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Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

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Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 30 mardi 02 décembre 2014, 16:43:00

Avec Irina j'ai réussi à atteindre un stade particulièrement jouissif, le stade de la victoire totale. Battre son adversaire ne suffi pas, il faut l'humilier, le briser, le détruire jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un tas de cendres fumantes. Nous les démons nous adorons cela, les victoires totales, la destruction intégrale de ce qui nous déplaît ou nous restreint. Sans la moindre once de pitié je regarde ce qui est devenu un tas de chair sans âme se cambrer lubriquement et gémir sous les assauts bestiaux de son mâle. À cet instant elle n'est plus qu'un vulgaire sac à foutre, un sextoy vivant, enfin à peu près vivant. De rebelle à cyborg, de cyborg à pute de luxe, de pute de luxe à pute des bas quartiers pour finalement atteindre la déchéance ultime, vulgaire objet servant à satisfaire les besoins d'un animal bête et brutal. Mais le pire n'est pas là, non, le pire c'est que ses entraves la pousse vers un plaisir masochiste et malsain qui est l'antithèse même de son caractère d'origine. Le pire c'est que son corps adore cette sensation et ne peut y résister, supplantant ainsi totalement son esprit dont elle est si fière. Dans cette position, dans cette situation, que reste-t-il de cette fierté si chère à son cœur ? Un tas de cendres.

Des jets de cyprine jaillissent de son entrejambe. Ils me surprennent par leur puissance, tâchant toute la pièce. Même la caméra, pourtant à bonne distance, se fait asperger. Heureusement l'objectif de cette dernière n'est pas trop atteint, seules quelques gouttelettes arrivent jusqu'à lui, elles donneront un petit effet sympathique à mon documentaire animalier. Mes jambes aussi se font rincer, ma queue de succube descend donc le long de mes jambes, récupérant son nectar pour finalement l'apporter jusqu'à mes lèvres, hum, délicieux. Le corps de la cyborg semble approcher de sa limite, ses yeux se révulsent, sa mâchoire pendouille de même que sa langue, son corps entier est agité de violents spasmes. Si je pousse davantage elle en mourra et la mort ce n'est pas très amusant, la voir vivre avec ce souvenir dérangeant sera bien plus drôle. Ne pouvant pas me retenir davantage je me met à rire aux larmes. Tinuviel m'a parlé de lutter contre ma mauvaise nature, elle m'a dit que je pouvais devenir ce que je voulais mais, j'aime ma mauvaise nature, elle me va parfaitement. Voir cette chose se laisser aller à ce point à la luxure me ravit, la détruire me ravit, me moquer de son état me ravit …

Je regarde tous ces scientifiques ébahis devant le spectacle que je leur offre. Les viols sont pourtant courants ici et malgré cela ils sont là, à regarder leur cobaye se faire démonter l'arrière train par un énorme taureau. J'en déduis qu'ils n'en sont jamais arrivés à cette extrémité, que ma manière de faire est nouvelle pour eux et qu'elle leur plaît. Parfait ! Je ne résiste pas à l'envie de faire mon petit spectacle. Je pose l'une de mes mains sur ma hanche, pointant l'index de l'autre vers Irina, levant fièrement le menton face aux grattes-papiers de Biogenix :

"C'est comme ça qu'on viole une petite rebelle ! Regardez et apprenez bande d'amateurs !"

Soudain mon jouet reprend ses esprits et pousse un long cri, elle peut voir son ventre enfler comme s'il allait exploser. Elle peut sentir ses organes internes compressés par l'afflux massif de foutre en elle. Le sexe disproportionné de l'animal a tout ravagé sur son passage, donc elle peut également sentir ses blessures. Une fois ses intestins pleins à craquer, le foutre de l'animal se fraye un chemin jusqu'à l'air libre et jailli de son anus. De petits jets blanchâtres se répandent ainsi derrière elle ou coulent le long de ses cuisses. Finalement le stupide taureau a fini son affaire et cherche à se dégager, il recule mais, à cause de tout ces fluides dans lesquels baigne son énorme verge l'air ne parvient pas à passer, transformant le cul de la cyborg en véritable ventouse. Il la traîne donc avec lui vers l'arrière et lorsqu'il arrive au bout de sa chaîne il s'avance d'un coup pour recommencer, enfonçant à nouveau son sexe dans le fondement d'Irinouille. Il recommence plusieurs fois la manœuvre sans succès, jusqu'à ce que je pose mon pied sur les fesses de Gros-Nichons pour les séparer de force.

"POP !!!"

