Rencontre nocturne [PV Mélinda]

Comme chaque soir depuis qu'elles vivaient dans leur propre studio, Haruna et Kyôko se préparaient pour leur sortie nocturne en semaine, étant donné qu'elles se réservaient le weekend pour d'autres loisirs. Pas n'importe quelle sortie cependant, puisqu'elle se préparaient à sortir nue pour déambuler dans les rues en tenue d’Ève. Les deux jumelles étaient en effet d’authentiques exhibitionnistes, prenant du plaisir à l'idée de faire quelque chose d'interdit, de tabou, en offrant leur corps aux regards. Enfin, c'était surtout vrai pour Kyôko. Haruna elle, s'en fichait un peu, tant qu'elle était avec sa grande sœur. Sentir le vent et l'air frais sur sa peau nue, lui était beaucoup plus agréable.

Vers 22h30, elles sortirent de leur studio, cachant la clé sous le paillasson, et entrèrent dans l’ascenseur dans la nudité la plus complète. Une fois dehors, chacune adopta une attitude différente, suivant leur caractère... Rasant les murs pour masque autant que possible sa présence, attendant derrière les voiture ou les benne à ordures lorsqu'une personne entrait dans la rue, Haruna traversa ainsi la ville, à la fois terrifiée à l'idée d'être vue, mais aussi excitée de faire quelque chose d'interdit et potentiellement embarrassant. A l'inverse, Kyôko elle, marchait au milieu du trottoir sans être gênée le moins du monde, espérant se faire remarquer par un passant et ainsi s'amuser plus encore. Tandis qu'elles s'éloignaient de plus en plus de leur immeuble, chacune sentit son jus intime couler le long de ses jambes et ses tétons se durcir sous son excitation grandissante.

Au bout de trois heures à arpenter les rue, elles finirent par tomber sur un spectacle surprenant, lorsqu'elles arrivèrent dans un petit square du centre ville. Si Haruna cacha rapidement dans un buisson pour pouvoir observer la scène, sans être vue, Son aînée elle, se contenta de s'appuyer contre le tronc d'un arbre, bras croisés, appréciant le spectacle qui leur était offert, avec un regard appréciateur...

« Haaaannn !!
 -  Hummm-hummmm !! »

Elle était décrite comme une élève modèle par l’ensemble de ses professeurs. Elle avait de très bonnes notes en cours, elle était très sociale, très souriante, riante et chaleureuse, et, avec sa petite tête d’ange, on ne pouvait que l’aimer. Pourtant, tout visage doré a ses zones d’ombres, ses craquelures silencieuses... Et les siennes s’exprimaient quand elle sortait du lycée. La nuit, elle laissait libre cours à ses pulsions, des pulsions d’autant plus faciles à libérer qu’elle était l’esclave d’une vampire redoutable et appétissante qui lui avait montré qu’il n’y avait aucune honte à avoir des pulsions, et qu’il était dangereux de les réfréner.

Myriam était presque nue dans le parc, à l’exception de longs gants noirs en latex, et de collants noirs remontant le long de ses jambes. Tout le reste de son corps était nu, exposé à l’obscurité. Elle était sortie ainsi du manoir de sa Maîtresse, et violait maintenant depuis deux heures une lycéenne... Si on pouvait encore parler de viol. Ce soir, Myriam avait rendez-vous avec l’une de ses amies au lycée, pour ce qui aurait normalement du être une simple soirée, en profitant de l’absence des parents d’Asuka. Myriam lui avait dit de la rejoindre au parc, afin de la guider vers cet appartement. Quand Asuka était arrivée, Myriam l’avait prise contre un arbre, et l’avait pénétré plutôt rapidement, avec un sexe masculin. Grâce à Mélinda, Myriam était en effet une Futanari, et, depuis maintenant plusieurs heures, elles faisaient toutes les deux l’amour.

