Elle pensait éviter ce genre de destin en s'engageant dans de petite division comme la Delta S, mais le destin avait voulue qu'elle tombe aux mains des formiens. La voilà à se faire prendre par une annexienne, dont les coup de bassin lui arracher gémissement et cries, tant par la force des coups, la taille de son membre, la vitesse et la profondeur à la qu'elle l'annexienne perforait son intimité. Elle ne pouvait que subir et ressentir, et d'exprimer ce ressentit par ses gémissement et ses cries, exprimant ainsi sa douleur, mais aussi d'une légère prise de plaisir. Les yeux encore humides, elle ne pleurait plus, ses gémissement et cries ne diffusant plus que sa douleur ressentit lors des chocs contre son col de l'utérus, lui donnant toujours l'impression que son utérus tout entier se déplacer vers le haut, que la verge, en heurtant son col, déplacer son utérus.
Chaque coup secouait son corps, fessant trembler sa poitrine, provoquant des ballottement incontrôlable, ses seins frappant contre ceux de l'annexienne, leurs tétons se heurtant, provoquant de petites sensations de plaisir au fur et à mesure des chocs, ses tétons dressaient et dur. Elle voulait pleurer sur son sort, mais elle avait déjà trop pleurer sur sa douleur et le destin de elle et ses camarades. Elle subissait ce viol et ripostait par des gémissement et des cries douleurs et par le plaisir grimpant, prenant possessions de son corps, la fessant mouiller et rougir et teintant ses gémissement et cries de plaisir. Elle sentie le mur perdre son effet glus, la relachant, laissant ainsi l'annexienne l'enlacer de ses bras, une main dans son dos, l'autre sur sa belle chevelure, l'empoignant.
« Haaa... Haaaa, ma salope, tu... Hunnn... Tu es si étroite... ! » Était-elle devenue sa possession ? Mais elle l'était depuis le début, se refusant de le remarquer. Le ballottement de ses seins devint plus rythmé, cognant plus souvent contre ceux de l'annexienne, le latex de sa tenue se frottant contre la peau de l'annexienne, frottement se répercutant sur sa peau, sentant donc aussi bien le contact de la peau de l'annexienne, que la texture organique du mur, ignorant que cette combinaison était une source de plaisir pour l'annexienne, tant qu'elle moulait son corps. Ce plaisir qui grimper, finissait par l'embrumé, son corps et son esprit n'arrivant plus à différencier plaisir et douleur, les deux se confondant. La douleur s'effacer progressivement de son intimité, remplacer par le plaisir, de même que pour ses gémissements et cries.
Sans prévenir, l'annexienne l'embrassa, furieusement, avec ardeur et passions, léchant ses lèvres, tout en tirant ses beaux cheveux, sa petite fierté. L'annexienne craignait d'enfoncer sa langue dans la bouche d'Ania, de peur que celle-ci ne la mord, mais elle n'avait plus de raison de le faire, si ce n'est que d'empirer son cas. L'annexienne s’écrasa contre son corps, une main sur les fesses, l'autre sur la nuque, enfonçant le plus loin possible son impérieux membre au plus profond de l'intimité d'Ania. Cette dernière ressentit à nouveau la douleur, son col de l'utérus subissant une forte pression, la douleur lui donnant l'impression que son col aller se briser ou pire, que la verge venant de le traverser. Elle avait mal, mais ne cria pas, ses lèvres collaient à celle de l'annexienne.
Les excroissances de l'annexienne se mouvèrent une nouvelle fois, se collant dans dos, la plaquant encore plus contre l'annexienne.
« Tu aimes mes câlins, hein, ma petite pute ? » Son corps répondait oui, l'esprit non sans être vraiment sur, mais elle ne dire rien, ni négatif pour ne pas subir plus, ni positif pour ne pas l'inciter à faire plus. Les excroissances la plaquant contre le corps de l'annexienne, se serrèrent, écrabouillant son corps contre celui de l'annexienne, lui coupant le souffle, avant de desserrer lui donnant de le temps de reprendre son souffle, avant de recommencer, inlassablement, l'envoya s'empaler encore plus sur la verge de l'annexienne. Sans compter que l'annexienne tripotait son cul, le pinçant et le malaxant, l'incitant à faire de même, tout en soulignant qu'elle n'avait que se choix, avant de l'embrasser et de poursuivre.
« J’aime sentir tes gros seins contre moi, Ania... Tout comme... Hum... Le reste de ton corps. Toi et moi, nous sommes reliées, maintenant, ma belle... Tu es si bonne, haaaannn, ma chérie... » Qu'elle était la meilleur solution : obéir ou s'y soustraite ? Ania ne savait, ne savait plus. Elle était prisonnière, elle ne pouvait rien faire, oublier toute aide possible et espoir de liberté et de fuite, elle ne pouvait rien faire sans risquer d'être capturer et donner en pâture aux formiens. Avait elle le choix ? Non, l'annexienne leur imposer les chose. Lentement, tremblant et une larme coulant le long de sa joue, elle leva ses bras avant de les mettre sur le postérieurs de l'annexienne. Mais elle tremblait n'ayant pas le courage de faire plus, courage disparue depuis longtemps. Ce fut qu'après un long moment, qu'elle finit par peloter pleinement les fesses de l'annexienne, serrant ses doigts, avouant ainsi, sa total soumission !
