Même si elles n'avait pas de réelle intention de se battre, car n'ayant pas assez de courage, Ilinia et Schield se refusaient de se soumettre, de faire honte à leur uniforme et de trahir la confiance de Tirch. Cette dernière aussi ne s'attendait pas un exploit de leur par, mais au moins qu'elles ne se soumettent pas à cette pourriture ! Maintenant, l'heure de la délivrance arrivait, Tirch aller mourir ! Un pale sourire se dessina sur son visage, mais il était plus qu'inquiétant et donner surtout l'impression qu'un cadavre venait de sourire.
« Je comprends ça... La loyauté. Elle vous honore, mes petites. Elle vous honorera encore plus quand elle sera tournée vers moi... Mais, pour l’heure... » Les tentacules emprisonnant Tirch se serrèrent d'avantage, comprimant ses poumons, bloquant partiellement sa respiration, avant que d'autre la recouvrent, l'engloutissant lentement, le mur organique l'aspirant, t-elle une créature vivante. Tirch tenta bien évidemment de se libérer, mais cela n'était d'aucune utilité, se fessant engloutir inexorablement, son buste, ses jambes et ses bras disparaissant dans le mur.
Elle ne comprenait pas. Pourquoi elle est encore en vie, pourquoi l'annexienne ne la tue pas !? Son esprit limité ne pouvait pas comprendre, elle ne comprenait pas la manière de penser de l'annexienne ! Son comportement aller à l'encontre de ce que Tirch attendait d'elle ! Elle aurait du être tuer, elle aurait du mourir ! Lui aurait t-on mentit ? Ou les formiens étaient trop imprévisible ? A moins que l'annexienne ne cherche à l’étouffer ou qu'elle l'envoie vers une mort certaines, déchiqueter ou dévorer par ses monstres peut être ? Pour la première fois depuis des années, son regard se remplit d'espoir à l'idée de mourir, chassant cette éternelle regard sans vie, avant de disparaître dans le mur.
Les deux autres regardèrent disparaître celle qui fut leur dernière chance, le dernier espoir possible en même temps, des tentacules vinrent les attraper et les coller au mur, les serrant entre elles, leur bras se collant, se frottant, leur hanches de même. Avec elle disparue toute trace d'espoir, les braises de l'espoir qu'elles avaient entretenue s’éteignant définitivement, la tristesse leur seule action et leur destin plus proche que jamais et l'essence même du désespoir envahit leur âmes et esprits. Pire qu'un cauchemar : la réalité.
L'espoir fait vivre, l'inverse conduit à la mort, mais même la mort leur était refuser. C'était un désespoir bien plus sombre, pas un désespoir de vouloir de vivre, de désespérer devant la mort prochaine, mais un désespoir de vouloir mourir, de désespérer devant le fait de vivre encore. Un esprit vide, plonger dans les abysses du désespoir, plus aucune résistance, plus aucune forme de rébellion, plus aucune raison de vivre. L'annexienne venait de tout briser en elles, ne laissant que désespoir et tristesse, et un sombre destin.
Les deux femmes pleuraient, silencieusement, la tête baisser, ne sachant quoi penser, ne sachant quoi faire. Devaient-elles se résigner accepter leur destin ? Malgré leur état, elles refusèrent de l'accepter, pour faire honneur à Tirch, à leur camarade, à Kakashi et leur famille. Pas de réel résistance, mais une question d'honneur. L'annexienne se dirigea vers elles, elles ne purent rien dire, l'esprit n'ayant rien à dire. A quoi bon protester ? L'annexienne caressa leur joue, traverser par leur larmes de tristesse, créant des sillages humides. Ses mains descendirent le long de leur corps, caressant leur forme, leur courbes, désireuses d'en profité, jusqu'à leur hanche.
« Je vais commencer par toi, ma belle Schield... » Et Schield ne dit rien et ne fit rien, tandis que l'annexienne leur adressa un sourire où la malice imprégnant chaque parcelle de ses lèvres, leur promettant bien des choses. La tête baisser, elle regarda le sol, ne voulant pas voir le visage de celle qui causa sa perte. Ses jambes furent écarté, par dessus celle d'Ilinia libérant la voie vers son intimité, bien que masquer par sa combinaison, une bien piètre barrière où une fermeture éclair attendait sagement d'être ouverte. Curieusement, Schield se maudit pour avoir une t-elle chose sur sa combinaison. Sa présence ne changeait rien, si ce n'est que sa combinaison sera plus intacte que celle de ses camarades. L'annexienne l'ouvrit, dévoilant son intimité rasée à ras, ne laissant qu'une légère touffe de poils pubiens, avant de la pénétré sèchement, désireuse de la violé le plus vite possible, arrachant un crie à Sendiel, la douleur éclatant.
Son intimité non lubrifier, fut ravager par un le pilon de chair, frottant violemment ses parois vaginales, provoquant de légère blessure, des petites perles de sang étalaient le long du membre imposant de l'annexienne, un peu à l'étroit dans cette antre. Ses mains caressaient ses fesses, celle de Schield se serrèrent. Se murant dans un silence percer par des gémissement de douleur et par des cries de douleurs, Schield regardait le plafond, tandis la verge de l'annexienne heurtait son col de l'utérus t-elle un bélier une porte. En l’absence de mouille, le gourdin de l'annexienne produisit un liquide lubrifiant, facilitant ses allées et venues, pouvant aller plus fort et plus rapidement.
Son corps finit par répondre, commençant à mouiller après de longue minute, trahissant son esprit qui se refuser de céder, se vouant à la tristesse, au désespoir, aux illusions pour se sentir forte et rebelle. Schield pleurait sans s’arrêter, de cette action, refusant l'offre de prendre par au plaisir que ressentait l'annexienne en la pénétrant durement, alors que son visage se tordait dans une parodie de plaisir, ses yeux dévoilant son désespoir, contraste parfait entre le corps et l'esprit qui s'opposaient.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Pire que le viol, pire que le plaisir forcer ou les multiples drogues, cette souffrance qu'elles subissaient étaient pire que tout, pire que le monstre tentaculaire. Shiranui et Engiel étaient comme électrifier, cette puissante douleur tétanisant leur muscles, mettant à vifs leurs nerfs, une souffrance qui mettrait à terre n'importe qui. Malgré tout, ce monstre était d'une efficacité redoutable, il avait finit par arrêter les multiples hémorragie internes, cicatrisant la plupart des lésions interne, s'attaquant au blessures externes, notamment le bras ravager par l'acide de Shiranui et son visage méconnaissable, suite à la pluie de coups de la cérébrate, qui s'était déchaîne sur elle. Il avait soigner plus rapidement qu'une équipe de médecins entière qui aurait mit plusieurs heures pour en arriver là.
La souffrance de Shiranui s’accrut, en plus des mini-tentacule parasites se déplaçant dans son corps pour cicatriser ce qui fut transpercer par le xénophorme, d'autre envahirent son bras ronger par l'acide et son visage tuméfier. Elle parvint à pousser un hurlement de douleur, déboîtant presque sa mâchoire sous l'effort, forçant ses muscles à s'ouvrir, atteignant presque un niveau de décibel jamais atteint par l'Homme, avant de rester bloquer, sombrant dans l'inconscience. Alors qu'Engiel commençait à moins souffrir, son état beaucoup moins grave que celui de Shiranui, l'intervention chirurgicale de ce monstre moins lourde qu'au départ. Elle fut effrayer par ce crie, en même temps que son oreille droite se mit à siffler, se demandant qu'elle degré de souffrance endurer Shiranui.