Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[ABANDONNÉ] Le procès du vampiroïde [Darthestar]

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Darthestar

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    Description
    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 225 samedi 24 décembre 2016, 14:55:19

Comment expliquer son état ? Perdu entre le désir qu'il ressentait envers la belle demoiselle qui se tenait entre ses bras, ses soucis par rapport à son devoir en tant que simple personne qui n'aurait normalement que peu de droit à une telle passion, et l'amour qui, puissant, l'empêchait de ne pas se laisser aller alors qu'ils étaient enfin tout les deux attirés l'un par l'autre, le vampire était sûrement pour la première fois de sa vie, placée face à ce genre de dilemme auquel on ne peut répondre sans prendre de risques. Mais ces risques, il avait choisit de les prendre, de ne pas se laisser aller à une lâcheté réconfortante, à une fuite qui lui aurait sûrement permit de se croire honorable, mais qui n'aurait qu'été fatale pour un future qui saurait se faire brillant, avec un peu de chances. Non, il avait choisit de s'avouer, et de s'abandonner, autant à une étreinte qui était bienvenue, mais aussi au plaisir que de pouvoir enfin se laisser porter par un flot de sentiments qu'il avait conservé depuis bien trop longtemps, et auquel la jeune femme ne semblait nullement résister, elle aussi portée par cette envie de plongée tête baissée dans une perte de contrôle mutuelle. L'un contre l'autre, partageant cet incroyable baiser, qu'il fallut bien arrêter au bout d'un moment, non pas par désir, mais par nécessité, l'air s'enveloppait de ce que chacun attendait de l'autre, et le regard de chacun exprimait le même besoin imminent, celui de cesser les suppositions, pour que l'acte vienne remplacer une indécision qui n'avait que trop durée.

« Eh bien... Tout dépend de ce que tu as en tête, Balthazar... Mais, si c’est la même chose que ce à quoi je pense... Suis-moi ! »

Il ne vint pas répondre en cet instant, et se contenta de venir la suivre tandis que l'un comme l'autre se dirigeait tranquillement en direction d'un lieu dont le vampire n'avait pas connaissance, et dont il souhaitait conserver la pleine surprise, se contentant d'observer la forme délicate qu'il désirait plus que tout se déplacer devant lui. Il ne pouvait ni voir son visage, ni la prendre à nouveau dans ses bras pour l'instant, et le fait qu'elle soit éloignée de quelques pas ne manqua pas de rajouter à une certaine frustration, lui qui avait enfin put la tenir contre son torse, la serrer auprès de son affection, de son désir, mais encore une fois il n'en fit pas le moindre commentaire, la voyant finalement se faufiler dans une pièce en silence, tandis que lui même accomplissait les dernier pas pour en rejoindre la porte. Ses mouvements furent un peu hésitant, mais il ne manqua pas d'en passer le seuil pour finalement atterrir dans une pièce simple, élégante, où seul se trouvant un grand lit deux places, sans que la présence de la princesse ne puisse y être remarqué, ne manquant pas de déstabiliser un peu l'homme, avant qu'il n'entende la porte claquée avec un peu d'empressement juste derrière lui, et qu'il ne vienne se retourner en un rapide mouvement pour enfin retrouver la figure fière et un brin taquine d'Alice, alors que ses vêtements chutèrent pour révéler toute la beauté de son être dans un sous-vêtements qui ne rajoutait que finesse et élégance à son être déjà infiniment séduisante à ses yeux. Elle se rapproche, pose ses mains sur son torse, tandis que le vampire interdit ne sait quoi dire, hypnotisé par le charme de cette si belle princesse, et se retrouve bousculée fièrement par cette dernière, tombant sur le lit, avant qu'elle ne s'approche pour couper tout mouvement de sa part :

« Suis-je l’objet de tes fantasmes, Balthazar ? La femme dont les formes anguleuses hantent tes nuits ? Je ne sais pas de quoi demain sera fait, mais je peux te dire que cette soirée te sera inoubliable...
 -  Alice... Tu ne fais pas qu'hanter mes nuits, ni être que l'objet de mes fantasmes... »

Ces mots, il les prononce un peu bas, mais avec un ton doux et chaleureux, le ton d'un aveu assumé, qui ne veut en rien être choquant, mais qui vient offrir à la princesse un petit élan supplémentaire de cet amour incontrôlable que le vampire ressent pour elle, alors qu'il l'observe dans cette position de princesse dominante, bien plus sûre d'elle que dans la journée. Elle sait comment y faire, elle sait aussi se rendre aussi joueuse que désirable, et le vampire ne peut que rentrer dans son jeu bien évidemment, mais il a aussi la tendance d'être tout particulièrement dominateur quand vient l'instant de l'être, et alors qu'il la contemple dans cette position, la dévorant d'un regard enfiévré, un fin sourire aux lèvres, il ne peut que ressentir le divin envie de l'affaiblir par de bien vils moyens. Pour autant il n'en fait encore rien, mais redressant son buste avec un emportement un poil remarquable, il vient s'emparer de ses lèvres à nouveau, ce coup-ci avec le désir profond de faire durer ce baiser le plus longuement possible, tandis que ses bras retrouvent le délicat plaisir de venir se perdre sur la forme divine de son amour, une main s'emparant d'une des hanches de la princesse, tandis que l'autre se glissent de manière encore un peu plus désireuse sur ses fesses, ses doigts y passant avec une certaine fermeté, goûtant avec délectation la douceur et la fermeté de sa chair. Jouant même de cela, il l'amène à s'asseoir un peu plus en avant, l'avançant sur son propre bassin, où l'excitation est déjà perceptible au travers de sa tenue. Ses caresses s'enhardissent, ses doigts viennent palper avec plus d'envie encore ses fesses, et son autre main remonte de sa hanche vers le reste de sa délicate carrure, passant un instant sur sa poitrine, pour enfin passer dans les cheveux de la princesse, avant qu'enfin leur baiser vienne à lentement cesser, laissant au vampire la possibilité de parler un court instant.

« Dis moi Alice, que peux désirer une douce et délicate princesse le jour, mais une joueuse et taquine demoiselle la nuit ? J'aimerais bien l'entendre, même si je devines déjà un peu cela. »

Il ne revient pas à l'assaut de ses lèvres. En revanche, délicatement, ses baiser viennent lentement se perdre dans le cou de la jeune femme, descendant pour venir toucher, avec une tendresse non mesurée, centimètres de peau après centimètres de peau, tandis qu'il approche ostensiblement de la partie humaine qu'il a tendance à mordre quand la soif se fait insoutenable. Mais là il n'est pas question de toucher à son corps ainsi, il n'est pas question de lui faire connaître cette morsure. En revanche, il vient légèrement ouvrir la bouche pour que ses crocs puissent griffer sa peau, et lui donner cette délicate sensation de bien-être, non pas pour la calmer, la rassurée, ou quoi que ce soit... Non juste pour lui faire goûter à un effet qu'il sait appréciable, pour lui offrir un avant-goût de ce qu'il compte lui faire ressentir, de manière de plus en plus terrible et puissante. En revanche, un autre élément gêne encore à ce qu'ils puissent en profiter, et c'est donc alors que ses crocs passent à la base de son cou, qu'ils viennent produire de longues petites griffures érogènes sur son corps, qu'il vient finalement la libérer cruellement de ses caresses pour pouvoir se débarrasser de son habituel manteau, d'un geste rapide, puis du haut léger qu'il porte en dessous pour enfin offrir la vision de son torse à Alice. Ce qui suit est une longue étreinte, l'homme profitant de la peau chaude d'Alice contre la sienne, observant sa fine forme lovée contre la sienne en remarquant qu'elle faisait encore plus frêle ainsi, comparée à son propre physique... Mais encore maintenant, il voit son regard à la lueur maline, éveillée par un désir qui ne cesse sûrement de grandir, comme le sien. Lentement, il vient récupérer l'une des mains gantée de la demoiselle dans la sienne, et son autre main viens retrouver le visage d'Alice pour y passer délicatement, alors qu'il la contemple d'un oeil amoureux, et terriblement désireux :

« Comme j'aimerais avoir les mots pour t'exprimer combien tu es belle et précieuse à mes yeux. Et combien je désires t'offrir un souvenir aussi inoubliable que celui que tu me promets. »


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 226 jeudi 29 décembre 2016, 01:38:55

Alice le sentait, maintenant, brûlant en elle, remontant dans sa poitrine... Le souffle, l’appel irrésistible du désir. La flamme brûlait dans sa poitrine, provoquant des fourmillements. Elle serrait ses mains gantées, et rejoignit rapidement Balthazar, se glissant sur le lit, et les deux amants vinrent délicieusement s’embrasser. Un baiser intense et sensuel, où, yeux clos, Alice profita pleinement de ce moment. La tête blonde serra son corps contre le sien. Initialement à califourchon sur lui, elle s’était bien penchée, plaquant ses seins contre son torse, et sa langue jouait avec celle du vampiroïde, glissant dans sa bouche.

« Hmmm... »

Ce nouveau baiser fut encore plus long que celui dans la bibliothèque. Ici, il n’y avait plus rien pour les retenir. Là, dans cette chambre, Alice pouvait se laisser aller, sans crainte qu’un page ne vienne les surprendre, et, tandis qu’elle l’embrassait, elle creusait davantage son corps contre celui de son amant, se rapprochant ainsi de son bassin, et eut un petit sursaut en sentant une masse de chair se heurter à la courbe de ses fesses.

Le baiser se rompit alors, et l’homme glissa sa bouche contre son cou, la faisant doucement et sensuellement soupirer, son visage se redressant en sentant, outre la langue de l’homme, ses crocs. Les canines de Darthestar heurtèrent sa peau, la mordillant, à la manière si particulière et si alléchante des vampires, mais, sans doute à cause de cette forme de révérence qu’il sentait à l’égard de la jeune femme, il n’osa pas pousser davantage la morsure, et replia ses dents. Néanmoins, s’il était observateur, il aurait pu sentir le pouls de la jeune femme s’accélérer à ce contact dentaire. Une accélération, non pas due à la peur, mais bien à l’excitation. Et, s’il avait l’habitude de ce genre de situations, peut-être aurait-il pu également sentir, contre le cou de la femme, deux légers creux, signe qu’Alice avait déjà été mordue ici même... Et ce par une vampire aussi envahissante que séduisante, qui avait déjà formé Alice de ce point de vue. Si elle avait jadis eu peur d’offrir son sang à un vampire, Mélinda lui avait montré combien ses craintes étaient infondées, avalant son sang tout en la pénétrant, et la morsure, ou, plutôt, l’Étreinte, ainsi que les vampires l’appelaient poétiquement, ne l’avaient jamais rebutée. En réalité, se faire mordre provoquait en elle, comme chez bien d’autres personnes, pour peu que le vampire s’y prenne bien, un sentiment euphorique très agréable, très apaisant... Et très excitant.

