Bacchanales [Bran Warren]

« Mes chers amis, je proclame la fête ouverte ! »

Tenant son verre à la main, une belle coupe en or remplie de sang, Mélinda la leva depuis la mezzanine sur laquelle elle juchait l’assemblée, puis en but le contenu, délicatement, ses belles lèvres glissant dessus. Le sang déferla dans sa gorge, tendre, délicieux, chaud et agréable... Le sang avait des vertus aphrodisiaques sur les vampires. Cette dernière eut droit à quelques applaudissements, et, quand elle rouvrit les yeux, qu’elle avait fermé pour apprécier la teneur de ce sang, elle vit devant elle un spectacle de débauche en cours. Ses invités, portant des toges romaines, ou des tenues de soldats, commençaient à se faire l’amour. Le banquet était terminé, et les liqueurs servies à ces derniers avaient généreusement aidé à les décoincer... Elles avaient tous un aphrodisiaque, et, avec les belles servantes qui leur remplissaient leur coupe, ils commençaient à se laisser pleinement aller. Il y avait eu plusieurs fellations pendant le repas, et, maintenant, les choses sérieuses commençaient.

C’était la célébration d’une fête religieuse, une fête consacrée aux Olympiens. Mélinda en avait profité pour organiser une bacchanale, le nom donné aux fêtes de l’Antiquité. Les convives avaient répondu présent, venant des hautes sphères ashnardiennes. Ils se prélassaient dans le plus grand salon du harem de Mélinda, un beau salon avec de longs tapis rouges, des murs avec de longs draps en soie et des alcôves. Mélinda avait préparé l’ensemble : il y avait bon nombre de matelas sur el sol, des matelas confortables et rembourrés, avec des sofas, des coussins. Le banquet avait eu lieu dans une autre pièce, et les invités s’étaient tous rendus dans ce salon... Et commençaient à se faire l’amour.

Mélinda se retourna lentement, s’écartant de la mezzanine pour aller dans la pièce. À proximité, Tyra avait la tête baissée. Elle portait d’élégants sous-vêtements noirs, mettant magnifiquement en valeur son corps. Mélinda, quant à elle, avait opté pour une toge romaine avec des sandales à lacets, et s’observa dans le miroir.

« Hum... Je dirais que ça me va plutôt bien...
 -  O-Oui, Maîtresse… »

Elle tournoya légèrement sur elle-même. Sous sa toge, elle ne portait aucune culotte. Dehors, par le biais de la mezzanine, elle pouvait entendre des cris et des soupirs. Une bacchanale se devait de durer longtemps, plusieurs jours d’affilée. Il y avait bon nombre de démons, de magiciens, et d’humains en contrebas, garantissant ainsi une fête qui durerait un certain temps. La vampire s’avança vers Tyra, et lui caressa tendrement la joue. La jeune femme, une indigène qui venait d’une île ashnardienne lointaine, rougit poliment.

Dans l’ombre, son grand-frère était là, et Mélinda se retourna vers lui, un sourire espiègle sur les lèvres.

« Ta sœur porte plutôt bien la toge romaine, non ? »

Bran ne s’était pas encore habillé, et était tout nu. Dans le dos de Mélinda, Tyra rougissait furieusement devant ce spectacle, louchant sur les pectoraux de Bran. Ce n’était pas vraiment un secret au sein du harem : Bran était un fantasme personnifié. Mélinda s’assit sur un fauteuil.

« Nous allons rejoindre la fête tout de suite, mais, d’abord, je veux être prête... Tyra, masse mes épaules. Quant à toi, Bran... J’ai besoin de ton expertise. Ces sandales me serrent un peu les pieds. Il faudrait les lécher un peu pour les détendre... »

Tout en parlant, elle avait croisé ses jambes, remuant ses doigts de pied vers l’homme.

Une bacchanale, voilà qui était bien dans le style de la soeur de Bran, ce qui était autant une occasion de faire parler de son harem et de ses esclaves que de prodiguer des plaisirs à des nobles influents. Ils étaient au minimum des dizaines, de toutes races, à avoir répondu à cette invitation d'orgie à thème, qui allait durer durant des jours entiers. Bran avait aidé à superviser une partie de l'organisation afin que Mélinda, sa soeur et surtout sa maîtresse, n'aie que le minimum à avoir à l'esprit. Le Vampire avait notamment géré l'aspect sécuritaire du harem, il avait renforcé les gardes et les patrouilles afin qu'aucun intrus ne puisse s'inviter, surtout au cours d'un événement rassemblant certaines personnalités très importantes de l'empire.
C'était autant une sauterie qu'une façon de se faire bien voir par du haut gratin, et Bran s'était assuré que tout se passerait bien pour sa soeur. Les invités auraient à manger et à boire à volonté, ainsi que des esclaves dociles pouvant satisfaire tous leurs besoins. Le banquet d'ouverture s'était terminé, et il avait été un franc succès, et à présent Mélinda donna le coup d'envoi du restant des festivités. La véritable raison pour laquelle toutes ces personnes s'étaient manifestées commença à prendre forme, des aphrodisiaques avaient été mis à foison dans la nourriture et les boissons, et bien peu de temps après, on pouvait déjà commencer à entendre les premiers ébats.

Bran lui, était dans la même pièce que Mélinda et l'une de ses récentes acquisitions, qu'il n'avait pas encore eu l'occasion d'essayer. L'esclave était belle, et elle était attirée par Bran, qui se disait intérieurement avec une pointe d'orgueil qu'il lui donnerait des raisons de l'être. Mais en l'état actuel des choses, le vampire qui était nu observait surtout sa soeur, sa divine soeur dont la beauté était sublimée dans cette tunique romaine. Le tissu cachait bien sûr ce qu'il y avait à cacher, mais son épaisseur était tout de même assez fine pour laisser deviner les formes, d'autant que Bran savait que Mélinda avait du se passer de sous-vêtements.

Ma soeur, tu as la beauté et l'allure d'une vraie impératrice.

Bran était en train de la dévorer du regard. Complèxe relation que la leur, ils partageaient le même sang, car quel lien plus solide pouvait-il exister que celui entre un frère et une soeur ? Pourtant il était esclave, mais son statut si particulier dans le coeur de Mélinda lui autorisait, dans le cadre intime, de la tutoyer. Ils s'aimaient tous les deux d'un amour incestueux et violent, mais ne se l'avoueraient jamais, tout en étant certains au fond d'eux mêmes de la réalité.
Mélinda prit place dans un fauteuil, et tandis que l'esclave se mit à lui masser les épaules, elle lui ordonna alors de venir inspecter ses sandales. Bien entendu bran s'exécuta, sortant des ombres où il s'était en partie caché, se révélant dans toute sa nudité aux deux beautés qui le regardaient. Il n'avait pas à rougir de son corps, il en était même fier.
Après quelques pas, le Vampire s'agenouilla devant sa maîtresse et glissa ses mains sur ses jambes, au niveau de ses sandales dont les lanières lui remontaient jusqu'aux genoux.
En suivant le tracé de ces lanières, le vampire fit usage de ses lèvres et de sa langue pour les "inspecter", mais l'aspect le plus grisant de cet acte était le contact de la peau de sa soeur. Bran, même après toutes ces années, ne se lassait pas de ça. L'inceste qui était un des ciments de leur relation ne cessait de raviver une flamme qui aurait pu s'éteindre, Mélinda était sa soeur, sa petite soeur, et lui le grand frère qui la protégeait et l'aimait au point d'en être un vrai fanatique. Et cela se ressentait dans la façon, religieuse, qu'il avait de lui embrasser les pieds et les jambes, il était en adoration devant elle depuis le jour où il était devenu amnésique. Bran levait régulièrement le regard vers celui de Mélinda pour le croiser, capter au passage la vision de son visage, et parfois quelques expressions trahissant le plaisir qu'il lui prodiguait.

Bran, oh Bran, Bran, Bran ! Il était son esclave, oui, mais il était tellement plus que ça ! Quand elle le vit approcher, quand elle vit son corps s’illuminer à la lueur des bougies, Mélinda ressentit ce petit pincement dans son cœur, ce frisson de plaisir, et elle s’en mordilla les lèvres, serrant ses doigts sur les accoudoirs du fauteuil. Elle l’aimait, oui. Indiscutablement, et l’amour qu’elle ressentait envers lui était bien plus fort que celui qu’une sœur se devait normalement de ressentir pour son frère. Il était son frère, mais aussi son amant, celui qui la connaissait depuis toujours. Elle l’avait rééduqué pendant des années, et d’aucuns auraient pu croire que c’était sa haine qui la motivait à agir... Mais c’était faux. C’était incomplet. Elle avait haï son père, oui, mais, concernant Bran, la haine se mélangeait à un autre sentiment... À l’incompréhension, à l’envie que son frère veille sur elle. Elle l’avait rééduqué pour qu’il fasse ce rôle, et il avait expié ses péchés. L’homme qui se tenait devant elle, maintenant, était sonhomme, son éternel amant, son grand-frère protecteur.

Il avait soigneusement organisé toute la soirée, suppléant Mélinda à la perfection. Il avait renforcé la protection, vérifié toutes les brèches potentielles, motivé les troupes. Mélinda le récompensait en lui offrant le corps, et, ce soir, elle lui offrirait Tyra. La jeune femme était une petite timide, qui était encore vierge, et qui avait le béguin pour Bran. Mélinda l’avait noté, et elle savait aussi que Bran l’aimait bien. Lire dans le cœur de Bran était difficile, car ses véritables sentiments se mélangeaient à une telle soumission qu’il arrivait sans peine à les masquer. Il avait ainsi un côté très ténébreux, qui plaisait énormément aux petites protégées de la vampire... Et il méritait bien une récompense pour tout ce qu’il avait fait, pour son travail.

