Nekomission [Veronika McRaven]

Aujourd'hui c'est jour de chasse pour Nagal ! Il prend son matériel dans sa sacoche, mais un de plus que d'habitude. Il a reçu sa dernière commande made in Tekhos. Il s'agit d'un brouilleur qui paralyse complètement la personne. Un nouveau joujou qu'il se plairait bien à essayer pour cette partie de chasse.  Il  prend son matériel  nécessaire et quitte donc la petite porte de sa boutique.  Son sabre est caché dans son kimono. Il se balade tranquillement dans la place principale du marché de Nexus à l'affut de la moindre proie qui se serait échappé du marché. Manque de bol il fait patte blanche et continue sa route sur les dalles éclairées par le soleil couchant.     

Arrivé à une intersection il s'engage dans une ruelle sombre et s'adosse à un mur. Il se demande quoi faire pour trouver une proie alléchante, mais par manque de chance complètement fortuite! La pierre froide sur laquelle il était adossé disparait pour faire place à un vortex d'énergie. Il tombe en arrière surprit et bascule dedans en laissant échapper un miaulement de surprise.  Lorsqu'il rouvre les yeux, il s'aperçoit qu'il est étalé sur le sol. Il se redresse lentement complètement déstabilisé. Une sonnerie sonne, il pense aussitôt à être dans une école.  Il se met à l'abri dans les toilettes avant que les couloirs ne soient bondés de monde. Des humains partout ! Aurait-il atterrit  chez les humains ? Grâce à son flair il peut dire que oui.  Il patiente dans la cabine aisément et fait mine de tirer la chasse d'eau quand il sort pour faire comme tout le monde.   

Il se dirige maintenant vers un grand bâtiment qui semble être un complexe sportif. Il y a des pistes d'entrainement pour la course. Il suppose donc que c'est une autre zone de l'école inexplorée. Il se promène proche des portes d'entrées du bâtiment et s'assure qu'il est vide avant d'y rentré.  Il y pousse la porte et marche sur le beau parquet tellement propre qu'on pourrait s'y voir dedans.  Il se dirige maintenant aléatoirement dans une des salles annexes et décide de s'enfermer dans les vestiaires pour être sur que personne ne le trouve.  Il se pose   minute pour réfléchir à des plans. Il pense qu'il pourrait revendre des pierres précieuses pour se faire du blé, mais  pour le moment il finit d'explorer le complexe. 

Arrivé dans la réserve, il voit des échelles d'entrainement, des tatamis,  des ballons, des poids, pleins de bordel partout pour faire de la gym ! Il continue de  s'avancer et voit même une queue. Il regarde d'ou viens cette queue, mais il s'aperçoit qu'une neko dormant dans une cape s'y trouve et dors déjà. Il part donc verrouiller la porte de la réserve et chloroforme la jeune fille. Il en profite pour essayer son nouveau jouet et le pose sur son corps pour ainsi la paralyser. La voila complètement à sa merci sans pouvoir bouger. Il va chercher de quoi ficeler cette demoiselle.  Il trouve des cordes d'entrainements qu'il utilise et ramène aussi de quoi la soulever. Il la dénude entièrement et  l'attache en croix à l'échelle d'entrainement fixée au mur. Elle est donc crucifier avec des cordes solides dans l'incapacité de bouger. Il prend alors quelques photos avec son téléphone afin de la faire chanter quand elle se réveillera. Il lui passe des cordes autour de sa taille et s'amuse à en faire passer une entre ses jambes. Quand elle bougera, ça fera un frottement et elle sera obligée de gémir.  Il fouille alors dans des tiroirs et trouve des accessoires érotiques. Un bâillon boule rose, un collier, une laisse et quelques accessoires SM. Ce lycée offre bien des surprises.   De retour à sa captive dans la réserve, il lui ouvre la bouche et fait passer la boule dans sa  bouche. Les lanières il les refermes derrière sa tête et la voici ainsi bâillonner. Il pose le collier sur le tatamis et reprend une série de photo avec son téléphone.   Son œuvre étant terminée il la réveille alors et lui caresse la joue doucement.  

-Bien dormi petite neko ? 

Il va alors chercher le collier et ouvre son téléphone dans le but de lui mettre la pression dès le départ. Pour qu'elles soient obéissante il faut parfois utiliser la manière forte et c'est le cas ici. Il  prend donc le collier de la main gauche et son téléphone de la main droite.  Il sourit alors en prenant une petite inspiration. 

-Deux options s'offrent à toi ma jolie.  Ou bien tu m'obéis  et je t'enfile ce collier, ou bien tu va passer un sale quart d'heure et les photos risquent d'être publiées sur le net.  Ais-je attirée ton attention ?   

Il regarde la jeune neko complètement attachée de la tête au pied. Même si elle essayait de bouger, elle pourrait pas, car elle est paralysée et immobilisée. Le temps qu'elle reprenne ses esprits.  Il tourne au tour d'elle pour l'évaluer du regard.  Cette proie parfaite. Finalement il n'a pas eu besoin de chasser. Cette traversée de vortex est une chance, car c'est une proie qui est venue à lui sans qu'il est besoin de rien faire. Son petit joujou technologique semble très efficace.   

-Premier ordre : Tu feras tout ce que je t'ordonne. C'est compris ?   

