Aujourd'hui elle ne c'était pas réveillée normalement, une alarme venait de retentir dans sa "chambre". L'esclave ouvrit les yeux doucement et saisit le réveil, qu'elle coupant, observant sur une table de marbre une lettre écrite par la personne qui gérait ses actions nocturne. Elle observait la tenue étendue sur le rectangle froid et noir comme le charbon. Elle prit le chemin vers la douche et prit soin de son corps. Elle prit ensuite la lettre et lu ce qui avait été écrit à son attention.
A daté de ce jour tu devras quitter le lycée. Tu devras te vêtir de ses affaires, n'en oubli aucun.
Tu devras te rendre à une boutique nommée "La chatte Furieuse", il s'agit d'un bar.
Demandes Edouard au barman et il te fera passer par une petite porte. Donne lui une pièce
d'argent présent dans le petit sac de pièce, que l'on nomme bourse.
Tu descendra tout en bas où une femme te feras boire un concoction, bois là jusqu'à la dernière
goutte. Normalement, à ton réveil tu sera dans un autre monde à Nexus. Tu devras toujours garder
les papiers présent dans la sacoche. Tu te nommes Hirondelle Nightmare, tu seras une voyageuse.
Tu devras aller à l'auberge du Coucher de Lune. Demandes ta besace et paie l'aubergiste.
Tu as une arme, protège toi jusqu'à la fin de ton voyage, je ne veux pas que quelqu'un,
autre que ton maître, puisse te blesser.
Tu auras d'autre informations une fois à l'auberge. Ne dépenser l'argent en surplus que pour des
choses importantes.
D'ici ton réveil tu as très exactement trois heures pour te préparer et partir.
PS : Une fois la lettre lu, je te demande de la manger.
Hirondelle mémorisa les informations et déchira le papier en plusieurs morceau avant de le mastiquer et l'avaler. Elle vint à retirer sa robe et commença par enfiler un shorty noire, puis passa par-dessus un mini-short en cuir marron. Comme haut, elle eut un soutient-gorge noire, avec une tunique verte, agrémentée d'une ceinture noire à boucle argenté. Elle enfila des botte souples, remontant jusqu'à la moitié de ses cuisse, puis elle attacha au col une longue cape, munie d'une capuche. Elle attacha à la ceinture une petite dague, ainsi que la bourse.
L'esclave prit le chemin indiqué, suivant aveuglément les directives données. Elle avait évacué à l'heure limite indiqué, ayant optimisé son temps en comptant le nombre de pièce de cuivre, d'argent, d'or et de platine. Ainsi savait-elle exactement combien elle avait. La chance voulu qu'Hirondelle n'eut pas à utiliser sa dague contre des personnes mal intentionnées. Il arriva au lieu et vint à faire la demande. Elle fut conduit dans une cave et une femme encapuchonnée vint à tendre un élixir. L'esclave bu la décoction sans hésitation et vint à se coucher sur le sol en attendant que le sommeil arrive.
A son réveil elle se trouvait sur un lit en plume d'oie. Elle descendit et parcourut Nexus à la recherche de la fameuse auberge. Cette dernière était visiblement connu, car elle eut l’information rapidement. Elle se fit contrôler plusieurs fois son identité et n'eut aucun soucis, les papiers étaient en règle et elle avait l'allure d'une voyageuse, rien ne pouvait être retenu contre elle. Une fois à l'auberge elle eut le droit de lire un autre papier avec un sac de provision, un arc, un carquois et une dizaine de flèche.
Je te félicite pour être arrivée jusqu'ici, mais ne traine pas. Tu vas passer un bout de la nuit dans cette auberge.
Tu devras dormir six heures maximum et puis tu quitteraq la ville vers le sud. A deux heures de marche
tu trouveras une personne en armure, il t'initiera brièvement à la chasse et aux rudiments de survie.
Tâche de ne pas me décevoir.
Une fois l'entrainement terminé, tu te dirigeras plein ouest et marchera pendant trois jours. Tu
découvrira une forêt. C'est là que ton maître t'attend. On le nomme Vian, c'est un esprit de
la forêt qui déteste les humains. Tu devras le servir et obéir à ses moindres demandes.
Tu es son jouet pendant la durée qu'il voudra, hormis mes ordres nul autres ne pourra
t’ordonner quoi que ce soit.
Une fois qu'il t'aura relâché je souhaite qu'à ton retour tu écris tout ce qu'il t'a fait dans
les moindre détails.
Tout comme l'ancienne lettre débarrasse t'en de la même manière
L'aubergiste ne fut pas surprit de voir Hirondelle manger la lettre et réserva la chambre, comme l'esclave avait demandé. Hirondelle fit comme demandé et quitta dans la matinée l'auberge, avec le sac de provision sur le dos. Elle parvint assez rapidement chez la personne qui devait l'entrainer. Hirondelle apprit rapidement à tirer à l’arc. Elle savait maintenir sa respiration et ne pas trembler. Elle ne connaissait pas le stress de rater sa cible, conférant de ce fait une plus grande précision qui se trouvait utile. Chaque soirs ses bras étaient douloureux, comme si de nombreux pics avaient été fiché dans ses bras. Mais ce n'était pas grand chose pour elle. L'esclave vint rapidement à se coudre des gants en cuir pour ne pas se faire couper les doigts au passage des plumes sur les flèches. Elle apprit à faire des pièges, trouver des sources d'eau, dénicher de la nourriture.
Son instructeur était sans pitié, laissant peu de sommeil pour qu'elle en apprenne le plus possible pendant sa courte présence en ses lieux. Au bout de deux semaines elle fut jeté hors de la maison, l'instructeur estimant qu'il avait enseigné le minimum et qu'elle devait à présent se débrouiller toute seule.
Hirondelle continua son voyage et ne rata pas une occasion pour s'exercer à l'arc. Elle se nourrit de lapin et petite créatures, se creusait des abri de fortune quand le sommeil était trop pesant. Elle n'avait pas besoin de beaucoup de chose et pouvait facilement vivre comme une sauvageonne. Pendant son entrainement, elle avait développé une certaine puissance dans les impulsions, pouvant esquiver. Son instructeur avait jugé que c'était la seule chose de potable chez elle, le reste nécessitant une énergie qui n'était pas égal au salaire qu'il avait reçu.
Hirondelle avait gardé beaucoup de pièces dans sa bourse, dont celle en platine. L'esclave se disait qu'elle devait garder cette somme pour son trajet retour. Elle fit son dernier feu de camps à l'orée de la demeure de Vian. Elle attendit le matin pour entrer dans la forêt, dissimulant son visage sour sa capuche, sa flèche déjà prête sur la corde. Hirondelle sentait que dans cet endroit il y avait beaucoup de créature malfaisante et son possesseur avait bien souligné qu'elle devait se protéger d'autre personne que Vian. Elle vint à marcher pendant trois bonnes heures avant de trouver un bosquet.
Hirondelle se sentait observé, un regard sadique et un brin lubrique. Mais elle ne fit rien, cela devait être son maître. Elle sortie de sa sacoche une lettre qu'elle déposa sur l'herbe, puis alla s'adosser à un grand arbre. Hirondelle vint à fermer les yeux et se mit à dormir. Son maître pourrait ainsi lire la lettre en toute discrétion et décider ce qu'il ferait de l'esclave.
Dans la lettre il n'y avait qu'une phrase "Fais en bonne usage".