Deux Terranides peuvent-elles s'entendre? (Pv:Ahri)

Dans les rues d’Ashnard se balade une innocente fleur. Elle ne connaît rien à la vie et pourtant brave l’interdit de ses parents afin d’en découvrir plus. Elle cherche désespérément une solution à son problème. Il se trouve qu’elle a entendu une rumeur. Les rumeurs sont généralement source d’ennuis. En effet que pouvait-il donc arrivée à une jeune fille seule dans une ville au beau milieu de la nuit ?

Les paroles qui avaient été prononcées par les serviteurs de sa famille parlaient d’une Terranide. Juliette savait ce qu’était une Terranide et ne savait pas si elle devait continuer à écouter ou passer à autre chose. Mais, un détail l’interpella. Cette Terranide avait des traits humains mais en plus elle avait aussi des traits animaux. Elle se demanda si cette Terranide n’avait pas réussit à contrer partiellement la malédiction. Elle demanda l’adresse de la Terranide à son serviteur. Le serviteur n’eut aucun intérêt de refuser sa demande. Mademoiselle Juliette avait toujours posé de drôles de questions.

C’est ainsi qu’elle se retrouva de nuit en plein Ashnard. Elle était arrivée à l’adresse indiquée. C’était surement cette bâtisse de roturier juste-là. Juliette toqua à la porte c’était bien une première pour elle. Elle attendit que la porte s’ouvre et regarda la mystérieuse Terranide. Elle avait effectivement des traits humains mais elle semblait aussi à la fois animale. 

-Excusez-moi de vous déranger à une heure aussi tardive mais j’aurais quelques questions sur les Terranides. J’aimerais savoir s’il  y a une possibilité de redevenir semi-humaine comme vous. Je n’en peux plus de cette apparence hideuse !

Juliette sous son capuchon, regardait Ahri droit dans les yeux. Elle espérait que cette Terranide lui apporterait son aide. En fait, elle exigeait son aide. Mais, il était possible qu’elle n’ait pas envie de la lui apporter. Elle serait alors dans un grand désarroi.

Qu'importe, son visage exprimait une émotion placide. Elle n'allait pas se laisser démonter pour autant. Elle était gênée qu'une autre la voit dans cette apparence mais bon elle appartenait elle aussi à cette noble famille qu'était la race des Terranides. Et, bien que cela la dégoûte, elle devait faire avec. Elle constata que les pupilles de la femme  ressemblaient à des yeux de serpent et qu'elle possédait des petits traits sur les joues. Sa coiffure semblait être d'un brun sombre. Toutefois, dans l'obscurité de la scène, elle n'apercevait pas très bien les reste de son interlocutrice.

Elle attendait placidement un peu hésitante sur l'attitude à suivre. Elle ne savait pas si elle se situait au bon endroit et si elle n'aurait pas mieux fait de rester chez elle. Une chose était pourtant sure, il était trop tard pour faire demi-tour.

Je regarde encore une fois mon nouveau salon. Dans les faits, pas mal de choses avaient changés en bien peu de temps. Il s'était écoulé plusieurs mois dans lesquels je n'ai cessé de prendre toujours plus de commandes auprès des nobles de Nexus, toujours plus riches, toujours plus orgueilleux, toujours plus dépensiers. Et finalement, quand j'ai jeté un œil sur mes comptes, j'ai pu constater une véritable montagne de pièce d'Or et de Platine. Si la vie de nouvelle riche ne m'a même pas effleuré l'esprit, il était temps pour moi de dépenser le tout. Et c'est ainsi que je me suis mis en tête de dépenser davantage, et donc de m'acheter cette seconde maison, cette fois en Ashnard.

C'était un nom compliqué, Ashnard, plus compliqué à écrire que Nexus, j'ai eu du mal à noter ça sur tout les papiers, ça en plus du reste. Toujours est il, je suis désormais dans mon nouveau chez moi. C'est plus grand, j'ai ici deux étages de plus, plus de chambre au rez de chaussée et une espèce de garage pour chariots à l'arrière qui donne sur un sous sol à même la roche. Globalement, rien ne change, mis à part le fait que les portefeuilles ashnardiens sont actuellement plus épais... Pas pour bien longtemps on me diras... Ce qui me fait dire que rien ne change, c'est ma fidèle armoire, j'ai bien l'impression que sans cette armoire près du lit, je ne suis plus moi-même. Après tout, si son contenu ne m'est pas aussi vital que mon orbe ou que la vitalité, elle reste un élément essentiel pour en soustraire un maximum de mes proies...

J'ai pu quand même remarquer une chose... Les gens du coin sont beaucoup moins hétérogène qu'à Nexus, il y a quand même beaucoup moins de gens à fourrure ailleurs que sur les stands d'esclaves. Il m'est arrivé aussi d'avoir des accrochages, mais aucun d'entre eux n'aura réussi à me capturer ... c'est même plutôt le contraire qui se produit... À chaque fois. Remarque, ça m'a été utile de capturer un groupe d'esclavagistes, ça m'a permis d'avoir à la fois des mâles humains à vampiriser ET des esclaves, mâles et femelles, humains ou non, avec lesquels jouer. Une bonne journée.

Et je comptais encore m'amuser 'en solitaire' ... Enfin, avec les compréhensifs.
Les compréhensifs sont ceux qui ont pu comprendre qu'à défaut de ne pas être libre tout de suite, ils allaient rapidement trouver leur compte si la gérante de la maison était satisfaite, contrairement aux plus belliqueux qui eux ont trouvé une place à coté de leurs esclavagiste sur la liste des personnes à drainer. ♥
Ainsi, il me restait encore six femelles et deux mâles encore frais dont une sentait bon la vierge qui attendaient tranquillement leur tour dans l'aile de la maison au rez de chaussée que je leur offre.

Toutefois, mon planning de la soirée allait apparemment être bouleversé par l'arrivée d'une personne sur le pas de porte.
Personne ne peut ouvrir sans ma permission, mes protections magiques sont suffisamment puissante pour ça, c'est pourquoi orbe en main j'ouvre, pour me révéler une délicieuse petite terranide, encapuchonnée et visiblement troublée... Serait ce le fait d'être en extérieur seule et visiblement sans défense ou bien d'être venue devant ma porte ?  Aucune idée, surtout que je ne m'étais pas encore fait bien connaître dans le coin.  Après il se peut que ce soit juste certaines des ex-esclaves récemment libérée -  et bien violée, mais passons - qui ont parlé de moi une fois assez loin. Mais qu'elles fassent, il n'y a aucune mauvaise publicité. Cependant la petite ne semblait pas là pour se faire plaisir... Elle me déclara :
- Excusez-moi de vous déranger à une heure aussi tardive mais j’aurais quelques questions sur les Terranides. J’aimerais savoir s’il  y a une possibilité de redevenir semi-humaine comme vous. Je n’en peux plus de cette apparence hideuse !

Face à cette déclaration, je reste un peu bouche bée, enfin, façon de parler, je garde bien la bouche fermée, en revanche on remarquera le décalage de la tête sur le coté, il ne manquerais plus que le point d'interrogation au dessus de ma tête pour passer dans un manga. Questions? Semi-humaine? Hideuse?
M'enfin, répondre à tout ça sur le pas de porte ne vas pas arranger les choses, aussi, je vais devoir me montrer évasive un premier temps... :
- Eh bien, voilà un événement... Inattendu... Entre donc, rester à même la porte ne vas pas faire avancer les choses... ♥

Sur ce, je l'invite à entrer, avant de fermer derrière elle. Scellant une nouvelle fois la porte d'un tour de main, je la conduit jusqu'au salon, dans lequel se trouvent plusieurs chaises et fauteuil de différents types.
- Assieds-toi où tu le désire. Tu souhaites quelque chose à boire? ♥

Un peu de persuasion n'a jamais fait de mal, aussi avec mes phrases, je l'incite fortement à prendre un verre. Un classique du Pied dans la porte, proposer d'abord des petites choses avant de rentrer dans le vif. Après avoir pris note de ce qu'elle désire boire, je m'éclipse deux minutes avant de revenir avec sa boisson, et un thé pour moi. Je m’assoit ensuite en face d'elle. Après une ou deux gorgées où le silence se faisait de plus en plus pesant, et pendant lesquelles mon orbe flottait lentement près de moi en brillant d'un éclat bleuté, je finis par lui demander :
- J'avoue ne pas avoir tout saisi tout à l'heure, petite. ♥
Si elle tique maintenant, elle apprendra bien vite que pratiquement toute femme en ce monde est ma 'petite', quand bien même ces dernières sont plus grande que moi. La seule exception est si je reconnais en la petite en question des qualités de Luxure égale voire supérieure à la mienne. Le qualificatif 'grand' est quant à lui réservé presque exclusivement aux mâles.

