Elle écoutât donc ce qu'Ariman avait à lui dire, bien qu'elle soit toujours sensuelle et physique, sa main caressant délicatement le corps puissant de l'Oblitérator, il était si grand, si fort, si puissant, Alsaka était folle de son corps, en réalité elle était folle de quiconque la prenne avec force et sauvagerie. Notre dragonne, une femme facile, plus ou moins oui, du moment qu'elle peut s’adonner au plaisir charnel, elle est prête à écarter les cuisses et ouvrir la gueule.
En tout cas le seigneur maléfique lui fit une proposition plutôt intéressante, cette quantité abusive de cadavre qui s'entassait autour de la cité, cadavre de ceux qui avait finit par mourir en tant que pondeuse ou pondeur, vidé de toute leur force ou qui s'était donné la mort pour échapper à ce supplice sans fin. Quoi qu'il en soit, la dragonne y réfléchit sérieusement, toujours collé à Ariman. Pour en rajouter il lui proposa des infrastructure pour améliorer les conditions de mise au monde des nouveau dragons.
- Vous me proposez en effet quelque chose de fort intéressant, les cadavres laisse parfois planer une odeur nauséabonde, qui est plus qui gênante il faut l'avouer, comment voulez-vous féconder en paix lorsque l'odeur de putréfaction plane jusqu’à mon museau si sensible. Quant à cette histoire d'infrastructure, voila qui m’intéresse, mais, rassurez-moi, cela n'apportera aucun inconfort à mon nid, mes enfants ont besoin de confort tout de même, nous somme des dragons vous comprendrez qu'un minimum de luxe est à garder. Si vous souhaitez tant recruter ses cadavre pour les... recycler de la sorte, très bien.. après tout... Le résultat final est bien plus agréable que la version d'origine, enfin pour les humains.
dit-elle en frottant son entre-cuisse contre Ariman sa main venant caresser l'endroit ou s'était trouvé le sexe de l'oblitérator plus tôt.
- Vous savez, habituellement, je n'aime pas que l'on violente mes enfants, mais dans le cadre de cette orgie, je n'ai su quoi en penser, je sais qu'il y survivra très bien, mais je l'ai sentit tiraillé entre la douleur.. et l'extase, mais tout de même, veillez à ne pas trop les violenter tout de même, ce sont mes enfants quand même.
Sa main libre passant autour des épaules d'Ariman pour venir l'embrasse langoureusement pendant qu'elle continuais de caresser l'entre-jambe, espérant qu'Ariman y refasse pousser son sexe afin de caresser son énorme membre chaud.
- Si nous somme d'accord... Alors je pense que nous serons très bon amis.. qui plus est, la quantité de cadavre se renouvelle rapidement... Disons que pour simplifier un peu les choses, j'ai un espèce d’élevage de ponte, il y a des période ou il y a peut de prise.