« Impératrice..., soupira Mélinda en penchant la tête en oreille, laissant Bran se rapprocher. Impératrice Mélinda. Ça sonne plutôt bien. Si l’Empereur d’Ashnard était là, j » suis sûre qu’il adorerait me prendre... Et, ma foi, la verge impériale doit être à la hauteur de l’Empire. N’est-ce pas, Tyra ?
 -  O-Oui, Maîtresse... »

Elle massait tendrement les épaules de Mélinda, qui reporta ensuite son attention sur Bran. Son grand-frère pouvait accomplir tous les fantasmes que Mélinda voulait, avec toujours al même passion dedans. Il l’aimait, il la vénérait, elle était son soleil, l’étoile de ses nuits, et elle adorait ça. Elle se mordilla les lèvres, sentant à nouveau le plaisir monter en elle. Sa langue glissait le long de ses lanières, en profitant pour toucher sa peau, provoquant sur son corps de petits frissons électriques. Bran était le mieux placé pour savoir à quel point Mélinda était fétichiste, et à quel point elle adorait qu’on lui baise les pieds.

Il savait y faire, et il levait son regard vers elle, ses beaux yeux bleus l’observant. Oh, elle pouvait se noyer dans ces yeux-là ! De ce que Mélinda savait, les Warren avaient toujours été très beaux, mais eux deux... Ah, il n’y avait pas à dire, Bran était d’une beauté incroyable ! Son amant léchait ses pieds avec une patience exquise, et elle savait qu’il la faisait patienter un peu... Il cherchait à l’impatienter, la titillant, l’excitant doucement. Il était heureux, elle le voyait, et elle sourit, remuant ses doigts de pied, les frottant contre son menton imberbe. Il remontait jusqu’à ses genoux, avant de redescendre, s’attardant sur ses lanières, la faisant soupirer. Les griffes de Mélinda s’enfonçaient contre les accoudoirs de son fauteuil, et Tyra, derrière elle, rougissait encore plus, commençant doucement à mouiller.

« Hum... Tu aimes ça, hein, Bran, lécher les pieds de ton Impératrice ? Caresser son beau corps ? Ne suis-je pas magnifique, Tyra ?
 -  Oui, Maîtresse... Somptueuse... »

Sourire ravi sur les lèvres de l’intéressée. Elle remonta son autre pied, le glissant, et le bout de sa sandale vint frotter le sexe de l’homme. Ses ongles glissèrent sur sa verge mise à nu. Mis à part ses poils pubiens, Bran était magnifiquement imberbe. Elle savait qu’il s’entretenait sur ce point, car sa petite sœur voulait que sa peau soit aussi lisse que celle d’un peau de bébé. Elle le voulait parfait, tout simplement. Le talon de sa sandale vint ainsi masturber la verge de l’homme, remontant lentement le long de sa hampe.

« Tu aimes ça, mon chéri, hein ? Que ton Impératrice te prenne ainsi... J’ai tellement envie de sentir ta queue en moi... Mais, pour l’heure, c’est ta langue que je veux... Je sais que tu le sens... À quel point tu me fais bouillonner... Lèche-moi, mon chéri... Lèche-moi !! »

Elle était aussi en train de mouiller, et l’avantage de sa tunique est qu’il était très facile d’avoir accès à son intimité... Elle voulait sentir sa langue dans son sexe, et que lui-même goûte à sa mouille, à son jus intime, à ce nectar sacré.

C’était le premier cadeau qu’elle comptait lui offrir.

L'amour incestueux, nombreux étaient ceux qui considéraient ça comme étant le plus grand des tabous, de telles relations étaient prohibées dans bien des sociétés, mais dans le cas de Bran et Mélinda, l'argent et l'influence de cette dernière la mettait au dessus des jugements. Faire l'amour à sa soeur, son propre sang et sa propre chair, réveillait toujours en lui quelque chose de spécial. Bran était généralement du genre à s'appliquer à chaque fois qu'il prenait un ou une partenaire, mais lorsqu'il était avec sa soeur les choses étaient autrement plus intenses. Cet interdit qu'ils bravaient à chaque fois rendait leurs accouplements plus forts, ils ne manquaient jamais des occasions de se rappeller en plein acte le lien de famille qui les unissait.
Bran se perdit très rapidement dans les jambes de sa soeur, à la peau douce et imberbe, c'était un délice que de la sentir sous sa langue et ses lèvres. Il n'en fallait pas pus que ça pour que la contenance dont Bran avait fait preuve jusque là s'évanouisse, et qu'il se mette à bander comme un taureau. De par sa nature vampirique qui accroissait ses sens, Bran ressentait bien plus de choses que ce qu'un humain normal aurait pu percevoir dans sa situation. Le rythme cardiaque et sanguin de sa soeur, ainsi que de l'esclave qui, dans son dos, était en train de lui masser les épaules. Les regards des deux jeunes femmes étaient posées sur lui, et cela le stimulait à continuer, car quelle meilleure motivation que de savoir que l'on fait de l'effet à deux belles femmes ? La préoccupation principale de Bran était Mélinda, même si l'autre esclave était tout à fait à son goût, une succube avec tous ses pouvoirs n'aurait pu dérober la place de Mélinda dans l'esprit du Vampire.
Il ne répondit pas aux interrogations de Mélinda, qui étaient de toutes façons d'avantage à destination de la jeune Tyra plutôt qu'à la sienne, mais surtout il laissait ses actes parler pour lui. La façon quasi religieuse dont il s'occuppait des jambes de sa maîtresse étaient des réponses bien plus concrètes que des mots pour honorer sa beauté. Il léchait sa peau en laissant de légers sillons de salive derrière lui, et ses mains expertes massaient ses mollets ainsi que ses cuisses, tant et si bien que son odorat développé lui fit rapidement parvenir des senteurs intimes très proches, et qu'il connaissait depuis le temps très bien.

C'est à ce même moment que la soeur de Bran décida de teaser quelque peu son frère elle aussi, l'un de ses pieds remonta sur la verge tendue de l'homme, la caressant avec la peau, puis avec le talon pointu de la sandale. Bran sentit des frissons le parcourir, un mélange de douleur et de plaisir pervers à sentir le talon sur son sexe. Une autre personne, moins expérimentée, se serait contentée de le faire souffrir ainsi, mais Mélinda savait justement doser la pression à mettre pour que son frère puisse laisser libre cours à ses plaisirs de sensations fétichistes. Sa verge tressautait légèrement tandis que Mélinda sépara ses cuisses afin de lui laisser un accès, un plein accès, l'odeur de cyprine envahit alors ses narines, et autant pour son propre plaisir que pour exciter sa soeur, Bran s'humidifia ostentiblement les lèvres en lui lançant un regard pervers.

Tu es effectivement toute chaude ma belle, c'est le rôle d'un grand-frère que de s'assurer du bonheur de sa petite soeur après tout.

Bran glissa alors ses mains le long de l'intérieur des cuisses de Mélinda, effectuant une pression pour l'amener à écarter ses cuisses suffisamment. La Vampire ne portait aucun sous-vêtement, juste sa robe qui était faite pour permettre de se glisser aisément dessous, et c'est ce que Bran fit. Il prit un malin plaisir à glisser sa tête sous les pans de la robe, afin que Mélinda ne puisse pas le voir effectuer les derniers centimètres séparant sa bouche de son intimité qu'il vit, luisante de cyprine. Il se jeta alors dessus comme un affamé, ses lèvres entrant en contact avec l'intimité de sa soeur tandis que sa langue elle se fit exploratrice, il nettoya d'abord les lèvres intimes de sa soeur avant de s'enfoncer plus profondément en elle. Quand à ses mains, il les glissa sous les fesses de sa belle, les empoignant tout en en profitant pour glisser un index dans son cul. Bran lui offrit un cunnilingus vorace, alternant les positions de sa langue entre le bouton d'amour et l'intérieur de son antre humide, il buvait son nectar intime, et n'en laisserait pas une goutte s'échapper.

Chez les vampires, l’inceste n’avait pas du tout la même signification que les autres espèces. Un vampire partageait naturellement son sang avec ceux et celles qu’il estimait suffisamment dignes pour rejoindre son clan. En tant également compte du taux de fécondité très important chez les vampires, le sexe n’était perçu comme rien d’autre qu’une manière de se faire plaisir entre deux êtres. L’inceste était même perçue comme une relation sexuelle normale. C’était l’inverse qui serait effrayant ! Mélinda aimait Bran, parce qu’il partageait son sang, parce qu’il était de sa famille, parce qu’il était beau, parce que c’était un amant formidable... Bref, elle ne manquait pas de raisons pour avoir envie de coucher avec lui, et elle ne ressentait aucune gêne. Pas la moindre. Coucher avec Bran en public était son plus grand bonheur. Oh, qu’il était doué ! Il la faisait mouiller rien qu’en léchant ses jambes, se débrouillant avec un tel talent que c’en était à peine croyable ! Aussi beau qu’efficace, son bel amant remonta le long de ses jambes, et posa ses mains sous la toge, écartant les jambes de sa sœur, délivrant l’accès à son antre intime, à sa petite intimité chaude et tendre, humide, n’attendant qu’un homme pour la satisfaire.

Elle soupira en entendant Bran parler, son visage remonta le long de ses jambes. Sa langue glissait sur la peau magnifique de la vampire, qui avait brièvement basculé la tête en arrière, sous l’effet du plaisir. Une vague électrique fit frissonner tout son corps, faisant ressortir ses beaux ongles, qui s’enfoncèrent dans les accoudoirs de son fauteuil rembourré. La tête de Bran disparut ensuite sous sa toge, et sa langue caressa son aine, puis ses lèvres intimes... Ses joues se pressèrent contre l’intérieur de ses cuisses, et Mélinda releva légèrement les jambes, les ramenant très légèrement vers elle. La tête de Bran gênait, mais elle voulait coincer son visage contre elle.

« Ouuuiii... Hum-hummm !! »

La vampire se tortillait légèrement sur sa chaise, de droite à gauche. Bran léchait son intimité, sa langue magnifique s’enfonçant en elle, et il savait y faire. Ah, le petit insolent ! Elle sentit ses mains filer sous son corps, profitant des déhanchements de sa sœur, afin de pétrir ses fesses, s’écartant ensuite pour éviter qu’elles ne soient coincées entre la peau de sa sœur, et le fauteuil. Ses mains fermes, des mains que Mélinda avait léché, sucé, et qui avaient brisé des nuques, frappé des corps, mutilé et torturé ses ennemis, pétrissaient ses fesses. Il ne tremblait pas, et, pourtant, elle sentait son érection. Tout comme luis entait le plaisir de sa sœur, elle sentait sa concentration sanguine s’accroître à hauteur de son bassin, durcissant sa verge, la faisant pointer en l’air. La langue de Bran titillait son clitoris, appuyant précisément dessus, avant de se retirer, léchant ses parois, recueillant sa mouille, puis revenant à l’assaut.