Il était évident que la petite ne venait pas pour jouer, de toute façon je pouvais sentir que la petite était vierge, et ne m'étant pas encore affichée partout comme une libertine accomplie, je doute qu'elle soit venue m'offrir sa chasteté. Cependant je pouvais déjà formuler quelques réponses à ses questions, elle s'était quand même montrée relativement claire.
- Nous avons tout notre temps, pourrais-tu formuler plus lentement?

Ça n'a l'air de rien, mais encore une fois il s'agit de suggestion. En mettant en avant mon incapacité à comprendre sa phrase directe, qu'elle m'a sorti devant le pas de porte, je l'incite plutôt bien à prendre le temps de poser ses multiples questions, voire d'extrapoler sur son 'problème'. Pour l'heure, je me contente d'observer la petite, qui se révèle être à croquer. ♥

Juliette avait peur pour rien. L’étrangère avait visiblement aucune envie de lui dire de partir. C’était une chance inespérée pour elle. Heureusement, que la destinée était avec elle. Elle acquiesça donc de la tête pour faire signe qu’elle souhaitait entrer.

Quand elle pénétra dans la demeure, elle remarqua qu’il y faisait plus chaud qu’à l’extérieur. La lumière qui éclairait les lieux semblait chaleureuse. Alors que la Terranide lui proposait de s’asseoir, elle put mieux détailler cette dernière. Elle avait des queux qui lui sortait du…. Oui, les queux semblaient lui sortir du postérieur. Elles étaient assez nombreuses. Elle fut choquée qu’elle en possède autant alors qu’elle n’en avait qu’une. Cette queue qu’elle possédait et qu’elle détestait tant.

Juliette s’assit sur un fauteuil qui semblait doux et moelleux. Elle commanda un thé à la menthe à son interlocutrice. Au moins, la Terranide connaissait les règles de la bienséance. C’était peut-être une noble ?

Elle revint bien vide avec une tasse d’où s’échappait de la fumée. L’odeur sentait effectivement la menthe. Juliette se demanda si elle n’avait pas été un trop pressante car la Terranide ne comprenait rien à l’affaire. Il lui faudrait donc expliquer ce qu’elle venait faire dans les parages. Mais, le problème est qu’elle ne pouvait tout simplement pas tout dire. La vérité était que nulle personne ne devait savoir qu’elle était de la famille Visconti. Donc, elle allait raconter une vérité partielle. Après avoir avalé une gorgée du breuvage chaud ce qui lui donnait le temps de réfléchir. C’était une astuce qu’utilisait beaucoup de nobles, elle répondit :

-Eh bien, si je puis me permettre de me présenter, je suis Juliette. Il y a quelques temps j’étais encore humaine et je vivais une vie parfaite. Mais, hélas, une odieuse sorcière m’a maudite. Elle m’a transformé en cette chose horrible que vous voyez. Je…. Je désespère de trouver une solution à ce … problème.

Elle soupira. Elle sentit des larmes montait à ses yeux. C’était réellement la première fois qu’elle expliquait son problème avec l’espoir d’avoir peut-être une solution. L’espoir… C’était tout ce qui lui restait désormais. Elle reprit une gorgée du breuvage si réconfortant. En ce moment précis, un peu de réconfort lui aurait fait le plus grand bien.

-Puis, dans la journée, j’ai appris qu’il existait l’existence d’une Terranide qui n’était pas complètement animal comme moi mais qui possédait des traits humains. Je suis donc venu voir par moi-même si cette personne aurait une solution pour que je puisse redevenir humaine. Cette personne étant vous-même.

Juliette constata à ce moment l’orbe bleue qui flottait après de la Teranide. C’était étrange et mystérieux.

-Serait-ce dû à cet orbe bleutée, Madame…. ?

Après tout, la Terranide ne lui avait pas en encore dit son nom. Juliette aimait savoir à qui elle s’adressait. Elle reprit donc une nouvelle gorgée en attendant la réponse.

-Alors, me serais-je trompée en venant ici ou bien vous pouvez m’apporter des réponses ?

Juliette était impatiente de savoir si elle pouvait redevenir humaine. Elle était vraiment enthousiaste à cette idée. Mais, si la Terranide lui briserait son dernier espoir, elle sombrerait dans la tourmente et dans la déprime. Elle n’en pouvait plus de ce corps qu’elle n’avait pas appris à entièrement maîtrisée. Elle ne savait pas du tout ce qu’elle pouvait faire avec. Elle ne voyait que le négatif mais peut-être qu’il y avait une possibilité qu’il y ait du positif ? Elle avait tant d’autres questions mais elle ne voulait pas perturber son interlocutrice.

La petite semblait soulagée de me voir accueillante. Je ne voyais pas le mal, mais ça pouvait être ce qu'elle pouvait m'expliquer. Elle n'eut aucun problème en revanche pour prendre ses aise, et grand bien lui fasse, il était parfois ennuyeux de forcer la main aux timides sans cesse.
Quand le calme fut revenu, le petite que je venais de questionner pris le temps pour répondre. Sans doute voulait-elle écarter certains sujets sensibles, mais si ça paraît important pour les humains, les détails sur la famille de mes éventuelles proies m'en touchait une sans faire bouger l'autre.

- Eh bien, si je puis me permettre de me présenter, je suis Juliette. Il y a quelques temps j’étais encore humaine et je vivais une vie parfaite. Mais, hélas, une odieuse sorcière m’a maudite. Elle m’a transformé en cette chose horrible que vous voyez. Je…. Je désespère de trouver une solution à ce … problème.

Je vois, un bien étrange problème, et très différent du mien... la 'malédiction' que la petite a subit et l'enchantement que ce mage à l'agonie m'a jeté ne sont pas vraiment comparable, ne serait ce qu'en terme de puissance. Par contre... Chose horrible ? Parlait-elle de son apparence ? Une si mignonne petite ne devrait pas rester aussi négative, son apparence est à croquer.
Après oui, on demande l'avis d'une perverse accomplie qui ne voit aux êtres vivants que la capacité de reproduction, et trouvant les humains normaux... eh bien ... normaux. En ce sens, la petite avait plutôt gagné en intérêt à mes yeux. Mais elle poursuit :
- Puis, dans la journée, j’ai appris qu’il existait l’existence d’une Terranide qui n’était pas complètement animal comme moi mais qui possédait des traits humains. Je suis donc venu voir par moi-même si cette personne aurait une solution pour que je puisse redevenir humaine. Cette personne étant vous-même.

Je prend une gorgée de thé, m'apprêtant à parler dans les secondes qui suivent, mais elle termine:
-Serait-ce dû à cet orbe bleutée, Madame…. ?

C'est à mon tour, donc. Je commence par les présentations :
- Je commencerais par le début. Je me nomme Ahri. Dans la définition des humains, je suis effectivement considérée comme terranide... Toutefois... Je suis légèrement plus que ça. ♥

C'est sur ces paroles moyennes que je m'arrête, pour poser ma tasse de thé sur une table à portée de bras.
La suite fut très rapide, l'affaire de quelques secondes. Je me lève juste avant de prendre ma forme de renarde, et sous cette forme je saute d'un bond agile à coté de la petite, sur son fauteuil. Si la petite ne s'était pas effrayée, je reste proche d'elle, me couchant sur le ventre et les queues en arc de cercle à ma croupe avant de continuer :
- Je fus, il y a longtemps... Changée, effectivement. Un mage à l'agonie a tenté un sort dangereux pour subsister à travers moi. Il a plus ou moins échoué, sa conscience n'a pas surmonté la mienne et je suis devenue ce que je suis. Mais ce fut pour moi un avantage.

