Quand la tentation est trop forte (PV Sarah Kerrigan)

Entre la Fourmillière Galactique et Tekhos Metropolis existe une zone tampon, un gigantesque champ de bataille perpétuel, alternant entre gigantesques forteresses et terrains ressemblants à la lune, tant ce dernier était labouré. Formiens et Tekhannes s'y affrontent depuis des années, faisant de cette zone d'une gigantesque superficie, un véritable No Man's Land. Les dessous de la terre étaient autant un champ de bataille que la surface, les Formiens creusant sans cesse des galeries afin d'échapper à la redoutable force de frappe Tekhanne, et ces dernières avaient alors du s'adapter.
Beatrix Bermer, Irisdina Bernhard et Cryska Barchenowa étaient trois pilotes Tekhannes qui évoluaient dans ces parties souterraines du champ de bataille, et formaient une petite escouade chargée de piloter l'un des nombreux tanks adapté à évoluer sous terre. Toutes les trois faisaient la guerre aux Formiens depuis maintenant trois ans, elles avaient survécu à bien des situations dangereuses, et se connaissaient donc plutôt bien, et une bonne entente existait entre ces trois jeunes femmes. La guerre, parfois, créait des liens, mais pas seulement.
Ces jeunes femmes partageaient un secret très lourd à porter, un secret qui pouvait, si il venait à s'ébruiter, leur valoir une exécution sans procès.
Toutes ces années à combattre les Formiens n'avait pas fini par les faire haïr ces aliens, elles avaient fini par fantasmer sur eux.

Beaucoup, pour ne pas dire la totalité de leurs connaissances les traiteraient de folles, de traitresses et de dégénérées, mais pourtant c'était le cas depuis maintenant des mois. Le hasard avait voulu que ces trois femmes partagent ce même secret dangereux. Fort heureusement leurs états de service étant excellents, personne ne pouvait se douter de la vérité, de ce qui se cachait derrière le fait qu'elles prenaient au contraire de leurs camarades bien peu de vacances loin du front.
Leur désir secret était de se faire capturer par les Formiens, et de leur servir de pondeuses. N'importe quel psychologue les aurait diagnostiquées avec de sérieux troubles psychiques, mais autant Beatrix, Irisdina et Cryska refusaient cet état de fait. Elles n'y voyaient pas un traumatisme du fait de toutes les batailles qu'elles avaient livrées, mais juste un fantasme impossible à avouer, et qu'elles voulaient réaliser, et ce quel qu'en soit le prix.
Ce soir, alors qu'elles étaient en patrouille dans leur machine blindée, les trois jeunes femmes étaient nerveuses bien que chacun parfaitement à leur poste. Quelques heures au préalable, elles avaient eu une discussion secrète, qui avait duré longtemps, et à l'issue de laquelle elle étaient parvenues à une conclusion. Elles allaient déserter, et s'enfoncer en direction de la Fourmillière pour se faire capturer par les Formiens. C'était de la folie pure et dure, mais aucune des jeunes femmes ne le voyait ainsi.

Beatrix, on va arriver au point que nous avions convenu.

Un regard sur le radar leur indiquait qu'elles approchaient d'un tunnel récemment creusé par les Formiens, qui avaient tenté de lancer une forte attaque avant d'être repoussés in extremis, mais les incursions régulières par ce même tunnel laissait entendre qu'il n'était pas encore abandonné. L'attente se faisait insupportable pour les trois, un mélange d'appréhension et d'excitation les parcourait.

Nous sommes donc bien d'accord ? Si l'une de vous veut changer d'avis, c'est maintenant ou jamais.

Cryska et Irisdina s'accordèrent un dernier moment de réflexion, puis décidèrent de ne pas faire demi-tour. Beatrix, leur chef d'escouade, coupa alors intégralement les communications quand elles arrivèrent à hauteur du tunnel. Puis, elles y entrèrent, allant à l'encontre des ordres de patrouille qu'elles avaient reçu. Elles s'enfonçaient en pleine direction de la Fourmillière, et elles étaient désormais des déserteuses, aucun retour en arrière n'était possible pour elles. Elles parcoururent des kilomètres, chaque minute passant les enfonçant plus loin dans le territoire contrôlé par les Aliens. Les sytèmes d'armement étaient désactivés, et elles ne se défendraient pas. Elles espéraient juste être capturées, et non pas tuées, mais leur sous-nombre évident leur assurait une chance d'être considérées comme des proies faciles.

Les patrouilles tekhanes étaient nombreuses, visant à sécuriser les tunnels et les galeries souterraines en s’assuraznt que les armes automatiques des Tekhanes étaient toujours actives. Il s’agissait de tourelles abritant, au choix, des lance-flammes, des arcs électriques, des mitrailleuses lourdes, des lance-missiles, le tout accompagnés de détecteurs permettant de repérer les Formiens. Chaque nuit, ces avant-postes automatisés dégommaient quelques Formiens, généralement des Zerglings, et constituaient l’avant-ligne défensif de la stratégie tekhane. Sur le long terme, l’idée était de les multiplier, et ainsi de pouvoir mener au mieux la politique de containment menée par l’état-major tekhan. Les patrouilles se promenaient entre ces différents sites de défense afin de les ravitailler en munitions, de les nettoyer, et de secourir les quelques personnes, qui, parfois, parvenaient miraculeusement à s’enfuir de la Fourmilière.