Son délicieux amant enfonça alors un doigt dans le cul de Mélinda, glissant ce dernier dans son fondement, et le remua rapidement. Mélinda poussa un gémissement en se tortillant sur place, amenant Tyra à se mordiller les lèvres. Sa Maîtresse faisait lécher le minou chez elle, et elle en tremblait sur place, peinant à se retenir. Ses mains tremblaient lentement sur son corps, et elle commençait, elle aussi, à mouiller. Combien de fois avait-elle imaginé, en se couchant, le corps de Bran la chevaucher ? Elle était encore vierge, mais pas ignare du sexe. Seule sa Maîtresse pouvait disposer de sa virginité, et, depuis qu’elle avait vu Bran, Tyra s’imaginait prise entre lui et sa sœur, entre celle qu’elle considérait comme sa Maîtresse, et celui qu’elle voyait comme son Maître. Mélinda avait développé son voyeurisme, en la forçant à voir leurs ébats sexuels. Elle avait vu Bran prendre Mélinda en levrette, claquant ses fesses, et elle avait mouillé comme la pire des catins. Là, en ce moment, elle tremblait sure place, sa respiration s’accélérant précipitamment.

La main de Mélinda serra les beaux cheveux de Bran, et elle continuait à remuer lentement, soupirant et gémissant de plaisir, des gémissements délicieux qui remplissaient toute la pièce. Se faisant plus intrusives, les délicieuses mains de Tyra se rapprochaient de ses joues, glissant le long de sa nuque, un endroit sensible, faisant encore gémir Mélinda, qui plongeait dans le plaisir, ne pensant à rien d’autre, peinant à réunir ses pensées, à réfléchir consciemment. Son corps tremblait de plaisir, tandis que les minutes filaient... Et le plaisir, en montant, amena Mélinda à faire jaillir des profondeurs de son sexe trempé un autre sexe...

Sa verge pointa, et heurta le nez de Bran, toute tendue, trempée, recouverte de sa mouille.

« Ooooohhh, mon chéri, regarde ce que tu me fais faire, hummm !! Je n’aurais pas du me priver de ton corps et de ta délicieuse langue pendant si longtemps... Allez, mon beau, tu sais ce qu’il te reste à faire, maintenant... »

Elle voulait qu’il la suce... Ce que, là encore, Bran savait faire à la perfection.

Car il était son grand-frère adoré.

Il faisait chaud, là dessous. La tête intégralement recouverte par les pans pourtant courts de la robe de Mélinda, Bran se trouvait dans un carcan de chair, entre les deux cuisses de sa soeur que cette dernière remuait. Le vampire avait bien évidemment le visage fourré dans son entrejambe, le bas surtout contre son intimité, sa langue explorait les endroits intimes et sensibles de Mélinda comme il savait bien le faire à force. Il la connaissait, savait quelle pression effectuer sur son clitoris avec la langue, à quelles vitesses la faire rouler dessus, et quand il lui fallait changer de position pour aller lécher l'intérieur de son vagin. Le majeur qu'il était parvenu à enfoncer dans son cul n'était que la cerise sur le gâteau, Bran savait à quel point Mélinda aimait qu'on la sodomise, et ce doigt dans son orifice serré était juste une promesse de choses à venir. Il allait la baiser, tout d'abord car cela faisait un moment que les deux vampires n'avaient pas eu l'occasion de faire l'amour, du fait d'occupations respectives, mais aussi car sa soeur ne demandait que ça. Si il arrivait parfois à Mélinda d'avoir quelques pulsions plus "romantiques", douces, son principal intérêt résidait dans le sexe violent, car elle était une vampire et en tirait le plus de plaisir car elle pouvait le supporter. Bran étant affligé de la même condition qu'elle, il était à même de lui donner pleine satisfaction, d'autant qu'il partageait également cette attirance pour les accouplements bestiaux, sauvages, faire crier ses partenaires dans un subtil mélange de douleur et de plaisir était son petit plaisir à lui.

Mais pour le moment, ce n'était que les préliminaires, et Bran qui savait aussi se montrer doux quand il le fallait, faisait ici preuve de douceur avec sa langue et ses lèvres. Il aurait pu montrer d'avantage d'énergie dans ce cunni, mais comme il n'avait pas eu l'occasion de goûter à sa soeur depuis des semaines, il se "vengeait" à sa manière, ce devait être frustrant pour Mélinda qui savait qu'il pouvait se montrer plus énergique, mais d'un autre côté Bran faisait parfaitement son travail, et posait donc juste le doigt de pieds sur la limite à ne pas franchir.
Malgré sa condition d'esclave, la relation particulière qu'il entretenait avec Mélinda en sa qualité de grand frère lui donnait, comme par exemple à cet instant, de plus grandes marges de manoeuvre, le simple fait qu'il soit autorisé à la tutoyer dans un cadre privé était une preuve à elle seule que Bran était à part. Comment pouvait-il en être autrement par ailleurs ? Bran du temps de sa condition humaine était déjà un beau spécimen, mais sa condition vampirique et les années de tortures avaient fini par le transformer. Des muscles imposants sans être trop développés, un corps presque imberbe qui ne subissait pas les ravages du temps, un visage presque androgyne aux contours très lisses, et une virilité qui n'était pas en reste. C'était donc avec l'assurance d'un amant certain de ses capacités qu'il dévorait l'intimité de sa soeur, qui malgré sa position dominante, ne pouvait guère que subir les délicieux assauts de la langue de Bran. Ce dernier était tout concentré sur sa tâche, n'apportant pas encore de vraie importance à l'esclave qui les accompagnait, même si il sentait que cette dernière fantasmait de se faire prendre par lui, ce qui ne fit rien pour dégonfler sa fierté intérieurement.
De longues minutes défilèrent, retardant d'autant leur venue à la fête parmi les autres convives, mais cette fête n'avait été finalement qu'un prétexte pour que Mélinda puisse se libérer d'autres obligations, et pour que la soeur et le frère se retrouvent. Bran sentit au bout d'un moment une puissante montée de sang au niveau du bassin de Mélinda, et sachant très bien ce dont il s'agissait, il se retira au dernier moment quand il avait senti le sexe masculin de sa soeur sortir de son intimité. Mélinda était une hermaphrodite, et ce depuis sa transformation en vampire il y a des siècles de ça. Bran lui...et bien n'était pas gêné par cela, vu qu'il trouvait son plaisir aussi bien auprès d'une femme que d'un homme.
Il releva les pans inférieurs de la robe de Mélinda, afin de dégager sa verge palpitante, trempée de cyprine, qui était sortie sans vraiment prévenir, un signe que sur ce coup Mélinda s'était laissée avoir par son propre désir. Désireux de titiller sa soeur, Bran approcha le bout de son nez de son sexe, et le fit se promener sur la hampe de chair, qu'elle lui ordonna à demi mots de sucer.

Voilà ce qui arrive, ma belle, quand on s'éloigne trop longtemps de son grand frère. Là...je vais en prendre soin maintenant.

Sa voix suave et envoûtante, doublée d'un sourire pervers, fut le prélude au déplacement du visage de Bran. Il était arrivé à la base du sexe de Mélinda, et sa langue sortit pour se poser dessus. Lentement, il entama l'ascencion vers le sommet, un bruit de frottement humide l'accompagnant jusqu'a ce qu'il arrive au gland. Il ouvrit alors d'avantage sa bouche, et se positionna pour gober son sexe. Bran ne fit alors pas attendre sa soeur, et il s'abaissa de sorte à ce que l'intégralité de la verge disparaisse entre ses lèvres. Ayant pris une profonde inspiration au préalable, sa condition de vampire lui permettait de rester plus longtemps sans air, ce qui dans le cadre de gorges profondes, se montrait plutôt pratique. Bran se mit à la sucer, ses joues creusées notaient qu'il aspirait l'air afin d'augmenter la pression contre la verge, et augmenter cette sensation de succion, dont les bruits humides prirent le pas sur tout autre son dans la pièce. De l'une de ses mains, Bran n'avait alors toujours pas cessé de doigter le cul de sa soeur, qu'il enfonçait fermement. Son autre main, libre elle, il la remonta sous la robe de Mélinda, et atteignit rapidement l'un de ses seins qu'il se mit à mouler dans sa paume. Les yeux fermés, Bran remuait sa tête de haut en bas, mais conservait longuement la verge de Mélinda dans sa gorge, sa langue elle roulait dessus et il allait parfois même jusqu'à lui mordiller son sexe.

Maudit frère insolent ! Il prenait un vilain plaisir à la faire languir, à la satisfaire tout en la frustrant... Bran connaissait le corps de Mélinda mieux que personne. Il était impossible de compter le nombre de fois que les deux vampires avaient fait l’amour ensemble. La vampire n’arrivait pas à vivre loin de lui. Elle l’aimait, aussi sincèrement qu’une femme pouvait aimer un homme, aussi follement qu’une sœur pouvait aimer son frère. Elle avait fait de lui l’homme parfait, apte à satisfaire tous ses désirs, et il en profitait. Elle savait qu’il avait autant souffert qu’elle des quelques jours d’abstinence sexuelle pendant lesquelles ils ne s’étaient pas touchés... Des jours qui avaient semblé aussi longs que des années. Mélinda avait voulu voir combien de temps elle était capable de tenir sans goûter à la chair de son frère, et elle avait vu... Dès le premier jour, elle compensait l’absence du corps de son amant en se défoulant sur ses prostituées.