Asuka, au début, avait été plutôt hostile à cette idée, puis, peu à peu, son esprit avait succombé. Maintenant, elle se tenait à genoux, et suçait la queue de Myriam. Asuka portait encore son délicieux uniforme de lycéenne, et Myriam lui caressait les cheveux, savourant les mains d’Asuka malaxer ses fesses. Aurait-elle été plus expérimentée qu’elle aurait sans doute pu la doigter en visant sa rondelle, mais, pour l’heure, Asuka se contentait de gémir en savourant de multiples gorges profondes. Ce n’était pas la première fois que Myriam couchait avec une femme, ou un homme, en public. Faire l’amour sur l’espace publique était, en un sens, le fantasme de Myriam. Elle avait monté doucement, commençant simplement par se masturber dans le bus. Parfois, on la voyait, la faisant rougir... Mais personne ne poussait de cris indignés. Au contraire, on la regardait faire, et, si elle était d’humeur taquine, il lui arrivait de soulever sa jupe de lycéenne pour qu’il puisse voir sa culotte mouler son intimité. Elle était maintenant passée à l’étape supérieure, couchant avec des inconnus, ou avec ses amis, comme Asuka.

Elles continuaient à faire l’amour, et Myriam savait qu’elle était observée par quelqu’un. Elle était aussi voyeuriste, et c’était d’ailleurs comme ça qu’elle s’était initiée à ce genre de plaisir. Tout avait commencé quand elle était au collège. Ses pulsions sexuelles s’éveillaient, et elle avançait dans la rue, jusqu’à entendre des bruits dans son jardin. Sa sœur aînée était en train de se faire prendre par son amant dans le jardin. Depuis sa fenêtre, derrière le rideau, elle avait observé cette scène, et avait senti les prémices du plaisir sexuel, cette chaleur soudaine qui brûlait lentement entre ses cuisses, remontant progressivement.

« Haaaannn !! »

Myriam finit par jouir dans la bouche d’Asuka, pressant sa tête contre son sexe, et elle jouit si bien que, lorsque son sexe sortit, il continua à tressauter. Elle se masturba, balançant d’ultimes giclées de sperme sur le visage d’Asuka. L’avantage qu’il y avait à être Futanari, c’est qu’on pouvait larguer de grosses quantités de sperme, un effet secondaire très appréciable du traitement génétique tekhan permettant de sécréter un appendice masculin. Myriam poussa un long soupir, et lécha son gant imbibé de cyprine et de sperme.

« J’adore vraiment te baiser, Asuka... »

La pauvre était épuisée, et Myriam s’écarta, portent son regard aux alentours, où elle croisa une femme, nue, l'observant adossée à un arbre. En souriant, Myriam s'exclama alors, guère choquée :

« Le spectacle te plaît ?! »

En règle générale, quand les deux jumelles se balladaient le cul à l'air dans les rues, c'est pour passer le plus clair de son temps à mouiller leurs cuisses. Et, de manière également générale, il ne se passait pas grand chose de particulier durant ces escapades. Parfois, elles croisaient des passants et, tandis que l'une se cachait, morte de trouille, l'autre au contraire, en profitait plainement pour se doigter sous leur nez. Sauf que cette fois-ci, les jeunes exhibitionnistes étaient tombées sur une scène incroyable : Un couple lesbien encore plus déluré que le leur.

Cachée dans son buisson pour l'une et appuyée contre l'arbre pour l'autre, les jumelles observèrent ce couple s'ébattre au beau milieu du parc, à la vu de tous. Ce couple se composait d'une futanari, la première qu'elles voyaient, pratiquement nue, qui se faisait sucer le chibre par une fille normale, qui elle avait conservée le haut de son uniforme. Et au vu des soupirs, la futa aux cheveux roses semblait prendre un plaisir monstre. Silencieusement, elles se doigtèrent sans rater une seule miette de se spectacle, mouillant d’avantage encore leurs cuisses. Si Haruna n'osait pas dévoiler sa présence, ce n'était pas l'envie qui manquait à Kyôko de rejoindre ce couple et participer aux ébats. La futanari fini, après plusieurs minutes, par jouir dans la gorge de son amante, avant de se finir sur son visage, avant de se tourner vers l'aînée des sœurs.

