La garce mit son pied sur mon ventre en y mettant tous son poids, qui se répercutais sur mes ailes, qui me fit souffrir. Elle dit quelque chose comme quoi j'étais sa maîtresse et que je lui devait le respect en tant que jouet. J'articulai avec difficulté.
- Va cuire en enfer pouffiasse.
La suite fut peu reluisant, la terranide dit de préparer le matériel, j'eus une mauvaise impression. Elle me traina, toujours par les cheveux dans la cale, la dague bougeait dans ma cuisse et ma faisait mal, je profita d'un endroit sombre pour le retirer et le balancer dans un coin que les pirates auraient peu de chance de voir. Je fut mit sur une table froide, cela soulagea mes ailes de la douleur, je sentit quelque chose chauffer, je sus tous de suite de quoi c'était, un fer à marquer, mon ancien maître s'amusait à me marquer chaque jour à un endroit différent, chaque fois. Je vit la terranide approcher le fer rougit vers mon sein gauche, je me mordit les lèvres et tenta de bouger comme une folle, mais les pirate me retenaient fermement. Je cira de douleur quand le fer entra en contact avec ma peau, cela faisait trop longtemps que mon corps avait oublié cette expérience. Il se le rappela très vite. Les pirate me lâchait et je me tortilla sous la douleur je cria.
- Attend que je te croise sur la terre ferme pétasse de terranide inférieur, je te montrerais que sur terre c'est moi qui est la meilleur.
Je devais économiser ma force, je récupérais petit à petit, j'avais assez de force pour faire un soin et cinq lianes basique. Je profita du moment de répit pour soigner ma blessure à ma jambe, bien sur elle en pouvait pas totalement guérir et la marque de la pétasse non plus, elle y avait mit du sel ce qui marquerait à vie mon corps. Ma plaie ne saigna plus beaucoup, elle me ramena dans sa cabine et me jeta comme un sac de patate sur sa couche. Elle ferma de nouveau la porte et la vitre, une fuite serait dure, il fallait compter sur ma dague, mes lianes et l'hypnose, La terranide servirait de sauf conduit. Tous ce qu'il fallait c'est attendre que la marque me fasse moins mal, que la terranide soi inattentif et que les pirates soient un peu coopératif. La terranide était sur de sa domination, mais elle oubliait une chose essentiel, le chasseur peut devenir une proie. Elle avait reprit des armes, stupide, je savais m'en servir, bon je n'avait pas la même précision que la terranide, mais je savait mettre une balle dans un corps sans problème et je savait où viser. Elle souffrirait longuement et pourrait en crever sans soin. Cette idée fit briller mes pupilles un instant. Elle me donna une claque sur la marque se qui me fit pousser un petit cri de douleur, me prit la tête et me la cala contre le matelas, elle voulait encore s'amuser avec mon corps, mais je n'allais pas lui donner satisfaction, je me mordit la langue et continua pendant qu'elle me pénétrait, elle sembla y prendre joie et s fut à cette instant que je lança mon attaque une liane la prit au cou l'étranglant à moitié et je m'extirpa de la terranide en ayant un cri étouffée, je me jeta sur ces armes et prit le sabre et un flingue. La lame se retrouva sous le cou de la terranide et le flingue, avec le chien d'armé sur le membre de la garce. J'eus pour une fois un sourire qui annonçais une mauvaise nouvelle. En haletant je dis.
- Tu m'a marquées, certes, mais l'on ne marque quelqu'un que si cette personne lui est totalement dévouée. Maintenant je vais faire comme mon plan de prévue.
Je refis le sort pour ne rien sentir et soigna mes ailes, puis je plaqua son visage contre le mien, les yeux les plus près possibles et je l'hypnotisa avec toute la haine que j'avais envers cette terranide des mers qui m'avait traité d'inférieur, le sort hypnotique s'en trouva plus puissant. La terranide pouvait penser, parler, mais son corps était sous mon contrôle. Je prit des affaire dans son dressing, une robe écarlate avec des fil d'or. Je la fit habillée, j'étais trop gentille et je le remarqua.
- Je sais ce que c'est d'avoir un secret et aussi la loyauté, aussi ne vais-je pas t'humilier comme tu m'as fait tout à l'heure, même ce cela me démange au point de vouloir te supprimer ton sexe en trop d'un coup de fusil et de t'écorcher vive, mais tes hommes ne pourrait pas bien le prendre. Allez avance.
Les mains de la terranide ouvrirent la porte, l'équipage acclamèrent leur chef, il le firent moins quand ils me virent derrière elle avec le canon du flingue dans le dos et la lame près de la nuque. Un seul mots de trop et elle y passait, elle devait en être conscient et faire passer un message n'aurait servit à rien à part la tuer.
- Si vous voulez votre capitaine, préparée moi un canot, sans vivre, sans eau, juste des rames. Je dois admettre que vous êtes des adversaires que je n'aimerais pas croiser tous les jours, je promet sur la marque sur ma poitrine que je ne dirait rien de ce qui c'est passez. Je sais que cette marque me lie à vous et donc que si je dit quelque chose je serais aussi inculpée. Donc j'attends votre réponse vous la voulez ou non.
Je murmura à la terranide.
- Si tu veut vivre laisse moi partir et si tu veus que l'on règle ça, laisse moi le temps de récupérer. Une succube n'a qu'une parole, tu devrais le savoir. Si tu veus faire passer un message, va voir Herman Nodge, il me le transmettra. Je n'oublie pas que tu m'as quand même sortie de la prison, alors en échange de ma liberté je te donne les joyaux promit. Tu pourras aller voir Herman pour les récupérer. Alors qu'en dis-tu ? Sachant que si tu refuse tu peus dire adieu à ton sexe que tu aimes temps et à une dizaine de tes hommes, avec aussi ta vie si je m'en sert comme bouclier.
Mon temps était comptée, je devais faire au plus vite, j'était attentive au moindre battement de cil. Le but serait de monter dans le canot avec la terranide et de la pousser dans la flotte à trente mètres du bateau, comme ça la terranide survivrait et moi je pourarit m'envoler dans les airs, bien sur j'avais peu une chance sur trois de mourrir pendant le trajet et une chance sur deux que dès la contact de ma blessure dans l'eau les squales me repère. Il fallait tous tenter, meêm si cétati la dernière chose de ma vie. Je commanda à un liane de m'apporter la dagur qu'elle me mit dans ma sacoche que j'avait en pandouillère. Restait à savoir si l'équipage tennait vraiment à leur capitaine.