Un véritable torrent de semence chaude tombe alors au sol, ça et là de petits filets rouges montrent aussi la violence de ce coït. L'anus béant de mon assistante ne parvient pas à se refermer et sa dilatation permet de voir en elle comme si elle avait un écarteur fiché à l'intérieur. Démunie de tout contrôle sur cette partie de son corps, tout ce qui se trouve dans son cul se met à couler joyeusement sans qu'elle puisse retenir quoi que ce soit. Hilare, je détache ses sangles avant de donner un coup de pied dans le banc pour la faire basculer sur le côté. À l'impact, un puissant jet de foutre va repeindre en blanc le sol de la pièce sur deux bons mètres. Quelle vision agréable que voilà. Je me penche vers ce qu'il reste de la petite rebelle et je l'embrasse sur la bouche pour aspirer sa force vitale, me régalant de sa jouissance avant de la laisser sombrer dans l'inconscient pendant de longues heures. Son ventre va lentement dégonfler, libérant tout ce qui a été accumulé à l'intérieur, le sperme va sécher, se transformant ainsi en une sorte de boue odorante. Et quand elle se réveillera après les cauchemars qu'elle pourra faire à volonté, elle se retrouvera dans cette position, recouverte de semence sèche, avec sa tenue ridicule.

Pendant son sommeil je vais préparer la suite, mettre le film en sécurité, en faire des copies, m'occuper d'installer correctement le lit médicalisé et tout. Car si elle pense que je vais m'arrêter là, c'est que cette petite est bien naïve. Le taureau n'était que le début de mon programme la concernant.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 31 mardi 02 décembre 2014, 21:12:09

Le monde à basculé dans la folie et Irina ne parvient plus a articuler la moindre chose intelligible, elle n'est plus que grognement animal, soupire et gémissement de femme brisée. Son univers n'est plus rythmé que par les orgasmes douloureux qui agitent son corps avec la régularité et la violence d'un métronome. Il y a longtemps, lors de son dressage par BIOGENIX, un scientifique avait prétendue qu'elle avait jouit plus d'une centaine de fois en une heure, à cet instant précis, la cyborg ne dispose plus d'un QI suffisamment développé pour compter. Seul parvient à son esprit les éclat de rire déments de sa Maitresse qui s'insinuent au plus profond de sa psyché pour y imprimer une crainte et un respect mal-saint mais tenace.

Le bourrin essai de se dégager maladroitement, provoquant à chaque tentatives de nouvelles piques de douleur qui se répercutent dans tout l'abdomen sur-gonflé de la cyborg. Un traitement pareil aurait probablement tuée une humaine normal, mais Irina avec ses innombrables améliorations, à la malchance d'être presque immortelle. Finalement c'est la succube qui la libère et pressant son talon sur le cul encore bombé et brulant de son esclave.

Irina sent l' appendice gargantuesque de la bête quitter enfin son fondement totalement ravagé. Elle la fait basculer de son ban et la jeune captive se retrouve baignée de ses propres fluides corporelles et de ceux du taureau.  Immédiatement elle sent le foutre sous pression quitter son corps et la soulager, Irina pousse alors une longue complainte de soulagement qui meure peu à peu.

Irina - haaaaaaaaaaaaaaaaa

La façon que Inuko a utilisée pour séparer ses esclaves l'un de l'autre est à la fois cruelle et humiliante. Pourtant l'esprit brisé et bouillant d'Irina ressent un profond sentiment de gratitude à l'égard de celle-ci.


Ma Maîtresse a arrêté la douleur... Ma Maîtresse a arrêté la jouissance... je suis reconnaissante envers ma Maitresse... elle me protège et me soulage...


Lui répète inlassablement son esprit éteint alors qu'elle regarde Inuko avec ses grands yeux pleins de reconnaissance. Elle n'est plus capable de faire la pare des choses ou d'avoir une once de discernement humain sur le monstre qui se trouve devant elle et qui se penche pour lui voler un baiser. Elle a totalement occulté le fait que c'est elle qui lui a infligé cela, elle n'est plus que réflexion primale.
Le visage d'Inuko s'approche de celui d'Irina, celle-ci, perdue dans son délire, ferme les yeux et tend ses lèvres pour faire plaisir à sa maitresse. Leurs lèvres se joignent en un baiser sans grâce ni amour, la succube se repait alors de toute la jouissance qu' Irina a accumulée pendant ces longues minutes de viole.


Non... non... je vous en supplie... laissez m'en... je l'ai si durement acquise... j'ai tans souffert pour la ressentir... laissez m'en juste un petit peu... je ne veux pas me sentir vide...