Darthestar la titilla donc, avant de replier prudemment ses lèvres, faisant doucement sourire Alice, dont les joues rougissaient. Elle se pinça les lèvres, et l’homme attrapa l’une de ses mains, finement recouverts d’un long gant blanc descendant à hauteur de ses avant-bras, et caressa sa joue avec l’autre. Elle pencha la tête sur le côté, sentant les longs doigts de l’homme caresser ses mèches de cheveux, sa paume s’apposant sur sa chaude joue, son pouce glissant contre ses lèvres. Il avait retiré une partie de ses vêtements, exhibant un joli torse, glabre, avec une série de lignes montrant ses muscles et ses abdominaux.

Il parla alors, et Alice gloussa devant tant de compliments, et posa soudain un doigt sur ses lèvres, récupérant pour cela sa main.

« Tu sais, Balthazar, parfois... Parfois, il faut laisser parler le corps... »

Sa main se retira de sa bouche, et glissa le long de son torse, caressant sa peau. Ses doigts s’attardèrent un peu autour de ses tétons, tournoyant doucement autour, et continuèrent à descendre. Elle le regarda alors, se mordillant les lèvres, couchée un peu sur son flanc, et sa main descendit ensuite au nombril, puis... Encore dessous. Elle heurta la boucle d’une ceinture, et passa encore, main espiègle, qui partit sous le pantalon, et agrippa entre ses doigts un membre chaud et vigoureux, qu’elle serra entre ses doigts.

« Voilà... Lui parle à ta place, Balthazar... Et tu sais ce qu’il me dit, ce qu’il me murmure dans le creux de l’oreille ? Il me dit qu’il se moque de mon statut social, et que, peu importe que je sois une Princesse... »

Jadis très timide avec le sexe, Alice avait appris à se familiariser avec, et pouvait faire preuve d’une grande maîtrise en la matière. Elle se pencha donc davantage vers le corps de l’homme, approchant sa bouche de son oreille, se montrant volontairement joueuse et mutine. Et, vu comment Balthazar semblait la placer sur un piédestal, rappeler à l’homme les réalités physiques était, pour Alice, très amusant.

C’est ce qui l’amena donc à se presser contre son oreille, et à murmurer quelques mots, tout en crispant sa main sur son sexe :

« ...Lui, il a envie de me baiser bien fort... »

DC d’Alice Korvander.

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Darthestar

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    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 227 samedi 31 décembre 2016, 03:01:50

Comment dire... Il était certain que l'homme aimait la femme, la désirait, mais à son contact, une chose était tout aussi certaine, il avait du mal à ne pas perdre ses crocs et ses griffes, et si cela lui semblait tout à fait normal de la traiter avec une déférence toute remarquable envers son rang, les choses n'étaient peut-être pas partagée de la part d'Alice, sans qu'il ne soit encore vraiment capable de le remarquer. Bien sur il y avait des indices qui ne mentaient pas, comme le fait de l'excitation, de l'accélération cardiaque, de l'attente muette de la femme quand il avait lentement fait glisser ses dents de vampire le long de sa nuque, mais comme si la sottise était une tare dont il n'était pas capable de se remettre en cette soirée surprenante, il ne vint pourtant pas à se rendre compte de ce que celle qu'il chérissait attendait. Une stupidité remarquable, ou plutôt, une certaine forme d'idéalisation de la princesse, malgré tout ce qu'il savait d'elle, à tel point qu'il se limitait bien malgré lui, alors même qu'il appréciait avoir une totale domination sur celle avec qui il passait du temps sous ou sur les draps. Quelle tristesse. Mais son cas n'était peut-être pas désespéré, après tout Alice semblait avoir bien compris que l'homme ne parvenait pas encore à se libérer de quelques préjugés, de quelques idées préconçues sur la nature des désirs et envies sexuelles de sa compagne, et c'est donc ainsi, d'une manière bien provocante, qu'elle vint à apposer lentement l'un de ses doigts ganté sur ses lèvres, l'amenant à arborer un religieux silence. Et elle parla, finement, pour le ramener à quelque chose que se promettait bien plus ardent que ses prudes caresses :

« Tu sais, Balthazar, parfois... Parfois, il faut laisser parler le corps... »

Le ton, l'expression, la voix... l'homme vint à se laisser complètement faire quand elle se permit ce commentaire des plus claires, lui faisant remarquer que malheureusement, que ce soit par malaise, crainte, ou une autre raison qu'il ne pouvait s'expliquer il... gagnait plus de temps qu'autre chose à continuer de déblatérer en cet instant l'expression d'un amour qu'elle avait déjà parfaitement comprise ! Non en revanche, il se sentit presque bercer par la douceur de ses caresses, le rythme lent et délicat qu'elle vint à produire en laissant lentement descendre ses mains sur son corps, passer sur son pectoral avec de biens délicates attentions, puis continuer sa descente sans que l'homme ne vienne perdre un instant le regard de la jeune femme, ses yeux pétillants d'envie, de besoins, d'une chaleur qu'elle essayait lentement de lui communiquer, avec un effet qui, pour la rassuré, était bien au rendez-vous. Aussi hypnotisé qu'il était, il vint bien vite à comprendre qu'elle n'avait pas envie d'avoir un chiot, surtout après qu'elle ait passée tant de temps à côtoyée Melinda, qui devait se trouver bien loin de la fine délicatesse dans son comportement naturel une fois au lit, alors ce n'est pas sans se trouver pour une fois bien trop calme qu'il vint à poser un regard critique sur son comportement de plus tôt ! Il voulait honorer le corps de la jeune femme, il voulait l'avoir rien que pour lui depuis des semaines, alors pourquoi agissait-elle comme un homme sans expérience, presque craintif ? Si il ne pouvait encore se donner de réponse, elle vint à lui en donner une, tandis qu'elle passa délicatement ses doigts sous sa ceinture, pour venir saisir son membre en sérieux état d'érection :

« Voilà... Lui parle à ta place, Balthazar... Et tu sais ce qu’il me dit, ce qu’il me murmure dans le creux de l’oreille ? Il me dit qu’il se moque de mon statut social, et que, peu importe que je sois une Princesse... »

Il la sentit glisser contre lui, monter à son oreille en se tendant le long de son corps, non sans jamais lâcher son sexe, et tandis qu'il commençait à bouillir intérieurement, se retenant temps qu'elle n'avait pas finit de lui parler, mais ne manquant pas de frémir longuement. Là, elle venait de le débloquer en partie, mais ce n'était pas encore assez... Par chance, ou par maîtrise, elle avait toutefois avoir les mots parfaits pour venir véritablement le libérer :

« ...Lui, il a envie de me baiser bien fort...
 -  Oh d'accord, se permet-il d'une voie légèrement malicieuse. Très bien ma belle Alice, toute mes excuses, je vais te montrer qu'il n'y a pas que lui ! »

Se décalant volontairement sur le coté, l'amenant donc à glisser sur le matelas avec un geste qui se veut encore calme, il se positionne au dessus d'elle sans attendre, afin de la bloquer sous lui, et vient avec un comportement tout à fait plus honnête lui voler un autre baiser, alors que la main sur sa joue quitte la douceur de sa peau pour descendre le long de son cou. Quelle différence ? Le baiser, langoureux, passionné, il le rallonge encore et encore alors que ses doigts se baladent sur sa peau nue, puis viennent attraper le haut de sa guêpière, et l'obliger à libérer la poitrine d'Alice, laissant les deux orbes de chairs se révéler à son oeil attentif, toujours soutenus par en-dessous par le tissu tendu. Quand il quitte ses lèvres avec un souffle chaud, qu'il n'essaye nullement de cacher c'est pour descendre lentement le visage vers ses seins, où il vient délicatement sortir la langue pour les goûter avec plaisir, tandis que sa main désormais libre vient quérir celui qui ne reçoit pas d'attention pour le presser dans sa paume, la malaxant et le caressant en de longs mouvements circulaires. Mais plus que tout cela, il avait une envie, quelque chose qu'il n'avait pas encore fait à qui que ce soit, et dont il voulait tester l'efficacité. Alors quel meilleur moment pour le faire que sur la femme qu'il désirait tant, qu'il voulait tant, afin de voir si l'effet déjà particulièrement puissants de ses crocs pouvait trouver une forme de renforcement, outre l'excitation certaine de celle qu'il comptait faire frémi de bonheur durent les prochaines heures de cette nuit naissante ?

Sortant lentement les dents, les faisant passer sur la poitrine gonflée de la demoiselle, et se trouvant une posture un peu plus stable en venant installer son genou entre les jambes de la demoiselle, la forçant par là à écarter un peu les siennes, il prit un léger souffle, puis se lança enfin : La morsure si particulière des vampires, il ne vint pas la faire à son cou, mais préféra de manière étonnante la produire sur la chair rebondie et douce de son sein droit, mordant au plus près de son coeur, et écoutant en cet instant les palpitations croissante de la jeune femme avec ce doux bonheur de la savoir des plus sensibles à son approche. De manière bien plus mesurée désormais, il vint à continuer de remonter sa jambe, de manière à venir la presser contre l'intimité encore couverte d'Alice, et se mit à accomplir de longues succions sur sa poitrine gorgée de sang, tandis que l'autre main, désormais assurée, vint à venir princer le tétons de la jeune femme, le tirant pour le décontracté légèrement, avant de le faire vriller de droite à gauche entre son pouce et son index, afin d'accompagner la morsure. Le vêtement qu'elle portait le gênait, mais il ne comptait pas s'y attaqué de suite, il prenait son temps, elle avait réussi à le réveiller de sa douce rêverie amoureuse, et il se sentait enfin en forme, prêt à répondre à toutes les attentes de la demoiselle sans douter. Oui de lui imposer les siennes sans qu'il ne vienne à les rejetées ! C'est d'ailleurs après une bonne minute d'une longue morsure qu'il sortit ses crocs de sa chair, avant de passer un fin coup de langue pour récupérer le sang perlant, et redresser le visage pour la regarder avec une douce flamme dans le regard.