- Le spectacle te plaît ?!

Kyôko ne répondit pas tout de suite, se léchant les lèvres à la vue de toute cette semence maculant le visage de l'autre lycéenne. Finalement, elle fini par quitter son tronc et s’approcha doucement du couple, jusqu'à se retrouver face à cette mystérieuse futanari, attrapant d'une main assurée son chibre encore humide et chaud, qu'elle masturba doucement.

- Assurément... Et j'ai hâte d'y participer ♥

Elle embrassa alors son amante d'un soir, d'un baisé langoureux et profond, continuant de jouer avec le sexe de son amante d'une main, alors qu'elle malaxait un de ses sein de l'autre. Dans son buisson, Haruna continuait de se caresser, sans rater une seule miette de cette scène...

Ce que Myriam aimait bien avec l’idée d’être l’esclave de Mélinda, c’était que, malgré son statut, elle était extrêmement libre... Bien plus libre qu’à l’époque où elle se croyait libre. Paradoxalement, être sous les ordres de quelqu’un permettait de profiter énormément de la liberté, vous donnant le sentiment d’être plus libre quand vous bénéficiez d’heures de permission. Myriam était une prostituée, alternant entre ses horaires au lycée et celles au harem de Mélinda, où elle couchait avec des clients. Son temps libre, elle le passait à exaucer ses fantasmes, consistant généralement à faire l’amour en public avec ses amies du lycée, dans la perspective de repérer des esclaves supplémentaires pour sa Maîtresse. Asuka était en bonne voie, mais elle méritait encore un peu de formation. La jeune lycéenne était une exhibitionniste refoulée, une femme qui avait besoin qu’on la motive, qu’on l’entraîne et qu’on l’endurcisse, afin de pleinement pouvoir accepter son statut.

Maintenant, elle se trouvait face à une autre exhibitionniste. Myriam n’avait aucune idée de son identité, et, en l’état, elle s’en moquait un peu. Cette nana était juste là, devant elle, et Myriam s’était rapprochée, si tant est que la femme pouvait la masturber. Elle la laissait faire, sentant le contact passer immédiatement. Myriam était un peu plus grande qu’elle, et son regard se tourna brièvement vers le buisson, à côté de cette fille. Son instinct lui soufflait qu’il y avait quelqu’un d’autre là-dedans, mais elle n’avait aucune piste, et son regard se porta de nouveau vers la femme. Nue comme un ver, elle ne semblait nullement gênée du spectacle. Asuka, elle, était inanimée sur le sol, dormant paisiblement. Maintenant, Myriam se concentrait sur cette mystérieuse femme, se demandant brièvement si elle n’était pas une esclave de sa Maîtresse, envoyée pour la suivre... Et sa main la masturbait sans problème, la faisant soupirer, attisant le feu qui brûlait en elle, réveillant son désir.

« Assurément... Et j'ai hâte d'y participer » lui répondit-elle.

Les deux femmes s’embrassèrent ensuite, la langue de Myriam filant à l’assaut de celle de la femme, leurs seins se heurtant. L’une de ses mains agrippa la nuque de la femme, empoignant ses courts cheveux bruns, et la lycéenne membrée soupira de plaisir. Myriam, yeux clos, laissa cette mystérieuse inconnue, dont elle ne connaissait même pas le nom, caresser son membre, puis sa main se déplaça, attrapa son sexe, et, ce faisant, elle plaqua son amante d’un soir contre l’écorce de l’arbre, puis alla la pénétrer... Comme ça, tout simplement. Elles ne s’étaient pas vues plus de cinq minutes, et, déjà, Myriam avait une trique infernale. Ce qu’elle aimait bien dans l’idée d’être une prostituée, c’était celle de coucher avec de parfaits inconnus. Des gens qui venaient, et qui, après quelques préliminaires, entamaient des coïts. De plus, ses clients étaient souvent des démons, ou des humains ayant des gènes démoniaques, soit des amants talentueux et expérimentés.