Son sexe était sorti sans prévenir, une conséquence de sa frustration, ce que Bran avait parfaitement compris. Avec sa langue, il avait titillé sa vampire de sœur, lui faisant plaisir tout en la frustrant... Difficile à expliquer, mais très facile à ressentir. Le sexe était comme une escalade, une escalade du plaisir et de la frustration, les deux étant intimement et étroitement liés, gravitant autour de cette notion indiscernable de « désir ». La langue de Bran avait titillé son clitoris, mais s’était surtout concentrée sur sa chair intime, évitant de s’enrouler autour de ce bouton, le pressant et jouant avec... Jusqu’à ce que le sexe de Mélinda réponde en crachant son chibre. Bran l’avait vu venir, il l’avait senti à travers les oscillations sanguines de sa sœur, sa sœur qu’il connaissait mieux que personne au monde. Il s’était donc prudemment retiré, et, dans un soupir, Mélinda l’avait fait sortir. Son chibre pointait devant elle, déformant légèrement sa toge, en décrivant une courbe ascendante. Sa verge était glissante, trempée, couverte de mouille, et Mélinda soupirait, avachie sur son siège, comme écrasée par le désir qui montait en elle. Son souffle était précipité, ses seins lui faisaient mal, et elle baignait dans le plaisir et dans l’excitation sanguine. Que ce soit elle, Bran, ou Tyra, tous étaient excités, et, pour Tyra,  cette excitation était encore plus forte, compte tenu du fait qu’elle était encore vierge.

Bran se permit de la narguer, et Mélinda sourit, en le regardant.

« Petit... Petit insolent. Je te fouetterai pour ça... Mais... Je veux que tu me suces... Hunnn... Bien fort !! »

Il était rare de voir Bran prendre de telles initiatives, et aller jusqu’à narguer sa sœur, en présence d’une invitée. Il était probablement autant en manque qu’elle, mais il savait se maîtriser. Il fallait bien reconnaître que Mélinda avait du coucher devant lui des milliers de fois, en le condamnant simplement à voir, sans même avoir la possibilité de se masturber. Elle était une petite garce avec les gens qu’elle aimait. Bran, de son côté, entreprit de lui obéir, léchant son sexe, en partant de la base, remontant lentement, le long de cette hampe humide, jusqu’à atteindre l’extrémité. Sa langue magique était terrible, et Mélinda continuait à soupirer, soumise à la langue de cet homme. La fellation avait ça de terrible que Mélinda était obligée de subir, de se laisser faire. En un sens, elle était une parfaite métaphore de l’illusion du pouvoir et du rapport ambivalent qu’il y avait entre le maître et l’esclave. Elle dominait, mais c’était Bran qui rythmait leur plaisir mutuel... Et le beau diable savait y faire. Il la léchait avec une lenteur exaspérante, durcissant encore la queue de Mélinda, qui devint roide, dure, douloureuse, tendue, prête à craquer. Tyra, qui voyait également la scène, en avait les joues rouges, en oubliant presque de masser sa Maîtresse, rêvant probablement de sucer la queue de Bran.

Enfin, ce maudit frère mutin avala tout le sexe, le gobant intégralement. Mélinda se tortilla sur place, tendant ses jambes en gémissant, redressant son corps. Ses deux mains se posèrent sur le crâne de l’homme, empoignant ses cheveux. Il avait avalé tout son vit, le bout de sa queue tapant contre sa gorge, et entreprit de lui faire une longue gorge profonde. Bran savait comment ralentir sa circulation sanguine pour limiter ses dépenses en oxygène, et ainsi pouvoir prolonger le plaisir. Il la suça alors, creusant ses joues, aspirant la mouille et la salive qui trônaient autour de cette verge, et Mélinda le laissait faire, fermant les yeux en basculant sa tête en arrière, gémissant. Tyra en profita pour suivre son inspiration, et embrassa sa Maîtresse sur les lèvres, étouffant ses gémissements.

Levant l’une de ses mains, Bran pétrit l’un des seins de la femme, ses doigts remuant sous sa toge, appuyant sur son téton, le pinçant et le pressant. Sa toge tenait bon, et Mélinda, en soupirant, sentait aussi son cul être toujours pris par le doigt de l’homme. Bran utilisait chaque partie de son terrible beau corps pour satisfaire sa sœur. Bran retirait parfois la verge des profondeurs de sa bouche pour respirer, mais recommençait ensuite. Il savait combien les gorges profondes étaient délicieuses, et il était donc tout naturel qu’il en offre à sa sœur autant que possible. Sa verge lui faisait mal, et Mélinda soupirait. Elle avait rompu le baiser, et caressa les cheveux de l’homme.

« Braannn... Haaa, Braaann !! »

Elle répétait son nom, son délicieux nom, et reporta son attention sur Tyra.

« Va... Haaaa... Le masturber... Dans... Haaaa... Dans... Dans son dos... ! »

Parler était difficile, mais Tyra comprit ce que sa Maîtresse attendait d’elle, et se positionna en conséquence. Elle alla dans le dos de Bran, et se blottit contre lui, ses seins s’enfonçant contre son corps, ses lèvres allant lui baiser la nuque. Elle savait aussi jouer de ses mains. Vierge, oui, mais pas inexpérimentée. Elle était arrivée depuis suffisamment longtemps au harem pour tout savoir sur le sexe, sans avoir encore eu la chance que sa Maîtresse la prenne. Elle avait déjà masturbé des gens, doigté, léché, et sucé... Et elle allait montrer son expertise.

« Vous... Vous êtes si beau, Maître Bran... »

Elle ronronnait contre lui, et tendit sa main gauche pour le masturber, frissonnant au contact de cette impressionnante virilité. Elle soupira, mordillant la peau de l’homme, tandis que leur Maîtresse gémissait en sentant Bran la mordiller à son tour. Les doigts de Tyra emprisonnèrent ce sexe, et elle remua de haut en bas, glissant dessus, soupirant de plaisir. Elle continuait à mouiller, ses seins remuant contre le dos de l’homme, et ses doigts, joueurs et curieux, titillèrent le gland de l’homme, soulevant son sexe, le relâchant. Elle recommença ensuite à le masturber, allant du haut vers le bas, avant d’aventurer ses doigts le long de ses testicules, les caressant et les grattant avec ses ongles. La jeune femme savait comment faire plaisir à un homme.

Son autre main ne resta pas inactive, car Tyra, saisie d’une inspiration subite, l’aventura contre les fesses de l’homme... Et enfonça son index dans son fondement. Un délicieux cul. Elle savait que sa Maîtresse prenait parfois le vampire par là, et la sodomie était une sorte de fantasme inavoué chez la jeune femme... Elle sentait l’étroitesse de ce conduit, mais ça ne l’empêchait pas de remuer son doigt, de l’enfoncer, avant de le ramener, tremblant de plaisir, gémissant dans ses oreilles.

Pauvre soeurette qui avait commis une erreur, celle de croire qu'elle pouvait se passer du corps de son grand frère aussi longtemps. Quand bien même Bran mettait à présent toute son énergie à lui offrir une fellation digne de ce nom, cela ne semblait pas encore vraiment l'appaiser, le plaisir devenant si grand qu'il en devenait presque frustrant, la montée avant la jouissance était devenue une vraie torture.
Mais Mélinda n'était pas la seule à souffrir dans cette histoire incestueuse. Bran, si il avait bien entendu couché avec de multiples femmes, n'arrivait jamais à en trouver une qui pouvait remplacer sa sœur lorsque cette dernière décidait de se passer de lui quelques jours. Son sexe lui faisait un mal de chien, et il avait de furieuses envies de le planter dans sa sœur, de la pénétrer et de lui faire l'amour. Difficile à exprimer était leur relation. Maîtresse et soumis, mais il arrivait que les rôles s'échangent dans l'intimité lorsque Mélinda le voulait, ils étaient également frères et sœurs avec un lourd passif, mais dont Bran ne se souvenait plus.
Il ne restait en lui plus qu'une dévotion sans faille envers Mélinda, et un amour passionné, violent, le fait qu'ils partagent le même sang, qu'elle soit sa petite sœur ne faisait qu'amplifier le caractère unique de leur relation.

Alors il la suçait, parce qu'il était amoureux d'elle à sa façon, et parce qu'elle était sa sœur. Inlassablement il gardait le sexe de Mélinda dans sa bouche, les va et viens qu'il faisait étaient courts mais rapides, et surtout écourtés par le fait qu'il conservait la quasi totalité de la verge de Mélinda dans sa bouche. Il la suçait, autant par ses joues qu'il creusait, que par les muscles de sa gorge qu'il se forçait à contracter à intervalles réguliers. Plus il faisait ça, et plus Mélinda approchait du point de rupture, et plus paradoxalement cela devenait une épreuve pour elle.
Bran le sentait, non seulement par les tressautements de ce sexe, mais aussi car il connaissait sa sœur sur le bout des doigts. Pas une seule de ses réactions, de ses frémissements, de ses gémissements ne lui échappaient, et elle était aussi désespérée que lui qu'ils puissent enfin s'accoupler.
Tyra de son côté, obéit aux ordres que Mélinda peina à lui donner, et allait faire de la vie de Bran encore plus un enfer. Oh elle était douée, pour une vierge, la façon dont elle lui caressait son sexe dur comme le roc indiquait bien qu'elle était une merveilleuse salope. Puis elle glissa un doigt dans on cul, titillant au passage dangereusement sa prostate, ce qui en prime arracha des sensations délicieuses à Bran qui devait faire tout son possible pour ne pas jouir sur le sol. Aucun son ne pouvait s'échapper de sa bouche, en l'état actuel des choses, mais il se devait de faire jouir sa sœur avant que lui même ne le puisse.
Il passa alors à la vitesse supérieure, ses va et viens augmentèrent en intensité, il remontait plus haut pour redescendre le long de son vit avec la même rapidité, il enfonça un deuxième doigt dans le cul de Mélinda qu'il n'avait jamais cessé de doigter, et son autre main pressait frénétiquement les seins de Mélinda. Tout était bon pour intensifier le plaisir de sa petite sœur, pour la faire jouir, lui était plus que prêt à recevoir sa semence, et seulement après ça il pourrait cracher la sienne.