Je quitte son fauteuil, pour retourner dans le mien et reprendre mon apparence d'origine dans une petite tornade de fourrure. Reprenant mon orbe, je poursuis :
- Quant à cet orbe, il s'agit un peu de ma nouvelle vie, exprimée sous forme de magie. Du moment que je l'alimente suffisamment à sa source, mon essence magique subsiste.

La petite écoutait sûrement attentivement, après tout, je m'était transformée devant elle, et en un sens elle pourrait peut-être y trouver son bonheur. Elle me posa la question suivante :
- Alors, me serais-je trompée en venant ici ou bien vous pouvez m’apporter des réponses ?

Je la regardais. Elle semblait impatiente de connaître ma réponse, mais à la fois on pouvait déceler une trace d'appréhension. Elle peut se douter que je lui réponde négativement. Et si la logique voulait que je lui réponde effectivement négativement, elle pourrait cependant avoir une alternative...
- Eh bien... La magie m'ayant changé en humaine et celle qui t'a changée en terranide n'est pas la même, de fait, t'aider immédiatement m'est impossible... Cependant ...

Je la regarde encore, à mes mots, je pouvais deviner qu'elle soit déçue par une phrase attendue, mais il y a eu le 'Cependant' qui lui redonna un regain d'intérêt.
- Quand bien même... Il y aurait bien un moyen... Si tu apprenais une magie pour changer d'apparence, tu pourrais en théorie redevenir humaine.

Pour illustrer mon propos, je lui montre. Mon orbe se met à luire un bref instant d'un éclat bleuté, durant lequel toute ma fourrure disparaît, me présentant donc sans mes queues et mes oreilles, avant de reprendre mon apparence d'origine pour dire :
- Ce n'est pas compliqué pour moi, ça fait partie de mon kit de magie. Mais le changement d'apparence n'est pas une magie complexe. Le plus dur est de déceler son potentiel magique, et seul un mage averti peut être bon enseignant. Je ne suis qu'un renard avec des talents magique. ♥.

Ceci dit, je me lève et m'approche de la petite pour la regarder plus en détail avant de dire :
- Un point me dérange, pour autant... Pourquoi dire que ton apparence est horrible ? Tu es a croquer. ♥

Je dis cela en m'approchant davantage, deux de mes queues s'avancent davantage et lui caressent le bras. Peut-être réagirait-elle bizarrement, mais il me faut le savoir pour pouvoir continuer.

Cette petite conversation devenait très intéressante. Juliette en apprit bien plus en l’espace de quelques minutes que durant une vie entière. La Terranide s’appelait Ahri. Elle apprenait donc qui était donc cette mystérieuse jeune Terranide à l’apparence si différente de ses comperses.

Le temps n’était toutefois pas à la réflexion car Ahri se prépare à faire quelque chose. En effet, cette dernière posa sa tasse et sans effort de concentration, elle se transforma en autre chose. Juliette eut à peine le temps de constater que cette chose était une renarde qu’elle se retrouva avec l’animal sur les jambes. Juliette n’eut pas le temps de faire attention à quoi que se soit d’autre que de faire attention à ne pas renverser du thé. De plus, l’animal ne resta pas bien longtemps car il repartit plutôt vite en se métamorphosant en Ahri.

Ahri alors n’était qu’un animal à la base ? Mais suite à une expérience, elle est devenue autre chose ? Son histoire ressemblait beaucoup à celle de Juliette. Il était étrange comme les destinées pouvaient se mélanger.
Juliette n’avait toujours pas le temps de réfléchir à tout cela car très vite elle fut rapidement déçue d’apprendre qu’Ahri n’avait pas de remède mais… Il  y avait toujours un espoir si Juliette parvenait à maîtriser une magie capable de la faire redevenir humaine. Ahri lui montra d’ailleurs comment elle s’y prenait elle-même pour avoir apparence humaine. Personne ne pouvait soupçonner qu’au lieu d’une humaine se cachait une renarde. L’intérêt de Juliette fut piqué au vif.

- Alors, il faut que j’apprenne la magie… Mais, pour cela il me faut comprendre ce qu’est le potentiel magique, je vois… Vous n’êtes pas en mesure de m’expliquer comme tout cela fonctionne… Mais, je vous remercie sincèrement, Ahri. Je n’ai peut être  pas eut toutes les réponses à mes questions mais néanmoins vous m’avez apporté une aide précieuse.

Juliette absorba ne autre gorgée de thé qui commençait à être bientôt finie. Juliette songeait que la conversation était finie. Elle ne savait pas quoi dire d’autre mais son interlocutrice semblait avoir un sujet de conversation. Bien qu’elle n’aimait pas parler de son apparence, elle devait bien cela à sa bienfaitrice.

-Et bien… Vu votre nature de renarde, je pense que vous ne comprendriez pas mais je vais essayer. J’étais à la fois belle et respectée auparavant. Ma beauté me permettait d’obtenir ce que je voulais et quand je le voulais. Depuis, cette… transformation, j’ai du mal à m’acclimater, je ressens constamment soit un regard de haine à mon égard, soit un regard de… lubricité. Vous savez comment traite les humains lorsqu’ils aperçoivent une Terranide ? Il essaye d’en faire une bonne petite esclave répondant à leur besoin. Donc, il n’apprécie pas que je leur donne des ordres. De plus je n’arrive pas à maîtriser totalement ce corps. Je suis peut être jolie selon les critères d’une renarde mais à quoi bon l’être si je ne puis atteindre une certaine reconnaissance vis-à-vis de mes pairs ?

Juliette sentit pendant qu’elle parlait deux queux qui viennent se frotter contre son bras. C’était apaisant.. Elle songea en finissant son thé comment Ahri s’y prenait t-elle pour les faire bouger avec autant de grâce ? Elle n’y parvenait pas de son côté.

-Je suis désolée de vous demander cela mais comment faites vous pour déplacer vos queux ? J’aurais bien du mal à en faire autant.

Ce curieux phénomène était étrange mais pourtant Juliette voyait bien les deux queux se frottait lentement contre son bras. Ce n’était pas si désagréable que ça. Elle ressentait la même sensation lorsqu’elle posait sa tête contre son oreiller.

- Je suis si maladroite que je ne vous ai pas proposé un dédommagement pour votre aide si précieuse. Combien souhaiteriez-vous que je vous donne ?

Tout travail mérite salaire. Juliette souhaitait juste être gentille. Elle espérait que cette dernière ne se froisserait pas que Juliette lui donne un peu d’or.

Spoiler: hpr (cliquer pour montrer/cacher)

On n'avait pas la même définition de fauteuil. ^^'  Tu penses à un siège une personne, moi à un canapé. Bah après c'est pas non plus très gênant.

La petite semblait captivée par mes changement d'apparence, et plus encore quand je lui annonçais qu'elle pouvait peut-être apprendre la magie. Après un petit temps de réflexion, elle finit par dire :
- Alors, il faut que j’apprenne la magie… Mais, pour cela il me faut comprendre ce qu'est le potentiel magique, je vois… Vous n’êtes pas en mesure de m’expliquer comme tout cela fonctionne… Mais, je vous remercie sincèrement, Ahri. Je n’ai peut-être pas eu toutes les réponses à mes questions mais néanmoins vous m’avez apporté une aide précieuse.

Je lui répond vite, un peu en interlude :
- Tout le monde à un certain potentiel magique, mais tout le monde ne l'a pas de manière équitable. Certains sont doués à la magie, d'autres auront toutes les peines du monde à lancer un simple sort. D'autres encore se retrouvent surexposée à une grande source de magie.  Je peux éventuellement sentir un excès de vitalité chez d'autres gens, mais je suis incapable de révéler ce potentiel latent.