Son membre s’enfonça dans son vagin, et elle rompit le baiser, afin de pouvoir mieux raffermir sa position, une main venant s’appuyer sur ses fesses.

« Hummm... !! Petite salope... !! Haaaa, ta chatte est si bonne... Huuumrrpffff... !! »

Le corps de cette femme remuait contre l’arbre, et, tout simplement, Myriam s’amusait à la prendre, s’enfonçant en elle, d’avant en arrière, décrivant des mouvements de plus en plus prononcés et appuyés.

Ce que Kyôko aimait dans l’exhibitionnisme, c'était cette part d’inconnu lorsqu'elle sortait dehors en tenue d’Ève, la possibilité de se faire prendre sur le fait, de faire quelque chose d'interdit par les mœurs de la société, mais surtout, d'être observée par de parfait inconnus dans son plus simple appareille, d'être le centre d'attention de dizaines de regards pervers, qui se perdaient sur ses parties les plus intimes et d'être tripotée et baisée par ces mêmes inconnus dans des lieux publiques. Chaque sortie pouvait être infructueuse comme intéressantes, et réservait son lot de surprises. Ce soir, Kyôko était tombée sur une ado aux belles formes et munie d'une queue de belle taille... Et il aurait suffit qu'elle tourne un angle de rue plus tôt pour ne jamais la rencontrer.

Dès leur premier baisé cependant, la belle brune su qu'elle venait de se faire une nouvelle amie, une fille aussi délurée qu'elle sur le plan sexuel, sinon plus, et avec qui elle pourra d'avantage délirer par la suite. Leur baisé fut à la fois doux et torride, mettant son intimité dans tout ses états. Et il fallut qu'elle lâche sa queue quelques instants, pour sentir celle-ci s'enfoncer en elle peu de temps après, lui faisant lâcher un premier jet de cyprine.

- Haaaaaaaaaaaaaan....

- Hummm... !! Petite salope... !! Haaaa, ta chatte est si bonne... Huuumrrpffff... !!

Les vas et viens débutèrent rapidement, tandis que Kyôko se faisait prendre contre l'arbre, soupirant délicieusement près de l'oreille de son amante. Bon dieu qu'elle était douée celle-là... Son vagin dégoulinait déjà de son jus intime, chaud et sucré. La brune ne cherchait même pas à faire le moins de bruit possible, espérant presque que quelques personnes ne débarquent pour filmer la scène avec leur portable.

- Haan... J'te connais pas.... Haaaaaaa.... Mais j'aime déjà ta biiiite..... Haaaaaannn...

La futa continua de défoncer son intimité, étroite et humide, qui tendait à se resserrer sur le gros engin qui bougeait en elle, comme un étau de chair. Il ne fallut pas très longtemps pour que la jeune fille ait un premier orgasme, lâchant plusieurs jets de sa chaude cyprine sur les cuisses de son amante. Malgré cela, Kyôko agrippa le délicieux cul de son amante, pour l'inciter à continuer sur son rythme.

- Fait pas gaffe à ça.... Haaaaa.... J'suis plus endurante que j'en ai l'air.... Haaaaaaaaaaa....

Myriam devait sans doute avoir compris que Kyôko était une femme fontaine, en ce sens qu'elle pouvait jouir généreusement, et en un temps record. Mais comme toutes les femmes fontaines, elle pouvait avoir plusieurs dizaines d'orgasmes dans un seul rapport sexuel. D'ailleurs, sa mouille recommençait déjà à couler le long de ses jambes. Haruna elle, ne manqua rien du spectacle, continuant de caresser son bouton d'amour et ses tétons. Elle laissa passer plusieurs orgasmes de sa sœur aînée, avant de sortir sans bruit de sa cachette, et de se placer silencieusement derrière le couple. Accroupie, les cuisses écartées contre le sol, ses lèvres intimes collées au bitume, elle se pencha vers la fille aux cheveux rose en s’appuyant sur le sol de ses mains et vint lécher le jus intime qui coulait sur ses jambes, s'en abreuvant en soupirant doucement de plaisir.