Hum, voir un homme faire une fellation, n’était-ce pas un spectacle magnifique ? Cet acte, d’habitude réservé aux femmes, était ici magnifiquement tenu par son grand-frère adoré... Qui, en plus de la sucer, s’en sortait très bien. Sur ce point, il fallait bien avouer que Mélinda était pour une égalité des sexes dans un traitement sexuel. Un homme qui aimait sodomiser des femmes devait aussi aimer être sodomisé... Autrement, ce n’était pas juste, et même elle, malgré sa position de dominatrice et supérieure, aimait aussi se sentir dans la peau de la jeune femme fragile, de la soumise violée et honteusement abusée par un homme dominateur. Bran en savait quelque chose, car, à chaque fois qu’il s’agissait d’être violent contre Mélinda, elle se tournait généralement vers lui. Pour l’heure, il était dans le rôle du petit soumis pervers, un rôle qu’il maîtrisait aussi bien que celui de dominateur cruel. Sa bouche remuait le long de son sexe, l’avalant, l’engloutissant, et tout le corps de Mélinda était électrisé par le plaisir.

L’une de ses mains continuait à tendrement caresser sa tête, glissant le long de ses beaux cheveux, et elle remua son bassin de gauche à droite, accompagnant ainsi les mouvements des doigts de son frère dans ses fesses.

« Braaan, haaaannn... Tu... Tue s si… Si vilaaaaiiinnnannhhh !! »

La fin de sa phrase ne voulait pas dire grand-chose, mais elle était tellement excite de refaire l’amour avec son frère. Parfois, il fallait savoir se priver volontairement de plaisir, encourager la frustration, afin que le plaisir soit encore plus fort. Elle sentait que Bran se vengeait un peu, que ce soit dans la manière dont il triturait ses fesses, ou dont il suçait énergiquement sa queue. Un être humain normal, un vulgaire amant, n’aurait pas su faire la différence, mais eux deux couchaient tellement longtemps qu’elle le connaissait maintenant par cœur. Il avait beau lui être totalement dévoué, Bran avait encore sa propre volonté... Et il était tellement beau que Mélinda pouvait tout à fait le laisser faire comme il l’entendait. Il fallait bien dire que, avec Bran, elle perdait ses moyens, pouvant tour à tour se montrer aussi agréable qu’une petite poupée et aussi cruelle que la pire des monstres.

Dans le dos de Bran, Tyra se faisait plaisir, se frottant contre lui, embrassant sa nuque, continuant à remuer ses doigts dans ses fesses. Elle rougissait de plaisir, mais aussi un peu de honte, peinant à croire que faire un acte aussi dégradant puisse être... Aussi excitant ! Elle était encore vierge, après tout, mais coucher avec Bran était son grand fantasme... De fait, elle ne pouvait pas rêver mieux que d’être avec ceux qu’elle voyait comme son Maître et sa Maîtresse, et ce même si, au sein du harem, Bran était à un rang inférieur que celui de sa Maîtresse. Et puis, quand bien même elle trouvait Maîtresse Mélinda belle, Maître Bran, lui, avait un véritable corps d’Apollon, un corps qui l’avait amené à se masturber plusieurs fois dans son lit en imaginant le beau vampire pâle venir la violer pendant son sommeil, mordant sa nuque tout en enfonçant son sexe dans... Ah ! Voilà ! Rien que d’y repenser, elle recommençait à mouiller, et elle se pencha en avant, ses seins venant effleureur son dos, sa bouche venant embrasser la nuque de l’homme, ses deux doigts remuant plus rapidement dans ses fesses, d’avant en arrière. Doigter le cul d’un homme, c’était un beau fantasme qui était en train de s’accomplir. Surtout celui de cet homme !

« Mmmmhhh-hhhhmmmm... Vous doigter me fait mouiller ma culotte, Maître Bran, haaaannn... Tout comme toucher votre... Votre corps magnifique. »

De tels propos obscènes la faisaient rougir, mais c’était pourtant ce qu’elle faisait, usant de ses seins pour les enfoncer contre ce dos musclé, contre ces belles omoplates. Ses seins pointaient sous cette fine lingerie qu’elle portait. Maîtresse Mélinda posa alors ses deux mains sur la tête de Maître Bran, et se mit à remuer frénétiquement, en poussant des soupirs et des couinements. Tyra n’en perdit pas une miette...

La tête basculée en arrière, Mélinda poussa un long râle de plaisir avant de s’abandonner, se déversant dans la bouche de Bran, vidant tout son sperme, balançant de multiples giclées de foutre.

« Haaaaaa... Haaaaaaaaaaaaannn !! »

Elle se déversa dans sa bouche, s’abandonnant avec joie, jouissant pendant de longues secondes, ses ongles se transformant même en griffes sous l’effet du plaisir. Sa queue tressautait dans sa bouche. Elle avait commencé par jouir dans le fond de sa gorge, multipliant les gorges profondes, mais, tout en se retirant, elle continuait à jouir, l’aspergeant, sa nature vampirique au service de son plaisir sexuel. Son sexe finit par ressortir, et elle éjacula une ultime fois, en plein sur le visage de Bran.

« Haaaa... Ça fait du bien !! Ne t’essuie pas le visage, mon cœur... Tyra va s’occuper de te nettoyer... Avec sa langue. Je sens qu’elle raffole d’envie de sentir le goût du sperme sur sa bouche. »

La dernière giclée avait été si forte,  et le sperme commençait à dégouliner, filant sur le haut du torse de Bran. Mélinda s’écarta un peu, retournant s’asseoir, et, pour mieux inciter Branà agir, leva son pied, et le posa sur son torse, avant de le pousser, un sourire malicieux sur les lèvres. Bran tomba ainsi à la renverse, sur le dos, Tyra à côté.

« Lèche, ma belle petite pute, lèche... »

Tyra se mit à rougir de honte... Mais était aussi en train de mouiller. Elle s’humecta les lèvres, puis se pencha vers le visage de Bran... Et entreprit de lécher, en fermant les yeux, et en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, Mélinda ne restait pas totalement inactive, car son pied se déplaça, allant désormais, avec le talon de sa sandale, frotter sa verge, glissant jusqu’à ses testicules, puis remontant ensuite.

Ne ressemblait-elle pas vraiment à une Impératrice, ainsi ?

Bran était un vampire entraîné depuis longtemps à satisfaire pleinement la libido de sa jeune sœur, et il fallait bien ça pour arriver à se retenir dans de pareilles circonstances. Le bel Apollon était entouré de deux très belles femmes, Mélinda prenant dans sa tête volontiers le rôle de son Aphrodite, et Tyra une de ses suivantes. Le Vampire enchaînait les gorges profondes et les va et viens le long du sexe de Mélinda à un rythme rapide, sa sœur avait besoin de jouir, il pouvait le sentir. Pas simplement parce qu'il était un vampire, mais parce qu'il connaissait sa sœur, et ses réactions, sur le bout des doigts, ils étaient amants depuis un nombre incalculable d'années après tout. Mélinda se trouvait dans une sorte de phase de souffrance, ce qui précédait tout juste l'orgasme, où le corps ressentait le besoin de se purger de ce désir croissant, de le faire exploser. Bran aurait presque pu jouer encore avec sa sœur, mais il la connaissait trop bien pour savoir que là elle ne l'aurait pas bien pris. Non, au contraire il voulait la satisfaire, en se plongeant pleinement dans son rôle d'amant aussi beau que soumis à son Impératrice, la jeune Tyra qui glissait son majeur dans son anus était un supplément agréable mais...Bran avait toute sa concentration dévouée au fait de satisfaire Mélinda, qui n'allait pas tarder à jouir.
Et elle vint, elle se redressa dans un ultime effort tout en saisissant son frère au niveau de ses cheveux pour le maintenir contre elle, et cracha de longues giclées de sperme dans la gorge et la bouche du beau vampire. De par son métabolisme si particulier, et par l'habitude, il n'éprouva aucune difficulté à avaler tout en continuant à sucer sa belle petite sœur, à la draîner jusqu'à la dernière goutte de sa semence intime, et de la soulager. Sa prise sur lui se fit plus douce, et quand elle se retira un dernier filet de sperme alla heurter le visage de Bran, qui à ce moment là reprit son souffle. Il avait passé un très long moment en apnée, une chose que seul un Vampire comme lui pouvait supporter dans l'entourage de Mélinda.

Cette dernière se retira de sa bouche, satisfaite, du moins pour le moment, une satisfaction qui permettait à son imagination de reprendre le dessus. Elle ordonna à Tyra de le nettoyer de ce sperme, qui coulait depuis sa joue sur son torse musclé.
Tyra, cette jeune esclave était une très belle acquisition, perverse tout en conservant une part de timidité du fait de sa virginité, mais quelque chose disait à Bran que son hymen ne survivrait pas à cette fête. Elle était belle, avec de très belles forme et un esprit déjà bien modelé à être soumise, seule la présence de sa sœur, la mettait au second plan aux yeux de Bran, mais ce dernier ne l'ignorait pas pour autant.
Mélinda le poussa à terre, suivi de près par la jeune esclave qui ne tarda pas à s'exécuter. La langue de Tyra se prommena sur ses joues, lapant et avant avec une lenteur toute sensuelle, elle prenait le temps de savourer à la fois ce sperme et le fait qu'elle léchait la peau de Bran. Ce dernier voyait bien à quel point la jeune esclave fantasmait sur lui, elle n'avait pas été forcée lorsqu'elle sétait blottie contre lui pour lui doigter le cul, et encore moins à présent pour le nettoyer, sa langue glisse alors sur le torse de Bran. Blottie tout contre lui, elle est assez proche pour que le vampire puisse la toucher, et c'est ce qu'il fait d'une de ses mains, palpant volontiers l'un de ses beaux seins. Mais ce qu'il veut se trouve plus en bas, et il l'atteint en glissant alors sa main dans la culotte noire de l'esclave, ses doigts entrent dans un endroit chaud et humide, et il s'amuse alors à lui caresser ses lèvres intimes du bout des doigts, effleurant au passage son clitoris. Bran la frustre volontairement, en lui prodiguant juste assez de plaisir pour être dans un état d'excitation constant, mais de loin pas assez pour lui permettre de jouir. Le genre de choses qu'il ne se permettait que très rarement, et dans une moindre mesure avec Mélinda, et qu'il compensait en se « vengeant » sur les pauvres esclaves.
Son autre main elle, ne demeurait pas inactive. Assise de nouveau sur son fauteuil, en face de Bran et de Tyra, Mélinda participait à la fête à sa façon, en se faisant plaisir à satisfaire son côté dominatrice, elle entrait entièrement dans son rôle d'Impératrice. Le talon aiguille de sa sandale remontait le long de la verge tendue de Bran, allait et venait en se frottant contre, c'était un peu douloureux, mais surtout très plaisant. La main de Bran donc remontait le long du mollet de sa sœur, il ne cherchait pas à l'empêcher de faire quoi que ce soit, il se contentait de sentir sous ses doigts le contact de la délicate peau de sa sœur.

