La petite paraît choquée. Choquée de s'être comportée de la sorte. Elle se mis à trembler comme une feuille. Je ne voyais pas vraiment le problème. Après tout, c'est l'excitation qui la dominait et elle ne connaît pas mes petites règles. Si elle craignait de ne jamais se faire pardonner, ce n'est au final qu'une petite mise en garde bénigne.
Je l'invite à me suivre aux chambres, où elle me répond une réplique pouvant être utilisée dans beaucoup de ces espèces de scène de théâtre érotique dans des boites sur Terre. En d'autres circonstance, j'aurais vérifié l'état mental de la petite afin de savoir si je ne l'avais pas déjà brisée, et ce, sans avoir encore rien fait de susceptible de pouvoir la briser, mais ce n'était pas dans mon optique actuelle.
Nous allons enfin entamer les préparatifs, elle me dévora du regard lorsque je me mis à nu, et elle eut l'occasion de goûter un peu lors du baiser que je lui offre peu après dans le but de la déshabiller.
Enfin, je me prépare à me laisser toucher afin de mesurer l'excitation de la petite, elle s'approcha pour m'embrasser à nouveau avant de jouer doucement avec mes seins, avant de dire :
- Tu as un corps magnifique, Ahri. Tu es une reine que je me dois de servir. Commande-moi et j'obéirais...
je devrais me sentir flattée, mais derrière un petit sourire de façade, dissimulée par une de mes queues, on pouvait percevoir une pointe de déception. Mais si la petite avait eu le temps de le percevoir, je vais rapidement prendre le dessus.
Sans rien dire, je la fait se coucher à coté de moi, au milieu du lit légèrement à gauche, pour me relever et la dominer en quelques instants. Couchée comme elle était, elle pouvait voir que j'étais devenue un peu plus sauvage dans mes traits, ne serait-ce que par les cheveux à présent un peu en désordre et mes yeux à nouveau fendus qui la fixent du regard. Je lui soupire, non sans révéler un peu d'ennui:
- Je te laisse l'occasion de laisser s'exprimer ton excitation sur moi et tu me laisse la main? C'est mignon. ♥ , je finis cette phrase sur un ton plus langoureux.
Je lui écarte doucement les jambes avec les miennes et je m'installe entre, me couchant presque sur la petite, nos entrecuisses et nos seins se touchent, cette fois à nus. La petite penserais sûrement que j'allais l'embrasser une nouvelle fois, mais je m'approche d'une de ses oreilles et lui susurre:
- La maîtresse va donc se faire plaisir, ma petite. Mais ne compte pas reprendre la main de sitôt. ♥
Je finis ma phrase en lui chatouillant l'oreille de la langue, pendant que mes queues entament déjà des caresses aux jambes et aux bras de la petite tandis que mon corps reculait un peu, se préparant à la suite des caresses. Avant de commencer, je lui souffle:
- Et si tu souhaites un ordre, petite, ta maîtresse t'en donne un : Exprime-moi tout le plaisir que je t'offre en le criant du mieux que tu peux. ♥
J'attaque enfin. Doucement d'abord, je l'embrasse puis, en cessant, je m'amuse de la langue avec son nez-truffe un instant, puis je descend à nouveau afin de lui lécher le cou. Pendant ce temps, mes mains avaient déjà attaqué ses seins, et à présent mes lèvres étaient à leur tour de la partie.
L'excitation me gagnait progressivement, il fallait comprendre aussi, pour une créature comme moi, se retenir de ne pas consommer une vierge sur place dans les deux minutes était déjà un exploit digne des records du monde, surtout quand la vierge en question mouille déjà abondamment et que cette délicieuse odeur me pénétrait la tête plus facilement encore qu'un sexe mâle bien loti.
En parlant de ma tête, la seule chose que je souhaite en ce moment est de laper ce doux nectar de vierge, ce que je fais sentir à la petite en lui grignotant doucement le seins comme le ferait un bébé cherchant à se nourrir. Je me sépare bien vite de son sein pour glisser de plus en plus bas, laissant peu à peu ses seins une nouvelle fois seuls pour arriver finalement à l'endroit le plus important. Mais, dans un plaisir à la fois sadique et masochiste, je ne commence pas par là. Au lieu de ça, je retire mes queues d'une de ses jambes et recommence la petite inspection entamée il y a cinq jours en lui disant:
- Nous n'en avions pas fini la dernière fois, hmm, ma petite? Aujourd'hui, c'est l'heure de l'inspection totale... ♥
À défaut de refaire les mêmes gestes, cette fois je lèche allègrement toutes les parties qui peuvent la faire remuer, des griffes aux coussinets en passant par chaque creux des muscles de sa cheville et du genou pour enfin arriver au vallon s'approchant de son entrecuisse qui devait sûrement avoir déversé déjà un torrent de cyprine en l'absence de ma langue pour le laver. Fort heureusement, j’entamais une bonne fois pour toute mon élément favori, qui consiste avant tout à nettoyer cette zone devenue humide à grand coup de langue tout aussi humide pour le plus grand plaisir d'entendre les gémissements de ma victime qui pour ce soir ne se débat pas pour s'en libérer. Je m'arrête un instant pour dire :
- Le traitement de la Maîtresse est à ton goût ? Je ne vais pas cesser... ♥
Je reprend en attaquant cette fois l'entrée de son vagin, où l'hymen était bien présent. L'écartant doucement sans pouvoir le rompre de la langue, je glisse ma langue en elle, tout en laissant une queue lui chatouiller le clitoris, et usant de mes bras pour bloquer ses jambes afin d'éviter que, par réflexe, elle remue brusquement.
Je m'apprête à des réactions de la petites, jouira-t-elle brusquement, ou aura t-elle le temps de me laisser l'écouter gémir de plaisir ? Quelque chose me dit que ça arriveras plus tot que prévu... ♥