Une promenade pénible, un lycée peu attirant rempli d’humains en tout genre. Quelle idée d’y trainer encore aussi ? Mais bon, ce n’est pas tout les jours qu’une faille lui permettait de se promener librement d’un monde à l’autre. Et entre un désert de sable et une potentielle planète plus viable, il n’y avait pas photo sur le choix à faire. Elle avait pris la faille en pleine conscience que l’autre monde serait peut-être pire encore. Heureusement ce ne fut pas le cas, c’était un monde rempli d’humain, elle y était déjà passée dans le temps. Cette fois le bâtiment était une sorte d’école, elle était dans un couloir à l’étage, difficile, donc, de partir se cacher. S’enfermant dans sa cape et mettant la capuche, elle traversa les couloirs en courant, direction le niveau du sol, puis la cour, enfin une sonnerie la force à changer ses plans. Cette fois elle prit le premier bâtiment venu, il commençait doucement à se faire tard, c’était certainement l’heure où tout le monde sortirait des bâtiments, aussi, voyant une fenêtre ouverte, elle y sauta sans réfléchir. Une chute amortie par des tatamis lui confirma que c’était une réserve, remplit de cordes, de bâtons, d’objet pour jongler, des cerceaux, mais aussi des tremplins et chevaux d’arçons... C’était donc une salle de gymnastique, en tout cas un stockage pour la grande salle qui devait être de l’autre côté de la porte. Au mur elles ont la fenêtre, une aération, un espalier de gymnastique et des poignées fixées au plafond pour faire des tractions. C’est donc sur les tatamis qu’elle se posa, couchée tranquillement en attendant de savoir quoi faire de la journée de demain.

Ce qu’elle ignorait c’est qu’on n’était le lundi, il n’y avait pas eu sport et c’est donc par chance qu’on ne l’avait pas encore trouvée. Elle n’avait même pas pris la peine de fouiller tous les meubles autour, elle doutait un peu d’y trouver des choses utiles. Aussi elle s’endormit sans même se changer, elle ne portait qu’une cape servant à se cacher et une culotte noire en dessous, même pas le moindre tissu pour cacher sa poitrine. Encore moins des gants et bottes hautes pour cacher les prothèses, c’est pourquoi elle devait encore réfléchir à comment se cacher. Et ce n’était pas les quelques vêtements de réserves dans les tiroirs qui allaient pouvoir l’aider, entre les shorts courts de sport et les t-shirts à manche courte... Bref, pas de quoi se changer ici, peut-être devrait-elle tenter les vestiaires demain. Pour le moment elle n’était pas entourée par le désert, les animaux sauvages, ni même la guerre... Donc se reposer était enfin possible ! C’est pour cela qu’elle s’endormit paisiblement, coupant même son alerte de proximité se doutant que si un humain passait elle pourrait largement le maitriser. Bien sûr elle ne partait pas du principe qu’on pourrait tenter de faire autre chose que de la tripoter pendant son sommeil, comme par exemple lui mettre lui mettre du chloroforme devant la bouche pour l’endormir encore un peu au petit matin.

C’est ainsi qu’elle ne se rendit pas vraiment compte qu’on la déplaçait, ni qu’on lui retirait ses habits, quand elle ouvrit les yeux il était déjà trop tard en fait. Soulevée elle avait été prise en photo contre un mur, fixée en croix elle avait été dénudée entièrement. Ce qui en bien des situations ne la gênait pas vraiment, voir pas du tout à vrai dire... Elle sentit enfin une corde entre ses cuisses alors qu’elle s’éveillait sous le bruit de capture de l’appareil photo numérique. Car oui ces choses imitaient souvent le bruit des anciens appareils pour signifier à l’utilisateur qu’une photo était prise. Elle observa alors le regard hagard, ce qui se tenait devant elle, un homme en kimono... Voilà qui était rare, elle était donc dans un lycée japonais ? C’est sans doute pour cela qu’elle n’avait pas sur lire tout les symboles sur les murs. Ses dictionnaires de japonais n’étaient pas de cette époque, aussi elle avait du mal à tout traduire à la volée. Mais pourtant elle comprit clairement les dires de l’homme, et rapidement elle força pour tenter de briser les cordes... Mais sans avoir de recul, c’était difficile. Elle écouta donc, la menace contre son gré, voyant le collier, elle réalisa la présence de la boule dans sa bouche... Impossible de parler ainsi ! Le collier rouge ne la rassurait pas, c’était certainement une sorte  de pervers qui voulait abuser d’elle...

Cela s’annonçait étrangement amusant au départ, mais elle voyait bien qu’il n’était pas humain, donc ce gars voulait sans doute lui faire des choses horribles, comme la mettre en vente... Pourtant il parlait juste de lui faire du mal ou bien de mettre les photos sur le net. Ce qui pour elle était le plus dangereux, car une fois en ligne elle ne pourra plus se promener discrètement sur cette planète. Hochant la tête, elle se demanda bien ce qu’il voudrait d’elle, si c’était juste jouer à un jeu pervers il aurait simplement pu lui demander... Il avait donc une autre envie en tête, sentant son regard tourner autour d’elle, elle comprit qu’elle était paralysée pour le moment. Rapidement elle vit qu’il avait sur lui un brouilleur, ce n’était sans doute pas destiné à être employé sur elle, mais en tout cas il l’empêchait de profiter pleinement de la force et puissance de son corps... Diantre, où avait-il choppé cette chose ? L’entendant encore, elle hésita à hocher la tête, ce type était louche, il pourrait bien lui faire pire que de jouer sexuellement avec elle... Comme la démonter ou encore la tabasser à mort, voir la tuer tout simplement... Aussi elle hocha la tête pour la dernière fois, encore embêtée par cette corde qui passait contre son sexe sans pour autant arriver à l’exciter.

Voir sa victime se réveiller totalement immobilisée est un vrai régal pour le neko. Sa partie de chasse s'annonçait plutôt amusante. Voyant qu'elle ne pouvait rien faire à part hocher la tête, il s'approche de la neko en lui caressant la joue sensuellement. Après avoir rangé son téléphone dans sa poche, il fit un geste délicat de la main pour venir caresser le cou de la jeune neko. Il prend le collier avec ses deux mains et dégage l'arrière de ses cheveux pour venir lui enfiler le collier proprement. Une fois fait, il remet tout en place. Il la regarde un instant de la tête au pied. Il ne lui manque plus qu'une laisse à cette petite. Il fouille dans son sac-à-dos et sors une laisse rouge qu'il accroche au collier.  La laisse pendouille alors le long du corps de la jeune fille, il vient la ramasser et la mettre à l'échelle pour pas qu'elle traine par terre.  Il passe sa main pour venir lui ôter son bâillon boule afin qu'elle puisse parler si elle le désirait. 