Ah Maîtresse, vous êtes tout simplement divine. Hum...votre humble servant ne peut que se prostrer devant une telle beauté.

Jouait-il son jeu à fond ? Impossible à dire, cela avait l'air sincère, mais avec Bran rien n'était simple. Ce qui était certain, c'était qu'il prononçait ces mots pour faire plaisir à sa sœur. Elle avait une haute estime d'elle même, à raison du point de vue de son frère, mais même lui savait qu'elle aimait que l'on flatte son ego de temps à autres.
Bran se crispait de plus en plus, le talon remontant sur son sexe était terrible, il avait une forte envie de jouir, mais se retenait, estimant que juste cracher sa semence ainsi serait du gaspillage. Il y avait tellement d'autres options. Tyra était en train de finir de le nettoyer, Mélinda était là.
Laquelle aurait droit à la semence du vampire ?

Allongé sur le sol, Bran trônait en maître, recueillant toute l’attention des deux femmes. Tyra n’essayait même pas de masquer son admiration pour lui, et Mélinda sentait le cœur de la petite esclave battre follement de joie à l’idée de pouvoir ainsi palper le corps du magnifique éphèbe. Bran était beau, oui, un trait commun aux Warren. Son père, aussi ignoble soit-il, avait également été un très bel homme, et sa mère avait toujours énormément ressemblé à Mélinda. Les tableaux d’elle que Mélinda avait trouvé étaient d’ailleurs assez confondants, car on pouvait effectivement se tromper, sa mère ayant juste un corps un peu plus adulte et mûr que le sien. Mélinda avait hérité des magnifiques yeux verts de sa mère, ses yeux qui observaient avec délectation le plaisir sous ses yeux.

Comme elle venait de jouir, elle aurait pu rétracter sa verge, mais elle choisit de la conserver en place, en se disant qu’elle risquait très bientôt de servir à nouveau. Elle le taquinait, le torturait doucement avec son talon, glissant  sur son sexe, sur la partie inférieure de ce dernier. C’était un beau mât, bien dressé, les plis étant de moins en moins nombreux. Bran avait toukjours eu une belle pièce, une magnifique virilité, et il en profitait pour jouer. Tyra était tout contre lui, léchant et embrassant son corps, tout en sentant les doigts de Bran glisser sur sa peau. Elle soupira en sentant la main du magnifique vampire glisser sur son sein, et mordilla sa peau sous l’effet du plaisir. Pour elle, Bran était une sorte de fantasme vivant. C’était un homme aussi endurant qu’une armée de chevaliers, et également très docile. Se faire prendre par lui était un fantasme au sein du harem, surtout que, fort heureusement, sa Maîtresse n’était pas du tout contre l’idée de le voir coucher avec d’autres femmes. Sentir sa main ferme et tendre sur son corps fit mouiller Tyra, son trouble étant loin de s’améliorer. Bran alla en effet glisser sa main contre sa culotte, venant délicatement caresser son sexe, mais sans chercher à la soulager. Expérimenté, il savait comment faire pour rendre les femmes folles, et elle sentait les doigts de l’homme jouer contre ses lèvres intimes, la faisant mouiller et couiner, mais sans s’arrêter. De plus, Tyra sentait contre sa croupe le sexe de l’homme, ce chibre tendu et assoiffé de chair féminine. Elle s’amusait à glisser un peu son bassin, afin de sentir contre sa croupe, contre cette raie circulant entre ses fesses, le contact de ce membre viril.

Tyra était aux abois, et Mélinda en jouait volontiers. Son talon continuait à glisser, et elle se mordilla les lèvres en sentant la main de Bran caresser sa cheville, glissant tendrement le long de ses mollets. Il ne cherchait pas à l’en empêcher, mais simplement à lui monter toute l’affection qu’il ressentait. Mélinda déplaça alors son pied, et enfonça le talon dans les fesses de Tyra. Elle portait un court string noir à dentelle, et Mélinda n’eut pas à batailler trop longtemps pour que son talon heurte sa rondelle. Tyra se mit à couiner, léchant alors le téton de Bran... Téton qu’elle léchait d’ailleurs un peu trop longtemps pour que ce soit crédible. Joueuse, Mélinda remua légèrement son talon. La rondelle de la femme était sèche, petite, étroite, résistante, et elle se mit à couiner davantage. Le sourire malicieux sur les lèvres de la vampire s’accentua à nouveau, une lueur amusée dans le regard.

« Hihi... »

Elle s’amusait presque comme une gamine, et, pendant ce temps, Bran lui avait dit à quel point il était heureux d’être son esclave. Elle finit par retirer, au bout de quelques secondes, son talon, et continua à caresser le sexe de son frère avec sa sandale. Elle aurait pu le faire jouir en ne se servant que de ses pieds. Le fétichisme était un domaine dans lequel elle excellait, mais, effectivement, tout ce beau sperme aurait été gaspillé.

« Allez, je pense que notre cher Bran est tout propre, maintenant... »

Les joues rosies, Tyra se retira. Mélinda, elle se posa à genoux, se glissant dans le dos de la femme, et posa alors sa main sur la hampe de chair de Bran, serrant son sexe avec un sourire coquin.

« Masturbe-le, ma puce... Ne t’en fais pas, il ne jouira pas son mon accord...
 -  B-Bien, Maî... Maîtresse... »

Tandis qu’elle s’exécutait, Mélinda glissa une main dans la culotte de la femme, et esquissa un léger sourire, tout en lui mordillant le cou.

« Et bien, et bien, que de vitalité, ma chérie... Tu mouilles déjà comme la pire des traînées. »

Un sourire narquois étira ses lèvres.

« Tu masturbes bien... La queue de mon frère te fait envie, hein ? La sentir s’enfoncer en toi... Je suis sûre que cette simple idée te ferait mouiller encore plus... »

Les préliminaires étaient toujours une étape indispensable avant toute pénétration, afin de faire monter la tension, et de faire parler votre originalité. Les doigts enduits de mouille, Mélinda les releva, et les porta aux lèvres de Tyra, qui alla les sucer, toujours aussi gênée, couinant et gémissant le long des doigts griffus de la vampire. L’Impératrice s’empara alors d’une lotion située à côté d’elle, et, récupérant ses doigts, enduit ces derniers, puis s’en servit pour explorer le fondement de Tyra, faisant hoqueter la jeune femme.

« Très étroit... Je vais adorer y glisser ma petite queue, hihi... »

Le plan se dessinait dans sa tête.

« C’est bon, lâche son membre, et mets-toi debout... »

La femme obtempéra, et Mélinda se retourna alors vers son frère, et partit l’embrasser sur les lèvres, un tendre et intense baiser, uniquement destiné à leur permettre de partager ensemble un nouvel échange buccal.

« Qu’est-ce que tu en dis, mon cher ? La virginité de cette petite catin te ferait-elle plaisir ? »

Les beaux yeux de la vampire pétillaient de désir et de perversion.

Bran se trouvait dans une position confortable, et tentait au mieux d'accorder suffisamment d'attention à la jeune esclave qui, assise à califourchon sur lui, semblait donner tout ce qu'elle avait pour gagner l'excitation du vampire. Il était difficile pour Bran de se concentrer sur d'autres femmes que sa sœur quand cette dernière se trouvait à proximité, et qu'elle participait de façon active aux ébats ayant lieu dans cette pièce, mais c'était sa volonté que Bran et Tyra enlacent leurs corps pour le moment. Mélinda avait une idée, une intention derrière tout ça, aussi Bran n'alla-t-il pas contre, en se focalisant sur la jeune esclave. Elle était belle, c'était tout autant indéniable que le fait qu'elle avait été bien entraînée, Bran avait déjà eu à mater bon nombre de petites rebelles, mais celle là était docile par nature. Surtout, le vampire pouvait sentir qu'elle était excitée, nul besoin de toucher son corps comme il le faisait, la rapidité avec laquelle son cœur pompait le sang dans son organisme suffisait à Bran pour savoir.
L'homme savait qu'il était un fantasme incarné pour une bonne partie du Harem de Mélinda, ce qui n'était pas malvenu compte tenu de la libido légendaire des Warren, qu'il partageait donc avec sa sœur depuis que tous deux étaient des vampires. Mélinda avait hebdomadairement un nombre incroyable de partenaires différents, et il en allait de même pour Bran, mais les deux se retrouvaient régulièrement, soit seuls soit accompagnés, afin de faire l'amour comme des bêtes. C'était le cas ici.
Depuis le temps que ces préliminaires duraient, Bran avait une furieuse envie de lâcher sa semence. Il aurait pu le faire là, avec le talon pointu de sa sœur qui frottait son sexe de haut en bas, mais aussi la croupe bombée de l'esclave qui s'amusait à frotter son cul contre. Il aurait pu, mais ne le faisait pas, faisant preuve d'un self control que seule sa nature vampirique et ses décennies d'expérience pouvaient lui prodiguer. Et il en avait besoin, car très souvent ce n'était pas à lui de décider de ses orgasmes, mais à sa sœur, qui s'en amusait plus que de raison. Bran était tellement dévoué à Mélinda qu'en sa présence, seule une autorisation de sa part pouvait lui permettre de se libérer, malgré la douleur, malgré la frustration. Cela pouvait durer longtemps, vu que Mélinda aimait à le voir souffrir, mais lorsqu'elle le libérait, le plaisir n'en était alors que plus grand.