- Hmmm.... Hmmmmm.... ♥

- Haaaaaaan.... Haaaaaa.... Putain, c'trop boooon..... Haaaaaaan !!!

Il y avait clairement deux facettes chez Myriam : celle, publique, d’une lycéenne un peu effacée, et celle, réelle et profonde, d’une femme qui n’avait pas froid aux yeux, et qui ne se refusait aucun plaisir. Ces deux facettes cohabitaient en elle, et Mélinda, sa Maîtresse, lui avait permis de libérer ses pulsions, de ne plus les brimer, et de les laisser s’exprimer. L’exhibitionnisme en faisait partie, ainsi que le fait de faire l’amour en public. Son plus grand rêve, maintenant, était de se rendre dans le quartier Pigalle, à Paris, où on disait qu’il existait des cafés spéciaux où on pouvait faire l’amour en public. Il existait des cafés de ce genre à Tokyo ou même à Seikusu, mais tout ne se faisait pas en public. Faire l’amour en pleine foule, c’était l’un de ses rêves, sans raison particulière. Avec Mélinda, avec la force et l’attrait que cette dernière exerçait sur la jeune femme, Myriam avait pu se lâcher, et elle continuait encore à le faire, maintenant. Elle pénétrait cette mystérieuse femme, et elle sentit cette dernière jouir assez rapidement, son excitation probablement galvanisée par le fait de se taper une inconnue, tout comme Myriam. Soupirant et gémissant, la belle adolescente aux cheveux roux ne tarda pas également à avoir un bel orgasme, et balança sa crème dans l’intimité de la femme, sans pour autant s’arrêter, son sexe masculin conservant, fort magiquement, sa dureté.

Elle continuait donc à la prendre, sentant que cette femme mouillait énormément, et, pendant ce temps, quelque chose se déplaça dans les buissons, puis contourna la femme, et se rapprocha de ses jambes, venant les lécher et s’y frotter. Myriam tourna la tête, conservant une main sur la taille de la son amante, puis son autre main vint caresser les cheveux violets d’une petite poule.

« Et bien, hummm... Quel est donc cet écureuil, haaa... Je suis tombée sur un club de petites perverses, hum... ?! »

Elle tira sur les cheveux de cette femme, afin de la soulever, et remua un peu son bassin, de gauche à droite.

« Lèche mon cul, ma chérie... »

Sentir la langue de cette femme sur ses collants était très excitant, oui, mais, dans l’absolu, elle préférait qu’on s’attaque à ses fesses. Elle reposa ensuite sa main sur les fesses de la femme qu’elle prenait, et reprit alors ses coups de reins, laissant cette dernière mouiller abondamment. Ses soupirs et ses gémissements étaient merveilleux, et Myriam comptait bien encore la prendre longuement... Puis elle s’attaquerait ensuite sûrement à sa copine. Elle voyait bien le genre : un couple d’exhibitionnistes s’amusant à se dissimuler dans le parc pour se lancer dans des trips voyeuristes.

Un fantasme qu’elle respectait tout à fait, cela va sans dire.

Haruna était une fille timide et soumise par nature. Si elle était suffisamment perverse pour s'exhiber nue en public, elle était en revanche du genre à se laisser faire et à rester passive, pendant que des inconnus ou sa soeur profitaient d'elle. Aussi, lorsque la futanari l'agrippa par les cheveux, elle redressa la tête en couinant, avec un regard soumis, et obéit bien vite lorsqu'elle lui demanda de s'occuper de son cul, malaxant les douces fesses, les compressant et les écartant, avant de venir lécher sa rondelle et y plonger sa petite langue gourmande, gémissant de plaisir, sa mouille coulant le long de ses cuisses.