Mais la succube n'entend pas le cris de l'âme de son jouet, elle dévore goulument toute la satisfaction sexuelle d'Irina jusqu'à ce que celle-ci se sente totalement vidée de plaisir. La pauvre esclave s'effondre la tête la première, le regard mort, et s'affaler sur le ventre dans la mare de foutre et de cyprine.

Quelques heures plus tard.

Irina sent une douleurs cuisante, et un vide abominable au fond de ses entrailles, déjà la démangeaison de la frustration sexuelle commence à titiller son clitoris et le bout de ses seins. Elle ouvre péniblement les yeux, elle à froid, elle est sale et poisseuse. Elle gémit de douleur en tentant péniblement de bouger les membres et la tête, malgré ses capacités de régénération, la cyborg sent que son anus ne s'est pas totalement refermé. Le muscle distendu de son cul baille encore de manière obscène et forme un trou large comme une balle de golf, elle commence a verser des larmes de désespoir en imaginant le spectacle qu'elle devait présenter. L' Administrateur serait ravi, elle ressemblait enfin aux putes qu'il aime tans avec leur vagin et leur anus dilaté. . Elle regarde, à la fois dégoutée et encore enivrée le liquide caillé qui l'entoure et la recouvre en partie. Elle remarque dans ce brouillard de douleur et de faiblesse qu'elle n'est plus allongée sur le ventre, mais sur le dos, les jambes et les bras bien écartés. Elle se redresse doucement sur les coudes et regarde son vagin. Ses lèvres d'ordinaire d'une belle couleur pale ont pris une teinte rose sombre et un petit résidu de sperme en dégouline.

Irina réalise alors que son calvaire a continuer bien après sa perte de connaissance, car les scientifiques qui ont assisté à la scène ne se sont pas contenté de jouir de la vue. Après le départ de la succube, ils se sont offert le luxe de baiser son corps inanimé.
Les images de ce qu'elle a vécu lui reviennent en tête et se fondent avec celle des visages libidineux de ses violeurs, et elle vomit.

Mais le sort ne semble pas vouloir laisser Irina tranquille. A peine quelques instants après son réveille, son corps vidé du plaisir que lui a volé la succube se rebelle et réclame ce qu'on lui a prit. Instantanément, sa frustration sexuelle transcende sa chaire et embrasse son corps tout entier, elle est trop vidée et trop brisée pour résister, et après avoir réussi à ramper péniblement vers un coin sombre de la pièce, elle commence à se masser le clitoris lentement mais nerveusement pour profiter enfin d'une jouissance libératrice.

Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 32 jeudi 04 décembre 2014, 23:39:07

Pendant que Gros-Nichons dort comme un gros bébé, je prépare la suite de son traitement. Quelque chose de moins brutal, de plus psychologique, histoire d'affaiblir encore un peu plus son esprit, jusqu'à ce qu'il cède. Jusqu'à ce qu'elle m'aime, jusqu'à ce qu'elle me considère comme sa maîtresse sans avoir besoin de ces foutus implants. Elle n'a pas besoin d'aimer Biogenix ou de les servir de son plein gré pour ça, il lui suffi juste de tomber sous mon charme. Il lui suffi de se laisser aller et de penser à tout le plaisir que je pourrais lui donner. Son regard empli d'une sincère et touchante reconnaissance m'a redonné l'espoir de pouvoir la dresser. Au fur et à mesure que j'utiliserais mon pouvoir d'absorption sur elle, sa frustration se transformera en une véritable addiction à mon corps. Si j'arrive dans le même temps à la charmer, à en faire une chienne consentante à mon service, je gagnerais une puissante alliée et une superbe amante. Parce que la soumission forcée à l'aide de gadgets technologiques ne m’intéresse pas, ce n'est pas amusant.

J'ai demandé aux scientifiques restés sur place de tout faire pour accentuer sa frustration à son réveil. Je leur ai demandé de la torturer sexuellement, de rendre cette sensation insoutenable, de ne surtout pas la satisfaire, de surtout pas la laisser se satisfaire elle-même. Moi pendant ce temps-là je dors, je récupère, la nuit porte conseil et m'apportera sûrement plein de bonnes idées pour son dressage. J'ai aussi demandé à ce que le lit médicalisé soit prêt à l'usage, ainsi que les autres accessoires que je garde secrets pour entretenir le suspens.

Pendant ce temps dans le laboratoire :

"Hey petite salope ! Qu'est-ce que tu fous ? Arrêtes de te masturber, c'est un ordre ! Qui t'as donné l'autorisation de te toucher comme ça hein ? PERSONNE !!! Suis-nous !"