« Depuis le temps que cette poitrine me faisait de l'oeil. »

Le ton est aussi provocateur qu'amusé, et tandis qu'il lui adresse un délicat sourire, ses doigts viennent chercher la ficelle dans son dos, afin de la délier.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 228 mercredi 04 janvier 2017, 22:32:57

Il avait suffi de quelques mots pour décoincer Darthestar, pour le libérer de son inertie, de cette torpeur dans laquelle il s’engluait, par crainte, par amour, par cet étonnant mélange des deux. Les quelques mots d’Alice lui avaient fait comprendre que, toute aussi Princesse qu’elle soit, la jeune blonde restait avant tout une femme, soumise, en ce sens, aux mêmes conditions que n’importe quelle autre femme. Baklthazar semblait enfin avoir réalisé cet état de fait, et se réveilla alors, repoussant Alice, inversant les rôles en se positionnant au-dessus d’elle. Silencieuse, mais respirant toutefois fortement, la jeune Princesse se coucha sur le lit, clignant des yeux en regardant son amant. Il se désintéressa de ses lèvres, pour se rapprocher d’une partie du corps de la jeune femme qui attirait l’attention : sa belle poitrine.

Pour son bonheur, Alice avait toujours eu une belle poitrine, et, là, dans cette guêpière, ses seins avaient l’air écrasés, ce que Balthazar nota. Ses mains s’agrippèrent au rebord du corset, et il le tira en arrière, faisant glisser le morceau de tenue, dévoilant ainsi les mamelons de la Princesse, qui gémit ensuite en sentant l’une des mains de l’homme s’attaquer à un sein, sa bouche filant sur l’autre. Ce contact ne manqua évidemment pas de la faire frissonner, le plaisir se diffusant en même temps qu’une certaine et heureuse forme de douleur.

« Haaaaa... !! »

Alice émit un long gémissement de plaisir, ses mains s’étalant sur le lit, glissant contre ses cheveux. Elle gémissait, car Alice aimait beaucoup qu’on s’occupe ainsi de ses filles. Le contact était toujours délicieux et agréable. Et, si Balthazar avait été lent à sortir de sa coquille, il se révélait être un très bon amant. Les joues d’Alice, de fait, exprimaient le plaisir de leur propriétaire, des rougeurs perlant à leur surface. Oui... Oui, c’était vraiment ça qu’elle aimait ! Se laisser aller, soupirer, gémir de plaisir, sentir l’appel du sexe, le désir progressif qui montait dans sa poitrine, remontait dans son corps, et l’emportait joyeusement. Là, elle se laissait aller, s’abandonnant à cette vague, à ce frisson qui la traversait.

« Hmmmm... !! Haaaaaaannnn... Ba... Balthazar, haaaaa... »

Ce dernier continuait à s’approprier ses seins, qui se gonflaient, les tétons se durcissant sous le plaisir. Le corps de la jeune Alice remua encore, glissant le long du lit, ses jambes frottant la couverture. Elle respirait profondément, haletant de plus en plus, et sentit alors les dents de l’homme racler son sein, ce qui provoqua chez elle un frisson réflexe, son corps se redressant sur place, une stimulation la traversant de part en part... Et elle ne gémit pas, mais hurla :

« Haaaaaaa... !! »

Il... Il la mordait ! Et, si on aurait pu croire qu’Alice pouvait refuser ça, en en ayant peur, ce fut tout l’inverse. Comme dit précédemment, elle avait été formée par Mélinda, et Balthazar avait dû le sentir en la léchant au cou. La vampire lui avait appris à aimer les morsures, et il n’était d’ailleurs pas faux de dire que, maintenant, Alice en raffolait. Elle sentit donc Balthazar la mordre à hauteur du sein, une zone très sensible, et il aspira ensuite son sang, qui afflua en de belles quantités, puisqu’il était proche de son cœur. Les yeux d’Alice se fermèrent pendant quelques secondes, et elle se crispa encore sur le lit, comme si tous ses muscles ressentait le plaisir, comme si cette vague de désir s’imprimait et se marquait dans sa propre chair.

Elle remuait donc sur le lit, frottant son corps contre le sien, et déplaça l’une de ses mains, crispant ses doigts sur ses cheveux, caressant ses cheveux, appuyant ses doigts dessus, se cramponnant à lui.

« O-Oui... Oui, haaaa, hmmm... En-Encore, haaaa... Encore, Balthazar... Hmmmm... !! »

Encore ne serait toutefois pas forcément une bonne idée, car, si Alice perdait trop de sang, elle s’endormirait... Ou n’aurait en tout cas pas la force de continuer les ébats longtemps. Mais elle n’était guère en état de réfléchir. Elle sentait la verge de l’homme caresser son corps, tout son poids s’affaissant sur le sien, la comprimant tendrement... Que de sensations magnifiques ! Alice fondait littéralement sur place, appréciant fortement ce qu’il lui faisait.

Il était donc bien naturel qu’elle en demande plus !

DC d’Alice Korvander.

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    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 229 dimanche 08 janvier 2017, 02:31:39

Il y a des choses que seuls un vampire peut connaitre sur son partenaire, lors d'une relation charnelle, et pour le coup Darthestar n'allait pas s'en privé, tant d'élément étant à noté en cet instant qu'il comptait bien ne pas en louper un seul, par le simple désir de pouvoir s'en servir pour offrir toujours plus de plaisir et de bonheur à celle qu'il appréciait tant. Son sang était chaud, plus en tout cas qu'il ne devrait l'être de nature, et il y avait aussi cette pression, comme si celui-ci voulait presque se presser sur ses crocs, ce qui laissait bien comprendre que la jeune princesse n'en était pas à sa première "étreinte". Elle avait déjà connue cela, et l'appréciait, terriblement, chose qui se traduisait par cette forme d'accélération sanguine, qui aidait autant le vampire à se sustenter, que la personne mordue à s'offrir un plaisir plus vif, plus fort, et si normalement bien des êtres vampiriques ressentait quelques réticences à profiter de la succion sur une personne déjà marquée, ce n'était pas le cas du vampiroïde, qui profitait avec une joie intense de cette situation. Il l'avait rien que pour lui, pouvait enfin passer ses crocs sur son corps si beau, si délicat, il ne pouvait que se sentir heureux durant un tel instant, et cela ne vint qu'à le pousser à aller un peu plus loin que présupposé dans sa morsure, sûrement pas assez pour la rendre folle, ni l'anémier, mais bien assez pour qu'elle puisse pleinement s'abandonner à cette situation, alors qu'il sentait les doigts fin de la princesse passer dans ses cheveux d'un air invitant.

Quel dommage que toutes les bonnes choses aient foncièrement une fin, mais il se dut de relâcher ses crocs, et l'observa, gémissante, frémissante, terriblement charmante, venir lui en demander plus :

« O-Oui... Oui, haaaa, hmmm... En-Encore, haaaa... Encore, Balthazar... Hmmmm... !! »

Il ne lui répondit pas de suite, commençant surtout par remonter le long de son corps, son torse finissant par venir comprimer à nouveau sa poitrine sensible, et son excitation venir se coller entre les jambes de la princesse, pour s'approcher de son visage déjà tant expressif de son vif état de désir et de besoin. Il n'avait jamais imaginer la voir ainsi, il n'aurait pas non plus eut l'occasion de penser qu'elle serait capable de perdre un tant sois peu le contrôle, pour finalement venir lui quémander d'un air implorant de ne pas cesser son contact vampirique, et pourtant il avait désormais juste sous les yeux la preuve que la jeune femme était en train de lentement se laisser aller dans un désir imparable, et qui obtenait une réponse directe et obligatoire de la part du vampiroïde.

Il l'embrassa, longuement, collant son corps au sien dans une étreinte vive, désireuse, tandis que son bras allait lentement se glisser entre le dos de la jeune femme et le matelas, afin de venir chercher quelques fils qui commençaient à devenir particulièrement embêtant, du point de vue du besoin de plus en plus implacable de Darthestar. Il ne voulait plus avoir de barrière entre lui et elle, il voulait pouvoir sentir la moindre parcelle de sa peau contre la sienne, pouvoir humer sa douce odeur, pouvoir mordiller la jeune femme et prendre soin d'elle sans qu'un bout de tissu ne vienne le rappeler à l'ordre dans sa quête du plaisir d'Alice. Sa main trouva d'ailleurs les nœuds de la guêpière, et alors qu'il l'emportait avec un bonheur fou dans un baiser langoureux et sans fin, ses doigts vinrent rapidement démêler ce qui se trouvait dissimulé à son regard, avant de progressivement délacer l'intégralité de la tenue pour qu'il puisse l'ôter d'un geste. Et c'est d'ailleurs ce qu'il fit alors qu'il rompit enfin le baiser, il quitta certes son corps un instant, un peu à contre-coeur, mais ce ne fut que pour attraper la guêpière sans attaches, et la faire glisser loin du corps de sa chère princesse, lui offrant enfin la vue du corps parfaitement glabre de la belle dame, et ne fit donc que raviver son désir de la posséder ce soir... Désormais, il pouvait répondre :

« N'ai crainte, Alice, je ne comptes pas cesser... Sûrement pas. »

Il revint se coller à elle, mais était une nouvelle fois descendu pour revenir taquiner de sa langue, et de ses lèvres, la poitrine de la femme, enfin libérée de la moindre entrave possible, ce qui ne fut pas sans arranger le vampire qui vint le gober, le mordiller, le suçoter en écoutant toujours les doux gémissements de sa compagne, à la recherche de la sensation qui lui faisait le plus de bien. Lui même, sous le coup de l'excitation, avait vu son souffle devenir plus rapide, plus chaud, chaque expiration venant doucement caresser la peau sensible de son amante, tandis qu'il jouait de manière de plus en plus vile avec ses deux beaux orbes de chairs. Mais il ne comptait pas s'arrêter là, bien sur, il venait de le dire, il ne "comptait pas cesser", et par là il entendait que se mettre une quelconque limite serait à peu près aussi productif à ses yeux que de couper court à l'ébat. Non, tandis qu'il continuait à passer doucement sa langue sur ses tétons déjà durcis, venant y appliquer de lents mouvements pour les écraser sous son muscle buccal, sa main droit était partie se perdre sur le corps délicieusement chaud et parcouru de frissons d'Alice, descendant lentement de ses flancs à son ventre, puis encore plus bas, passant sur la naissance de ses cuisses pour finalement continuer son chemin jusqu'à parvenir entre ses cuisses, où ses doigts vinrent passer délicatement le long de l'intimité de la jeune femme. L'excitation s'y ressentait déjà un peu, mais pas assez au goût de l'homme, il souhaitait vraiment la pousser plus loin que ça dans le plaisir, et il ne tarda pas à faire de lents gestes de l'annulaire et du majeur le long de sa fente, appuyant un minimum pour qu'elle en ressente le plein frisson à chaque fois qu'il descendait et remontait la pulpe de ses doigts sur ses lèvres sensibles.