Elle but une autre gorgée de thé avant de grimacer légèrement en comprenant que la conversation tourne à son apparence, après un temps d'hésitation, elle me dit :
-Et bien… Vu votre nature de renarde, je pense que vous ne comprendriez pas mais je vais essayer. J’étais à la fois belle et respectée auparavant. Ma beauté me permettait d’obtenir ce que je voulais et quand je le voulais. Depuis, cette… transformation, j’ai du mal à m’acclimater, je ressens constamment soit un regard de haine à mon égard, soit un regard de… lubricité. Vous savez comment traite les humains lorsqu’ils aperçoivent une Terranide ? Il essaye d’en faire une bonne petite esclave répondant à leur besoin. Donc, il n’apprécie pas que je leur donne des ordres. De plus je n’arrive pas à maîtriser totalement ce corps. Je suis peut être jolie selon les critères d’une renarde mais à quoi bon l’être si je ne puis atteindre une certaine reconnaissance vis-à-vis de mes pairs ?

J'hésite presque entre l'embrasser et la câliner. je ne vois pas en quoi elle s’inquiétait sur son apparence, pour moi ces histoires de regards de haine s'approchait plus de la paranoïa. En revanche un détail m'avait titillé, elle ne connaissait pas son propre corps ? Voilà qui serait amusant à retenir si je voulais jouer avec elle, les petites faiblesses des terranides résident justement dans les oreilles et queues et pour le coup je ne fais pas exception. Mais alors que je m'apprête à la tripoter, pour lui révéler quelques astuces sur son nouveau corps, elle m'interromps en me posant une question :
-Je suis désolée de vous demander cela mais comment faites vous pour déplacer vos queues ? J’aurais bien du mal à en faire autant.

Je me retire un moment, je me met de coté par rapport à elle et e me retourne pour regarder mes queues, qui remuent chacune comme des vaguelettes.
- Je les ais depuis ma naissance, alors je n'y fait plus attention. Elle se déplace presque de manière autonome quand je ne pense pas à les déplacer. Mais... Dans ton cas, tes attraits peuvent toujours servir, tu sais... ? ♥

Puis elle enchaîna sur un autre sujet :
- Je suis si maladroite que je ne vous ai pas proposé un dédommagement pour votre aide si précieuse. Combien souhaiteriez-vous que je vous donne ?

Je me remet face à elle avant de lui sussurer :
- Je ne fait pas payer les dames. Je préfère les services. ♥

Je m'accroupis devant elle avant de dire :
- Et pour l'heure, ton corps m'intéresse. Tu permets ? ♥

Et sans attendre de réponse, je soulève une de ses jambes afin d'examiner de plus près son pied. Constatant au premier abord que son pied ressemble plus à celui d'un humain, j'examine de plus près ses orteils avant de remarquer que le pied n'était humain qu'en apparence et avait la flexibilité animale, dans le sens ou la plante du pied dissimule le jarret, je reporte ensuite mon analyse rapide de plus en plus haut, en remontant la jambe. Je ne m'empêche pas de faire quelques caresses au passage.
- Oui... Oui... Avec des jambes comme ça, tu ne devrais pas avoir de problèmes en courant ou en sautant, pour peu que tu essaies de maîtriser ton corps. ♥

Deux autres de mes queues s'étaient glissée sur son autre jambe, celle que je ne regardais pas, afin de lui faire aussi des caresses. Je remontais toujours sur ses jambes et atteignais enfin la cuisse, si c'était la partie à vérifier tout autant que son pied pour définir si elle avait un don pour le saut ou pour la course, y toucher de manière répétée peut aussi procurer à la petite des sensations agréables bienque bizarres, en effet les cuisses sont assez sensibles, même si la sensibilité devenais de plus en plus accrue à mesure que l'on s'approche de l'entrecuisse ou des fesses. Je comprendrais si elle cesse à présent, mais je poursuis ma petite analyse. Je tire un peu, je pousse également, afin de vérifier plus ou moins la position de ses muscles, j'avais envie de savoir si elle était dans la capacité de les gonfler afin de pouvoir préparer des bonds impressionnant comme les félins ou, si elle ne le peut, être capable de courir sur le longues distances plus où moins rapidement. Chose que je peux pas définir directement, c'est elle qui sur le terrain devra essayer de le découvrir.
 Cependant, mes queues qui jusque là suivaient le mouvement, continuèrent à s'avancer jusqu'à finalement atteindre les zones les plus sensibles et l'entrecuisse.  Est ce que la petite continuerait à se laisser tripoter où interromprait-elle ici la petite analyse qui tournait peu à peu à la déviance sexuelle ?

Juliette songe qu'Ahri à un côté sauvage. Elle ne s'explique pas vraiment d'où cela provient mais elle se demande si la jeune femme n'a pas gardé une aptitude de bête sauvage. Bien qu'elle soit très gentille, elle a un côté vif qui ne demande pas l'avis des autres. C'est comme cela que Juliette se retrouva à lever la patte afin qu'Ahri puisse l'examiner. Ayant un peu peur de renverser la tasse, Juliette préféra la déposer afin de minimiser les risques de la renverser.

Elle put entendre les différents commentaires de la jeune terranide à ses pieds. On aurait dit des marmonnements. Juliette ne comprenait pas vraiment pourquoi elle se laissait examiner. C'était peut-être la douceur des gestes d'Ahri qui la faisait se rendre si docile? Elle n'avait pas l'habitude que les gens prennent sans son autorisation.

C'est perdu dans ses pensées qu'elle ne se rendit pas compte d'une chose. Progressivement, mais sûrement Ahri remonte le long de sa jambe jusqu'à finalement atteindre ses cuisses. Elle n'avait pas songé, un seul instant que le service qu'elle désirait et qui était liée à son corps serait aussi... perturbant. En effet, les premières secondes c'était juste désagréable mais bientôt une vive sensation l'envahit quand Ahri atteignit ses cuisses et un peu plus en profondeur. C'était pas désagréable mais étrange... Elle sentit sa respiration devenir un peu saccadée et ressentir une étrange chaleur. Bien malgré elle, alors qu'elle avait les jambes un peu serrées par l'inspection, elle écarta les cuisses de quelque centimètres laissant le passage aux queux d'Ahri.

Quand les queux remontèrent encore un peu plus haut. Elle en perdit de sa superbe et ne put s'empêcher de retenir un gémissement qu'elle pensait dût à la surprise de cette introspection. Vraiment, la sensation était très étrange et mieux valait en arrêter les frais! Mais, en même temps, elle se sentait en confiance avec Ahri. D'un autre côté, elle avait peur! Peur, que cette sensation prenne le dessus et lui fasse oublier qui elle était. Elle devait agir, cesser cela au plus vite!

Chaque seconde de réflexion était un enfer car la sensation devenait de plus en plus forte et elle avait envie manifestement de quelque chose sans vraiment savoir quoi. Aussi, elle eut l'idée de se lever alors qu'elle sentait la sensation pontait un peu trop soudainement. Elle sentait sa poitrine plus lourde comme si elle avait froid. Elle prit alors la parole en redressait Ahri pour lui faire ses adieux:

-Je vous remercie pour votre hospitalité mais je pense que j'abuserais de votre bon vouloir en restant ici. Je vais donc devoir vous laisser! C'était un plaisir de discuter avec vous et je vous rendrais visite si vous le désirait.

Puis, elle fit une sorte de câlin à Ahri qui était synonyme d'embrassade de départ. Quand elle sentit la terranide contre son corps, elle put respirer son odeur. Elle songea qu'elle ne voulait pas partir et qu'elle voulait sentir le corps chaud de la terranide contre elle. Quelle était donc cette idée saugrenue?