Plusieurs scientifiques sont entrés dans le labo et s'en sont violemment pris à Irina, prise en flagrant-délit de masturbation non-autorisée. En général ils étaient plutôt du genre à en profiter, c'est donc qu'ils avaient une idée derrière la tête. Ils ont emmené la cyborg jusqu'à une salle qu'elle ne connaissait que trop bien, une salle pleine de cellules de torture sexuelle où les sujets étaient enfermés le temps que leur esprit soit brisé. Elle avait déjà vécut ça, elle savait à quoi s'attendre, enfin non, pas tout à fait en fait. Les scientifiques l'ont attachée au mur, curieusement ils ne lui ont pas bourré les orifices de jouets sexuels et n'ont pas commencé à la violer comme d'habitude. L'un d'entre eux s'est approché avec une seringue pour la mettre juste sous le nez d'Irina.

"Je te présente DHS-186C, notre nouveau produit qui fait la fierté de nos chimistes. C'est notre dernier aphrodisiaque et il est, comment dire ? Extrêmement puissant, à la limite du supportable, enfin en théorie. On a besoin de toi pour les tests pour vérifier tout cela !"

Quelques heures plus tard :

Je me réveille et j'ai très bien dormi, j'ai rêvé de Gros-Nichons et de ce que je pourrais faire avec elle à mon réveil. J'espère que les scientifiques de Biogenix ont suivis mes instructions la concernant. Je dois l'attaquer sans répit pour avoir un véritable impact sur son caractère, il est très important de ne jamais la laisser souffler. Je me lève et je me rends immédiatement là où je l'avais laissée la veille. Puisque je compte me servir de mon corps je ne prends même pas la peine de m'habiller, déambulant nue dans les locaux sans la moindre gêne, prenant plaisir à aguicher mes collègues. Finalement, un scientifique sort de la salle des cellules et me fait signe :

"Ah Agent 666 ! Elle est enfermée dans une cellule, nous avons suivi vos instructions."
"Parfait, vous êtes un amour."


Le scientifique en question est un vieil homme dégarni et bedonnant, il a de grosses lunettes et est en train de mater ma poitrine en bavant comme un gros porc. De la nourriture reste de la nourriture, même quand l'emballage n'est pas joli. Je le plaque contre le mur en caressant son sexe à travers son pantalon. Il est déjà excité d'avoir observé la Cyborg nue tout ce temps, il vient probablement de se masturber. Je me contente de rallumer ses ardeurs, collant mes lèvres aux siennes avant d'aspirer sa force vitale et de le laisser glisser contre le mur pour s'étaler au sol. Bon, le petit-déjeuner c'est fait ! Maintenant Gros-Nichons.

J'entre dans la salle, ma chose est attachée dans une cellule et je n'arrive pas à déterminer si elle est consciente ou non. Une énorme flaque de cyprine s'est formée à ses pieds, sa frustration sexuelle doit être immense après tout ça. J'entre dans sa cellule et je glisse mes doigts sous son menton pour relever délicatement sa tête et qu'elle puisse me regarder dans les yeux. Je détache ses bras tout en la soutenant en collant mon corps contre le sien, la plaquant contre le mur, puis je l'aide à marcher tout en lui parlant :

"Comment vas-tu Gros-Nichons ? Tu as très envie n'est-ce pas ? Maîtresse Inuko va s'occuper de toi ne t'en fais pas. Je vais te faire prendre une bonne douche et après je te ferais jouir comme une petite folle, autant de fois que tu le voudras."

Dans son esprit les scientifiques doivent être les méchants et moi je dois être la gentille Maîtresse qui l'aide à évacuer sa frustration après. Bien sûr ce genre de petites manipulations ne suffira probablement pas à la ramener de mon côté, c'est juste une façon de préparer le terrain pour la suite.  Je l'aide à rentrer dans les douches, je la débarrasse de son attirail qu'elle a gardé tout ce temps pour mettre complètement nue et je la fais entrer dans la douche. Je dirige le jet d'eau vers elle et je commence à la savonner, à caresser son corps avec un gant de toilette très doux. Je frotte son corps consciencieusement, effaçant les traces de toutes les horreurs qu'elle a subie. J'insiste sur ses divers orifices, glissant mes doigts à l'intérieur pour aller nettoyer les résidus de sperme qui y sont restés. Une fois qu'elle est bien propre je me colle contre elle et je l'embrasse sur la bouche. Pendant ce temps ma main droite va caresser son bas-ventre et son clitoris, en douceur. Tandis que ma main gauche s’attarde dans son dos pour la presser contre moi. Ma queue de succube gonfle, formant un sorte de gros gode souple à son extrémité et rentre dans son anus avant d'éjaculer une sorte de simili-sperme aphrodisiaque, dilatant et lubrifiant. Elle s'enfonce dans son cul avant de ressortir, commençant à aller et venir en elle. Je veux que la cyborg jouisse dans mes bras, qu'elle me considère comme celle qui la soulage, qui lui fait du bien au milieu de cet Enfer.

