Maudit frère insolent ! Il prenait un vilain plaisir à la faire languir, à la satisfaire tout en la frustrant... Bran connaissait le corps de Mélinda mieux que personne. Il était impossible de compter le nombre de fois que les deux vampires avaient fait l’amour ensemble. La vampire n’arrivait pas à vivre loin de lui. Elle l’aimait, aussi sincèrement qu’une femme pouvait aimer un homme, aussi follement qu’une sœur pouvait aimer son frère. Elle avait fait de lui l’homme parfait, apte à satisfaire tous ses désirs, et il en profitait. Elle savait qu’il avait autant souffert qu’elle des quelques jours d’abstinence sexuelle pendant lesquelles ils ne s’étaient pas touchés... Des jours qui avaient semblé aussi longs que des années. Mélinda avait voulu voir combien de temps elle était capable de tenir sans goûter à la chair de son frère, et elle avait vu... Dès le premier jour, elle compensait l’absence du corps de son amant en se défoulant sur ses prostituées.
Son sexe était sorti sans prévenir, une conséquence de sa frustration, ce que Bran avait parfaitement compris. Avec sa langue, il avait titillé sa vampire de sœur, lui faisant plaisir tout en la frustrant... Difficile à expliquer, mais très facile à ressentir. Le sexe était comme une escalade, une escalade du plaisir et de la frustration, les deux étant intimement et étroitement liés, gravitant autour de cette notion indiscernable de « désir ». La langue de Bran avait titillé son clitoris, mais s’était surtout concentrée sur sa chair intime, évitant de s’enrouler autour de ce bouton, le pressant et jouant avec... Jusqu’à ce que le sexe de Mélinda réponde en crachant son chibre. Bran l’avait vu venir, il l’avait senti à travers les oscillations sanguines de sa sœur, sa sœur qu’il connaissait mieux que personne au monde. Il s’était donc prudemment retiré, et, dans un soupir, Mélinda l’avait fait sortir. Son chibre pointait devant elle, déformant légèrement sa toge, en décrivant une courbe ascendante. Sa verge était glissante, trempée, couverte de mouille, et Mélinda soupirait, avachie sur son siège, comme écrasée par le désir qui montait en elle. Son souffle était précipité, ses seins lui faisaient mal, et elle baignait dans le plaisir et dans l’excitation sanguine. Que ce soit elle, Bran, ou Tyra, tous étaient excités, et, pour Tyra, cette excitation était encore plus forte, compte tenu du fait qu’elle était encore vierge.
Bran se permit de la narguer, et Mélinda sourit, en le regardant.
« Petit... Petit insolent. Je te fouetterai pour ça... Mais... Je veux que tu me suces... Hunnn... Bien fort !! »
Il était rare de voir Bran prendre de telles initiatives, et aller jusqu’à narguer sa sœur, en présence d’une invitée. Il était probablement autant en manque qu’elle, mais il savait se maîtriser. Il fallait bien reconnaître que Mélinda avait du coucher devant lui des milliers de fois, en le condamnant simplement à voir, sans même avoir la possibilité de se masturber. Elle était une petite garce avec les gens qu’elle aimait. Bran, de son côté, entreprit de lui obéir, léchant son sexe, en partant de la base, remontant lentement, le long de cette hampe humide, jusqu’à atteindre l’extrémité. Sa langue magique était terrible, et Mélinda continuait à soupirer, soumise à la langue de cet homme. La fellation avait ça de terrible que Mélinda était obligée de subir, de se laisser faire. En un sens, elle était une parfaite métaphore de l’illusion du pouvoir et du rapport ambivalent qu’il y avait entre le maître et l’esclave. Elle dominait, mais c’était Bran qui rythmait leur plaisir mutuel... Et le beau diable savait y faire. Il la léchait avec une lenteur exaspérante, durcissant encore la queue de Mélinda, qui devint roide, dure, douloureuse, tendue, prête à craquer. Tyra, qui voyait également la scène, en avait les joues rouges, en oubliant presque de masser sa Maîtresse, rêvant probablement de sucer la queue de Bran.