Les embrassades duraient depuis trop longtemps et c'est à contre-coeur qu'elle se dégagea de l'étreinte. Toutefois, elle avait besoin de l'autorisation de la maîtresse de maison pour sortir car elle se rappelait qu'elle avait fermé les lieux à clé par la magie.

-Eh bien voilà, je vais... partir.

Elle s'exprima sur un ton peiné de devoir déjà s'en aller. Elle aurait voulu rester plus longtemps. Mais, les domestiques devraient peut-être s'inquiéter. Elle regarda donc Ahri et constata qu'elle n'avait toujours pas lâché sa main. Elle lâcha donc brusquement la main de la terranide pour que celle-ci puisse déverrouller magiquement la porte. Elle était bien loin de se douter que cette dernière avait d'autres projets pour elle.

Spoiler: HRp (cliquer pour montrer/cacher)

Ahri ne ferme pas a clé ses portes, elle les scelle par magie. C't'un détail X)

J'aime jouer avec mes futures victimes, en particulier quand je sens qu'elles n'ont pas ou peu joué avec leur corps, la petite s'en est certainement rendu compte. Elle ne répondait pas à mes éventuelles questions et réagissait par contre beaucoup à mes touches. Ce que j'appliquais à la petite était à deux doigts entre une simple curiosité innocente, presque scientifique, et le simple tripotage pervers. Il faut dire que les deux étaient de mise, du moins à mes yeux, et faire simplement le choix entre les deux était pour moi simplement inconcevable.

La petite pris peur, en revanche, peur de l'inconnu. Une réaction que je connaissais, surtout de la part des autres petites vierges ne se touchant pas ou peu. Elle sentait son corps apprécier une chose supposément ''désagréable'' pour elle et cette contradiction la troubla.
Elle décida finalement de se lever, mes mains et mes queues cessèrent leur taquineries. Même si j'aurais bien aimé continuer, une part de moi aurait aussi été déçue si elle serait restée calme à se faire tripoter. Elle me dit alors:
- Je vous remercie pour votre hospitalité mais je pense que j'abuserais de votre bon vouloir en restant ici. Je vais donc devoir vous laisser! C'était un plaisir de discuter avec vous et je vous rendrais visite si vous le désirez.

Puis elle me fit d'elle même un câlin, la pratique de se faire un câlin avant de partir n'était pas courante pour moi, mais ne me gêna pas plus que ça, je faisais en général bien plus qu'une simple étreinte et pas pour partir. ♥
Toujours aussi troublée, elle s'arrêta avant que je place mes queues derrière elle pour la prolonger, elle pris ma main dans la sienne et dit, cette fois :
-Eh bien voilà, je vais... partir.

Elle voulu quitter la pièce, mais oublia qu'elle m'avait attrapé la main à l'instant, elle la lâcha de plus en plus troublée.
Et moi dans tout ça ?
J'avais déjà assez taquiné la petite alors qu'elle n'était visiblement pas venue pour ça à la base, et bizarrement, je n'insiste pas plus que ça. Peut-être le fait d'avoir d'autre chats -ou 'chiens'- à pouvoir fouetter librement, au sens propre,  me permettait d'être moins envahissante envers les petites pucelles se présentant chez moi comme le petit chaperon devant le loup. Quelque chose me dis que dans son comportement qu'elle finira par revenir, c'est peut-être aussi ce qui me calme, savoir qu'elle reviendra d'elle-même se faire manger aux petits oignons.  C'est pourquoi je la suis gentiment jusqu'à la porte avant de la rouvrir, la porte. Cependant, avant qu'elle sorte, je lui fait à mon tour un câlin, de dos, laissant mes seins se coller à son dos, pour lui glisser à l'oreille :
- N'hésites pas à revenir, ma porte est toujours ouverte. ♥

C'était métaphorique, ma porte est en général fermée, mais je l'accueille quand  elle désire. ... On avait compris ?
 Je la relâche pour de bon, cette fois-ci libre à elle de sortir, la porte se refermera d'elle-même quand la petite en sera éloignée.

Alors qu'Ahri ouvre la porte permettant à Juliette de partir cette dernière sent Ahri contre elle dans son dos juste avant d'y aller.  Elle se figea en sentant la douce chaleur du corps d'Ahri contre le sien. Elle ne s'attendait pas que la terranide revienne à la charge. Elle se laissa succomber à cette ultime embrassade. Elle entendit les dernières paroles d'Ahri. Puis, elle repartit vers la froideur de la nuit.

Sur le chemin pour rentrer, elle songea à la conversation et à ce frisson qu'elle ressentait presque comme une fièvre. Serait-elle donc tomber malade en marchant si tard dans la nuit? Elle ne savait pas, c'était si étrange. Elle n'avait pourtant pas mal à la gorge ou la truffe humide. Elle rentra donc chez elle, splendide manoir à l'allure victorien.

Elle retira son capuchon. Les servants purent voir que Juliette avait fait une promenade nocturne. Elle n'en avait cure. Même si ses parents en entendait parler, elle ne comptait pas ressortir de sitôt donc elle s'en préoccupait pas le moins du monde. Elle pénétra dans sa chambre et retira les vêtements qu'elle portait. Elle rentra dans les couvrantes. Sa fourrure lui donnait chaud la nuit mais avec cette mauvaise fièvre autant se réchauffait comme elle pouvait. Morte d'épuisement, elle s'endormit.

Toutefois, les frissons continuaient, elle pouvait le sentir. Dans ses rêves, elle revit la scène de l'inspection d'Ahri sur ses jambes et elle se sentit remuante dans son sommeil. Elle ressentit le toucher si délicat d'Ahri. La douce sensation que ses queux lui avait apporté et plus encore la chaleur du corps d'Ahri contre le sien. Elle ne se sentait pas bien. Elle avait chaud, très chaud. Elle ne parvenait pas à se calmer. L'excitation fiévreuse la prenait mais elle ne parvint pas à se calmer

Le lendemain matin, elle se rendit compte qu'elle avait mouillé son drap comme si elle avait fait pipi. Une petite tâche avait coulé sur le drap. Elle s'en voulait! Elle avait passer l'âge de faire pipi au lit. Mais, c'était sans doute son étrange maladie qui avait fait cela.

La journée fut morne mais durant des troubles de pensée, Juliette ne put s'empêcher de penser à Ahri et à ses dernières paroles.

N'hésites pas à revenir, ma porte est toujours ouverte. ♥

Elle n'avait pourtant aucune raison de repenser à cette dernière et pourtant. Sans se l'expliquer, elle y songeait. Et, plus elle y songeait et plus une petite goutte perlait au niveau de son entre-jambe. Ce sentiment d'impuissance devant la situation présente l'agaçait. Mais, elle faisait avec. Elle n'en avait tout simplement pas le choix. La journée fut longue et pénible.

La nuit arriva et malgré elle, elle ne se sentait toujours pas très bien. En effet, une fois installé dans son lit, elle ne parvint pas à trouver le sommeil facilement, elle revoyait toujours Ahri juste avant de s'endormir et cela lui faisait une sensation étrange au niveau de son entrejambe.

Peut être était-ce de l'intuition, mais tandis qu'elle revoyait à nouveau la scène où Ahri regardait ses jambes et où ses queux avaient remonter sur ses cuisses elle ne put s'empêcher de passer sa main là où elle où les queux s'étaient posés une nuit auparavant. Elle se sentit défaillir devant la sensation qui l'envahissait. Son souffle fut court et comme la  nature faisait bien les choses elle continua à se caresser l'entre cuisse puis sentant que la sensation était agréable elle chercha où était l'endroit qui lui fallait atteindre. Sa main remonta petit à petit jusqu'à son sexe et elle sentit situé en haut son clitoris. Alors qu'elle touchait la petite boule qui l'a gorgé de plaisir, elle se sentit mouiller de plus en plus.

Son geste qui était innocent devient de plus en plus frénétique. Elle aurait même songer à arrêter qu'elle n'en aurait  eut tout simplement pas la volonté. Tout comme ses geste furent fiévreux, elle ne put tout simplement s'empêcher de continuer de penser à Ahri puisque elle avait démarré à se caresser en songeant à elle.

