«
Haaaannn !! -
Hummm-hummmm !! »
Elle était décrite comme une élève modèle par l’ensemble de ses professeurs. Elle avait de très bonnes notes en cours, elle était très sociale, très souriante, riante et chaleureuse, et, avec sa petite tête d’ange, on ne pouvait que l’aimer. Pourtant, tout visage doré a ses zones d’ombres, ses craquelures silencieuses... Et les siennes s’exprimaient quand elle sortait du lycée. La nuit, elle laissait libre cours à ses pulsions, des pulsions d’autant plus faciles à libérer qu’elle était l’esclave d’une vampire redoutable et appétissante qui lui avait montré qu’il n’y avait aucune honte à avoir des pulsions, et qu’il était dangereux de les réfréner.
Myriam était presque nue dans le parc, à l’exception de longs gants noirs en latex, et de collants noirs remontant le long de ses jambes. Tout le reste de son corps était nu, exposé à l’obscurité. Elle était sortie ainsi du manoir de sa Maîtresse, et violait maintenant depuis deux heures une lycéenne... Si on pouvait encore parler de viol. Ce soir, Myriam avait rendez-vous avec l’une de ses amies au lycée, pour ce qui aurait normalement du être une simple soirée, en profitant de l’absence des parents d’Asuka. Myriam lui avait dit de la rejoindre au parc, afin de la guider vers cet appartement. Quand Asuka était arrivée, Myriam l’avait prise contre un arbre, et l’avait pénétré plutôt rapidement, avec un sexe masculin. Grâce à Mélinda, Myriam était en effet une Futanari, et, depuis maintenant plusieurs heures, elles faisaient toutes les deux l’amour.
Asuka, au début, avait été plutôt hostile à cette idée, puis, peu à peu, son esprit avait succombé. Maintenant, elle se tenait à genoux, et suçait la queue de Myriam. Asuka portait encore son délicieux uniforme de lycéenne, et Myriam lui caressait les cheveux, savourant les mains d’Asuka malaxer ses fesses. Aurait-elle été plus expérimentée qu’elle aurait sans doute pu la doigter en visant sa rondelle, mais, pour l’heure, Asuka se contentait de gémir en savourant de multiples gorges profondes. Ce n’était pas la première fois que Myriam couchait avec une femme, ou un homme, en public. Faire l’amour sur l’espace publique était, en un sens, le fantasme de Myriam. Elle avait monté doucement, commençant simplement par se masturber dans le bus. Parfois, on la voyait, la faisant rougir... Mais personne ne poussait de cris indignés. Au contraire, on la regardait faire, et, si elle était d’humeur taquine, il lui arrivait de soulever sa jupe de lycéenne pour qu’il puisse voir sa culotte mouler son intimité. Elle était maintenant passée à l’étape supérieure, couchant avec des inconnus, ou avec ses amis, comme Asuka.
Elles continuaient à faire l’amour, et Myriam savait qu’elle était observée par quelqu’un. Elle était aussi voyeuriste, et c’était d’ailleurs comme ça qu’elle s’était initiée à ce genre de plaisir. Tout avait commencé quand elle était au collège. Ses pulsions sexuelles s’éveillaient, et elle avançait dans la rue, jusqu’à entendre des bruits dans son jardin. Sa sœur aînée était en train de se faire prendre par son amant dans le jardin. Depuis sa fenêtre, derrière le rideau, elle avait observé cette scène, et avait senti les prémices du plaisir sexuel, cette chaleur soudaine qui brûlait lentement entre ses cuisses, remontant progressivement.
«
Haaaannn !! »
Myriam finit par jouir dans la bouche d’Asuka, pressant sa tête contre son sexe, et elle jouit si bien que, lorsque son sexe sortit, il continua à tressauter. Elle se masturba, balançant d’ultimes giclées de sperme sur le visage d’Asuka. L’avantage qu’il y avait à être Futanari, c’est qu’on pouvait larguer de grosses quantités de sperme, un effet secondaire très appréciable du traitement génétique tekhan permettant de sécréter un appendice masculin. Myriam poussa un long soupir, et lécha son gant imbibé de cyprine et de sperme.
«
J’adore vraiment te baiser, Asuka... »
La pauvre était épuisée, et Myriam s’écarta, portent son regard aux alentours, où elle croisa une femme, nue, l'observant adossée à un arbre. En souriant, Myriam s'exclama alors, guère choquée :
«
Le spectacle te plaît ?! »