« Est-ce que ma belle Alice soumise aurait quelque chose à demander ? Qu'elle n'hésites pas à m'en faire part. »

Il serait bien dommage en effet qu'elle n'ose lui avouer ses besoins par simple fait qu'elle préférait lui laisser la main, après tout elle pouvait sûrement faire de cette soirée un instant de pur bonheur si elle lui avouait ses besoins les plus inavoués, mais il n'attendait pas de réponse immédiate. Non avant, de manière bien maîtrisé, et avec une application surprenante, il passait ses doigts sur son intimité en accélérant le rythme, en entrouvrant ses lèvres intimes, en prenant même le soin de passer de temps à autre en écrasant légèrement son bouton de plaisir. Tout était bon pour la rendre de plus en plus incapable de se défendre, de ne pas avouer ce dont elle avait besoin en cet instant, que cela soit un caprice, ou une demande implorante. Le but dans le fond était de lui offrir un moment inoubliable, et il faisait tout pour, passant de mouvements ralentis et appuyés à des caresses plus vives, plus intenses, toujours à l'écoutes pour s'assurer qu'elle ne s'en lassait pas. Et quand il sentait qu'elle commençait à s'y habituer, il allait plus loin, pinçait son clitoris, le tiraillait aussi, puis finalement vint placer ses doigts au niveau de l'entrée vaginale de celle qu'il aimait tant, y glissant ses doigts lentement pour continuer ses rapides mouvements de manière plus intime, plus vifs aussi, caressant à son entrée les parois internes si sensibles de la jeune femme avec un plaisir non-feint.

Il adorait la sentir aussi fébrile, aussi offerte, il adorait aussi le fait d'être celui qui lui offrait autant de plaisir en cet instant, et c'est avec un air un peu taquin qu'il vint à passer la langue sur son seins marqué de sa morsure, avant de venir lui offrir une petite provocation, sûrement inutile, mais faites pour jouer un peu avec la belle Alice, voir à quel degré de son excitation elle se trouvait :

« Alors ma douce Alice, dois-je y aller de suite prestement... aah... Ou préfères tu que je garde cela pour quand j'userais d'autre chose que mes doigts ? »


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 230 lundi 09 janvier 2017, 00:51:32

Alice était fébrile, en effet. Ce mot résumait bien, à lui seul, l’état actuel dans lequel elle était. La jeune femme tremblait sur place, vibrante de désir, assoiffée et impatiente. Darthestar avait bu son sang, suffisamment pour les exciter mutuellement, mais, fort heureusement, pas assez pour l’épuiser. Alice se sentait donc d’attaque, et Balthazar devrait aussi l’être, maintenant, encore plus qu’auparavant... Car le sang de la Princesse était très particulier, et même, d’un certain point de vue, atypique, puisqu’elle avait été bénie par le Patriarche. En conséquence, son sang était particulièrement délicieux et vif. De plus, Balthazar l’avait mordu à hauteur du sein, ce qui n’avait pas manqué d’exciter fortement Alice. La tête blonde avait ainsi perdu tout son calme, mais, malheureusement pour elle, Balthazar n’avait pas encore pleinement mesuré ce qu’il avait fait... Ou, plutôt, l’état dans lequel il avait mis Alice.

Elle déglutissait lentement, et se retrouva nue, à l’exception de ses gants et de ses collants. Balthazar, d’un certain point de vue, lui rappelait Melendil. Son fiancé était, comme lui, quelqu’un qui la plaçait sur un piédestal, ayant du mal à voir la femme se dissimulant sous les fines et voluptueuses robes de la Princesse. Il fallait donc le motiver, et, manifestement, elle allait devoir faire la même chose ici. Quand l’homme retira la guêpière, il put voir le corps d’Alice, sa belle peau traversée de multiples plaques rouges, le désir brûlant dans son corps, se lisant sur ses yeux, sur ses lèvres entrouvertes, sur la manière dont elle se tortillait lentement sur le lit... Alice soupirait, et caressa le torse de l’homme avec ses mains, susurrant son nom, semblant l’implorer de venir étancher la soif en elle.

« Ba-Balthazar... »

La Princesse se mit à gémir, et se mordilla ensuite les lèvres, redressant sa tête vers l’arrière, quand l’homme alla aventurer ses doigts en elle. Il les glissa entre ses cuisses, atteignant sa fente intime, et titilla son sexe, la masturbant tendrement, se penchant vers elle, détaillant son visage. Yeux clos, Alice soupirait, ouvrait et fermait les lèvres en soupirant et en gémissant à moult reprises. Elle se tortillait sur le lit, couinant encore, émettant de multiples gémissements.

Elle sentait les doigts de l’homme atteindre son bouton de plaisir, et soupira encore, posant sa main sur sa nuque, et appuya dessus, tout en se redressant, venant l’embrasser fougueusement, taisant ainsi les mots que le vampiroïde avait commencé à fournir. Il lui avait demandé, pour autant qu’elle ait compris, ce qu’elle voulait qu’il fasse... Comme si la question pouvait encore se poser ! La réponse n’était-elle pas, pourtant, évidente, au vu de son état actuel ? En transe, et incapable de se retenir, Alice avait furieusement chaud, avec une envie terrible de faire l’amour, de baiser.

Alice l’embrassa donc fougueusement, et rompit le baiser, frottant ses cuisses contre les siennes.

« Tu... Tu as attisé le feu en moi, Darthestar... En me mordant, haaaa... Il... Baise-moi, putain ! »

Difficile de faire plus clair, pour le coup !

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Darthestar

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    Description
    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 231 lundi 09 janvier 2017, 17:50:40

Actuellement, la princesse était bien sûrement plus honnête que lui, c'était un fait. Même, si il pouvait se le permettre, là où elle était capable d'entièrement se laisser allée sous ses caresses, de les exprimer par ses gémissements, ses frissons, ses lents mouvements de plaisirs sous son corps, le vampire avaient encore, et ce bien malgré le fait qu'elle lui avait offert toute possibilité de prendre soin d'elle, de minces limites qui l'empêchait de pleinement s'y appliquer. Non pas qu'il n'était pas complètement fou d'elle, qu'il ne souhaitait pas l'entendre gémir au diable qu'elle était prête à se damner pour un peu plus de plaisir, bien au contraire il adorait avoir le droit de s'attribuer le bonheur de la jeune femme, et de le provoquer de la manière la plus sensuelle possible, mais il ne parvenait pas à faire passer ses propres envies à l'avant, pour la simple et possiblement bonne raison qu'elle était à ses yeux celle à qui il devait offrir, et non celle dont il devait s'accaparer la joie pour ses propres sensations. Était-ce une idiotie de sa part ? Peut-être, il n'était dans le fond pas capable de trancher sur ce point, mais il était en tout cas incapable de venir la satisfaire tout en se mettant à l'avant, allant vers elle pour connaître ses besoins, ses pulsions, comme ayant besoin de son accord pour progresser toujours un peu plus sur le chemin de leurs ébats. Mais en tout cas, cela ne pouvait que lui permettre de s'assurer de l'état de la jeune femme, voir peut être de la taquiner un peu dans sa pseudo-frustration, aussi acceptait-il cette légère passivité, malgré sa nature dominante.

Alice quand à elle ne s'exprima pas de la même manière, et lui fit non seulement bien comprendre que son jeu avait bien assez duré, mais que surtout, si il ne commençait pas à se faire un peu plus clair dans ses propres envies, il allait sûrement finir par la décevoir. Du moins, c'est ainsi qu'il comprit le long baiser langoureux qu'elle vint lui prodiguer, ce baiser passionné où elle vint écraser ses lèvres contre les siennes sans attendre, y captant autant son souffle que son amour, avant de le rompre tout aussi sèchement, pour lui offrir l'un des propos les plus surprenant auquel il pouvait s'attendre, ne manquant pas de lui offrir un sourire des plus honnête, éclatant d'affection, bien loin de ses fausses expressions qu'il conservait en public :

« Tu... Tu as attisé le feu en moi, Darthestar... En me mordant, haaaa... Il... Baise-moi, putain ! »

Point de mots pour lui répondre, il vint plutôt lui offrir une légère pichenette sur son bouton de plaisir déjà si sensible en ces circonstances, avant de se permettre quelques propos plus claire, en chuchotant à son oreille d'une voix chaude, embrasé par l'accord qu'elle venait de lui faire sur ses envies les plus sauvages :

« Très bien Alice, très bien, je ne te fais plus attendre. »

Il s'écarta d'elle pour se donner un peu plus de marge d'action, par le plus simple désir de rester efficace et de ne pas perdre plus de temps en quelques maladresses bien dommageable, et vint ôter sa ceinture, puis se mit enfin complètement à nu devant la princesse. Adieu pantalon, et sous-vêtements, il se trouvait désormais dans le même état qu'elle, et dévoilait enfin la totalité de son excitation, son sexe tendu revenant lentement frotter entre les cuisses de son idylle tandis qu'il retrouvait le confort de son contact, l'enlaçant tout contre son torse pour l'aider à patienter tandis qu'il guidait rapidement de sa main son membre vers l'intimité de la jeune femme, son gland frottant tout contre ses lèvres sensibles.