Il y a quelques jours, les Formiens avaient fait une percée avec un ver de Nydus, et l’armée avait répondu, utilisant de redoutables Flameurs accompagnés de multiples soldats pour repousser les Formiens. Les Flameurs étaient, dans ces corridors, des ennemis redoutables. Ils pouvaient en effet, grâce à leurs bras articulés, générer simultanément plusieurs jets de feu mortels, et ce sur une longue distance. Seuls les Formiens avec des carapaces très résistantes pouvaient survivre suffisamment longtemps à ces jets pour atteindre leurs cibles et les broyer sur place. L’incursion avait été repoussée, et les Tekhanes avaient placé deux tourelles automatiques à l’entrée de ce tunnel. Quand des Zerglings se rapprochaient, les tourelles faisaient feu, avec une précision mortelle. Plus généralement, tout le système défensif tekhan se voulait de plus en plus imperméable, avec l’emploi de multiples drones et de multiples instruments et autres sondes cherchant à repérer les vibrations produites par les vers de Nydus cherchant à creuser des passages souterrains. Les tourelles surveillaient donc cette entrée, et, prudemment, les Formiens restaient à l’écart.

L’une des missions de Sheoldred était de trouver de nouveaux passages, de creuser de nouvelles galeries, ou de trouve run moyen de détruire ces appareils automatisés, afin de perturber les Tekhanes. Malheureusement, la tâche était difficile. La Cérébrate, mi-humaine, mi-animale, filait le long des murs, accompagnée de quelques Formiens qui, comme elle, avançaient le long des murs. Silencieuse, elle restait fidèle aux instructions données par sa Mère. La curieuse femme était une espèce de centaure, la partie humaine fixée sur une longue partie animale avec une gueule triangulaire abyssale hérissée de dents très tranchantes.

Alors qu’elle continuait à patrouiller, elle sentit soudain une curieuse odeur venir agresser ses narines, et se déplaça rapidement, le long du plafond. C’était une odeur de femmes, qui se rapprochait de la Fourmilière. Sheoldred finit par se rapprocher, et cessa de faire du bruit, se camouflant plutôt bien avec le décor, ses yeux voyant trois Tekhanes en train de s’avancer. Sheoldred les espionna pendant quelques secondes. D’autres Formiens, des Xénomorphes, se tapissaient dans l’ombre, et, peu à peu, ils encerclèrent les femmes. Elles continuaient à s’avancer, sans rien dire, et sans armes visibles... Ni renforts. Était-ce un piège ? Sheoldred était méfiante... Elle savait que les humains étaient retors, et ces trois femmes étaient en train de se jeter dans la gueule du loup... Littéralement.

*Tenez-vous prêts, mes enfants...*

Elle décida de voir ce qu’elles feraient. Plusieurs Xénomorphes sortirent de l’ombre, rampant le long du plafond... Et l’un d’eux sauta au sol, atterrissant dans un bruit sonore, juste derrière elles. Au même moment, deux autres Xénomorphes débarquèrent juste devant les femmes, et hurlèrent dangereusement, tout en déployant leurs longues queues, venant faucher les jambes des trois femmes pour les coucher sur le sol. Ils hurlèrent à nouveau, et Sheoldred ne vit aucun signe d’un quelconque dispositif explosif.

Se décidant à prendre un risque, elle sortit alors de l’ombre, et descendit depuis le plafond, son corps atterrissant sur l’une des femmes allongées. La partie basse de son corps s’abattit sur les jambes de la femme, l’empêchant de bouger, et elle tendit une main, venant attraper la nuque de la femme, serrant un peu.

« Qui êtes-vous ?! » lâcha alors Sheoldred, sur un ton se voulant menaçant et dangereux.

Les Xénomrophes s’étaient tus, cessant de hurler, se contentant tout juste, par moment, de grogner et de gesticuler un peu.

