Nom/Prenom/Surnom : Nezumi Yamato. Mais vous pouvez dire Nezumi. C'est ce qui est écrit sur le rapport de police après tout!
Âge : 16 ans. Aux dernières nouvelles.
Sexe : Futa! ...Pffffrrffrrttt nan c'est une blague. J'ai pas le sexe faible entre les cuisses, seulement une moule. Ouais, j'ai dit moule.
Race : E.S.P.er.
Orientation sexuelle: Dendrophile. Non, mais vous faites chier à la fin!
Description physique : Chichichi! Je savais que ça intéresserait au moins une ou deux personnes! Je peux pas vous blâmer, tout le monde me regarde! Enfin, généralement. Quelques fois. On a tendance à me regarder quand je suis armée en tous cas. Alors, tout d'abord, il faut s'entendre que je ne suis pas exactement humaine, alors mon apparence est quand même nettement différente de... Bah... Vous, les ''normaux''. Je ne suis pas très grande, je l'admets. Un simple 146 centimètres, ce qui est pas mal la moyenne pour une fille japonaise de mon âge avec un poids de 38 kilogrammes. (Ce qui vaux à 83 livres pour ceux qui veulent absolument savoir et qui n’ont pas envie d'aller voir sur Google.) Ouais, c'est pas beaucoup, je sais, j'ai un peu l'air d'un cadavre avec ce poids et ma peau pâle et grisâtre. En gros, j'ai l'air d'une fille qui n'a jamais été en contact direct avec le soleil durant la grande majorité de sa vie. Oui je sais, c'est le cas, je suis très au courant. Aussi surprenant que cela puisse paraître, j'arrive quand même à garder mon corps en bonne santé. Ma peau est pas en soie, mais elle n’est pas tant hors de l'ordinaire, mon crâne et mes cheveux verts ne sont pas une marre de pellicules et de gras, mes dents sont toujours en place et blanches. Par contre, pour l'haleine, on s'en reparlera. Je n’ai pas toujours accès à du dentifrice et ce que je me mets sous la dent n’aide pas vraiment non plus. Je ne suis pas hyper musclée, mais j'ai une figure plus ou moins athlétique.
Navré mesdames et messieurs mes formes, car je sais que c'est l'information que vous attendiez bande de dégueulasses, ne sont pas très appétissantes. Ma poitrine se retrouve dans ce qu'on pourrait nommer ''the light side of the boobies''... Ça veut dire que je n’ai pas grand-chose dans le soutien-gorge, pas que mes seins brillent. Juste pour préciser. Pour ceux qui s'y connaissent plus ou moins bien, j'ai l'équivalent d'un bonnet A, cette lettre à deux faces qu'on désire dans un examen, mais qu'on aime mieux éviter de prononcer quand on parle de ses ''funbags''. Pour ceux qui se le demandent, les bouts sont pas mal comme le reste: gris, tirant vers le bleuâtre. Ça fait alien un peu, moi j'adore ça! J'aime bien mes fesses par contre. Elles ne sont pas rebondies comme celles de ces pétasses de films pornos, mais j'ai toujours trouvé qu'elles sont agréables à palper... Pourquoi me regardez-vous comme ça? Eh oh! Ce n’est pas comme si je... Le temps est long des fois, j'ai le droit de me regarder et me tripoter de temps en temps d'accord?!
Urgh... Bon, sinon j'imagine que je dois parler des détails un peu plus fins de ma charmante personne. Tout d'abord, si ce n'était pas déjà évident en voyant tout le reste, mes oreilles sont pas mal un cri qui prouve que je ne suis pas très humaine. Au lieu d'être rondes comme la norme, elles sont plutôt pointues. Pas autant qu'une de ces tapettes d'elfe dans les histoires, mais bon. Vous voyez ce que je veux dire. Si vous ne voyez pas, l'image est à gauche du post alors regarder ça et puis je vous emmerde. Mes pupilles sont rouges. Non, je ne suis pas une albinos, c'est juste... Rouge. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Autrement... Plus grand-chose à dire sur mon corps... J'ai une bouche et un nez? Oh! C'est vrai. Je n’ai pas de poils. Nulle part. Sauf sur ma tête, bien entendu. Pas que je m'épile ou je sais pas quoi, c'est juste que ça ne pousse pas du tout. Toutes mes plus fausses excuses et condoléances pour les deux possibles amateurs de poils pubiens et les quelques étranges qui m'imaginaient comme une espèce de femme yéti à l'odeur de vieux fromage et au sexe aussi dégoûtant qu'un nid de limaces mutantes. Quoique ça aurait été original. Mais probablement pas très populaire en rp, c'est ce que mon intuition me dit.