Et il entra alors lentement, profitant tout autant qu'elle, il l'espérait, de chaque centimètre qu'il venait à gagner en rapprochant ses hanches de son bassin, goûtant à l'exquise sensation de se lier de plus en plus à cette femme pour laquelle son coeur battait si fort, ouïssant le moindre de ses gémissements à mesure qu'il écartait les pans les plus sensibles de sa chair. Combien de temps avait-il attendu de pouvoir lui offrir ceci, de pouvoir s'offrir aussi ces frissons tout simplement divins, qui lui remontait le long de la colonne pour lui dévoiler, avec un plaisir sans noms, qu'il pouvait enfin se permettre de la posséder, ne serait-ce que l'instant de cette nuit ? En ce moment il ne le savait plus, mais il continua son mouvement jusqu'à joindre leurs deux bassins avec un fin gémissement, et n'attendit pas pour quérir les lèvres de la femme pour l'embrasser longuement une nouvelle fois, sa main droite se perdant une nouvelle fois dans sa longue chevelure blonde tandis que l'autre se posait de manière sereine au niveau des hanches de la belle jeune femme, afin de s'offrir un appui non négligeable pour ce qui allait suivre. L'obligeant à relever un peu les jambes dans cette posture, non sans couper court aux longs baisers qu'ils s'échangeaient, il vint finalement à se camper un peu mieux sur ses jambes, histoire d'avoir un certain appui, puis une fois assuré, opta pour quitter une dernière fois les lèvres savoureuse de la princesse, avant de lui offrir un nouveau sourire, plein d'assurance, afin d'opter pour une dernière petite taquinerie avant de rentrer dans le vif du sujet :

« J'espères que tu es prête à assumer ta demande. »

Et c'est sur ce timbre mutin qu'il se mit à bouger en elle, sans la moindre seconde de latence, commençant déjà à la prendre vivement, ayant volontairement choisit de laisser un peu la douceur de coté pour l'instant, y préférant quelque chose de plus direct, de plus honnête, le vampire ne pouvait se cacher de vouloir la satisfaire d'une manière autrement plus efficace que par quelques lents mouvements de préparation. Chaque mouvement était un véritable plaisir, un moyen d'enfin extérioriser toutes les envies qu'il pouvait avoir envers cette jeune femme qu'il désirait tant, et loin de pouvoir bien se maîtriser en l'état des choses, il se retenait quand même histoire de ne pas lui offrir tout ce dont il était capable dés maintenant, souhaitant tout de même pouvoir la combler de bien d'autres manières à mesure qu'il la posséderait entre ses bras. Toujours prêt toutefois à lui rappeler ses propres pulsions, il ne manqua pas de laisser toujours traîner ses crocs le longs de son corps, laissant de coté les baisers pour la laisser exprimer ouvertement le tout de son plaisir, la main perdue plus tôt dans ses cheveux s’étant placée sur son épaule pour que son corps ne puisse reculé quand il s'enfonçait en elle, afin qu'elle puisse sentir à chaque passage le moment où il butait tout au fond d'elle avec un plaisir aussi vif que grisant. Et tandis que son souffle s'accélérait, que le plaisir montait doucement en force et en importance, l'homme profitait du moindre écho de jouissance de sa belle Alice, souriant au moindre de ses frissons, de ses gémissements, de ses cris, l'invitant sans qu'il ne se le permette encore d'en faire toujours plus pour la frêle dame perdue dans son emprise.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 232 dimanche 15 janvier 2017, 23:11:56

Elle sourit malicieusement, révélant ses magnifiques dents blanches, tout en sentant la virilité du vampiroïde se presser contre ses cuisses, son membre chaud approchant de sa fente intime. Alice frissonnait sur place, et se pinça les lèvres, un sourire ravi se dessinant sur ses lèvres.

« Oui... Bien sûr que je le suis ! »

Il en profitait pour la taquiner un peu, avec cette expression de la fierté virile masculine. Ils y étaient. Au bord du point de rupture, cette zone où le plaisir allait exploser dans une vague infinie et immense. Oui, Alice n’attendait que ça, s’avérant de plus en plus fébrile, et se mordilla les lèvres quand la virilité massive de l’homme s’approcha. Balthazar avait visiblement très envie d’elle, et Alice ne put que sourire, ses dents brillant joyeusement en le sentant s’approcher. Elle retint sa respiration, et poussa un long gémissement quand la queue de l’homme commença à s’insinuer en elle, se dessinant un chemin.

Alice gémit longuement, poussant rapidement un cri de plaisir, et écarta les cuisses, cherchant à accepter aussi largement que possible ce membre en elle. Ses yeux se fermèrent, et elle étouffa un gémissement, tout en sentant la main de Darthestar se crisper sur son épaule, en appui. Il remuait longuement en elle, accélérant peu à peu le rythme, et Alice, elle, suivait avec plaisir, ne faisant qu’accepter la présence du membre chaud de Balthazar dans son corps.

« Haaaaa... Hnnnnn... Mmmmhhmmmm... !! »

S’il voulait l’entendre gémir, il allait se régaler. Au milieu des craquements et des couinements du lit, les gémissements et les hurlements d’Alice formaient un magnifique fond sonore, une délicieuse berceuse qui accompagnait le duo dans leurs ébats et dans leurs élans. La Princesse se tortillait sur le lit, pendant que son amant menait le rythme, l’entraînait sur une danse endiablée. Elle fermait généralement les yeux quand elle faisait l’amour, et maintenait une main sur la nuque de l’homme, allant parfois l’embrasser, pressant son corps contre le sien. C’était ça qu’elle aimait, en réalité... Sentir le corps de l’autre se serrer sur le sien, onduler en elle, remuant en harmonie... Ah, que de sensations magnifiques !

Alice poussait de longs cris de plaisir, et caressait avec son autre main le solide dos de Balthazar, allant parfois même, quoique de manière inconsciente, à le griffer !

« Ba... Balthazar, haaaa... O-Oui, ouiii, hmmm... Haaaaaaa... »

Soupirs onctueux, cris de plaisir sincères... Alice goûtait au bonheur, un bonheur primitif et ancestral, mais ô combien jouissif !

DC d’Alice Korvander.

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 233 mardi 17 janvier 2017, 16:58:22

Il ne pouvait plus se détacher d'elle. Son corps, son esprit, le tout de son être n'était plus que focaliser sur la belle jeune femme qu'il tenait entre ses bras, cette amante qui occupait la moindre de ses pensées, le moindre de ses désirs. Il voulait tout lui offrir, et tout lui prendre, complètement incapable de réfléchir à autre chose que ses courbes à se damner, à ses doux soupirs, mélopée mystique qui enivrait ses sens, et le moindre de ses mots, qui étaient autant d'invitations à ce qu'il perdes définitivement l'exprit pour se livrer tout entier à la demoiselle. Il était aller la taquiner, la provoquer, mais dans le fond, peut-être était-ce aussi l'aveu d'un trouble un peu plus profond, celui que la princesse n'avait elle rien à faire pour obtenir de l'homme ses plus clairs et incroyables fantasmes, sans n'avoir finalement à ouvrir les lèvres pour le mener à elle, quand lui ne savait quoi se permettre face à cette merveilleuse compagne. Mais au final, cela ne changeait pas grand chose à la situation, ses doutes n'étaient qu'illusions, et tout autant qu'il se pensait maladroit, chacun de ses gestes s'affinaient pour aller à la convenance d'Alice, par un simple instinct, chacune de ses caresses se muant en promesses de la combler, et chacun de ses soupirs en aveu de son profond désir de lui permettre de sentir bientôt les plus incroyables des bonheurs. Et cela n'attendait peut-être finalement qu'une réponse, que quelques mots de la jeune femme déjà au bord du gouffre, déjà prêtes à y plonger corps et âmes, ce qu'elle lui fit bien sentir :

« Oui... Bien sûr que je le suis ! »

Ils s'unirent. Les réactions d'Alice ne se firent pas attendre, tout comme celle du vampire, dont les pensées et les troubles s'échappèrent pour ne laisser que l'homme plein de bonne volonté, et d'un amour fou pour celle qu'il avait désormais la possibilité de portée au comble de son plaisir. Ce fut sans attendre qu'il accéléra, sans attendre non plus qu'ils se laissa porter par les baisers et les muettes injonctions de la femme, collant son corps au sien, l'écrasant tendrement de sa carrure tandis qu'il bougeait en elle avec autant de volupté que d'ardeur, se délectant du moindre instant où leurs chairs se lovaient l'une contre elle, laissant chaque instant être un message porter par des actes, et non plus des mots. Il l'entendait gémir, encore et encore, chacun lui rappelant de faire tout pour que le prochain soit encore plus fort et désinhibé que le précédant, et il s'évertuait dans ses passage en elle pour le lui offrir, jouant de vitesse, de profondeur, de coup subit et de lents mouvements frustrants pour se permettre de faire monter tout autant le besoin que le plaisir de la jeune femme durant ce merveilleux moment. Lui même haletait, pas tant par une certaine faiblesse physique, l'homme étant d'autant plus endurant que les sentiments qu'il tenait pour la jeune femme se faisaient garant de ne pas lui laisser de repos tant que la femme n'aurait pas goûté à l'infini bonheur de cet échange charnel, mais bien parce que l'excitation l'amenait lentement à se sentir le souffle coupé, haché, soutenant finalement le rythme de chacun de ses passages en elle alors que ses mains continuaient de nouveau à flatter son corps de multiples caresses purement désireuse.

« Haaaaa... Hnnnnn... Mmmmhhmmmm... !! »

Ces échos, si délicieux, si engageant, du plaisir d'Alice était un élément qui lui permettait de ressentir d'autant plus le besoin et l'appréciation de son amante pour cet instant qu'il partageait, et se laissant complètement guider par ses propres envies, c'était avec une application de plus en plus précise qu'il trouvait ce qui faisait trembler la jeune femme, ce qui la rendait folle de bonheur, ce qui ne lui laissait que peu de choix entre gémir de ses bienfaits, ou crier sans retenu sous l'effet de ses vifs passages. Il accélérait encore, trouvant toujours dans ses forces de quoi la mener droit vers l'orgasme, venant quérir un baiser dans les moments où la belle princesse pouvait reprendre un peu son souffle, et l'observait parfois avec des yeux mi-clos, un large sourire sur le visage à la vue de l'expression quasi-extatique de celle qu'il aimait, y voyant la promesse de son bien-être. Il accélérait toujours, cherchant à la pousser à sa limite alors que ses lèvres se perdait sur sa peau chaude, en sueur face aux sensations qu'elle vivait, et que ses doigts allaient tantôt lui offrir un soutien pour lui faire connaître des mouvements plus profonds, plus brutaux, tantôt lui permettre de passer sur ses seins, ses hanches, ses fesses ou encore ses cuisses, y plaçant une poigne désireuse, mesurée certes, mais qui exprimait l'envie de l'homme de posséder la princesse rien que pour lui, ne serait-ce que pour cet instant. Et encore une fois, il accélérait sans retenue, ne cessant jamais de maintenir un rythme infernal, un rythme uniquement là pour offrir tout ce qu'il pouvait à la belle jeune femme, cherchant bien malgré lui à ce qu'elle soit la première à atteindre le comble de son plaisir :

« Ba... Balthazar, haaaa... O-Oui, ouiii, hmmm... Haaaaaaa...
 -  Nnnnh... Alice ... ah ... ah... Ma belle Alice. »

Juste le ton chaleureux de sa voix, l'expression simple de son bonheur que de l'avoir à ses coté, ses mots étaient hachés, son souffle court... Il sentait les griffures dans son dos, la chair de la femme sous son corps, la volupté de ses seins écrasés par son torse, le souffle chaud de de la princesse contre sa peau, la légère moiteur de leurs deux corps tant et tant noué l'un contre l'autre. Les sensations se mélangeaient en une seul, un plaisir pur, infini, dépourvu d'entraves ou de réflexion, simplement le bonheur mêlé de la princesse et du vampiroïde, alors qu'il n'y avait même plus de capacité, de l'un comme de l'autre, à ce qu'il se passait quelques minutes avant. Seul comptait le plaisir, et l'homme n'avait même plus la capacité de se poser la question de l'efficacité de ses passages. A quoi bon ? Il était au bord de l'explosion, la jeune femme aussi... Et rien n'indiquait le contraire. Leurs baisers étaient plus court, le souffle manquait, mais ils étaient nombreux, indubitablement enfiévrés, incontrôlés mais toujours nécessaire. La jouissance approchait, mais le vampire souhaitait toujours inconsciemment qu'elle puisse être la première à l'atteindre. Mais les fait était là, il en avait envie, et besoin, jouir une première fois, et pouvoir continuer de prolonger l'infini bonheur de cette situation sans avoir à réfléchir à tout cela. Difficilement, essayant tant bien que mal de se contrôler alors que ses hanches souhaitaient plutôt continuer de bouger d'elle-même pour leur bien-être à tout deux, il vint à son oreille, et exprima entre deux soupirs de plaisir la petite question qui commençait lentement à le couper de son état d'extase aussi incroyable que divine.