Les trois Tekhannes ne voulaient même pas songer à la folie qu'avait été la leur en faisant ça. Déserter l'armée Tekhanne était un haut crime, et il n'y avait pas vraiment d'assurances que les Formiens, en les voyant, les capturent forcément. Pourtant elles avaient pris ce risque insensé, et courraient effectivement droit dans la gueule du loup. Leur char blindé leur avait permis de parcourir bien des kilomètres, mais au bout d'un moment se trouva à court de carburant, ce qu'elles avaient anticipé. Ces machines n'étaient alimentées qu'avec le strict minimum d'énergie pour accomplir un type de mission et revenir à la base, à la fois pour éviter les pertes importantes de ressources en cas d'attaque, mais aussi pour dissuader les soldates qui seraient tentées d'utiliser ces véhicules pour fuir le front. Les supérieures de Beatrix, Irisdina et Cryska ne pouvaient juste pas prévoir qu'elles auraient décidé de partir en pleine direction de la Fourmillière.
Ainsi, lorsque leur véhicule tomba en rade, elles durent continuer à pied. N'étant que des pilotes d'un véhicule non destiné au combat, elles ne possédaient pas d'armes, mais dans le cas contraire elles ne les auraient quand même pas pris. Ainsi désarmées, elles réduisaient les chances que Les Aliens, sur lesquels elles allaient nécessairement tomber, les considèrent comme une menace. Elles marchèrent donc dans la pénombre, seules de petites lampes intégrées à leurs combinaisons leurs permettaient d'avancer à un rythme lent.

Vous êtes sûres que les Formiens ne vont pas nous tuer ?

Relax, ça devrait aller. Nous ne sommes que trois et sans armes, et donc aucunement une menace.

J'espère que t'a raison.

Elles parlaient peu, attentives aux bruits qu'elles pouvaient entendre, mais surtout dans l'expectative. Les Formiens pouvaient surgir à tout instant, et elles ne savaient pas trop à quoi s'attendre. Ces créatures évoluaient en permanence, mais avaient aussi un comportement bien particulier et elles doutaient de pouvoir s'expliquer en leur présence.
Ne disposant d'aucun radar et d'une luminosité réduite, les trois Tekhannes ne remarquèrent que trop tard que les Formiens étaient déjà là, soit quand ils atterrirent à proximité d'elles tout en fauchant leurs jambes, les mettant à terre. Pas le temps de réagir, tout était allé trop vite. Beatrix et Irisdina étaient maîtrisées au sol par deux Xénomorphes, tandis que Cryska elle se trouva prisonnière sous le poids d'une Formienne gigantesque, dangereuse et, dans l'esprit un peu fou de Cryska, très belle. Elles étaient effrayées bien entendu, les Formiens pouvaient les tuer très facilement, mais maintenant qu'ils étaient là et qu'ils les maîtrisaient, qu'elles sentaient leur corps puissants et si différents contre elles...l'excitation se mélangeait à la peur.
Cryska essaye de marmonner des paroles intelligibles, alors que la Formienne lui serrait le coup, très certainement convaincue qu'il s'agissait d'un piège. Leur chance était qu'elles étaient tombées sur une Alien douée de parole, et donc aussi de compréhension.

Nous...nous sommes des déserteuse de l'armée Tekhanne...s'il vous plaît ne nous tuez pas, on est venues se rendre à vous. On a pas d'armes, on est pas une menace...

La grande question était, allait-elle les croire ?

La visibilité de Sheoldred était assez mauvaise. Elle n’était pas aveugle, mais elle se reposait beaucoup sur ses autres sens. Si proche de ces femmes, elle pouvait voir toute leur beauté. Des femmes bien en chair, des soldates qui, à en juger par leurs uniformes, ne devaient pas être des fantassins... Elle soupçonnait plutôt des pilotes. En tout cas, elles n’avaient aucune bombe, et il n’y avait aucun piège. La Cérébrate avait un peu de mal à comprendre sur le coup, mais, quand elle commença à percevoir leur excitation sexuelle, palpable à travers les mots que sa captive dit, elle commença à comprendre. Il y avait de la peur, oui, mais, à travers cette intonation, Sheoldred remarqua aussi... Un plaisir latent.

« Nous...nous sommes des déserteuses de l'armée tekhane... S'il vous plaît ne nous tuez pas, on est venues se rendre à vous. On a pas d'armes, on est pas une menace... »

Se rendre ? Surprenant ! Sheoldred rapprocha son visage de celui de la femme. Impossible de voir ses yeux, le haut de sa tête était recouvert d’une espèce de casque insectoïde, et les deux pointes en avant sur la tête de Sheoldred caressèrent le menton de cette belle poupée aux longs cheveux blancs. Ses lèvres se rapprochèrent d’elles, et, sous son corps, la « bouche du bas » grogna légèrement ses dents venant racler contre la combinaison, sans la déchirer, sa grosse langue baveuse venant se poser sur ses cuisses. Elle ne mentait pas... Se rendre... Le concept était incompréhensible pour les Formiens, car il était impensable qu’un Formien finisse par trahir la Horde, et rejoigne l’ennemi. Heureusement pour ces trois femmes, elles étaient tombées sur l’une des Filles de Kerrigan, et Kerrigan, contrairement aux autres Annexiens, était capable d’utiliser sa matière grise... Elle était capable de réfléchir comme les humains, et ce raisonnement s’était aussi impacté dans l’esprit de ses Cérébrates.

Quelques secondes passèrent, suspendues à la décision de Sheoldred. Elle aurait pu les tuer instantanément. Leur vie était entre ses mains, et ces dernières jaillirent justement, venant caresser les joues de la femme, glissant sur sa peau tendre et douce. Ses doigts filèrent ensuite sur ses lèvres, les caressant, et son visage, lui, restait toujours aussi proche du sien.