-Tu est ravissante ma jolie. C'est quoi ton nom ? 

Se présenté ? Il n'en voyait pas l'utilité puisque la jeune fille pouvait se faire un avis précis sur le type de personnalité qu'il est. Cependant elle ne peut pas devinée son nom. Il va lui donner en temps et en heure, mais pour l'instant. C'est à elle de répondre, car c'est elle qui est à la croix. Attachée dans cette position des plus délicieuses lui offrant tant de possibilité de tortures plus ou moins vicieuses.  Dommage qu'il n'est pas tout son arsenal. Sinon elle aurait passée un mauvais quart d'heure pensait-il.  Le Neko à été gentil encore, il ne lui a pas bandé les yeux. Le voila qui s'avance proche d'elle.  Elle peut y voir un oeil orange et blanc.  Deux yeux qui ne sont pas de la même couleur. 

-Si tu te demande où nous sommes. Sache que je n'en est pas la moindre idée non plus. Ces caractères sont illisibles. Je pensais à un lycée japonais. 

Il montre l'écriteau de la porte de la réserve dans laquelle ils se trouvent tous les deux. En effet, les caractères sont bien différents de ceux de Terra. Comment allaient-ils faire loin de chez eux ? Il n'en avait pas la moindre idée, mais pour le moment il est question de s'amuser.  Il touche le cordage et semble avoir une idée derrière la tête. Il commence à détacher la jeune fille en douceur sans trop lui faire de mal.

-Montre moi donc ce que tu sais faire au lit. Qu'on s'amuse un peu... De toute façon, qu'on le veuille ou non. Il n'y a que ça à faire pour le moment.

Il la rejoins sur le tatamis vide et s'assoit en la regardant de haut avec un air amusé. Il s'allonge sur le dos, laissant alors un espace vide d'angle mort. Si elle est assez rapide elle pourait aisément inverser la situation.  Il a les yeux fermé en attendant qu'elle bouge pour venir le rejoindre. A trop vouloir jouer, cela pourrait se retourné contre lui si la jeune fille décidait de se rebeller contre son agresseur.   Il prend une grande bouffée d'air frais et patiente.  Laissant sa sacoche à proximité. Elle contient divers accessoires, cordes, bâillons. De quoi jouer pour un ou une dominatrice. Vu qu'il chassait.  Il regarde le plafond et fini par lui donner son prénom. 

-Je m'appelle Nagal Kione.  Dis moi tu n'est pas une neko ordinaire. Qui est-tu réellement ?   

Cela avait le mérite d'être assez clair. Il avait senti quelque chose en elle qui la différait des autres nekos de leurs race respective. A tous les coups elle devait valoir une petite fortune, mais pour le moment il n'était pas question de la capturer. Il ne sait pas quoi encore en faire de cette petite. Surtout s'ils sont coincés dans un monde bizarre tous les deux.   

Un collier et une laisse ? Mais c’était quoi ce délire, non pas qu’à cause de son espèce elle n’ait jamais imaginé cette situation ? Tout le monde le fait au moins une fois, de s’imaginer en laisse à la place du chien... Que ce soit par fantaisie, ou par fantasme, ou encore par erreur. Mais là c’était réel, un collier autour de sa gorge et sa nuque, une laisse rouge clair qui pendouille contre son corps. Elle Véronika est encore retenue pour le moment, et paralysée aussi, donc aucuns moyen de réellement se défendre contre cet homme. Enfin homme, comme lui il semblait apparenté à un animal, mais il était encore plus étrange qu’elle, avec ces yeux de différentes couleurs. Enfin elle sentit la boule sortir de sa bouche, dieu que ça soulageait sa mâchoire qui était fatiguée à force de mordre là dessus. Elle le fixa méfiante s’attendant au pire comme recevoir subitement des litres et des litres d’eau froide dans la bouche... Histoire de la laver de ses mensonges à venir ou un truc du genre. Mais ce jeune fou se contentait de la complimenter et lui demander son nom. Elle ignorait encore s’il fallait répondre ou non, au moins elle ne devait pas l‘appeler maitre c’était un bon début. Aussi mécontente pour le moment et encore paralysée elle se contenta de lui répondre tout en constant que seules ses parties motrices étaient touchées :

- McRaven, Veronika McRaven.

Dit-elle en lui crachant presque les mots à la figure, c’est qu’il ne méritait pas vraiment selon elle de connaitre son nom. Enfin dans le pire des cas elle aura la sienne plus tard et pourra le traquer, qu’importe où il se cachera ! Enfin cette tâche s’approcha d’elle, montrant encore mieux ces horribles yeux déséquilibrés, quel manque de charme ? Mais il préféra lui donner une réponse plutôt qu’un ordre, disant que cet endroit était un lycée japonais, cela confirmait donc ces pensées. Elle était de nouveau sur terre dans le passé, de nombreuses années avant son époque sans aucun doute. Voyant ce qu’il montrait, elle hocha la tête, de toute façon maintenant son programme de traduction allait prendre le relais, sauf pour les cratères trop vieux pour lui... Mais ça, c’est autre chose, elle sentit doucement les cordes se défaire sous les gestes de l’homme. Qu’allait-il donc lui faire ? Détachée elle tomba comme une buche sur le sol n’ayant pas récupéré sa motricité complète. Brouillée comme elle l’était il lui était impossible de bouger facilement, c’était la seule raison pour laquelle cet homme vivait encore.