« Je...hha... Je vais jouir Alice... ha...Dois-je... ha... sortir ma belle ? »


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 234 dimanche 22 janvier 2017, 22:21:32

Alice était couchée contre l’homme, et, encore et encor,e il s’enfonçait en elle, épousant ses formes, sa masse musculaire s’aplatissant sur elle. Elle gémissait, soupirait, haletait, le corps en feu, tout en sentant le vampiroïde continuer à se glisser en elle, enfonçant son épée de chair. Alice le coinçait, le maintenait, voulant sentir ce membre, encore et encore. La pénétration de Darthestar créait à l’encontre d’Alice une soif de sexe. Ils s’embrassaient de moins en moins, car ils faisaient l’amour, et étaient donc occupés à se pénétrer mutuellement, à haleter, et à gémir. Peu à peu, toutes les autres sensations disparaissaient. Oh, elles étaient toujours là, mais... Alice n’en avait plus vraiment conscience. La queue de Darthestar dominait tout, faisant disparaître ses soupirs, ses gémissements, les frottements, les claquements de la chair, les mains qui se crispaient sur sa peau. Les vagues de douleur et de plaisir que ce coït provoquait noyaient tout le reste.

« Hmmmm... Haaaa... Haaaaannn... !! »

Imperturbable, son amant multipliait les coups, accélérant le rythme, remplissant Alice sous des vagues et des vagues de bonheur... Du moins, « bonheur » était le terme le plus apparenté pour décrire ce qu’elle ressentait. En réalité, ce qu’Alice éprouvait vraiment ne pouvait se qualifier, car il n’existait aucun mot qui puisse décrire cette sensation, ce cocktail, ce mélange de sentiments et d’émotions contradictoires. Alice subissait cette vague de plein fouet, et la laissait la transpercer.

Sa main glissait sur le dos de l’homme, atteignant ses fesses, se crispant dessus, claquant même un peu son cul musclé, tout en l’écoutant parler... Et en comprenant très vaguement ce qu’il disait. Alice haletait et gémissait profondément. Inutile de le nier, le sexe était une chose que la belle blonde adorait énormément. Elle y ressentait un plaisir certain à chaque fois, et adorait cette capacité d’aliénation brute et forte que le sexe arrivait à vous procurer, en vous faisant oublier tout le reste. Et là, précisément, tout était en train de disparaître, se noyant au profit d’exquises et délicieuses sensations.

« Hnnnnnn... O-Ouiiii, haaaaa... Ouuuiiii... »

Elle avait, en réalité, déjà joui une fois quand le vampiroïde, après, demanda à se lâcher en elle. Et ça, ce fut sa réponse... Elle se crispa contre lui, les joues rouges, le visage en sueur, les cheveux en bataille, expression même du plaisir sauvage et débridé. Comment pouvait-il penser qu’elle voulait qu’il retire sa queue ? Si jamais Balthazar feignait de partir, Alice crispait sa main sur ses fesses, n’hésitant pas à pincer sa chair, comme pour le sermonner. Il fallait pousser la chanson jusqu’au bout. Que serait cet artiste qui s’arrêterait au milieu de sa composition ?

Alice gémissait donc, et laissai l’homme se perdre en elle, répandant sa semence. Elle gémit longuement en sentant ses muscles s’étirer sur place, se figeant pendant quelques éternelles secondes... Puis tout son corps se relâcha, et elle s’absorba, disparaissant dans les abysses infinies du plaisir.

DC d’Alice Korvander.

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 235 lundi 23 janvier 2017, 17:07:18

« Hnnnnnn... O-Ouiiii, haaaaa... Ouuuiiii... »

Était-ce sa réponse, ou le fait qu'elle était encore incapable de ne pas se laisser à la plaine jouissance de l'instant, tout comme le vampire avait lui même maintes et maintes difficulté à garder le contrôle en ce somptueux moment où toutes sensations se mélangeaient lentement en un incroyable et illimité plaisir ? Non, pour le coup, il n'eut qu'à faire la distinction entre ses mots, et ses gestes, car le fait même d'avoir osé parler de perdre un peu de ce plaisir pour une sorte de sécurité illusoire lui fut interdit par les bras fin de la jeune femme, et les jambes de celle-ci qui vinrent à se croiser autour de sa taille pour lui dire de ne pas partir, de ne pas oser même faire le moindre mouvement pour battre en retraite. Elle le voulait en elle, elle voulait absolument que l'homme ne vienne pas à partir, qu'il en laisse pas cette situation si délicieuse se finir de manière si brutale, et il le comprit tout simplement, ne se permettant plus le moindre mot avant de reprendre de toutes ses forces, à un rythme qu'il voulait absolument inhumain, aussi surprenant pour celle qu'il aimait que jouissif, cherchant définitivement à aller au delà de ses limites, et à atteindre une pleine jouissance. Il ne cherchait ni à trouver un moment de repas, ni même à réfléchir, il se replongeait simplement dans cet état merveilleux où ni lui, ni elle n'étaient encore capable de comprendre où se trouvait leur conjoint, à qu'elle point le moment lui était bénéfique, tout étant balayé par une seule certitude : leur plaisir commun, qui ne trouvait plus de limite, et qui les poussait à abandonner toute forme de retenu dans les quelques instants à venir.

Il vint à jouir, sans un mot, il ne fit rien pour exprimer plus cet instant, ne fit rien d'autre que s'enfoncer le plus profondément en elle, en cette princesse qu'il aimait tant, et vint à jouir sans cesser, sans même comprendre toute l'excitation qu'il ressentait, et à quel point celle-ci le menait à remplir cette elle demoiselle sans parvenir à arrêter sa jouissance. Il respirait chaudement contre sa belle et chère, son souffle anarchique trouvant lentement le don de se calmer à mesure qu'il percevait déjà un peu mieux la peau chaude et parcourue de frisson d'Alice, ainsi que les fines expressions de son plaisir qui semblait se calmer sous l'effet de la fatigue, et d'une satisfaction intense, satisfaction partagée par l'homme qui laissait ses muscles lentement se détendre, alors qu'il se redressait légèrement pour la contempler. D'abord tendue de tout son corps, elle semblait elle-même retrouvée peu à peu les limites de son être, et sans rien dire, Darthestar ne manqua pas de venir l'embrasser tendrement, délicatement, alors qu'il se trouvait toujours en elle, se perdant un peu dans la douce appréciation d'avoir cette magnifique femme à ses cotés. Sa main passa dans ses cheveux, délicate, et encore une fois, il vint à prolonger le baiser un temps qui lui parut illimité, avant de sortir lentement d'elle, par simple envie, non sans toujours la couver d'un regard qui se voulait autant éprit que fasciné par le pouvoir que cette jeune demoiselle avait sur son être, et à quel point elle l'avait laisser s'abandonner dans une situation qu'il n'avait jamais cru envisageable.

« Est-ce que ma belle Alice est fatiguée ? Ou souhaites-t'elle reprendre immédiatement ? »

Il ne savait à quel point elle était endurante, mais lui, en revanche, était encore capable de tenir longtemps ce rythme, et aurait sûrement don de reprendre bien rapidement leurs ébats si la belle jeune femme était capable de reprendre dés maintenant. Il ne voulait pas la pousser trop loin bien entendu, l'idée n'était nullement de la rendre folle de plaisir, mais si elle lui avouait cela, cette envie primaire de ne pas cesser dés la première jouissance, de recommencer dés que possible leur ébat pour l'allonger, le prolonger, continuer de se laisser porter par cette sensation merveilleuse qui leur avait permit dans le plaisir de se muer en un seul être, alors il n'aurait aucune retenue pour reprendre avec vigueur, et une envie toujours croissante. Pour autant, il concevait de la laisser respirer un peu pour l'instant, et lentement, vint à se séparer un instant d'elle pour se coucher à ses cotés, avant de l'enlacer pour la ramener contre son torse, la gardant tout contre son corps avec une claire tendresse, et une délicatesse peu connue de l'homme. Si précieuse, si belle, l'homme aurait maint adjectif à lui offrir, mais dans l'instant présent, il n'avait rien d'autre à dire, et se tut pour seulement apprécié le souffle haletant d'Alice contre lui, la faiblesse relative de ses membres qui se posaient contre sa chair masculine, et l'air de plaisir qu'elle laissait entrevoir sur ses lèvres étirées en un long sourire. En tout idiot aimant, l'idée de continuer ses habituelles tirades était là, mais il vint vite à en concevoir l'aspect tant et tant superflu. Non il profitait de l'instant, il se laissait aller à son simple plaisir, et bonheur, de l'avoir en ce moment entre ses bras, gardant les yeux clos pour ne pas laisser sa vue parasiter la douce situation.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 236 lundi 30 janvier 2017, 01:17:09

Les corps continuaient à remuer, la chair à claquer, s’entrechoquant sur place. Alice gémissait longuement, en subissant les assauts fougueux et assoiffés du vampiroïde. L’homme ne la ménageait plus, et, comme elle, il se laissait porter par son désir. Inutile de parler davantage, Alice n’écoutait plus, se crispait contre lui. Il continuait donc à s’insinuer en elle, entrant dans son corps, la pénétrant fougueusement, le corps de son amant s’écrasant contre le sien, les maintenant ensemble dans un délicieux cocon de chaleur. Alice continuait à gémir, mouillant encore, jusqu’à sentir son plaisir croître. Dans un long soupir, elle eut un nouvel orgasme, et maintint sa main sur les fesses du vampiroïde, qui jouit à son tour, répandant sa semence dans son corps, éclatant en elle. Soupirs et gémissements rivalisaient pour exprimer le plaisir féroce des deux amants passionnés.