Et alors, dans un ultime mouvement se fut l'apothéose. Son corps se cambra et tandis que sa respiration était devenue saccadée et sa poitrine dure, elle ne put s'empêcher de retenir un gémissement de plaisir. Sa main s'agitait, elle sentait qu'elle atteignait un point où elle ne répondrait plus de rien. Pendant les quelques secondes qui suivirent, elle se contenta de sourire béatement. Elle n'avait ressentit autant de plaisir accumulée auparavant. C'était si agréable. Elle n'eut qu'une envie c'était recommencer.

Et, pour recommencer, elle recommença, durant des nuits entières, elle s'occupa de se masturber jusqu'à exploser. Sa vie morne devenait enfin intéressante. Mais, bientôt, les souvenirs d'Ahri devenait floues et c'était compliqué. Ce n'était plus comme avant lorsque qu'elle était revenue de cette nuit où elle avait rencontré Ahri. Il lui fallait donc retourner la voir. Elle ferait tout pour la revoir ne serait-ce qu'une seconde. Il faut comprendre que Juliette avait fait une fixation sur elle.

Cinq jours plus tard, durant la nuit, elle prit donc son courage à deux mains et revint, dans la même tenue qui avait été au préalable lavé par ses servants, vers la porte de la demeure d'Ahri. Elle s'était dit que cinq jours, cela ne faisait ni trop long ni trop rapide. Elle toqua à la porte d'Ahri et elle attendit qu'on l'ouvre. Elle n'avait pas réfléchie à quoi dire. Tout ce qui l'importait était de la voir et de la sentir près d'elle. Elle n'était pas amoureuse mais son attraction pour Ahri était telle que elle agissait différemment maintenant. D'ailleurs, il était probable que la simple vision d'Ahri suffise à ce qu'elle mouille sa culotte étant donné qu'Ahri était devenue son principal et seul sujet de luxure.

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Navré du temps d'attente, d'une part j'ai découvert skyrim et d'autre part je voulais faire une réponse Bien plus grande, j'ai du faire plus court au final. Enjoie

La nuit était longue, et la petite partie il fallait à présent me défouler, j'avais mérité une récompense, non ? J'avais quand même réussi à ne pas consommer la petite sur place. Je me rend donc à la cave où sont encore solidement ligoté les deux esclavagistes restant de la petite troupe afin de jouer, ou de les punir, à voir.

Quelques jours plus tard, en après midi, il y eut une scène assez amusante... Pour moi, du moins. Du haut de mon toit, d'une hauteur de 5 étages, je menaçais de faire chuter un des esclavagistes que j'avais déjà capturé, sur les trois que j'avais attrapés, il m'en restait encore deux. Par ''menacer de faire chuter'' je  veux dire ''laisser pendre ma victime la tête en bas en ne le tenant par les pieds, entièrement ligoté en ne lui lassant que sa bouche pour parler''
- Non ! Par pitié !
- Je n'ai pas de pitié. Tu bandes pour ta maîtresse ou tu meurs maintenant. Je suis assez clémente pour t'offrir une mort rapide, d'ici tu ne sentiras rien à l'impact.
- Non ! Je ferais tout ce que vous voudrez, laissez moi un peu de temps.
- Que nenni, mon grand. Tu es ma propriété désormais, je t'use comme bon me semble, et je souhaite jouer avec ta bite jusqu'à ce qu'elle en saigne, et ce n'est pas possible si tu ne bandes plus.

Torturer des cibles faciles était toujours amusant, tout autant que leur broyer lentement tout espoir. S'ils avaient à s'en plaindre, ils n'avaient qu'à ne pas songer à me capturer, l'arroseur est arrosé, le fisteur est fisté, et dans notre cas, l'esclavagiste est l'esclave, un jouet, un simple urinoir, au choix.
- Je t'impose une dernière fois ton choix. Tu meurs maintenant, avec plus ou moins de douleur, ou tu vis une vie misérable ou ta langue aura en permanence le goût de ma pisse, tes repas auront le gout de ma merde, ta bite aura fondu à force d'être utilisé et ton fondement sera tellement bien ouvert que tu ne pourras plus jamais t'asseoir.

Je lui laisse quelque instant pour savourer son désespoir. S'il voulait conserver sa dignité d'homme, il accepterait la mort, mais apparemment il voulait rester vivant.
- Je ... Je veux vivre. S'il vous plaît...
- S'il me plaît, oui... Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant. Bandes, maintenant.
J’attends un peu, puis je décide de le bouger, je le pose 'en sécurité' sur le toit, mais avant qu'il se puisse souffler, je lui ouvre la bouche, et lui dis :
- je vais donc voir si tu est docile à présent. Garde la bouche ouverte et bois ma pisse, comme le petit toilette que tu es devenu à présent. ♥

Et pour cette fois, je n'attend pas pour commencer à lui gicler du bon liquide jaune, qu'ils se força à boire. La journée se finit avec encore deux 'esclave'agiste et quatre femelles 'ex' esclaves, dont deux encore vierge.

Il ne s'est cependant rien passé d'amusant ensuite, et le jour où la petite allait faire son retour, j'étais d'une humeur massacrante, du moins, jusqu'à l'arrivée de la petite. Elle pouvait voir un instant que je n'étais pas dans un bon jour, sûrement avec mes yeux qui brillaient d'un éclat doré et qui étaient très fendus, à la manière des chats, où encore avec mes queues qui ne remuaient absolument pas, toute réunie dans une grande touffe de poil dressée derrière moi. Choses qui s'effacèrent presque aussitôt quand je vis la petite à ma porte, mes queues se séparant et recommençant à remuer, et mes yeux redevenant plus simples.Avec un sourire qui laissait supposer que j'étais content de la voir, je lui dis:
- Oh, bonsoir. Tu reviens pour me poser des questions, comme la dernière fois? ♥

Je l'invite à rentrer sans rien dire, mais avant de fermer la porte, je précise d'une voix qui veux tout dire:
- Tu es bien sûre de rester, hmm? ♥
Je ne te laisserais pas partir aussi facilement que la dernière fois... ♥

J’attends un peu avant de fermer la porte, scellant ainsi le choix de la petite. Je l'invite une nouvelle fois dans le salon, et je lui prépare d'avance une nouvelle fois un thé. Je pouvais montrer d'une certaine euphorie. En même temps, je savais que j'allais jouer avec elle et qu'elle n'avais pas apparemment pas l'intention de s'échapper, sinon elle serait déjà partie bien avant et ne serais pas revenue.

Je m’assoit finalement, comme il y a 5 jours, en face d'elle. Et, avec des petites étoiles dans les yeux, je lui demande :
- Eh bien... Tu souhaites découvrir davantage ton corps animal ? Ou tu préfères découvrir davantage de choses sur moi ? ♥

J’attends sa réponse, et je reste calme malgré que je sens l’excitation de la petite, et résister n'est pas  si simple.

-Bonsoir!

Chose promis, chose due, la simple vision d'Ahri eut effectivement de faire mouiller la petite culotte de Juliette. Elle était légèrement embarrassée mais pénétra dans la tanière d'Ahri. Elle ne savait pas précisément ce qu'elle faisait là et répondre aux questions d'Ahri ne seraient pas facile. Elle avait suivie son instinct, c'était tout ce qu'il fallait comprendre. Elle répondit donc:

-Oui... Je... Je vais rester un peu...

Que dire d'autre? Elle avait envie de rester avec Ahri, peut-être pas à tout jamais mais sa présence suffisait à lui apporter une part d'elle même qu'elle pensait ne pas avoir. Elle essaya de calmer ses ardeurs du mieux qu'elle pût et s'installa dans le fauteuil qu'elle avait occupé cinq jours plus tôt. Elle accueillit avec enthousiasme la tasse de thé et la dégusta en écoutant les paroles d'Ahri. Elle souhaitait savoir le motif de sa visite, Juliette n'avait pas vraiment de réponse à faire. En plus, l'esprit de Juliette imagina des scènes plutôt osés quand Ahri mentionna des choses sur elle. Elle bredouilla alors quelque chose à la va vite.