Aussi elle l’observa tout en se relevant lentement, c’était pénible de bouger dans cet état. Le voyant, elle nota une occasion de le réduire en miettes, mais sa précision serait amoindrie avec ce brouillage. Approchant péniblement elle entendit son nom, elle le fixa de haut, car elle était de toute façon encore debout.

- Juste une femme chat tout ce qu’il y a de plus normal... Et je ne couche pas avec les pervers dans ton genre pour information !

Dit-elle en se stoppant au pied du tatami prêt à lui tomber dessus de tout son poids à ce rythme... Mais ça ne serait pas assez pour le tuer, au pire ça lui couperait le souffle et lui ferait mal un petit moment. C’est donc ce qu’elle fit, tombant de nouveau comme une brique un bras plié devant elle pour tomber sur sa gorge et l’étouffer. Cependant comme elle le craignait elle ne contrôlait pas grand-chose. Sa précision défaillante la fit tomber sur le coté du gars, pas de quoi l’étouffer avec son bras, elle était coincée à côté de lui sur le ventre toute nue encore...

- Fuck... tu ne payes rien pour attendre, attend que je puisse bouger, t’es mort sale pervers !

Pour le neko allongé sur le tatamis tout se passait comme prévu. Non seulement elle lui donne son nom, mais en plus elle répond sagement à ses questions. Il la regarde essayer de rejoindre le tatamis avec difficulté. Ce jouet paralysant est vraiment très efficace. Elle est complètement à sa merci.Fort heureusement pour lui, car elle lui a annoncée haut et fort qu'elle veut l'assassiner dès qu'elle en aurait l'occasion. Cela lui fait sourire et le voila qui sourit alors en fixant le plafond. Il est vrai qu'elle a l'air sacrément balaise, mais dommage pour elle son joujou technologique l'est lui aussi et la prive de pas mal de ces mouvements. Le gymnase est vraiment un bon endroit pour s'amuser. Il prend une petite inspiration avant de répondre. 

-Véronika ? Joli prénom. 

Il est temps de commencé son dressage, mais pour le moment elle grimpe sur le tatamis la pauvre. Elle lui dit être une neko comme toutes les autres et qu'elle ne couche pas avec les pervers. Ce qui le fait doucement sourire une fois de plus. Si elle n'était pas perverse elle ne lui aurait pas proposé  cinq minutes plutôt en disant que s'il aurait voulu il lui suffisait de demandé comme tout le monde pour jouer avec elle, mais comme il est du genre à prendre sans demandé. Cela peut parfois créer conflit avec la personne. Ce n'est pas son problème.  Cette petite neko a un comportement des plus arbitraires et peu obéissante qu'il allait vite lui faire changer. 

-Ah oui ? Tu ne couche pas avec les pervers ? Pourtant on dirait bien que oui !

Il dit ça pour l'énerver et la titiller un peu. Une personne énervée perd son sang-froids et ses moyens de répondre clairement ou d'agir.  Sa phrase est d'autant plus provocante dans le sens ou elle se jette sur lui pour essayer de l'étrangler, mais elle rate sa cible et tombe à coter de lui et est allongée sur le coté. Toujours paralysée elle ne peut vraiment rien lui faire.  La voilà qui lui prolifère des menaces de morts et d'autres choses pas très plaisantes. Chaque problème ayant une solution, il la regarde dans les yeux calmement avec un petit sourire mesquin. 

-Ne dit rien que tu pourrais regretter par la suite.

Il lui met une main sur sa bouche l'empêchant ainsi de dire d'autres choses si elle le voudrait. Il attrape sa sacoche avec l'aide de sa queue de chat et en sors de quoi l'attacher. Il passe alors sur son dos après l'avoir mise sur le ventre et s'assoit sur ses mains le temps de la bâillonner avec un gag ball ring. Cela lui permettra de s'amuser un peu plus tard. Il  descend de la jeune fille et  attache solidement ses mains au dos. Elle ne peut plus du tout bougé d'un pouce ni fermer sa mâchoire afin de mordre ou de crier inutilement.

 Il se met en face d'elle et s'assoit de façon à placer ses jambes à droite et à gauches de la jeune fille. Il s'adosse tranquillement au mur et met la neko un peu en travers de ses jambes. Il dézippe sa  braguette et le bouton du haut pour enlever le haut de son pantalon. Il libère son membre à l'air libre et il lui enfonce dans sa bouche entravée sans aucune forme de pitié.  Il faut punir les vilaines filles. Pour une fois que la bouche sert à autre chose qu'à dire des anneries, il compte bien en profité !  C'est une punition pour avoir osé lui proliférer des menaces de morts. Il n'y va pas de main morte avec elle.  Afin de lui faire comprendre qu'elle n'a pas d'autres alternatives que de lui obéir.    

Allonger sur le tatami elle ne pouvait plus vraiment rien faire, sa tentative de rébellion n’avait pas porté ses fruits et maintenant elle était plus que probablement prise au piège pour de bons ! Enfin surtout pour de vilaines choses avec ce gars-là. Pourquoi diable cela devait-il lui tomber dessus ? Lui se contentait de la regarder calmement sans doute en train de penser à son prochain mouvement. Déjà il lui ferma la bouche avec sa main et l’horrible gout salé de sa peau... Elle n’aimait pas ce genre de bâillons, mais la suite ne lui plaisait guère mieux. En effet ce psychopathe était en train de l’attacher comme un saucisson, les mains coincées dans le dos, un anneau de métal en bouche qui goutait le fer plus qu’autre chose. Avec ça impossible d’articuler et encore moins de crier sur lui. Mais la corde restait le plus douloureuse, les mains attachées dans le dos elle ne pouvait bouger sans sentir ses épaules tirées dans le mauvais sens. Heureusement pour le coup que les prothèses n’envoyaient pas de douleurs comme de vraies épaules... Elle n’avait donc pas plus mal que ça à cause de son corps, mais ça restait vraiment pénible d’être ainsi couché sur le ventre.