« Haaaaannnn... ! »

Elle le sentit venir en elle, sentit le sperme fuser dans son corps, disparaissant dans son ventre... Puis la pression se relâcha, et les soupirs cédèrent définitivement aux gémissements, le corps de Balthazar s’affalant contre elle. Ils soupiraient, les corps en sueur, et Alice s’imprégnait de cette chaleur, de cette sueur qui coulait le long du torse de son amant, heurtant sa peau.

« Ohhh, Balthazar... »

Les cheveux décoiffés, ce fut tout ce qu’elle arriva à dire, car le vampiroïde alla ensuite l’embrasser. Elle ferma les yeux, crispant une main sur les cheveux de Darthestar, et succomba à ses lèvres, son corps se blottissant contre le sien. Elle sentit la langue de Balthazar filer dans sa bouche, provoquant de délicieux frissons, qui ne manquèrent pas de la faire gémir. Ce fut un baiser long et délicieux, tranchant avec l’intensité de leurs ébats par sa douceur. Elle y sentait tout l’amour de Balthazar. Alice sentait que l’homme l’aimait, elle le sentait encore mieux que quand il le lui avait dit. Là, elle percevait la puissance de son amour, toute l’attention qu’il lui portait. Ce moment était tout simplement délicieux. Là, collée à ses lèvres, elle se laissait porter, tout en sentant encore sa verge en elle, se reposant dans son intimité, continuant à les unir.

Finalement, le baiser se termina, et Darthestar lui demanda si elle voulait continuer. Alice sourit alors, et répondit par ce sourire mielleux, puis posa ses mains sur les épaules de l’homme.

« Ça... Ce n’est pas à moi qu’il faut le demander. »

Et, juste après cette tirade, elle le poussa en arrière, le renversa, et se redressa au-dessus de lui. À califourchon, elle s’assit sur le corps de l’homme, maîtrisant la chose, sentant sa virilité contre ses fesses. Alice avait toujours une lueur malicieuse dans les yeux, et fit un bref clin d’œil à Darthestar, avant de se laisser descendre sur son corps. Elle embrassa ainsi son torse, puis son ventre, lécha son nombril, et descendit ainsi jusqu’à... Jusqu’à tenir dans sa main sa hampe de chair, et à approcher son visage de son sexe, venant l’inhaler, et le lécher brièvement.

« ...C’est lui qui ne doit pas être fatigué. Est-ce que tu veux que je le motive ? J’ai peur qu’il s’épuise si nous continuons à l’utiliser sans le ressourcer... »

Couchée sur le lit, elle se pinça les lèvres en regardant l’homme, et pencha la tête sur le côté.

« Non ? »

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Darthestar

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 237 mardi 31 janvier 2017, 19:40:17

L'instant était délicieux. La férocité de leurs ébats laissait place à ce doux instant où l'on peut se regarder des heures sans perdre un instant la délicatesse d'un regard amoureux, passionné, et où chaque caresse n'est qu'une réponse supplémentaire à des soupirs qui laissent entendre le tout d'une volupté sans pareille, mûe par deux être au comble de leur bonheur. Le vampire était là, contre la demoiselle, et n'avait pas vraiment de raisons de se séparer d'elle, de s'éloigner, de quitter les courbes délicates de son corps, de perdre le contact avec cette femme qu'il désirait tant et tant, et que même après de pareilles étreintes, ne pouvait concevoir de l'abandonner au loin de son emprise, n'y percevant par là que la fin d'une situation qui n'était que bonheur pour lui. De même, la belle jeune femme ne semblait pas avoir un seul instant l'envie de se séparer de son amant, et en cela, le vampire ne pouvait s'en sentir plus comblé, conservant toujours le corps chaud de sa dame à ses cotés, tandis que celle-ci laissait les gémissements et les oupirs l'informer de son état, de son besoin de s'arrêter ne serait-ce qu'un instant, amenant l'homme à la questionner quand à la poursuite de leurs ébats, lui qui ne voulait bien sur pas la mener à l'épuisement pour son propre besoin de plaisir. Elle eut tout don de réagit assez vivement, le repoussant de prime abord, mais le chevauchant immédiatement, ne laissant clairement pas le doute s'installer dans ce divin moment, alors que Darthestar se perdait dans la contemplation de l'être aimée, muet, remarquant tout de ce petit aspect sauvage d'Alice qu'il n'avait encore jamais eut l'occasion d'observer avec autant de plaisir :

« Ça... Ce n’est pas à moi qu’il faut le demander. »

Il ne vint rien dire, rien répondre, il commençait à la comprendre, et un tel propos ne pouvait qu'entendre une taquinerie supplémentaire, une parole un peu plus directe, un peu moins vague, la jeune femme ne présentant pas vraiment le caractère d'une dominante, mais ayant apparemment le vif plaisir de venir provoquer celui, ou celle, qui avait le droit de la serrer entre ses bras. A moins que cela était spécifique à sa personne, ou en tout cas au personne qui, comme lui, ne cherchait pas à la garder d'une main de fer lors des ébats ? Il ne le savait pas, mais en tout cas, il ne s'exprima pas plus pour l'instant donc, et continua simplement de l'observer, sur lui, fière, sa poitrine rebondissant légèrement sur le coup de ses soupirs, de ses halètements, et la sueur glissant lentement sur son corps, soulignant de ses légères goutelettes les courbes ravissante de la demoiselle, ne manquant pas de laisser au vampire l'envie de venir à nouveau la taquiner là où il l'avait précédemment mordue. Mais il n'en fit rien, Alice avait d'autres idées, et il ne put que sentir un léger frisson quand la jeune femme descendit lentement le long de son corps, s'y collant avec cette même pression empressée, avant d'y glisser non sans couver sa peau de baisers, multiples, jusqu'à ce qu'il sente la main gantée de la jeune femme venir se placer autour de son membre. Si il était peu complexe de savoir ce qu'elle comptait faire, pour le coup, il ne manqua pourtant pas de sentir un énième frisson de délice passer dans sa colonne quand il sentit la langue de la belle princesse passer sur son morceau de chair tendu, alors qu'elle se remise à parler.

« ...C’est lui qui ne doit pas être fatigué. Est-ce que tu veux que je le motive ? J’ai peur qu’il s’épuise si nous continuons à l’utiliser sans le ressourcer... Non ? »

Elle ne le savait sûrement pas, mais l'homme ne pouvait qu'acquiescer béatement à chaque fois qu'il la regardait accomplir cette petite manie qu'elle avait de se mordiller la lèvre, et si il eut un petit passage à blanc sur l'instant, la contemplant avec ce regard qu'il ne parvenait à quitter depuis qu'il l'avait enfin rien que pour lui, il parvint finalement à se reprendre, et à lui répondre avec un ton tout aussi délicat et taquin :

« Je ne sais pas, est-ce qu'une aussi charmante jeune femme aurait le coeur à laisser ce vigoureux compagnon sans la moindre motivation ? Tu vas finir par le rendre jaloux ma belle Alice ! »

Il lui offrit un délicat sourire, et se redressa juste un petit peu pour ne pas chercher à la toucher à l'aveuglette, venant lentement tendre sa main vers elle pour la passer sur sa joue, délicatement, puis l'observer avec toujours autant d'affection dans le moindre de ses comportements. Si charmante, si douce, il ne savait quelle bénédiction avait été produite pour qu'il puisse enfin pouvoir la posséder, et pour qu'elle puisse elle-même s'attribuer les droits sur son être, le temps d'une nuit peut-être, mais il ne pouvait qu'en ressentir le plus intense des bonheurs. En tout cas, lentement, il se mit donc à poursuivre son propos avec un ton chaleureux, tendre, passant juste le bout de ses doigts sur ceux gantés de la demoiselle, alors qu'il l'invitait de manière bien honnête à en effet lui procurer tout le plaisir qu'elle lui proposait, non sans caler au passage un petit propos qu'il fallait qu'elle considère avec sûreté, si elle ne voulait pas en effet continuer toute la nuit sans jamais cesser !

« Crois moi, il peut servir toute la nuit si besoin, je crois que tu sais à quel point je peux être endurant. En revanche, oui, motive le ma toute belle, rends le plus dur encore qu'il ne l'est. Tu l'as dis toi-même : Il a envie de te baiser bien fort, même, il veut que tu ne penses plus qu'à lui ! »


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 238 lundi 06 février 2017, 00:56:28

C’était effectivement un côté de la personnalité d’Alice que les gens ne soupçonnaient pas forcément. Cette perversion joyeuse, ce côté mutin et provocant. On imaginait mal une personne aussi douce et attentionnée pouvoir se montrer aussi à l’aise avec un sujet tabou et, par nature, perturbant. Pour autant, Alice ne manifestait aucun signe de trouble, mais un contrôle d’elle-même qui tranchait avec cette image de princesse issue d’un conte de fées. Mélinda avait bien formé la belle tête blonde, et le sexe, très impressionnant il y a quelques années, était maintenant un aspect familier de sa vie. De fait, on ne pouvait pas tout mettre sur le dos, ou, plutôt, sur les cuisses de sa belle amie vampirique. Alice avait eu d’autres précepteurs et préceptrices qui avaient veillé à son éducation sexuelle, au premier rang desquels on trouvait sa Maîtresse, Tinuviel, son ex-femme, Sakura, sa garde du corps, Cirillia, ou même, d’une certaine manière, Melendil, dont l’innocence naïve rappelait à Alice ce qu’elle avait été jadis. Tous ces gens avaient contribué à forger cette partie-ci de la psyché d’Alice, une femme mûre, sûre d’elle-même, qui ne doutait pas. Au fond, il était ainsi permis de se demander si, en définitive, le sexe ne faisait pas que révéler ce à quoi Alice était destinée à devenir : une Reine, sûre d’elle-même, qui ne doutait pas, et imposait ses décisions. Le parallèle, assurément amusant à être dressé, n’était pas totalement dénué de fondement.