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Cette nouvelle forme de plaisir que leur infligea le monstre, aggrava l'état de celle les plus dépraver, les plus résistante parvenant quand même à garder une certaine forme de lucidité. Leur seins gagnant en glande mammaires, produisait du lait presque à profusion, remplissant rapidement leur seins de lait, la moindre pression fessant gicler ce nectar dont s'abreuver les tentacules. Rien ne pouvant stopper cette production dépassant de loin ce que peu produire une femme en temps normale, ce surplus nourrissant ce qui furent autrefois leur ennemies. Elles n'étaient plus rien que, que les objets de désirs des formiens, réceptacle dans leurs plaisirs primaires et de leur progénitures.
À demie enfouie par le foutre et leur cyprine, Miyo et Rinko ne pouvaient qu'assouvir leurs pulsions, leur ébat remuant le visqueux mélange de fluide, qui t-elle une immonde recette de cuisine se vit rajouter du lait, qui à son tour se mélangea dans le reste. Affreux mélange, dont elles ne se privaient pas de se maculer, de le lécher sur leur combinaison et de l'avaler. Il y'avait toujours une tentacule qui se vider sur elles, sons foutre s’écrasant sur leur visages, torse ou dos. On ne pouvait plus rien apercevoir d'elles, tellement recouverte de fluide.
Mais le monstre mit fin à leur débat, arrachant Rinko de son bassin, emportant plusieurs litres de fluide collant Rinko, avant de couler lentement tombant dans le vide. Miyo resta seul dans son bassin, toujours pénétrer par le cul et son vagin, deux tentacules la pénétrant avec force, lui provoquant un énième orgasme. À travers les fluides maculant son visage, elle apperçut Jeanne s'approchant d'elle, pénétrer avec puissance. Les tentacules la lâchèrent au dessus du bassin.
SPOLRCH ! Le bruit lorsqu'elle heurta la surface du bassin, n'était pas le même que de tombait dans l'eau. Ce liquide là était trop consistant, collant, visqueux et gluant, presque pareil à de la boue. Jeanne était tomber tête la première. Elle sentait la chaleur des fluides contre elle, leurs densité et leur consistance. Péniblement, elle s'extirpa la tête hors du mélangeant, mais eu l’impression d'être encore plonger dedans, sa tête recouverte de cette substance. Des tentacules l'attrapèrent, la relevant entièrement, avant de la plaquer contre Miyo, du lait jaillit à nouveau de ses seins comprimer. De sa main, elle enleva les fluides masquant son visage, la quantité enlever suffisant à remplir une carafe.
Elle aperçue Miyo, elle aussi recouverte, leur visage prêt l'un de l'autre. 2Tant plus récente et résistante que Miyo, Jeanne ne fit rien, une pensée la traversant. De sa force, elle pourrait lui briser la nuque et la tuer, mais elle n'avait plus de force, retenue par des tentacules. Miyo l'embrassa, s’agrippant à ses seins, les pressant, fessant jaillir son lait et Jeanne ne fit rien d'autre que subir.
Ailleurs, Rinko avait été conduite en hauteur, une tentacule s'étant retirer de son vagin, un autre pénétrant sa bouche et une dernière s'enroula autour de son ventre proéminent et de le comprimer. Son estomac comprimait, elle ne put retenir tout le foutre qui jaillit de sa bouche malgré la tentacule, sortant presque en cascade, tellement elle en avait ingurgité, vomissant rien d'autre que du foutre et quelque sucs gastrique. Son vagin libéra sous la pression, beaucoup de foutre et son fondement n’échappa pas au sort. Mais après avoir vomit tout ce foutre, Rinko ressentit de contractions dans son ventre et plus précisément dans son utérus, la où se développer les larves. Ne pouvant crier, elle gémit de toute ses forces, crachant encore quelque gicler de sperme et poussa, malgré son état, elle comprit qu'elle allait donner naissance à des larves, ses premières larves, mais sûrement pas ses dernières.
Elle poussa une nouvelle fois, sans crier, mais son visage crispé. Elle ne ressentait pas de douleur, les doses massives d'aphrodisiaques ayant annihilée cette sensation, la remplaçant par le plaisir et donc elle ignorait si elle avait mal ou pas, mais elle poussait de toute ses forces, l'effort la pliant presque en deux, tirant sur les tentacules qui était comme un soutient en ce moment et non une entrave. Elle poussa encore et encore, sentant quelque chose sortir : la première larve qui finit par sortir et de tomber dans le vide rattraper par des tentacules.
Plus elle poussait, plus elle sentait les larves sortirent. Cela dura longtemps, elle gémit de force tout ce temps, poussa de toute ses forces et jusqu'à la dernière larves. Elle mettait au monde ses premiers formiens, formiens qui iront combattre ses camarades de guerres, elle participait à l'effort de guerre formiens. Malgré son état et tout l’aphrodisiaque, elle versa une larme.