« Te rendre à nous... Hum... Je sens la peur dans tes mots, je sens le désir... Mais pas le mensonge... »

Sheoldred devait réfléchir, faire appel à ses raisonnements humains pour comprendre comment une femme pouvait ainsi choisir de les rejoindre... Dans sa tête, elle entendit la voix rassurante de Kerrigan. Difficile de dire si c’était vraiment sa Mère, ou juste son inconscient qui s’exprimait en prenant l’image d’une figure d’autorité. Le doigt de Sheoldred s’enfonça entre les lèvres de la femme, caressant sa langue, éprouvant sa beauté, sa résistance. Elle avait des ongles tranchants, de belles griffes, et son autre main caressa ses longs cheveux violets. Elle retira ensuite sa main de sa bouche, puis remplaça cette dernière par la sienne, venant sceller cela d’un baiser. Un baiser relativement long, qui dura bien plusieurs minutes, et pendant lequel Sheoldred enfonça sa langue, excitant tout son corps, ce corps massif qui venait de se poser sur le sol. Elle soupira de plaisir.

Les Formiens retenant les deux femmes ne faisaient toujours rien, mais étaient, eux aussi, excités, ce que les femmes pourraient éventuellement ressentir, à la manière dont leurs mains se mettaient à serrer leurs combinaisons. Ils grognaient silencieusement. Le baiser de Sheoldred se rompit alors, et la femme se releva, libérant le corps de Cryska. Elle se redressa un peu, mais resta au-dessus d’elle.

« Très bien... J’accepte vos corps, vos esprits, et votre vie... À partir de cet instant, et jusqu’à ce que vous mourriez, vous appartiendrez à la Horde de votre Mère et Déesse, Sarah Kerrigan, Reine des Lames, dont je ne suis qu’une humble dépositaire de Son Autorité. Déclinez vos identités, esclaves. »

Elle attendit qu’elles s’exécutent, puis reporta son attention sur Cryska.

« J’accepte... Mais je veux m’assurer que vous soyez dignes de nous rejoindre. »

Sa bouche du bas s’ouvrit alors, et une odeur assez désagréable en sortit, venant agresser les narines de Cryska, tandis que l’épaisse langue violette du monstre se mit à pointer. C’était une grosse langue, baveuse, dont l’extrémité léchait les belles jambes fuselées de la Tekhane.

« Embrasse cette langue, Cryska... Montre-moi à quel point tu es dévouée, et soucieuse d’être une pute pour plaire à ta Maîtresse. »

La petite escouade de Tekhanes était bien évidement effrayée, les Formiens n'étaient après tout pas que des créatures plaçant le sexe au dessus de tout, mais aussi et surtout des êtres redoutables au combat, qui pouvaient faire preuve d'une férocité sans bornes. La crainte de mourir était donc parfaitement sensée, cette Cérébrate ainsi que les Formiens l'accompagnant les surpassaient en nombre, elles étaient désarmées et maintenues au sol, il suffisait donc aux Aliens de décider de les tuer pour que cela se fasse sans aucune difficultés. Elles n'étaient aucunement une unité d'élite, certaines Tekhanes demeurant dangereuses même désarmées et en sous-nombre, mais pas ces trois femmes. Sans leur char blindé, elles n'étaient rien.
Beatrix, Irisdina et Cryska étaient donc dans une situation des plus tendues, mais pas ingérable. Après tout, ces Formiens ne les avaient pas tuées directement, chose qu'ils auraient pu faire sans aucun soucis, et elles espéraient toutes les trois que leur chef croirait aux paroles sincères, bien que teintées de peur, que Cryska venait de prononcer.

Tout allait se jouer dans les minutes qui allaient suivre, soit elles allaient mourir, soit elles deviendraient les esclaves d'une ruche Formienne, ce pour quoi elles étaient venues de leur plein gré. Ainsi, malgré la situation dangereuse dans laquelle les Tekhanes se trouvaient, ces dernière ne pouvaient s'empêcher en même temps d'être très excitées maintenant que des Formiens posaient leurs mains sur elles. Elles étaient dans une position de soumission, à leur merci, et leurs corps si proches de ces bêtes qui oscillaient entre l'envie de les tuer et celle de les baiser.

