Elle est en colère, mais au moins Irina est rassurée, pas de coup avec le poney, et la cyborg ne voit pas ce que la démone pourrait trouver de pire...
Alors que sa Maîtresse s'éloigne, Irina repense à ce qui vient de se passer et se dit qu'elle a eu beaucoup de chance, après tout, Inuko aurait très bien pu trouver un moyen chimique ou magique de faire bander l'animal ou pire, en demander un autre...
Soudain la voix impérieuse de la démone résonne dans le couloir, elle l'appel par son nom dégradant. Irina se pince les lèvres et se mord la langue pour résister, craignant tout de même ce que la folle des enfer pouvait bien avoir en tête. Au bout de quelques secondes d'hésitation, elle accoure néanmoins, soumise à la volonté implacable de ses protocoles de contrôle. La cyborg arrive et s'agenouille au pieds d'Inuko comme celle-ci l'a demandé. Elle reçois un sac lourd et bien rempli en plein visage, elle le prend entre les mains et l'ouvre, ses yeux s'écarquillent d'horreur.
Inuko - Dedans tu trouveras un plug anal en forme de queue de cheval, un masque de cheval qui restreint ton champ visuel et t'empêche de parler, un collier avec une pancarte où est écrit "7000 yens le tour (30 mins)" et une tirelire ventrale dans laquelle tu mettras les billets !
Irina lance un regard plein de détresse à la succube.
Irina - Non... je vous en supplie... ne me faite pas faire ça... je ferais tout ce que vous voudrez mais ne me réduisez pas à ça...
Gémit elle en implorant la clémence de la démone. Même si Irina servait d'esclave sexuelle aux cadres et aux clients de la firme, ceci étaient généralement d'une certaine classe sociale. Elle n'avait en revanche jamais été prostituée à la... "populace" terrienne. Et celle des bas fond qui entouraient le centre la répugnait au plus haut point, ce n'était que de pauvres haires issues des couches populaires et crasseuses de la ville. Tout ce qu'elle pouvait compter de loubards, d’alcooliques, de clochards, de chômeurs à la dérives. Le simple fait de les imaginer la toucher, la tripoter, la baiser, la dégoutait au plus haut point.
Mais la clémence de la Maitresse ne vient pas, bien au contraire, d'un simple geste, elle lui intime de se "vêtir" pour sa tournée.
Non !
Hurle t'elle intérieurement alors que ses implants de contrôle commence à grésiller sous l'effort. Elle serre les poings, tout son corps est parcouru de soubresaut nerveux. La sueur coule de son front et elle respire de plus en plus difficilement. Au bout de quelques intenses minutes ou la succube crains de devoir se battre à nouveau contre la cyborg, Irina abdique finalement. Le visage emprunt d'un profond dégout, elle commence à enfiler le more de cheval et les œillères en cuir noir. Elle porte ensuite le lourd collier autour de son coup, la pancarte dodeline entre ses seins généreux, lui donnant l'aspect d'une bête de trait, d'une jument reproductrice dont le propriétaire négocie la saillie. Enfin, elle s’humecte les doigts à fin de lubrifier son anus, pour y enfoncer tout doucement le plug anal. Ses capacités de régénération aillant déjà réparés les dégâts du godemichet, le muscle de son anus est à nouveau dur et résistant, et la cyborg est obligée de faire usage de toute sa dextérité pour se faire le moins mal possible et combattre le violent désir que provoque la pénétration de l'engin. Inuko pendant ce temps la, admire son visage et ses expressions, quand elle se fait mal, quand elle se fait jouir.
Une fois parfaitement inséré dans son séant, les dimensions du god lui impose de marcher courbée en avant et les jambes bien écarté pour ne pas trop souffrir. Ce qui permet à tout un chacun d'admirer les lèvres pulpeuses de sa vulve.
Inuko - "Tu mettras ça par dessus. Je veux que tu ailles jusqu'au parc, qu'une fois là-bas tu retire ton manteau et que tu ailles chercher tes clients. Je t'interdis de revenir avant d'avoir eu vingt clients et je t'interdis de leur résister, exhausse tous leurs souhaits pendant une demi-heure chacun."
Irina baisse la tête et exécute l'ordre de la succube, rendue parfaitement silencieuse par la honte et le more qui meurtri sa bouche. Puis elle prend le chemin de l’ascenseur, la peur et le dégout lui nouent l'estomac.
La pauvre esclave n' atteins même pas le square avant que son premier "client" ne la découvre, surpris par la queue qui dépasse de son manteau et par l'harnachement qui recouvre sa tête. Il se contente de lire la pancarte et sort son portefeuille fébrilement pour lui tendre les billets, Irina retient un haut le cœur, son premier sera donc un individu lambda que ce quartier peut offrir...
Après la demi-heure de baise accordée à son premier client, Irina reprend la route, le foutre encore chaud dégouline entre ses jambes avec lenteur. Tendis que ses larmes elles, dévalent rapidement ses joues pour sécher sur sa gorge nue, elle se sent sale et sait que ce n'est que le début. Elle atteint finalement le parc, il est peuplé ça et la de tout ce qu'Irina crains, des clochards, des petites frappes, des loubards...
Elle ferme les yeux et serre de toutes ses forces le more qu'elle a entre les dents en sentant ses mains s'animer d'elle même pour obéir aux ordres de la Maitresse. Instantanément les oiseaux de proie se jettent sur ce corps sans défense. Les négociation tournent très vite à la cohue, à l'émeute même. Les loubards la veulent en premier et l'entrainent dans un coin sombre du parc avec violence, les billets tombent dans sa boite et déjà ils commencent à la plaquer contre une rambarde pour la prendre en levrette, les uns après les autres. A peine en ont ils fini avec elle et l'abandonne parfois en la frappant, parfois en lui crachant dessus, que les clochards s'approche à leur tour de son corps à demi effondré contre l’accoudoir en métal. Pendant que les premiers se faisaient plaisir, il se son cotisés pour pouvoir se l'offrir. La troupe de vieillards puants la vinasse et la saleté se referme alors sur elle. Ils lui arrache son more et son plug pour pouvoir profiter à loisir de tout ses orifices, enfournant sans vergognes leurs pénis répugnant en elle, de tout coté. Le véritable cauchemar commence alors...
De nombreuses heures plus tard, Irina arrive devant la porte de sa maitresse, elle est couverte de foutre, son vagin et son anus dégoulines et baillent de manière obscène, déformés par les wagons de queues qu'ils ont pris. La cyborg est éreintée par l'effort, et pire que tout, par l'horreur et la honte. Car a plusieurs reprises entre les mains de tout ces hommes répugnants, elle à jouit...