Bon, je ne crois pas avoir oublié quelque chose de ce côté-là de ma personne. Alors je vais maintenant répondre à la question dont tout le devait être tout simplement impatient d'enfin entendre la réponse. Comment je m'habille? Et bien mes chers plébéiens, mon style vestimentaire est plutôt unique. Enfin, unique... Disons que je doute fortement que je porte quelque chose à la mode ou qui le deviendra dans les trois prochains siècles. Généralement, je porte des pantalons amples de couleur gris, probablement le style le moins sexy existant sur la planète. Toujours pour parler du bas, je ne me sépare jamais de mes longues bottes noires qui me remontent jusqu'aux tibias et je rajouterais même que je les entretiens avec le plus grand soin. Valeur sentimentale. Ensuite, je porte généralement un hoodie également gris au capuchon à motif de souris, car je suis original comme ça, à l'intérieur rouge et ouvert en son milieu la plupart du temps. Je n’ai pas grande poitrine à cacher, alors je ne porte qu'un court haut de cuir qui me sert de soutient-gorge. J'ai des gants, bien important quand on travaille dans le milieu criminel. Un collier qui fait peut-être un peu trop BDSM pour certaines personnes, mais ça a la classe quant à moi et un piercing argenté au nombril et un autre un peu plus discret au niveau du... Euhm... Clitoris... Ça avait l'air d'une bonne idée à l'époque. Une fille peut se permettre ça de temps en temps, non? Finalement, je traîne généralement avec moi un pied-de-biche, mon ''arme'' favorite.
Caractère : On pourrait faire court et dire que j'ai vraiment un caractère de merde, mais ça ne serait pas très amusant, n'est-ce pas? Après tout, c'est ce même caractère qui fait mon charme et ma réputation au sein de la police et des commerçants de Seikusu! Ce n’est pas rien. Mon trait principal serait probablement ma grande ténacité. Je peux me casser la gueule lamentablement des dizaines et des dizaines de fois, je vais toujours me relever et réessayer jusqu'à ce que le résultat soit satisfaisant. Je crois qu'en lien avec ce trait, je pourrais également rajouter que je n'ai pas beaucoup de soucis quant à mon bien-être. Les plans dangereux et les blessures ne me font pas peur et je perdrai volontairement un bras si ça en vaut la peine. C'est probablement cette insouciance qui me permet d'affronter l'adversité sans aucune peur. Donc... Courageuse? Je crois que c'est le mot qu'on utilise. Mais je n’aime vraiment pas, ça sonne un peu trop ''bâton enfoncé dans le cul'' comme mot, m'voyez?
Les hommes au commissariat et ses cellules ont également appris à leurs dépens que je suis une fille farouche qui ne se laissera pas faire face aux pervers de ce monde. Disons que ma réputation a aussi été bâtie autour de la quantité de testicules que j'ai éclatée à coups de genoux. Je n’ai pas l'air très forte, mais je sais me défendre mieux que la plupart des humains. Mais, tout cela ne veut pas dire que je suis une fille violente, car je tiens à dire que c'est tout à fait faux. Je sais que c'est hypocrite venant d'une criminelle, mais je hais avoir recours à la violence pour aucune raison. Détruire une propriété physique à grands coups de crowbar? Pourquoi pas. Gordon Freeman ne se gênait pas, lui. Mais jamais je ne ferai de mal à un être humain sans provocations.
Je suis franche, grossière et je n'ai aucune retenue. Quand on vit dans les rues, on entend tout plein de mots et d'expressions discutables sans toutefois avoir qui que ce soit pour nous apprendre les bonnes manières et la base de l'étiquette. De ce fait, je n'ai pas cette retenue que les humains ont. Si je trouve que quelqu'un est un connard à tête de gland, je lui dirai que c'est un connard à tête de gland. Je suis le genre de fille qui va roter dans une soirée mondaine, s'empiffrer en utilisant ses mains, éclater d'un espèce de rire embarrassant, hyper bruyant où tu sonnes comme un cochon quand tu respires, après avoir raconté une blague incroyablement raciste. Je ne suis vraiment pas le type de meuf qu'on a hâte de présenter à ses parents, ça, je peux vous le dire.