"Tu aimes ce que ta Maîtresse fait pour toi Gros-Nichons ?"


Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 33 lundi 08 décembre 2014, 21:04:06

Scientifique - Hey petite salope ! Qu'est-ce que tu fous ? Arrêtes de te masturber, c'est un ordre ! Qui t'as donné l'autorisation de te toucher comme ça hein ? PERSONNE !!! Suis-nous !

Irina lève vers les hommes un regard vide et furibond à la fois. Elle essai de se défendre, de les frapper, et finalement, à défaut de pouvoir se battre, elle tente désespérément de les repousser. La belle cyborg ne comprend pas, son corps est totalement vidé, ni ses implants cybernétiques ni ses muscles d’athlète ne répondent. En vérité c'est tout son corps qui est dépossédé de son énergie vitale, de sa volonté de surmonter les obstacles et de se libérer. Plus rien de tout cela ne reste car le viol monstrueux de la bête, les orgasmes a répétition, et le vol de son plaisir l'ont asséché de toute combativité. Elle n'est plus qu'un trou béant qui réclame ce qu'on lui a volé, une junkie défoncé au sexe qui n'a pas sa dose.

Son esprit fiévreux lui permet à peine de comprendre ce que les scientifiques lui font, la pièce vers laquelle ils l’emmènent. Elle ne commence à reprendre ses esprit qu'au moment où elle est attachée contre le mur, et même alors, le manque de plaisir et la et étouffe sa raison. Elle fronce les sourcilles et lutte contre sa faiblesse pour réussir à redevenir cohérente. Et c'est à ce moment la que l'un des scientifiques se rapproche et lui présente la dernière variante du CN20. 


Scientifique -"Je te présente DHS-186C, notre nouveau produit qui fait la fierté de nos chimistes. C'est notre dernier aphrodisiaque et il est, comment dire ? Extrêmement puissant, à la limite du supportable, enfin en théorie. On a besoin de toi pour les tests pour vérifier tout cela !"


Irina reconnait instantanément sa Némésis, les nuances vertes et rouges qui dansent dans la liqueurs épaisse et noirâtre du poison ne peuvent pas mentir, c'est une nouvelle version du CN20. Irina commence à gesticuler et à se débattre en voyant la substance qui l'a rendue folle deux ans plus tôt. Elle se souvient de cet instant où son jugement et sa volonté ont volé en éclat pour la transformer en esclave nymphomane et stupide. Son désir et son excitation avaient été si brutaux qu'une lobotomie ne l'aurait pas rendue plus stupide et docile et c'est ainsi qu'elle était devenue... ce qu'elle est aujourd’hui...

Irina - Non ! Non Salops ! Reculez ! Ne m'approchez pas ! Non !

Scientifique - Détend toi Sujet 2501, dans quelques instants tu vas te sentir beaucoup mieux...

Dit il en ricanant et en s'approchant d'elle. Il profite de sa vulnérabilité totale pour lui caresser l'intérieur de la cuisse, l'excitation d'Irina est déjà tellement violente qu'elle en frissonne et rougit.

Irina - Qu'es ce que tu fais espèce de pourri HAAA !

La tige d'acier chirurgical vient de se planter profondément dans la chaire la plus tendre de son entrecuisse, tout près de ses lèvres pubienne. Elle se heurte à la membrane solide de son artère fémorale et la perce enfin d'un petit coup sec qui fait sursauter Irina.


Irina - Non... par pitié pas ça... je... ho.... je... ha...ha...


Irina commence à trembler comme une feuille et à haleter la bouche grande ouverte. Son corps commence à suer de grosses goutes et sa cyprine se repend déjà en ruisseau sur ses cuisses. Le scientifique n'a pas fini de pousser toute la drogue aphrodisiaque dans son organisme que déjà elle défaille, le centre de sa pensé bascule dans le délire.

Le corps sculptural de la cyborg commence à se convulser d'avant en arrière, ses mains attachées l’empêchent de soulager le feu qui dévore son corps et son sexe en rivière. Elle hurle de frustration et abandonne toute pudeur ou fierté pour supplier les deux hommes de la baisser tout de suite, mais ils résistent, et chaque seconde la chose qui était Irina devient de plus en plus folle.

Quelques heures plus tard:

Des heures de se régime ont fini par étouffer totalement la volonté et la personnalité d' Irina qui fixe le sol d'un regard éteint. Son corps continue de trembler, elle n'entend plus rien, juste le bourdonnement de son sang qui palpite dans ses oreilles alors que son corps continue de bruler atrocement de l'intérieur.