Cryska plus que ses deux camarades se trouvait dans un tel état. La Formienne qui l'écrasait de tout son poids était, à sa façon, d'une beauté redoutable. Non seulement de par sa force, mais aussi de par son apparence si différente. La vision des Tekhanes avait fini par s'habituer à l'obscurité, elles pouvaient donc discerner les courbes de leurs agresseurs, et Cryska elle voyait bien le corps de cette Formienne, son visage qui s'approcha du sien. Ses mains, couvertes de chitine et faites dans une substance organique différente de la leur, se posèrent sur son visage, la Formienne était curieuse, l'explorait, il était après tout vrai que les Tekhanes ne se rendaient jamais volontairement aux Formiens, la plupart préférant mourir. En ce sens, ces trois femmes étaient de vraies exceptions, et ce n'est pas forcée que, en sentant l'un des doigts de la Formienne s'enfoncer dans sa bouche, Cryska se mit à gémir en se mettant à le sucer prudemment. Ce corps gigantesque écrasait la Tekhane, la maintenait au sol, elle sentait aussi vaguement cette espèce de bouche gigantesque contre ses cuisses, dont l'haleine chaude et fétide heurtait les heurtait.
Et lorsque la Formienne vint l'embrasser, Cryska commença à vraiment sentir la peur s'en aller d'elle. La Tekhanne répondit à ce baiser qui était long. Beatrix et Irisdina ne parlaient pas, se contentant d'échanger des regards, mais elles aussi semblaient comprendre qu'elles n'allaient pas mourir, et qu'elle atteignaient leur objectif. Ces deux femmes sentaient bien la prise des Xénomorphes qui les maintenaient ventre contre terre, et à les imaginer déchirer leur combinaison pour les prendre comme des chiennes en manque, elles aussi se sentaient maintenant toute chose. Pour autant aucune ne pris d'initiative qui pouvait encore, à ce stade, être confondu par une tentative de vouloir s'échapper. Elles restaient donc calmes, et soumises.

La Formienne, au bout d'un long baiser qui avait passablement excité la Tekhane, se releva alors, la libérant de sa masse tout en déclarant qu'elle acceptait leur reddition totale. Les Tekhanes à ce moment là se sentirent définitivement rassurées. Les Formiens avaient diverses façons de tuer leurs adversaires, et aucune n'était propre et sans douleur. Le nom de Sarah Kerrigan leur rappela bien des choses, cette ancienne Ghost Tekhane qui était passée à l'ennemi, et qui en quelque sorte avait été un peu leur inspiration à faire de même. Une à une, les trois femmes donnèrent leur identité complète.
Puis, la Formienne retourna son attention sur Cryska, qui avait alors pu se mettre à genoux devant elle. Un test, elle voulait leur faire passer un test, et Cryska se retrouva alors l'énorme bouche couverte de dents pointues devant elle. La bouche s'ouvrit, libérant l'haleine fétide, ainsi qu'une grosse langue qui vint se poser sur ses cuisses. L'haleine était mauvaise, mais en même temps pour la jeune femme...très attirante. Elle ainsi que ses camarades n'avaient pas fantasmé sur les Formiens sans raisons, mais bien parce qu'elles s'imaginaient que l'accouplement avec de telles créatures devait être incomparable, rien que cette bouche et cette gigantesque langue baveuse était en soit incomparable.

Oui, à vos ordres maîtresse.

La voix de Cryska était petite, déformée par la vague de désir qui l'assaillait. Elle allait faire l'amour à des Formiens, elle en avait longtemps rêvé, s'était à de multiples reprises touchée intimement en s'imaginant prise par ces Aliens, et là son fantasme se réalisait. Elle pencha doucement la tête tout en écartant un peu ses cuisses afin d'avoir un meilleur appui sur ses genoux, et ses lèvres entrèrent rapidement en contact avec cette langue, dont la largeur dépassait facilement celle de sa tête. Cryska tira alors la sienne, bien plus petite, et faisant fi de l'odeur elle lâche cette masse organique, récupérant au passage cette salive au goût peu ragoûtant. Et pourtant cela l'excitait, ce qui attirait Cryska chez les Formiens était ce côté sale que pouvait avoir une copulation avec ces créatures, elle lêcha donc cette gigantesque langue avec de plus en plus de conviction, posa ses mains dessus afin d'en éprouver la texture...et se mit à gémir de plaisir.
Beatrix et Irisdina elles contemplaient le spectacle, qui n'était pas pour réduire leur libido qui au contraire grandissait, mais elle n'osaient pas bouger car les Xénomorphes continuaient à les maintenir au sol. Par contre, rien ne les empêcha d'écarter leurs cuisses et de bomber leurs culs, afin de faire savoir aux Formiens qu'elles aussi étaient...disponibles.

Avant d’être la femme supérieure et redoutable qu’elle était, Sheoldred avait été, comme ces autres femmes, une inférieure. De son ancienne existence, elle ne se rappelait pas grand-chose. Un beau jour, elle avait été capturée par Mère, et avait eu droit à une nouvelle naissance. Elle se souvenait des humains comme des êtres retors, manipulateurs, des pervers et des menteurs. Partant de ce principe, était-il si impossible que ça d’imaginer que trois Tekhanes aient choisi de les rejoindre, d’abandonner leur monde pour devenir membres de la Grande Famille ? Sheoldred ne le pensait pas. Ces trois femmes avaient choisi de se rendre de leur plein gré, et étaient suffisamment appétissantes pour que la Cérébrate décide de leur faire confiance. Mère ne serait pas contre ce joli festin, de belles pondeuses en devenir qui n’avaient qu’une envie : se faire défoncer. Sheoldred, tout comme ses Xénomorphes, ressentait le désir de ces trois femmes, un désir palpable et fort, qui s’exprima encore mieux de la part de Cryska quand elle dévoila la langue de sa partie formienne.