- Je... Euh.... J'ai constaté que j'étais un peu partit comme une voleuse la dernière fois. Je souhaitais m'excuser. Je dois avouer... avoir beaucoup repenser à la dernière fois...

Elle sentit l'excitation refaire surface. Son corps désirait qu'elle se masturbe ou du moins c'est comme ça qu'elle l'envisageait mais elle ne pouvait pas le faire devant Ahri. Elle finit donc sa tasse de thé avant de reprendre.

- Je me demandais... si... oh l'idée semble totalement déraisonnée... Mais, vous semblez être quelqu'un de si vaillante que... Enfin bref, j'aurais aimé faire plus ample connaissance. C'est pourquoi j'ai décidé que... Si cela ne vous dérange pas Ahri, j'aimerais rester ici à discuter avec vous durant toute la nuit. Je.. Je suis sur que vous pourriez m'aider à... comprendre ma nature animale mieux que quiconque.

Elle fit une petite pause et reprit.

-Les temps sont durs pour moi et j'aimerais avoir une... amie à qui me confier. Je sais que nous nous sommes aperçut qu'une seule fois mais je ne sais pas quelque chose qui dégage de vous m'inspire confiance. Je n'ai pas beaucoup d'amie sur qui compter mais vous pourriez... Non, c'est une idée trop folle. Personne de suffisamment censée ne souhaiterait devenir une amie comme ça.

Elle se leva et fit mine de partir.

-Je ne sais pas ce qui m'a poussée à venir ici. Je n'aurais pas dût. Je me sens idiote...

Ahri allait t-elle faire quelque chose pour l'empêcher de partir? Il suffisait juste d'une dose de confiance et de charme pour que le coeur si sensible de Juliette cède aux affres du désir et de l'envie.

- Tu es bien sûre de rester, hmm? ♥
Je ne te laisserais pas partir aussi facilement que la dernière fois... ♥
- Oui... Je... Je vais rester un peu...
- Soit. ♥

Elle s'était donc décidée, et venait me revoir. Ce n'est qu'une fois qu'elle fut entrée que j'ai pu sentir une délicieuse odeur, que je ne connais que trop bien, émanant d'elle. Elle était déjà toute frétillante à l'idée de recevoir du plaisir et cette pensée me tenais de bonne humeur. Elle s'installa sans grande difficulté et bredouilla à ma question :
- Je... Euh.... J'ai constaté que j'étais un peu partit comme une voleuse la dernière fois. Je souhaitais m'excuser. Je dois avouer... avoir beaucoup repenser à la dernière fois...
- Hmm hmm... ~♥

JE la laisse continuer en l'observant. Elle était très excitée, je pouvais le sentir, et pas seulement avec le nez, l'instinct me parlait. Que ce soit ses gestes ou sa façon de parler, tout portait à croire qu'elle pouvais lâcher à tout moment sa tasse et se masser entre les cuisses. Elle ne se retenait sûrement que parce qu'elle ignorait que sa pulsion était mon train de vie quotidien. Elle repris :
- Je me demandais... si... oh l'idée semble totalement déraisonnée... Mais, vous semblez être quelqu'un de si vaillante que... Enfin bref, j'aurais aimé faire plus ample connaissance. C'est pourquoi j'ai décidé que... Si cela ne vous dérange pas Ahri, j'aimerais rester ici à discuter avec vous durant toute la nuit. Je.. Je suis sur que vous pourriez m'aider à... comprendre ma nature animale mieux que quiconque.

Je souriais de la voir peiner ainsi, elle voulait en connaître plus sur moi où simplement se soulager par mon biais ? La seconde option était sûrement plus vrai pour le moment, mais elle se retenait avec la politesse, même si l'odeur de la mouille qu'elle dégageait commençait à me monter à la tête, si je ne me retenais pas, j'allais finir par baver. Elle poursuivit :
- Les temps sont durs pour moi et j'aimerais avoir une... amie à qui me confier. Je sais que nous nous sommes aperçut qu'une seule fois mais je ne sais pas quelque chose qui dégage de vous m'inspire la confiance. Je n'ai pas beaucoup d'amie sur qui compter mais vous pourriez... Non, c'est une idée trop folle. Personne de suffisamment censée ne souhaiterait devenir une amie comme ça.

Et, bredouillant ces quelques mots, elle se leva et sembla vouloir s'en aller.
- Je ne sais pas ce qui m'a poussée à venir ici. Je n'aurais pas dût. Je me sens idiote...

Elle pourrait sans doute remarquer que j'avais à nouveau mes yeux fendus par l’excitation, pensait-elle réellement qu'elle m'échapperait maintenant ? Je lui ai précisé en entrant qu'elle ne pourrait pas sortir aussi facilement. Je la laisse s'avancer vers la porte, mais au moment où elle ne me regarde pas, je me lève et j'avance pour me placer dans son dos, afin de coller mes seins sur son dos, comme il y a 5 jours. La différence près c'est que mes queues nous entourent, lui barrant ainsi le chemin. Une de mes queues se glisse sans discrétion entre ses cuisses pour y récupérer un peu de ce précieux liquide qu'était la mouille pour moi.
- Crois tu que je te laisserais partir d'ici aussi facilement avec des jambes dans cet état ? Impossible, ma petite, je vais devoir te nettoyer. Rassures-toi, je suis douée  pour ça. ♥

Je continue de la coller, je me doute qu'elle ne résiste, elle devait être rentrée en connaissance de cause. Mes queues nous encerclant étant quelque peu distante commencent à la toucher, la rapprochant encore davantage de moi.
- Tu cherches donc une personnes pour soulager tes pulsions... hmm?♥
Il se trouve que c'est exactement ce que je fais, en général. ♥

Je la relâche lentement, pour qu'elle puisse à nouveau se mouvoir, toutefois, je me place maintenant en face d'elle et, posant mes mains sur ses pommettes, rapproche lentement son visage de mien avec la ferme intention de l'embrasser. Je cherches à lui faire perdre ses repères, qu'elle ne sache plus trop où elle est ni ce qu'elle souhaitait faire, qu'elle réponde à ses pulsions en jouant allègrement avec moi, c'est ce que je cherche.

Alors que Juliette se dirigeait vers la sortie lentement car en réalité elle ne voulait pas vraiment partir. Elle était assez tiraillé intérieurement mais elle ne put pas vraiment réagir car Ahri se précipita sur elle dans son dos et l'empêcha d'avancer.

Durant ce câlin précipité, Juliette ressentit à nouveau le corps chaud la terranide contre elle. Elle sentait les queux se précipitait entre ses jambes. Les caresses et les attouchements la laissa soupirer d'aise.  A ce simple contact, elle ressentit sa mouille couler plus abondamment. Elle aurait voulu se laisser faire, continuer mais Ahri lui parla et lui demanda si elle cherchait à assouvir ses pulsions.

-Je... euh... C'est que...

Elle n'eut pas le temps de finir qu'Ahri la relâche soudainement. Juliette se retrouva alors nez à nez avec Ahri. Sa bouche était si proche. Juliette déglutit difficilement mais ne pu se retenir bien longtemps, elle se jeta sur la bouche d'Ahri en l'embrassant goulument. Dans le même temps, elle commença à se caresser avec sa main au niveau de ses parties charnels.

Quand le baiser prit fin, Ahri pouvait voir la jeune fille se masturber allègrement devant elle. Elle s'exprima:

- Depuis ces derniers jours, haaaa... J'ai des pulsions qui m'envahissent. Tu veux m'aider Ahri, à les calmer, s'il-te-plaîiiiiiit?

La pauvre petite était vraiment trop excitée pour faire autre chose que se toucher. En fait, si Ahri se déshabiller un peu ou entraîner Juliette dans des palpations. Elle se jetterai sauvagement sur Ahri pour mener ses petites affaires.