Je ne suis pas une fille très difficile à approcher. Je n’aime pas vraiment les relations amicales à longues durées, alors il y a de bonnes chances que je vous largue pour ne plus jamais vous adresser la parole dès le lendemain, mais je suis toujours partante pour avoir un peu de plaisir, boire un verre, passer une soirée en club, tant et aussi longtemps que ce n’est pas moi qui paye. J'aime rire, j'aime laisser la folle intérieure sortir pour s'éclater comme une folle. J'aime bouger, courir... Je ne suis pas du genre à rester sur mon cul durant des heures à manger des ramens instantanés en regardant un programme d'animation louche.
Je ne suis certainement pas le crayon-feutre le plus brillant de la boîte, mais je peux dire avec pas mal de fierté que je sais me montrer très rusée et très efficace pour improviser. Je n'ai pas beaucoup de chances quand il est question de faire un sale coup, mais pour ce qui est de m'échapper d'une situation dangereuse ou d'une possible captivité de la police, je vous assure qu'on pourrait jurer que le dieu de la chance et des moments ''bullshit!'' est de mon côté. Vous connaissez Jack Sparrow? C'est une chance et un talent d'improvisation aussi stupide et improbable que ça.
La famille, c'est quelque chose de sacré pour moi. On ne pourrait pas dire que j'ai de familles à proprement parler, mais mes rats le sont pour moi. Jamais je ne mettrai en danger l'un d’eux et jamais je n’accepterai qu'on leur fasse du mal sans qu'on me passe sur le corps en premier.
Histoire : Une histoire? C'est l'heure du dodo? Oh, vous voulez connaître ma vie. Je sais que c'est étrange à dire, mais pour une espèce de mutante criminelle qui vit dans les égouts et qui contrôle des rongeurs, ma vie n’est pas tant passionnante. Enfin, si vous avez tant envie de l'entendre... Tout a commencé il y a quelque temps, deux jeunes humains, un homme et une femme, tout ce qu'il y a de plus normal, se sont rencontrés lors d'une fête. Après avoir consommer une quantité aberrante d'alcool et renifler encore plus de drogues, l'homme et la femme se mirent à l'écart pour s'envoyer en l'air dans le jardin, à côté d'une piscine où d'autres fêtards les encourageaient et filmaient leurs ébats. Suite à cette fête, les deux ne se sont plus jamais revus, la femme est tombée enceinte et je suis sortie de son vagin neuf mois plus tard, car il faut croire que l'avortement était hors de question pour une raison ou une autre. Ainsi commença ma vie en tant que rejeton d'une droguée alcoolique avec tellement de neurones brûlés qu'elle ne se souvenait plus de son nom.
Je n'ai jamais aimé ma mère. Elle m'a mis au monde, mais elle ne s'est jamais très bien occupée de moi. Dès l'âge de trois ans, j'avais déjà l'impression de vivre en colocation et non d'être un enfant encore en âge d'apprendre son alphabet. J'étais seule la plupart du temps et quand ma mère était là, elle était saoule ou avec un autre homme dans le salon à hurler comme des bêtes en rut. Bon, je vous vois déjà venir, vous êtes probablement en train d'imaginer qu'elle se prostituait pour faire vivre l'enfant qu'elle n'a jamais demandé à avoir. Navrée de vous l'apprendre, mais vous avez tort sur absolument tout. Il ne s'agissait pas de prostitution. Je peux même dire avec certitude qu'elle ne touchait pas un yen de ses actions. Il est également faux de croire qu'elle ne me voulait pas. À vrai dire, on m'a dit qu'elle avait exprimé sa joie entre deux vomissements. Le problème, c'est qu'elle voyait un enfant comme un animal domestique qu'on flatte une fois de temps en temps pour lui faire savoir qu'on apprécie sa présence. Le fait que je n’ai pas l'air d'une humaine n’a certainement pas aidé à son image mentale. Sa vie de jeune défoncée était un choix, c'était la direction qu'elle désirait prendre dans sa vie, comme si elle était une éternelle étudiante dans une ambiance de fête.
Lorsque j'avais six ou sept ans, j'étais seule, comme d'habitude, à écouter un cartoon en buvant un soda. C'est à ce moment que ma mère est entrée, pendue au cou d'un homme que je n’avais jamais vu avant, les deux se bouffaient les amygdales comme deux cannibales. Au lieu d'aller dans sa chambre comme une personne civilisée, elle se jeta sur le divan, quasiment sur moi comme si elle cherchait à m'en mettre plein la gueule. Tandis que son nouveau copain lui léchait le cou, elle me daigna enfin un regard.
