustrante...Elle jouait avec mon désir depuis le début si bien qu'elle l'avait fait monter bien plus que jamais. Et là, elle voulait me faire encore patienter un peu? Elle se déshabilla devant moi entièrement et jeta sa jolie culotte sur moi. En voyant le corps nu de ma sensei, je n'avais qu'une envie, lui sauter dessus, et c'est bien une chose que je n'aurais jamais envisager juste avant...  Mais malgré tout ce désir, j'arrivais encore à tenir bon... Il ne fallait pas qu'elle prenne ça pour une agression...

« Je veux que tu me le demandes, Hana… Je veux l’entendre de ta bouche. Je veux que tu te lèves, et que tu dises : ‘‘Maîtresse, je souhaite vous que me fassiez l’amour’’. »

Je me levais donc, les jambes un peu tremblotantes. Je ne savais pas si j'allais arriver à dire une chose pareille mais le désir était si fort... il fallait que j'y arrive...

« Pour le reste, je te laisse décider si je te déshabille ou si tu te déshabilles, mais… Dans tous les cas, ma chérie, tu vas finir toute nue d’ici quelques minutes… Sauf si tu décides de partir, ou que tu refuses de prononcer les mots sacrés… »

J'était rouge, mes jambes tremblaient, mon entrejambe était trempée. Baissant la tête en me mordillant la lèvre inférieure, j'allais essayer.

"M-mai... maitr...mai..."

Ça n'allait pas du tout...

*Courage Hana... c'est qu'une petite phrase, ce ne sont que des mots... tu peut le faire... tu dois le faire! Détends toi...*

Je pris une longue inspiration avant d’expirer par la bouche. Je répétai ce processus plusieurs fois. C'était une technique que j'avais en cas de stress extrême, et généralement ça marchait plutôt bien. Ou peut être que ça avait un effet placebo sur moi, difficile à dire. Quoi qu'il en soit aujourd'hui ce fut particulièrement efficace. Soudainement après avoir répété ce processus plusieurs fois, et avec les yeux remplis de détermination je regardai ma prof droit dans les yeux.

"Maîtresse, je souhaite vous que me fassiez l’amour!"

C'était dit. C'était pas... si terrible que ça finalement... d'ailleurs le fait d'avoir réussi à dire cette phrase... je me sentais comme libérée d'un poids énorme sur ma poitrine. Ma respiration était forte et je n'attendais qu'une chose... que ma sensei s'occupe de moi...

"Dé...déshabillez moi s'il vous plait...Maîtresse..."

Hana essayais de jouer le jeu. Sa sensei voulait se faire appeler maîtresse, et bien soit. Cela donnerais du piquant à la situation et puis ce n'est pas comme si j'étais vraiment capable de prendre les devants dans une relation sexuelle. Quand à me faire déshabiller, ce serait clairement plus excitant que de me déshabiller toute seule...

L’ultime condition de Myumi était la condition charnière, centrale, celle où Myu’ allait voir si elle avait placé la barre trop haut ou non. Mais, honnêtement, elle ne le pensait pas. Hana était maintenant prisonnière dans le creux de la paume de sa main, car son désir parlait pour elle. Myu’ avait attisé le feu qui bouillonnait en elle, et avait réveillé sa frustration, qui avait éclaté, comme les eaux trop longtemps retenues d’un barrage qui finissaient, à force de s’entasser, par tout briser. Hana était soumise face à des sensations qu’elle avait trop souvent refoulées, et, maintenant qu’elle était placée face à l’inévitable, il lui était impossible de faire marche arrière. Elle était donc prisonnière. Ainsi, qu’elle appelle Myu’ « Maîtresse » n’était qu’un juste et légitime retour des choses.

Hana hésita donc, et Myu’ lui laissa tout le temps d’agir. Elle avait posé ses pieds sur son bureau, offrant ainsi à Hana la vue de ses longues et magnifiques jambes, jambes que, tôt ou tard, son esclave lècherait. Oh, Myu’ avait de quoi être fière ! Elle avait dompté une vraie tigresse, une jeune femme qui avait sûrement envoyé son lot de types à l’hôpital. Et, maintenant, cette boule de fureur était entre ses mains, prête à tout pour lui obéir, et pour que Myumi la soulage de sa tension.

Alors, au bout d’un moment qui avait probablement dû sembler sans fin pour la jeune lycéenne, et alors que Myu’ se tripotait les lèvres, Hana finit par la regarder, et lâcha alors qu’elle voulait que sa Maîtresse lui fasse l’amour. Un sourire ravi éclaira alors les lèvres de Myu’, puis Hana demanda ensuite que sa Maîtresse la déshabille.

« Très bien, Hana... Je vais te faire l’amour, alors, ma chérie. »

La séduisante senseï se redressa alors, s’extirpant de son fauteuil, et contourna son bureau. Sa main vint caresser la joue d’Hana, glissant jusqu’à son menton, et elle lui sourit ensuite.

« Allez, passons aux choses sérieuses ! »

Myumi se glissa dans le dos de la femme, et la poussa vers son bureau.

« Allonge-toi dessus... »

De la main, Myu’ écarta un pot rempli de stylos, d’une gomme, d’une règle... Tout ces trucs tombèrent sur le sol, ainsi que plusieurs feuilles volantes, et elle laissa Hana se coucher, sa tête atterrissant sur une pile de devoirs. Myumi l’observa en souriant, puis se pencha ensuite vers elle, et commença par dénouer les boutons de sa veste marron, puis écarta les pans de sa veste l’une de l’autre. Elle vit ainsi la chemise blanche d’Hana, et sourit lentement, en voyant, ici et là, quelques auréoles trahissant sa sueur.