Enfin il se tenu devant elle, sa verge à l’air qui venait de sortir de son pantalon... Elle l’observa se mettre en place avec dégouts, c’était un sauvage. Son membre tendu ne tarda d’ailleurs pas à rentrer dans sa bouche, violant cette dernière sans ménagement, forcer d’avaleur elle ne put même pas protester. Elle n’aimait pas cela du tout, mais impossible de morde dans de telles conditions... Enfin elle tenta un peu, mais ce ne fut pas d’un grand effet, sa mâchoire était humaine encore... Inutile donc de forcer, ça ne marchait pas, l’observant avec haine, elle fut donc forcée de sucer ce membre, bien qu’elle ne démontra aucune forme d’enthousiasme à la chose, pire elle ne refusait de coopérer. Elle se laissa simplement violer la bouche en gémissant et respirant de son mieux par le nez pour ne pas étouffer quand même.

Donner une leçon d'obéissance à cette neko. Voila ce qu'avait prévu Nagal pour l'heure actuelle. Ce regard pleins de haine, il s'en contre-fiche. Il aime ça même. Il y va de plus belle pour se faire plaisir à violer sa prisonnière. L'empêchant ainsi de mordre ou de s'enfuir de quelques façon que ce soit, il profite d'une bonne fellation. Bien que ça ne lui plaise pas à elle, il s'y donne à cœur joie pour faire des vas et vient dans sa bouche sans pour autant l'étouffer avec son gros membre.  Il finit par jouir dans la bouche de cette dernière laissant couler un petit filet de semence.  Il l'essuie quand même avec un bout de tissu, puis change de position. Il la regarde alors complètement saucissonnée par les cordes.  Elle fait envie toute nuie attacher comme ça.  Il vient lui murmurer à l'oreille en tirant un peu sur la laisse du collier.  

-Tu as intérêts à m'appeler Maitre et à me vouvoyer.  

Pour lui prouvé qu'elle a intérêt à le faire il passe derrière sans ménagement. Il se place de façon à être bien confortable et commence à caresser son intimité avec sa main, puis il y rentre tranquillement son membre. Une fois en elle le neko n'a aucun remord à faire des vas et vient et à la faire couiner un  peu. Généralement les gens apprécient quand on s'occupe d'eux. C'est ce que le neko pense actuellement de McRaven. Il viole son intimité en s'appliquant et en y allant bien fort. Ce gymnase offre une discrétion parfaite pour ce genre de parties. D'ailleurs vu les objets trouvés dans les vestiaires, il pense que d'autres élèves ont eu la même idée que lui.  Il s'amuse même à donner des fessées à la neko en même temps qu’il la pénètre avec envie.   La pauvre fille bâillonnée avec Nagal doit en voir de toutes les couleurs.

Après avoir jouis une seconde fois en elle et après avoir rendu ses fesses bien rouge. Il se penche alors vers elle. Il s'abaisse et se permet même de lui rouler une pelle. Elle a de la chance de ne pas être dans la maison du neko, car la-bas il y avait tous les accessoires possibles et inimaginable. Pour torturer les personnes, il pense qu'un second portail serait la bienvenue, mais comme ça à l'air d'apparaitre aléatoirement.Il ne se fait pas trop d'illusion concernant ce sujet. Il lui retire son bâillon à présent. Il la ridiculisé, couvert de honte en la violant, mais il y a une chose qu'il n'a pas encore fait. Il se dirige tranquillement derrière et se charge de lui faire une pénétration anale afin que l'humiliation soit complète.  Il ne se gène pas pour la pénétrer  par anal. Il fait une série de vas et viient tout en lui tenant le bassin.  

-Aller dit moi que tu aimes ça petite câtin !  ♥      

Elle le laissait faire et ne mordait pas pour le moment, mais c’était surtout à cause de son jouet qui pouvait la paralyser à tout moment... Veronika était certaine d’y rester en cas de résistance, et d’un côté une fellation forcée par cet homme n’était pas encore de trop pour rester en vie. De toute façon avec ce qu’elle avait en bouche impossible de mordre sans se briser les dents ! Coincer elle le laisse donc profiter de sa bouche, son air toujours mauvais elle attendait que cela se termine. Mais elle n’avait malheureusement aucun plan pour la suite, bien trop attachée pour pouvoir se mouvoir facilement, bien trop coincée pour résister. Sans gène l’homme éjacula dans sa bouche, contre toute attente elle avala, l’idée de le recracher était bien présente, mais elle était certaine qu’il aurait put lui réserver pire si elle l’avait fait. Enfin, l’écoutant de force dans sa position insoutenable, elle ne répondit pas. Cette phrase n’attendait aucune réponse de toute façon, c’était juste une mise en garde pour l’avenir elle en était certaine.

Aussi elle le sentit se déplacer autour d’elle, elle voyait déjà bien venir la suite, cet homme était plus que prévisible dans le fond... Un pervers tout ce qu’il y avait de plus classique, profitant de la situation sans limite ni retenue. Sentant sa caresse sur son sexe humide, elle rosit fortement, heureusement il se passa de commentaire sur le fait qu’elle soit déjà un peu humide. Mais rapidement avec les caresses elle mouilla un peu plus, et, quand cela sembla assez pour lui, il entra en elle, lui arrachant un long cri, entre plaisir et douleur... Il était assez brutal comme homme. Il bougeait sans penser à elle le moins du monde, faisant monter son plaisir un bon moment, mais sans lui permettre de jouir non plus. Pire les claques sur les fesses la faisaient pousser de petits cris de douleur à chaque fois... Heureusement que le bâillon étouffait une grande partie des bruits qu’elle pouvait émettre... N’ayant aucun choix, elle le laissa jouir en elle, ouvrant grand les yeux surpris en le sentant se répandre sans dire mot en elle.