Une longue langue qui se dressa face à la Tekhane. Loin d’être horrifiée par l’abominable odeur qui s’en dégageait, elle se pencha vers cette langue baveuse, et entreprit de l’embrasser et de la sucer... Sa langue partit à l’assaut de cette masse organique, et Sheoldred n’en perdit aucune miette, sentant sa propre excitation monter en flèche dans son corps. Oui... Elle avait maintenant l’intime conviction que ces femmes ne lui mentaient pas. Cryska léchait et se tortillait contre ce long appendice lingual, et ses deux collègues observaient cette scène, médusées. Le contact de la langue de Cryska contre celle de Sheoldred produisait des bruits écœurants, et son corps se recouvrait de la salive du monstre. Pendant un certain temps, Sheoldred ne fit rien... Puis choisit de passer aux choses supérieures.

Sa langue se déploya alors, et s’enroula autour du corps de la femme, venant alors la soulever dans les airs. Seules ses jambes étaient à l’air libre.

« Très bien... Tu as gagné ton ticket ! »

Et, sans rien dire de plus, la langue se rétracta dans sa bouche formienne, qui était alors grand ouverte... Et Cryska disparut à l’intérieur. La bouche se referma ensuite dans un claquement sec, de la salive en jaillissant pour finir sur le sol, l’éventuel hurlement que Cryska ayant pu pousser mourant dans la gorge du monstre. Son beau corps disparut dans le sien, et Sheoldred observa les deux Tekhanes. Allaient-elles finir mangées ? Sheoldred estimait nécessaire de les rassurer.

« Ne vous en faites pas pour votre amie... »

Sheoldred se déplaça alors, et grimpa le long du mur, ce qui amena à amener le reste de son corps devant les deux femmes. Elle se positionna sur le flanc, leur montrant ce qui correspondait à son estomac, et se concentra un peu... Suffisamment pour qu’une couche externe de sa peau ne se retire, dévoilant alors l’intérieur de son corps... Comme à travers une fine couche transparente, elles pouvaient voir l’intérieur du corps de Sheoldred. On voyait une sorte de grosse masse orange, avec, en son centre, une silhouette noirâtre. Impossible de voir son visage, mais, à en juger par les formes, il ne pouvait s’agir que d’une seule personne : Cryska.

Cryska était dans l’estomac de Sheoldred, mais elle n’était pas mangée, et on pouvait voir de multiples tentacules jaillir de son ventre pour la pénétrer dans tous les sens. Un s’enfonça dans son vagin, un autre dans son anus, un troisième dans sa bouche, et d’autres palpèrent ses seins, tandis que d’innombrables tentacules en forme de langue venaient se presser contre son corps. Les parois internes de la Cérébrate écrabouillaient le corps de Cryska, la salissant, la remplissant d’un liquide infect et interne, tout en l’immobilisant totalement... Dans le sens où elle ne pouvait rien faire d’autre que subir. Son corps remuait le long des parois internes de la femme, bondissant un peu.

« Tant qu’elle continuera à jouir, mon estomac ne la digérera pas... Et je la libérerai le moment venu. Maintenant, à vous... »

La couche extérieure de la peau de la Cérébrate se reforma, et la femme retourna se poser devant elles. La bouche de son monstre s’ouvrit à nouveau, et de multiples tentacules roses gluants jaillirent, sa grosse langue se trouvant au milieu. Pendant ce temps, les Xénomorphes avaient relâché les femmes, et venaient de faire pousser deux verges noires, monstrueuses, en grognant dangereusement.

« Je vous laisse choisir, petites salopes. L’une soulagera mes Formiens, et l’autre viendra me soulager, moi... Rassurez-vous, vous finirez vous aussi dans mon estomac quand nous en aurons fini avec vous. »

Elle ne voulait pas créer de jalousies, après tout.

Le plan des des trois femmes aurait pu se passer terriblement mal, et elles avaient à dire vrai eu beaucoup de chance de tomber sur une des Cérébrates de Kerrigan, car dans un autre cas de figure, elles auraient eu de grandes chances de tout simplement se faire tuer. Heureusement, leur volonté de se rendre était tombée entre de bonnes mains, et la formienne se régalait de l'action de Cryska, qui se dandinait sur la gigantesque langue qui sortait de son abdomen. L'odeur ne la gênait pas le moins du monde, au contraire, cela apportait un côté sauvage et alien, qui plus que tout faisait trembler la Tekhanne d'excitation. Au bout d'un moment, la jeune pilote sentit la langue bouger, et elle s'enroula tout autour d'elle, et quelques secondes plus tard, elle se fit complètement avaler pour entrer à l'intérieur du  corps de Sheoldred.