« Ma pauvre, tu as l’air de bouillonner sur place... »

La narguant, elle défit ensuite la cravate de la femme, puis défit, lentement, les boutons de sa chemise, jusqu’à pouvoir les écarter. Myu’ était alors à califourchon sur la femme, mais, avant de lui ôter définitivement sa chemise, elle glissa ses mains dessous, et frotta sa peau en les faisant remonter jusqu’à atteindre les seins de la femme, qu’elle empoigna, tout en tirant sur le soutien-gorge, le retirant. Elle le jeta au loin, et se pencha ensuite un peu plus vers le corps d’Hana, une main sur chacun de ses seins, pinçant ses tétons.

« Tu aimes ça, ma petite esclave ? » demanda-t-elle finalement en lui léchant le cou.

Je ne savais pas trop si j'avais bien fait... Au lieu de rentrer dans son jeu j'aurais très bien pu partir en courant, et aller me soulager toute seule au toilette... mais le désir avait eu raison de moi et là il était trop tard pour faire marche arrière. Et j'en avais pas envie de toutes façon... M'enfuir ça aurait été me mentir à moi même. Ichtora-Sensei semblait ravie et elle s'approcha de moi en souriant...

« Très bien, Hana... Je vais te faire l’amour, alors, ma chérie. »

Elle me caressa la joue. Je fermais les yeux en rougissant. Une caresse agréable... Rassurante... Elle me poussa ensuite sur le bureau en me demandant de m'allonger dessus. C'est ce que je fit, timidement. J'allais bientôt être totalement à sa merci... Mais elle allait bientot me faire l'amour et me libérer de cette frustration qui me torturais... Qui me rongeait tellement que j'étais en sueur. Mes jambes se frottaient l'une contre l'autre machinalement... ça chauffait au niveau de mon entrejambes comme ça n'avait jamais chauffer! Ma Sensei me déshabilla petit à petit et à mi chemin fit une remarque sur le fait que j'avais l'air de bouillonner sur place.

"C'est vous... vous me donnez tellement envie..."

Elle termina finalement d'enlever tout les vêtements encombrants que je portait sur le haut de mon corps. J'étais sein nu face a ma prof de math, si j'avais su qu'un jour ça arriverait... Elle ne tarda pas à me pincer les tétons ce qui me fit pousser un petit cris de surprise.

« Tu aimes ça, ma petite esclave ? »

Elle me léchait le cou en me posant cette question. Je frissonnait de désir, je voulais que cette langue léche l'intégralité de mon corps... et plus précisément mes seins et... mon entrejambe...Je souhaitais qu'elle me face jouir...Connaitre le vrai plaisir... ça s'annonçait bien mieux que mes plaisirs solitaires en tout cas!

"Oh... Oui... j'en veux plus Maîtresse... donnez moi beaucoup de plaisir s'il vous plait..."

Je respirait très fort, et je commençait même à pousser de petits gémissements.

Il n’y avait pas d’inquiétude à avoir, le bureau de Myumi était très résistant, et avait déjà connu un grand-nombre d’élèves venant se coucher dessus pour se faire prendre tendrement par leur professeur... Ou brutalement. Pour l’heure, Myu’ dominait le délicieux corps d’Hana, la déshabillant progressivement, et cette dernière était en train de s’abandonner tout contre elle, incapable de la repousser. Myumi mordillait donc son cou, léchant son épaule, et entendit ensuite, d’une voix faible, trahissant tout son désir, Hana la supplier de continuer à la lécher, de lui prodiguer « beaucoup de plaisir ». Myumi se contenta d’un sourire amusé, révélant ses dents, et embrassa Hana sur la bouche.

« Hmmm... »

Elle pressa un peu plus son corps contre celui de la femme, envoyant voler, du pied, un classeur, qui tomba lourdement sur le sol. Rompant ensuite le baiser, Myumi se laissa glisser, et alla lécher l’un des seins de la belle Hana, mordillant rapidement le téton, avant de relever sa tête, entraînant avec ses lèvres le téton, sur quelques légers centimètres, avant de le relâcher, et de s’attaquer à l’autre sein. Parfois, elle donnait des coups de langue et des baisers dans ce doux espace creux se situant entre les seins de la femme, et, de manière générale, s’attardait davantage à lécher qu’à embrasser.

La belle langue d’amour de la professeur glissait ainsi sur la poitrine de sa belle Hana, cette magnifique blonde qui se tortillait contre elle. Myumi entendait Hana soupirer et gémir, signe que sa Maîtresse était assurément en train de lui faire du bien. Hum, oui, Hana avait de très jolis seins, qui grossirent rapidement sous l’effet du plaisir, et qui ne faisaient que trahir le bonheur immédiat qu’elle ressentait. Il était dommage qu’elle s’habille comme un sac, Myumi l’imaginait très bien en tenue moulante. Il existait pourtant des uniformes scolaires à Mishima qui étaient relativement courts et moulants, mais Hana optait pour les plus sobres, les plus neutres...

*On verra si je la fais changer d’avis. J’aime l’idée qu’elle soit en apparence une petite sainte, et, en privé, avec moi, une grosse perverse...*

C’était très certainement ce qui allait se passer. Changer le comportement d’une personne n’était pas si aisé que ça, même en lui faisant vivre une expérience aussi extraordinaire que celle de coucher avec sa Maîtresse. Myumi continuait donc à lécher ses seins, mordillant et embrassant les tétons, tout en aventurant l’une de ses mains le long des hanches de la femme. Elle se décala ensuite sur le côté, et glissa sa main sous sa mini-jupe d’écolière pour frotter sa culotte.

« Tu veux que je descende plus bas, Hana... ? Que ma langue s’aventure en toi ? »

À ce stade, la question pouvait presque paraître rhétorique, tant Hana semblait être en transe !