Les fesses rouges elle le sentit se retirer, soulagée autant que frustrée elle tenta de regarder où il allait, mais pas moyen de le voir avant qu’elle ne s’aperçoive qu’il venait pour l’embrasser. Ce satané anneau l’empêchait de lui arracher la langue, mais aussi de refuser le baiser. Enfin elle sentit le bâillon partir, fatiguée et trempée elle l’observa sans dire mot le souffle court encore. Lentement elle le vit partir et comprit qu’il allait remettre cela, mais sans le bâillon pour l’aider à retenir ses cris ils risquaient de se faire prendre ! Cela dit cette fois elle cria clairement de douleur quand il entra dans son rectum avec sa force et sa vigueur de jeune homme. Impossible de ne pas gémir sous les coups qu’elle prenait, son fessier encore douloureux des claques la tiraillait entre douleur et plaisir. Ce salopard n’en manquait pas une, le voilà qui lui demandait maintenant de dire qu’elle aimait cela... Hors de question ! Mais ne risquait-elle pas d’être encore punie si elle ne répondait rien ? C’était pour elle mieux que de devoir subir cet affront ! Serrant les poings, elle se retint donc de parler pour ne pas lui faire ce plaisir.

Le neko s'en moquait bien de ce qu'elle pouvait ressentir vis à vis de lui. Ainsi lors de sa pénétration, il put aisément abuser d'elle et l'essouffler. Elle garde le silence, mais n'en est pas restée indifférente. Il continue encore un peu de la faire souffrir de plaisir avant de s'attaquer cette fois à sa poitrine. Qu'elle ne dise rien, montre qu'il y avait encore un peu de travail à faire et à cela il allait donc le faire à la seule partie du corps qu'il n'avait pas encore touché : sa poitrine. D'un geste il empoigna l'un des seins de Veronika et s'amusait à le masser. Puis, vint les deux mains, sur les deux seins. Les touchant avec poigne et expertise, il s'amusait même à tirer un peu sur le bout rose à l’extrémité de la poitrine, pour la faire couiner un peu. Ces sensations étaient agréables pour lui. Ainsi donc, il la mit sur le ventre, mais lui banda les yeux avec un foulard. Il passe alors sa langue chaude et rapeuse sur ses tétons.   

Il la laisse un petit instant comme ça sur le tatamis, le temps de fouiller dans son sac et de prendre une cravache. Il repasse ensuite à coté d'elle et s'amuse à lui donner des petits coups forts et précis aux parties sensibles. Surement pour faire rougir la peau à cet endroit et y laisser des traces des plus plaisantes. La douleur et le plaisir. Voilà ce qu'il aime ! Et vu qu'elle ne peut pas savoir d'où viennent les coups de cravache, ça doit la surprendre à chaque fois.  Une fois bien rougie, il la regarde et caresse l'intimité humidifié de la première fois de la neko. Il y rentre ses doigts et commence une série de vas et vient. Il continue de la cravacher un peu partout et à masser un de ses seins en même temps.

-Alors, est-tu enfin disposée à m'obéir ? 

Il lui libère une main et la met au niveau de son entre jambe à elle de façon à ce qu'elle puisse se soulager elle-même. Deux options s'offrent donc à elle. Où bien elle s'entête à désobéir et pas question de la détacher selon le neko, ou bien elle obéit et il pourra la détacher et lui donner des ordres plus plaisant pour eux deux. Pour le moment il a envie de la voir se faire plaisir, alors il ne se gène pas pour sortir son téléphone et la filmer un coup. Seulement, elle ne le sait pas, car elle a les yeux bandés.  Il lui donne l'ordre d'un ton ferme et autoritaire. De toute évidence, ça lui fera une vidéo supplémentaire en guise de moyen de pression.  Cela lui permettait aussi de savoir le niveau de soumission de la cible et il pourra agir en cas de nécessité.

-Je veux que tu te  doigte. Montre moi comment tu t'y prends pour te faire plaisir. Aller plus vite que ça ! 

Il n’arrêtait pas, un vrai champion, mais surtout un tortionnaire hors pair ! Finalement après l’avoir torturée durant de longues minutes il s’attaquait maintenant à sa poitrine... Pour le coup elle était contente d’en avoir une fausse, même si d’un autre côté cela se comportait comme une véritable poitrine, du moins en apparence. C’est sans dire mot qu’elle le laissa encore abuser de son corps, de toute façon il était déjà passé partout alors bon... Il tirait sur ses tétons comme si elle n’en aurait pas mal, mais elle grimaçait un peu tout de même. Après tout ce n’était pas fait pour qu’une tire dessus ainsi ! Comme toujours il ne montrait pas la moindre pitié et usait de son corps à elle comme bon lui semblait ! Enfin elle eut les yeux bandés et fut tournée sur le dos, aveuglée et soumise elle le sentit caresser de sa langue sa poitrine. Pensait-il pouvoir lui échapper en lui bandant les yeux ? La vision thermique fit rapidement son travail, bien qu’elle ne le voit plus distinctement elle l’observait encore. Mais à quoi bon lutter dans le fond, il était inarrêtable et ne cessait son petit jeu de domination. Enfin il se stoppa pour aller fouiller quelque chose, elle ignorait quoi à vrai dire, mais elle s’attendait au pire pour le moment.

Enfin elle reçut un coup, puis d’autres et cria de douleur à chaque fois, sauf les coups sur ses parties mécaniques bien sûr. Mais il visait particulièrement bien de toute façon, son sexe prit plusieurs coups et rougit alors fortement, elle mouilla un peu, mais continua de couiner. C’est qu’il n’y allait pas de main morte et ça devenait vraiment dur à supporter, ses seins tout rouges, son sexe rouge et gonflé, elle ne tenait plus, elle voulait vraiment que cela se stoppe... Heureusement elle pouvait un peu voir venir les coups avec sa vision infrarouge, mais ce n’était pas assez précis. Aussi elle criait chaque fois plus fort sous la douleur et la surprise. Cette douleur sans fin devenait vraiment pesante, elle devait se retenir maintenant pour ne pas hurler à mort tant cela devenait insupportable. Enfin elle le sentit entrer en elle, mais pas sa verge à nouveau, non cette fois c’était des doigts long et agile. Gémissant lourdement, tout humide qu’elle était, elle le sentit continuer à mettre des coups et cria encore de douleur.

