Entre la sodomie et la fessée, Helena était aux anges. Un ultime orgasme l'envoya au tapis, et Ishtar la laissa se reposer un peu. L'humaine était couverte de fluides, aussi bien de transpiration que de sperme, et son corps était grandement affaibli. Cependant, quand la dragonne lui attrapa les fesses, elle sentit ses forces lui revenir, comme mues par l’irrépressible besoin primaire du sexe. Sa maîtresse la fit renfiler ses vêtements salis par ses éjaculations répétées, puis la prit dans un de ses baisers dont elle a le secret. L'héroïne se laissa porter par son amante, qui lui imposait le rythme et lui pelotait les seins, ce qui lui procurait autant de plaisir qu'une pénétration vaginale de Karen. Très vite, le baiser devint baveux, ce qui ne faisait que rendre les choses plus excitantes. Helena sentait son esprit partir à la dérive, ne laissant qu'un corps en proie aux âpres de la tentation, livré pieds et poings liés à Ishtar. Elle aurait pu s'évanouir dans ses bras si l'activité physique ne la gardait pas éveillée. Puis, d'un seul coup, elle se fit déplacer pour finir contre un mur, les jambes écartées, sentant le sexe de la dragonne passer entre ses jambes et ses mains attraper sa poitrine. Même s'il n'y avait pas de contact peau contre peau, le plaisir était semblable. Les piercings rendaient l'humaine plus sensible aux caresses, et elle crut bien défaillir devant tant d'excitation.
"Hmmm... Tu sens le plaisir ?... Hmmm... Moi je sens que je vais jouir comme ça... Le pantalon frotte bien contre ta petite fente décorée d'un anneau ?... Laisse-toi aller, pense à tes jolis seins, ta petite chatte... Hmprf... Ou alors à Theorem qui se fait fourrer en ce moment même par quelques marins bien galbés... Haaa... Hmmm !!!"[/color]
Helena suivit les paroles d'Ishtar à la lettre, et visualisa dans son esprit son corps nu, avec les piercings qui frottaient contre ses tétons et son clitoris, imaginant que le corps d'Ishtar, aussi nu que le sien, se frottait contre elle dans la même position. Pas besoin de la pénétrer pour la faire jouir, il fallait juste savoir comment la toucher. Puis ses pensées allèrent vers Theorem. Elle l'imagina, dans sa nouvelle tenue, pris en sandwich entre deux marins musclés qui enfonçaient leurs queues dans son corps d'éphèbe. Bon sang, ce qu'elle aurait aimé être l'un de ces marins, avec un vrai pénis pour sodomiser les belles fesses du rouquin... Toutes ces idées coquines la firent jouir encore plus vite, mais cela ne la fatigua pas pour autant. Au contraire, elle en voulait encore. Elle voulait continuer à se salir, à se faire baiser comme une pute, à être poussée et rabaissée jusqu'à ce qu'elle ne soit vraiment plus capable, physiquement ou mentalement, de continuer. Et s'il y avait bien une personne capable de faire ça, c'était sa maîtresse dragonne.