Ainsi, comme l'avait dit Mélinda à la jeune esclave, Bran ne jouiriait pas sans sa permission, même malgré les mains de Tyra qui entourèrent sa virilité dressée. Celles de Bran, en revanche, palpaient les parties de son corps qu'il pouvait atteindre. Ses cuisses, ses seins, son entrejambe particulièrement, le vampire s'appropriait ce corps car il avait une intuition sur ce que Mélinda voulait faire. Silencieux, le vampire se contentait d'observer, et de caresser. Tyra était encore plus perturbée par le fait d'enfin toucher son sexe, de le sentir sous ses doigts, Bran devinait qu'elle se l'imaginait en elle.
Cela dura un certain temps, jusqu'à ce que Mélinda n'ordonne à Tyra de se retirer, et ne vienne embrasser son frère qui était toujours allongé à terre. Bran embrassa sa sœur avec passion, et sa main exploratrice alla, brièvement, flatter les fesses de sa sœur sous sa légère robe, mais il passa bien vite à ce qu'elle voulait. Bran se releva, lentement tel un prédateur, et fixa Tyra avec un léger sourire, puis se tourna vers sa sœur.

Cette esclave est belle, douée, et avide de faire plaisir à ses propriétaires. Je dirais qu'en effet elle mérite que sa première fois soit inoubliable, et si telle est votre volonté maîtresse, je me ferais un plaisir de lui faire sentir ce qu'un mâle digne de ce nom peut lui faire.

La main posée sur les hanches de sa sœur qui se trouvait juste à côté d'elle, Bran ne faisait aucun effort pour lui dissimuler qu'il aurait d'avantage aimé lui faire l'amour. Mais c'était normal, aux yeux de Bran, aucune femme quelle qu'elle soit ne lui arrivait à la cheville, et Mélinda le savait très bien. Toutefois, Bran ferait l'amour à Tyra avec toute son expertise, car c'était la volonté de sa sœur, et car la jeune esclave demeurait diablement attirante.

Et toi Tyra qu'en penses-tu ? Si tu as envie que je fasse de toi une vraie femme, il va falloir me montrer que tu le veux vraiment. Il parait que tu es une chienne très prometteuse, alors fais ton office. Convainc moi.

Un jeu, voilà qui était tout à fait Warren comme façon de procéder, et Bran était certain que Mélinda apprécierait le spectacle si l'esclave s'y pliait. Bran avait vu que malgré son grand désir, Tyra demeurait timide en la présence de lui et de Mélinda, il voulait l'amener, la forcer, à adopter une attitude plus...salope. Il la baiserait, c'était une évidence, mais jouer avec sa proie était aussi jouissif que de passer à l'acte, après tout.

Bran était sien, et il était bon de le dire, car Mélinda adorait se rappeler que son grand-frère était sa chose. Possessive, souffrant d’une forme d’amour dévastateur pour les autres, car il était très ethnocentré, Mélinda regardait son beau frère avec fierté, et avec une bouffée dévorante d’amour. Il lui avoua qu’il ne voyait aucun problème à baiser Tyra, tout en laissant sous-entendre, avec une délicatesse infinie, qu’il préférerait largement défoncer sa sœur. Mélinda n’était pas dupe, et guère surprise. Elle ne partageait Bran avec les autres que dans l’objectif que son grand-frère lui revienne. Elle n’avait jamais couché avec autant d’autres personnes qu’avec Bran, un amant régulier et intense, épuisant et monstrueusement doué. Il savait aussi bien manier la verve que sa verge, pour l’expliquer sommairement. Son « si telle est votre volonté » était le seul indice, dans sa tirade, laissant entendre qu’il aurait préféré prendre Mélinda, mais, pour le comprendre, pour deviner son véritable désir, il fallait bien le connaître... Et ne pas être excitée comme Tyra l’était en ce moment.

La jeune esclave, dans sa belle tenue, tremblait nerveusement, peinant à retenir son intimité de laisser s’échapper un délicieux nectar intime. Elle était aussi nerveuse qu’excitée, se trouvant entre ceux qu’elle voyait comme sa Maîtresse et son Maître. Certes, les esclaves ne juraient allégeance qu’à Mélinda, mais toutes savaient combien Bran avait une place importante au harem. S’il ne prenait pas part aux décisions importantes du harem, il restait le chien de garde de Mélinda, et son premier amant. Il était donc normal, et même souhaitable, que Tyra soit nerveuse, et ait le trac. Autrement, Mélinda aurait pu s’en sentir frustrée et énervée. Voir cette hésitation était donc rassurante et flatteuse. En même temps, le trac de Tyra s’accompagnait d’une terrifiante bouffée d’excitation. Au sein du harem, il était admis que les femmes vierges perdaient toujours leur virginité avec la Maîtresse, et ce moment devait être attendu par les esclaves, attendu et désiré, désiré et apprécié, afin d’être merveilleux. C’était le passage symbolique, le rite où l’esclave passait de la minorité à la majorité, du stade d’observatrice à celui d’actrice active. Tyra était arrivée à cette étape. Après ce moment, elle pourrait enfin véritablement coucher avec les autres... Enfin, les autres esclaves ne se contenteraient pas juste de la chauffer afin de la larguer. Enfin, elle pourrait coucher avec les clients venant, participer à des orgies où des frères la défonceraient dans tous les sens... Elle aurait enfin les mêmes droits que les autres esclaves, et c’était pour elle quelque chose de très important, de magique.

Bran et Mélinda se tenaient côte à côté, face à Tyra, et Mélinda caressait la main de Bran, la serrant ensuite dans la sienne, presque comme deux amants observant quelque chose. Bran se mit alors à parler, et Mélinda relâcha sa main, s’écartant un peu de lui, tandis qu’il demandait à Tyra d’agir. La jeune femme rougit en baissant la tête, se mordillant les lèvres. Avait-elle vraiment le choix ? Pas vraiment... Mélinda n’avait rien dit, et elle se devait donc d’obéir aux ordres de Bran... Convaincre cet homme qu’il al baise, et que sa Maîtresse lui défonce le cul... Les deux en même temps... Les deux Warren s’acharnant sur son corps, comme une sorte d’introduction pour la folle nuit qui s’annonçait. Encore une fois, rien qu’à l’idée d’imaginer ce spectacle, les jambes de Tyra flanchèrent, tremblant sur place.

« Hum... »

Elle fléchit alors les genoux, et les posa sur le sol, puis releva la tête, joignant ses mains devant elle, se pinçant les lèvres, son regard plein d’amour planté vers Bran.

« O-Oui, je... Je serais votre salope, Maître Bran... Une chienne qui ne souhaite que se faire baiser par vous, Maître, et par Maîtresse... »

Elle s’avança alors à quatre pattes. Dans sa tête, elle se rappelait tout ce sur quoi elle avait fantasmé. Une chose que Mélinda aimait bien faire était de faire l’appel le matin. Elle s’asseyait alors sur une esclave, et lui enfonçait dans le vagin et dans le fondement deux godes, et, tout en se dandinant sur elle, faisait l’appel devant les jeunes esclaves « mineures ». Combien de fois Tyra avait-elle rêvé de se retrouver à cette place ? Elle n’arrivait pas à le dire, ni même à comprendre comment elle avait fait pour basculer ainsi.

Tout en marchant, et en approchant son visage de la verge de Bran, et en se frottant contre elle, elle continuait à parler, léchant son sexe en soupirant :

« Être une pute... Je veux vous sentir me défoncer, Maître Bran.. Pas comme si j’étais votre amoureuse, mais une salope que vous auriez envie de baiser sauvagement dans la rue contre le mur... Je veux sentir votre force, votre rage, votre membre me défoncer avec toute votre force... Je ne vous veux pas doux et attentionné, mais brutal et dominateur, comme un homme violent qui aimerait battre sa femme en la baisant sèchement le soir... »

Souriant, Mélinda marchait, et se mit de l’autre côté de Tyra, ne disant rien, ne faisant rien qui ne soit susceptible d’interrompre son récital. Elle était en train de lécher et de caresser sa verge, embrassant tendrement ses testicules, les léchant et y frottant son nez, les embrassant encore et encore, l’une de ses mains venant le masturber, ses doigts glissant avec un indéniable talent sur sa queue, d’avant en arrière, glissant fébrilement dessus.

« Hummm... Défoncez-moi, Maître Bran.. Hmmmm... Hmmmm... Prenez-moi, haaaaannn... Je suis née et j’ai été éduquée pour... Hnnnn... Être une salope, a-alors, haaann... Haaaannn... Traitez-moi ainsi... Comme si j’étais la dernière des putes... Baisez-moi, hummmm... Violez-moi, haaaaaannn... »

Mélinda s'écarta, non sans avoir compris le message caché de son frère, c'était la raison même pour laquelle elle avait décidé de s'éloigner un peu. Avec elle à trop grande proximité, Bran avait de grandes difficultés à se concentrer sur d'autres femmes que sa sœur, hors il s'agissait ici d'honorer la première fois d'une esclave dévouée et prometteuse pour le harem. Bran allait donc devoir se concentrer sur Tyra, et sur elle uniquement, toput désireux qu'il était d'aller plutôt vers Mélinda.
C'était après tout la volonté de cette dernière.
Tyra s'exécuta, avançant à quatre pattes en direction de Bran qui, debout, l'attendait de pied ferme. Le vampire estimait qu'il ne suffisait pas à une esclave d'être belle pour être un bon élément du harem, il fallait avoir l'attitude, l'état d'esprit correspondant. De ce point de vue, Tyra se débrouilla bien, parvenant à séduire le vampire, à l'exciter comme il le fallait. Silencieux, le vampire la laissait parler et faire, car tout en léchant son sexe, Tyra lui parlait d'une voix suave et emplie de désir. La jeune esclave souhait que sa première fois soit brutale, à la manière d'un viol, ce qui contenta et fit sourire Bran tout comme sa sœur. A l'issue de sa tirade, Bran laissa ses mains, jusque là inactives, agir pour se poser à l'arrière du crâne de l'esclave, afin de redresser sa tête, et ammener ses lèvres à hauteur de son sexe. Sans plus de cérémonie, Bran fourra sa queue dans la bouche acceuillante de Tyra. Il n'était pas question que l'esclave prenne un trop grand rôle actif, c'était plutôt à lui, le maître pour l'occasion, de donner le rythme.
Et puisque Tyra voulait qu'il soit violent, elle allait être servie.