C’est qu’il ne comptait pas arrêter, devait-elle encore rester ? Elle tenta de le faire un moment, mais son souffle trop court et ses nerfs à vif lui firent sans doute perdre la raison.

- Oui maitre, oui, mais arrêter je vous en supplie !

Elle avait cédé, elle ne voulait plus avoir à souffrir la martyre plus longtemps. Mais il ne semblait pas vraiment en avoir quelque chose à faire, si ? Ha si, car il lui libéra une main contre toute attente, un peu particulier, tout de même, voulait-il se faire tuer ? Certainement pas, au contraire même, les yeux bandés toujours elle ne vit pas le téléphone sortir de sa poche, aussi c’est insouciant qu’elle se demandât quel serait donc la suite de cette folie. Mais rapidement il donna un ordre et elle fut obligée de rosit en l’entendant, déjà elle n’avait pas envie de le faire, et puis de toute façon elle avait déjà pris bien trop de plaisir contre son gré pour aujourd’hui.

- Aller donc vous faire foutre maitre !

Les couinements de douleurs provoqués par le fouet de Nagal font leurs effets sous cette neko qui se tord de douleur et de plaisir mélangés. Le fait qu'elle commence à mouiller indique au mauvais neko qu'elle y prend un petit peu de plaisir. Toutefois, la pauvre jeune fille fini par craqué et devient toute rouge à cause des marques laissée par le fouet. Il lui est difficile de se cacher à présent. Que faire pour continuer de la martyriser et lui imposer le respect ?  Il réfléchit en mettant sa main sur le menton et la voila qui se met à l'insulté. Quelle goujat  !  Il  la prit alors par le menton histoire de bien lui faire peur. 

-Dit-donc petite neko ? Depuis quand on insulte son Maitre hein !?   

Il la lâche  et fouille un peu dans les tiroirs avoisinants du coté du vestiaire des filles la laissant un peu réfléchir à ce qu'elle venait de faire. Il y trouve ce qu'il cherchait en mieux ! Un vibro fonctionnel et avec plusieurs niveaux de réglage. Il trouve plusieurs matériaux érotiques et les ramènes tous ici à coté de la jeune fille.  Il les organises et s'assit à coté d'elle avec un sourire inquiétant sur le visage. Le matériel érotique humain allait pouvoir être testé dans d'excellente conditions.   

-Tu mérite une petite punition ma chère.   

Il prend le vibro argenté et l'allume pour lui faire comprendre ce que c'est. Il la regarde et lui agite sous le nez. Les vibrations provoqués par l'engin sont suffisamment audible pour être entendue. Elle devrait commencé à paniquer comme l'espère le neko maléfique. Il commence  à caresser son entre-jambe avec sa main puis appuie sur son intimité tranquillement avec ses doigts.  Il augmente le niveau du vibromasseur et  le place très prêt du vagin de la fille.  Il lui dit alors d'une voix grave et menaçante.   

-Tu sais ce que c'est ça ? C'est ce qui va te rentré tout de suite en toi...   

Il rentre en elle avec le vibro sans sommation et sans crier gare vu qu'elle a les yeux bandés.  Cela rentre assez facilement, mais vu qu'elle a les lèvres rouge un peu enflé à cause du fouet ça a du lui provoqué une petite douleur au passage. Maintenant qu'il est dedans il le règle un peu plus fort et il lui laisse  à l'intérieur en mettant un bout d'adhésif dessus pour l'empêcher de glisser de ses jambes.  La voila avec un objet vibrant vaginalement totalement à sa merci. Il peut donc continuer de la torturer et il ne se gène pas pour retourner la neko et la mettre sur le dos. Ce qui appuie un peu sur l'objet en elle, mais ça lui provoque plus de plaisir qu'autre chose.  Il prend un des godes et lui fait une petite pénétration anale en même temps.  Il se dit qu'il pourrait la droguer par la suite pour en faire une vraie petite personne soumise. Déjà ce traitement de faveur avait de quoi lui faire quelques frissons d'inconforts et de plaisirs. Les humains ont vraiment de tout dans leurs casiers parfois...   

Il était ignoble avec elle, elle avait déjà mal avec les coups, et la suite le serait certainement encore pire ! Une main libérée ne suffisait pas à s’enfuir en de bonne condition. Et puis les yeux bandés non plus n’allaient pas aider, elle pouvait voir la chaleur, mais difficilement les murs aussi froids que l’air autour d’elle. Mouillée comme une petite chienne en chaleur elle fut forcée d’attendre la suite contre son gré. Il parlait donc de l’avoir insulté, ce qui n’était qu’à moitié faux, pris par le menton elle comprenait bien qu’il jouait les gars mécontents. Mais elle n’avait pas vraiment de quoi avoir peur, il allait certainement continuer en lui faisant subir de pires humiliations. Ce qui d’un côté ne lui déplaisait pas totalement, entendre le gars fouillé lui laissa du temps pour y repenser. Elle aurait bien joué quelques jeux cochons, mais avec consentement là c’était juste du viol... C’était déplaisant pour elle, mais peut-être que jouer le jeu lui permettrait de gagner du temps et vivre ça moins difficilement. Elle pourrait ainsi le prendre à revers plus tard, donc c’était tout gagnant, sauf pour l’humiliation. Mais ce n’était pas son monde, qui se souviendra d’elle au juste ? Une centaine d’étudiants ? Les filles qui l’avaient vue pisser aux toilettes ?

- Non-pitié... pas ça, je serais sage !