''Oh... Tu peux... Han... Tu peux attendre dehors quelques minutes?'' Ouais, bon matin à toi aussi, pétasse. Je ne lui avais même pas répondu, je savais que ça ne servait à rien et je me souviens encore de la fois où j'ai fait peur à l'un de ses copains de cul à cause de mon apparence, elle était furieuse. Alors bon, ne désirant pas revivre cette situation et me refaire traiter de ''cockblocker'', j'ai fait ce qu'elle m'a demandé et j'ai quitté l'appartement pour ne plus jamais y revenir. J'en avais marre de me sentir comme un animal domestique, j'avais envie de sortir, de me faire des amis, de voir le monde qui m'entoure et de sentir autre chose qu'un appartement minable qui sent le sexe à plein nez. Ayant pris soin de moi-même tout ce temps, je savais que je pouvais le faire. J'ai fait les vêtements que j'ai sur le dos, je suis une fille débrouillarde! Bah, ce n’est pas aussi facile que ça faut croire, car une fois à l'extérieur, je ne savais plus trop quoi faire. Les gens m'évitaient, m'évitaient comme si j'étais atteinte de la peste... J'étais trop différente pour faire partie de ce monde.
Cette soirée-là, j'avais pris refuge dans un vieux tunnel désaffecté pour échapper à une tempête qui m'avait surpris. Il pleuvait fort, un éclair éclatait de temps en temps et je hais ces putains de trucs! Bref, j'étais en petite boule sur la pierre, ça sentait mauvais, il faisait noir et le petit feu de fortune que j'avais fait avec des déchets et de l'essence n'arrangeait pas du tout les choses. Éventuellement, j'ai fini par adopter l'endroit. C'est isolé de la cacophonie habituelle de la grande ville, c'est très grand, oublié de la population... L'endroit parfait pour une fille comme moi. C'est également à ce moment que j'ai découvert mes pouvoirs et que j'ai appris à m'en servir comme une pro. J'ai remarqué que les rats n'avaient pas vraiment peur de moi. Ils venaient souvent près de moi lorsque j'allumais un feu, certains réclamaient des caresses et ils avaient l'air de m'écouter quand je parlais. J'ai essayé de leur apprendre des tours, mais j'ai fini par réaliser que ce n'était pas grâce à un talent de dresseuse qu'ils m'écoutaient. J'ai donc passé le reste de ma vie à dresser des rongeurs, ne sortant que la nuit pour voler de la nourriture. J'ai fini par prendre goût à la vie de crime, ce qui m'a poussée à toujours aller plus loin. J'ai commencé à voler des dépanneurs pour me tourner vers les boutiques, les bijouteries et les banques. Ma tanière est remplie de tout plein de trucs dont je ne vais jamais me servir et de quoi avoir une véritable fortune. On me connaît, on ne me redoute pas vraiment, ma vie n'a jamais été aussi belle et heureuse. Voilà, c'est mon histoire. Pas très passionnante hein? C'est d'ailleurs lors de ma montée dans le monde criminel que j'ai adopté le nom de Nezumi, ce n’est pas mon vrai nom. Le hasard n’est pas aussi foireux et cliché que ça, on s'entend.
Situation de départ : Pure... Tel un fromage laissé au soleil durant un mois. Mmmmm.... *bave* Délicieux... Bon, l'image mentale est un peu dégoûtante maintenant que j'y repense, alors je vais contenter de dire que je suis vierge et arrêter de comparer mon sexe à un vieux fromage.
Autres : Oh, vous voulez savoir ce que je peux faire? Eh bien regarder mortels! Et trembler devant mon habileté à mettre en liste les deux ou trois petits éléments qui me rendent tant supérieur à vous!
Fioles de couleurs douteuses: Lorsqu'on vit dans les égouts, on trouve des trucs particulièrement intéressants sous les grosses multinationales et les centrales à énergie nucléaire. De temps en temps, on y retrouve quelques mélanges qu'on recommanderait peu en laboratoire de chimie. Mais n'était pas en laboratoire, et parce que je n’en ai rien à branlé de ce qu'ils disent en laboratoire, je collectionne ces trucs dans des fioles pour utiliser plus tard. Des fois ça explose, des fois ça colle, des fois ça devient gazeux, des fois ça ne fait rien et des fois, ça se transforme en créature tentaculaire. Je peux garantir que peu importe ce qui va en sortir, ça va vous défoncer les narines comme la bite d'un acteur noir défoncerait le cul d'une actrice porno et vous brûlera la peau comme un hot pocket qu'on retire du micro-onde!