Quand Inuko soulève son menton pour regarder les yeux de sa captive, elle découvre le vide abyssal de son esprit et les ravages qu'on provoqué les heures avec le taureau et celle avec la nouvelle drogue. La petite rebelle qui tape parfois aux carreaux de sa conscience est écrasée par le désir, la succube ne la voit nul par dans ses iris totalement dilatés et dans sa sclérotique empourprée.

Inuko - "Comment vas-tu Gros-Nichons ? Tu as très envie n'est-ce pas ? Maîtresse Inuko va s'occuper de toi ne t'en fais pas. Je vais te faire prendre une bonne douche et après je te ferais jouir comme une petite folle, autant de fois que tu le voudras."

Irina la regarde, ses gestes sont lents et son air totalement hébété, elle veux répondre oui, qu'elle en veut, même si un petit fragment de sa conscience lui cris de se défendre. Elle ouvre la bouche, mais pas un mot n'en sort, juste un gémissement de faim, mais qui n'appelle pas à rassasier son estomac. La succube agit calmement mais avec intelligence, elle sait qu'elle dispose de nombreuses heures avant que l'esprit d'Irina ne se réveille, elle emploie donc le temps dont elle dispose pour briser son subconscient et le plier à sa cause.

Elle détache la cyborg, instantanément Irina s'effondre sur le sol et passe ses deux mains entre ses cuisses pour se masturber lentement en gémissant. Mais la cruelle maitresse ne veut pas qu'elle se soulage toute seule. Elle repousse délicatement ses mains de son sexe et l’attire vers la douche. Le corps d'Irina garde pendant de nombreuses minutes les marques de son harnais, qui zèbre son corps de manière pornographique. L'eau aurait peut être pue ramener un peu de raison dans la psyché fiévreuse d'Irina, mais l'aphrodisiaque continue de couler dans ses veines et de bruler sa conscience.

Irina se tient droite et complètement contracté par le désir, fixant la douche qui déverse son flot brulant et agréable alors qu'Inuko commence à la laver et la caresser. La cyborg recommence à trembler de tout son corps. A peine la succube éfleur t 'elle le clitoris hypertrophié d'Irina qu'elle se contracte et pousse un gémissement de plaisir. Une trainée de cyprine vient zébrer les cuisses de la succube, la cyborg commence à haleter et couver sa maitresse d'un regard fiévreux et animal. Mais celle-ci ne lui laisse pas le temps de souffler car sa queue se métamorphose alors en puissant jouet sexuel qui glisse contre le muscle anal de la captive et commence à en forcer la porte. Les bras d'Irina se referment violemment sur les épaules de sa maitresse pour la prendre dans les bras et se frotter à elle, son corps s'agite et ses hanches se cambrent alors qu'elle jouit à nouveau. Elle sent une substance étrange se déverser en elle et accroitre toujours plus son désir sexuel, au point que la cyborg deviennent vraiment une machine sans conscience aillant pour seul but de prendre du plaisir.

Irina se débat et se frotte contre Inuko à mesure que son corps est déchiré par de violents orgasmes qui l'emplissent enfin de satisfaction et apaise sa folie. Les vas et vient la vide et l'emplissent à la fois, les corps des deux jeunes femmes glissent l'un contre l’autre et font rebondir leurs formes provocantes. Quand la succube plonge à nouveau son regard dans celui d' Irina, elle n'y voit plus que de la dévotion et du désir.

Inuko - "Tu aimes ce que ta Maîtresse fait pour toi Gros-Nichons ?"

Irina - Oui Maitresse... Gros-Nichons est heureuse de ce que vous faite pour elle...

Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 34 jeudi 11 décembre 2014, 15:29:24