Mais non, le bruit envahissant du vibro se faisait déjà bien entendre, de plus en plus proche de ses cuisses, et son sexe. Sexe qui était l’une des dernières parties naturelles de son corps, bien que conservé en bonne santé par des systèmes cybernétiques de pointe. Puis les vibrations se firent sentir doucement, elle hocha alors la tête pour répondre avant crier de douleur quand la chose pénétra son sexe d’un coup sec. Ça rentrait profondément, ça bougeait tout seul, c’était terriblement excitant ! Elle grogna alors doucement, puis se fit retourner sur le dos et garda les cuisses ouvertes pour tenter d’avoir l’air moins rebelles envers ce gars. Il fallait juste tenir bon, endurer un peu plus longtemps, elle devenait folle, ça vibrait fort dans son bas-ventre, tous ces capteurs étaient en train de monter... Son cerveau encore biologique recevait bien trop d’information de plaisir de cette petite zone, ça faisait combien de temps au juste qu’elle n’avait plus eu de plaisir ? Difficile de chiffrer dans une vie où elle passe plus de temps à courir qu’à baiser. L’objet fut alors collé en elle par un morceau de ruban adhésif, plus moyen de le perdre ! Et le pire fut alors qu’un autre arriva, un gode pas plus petit que l’autre lui rentra dans le cul ce qui al fit hurler de douleur et grimacer fortement.

- Pitié, non, pas plus, ça fait trop mal... Je serais sage, j’obéirais !

La voir se tortiller de douleur sous l'influence des jouets voilà qui plaisait bien au Neko dominant, mais celle-ci semblait au contraire ne pas aimer du tout.  Elle avait beau dire qu'elle serait sage et obéissante, mais comme il préférait s'en assuré, il la torture encore un peu afin de lui montrer qu'il n'aurait aucune  hésitation en cas de mauvaise conduite de sa personne.  Il la regarde couiner de plaisir quand celle-ci reçoit le vibro. Elle aime donc ça.  Lorsqu'il lui place le second objet par contre elle grogne sévèrement.  Il en a que faire et se contente de lui répondre. 

-Tu est sure ?  Nous allons voir ça. 

Il lui retire le second objet de son derrière et la positionne sur le ventre en lui détachant des ficelles qui l'attachaient jusqu'à présent. Une fois prête, il lui tend sa verge bien dure en face de sa bouche. Comme pour lui incité à sucer le membre. Avant qu'elle n'est le temps de faire quoi que ce soit, il lui rentre de force dans la bouche et fait quelques vas et vient avec elle histoire de lui montrer la marche à suivre. Il n'allait quand même pas en rester là en si bon chemin. En plus de se faire sucer par une ravissante neko qui couinait déjà de plaisir à cause du vibro en elle, il pouvait faire bien plus amusant. Il ne se gêna pas pour le faire. 

-N'hésite pas à utiliser tes mains. Moi j'utilise déjà les miennes.   

Pour lui masser ses seins comme il faut. Il l'agrippe à pleine mains et appuie dessus. Il utilise son autre main disponible pour tenir la tête de la jeune fille et l'empêcher ainsi de sortir de sa queue si elle le voudrait.  Avec sa queue de neko il s'amuse à caresser son entre-jambe histoire de la faire couiner un peu plus. Il faut qu'il ne soit pas le seul à prendre du plaisir.  Il l'excite bien comme il faut dans le but certainement de la mieux dresser ensuite.  Plus elle est excitée, plus elle aura envie de s'amuser elle aussi. De ce fait, il y prend son pied bien comme il faut. Le bandeau sur ses yeux, ce sera l'étape d'après.   

-Montre moi donc tes talents.   

Il y avait bien trop de godes dans son corps, un gode pour chaque trou, restait à espérer que ce cinglé ne se mette pas à doubler la dose. Déjà que là elle mouillait sur toute la longueur de ses cuisses, c’était trop bon et pourtant une horrible douleur venait presque lui ôter le plaisir, les coups reçus par le tortionnaire. Mais surtout alors qu’elle suppliait il annonçait clairement vouloir vérifier cela, aussi elle sembla presque contente quand il retira le gode de son postérieur même si cela fit mal. Enfin elle sentit une ficelle partir et se redressa alors doucement à genoux devant lui, écartant les cuisses pour ne pas avoir mal à cause du gode. Enfin elle vit sa verge et approcha son visage sachant très bien ce qu’il attendait, mais à peine avait-elle commencé le mouvement qu’il la choppa par la tête pour la guider. C’était donc lui qui mènerait la danse, mécontente elle se laissa faire sentant la chose rentrer parfois loin dans sa bouche et toucher le fond de son palais. Mais surtout il lui demandait maintenant d’user de ses mains, pour quoi faire au juste ? Elle n’en avait pas vraiment idée, et le caresser n’était pas dans ses envies. Avoir se chose en bouche lui suffisait amplement pour le moment, inutile d’en rajouter. Posant donc les mains sur ses hanches à lui, elle continua de sucer alors qu’elle sentit une main aller sur sa poitrine pour la malaxer et la pétrir. Cet homme était effrayant, en plus ça faisait certainement un peu mal, mais sa fausse poitrine avait beau imiter les comportements d’une vraie, elle ne renvoyait pas toujours la douleur de la même façon.

Enfin comme elle ne pouvait parler pour complimenter sa chose ou jouer les bonnes esclaves elle se contenta de sucer de son mieux, avalant goulument la chose dans sa bouche. Une fois dedans ça semblait déjà moins dégoutant, et puis elle n’avait pas vraiment le choix pour éviter la douleur. Et puis d’un autre côté, les caresses de sa queue sur son sexe et le gode qui s’y trouvaient étaient devenues agréables. Aimait de plus en plus cette situation qui semblait faussement consensuelle, elle continua de montrer ses talents allant même lui caresser les bourses du bout des doigts pour montrer sa bonne foi à présent.