- Hmmmm... Hmmmmmmm....

De son coté, Kyôko criait sans retenue, à chacune des pénétrations dans sa vulve juteuse. Plaquée contre l'écorce de l'arbre et une jambe relevée au dessus de l'épaule de son amante, la brune s’agrippait à elle, couinant de bien être, sa poitrine remuant au rythme des coups de reins de la futanari. Elle n'avait qu'une seule envie: agripper les seins de la rousse et les malaxer, mais elle avait peur de ne pas pouvoir se maintenir dans cette position. Alors elle patientait, attendant le moment opportun pour chevaucher la futa et agripper ses monts de chair.

- Haaaaa !! Haaaaaaaaa !! Ouiiiiiiiiiiii !!! Baise moi foooooort !!! Encore, encooooore !! Haaaaaaaaaaa !!

Myriam était méconnaissable. Depuis qu’elle avait rencontré Mélinda, Myriam était devenue bien différente. Elle était maintenant une perverse accomplie, qui, pour ses talents, avait reçu le droit d’avoir un zob’. Futanari, la jeune lycéenne adorait faire l’amour sous bien des façons étranges, et elle partait du principe que tout cela avait vraiment explosé quand Maîtresse l’avait doté d’un sexe masculin. La plus grande passion de Myriam était de se servir de sa queue, et de le faire en public, comme en ce moment. Elle prenait cette femme contre l’arbre, et sentait une langue lécher ses fesses. Très rapidement, et presque même instinctivement, Myriam avait réussi à prendre le contrôle sur les deux femmes, et elle soupira de plaisir en sentant la langue se glisser le long de ses fesses, contre sa croupe. La jeune femme en soupirait profondément, ce plaisir s’accroissant au fur et à mesure qu’elle pénétrait l’autre femme devant. Les deux étaient des sœurs, et Myriam la prenait fortement, le cul de la femme rebondissant contre l’arbre.

Ah oui, qu’est-ce qu’elle aimait ça ! Elle ignorait qui étaient ces nanas, mais les baiser ainsi était franchement magnifique. Elle embrassa la femme, roulant sa langue dans sa bouche, une main se crispant sur ses cheveux, et elle continua ses coups de reins, sa queue grosse et joufflue, se tendant dans le corps de la femme. Son membre était durci, long et élancé, douloureux et fort. Elle remuait encore plus fort, et son autre main alla se crisper sur les fesses de la femme. Elle la plaquait contre elle.

« En-Encore, haaann... ?! Ouuiii, hummm... Mes petites putes, haaa !! »

C’était si bon de la pénétrer, et elle enfonçait sa queue aussi loin que possible. Depuis qu’elle avait une verge, elle voulait toujours qu’elle soit plantée dans un corps. Chaque fois qu’elle la sortait, c’était pour l’utiliser, et Myriam le faisait en maintenant sur cette femme, le plantant joyeusement dans sa grotte humide. Elle se tortillait contre elle, l’embrassant goulûment, avant de rompre le baiser, juste pour l’entendre soupirer, et pour continuer à la prendre. Et cette petite langue qui continuait à lécher son cul... Ah, cette délicieuse langue ! Elle s’insinuait dans son corps, dans son anus, et elle adorait ça, se pinçant les lèvres en soupirant. Oh oui, la sodomie était l’une de ces choses qu’elle avait découverte avec sa Maîtresse, et, pour le dire simplement, c’était une chose dont elle était tombée profondément amoureuse.

Nul doute qu’elles n’arrêtaient pas s’arrêter là, et Myriam comptait bien faire plaisir aux deux femmes présentes.

« Allez, petite pute, hunnn... Offre-moi un orgasme, et... Aaaaahh... Je ferais couiner ta... Ta petite sodomite de sœur !! »

Oh oui, chacune à son tour ! De cette manière, il n’y aura pas de jalouses !