Tsss, cette créature faible et soumise n'est pas celle que je souhaitais obtenir, je veux toucher la véritable cyborg. C'est cette foutue rebelle que je veux dresser, je veux qu'elle m'aime, qu'elle me considère comme son alliée et sa maîtresse. Dans la douche ce n'est qu'un corps brûlant et un esprit brisé que j'ai entre les doigts. Où est passée la petite rebelle qui avait honte de s'offrir à tous ces scientifiques ? Dans son état actuel elle baiserait volontiers avec tout le complexe plusieurs fois si je le lui demandais, elle pourrait même apprécier ça et en redemander. Et ça ce n'est pas amusant, je veux la petite salope qui ose me résister, celle qui a voulu me coller son poing dans la figure à notre première rencontre. C'est cette sale petite pouffiasse que je veux détruire, humilier, dresser. Mon instinct de démone la réclame, ma mauvaise nature veut s'exprimer, je veux appliquer mon plan initial. Émerge Irina, émerge et je te détruirais, ce jeu est comme une bataille navale, tu es un sous-marin qui a épuisé ses munitions et qui arrive à court d'oxygène. Dès que tu remonteras pour prendre de l'air, je te torpillerais sans la moindre pitié et je te coulerais. Déçue de son manque de résistance, je masque toutefois ce désappointement. Même brisée elle reste très belle, une délicieuse friandise que je vais dévorer comme la gloutonne que je suis. Je ne dois pas oublier, là j'ai affaire à une version vulnérable d'elle-même, je dois être gentille, lui offrir le plaisir que son corps réclame. Je dois la soulager de sa frustration extrême, la mettre en confiance pour mieux la contrôler, semer le doute dans son esprit.

"Bien sûr que tu es heureuse Gros-Nichons. Tu es une bonne fille, j'ai tellement eu peur pour toi ma belle. Les méchants scientifiques ne te feront plus rien, je te protégerais et je te ferais l'amour. Tu seras ma petite salope d'amour, ma préférée et je te ferais jouir comme une petite catin tous les jours. Tu aimerais jouir hein ? Oh oui, tu adorerais, tu ne pense qu'à ça. Je t'aime Gros-Nichons."

Blablabla … Ce n'est pas ce qu'elle attend, elle elle attend que je la baise mais, ces mots vont se graver dans son esprit. Les mots marquent plus sûrement et plus efficacement que n'importe quel fer rouge. Ces mots lui reviendront à l'esprit même lorsqu'elle sera redevenue elle-même, à force de les entendre ils deviendront son unique vérité. Ils seront la première étape avant ce que j'avais initialement prévu pour elle, une sorte d'avant-goût d'une méthode de dressage bien plus violente et perverse. Pour associer à ces paroles un souvenir positif, je dois maintenant m'occuper de son corps. Mes mains se baladent sur son ventre, l'eau tombe de la douche sur nos corps nus, ma poitrine est toujours collée contre la sienne. Je me met sur la pointe des pieds, je l'embrasse passionnément, glissant ma langue entre ses lèvres. Dans cet état son corps ressent tout plus intensément, il est hyper-réceptif à mes caresses, à mes mots. Je vais lui mordiller malicieusement l'oreille, glissant au passage un murmure :

"Alors petite salope ? À quel point aimes-tu ta maîtresse ? Que serais-tu prêtes à faire pour elle ?"

Outre le fait d'être un nouveau jeu pervers, ces paroles vont surtout la distraire, la déconcentrer, en faisant l'effort de me répondre elle va me laisser user de son corps comme je le souhaites, lui faire ressentir un plaisir intense. Ma queue de succube continue à défoncer son adorable petit cul, tandis que je caresse sa fente du bout des doigts. Ce n'est pas suffisant, pas du tout, je veux que ce soit intense et brutal. Arborant un sourire malsain, je lui dis finalement :

"Dis Gros-Nichons ? Tu sais ce qu'est un chant en canon ? C'est quand les chanteurs chantent la même choses mais, en décalé. Tu sais pourquoi nos oreilles aiment tant cela ? Parce que notre esprit adore être assailli de sensations agréables. C'est possible avec le son mais, ce n'est pas possible avec le toucher, les sensations du corps ne peuvent pas se superposer, en théorie … Tu sais pourquoi je te parle de tout ça Gros-Nichons ? Parce que la théorie c'est de la merde."

Sans plus d'explication j'utilise mon pouvoir de manipuler le sens du toucher sur elle. Je lui donne l'impression qu'un imposant sexe lui ramone le vagin avec ardeur. C'est moins intense que le taureau, ceci dit cela produit sont petit effet quand même. Sentir à la fois ma queue dans son cul et ce phallus imaginaire entre ses cuisses, tout cela pendant que ma main caresse toujours sa vulve, voilà qui doit être fort agréable. Mon but n'est cependant pas ici, ce n'est pas ce que je veux lui faire. Tout à coup elle peut sentir une seconde bite entre ses cuisses, imaginaire elle aussi. Son rythme est diffèrent, sa taille aussi, son esprit confus se retrouve face à une incohérence qu'il peine à comprendre. Mon sourire s'élargit, tu vas jouir comme tu n'as jamais jouis de ta vie ma petite salope ! Une troisième verge va et viens en elle, puis une quatrième et enfin un cinquième, leurs rythmes et leurs tailles sont tous différents. C'est comme si cinq fantômes la prenait en même temps dans ces douches. Puis ce fut le tour des langues imaginaires puis des mains, partout sur son corps, dans son cul, sur sa poitrine, ses tétons, dans sa bouche, sur son ventre. Au final elle avait l'impression que des centaines de corps étaient pressés contre le sien, se superposant dans un gang-bang irréel. Bloquée dans un état d'orgasme permanent, assaillie de sensations agréables, son corps est incapable de résister à ça, ne pouvant que subir.