Bien entendu, Cryska paniqua, persuadée sur le moment qu'elleallait se faire digérer vivante, vu qu'elle se trouvait dans l'estomac de la formienne. Elle ne parvint toutefois pas à se débattre, car les parois internes se serrèrent contre elle rapidement. Un tentacule perça alors sa combinaison pour aller se fourrer dans son vagin, un autre fit de même pour aller directement la sodomiser, et un troisième la rendit muette puisqu'il pénétra dans sa bouche. Prise au piège, elle se faisait pénétrer de toutes parts tandis que les parois internes de l'estomac, qui se collaient à elle, firent apparaitre une multitude, des milliers d'appendices semblables à des langues qui se mirent à lécher la totalité de son corps, tandis que els tentacules remuaient en elle, et la baisaient fort.

Hmmmmmmm !!!!

A mersure que le temps passait,  la Tekhanne sentait sa peur s'adoucir. Elle n'était pas ici pour être mangée, auquel cas son corps aurait déjà été attaqué par de l'acide digestif. elle commença donc à se relaxer, et acceuillit pleinement la sensation de ces langues qui la léchaient partout, et surtout de ces tentacules qui la labouraient rudement, comme elle le voulait. Cryska était là pleinement dans son fantasme, celui de se faire prendre par des tentacules, par des aliens, et elle eut rapidementun premier orgasme, abreuvant ainsi Sheoldred de sa délicieuse cyprine. La Tekhanne était aux anges, et se laissait pleinement faire.

De leur côté, Beatrix et Irisdina avaient vu avec horreur leur collègue de faire avaler d'une traite, et elles crûrent bien pendant un moment qu'elles avaient été dupées, et que la Formienne allait les manger. Néanmoins, Sheoldred entreprit tout de suite de les rassurer, et par effet de transparence quand elle fit se rétracter la carapace protégeant son abdomen, les deux femmes virent Cryska à l'intérieur du ventre, bien consciente, et tout simplement en train de se faire baiser par des tentacules. Sheoldred n'avait pas l'intention de la dévorer, et de fait, l'intérieur de son ventre n'était pas destiné qu'à avaler de la nourriture, mais aussi des partenaires sexuels pour les baiser. Cette vision, non seulement rassura les deux femmes, mais contribua aussi à les exciter d'avantage, d'autant qu'elles sentaient les Xénomorphes dans leurs dos se frotter contre elles.
Sheoldred alors revint face à elles, et à nouveau sa gigantesque bouche s'ouvrit, mais cette fois en plus de la langue assez grande pour envelopper un être humain, se trouvaient une myriade de tentacules roses et gluants, qui grouillaient en remuant sans cesse. Les Xénomorphes eux se retirèrent, laissant ainsi le choix aux femmes de décider qui irait où, et d'un regard, elles se comprirent.
Irisdina, la magnifique blonde à forte poitrine, se retourna pour faire face aux Xénomorphes qui, dressés sur leurs pattes, lui présentaient de magnifiques et puissantres verges dressées

Oh ouais...venez mes beaux, laissez moi vous montrer ce que je sais faire...

Irisdina se mit à genoux, juste entre les deux, et tendit chacune de ses mains pour aller masturber frénétiquement ces grosses queues tendues, terriblement dures, oh elle avait presque l'impression qu'elles étaient faites en béton armé ! Elle se mordilla un coup les lèvres, puis n'y tenant plus, elle amena son visage près de l'un d'entre eux, et commença à le sucer. La texture de cette peau, très dure, était étrange, et elle avait clairement plus l'impression de sucer une bête qu'un être conscient, ce qui était définitivement le cas. Mais cette bestialité, c'était exactement ce que la Tekhanne cherchait, et elle entreprit de sucer cette queue avec énergie, tout en les branlant tous les deux avec une forte poigne.
Beatrix donc s'avança près de Sheoldred, se déplaçant à quatre pattes en direction de sa gigantesque bouche d'où une odeur putride s'échappait, ainsi que beaucoup de bave. La chef de l'escouade se mit alors à genoux, ses cuisses ét son entrejambe se posèrent directement en contact avec la langue qui formait une sorte de tapis chaud et humide, tandis qu'elle bomba sa poitrine et avança son torse en direction de la masse grouilante de tentacules.

Nous serons de bonnes femelles maîtresse Sheoldred...et les plus grosses putes que vous aurez jamais vues...

La tekhanne aux longs cheveux noirs parlait avec une voix légèrement tremblante, qui trahissait son excitation terrible. Elle avança ses mains dans  la masse de tentacules, en saisissant un au hasard dans chacune pour les branler, puis elle prit une forte inspiration, et plongea alors son visage dedans, avec la bouche grande ouverte, dans l'optique claire de laisser ses tentacules lui violer la bouche.