Fioles aux couleurs tout aussi douteuses, mais un peu moins: À force de jouer avec ces trucs, j'ai fini par développer l'habitude de reconnaître certaines mixtures à leur goût et leur couleur. J'utilise ces trucs pour boire, ce qui me donne un paquet de petites surprises! La force de quinze bulldozers? Pourquoi pas. Deux bras de plus? Eeeeeeehhh... Pas vraiment. Me faire pousser une queue? Ah! Bonne blague. Mais non. Où je veux en venir, c'est qu'elles servent uniquement à augmenter mes capacités physiques bien au-dessus des limites du possible chez l'humain.
Odorat: On dit qu'à cause de mes années à vivre dans la merde, mon nez a fini par développer l'habitude d'apprécier les odeurs fortes et répugnantes et à repoussé ce qu'un humain moyen trouverait agréable pour ses narines sous-développées. Moi je dis que c'est une théorie de con et que c'est parce que je suis la seule assez évoluée pour apprécier ces doux parfums. Vous n’avez pas de goût et vous êtes tous des connards, c'est à ça que je voulais en venir. On dit aussi que mon nez est hyper développé, car je peux pister n'importe quelle odeur avec l'aisance du meilleur chien pisteur de l'histoire de l'humanité! J'en suis fier. Vous n’avez pas le droit de rire.
Estomac de fer: Enfin, c'est l'expression pour dire que je peux manger pas mal n'importe quoi, hein? Si ça se mâche, je peux le bouffer! Remarquer, ça ne veut pas dire que je vais l'apprécier. Je suis une lady, je ne vais pas bouffer de la merde quand même. Mais que ce soit de la rouille, de la mousse ou peu importe, je peux le prendre!
Affinité avec la vermine et les rongeurs: L'un des deux éléments qui ont fait ma réputation! J'ai la capacité de communiquer et contrôler toutes sortes d'insectes et de rongeurs. Que ce soit des blattes, des araignées, des gros rats porteurs de maladies, de petites souris ou même des écureuils, j’appelle ceux-là des espions de surface. Pour ce qui est des rongeurs, il ne s'agit pas simplement d'un simple contrôle mental comme un charmeur ou un magicien de seconde classe. Non, c'est simplement que ces animaux ont une attirance naturelle envers moi et me voient comme l'un des leurs ou comme une mère. Ils me sont tous loyaux et le resteront jusqu'à la fin.
Super chance, like fo' real dawg: ...L'autre truc qui a fait ma réputation! Alors ouais, tout le monde sait que je suis une criminelle et que malgré toutes mes bonnes intentions, je me retrouve souvent en tôle. (À un point où je peux dire sans aucune exagération que je connais intimement tous les policiers de Seikusu) En fait, on pourrait même dire que 70% de mes opérations finissent mal à cause de ce... Trait de caractère. On dit que je suis incompétente, mais c'est vraiment que j'ai une chance de merde. Tout va bien, mais un truc va faire que je me casse la gueule. C'est souvent des choses improbables en plus! La dernière fois, c'est un bout de la tuyauterie du plafond en réparation dans la banque que je braquais qui m'a tombé sur la gueule. Une autre fois, c'était un seau qui est tombé et qui a roulé à mes pieds pendant que je fuyais la police et qui m'a fait faire une chute plutôt impressionnante dans les escaliers. Franchement, c'est un miracle que je sois encore vivante.
Colonel Squik : Mon plus vieil ami, c'est un rat énorme qui a été victime d'une mutation suite à je ne sais trop quoi qui l'ont fait grandir. Il s'agit maintenant d'un rat énorme, aussi grand qu'un humain et d'apparence monstrueuse. Il fait un peu peur, mais je l'aime toujours.
Mon chez-moi : Le refuge que je me suis trouvé est un abri nucléaire secret construit lors de la Deuxième Guerre mondiale. L’abri n'a jamais servi et a fini par être oublié. C'est très grand, très solide et il faut parcourir un véritable labyrinthe de tunnels sombres qui sillonnent les égouts de Seikusu pour trouver les portes d'acier qui y mènent. Mes rats parcourent les tunnels, alertes aux intrus. Ils sont dressés pour attaquer dans le but de repousser, pas pour tuer.
Comment avez-vous connu le forum : Google est un mystérieux, mais puissant allié.
Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Lel nope.