Quoi qu’il en soit, en ce moment précis, elle était devant la verge de son amant, humant cette dernière, sourire épanoui sur les lèvres. Il confirma à sa requête, et elle se pinça encore les lèvres. Elle était si belle ainsi, avec cette lueur enjouée dans la prunelle de ses yeux, ses cheveux légèrement défaits, et ses tendres joues rouges. Le vampiroïde s’était légèrement redressé pour assister à ce spectacle. Alice hocha alors la tête, sa joue se frottant doucement contre cette queue, remontant dessus, comme une sorte de chienne qui frotterait sa joue contre la jambe de son maître pour quémander de la nourriture. Néanmoins, avant de passer à l’action, elle avait encore une réclamation à faire :

« Très bien... Mais je veux que tu me regardes, Balthazar. Pendant que je m’occuperai de toi, je veux que tes yeux observent ça. Je veux que tu vois tout de moi, même si c’est un moi vulgaire... »

Pas de détournements de yeux, pas de regard au plafond, elle voulait sentir le poids de ses yeux sur elle pendant qu’elle le prendrait en bouche, elle voulait voir le désir brûler dans ses yeux, tout comme elle le sentirait le long de ses lèvres. De fait, elle le sentait déjà, car, que ce soit la perspective d’avoir une fellation de la part d’Alice, ou le délicat frottement de son visage, sa hampe se redressait déjà, regagnant en virilité ce qu’elle avait perdu lors de l’orgasme. Personne n’oserait remettre en question les talents linguaux d’Alice, qui finit par glisser une main contre ses cheveux, rabattant plusieurs mèches derrière son oreille, tout en se redressant, et en se positionnant devant ce sexe.

Elle le voyait... Là, devant elle. Ce phallus dressé, fièrement positionné au garde-à-vous, et attendant qu’une bouche généreuse daigne s’occuper de lui. La respiration d’Alice rebondissait contre ce membre, et elle ouvrit la bouche, venant finalement commencer à le lécher. Pas encore de succion, mais une série de coups de langues sur la hauteur de ce vit, comme s’il s’agissait d’une glace, chaude et un peu liquide, en raison des dépôts de sperme et de cyprine qui s’étaient collés dessus. Elle le lécha pendant quelques instants, lubrifiant cette queue avec sa salive, puis remonta ensuite.

Ses yeux se redressèrent brièvement, regardant son amant... Puis elle prit son inspiration, ouvrit la bouche, et s’abattit vers l’avant, sentant le membre de l’homme heurter ses lèvres, qu’elle referma ensuite, le coinçant en partie dans sa bouche. Avec ses dents, elle sentait cette verge, et veillait à ne pas trop les avancer, préférant plutôt relever sa langue. Pendant quelques secondes, Alice resta immobile, afin de se concentrer, reprenant son souffle, habituant son palais à la présence de ce membre.

« Hmmmmm... »

Puis, elle se redressa, et descendit, et commença vraiment à le sucer...

DC d’Alice Korvander.

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Darthestar

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    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 239 mercredi 08 février 2017, 00:04:08

Il y a de ces situations où garder son calme n'est franchement pas aisé, comme si chaque petit détail était fait pour donner envie de se laisser aller à perdre le contrôle de tout ce qu'il se déroulait, encore une fois d'ailleurs au vu de ce qu'ils venaient déjà de faire, et le vampiroïde devait avouer que chacun des regards qu'il posait sur la jeune femme était au final autant d'invitations à ce qu'il oublie toute forme de retenue pour se jeter sur elle avec la soif d'un homme qui avait passé trois semaines sans eau au beau milieu du désert. Non pas qu'il veuille à nouveau la mordre, et il s'était déjà grandement sustenter, et avait déjà passablement joué avec les sensations de celle qu'il aimait tant et tant, mais c'était étrange comme les mimiques, les petites expressions, les détails de la demoiselle et ses tics étaient autant de charmes à ses yeux qui s'efforçaient, inconsciemment, à ce que son désir de cette princesse s'enflamme encore pour ne plus jamais s'abandonner à quelques vains doutes comme ceux qu'il avait connue auparavant. Peut-être jouait-elle aussi un peu avec lui parce qu'elle savait qu'il y serait sensible, qu'il n'aurait que l'absolue envie de se jeter sur elle en la voyant ainsi joue contre son membre, s'y frottant comme une jeune femme ivre de désir, et qu'elle savait dans le fond que rentrant complètement dans le jeu, il passerait par cette frustration d'attendre avant de l'avoir à nouveau entre ses bras ? La réponse n'était pas évidente, mais en tout cas l'homme commençait déjà à sentir l'excitation remonter en flèche, et son membre se comporter de biens bonnes manières avec celle-ci, laissant donc à sa belle Alice le temps de répondre, et d'exprimer apparemment ses envies :

« Très bien... Mais je veux que tu me regardes, Balthazar. Pendant que je m’occuperai de toi, je veux que tes yeux observent ça. Je veux que tu vois tout de moi, même si c’est un moi vulgaire...
 -  N'ai crainte, je n'aurais aucune envie de quitter ma si belle demoiselle du regard, même si elle se montre très vulgaire. »

Il ne pouvait refuser, et n'en avait aucune envie. Elle n'aurait dans le fond même pas eut à lui faire cette demande qu'il se serait parfaitement laisser aller à l'idée de la contempler, de la regarder alors qu'elle irait s'occuper de manière bien "vulgaire" de son sexe, et non seulement cela ne le gênait guère, mais surtout il était ravi de pouvoir avoir le droit de contempler la belle demoiselle dans une telle situation, autant parce que ce constat avait ce coté si excitant, si grisant, que par ce sentiment d'être l'homme privilégié d'avoir droit à une telle vision. Peut-être était-ce un peu bête à dire, surtout après l'effort qu'Alice avait mise en place pour l'amener à oublier qu'elle était une frêle petite princesse sans la moindre force, perçue avec tant de pureté et de grâce, mais combien de personnes masculines, et sûrement féminine d'ailleurs, n'avaient donc put rêvé que de pouvoir constater, avec le tout d'une si frémissante situation, une dynaste se laisser ainsi aller à un acte sexuel, encore plus avec le sujet de tels fantasmes ? Non, Darthestar était peut-être maladroit, hésitant, mais pas sot, et si il avait le droit à un tel privilège en compagnie de celle qui avait ravis son coeur, il ne pouvait décemment passer à coté de l'occasion, se redressant même pleinement pour s'asseoir, tout en observant le corps de sa belle demoiselle s'approcher de plus en plus de son sexe, tandis qu'elle l'observait avec un regard aussi joyeux qu'intéressé, comme entièrement hypnotisée par la proximité de l'outil de ses désirs. Et puis elle n'hésita plus, retournant enfin à ce qu'elle désirait accomplir depuis maintenant un petit moment, le sourire sur ses lèvres, en compagnie d'un homme qui ne put qu'exprimer de légers gémissements à ce doux contact.

Ses mains sur son membres, sa langue le long de sa chair chaude... Il savait que la jeune femme était bien plus expérimentée qu'elle en le laissait voir dans la vie de tout les jours, mais pour autant, il ne pouvait exprimer à quel point la demoiselle était douée pour cela, chaque délicat passage, chaque petits mouvements ayant presque le don d'être assez bon pour donner à l'homme l'envie de se prononcer un peu plus quand à son plaisir, de la manière la plus honnête possible. Elle n'hésitait pas un seul instant, elle savait qu'elle avait largement de quoi lui offrir autant de bonheur que d'envie claire qu'elle aille toujours un peu plus loin, et Darthestar aurait normalement eut la main un peu plus directive si il ne s'agissait pas d'Alice, allant sûrement pour lui faire connaître un besoin plus direct de plaisir, plus engagé, plus vifs, sans que pour autant il n'en fasse quoi que ce soit, certains qu'elle y viendrait tôt aou tarp, et ne voulant tronquer le petit jeu de sa belle amante. Et pourtant, quel plaisir quand elle vint le prendre en bouche, quel sensation fantastique quand les lèvres de la belle jeune femme vinrent étreindre son membre, tandis que sa langue se mettait à passer dessus avec toujours autant de maîtrise. Il ne put s'empêcher de lâcher un légers gémissement de plaisir, ravi de la sensation qu'elle lui faisait connaître, et quand elle leva légèrement les yeux vers lui, cette vision ne manqua pas de lui coller un frisson qui vint lui traverser le tout de la colonne vertébrale, comme s'il venait de se prendre un véritable coup de tonnerre sur les épaules.

« Hmmmmm...
 -  C'est terriblement bon ma belle. Je t'en prie continue. »

Que ce soit ses primes attentions, où les mots du vampire qui eurent le don de la décider sur la voie à suivre, mais elle vint alors enfin à faire de longs passages, de haut en bas sur son vis, commençant alors à le sucer avec ce plaisir délicat qui accompagnait chacun de ses mouvements, laissant à l'homme un franc sourire sur ses lèvres à mesures qu'elle s'habituait à son membre, et qu'elle se permettait ainsi de ne plus trop hésiter quand à ses déplacements. Tendu, point dans le muavais sens du terme toutefois, Darthestar observait sa belle demoiselle agir, ne manquant pas de se mordre légèrement les lèvres par simple envie de ne pas laisser ses soupirs gâchés en partie ce plaisant moment, souhaitant la voir faire, l'entendre faire, ouïr chacune des succions qu'elle produisait sur sa hampe et son gland avec un intense plaisir. Il en profitait en homme heureux, et si l'une de ses mains lui permettait de tenir son buste légèrement en arrière, dans cette position assise, l'autre vint se perdre doucement dans le cheveux de la belle blonde qui lui procurait tant de bonheur en cet instant,  y passant légèrement, avec tendresse, suivant les hauts et les bas que produisant sa tête alors qu'elle prenait tant soin de son lourd morceau de chair. Si pendant un instant son sexe avait été un peu moins en forme, il était difficile de le sentir plus tendu et prêt à l'assaut désormais, et même si il ne voulait pas jouir dans la bouche de la demoiselle, afin qu'elle n'ai pas à reprendre son petit jeu d'excitation une nouvelle fois pour qu'ils puissent continuer, ce ne fut pas pour autant que l'idée ne se fit pas présente un court instant dans son esprit, l'idée de souiller le visage de sa belle demoiselle étant aussi vile qu'excitante, il devait bien l'avouer.

Mais non, il savait qu'il viendrait l'arrêter au bout d'un moment, et ainsi ne vint qu'à en profiter longuement, la laissant faire avec toute la pratique qu'elle avait eut auparavant pour parfaire ses gestes, continuant quand à lui ses douces caresses sur la tête de la jeune femme, avant de finalement  se permettre de s'exprimer doucement, l'invitant à reprendre leurs doux ébats de manière bien plus rapprochée :

« Je crois qu'il est prêt pour te faire honneur à nouveau Alice. A moins que tu ne veuille plus cesser de l'avoir en bouche ? »



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