Enfin, ce maudit frère mutin avala tout le sexe, le gobant intégralement. Mélinda se tortilla sur place, tendant ses jambes en gémissant, redressant son corps. Ses deux mains se posèrent sur le crâne de l’homme, empoignant ses cheveux. Il avait avalé tout son vit, le bout de sa queue tapant contre sa gorge, et entreprit de lui faire une longue gorge profonde. Bran savait comment ralentir sa circulation sanguine pour limiter ses dépenses en oxygène, et ainsi pouvoir prolonger le plaisir. Il la suça alors, creusant ses joues, aspirant la mouille et la salive qui trônaient autour de cette verge, et Mélinda le laissait faire, fermant les yeux en basculant sa tête en arrière, gémissant. Tyra en profita pour suivre son inspiration, et embrassa sa Maîtresse sur les lèvres, étouffant ses gémissements.
Levant l’une de ses mains, Bran pétrit l’un des seins de la femme, ses doigts remuant sous sa toge, appuyant sur son téton, le pinçant et le pressant. Sa toge tenait bon, et Mélinda, en soupirant, sentait aussi son cul être toujours pris par le doigt de l’homme. Bran utilisait chaque partie de son terrible beau corps pour satisfaire sa sœur. Bran retirait parfois la verge des profondeurs de sa bouche pour respirer, mais recommençait ensuite. Il savait combien les gorges profondes étaient délicieuses, et il était donc tout naturel qu’il en offre à sa sœur autant que possible. Sa verge lui faisait mal, et Mélinda soupirait. Elle avait rompu le baiser, et caressa les cheveux de l’homme.
« Braannn... Haaa, Braaann !! »
Elle répétait son nom, son délicieux nom, et reporta son attention sur Tyra.
« Va... Haaaa... Le masturber... Dans... Haaaa... Dans... Dans son dos... ! »
Parler était difficile, mais Tyra comprit ce que sa Maîtresse attendait d’elle, et se positionna en conséquence. Elle alla dans le dos de Bran, et se blottit contre lui, ses seins s’enfonçant contre son corps, ses lèvres allant lui baiser la nuque. Elle savait aussi jouer de ses mains. Vierge, oui, mais pas inexpérimentée. Elle était arrivée depuis suffisamment longtemps au harem pour tout savoir sur le sexe, sans avoir encore eu la chance que sa Maîtresse la prenne. Elle avait déjà masturbé des gens, doigté, léché, et sucé... Et elle allait montrer son expertise.
« Vous... Vous êtes si beau, Maître Bran... »
Elle ronronnait contre lui, et tendit sa main gauche pour le masturber, frissonnant au contact de cette impressionnante virilité. Elle soupira, mordillant la peau de l’homme, tandis que leur Maîtresse gémissait en sentant Bran la mordiller à son tour. Les doigts de Tyra emprisonnèrent ce sexe, et elle remua de haut en bas, glissant dessus, soupirant de plaisir. Elle continuait à mouiller, ses seins remuant contre le dos de l’homme, et ses doigts, joueurs et curieux, titillèrent le gland de l’homme, soulevant son sexe, le relâchant. Elle recommença ensuite à le masturber, allant du haut vers le bas, avant d’aventurer ses doigts le long de ses testicules, les caressant et les grattant avec ses ongles. La jeune femme savait comment faire plaisir à un homme.
Son autre main ne resta pas inactive, car Tyra, saisie d’une inspiration subite, l’aventura contre les fesses de l’homme... Et enfonça son index dans son fondement. Un délicieux cul. Elle savait que sa Maîtresse prenait parfois le vampire par là, et la sodomie était une sorte de fantasme inavoué chez la jeune femme... Elle sentait l’étroitesse de ce conduit, mais ça ne l’empêchait pas de remuer son doigt, de l’enfoncer, avant de le ramener, tremblant de plaisir, gémissant dans ses oreilles.