Très rapidement Bran se mit à onduler son bassin, d'avant en arrière, afin de faire remuer son sexe entre les délicates lèvres grandes ouvertes de Tyra. A défaut d'avoir déjà été pénétrée, l'esclave savait néanmoins user de sa bouche et de ses mains pour contenter un homme, et comme elle était déjà expérimentée dans ce domaine, Bran passa bien vite aux choses sérieuses. Le vampire s'enfonça d'un coup au plus profond de la gorge de Tyra, sons exe disparaissant intégralement entre ses lèvres, Bran la maintenant fermement par les cheveux pour qu'elle ne se retire pas. Le beau vampire tirait une intense satisfaction de la sentir s'étouffer, de sentir les muscles de sa gorge se contracter contre son sexe dans un réflèxe de le faire sortir, mais qui pour l'occasion le massait et le serrait. Elle toussait, s'étouffait, alors que Bran prenait un malin plaisir à onduler son bassin. Le nez de l'esclave étant alors fourré dans ses poils pubiens, il faisait donc frotter ce dernier dans sa légère, mais néanmoins présente, pilosité.
Puis il se retira au moment où Tyra commença à vraiment manquer d'air.

Ta bouche est acceuillante petite trainée, c'est bien. Reprends ton souffle, je n'en ai pas encore fini.

Bran laissa le temps à Tyra de récupérer, puis il recommença. Le vampire enchaîna les gorges profondes dans d'amples et rapides coups de bassin, faisant sortir presque entièrement sa verge de la bouche de l'esclave avant de la planter en profondeur. Des larmes coulaient des yeux de Tyra qui, malgré les apparences, devait apprécier ce traitement. Comme toute esclave du harem, elle se doutait de ce qui l'attendait en demandant au frère de Mélinda d'être dominateur.
Bran relâcha Tyra après avoir utilisé pendant plusieurs minutes sa bouche, puis en la saisissant par sa queue de cheval, « l'aida » à se mettre debout, suite à quoi il alla l'embrasser. Ce n'était pas un baiser doux, c'était même tout le contraire, donnant l'impression que Bran la dévorait littéralement. De sa main libre, le vampire arracha les vêtements de l'esclave d'une poigne sèche.

Il est temps...

Murmura-t-il à son oreille avant de l'agripper par la taille, la soulevant. En la pressant contre lui, Bran l'invita à écarter ses jambes, et à entourer son bassin avec ses cuisses, ce qu'elle fit, le bout de son pénis heurta alors l'intimité de l'esclave. Chaude, mouillée, elle n'attendant plus qu'un sexe pour la remplir, et d'un coup de bassin, Bran lui donna ce qu'elle suppliait d'avoir. Il déchira son hymen, et immédiatement après s'être enfoncé bien en elle, Bran porta la jeune esclave contre un mur, glissa ses mains sur ses fesses pour la soutenir, et entreprit de la baiser.

Mélinda entreprit assez rapidement de s’asseoir sur son fauteuil, un sourire sur le coin des lèvres. Elle était excitée par cette vue, attirée par le spectacle magnifique et endiablé de ces corps en mouvement. Tyra avait suivi une bonne formation. Avant de passer au sexe avec les clients, le harem formait les jeunes femmes en leur proposant des prestations sexuelles avec des jouets et des mannequins. La fellation, notamment, était quelque chose que Tyra avait travaillé sur un gode en plastique. Avec l’aide d’une esclave plus aguerrie, ou même de Maîtresse Mélinda elle-même, elle s’évertuait à sucer des queues en plastique le plus loin possible, devant alors apprendre à réguler son souffle et à agir. C’est de cette manière que Tyra, au moins en théorie, connaissait l’art de la gorge profonde. En pratique, les choses étaient nettement différentes. C’était bien plus intense, bien plus violent, et bien moins sûr. Elle sentait les poils pubiens de Bran, ses testicules chargés, ce corps empreint de virilité et d’une rage contenue. Elle en était envieuse, attirée, excitée, et le léchait donc, comme une sucette, jouant avec un volcan. Bran, son Bran, était un homme ayant bien des facettes, mais il se montrait souvent violent et dominateur... On aurait pu croire que c’était parce qu’il se devait de compenser sa soumission extrême envers sa sœur, mais Mélinda, elle, estimait que c’était juste parce qu’il savait ô combien sa sœur aimait le voir ainsi... Violent et dominateur, brutal et viril. Sur ce point, c’était effectivement le cas.

Il ne tarda pas à prendre les rênes, et enfonça d’un coup toute sa queue dans la bouche de Tyra.

« Mmmmhmmmm... !! »

Éminemment surprise, Tyra écarquilla les yeux, gémissant en sentant la main ferme et brutale de Bran sur ses cheveux. Ça n’avait effectivement rien à voir avec l’entraînement, et il enfonça son imposante queue en elle, son vit venant d’un coup taper contre sa gorge, l’étouffant. Prise pas surprise, elle éternua quand il la libéra, puis recommença ensuite ses coups de reins. Les joues rouges, elle se laissait faire, ballottée d’avant en arrière, couinant et gémissant, ne pouvant retenir des larmes de souffrance en sentant ainsi sa bouche et sa gorge se faire violer. Elle avait déjà eu l’occasion de voir des fellations, mais, pour autant qu’elle s’en souvienne, ce n’était pas aussi violent, ni rapide... Aimait-elle ça ? Assurément... Mais ça ne l’empêchait pas de souffrir, de gémir et de couiner, en sentant la puissance de ce corps, l’ossature de ces bras. Il la maintenait contre lui, et, pendant un certain temps, s’évertua à la baiser chaudement. Rien qui ne soit susceptible de le faire jouir, Bran contrôlant à la perfection, sur ce point, les émulations et les oscillations de son organisme.

Les minutes défilèrent, tandis que Mélinda, assise, affalée sur son fauteuil, observait le spectacle, avec le regard ravi d’une femme dominatrice voyant ses sujets s’amuser devant elle. Elle buvait une coupe d’un liquide carmin, et ce n’était pas de l’alcool. Du délicieux sang filait dans sa gorge, et, pendant ce temps, Tyra continuait à gémir et à couiner, relevant peu à peu ses mains pour les appuyer sur les fesses de Bran, sur ce délicieux cul que Mélinda et ses esclaves aimaient tant. Oui, Bran avait quelque chose d’olympiendans son corps, dans ses formes, dans sa musculature. Il était bâti comme un véritable athlète divin, et continuait à prendre Tyra, qui continuait à gémir et à couiner. Le temps défilait, rythmé par les coups de hanches de son grand-frère, jusqu’à ce qu’il finisse par retirer de la bouche de Tyra une queue trempée par la salive de la femme, salive que Tyra déversa de ses lèvres sur le sol, en toussotant à nouveau, la gorge irritée.

Cependant, Bran ne lui laissa pas vraiment le temps de se remettre.

« Haaa !! » s’exclama-t-elle quand il la tira par les cheveux, la soulevant d’un mouvement sec et ample.

Elle se retrouva sur ses pattes, et sentit l’homme la griffer, arrachant son soutien-gorge et sa culotte, les faisant tomber sur le sol, ses griffes faisant frissonner Tyra, qui se mordilla les lèvres, la panique se mélangeant dans les prunelles de ses yeux au plaisir intense qu’elle était en train de ressentir en ce moment. Il est temps, lui glissa-t-il, ce que Mélinda entendit en souriant, et Tyra rougit à nouveau.

« O-Oui, Maître... »

Bien naturellement, Tyra avait peur... C’était sa première fois, et elle savait que l’homme ne serait pas tendre. Il serait violent et sauvage, comme elle l’avait demandé. Silencieusement, en sentant le mur contre elle, elle souleva ses jambes, et les enroula autour de ses cuisses, posant une main sur son torse, l’autre s’agrippant à sa nuque, venant caresser les cheveux courts et légèrement trempés de l’homme. Ses seins, tendus et douloureux, s’enfoncèrent contre sa poitrine, et elle se pinça les lèvres en sentant la queue de l’homme caresser son bassin... C’était vraiment un grands cadeau que Mélinda lui faisait, car elle se réservait toujours la virginité de ses esclaves... L’amour avait ses propres raisons.

Et puis, la verge s’enfonça d’un coup sec en elle, dans une intimité qui était déjà ruisselante de mouille.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! » hurla l’intéressée.

La douleur explosa en elle, et ses ongles s’enfoncèrent dans la chair de Bran, tandis qu’elle fermait les yeux, en hurlant à nouveau. Ho, ho ! C’était tellement douloureux ! Tyra sentit la souffrance exploser en elle, comme si un feu intérieur ravageait ses cuisses. Elle pleura à nouveau, les joues toutes rouges, et remua son corps, avant de sentir Bran remuer également. Il soulevait son corps, puis l’envoyait s’aplatir contre le mur. La douleur était là, violente, la réveillant totalement. Elle ne s’était clairement pas attendue à quelque chose d’aussi intense, et elle soupira, sa salive tombant sur l’épaule de Bran. Oh, oh, qu’il était fort ! Elle n’y croyait pas ! Comment était-ce possible ? Rien de ce qu’on avait pu lui dire sur le sexe n’était digne de l’intensité qu’elle ressentait en ce moment. Sa sueur coulait contre le corps de l’homme, et elle avait l’impression d’être un vulgaire objet, un objet que l’homme baisait et défonçait joyeusement.

« Oooooohhh... O-Ouuuuuiiii !! Oooouuiiiiii !! H-Haaaaaaaaaaaaannnn... !! OUUUUUUUUUUUIIIIIII !!! HAAAAAAAAAAAAANNNN !! »

Elle se mordilla les lèvres, sa main s’agrippant aux cheveux de l’homme, et elle se blottit contre lui, afin de mieux le sentir, afin de sentir davantage son torse solide et puissant contre son corps. Chaque fois que son dos heurtait le mur, elle soupirait et gémissait.

Son premier orgasme approcha à toute allure, et il ne lui fallut que cinq petites minutes pour avoir un premier orgasme, mais qui était loin d’être la fin de son plaisir. Enfin, enfin, elle était dépucelée !

C’était merveilleux !