Pendant plus d'une heure je la prends ainsi sous la douche, la menant jusqu'aux portes de la folie avant de tout stopper, la laissant choir au sol. Avec un sourire satisfait je lui demande :

"Qui est ta maîtresse adorée Gros-Nichons ? Que serais-tu prête à faire pour elle ?"

Plus elle se le répétera, plus elle s'en convaincra. Peut-être même que mon plan initial deviendra inutile à ce rythme là.

« Modifié: jeudi 11 décembre 2014, 21:25:41 par Inuko Sora / Sathael Ishnah »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]

Réponse 35 mardi 16 décembre 2014, 20:19:19

L'esprit d'Irina tente de reprendre lentement le dessus, mais avant qu'il ne surpasse le plaisir que lui procure la succube, elle se sent assaillie de nouveau par toujours plus de pénis, toujours plus de langues, toujours plus de plaisir. Elle pousse de long cris à gorge déployée, la poitrine en feu et les tétons gonflés comme des chambres à aire. Elle regarde autour d'elle les yeux mi-clos, tentant de comprendre, de voir ses amants/ Mais son regard se referme sur le vide et son esprit brisé et fiévreux s'enfonce encore plus dans l'incohérence et la folie. Progressivement, à mesure que les orgasmes pilent sa raison, des silhouette fantomatiques apparaissent pour accorder à son délire un sanglant de cohérence.

Dans un ultime hurlement où elle demande grâce à son adversaire victorieuse, Irina s'effondre sur le sol de la douche. Elle trempe dans le mélange d'eau brulante de cyprine et de sucs démoniaques, les bras ballants, les jambes écartés et la tête baissée. Jamais elle n'a tans ressemblé à ce qu'elle est vraiment, un pantin désarticulé.


Inuko - Qui est ta maîtresse adorée Gros-Nichons ? Que serais-tu prête à faire pour elle ?


Irina relève lentement la tête vers sa Maîtresse, elle ouvre la bouche mais ne trouve pas de mot pour répondre, sa volonté et son intellect ont fondu dans la fournaise d'Inuko. Mais la succube n'a pas besoin de l'entendre dans sa bouche car elle lit ses mots dans son regard. Prête à faire quelque chose pour ? Non... elle serait carrément prête à mourir pour elle...

La scène s'éloigne et apparait sur un écran géant dans une salle obscure ou deux silhouettes minces et élancées regardent ce qu'il vient de se passer dans un silence total.

Administrateur - Vous êtes songeur Monsieur le Président... le nouvel agent ne vous apporte t'il pas satisfaction ?

Khane - Bien au contraire mon ami... Mais je sais maintenant que nous allons devoir nous montrer patient pour apprendre à connaitre sa sorcellerie démoniaque. Jusqu'ici l'agent 666 n'a que fort peu recourue à ses dons, et même si nous en avons gardé de très bon relevés, elle à surtout utilisée nos technologies pour briser Irina.

Administrateur - Certe, mais il faut avouer que la vitesse à laquelle elle à obtenu de telles résultats est très largement supérieur à ce que font nos propres équipes.

Khane - Vous dite vrai, elle a fait un usage très judicieux de nos ressources, en particulier pour ce qui est de la nouvelle variante du CN20. L’enzyme de contrôle est presque prête, mais imaginez que nous disposions du pouvoir que la succube à décrite...

Khane plisse les yeux et la convoitise brule dans son regard.

Khane - Imaginez que nous apprenions d'elle sa technique pour anéantir totalement l’intellect de quelqu'un et en faire un esclave servile et accros à sa personne. La porté de la découverte serait formidable...

Administrateur - Mais, monsieur, elle risque de ne jamais nous le montrer, si elle continue ainsi elle pourrait bien atteindre la soumission totale d'Irina sans y recourir.

Khane - C'est pour ça que je vous demande de régler la régénération de la volonté du sujet 2501 à son plus haut niveau de rapidité ainsi que son niveau de conscience... je veux que vous libériez la rebelle pour que la démone soit obligée d'utiliser ses pouvoirs...



Pendant ce temps dans la douche, Irina gémit doucement et essai de se relever, la drogue est encore très présente dans son corps mais son esprit reprend peu à peu le dessus.


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