En attendant, elle restait à haleter et mettre de la mouille sur le sol d'Ahri. On aurait dit une chienne en chaleur qui attendait que sa maîtresse la guide. La frustration qu'elle avait ressentit ces derniers jours était en train de s'évacuer en ce moment même.

-Ahriiiii, j'ai tellement  besoin de toi, dis moi ce que je dois faire pour que ça s'arrête. J'en peux plus de penser à toi et de me sentir aussi salace.

Juliette se plaçait dans une position de dominante et attendait bien sagement les ordres de sa maîtresse. Elle serait sage et ne chercherait pas à partir. Non, là, ce qu'elle voulait vraiment c'était obéir à Ahri pour calmer cette faim qui l'envahissait depuis ces derniers jours.

- Crois tu que je te laisserais partir d'ici aussi facilement avec des jambes dans cet état ? Impossible, ma petite, je vais devoir te nettoyer. Rassures-toi, je suis douée  pour ça. ♥

Nous en étions donc à un rapprochement des plus corporel, la petite et moi. Elle semblait troublée de plus en plus à chaque seconde où je restais à proximité. Mais à mi chemin entre la taquinerie et l'explicite, la petite finit par prendre les devant en m'embrassant vivement, puis après quelques temps, elle se retira d'un bon pas et je pouvais constater qu'elle jouais d'une main sur son entrecuisse en me regardant.
- Depuis ces derniers jours, haaaa... J'ai des pulsions qui m'envahissent. Tu veux m'aider Ahri, à les calmer, s'il-te-plaîiiiiiit?

Je porte une queue à mes lèvres pour cacher un sourire, elle pouvait cependant deviner que je riais en se fiant au son. Ce fut à moi de porter le constat :
- Je lance une étincelle sur une brindille et je crée un vrai petit soleil...

Cependant, alors que petit à petit la voir s'exciter finissait par m'irriter, elle tenait à poursuivre :
- Ahriiiii, j'ai tellement  besoin de toi, dis moi ce que je dois faire pour que ça s'arrête. J'en peux plus de penser à toi et de me sentir aussi salace.

Il n'en fallait plus pour commencer à me voir vexée. La petite allait apprendre bientôt, mais pour commencer, il fallait cesser un chose immédiatement. Une de mes queues lui attrapa le bras avec lequel elle se masturbais pour le retirer avec plus ou moins de subtilité jusqu'à mettre sa main en l'air. La petite pouvait sentir avec une certaine brutalité que j'étais plus puissante que ce que j'avais l'air. Je n'espérais pas du tout faire mal à la petite, mais si elle ressent une gêne au bras d'être ainsi malmenée, ça ne me faisait ni chaud ni froid. L'excitation de la petite risque sans aucun doute de chuter, mais ce n'est pas un mal, il faut savoir rester un minimum mesurée pour laisser le plaisir exploser plus tard avec plus de passion.
C'est d'une voix plutôt froide - vu que j'étais irritée - que je lui dis:
- Je vais t'apprendre une chose en premier lieu, petite... Se masturber devant moi est à peu près similaire que de m'insulter... et tu as fais les deux en moins d'une minute...

En effet, plusieurs points de sa dernière phrase étaient perçu comme des insultes pour moi. D'une part, elle en avait 'assez de penser à moi' et qu'elle se sentait aussi Salace. Les sous entendus perçus étaient qu'elle ne voulait pas venir à la base parce qu'elle se sentait sale en ma présence, et cela m'irrite.
Toutefois, je me reprend bien vite en faisant descendre sa main couverte de mouille jusqu'à  hauteur de mes lèvres pour laper avec plaisir ce précieux liquide d'une bonne qualité. Profitant aussi du temps d'arrêt, je pose mon orbe à même le sol sous les pied de la petite pour absorber toute la mouille qu'elle a posée au sol. Après quelques secondes immobile, en relâchant son bras je lui dit :
- Si tu veux te soulager, demande à la maîtresse de maison, donc moi. Puisque tu es disposée à t'y mettre, laisse moi te guider jusqu’à la chambre. ♥

Je rappelle mon orbe à moi, avant de me dire qu'elle continuera sûrement à humidifier le sol de son précieux liquide. J'approche donc l'orbe près de ses cuisses avant de dire :
- garde donc mon orbe près de toi, ainsi, comme cela ton précieux liquide sera bien gardé. ♥

Puis, d'un pas rapide , j'avance vers les chambres, à l'étage.Une fois arrivées, je l'invite à se poser sur le lit pour continuer notre jeu :
- Assieds toi comme il te plaira sur le lit, nous commencerons dans un instant. ♥

Profitant du temps où elle s’assoit, j’ôte mes vêtement de deux mouvements, puis j'avance vers le lit à mon tour afin de l'embrasser à nouveau, en ôtant lentement ses vêtements à elle. Cette fois, elle peux lancer son excitation pour se faire plaisir, je me contenterais de l'assister.

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Mouais, je me sentais pas génial pour le coup. En espérant que ça aille mieux pour la suite.

Alors qu'elle était devenue complètement folle d'excitation, elle sentit une des queue saisir avec violence son bras pour l'empêcher de se masturber. Elle se mit à gémir de frustration. Elle écouta les paroles d'Ahri légèrement confuse et troublée. Elle avait fait honte à son hôte, elle, une Visconti! Pendant des siècles, elle serait la risée de la famille! Elle ne connaissait pas ce qu'il lui arrivait. Elle avait donc fait des erreurs de débutante. Comment pourrait-elle se pardonner un jour?

Ahri se mit à lui lécher ses doigts qui avait commis se pêcher si salace. La pauvre, il ne lui en fallait que bien peu pour que ses cuisses se remettent à goûter. L'orbe avait de quoi se nourrir ce soir.  Suite à quoi, Ahri lui indiqua la marche à suivre.

-J'aimerais être soulagée par toi, Ahri....

Elle ne savait pas si c'était réellement ce qu'il fallait dire dans ce genre de circonstance mais ne voulant pas qu'Ahri se fâche, elle utilisait donc le propre vocabulaire de la maîtresse de maison. Juliette la suivit donc en trvarsant un couloir, elle atteint ainsi une chambre. Elle s'assit donc dans le lit ne sachant pas trop quoi faire. Elle vit alors voir le corps ferme d'Ahri complètement nue. Devant ce spectacle, elle ne put s'empêcher de mouiller encore plus. C'était comme un délicieux rêve qui se dévoilait à elle. Alors, que la terranide se rapprochait d'elle, elle se contenta de serrer un peu les cuisses en gigotant.

Puis, ce fut le baiser, où elle sentit ses vêtements partirent en même temps qu'elle goûtait aux délicieuses lèvres de sa maîtresse. Car oui, en ce moment précis, la belle et puissante Juliette Visconti n'était qu'un objet de dépravation attendant les ordres de la personne en face d'elle. C'était la première fois de sa vie que ce genre de situation lui arrivait. Le baiser parut interminable et leurs langues se mélangèrent dans une danse effrénée.

Quand le baiser prit fin, Juliette pouvait admirer les yeux félins de son amante et sa magnifique poitrine rebondie. Une faim insatiable s'empara d'elle. Elle voulait goûter ce corps et y succomber. Elle s'approcha pour lui faire un baiser sur les lèvres et descendit petit à petit jusqu'à atteindre les seins d'Ahri et des les embrasser comme deux pépites de jade.

-Tu as un corps magnifique, Ahri. Tu es une reine que je me dois de servir. Commande-moi et j'obéirais...

Juliette était sous le charme. C'était sa première expérience et elle ne ovulait qu'une chose se faire plaisir en faisant plaisir à la reine en face d'elle. Elle avait tellement fantasmé sur Ahri qu'elle avait mis sur un piédestal. Il lui fallait obéir à cette personne qui pourrait lui apporter tant de bonheur. Le bonheur était une chose qu'elle ne pensait pas retrouver un jour sauf qu'elle avait peut-être une chance de le retrouver.