Était-il si surprenant que ça de voir ces trois magnifiques bombes sexuelles s’offrir à leur ennemi juré ? Sheoldred les observait, en peinant à dissimuler son excitation, se rappelant encore le nom de ces super salopes : Cryska, qui se trouvait dans son ventre, à subir le plaisir suprême, Irisdina, qui se retourna vers les deux Xénomorphes, et Beatrix, qui s’approcha d’elle à quatre pattes. Sheoldred sentait des frissons remuer tout son corps. Il était en effet fréquent que des Tekhanes contournent le blocus de sécurité pour s’offrir à eux. Ce n’était donc pas si étonnant que ça, car Tekhos était une société hyper-sexualisée. Or, tout le monde savait, maintenant, que, au sein de la Fourmilière, les femmes ne faisaient que l’amour. Sarah avait pu constater combien de gens aimaient se rendre volontairement, mais il fallait bien admettre que ces trois beautés étaient des lots particulièrement rares. Dans son corps, Cryska trépignait d’excitation. Il y avait trois tentacules qui la pénétraient rudement, et une multitude de langues la caressant. De la pointe de ses cheveux à ses orteils, il n’y avait tout simplement pas un centimètre carré de sa peau qui ne fasse pas l’objet des attentions de la femme. C’était un spectacle aussi horrible que fascinant.

Irisdina se mit devant les deux Xénomorphes, gourmandes, et s’attaqua à leurs verges. Effectivement, ces monstres avaient des phallus gros et durs, avec une peau qui était à la fois gélatineuse et solide. La peau d’un Xénomorphe était très particulière, car elle était légèrement gluante, recouverte d’une sorte de substance, mais, sous cette substance, on sentait un corps particulièrement dur. Ils avaient d’épaisses queues, et Irisdina alla rapidement en sucer une, masturbant l’autre. Les mains du Xénomorphe, épaisses et griffues, se posèrent sur ses cheveux, et il commença rapidement à la pilonner, filant d’avant en arrière en elle, tout en grognant profondément. Ses mains étaient comme des étaux, heurtant les cheveux de la femme, se crispant dessus, et il fila en elle, la baisant sans ménagement, maltraitant sa gorge, la baisant jusqu’à la garde, glissant dans son larynx.

Sheoldred, de son côté, esquissa un sourire ravi quand Beatrix glissa qu’elles allaient être de bonnes putes.

« Oh, je n’en doute pas... C’est une nouvelle vie qui vous attend, mes beautés. Une vie faite de stupre et de bonheur, où vous ferez des bébés, tout le temps des bébés... Oui, vos corps fermes feront de magnifiques pondeuses. »

Sheoldred sourit à nouveau, et la gueule du monstre se referma sur le corps de Beatrix, qui était légèrement avancé en elle. La partie haute se referma donc, et le corps de Beatrix s’aplatit, coincé entre ses lèvres, ses jambes et son bassin venant ressortir, tandis que son buste était coincé dans sa bouche, posé sur sa langue. Un tentacule s’enfonça rapidement dans sa bouche, la violant sur place, tandis que, sortant de la langue du Formien, des tentacules prirent la forme de mains, palpant et pinçant ses seins à travers sa combinaison. De plus, Beatrix se retrouva rapidement couverte de bave, une salive épaisse qui lui tombait sur toute la partie du corps coincée dans la gueule du monstre.

Ses fesses ressortaient à l’air libre, et la partie humaine de Sheoldred s’abaissa vers elle, ses mains venant masser ses fesses, les pinçant, avant qu’elle n’approche également ses lèvres, venant les embrasser. Beatrix avait un cul merveilleux, musclé et bien charpenté. Elle l’embrassait donc, tandis que d’autres tentacules sortaient du corps de Sheoldred, et elle ouvrit sa combinaison, voyant, à hauteur du bassin, une ouverture à l’avant, une fine armature métallique. Elle l’ouvrit, dévoilant l’accès à son intimité, et un tentacule phallique s’y enfouit rapidement. À l’arrière, elle vit une autre ouverture, à hauteur de la croupe, et l’ouvrit également. Cependant, au lieu de laisser un tentacule venir dans ses fesses, Sheoldred préféra y fourrer sa langue... Une langue qui, à l’image du reste de son corps, changea rapidement de forme, pour grossir et gonfler, prenant ainsi une apparence plus phallique, plus profilée, tout en la sodomisant sur place.

Pour réussir cela, Sheoldred attrapa ensuite les jambes de la femme, et se redressa, l’emmenant avec elle. Dit autrement, le corps de Beatrix se retrouva presque à la perpendiculaire, avec son tronc coincé contre la langue de la partie formienne du corps de Sheoldred, et ses jambes filant en hauteur, ce qui permit à la Cérébrate de se redresser un peu, maintenant la femme par les jambes, dans une position athlétique qui mettait à l’épreuve son corps.

« Hmmm... »

Quant à Irisdina, très rapidement, le premier Xénomorphe jouit en elle, mais elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que le second Xénomorphe, grognant furieusement, s’empressa de fourrer sa queue, aussi monstrueuse que l’autre, dans sa bouche, et la baisa vigoureusement à son tour.

Et tout ça n’était qu’un prélude, un délicieux prélude, avant de rencontrer leur Reine...