Informations générales :
Nom : Je dois encore en donner d'autres ?
Age : Quinze ans
Sexe : Près de deux cents
Orientation sexuelle : Équirépartie.
Description :
Pouvez vous visualiser le virus du sida ? Bien. Avez vous en tête la longueur approximative à laquelle correspond la mesure de un mètre cinquante ? Voilà, un mètre cinquante c'est le diamètre de la boule de bites. Maintenant imaginez la : couleur chair, légèrement fripée, avec de petites veines bleues ici et là. Comme un scrotum, oui. Enfin, imaginez que chacun des petit picots menaçant soit remplacé par un énorme pénis à demi turgescent, voir fièrement et totalement érigé, selon l'humeur (allez, ne faites pas les surpris, vous le sentiez venir. Vous l'attendiez. Vous l'espériez).
Voici voilà, mesdames, messieurs, la boule de bites. Une sphère de chaire élastique, se déplaçant avec lourdeur et lenteur sur ses outrageux appendices.
Ah et puis, y'a les couilles. Pour chaque bite. Deux couilles, ouai. Sans les poils, je vous épargne au moins ça.
Personnalité :
La boule de bite a une personnalité similaire à celle de la limace. J'entends par là que l'observateur extérieur en est vite rendu à la conclusion qu'elle n'en a pas. Ce qui n'est pas tout à fait faux. La boule de bites n'a pas un niveau de conscience très élevé. L'observateur attentif pourrait vaguement déduire que la boule de bites poursuit un but constant : se masturber dans tous les orifices à portée et y laisser un peu de son foutre. Il lui arrive parfois de se montrer agressive envers les humains, bien qu'il est rare qu'elle arrive à les rattraper, car son mode de déplacement en fait une créature relativement lente et peu discrète. Cela est vrai sur terrain plat ; beaucoup moins lorsque le terrain est pentu. Il lui est déjà arrivé de prendre quelque malheureux en embuscade depuis le haut d'une colline.
Origines :
Tout commença dans un laboratoire de recherche pas comme les autres, dans lequel se déroulait un projet sobrement intitulé X34_$XBITE834. Une équipe de chercheurs y menaient des expériences sur des poisson globe (également nommé fugu) ; le but de ces expériences ? Parvenir à créer une nouvelle espèce par manipulation génétique. Peu de spécimens étaient viables à la naissance, qu'ils soient immergés ou non, mais chacun des membres de l'équipe pouvait sentir qu'ils approchaient de quelque chose, et l'excitation au sein du groupe était palpable.
Ces scientifiques avaient déjà isolé de nombreux gènes, parmi d'autres espèces, et les incluaient en partie, à chaque essai, au génome du spécimen à naître. Parmi ces gênes : le gêne dit "de la grosse bite", ponctionné sur un mâle humain de race noire. Ils l'ajoutèrent à l'un de leurs spécimens (à ceux qui demanderaient "pourquoi ?" je leur ferais cette réponse évidente ; qui n'aurait pas été tenté par l'idée de donner naissance à un fugu porteur d'un mandrin de 23 cm ?).
Le résultat fut... impressionnant, car il s'en suivi la venue au monde de qui vous savez. La petite boule, alors minuscule et inoffensive, fut nourrie et protégée durant des années entières, jusqu'à devenir le monticule obscène décrit plus haut. Les consignes de sécurité étaient très strictes, et chacun avait ordre de ne jamais approcher la bête seul. Malheureusement, l'équipe comportait en son sein... une femme. Et celle-ci n'était pas indifférente aux charmes de la boule de bites. Un soir qu'elle était seule au laboratoire, le désir fut plus fort que la raison, et la belle imprudente au sexe faible se glissa dans la cage de la bête...
Malheureusement, la bête était vorace, et la pauvre ne survécu pas à la confrontation. La créature se glissa alors hors de son enclos, et partit à l'assaut de se monde inconnu...