« Mais c’est ce que je suis en train de faire, ma chérie... » Abasourdit et énerver, voilà comment était Mistrial. Abasourdit par le fait que l'annexienne n'avait rien fait après qu'elle l'ait insulter et cracher dessus, et énerver pour la même raison. Elle n'avait reçu en retour qu'un sourire et une réplique qu'elle jugea merdique. Un sourire qui pouvait être aussi bien goguenard, sadique ou victorieux que Mistrail ne savait pas le quels exactement et ça l'énerver. Elle pouvait au moins l'insulter, la menacer, lui lancer un regard noir ou qu'elle s'offusque ! Tout mais qu'elle fasse autre chose que de lui tirer un sourire de merde ! Mistrail n'arrivait pas à savoir comment réagir fasse à ce sourire, hésitant à lui crache dessus à nouveau car apparemment ça ne la dérange pas, se foutre de sa gueule peut être qu'elle réagirait ou l'insulter de toute les manière possible elle semble s'en foutre royalement !
Mistrial regarda sa bourreau se pencher vers elle, se demandant ce qu'elle allait faire. Elle ne fit que plaquer sa tête sur le sol, ce qui la poussa à pousser un soupir d'exaspération, s'attendant à autre chose. Elle sentie quelque chose glisser sur sa tête et son cou, c'était visqueux et un peu chaud. Mistrial réalisa que ça venait du sol et que ça l’empêcher de bouger la tête, et ce fut à ce moment que l'annexienne l'embrasa. Mistrial fut exaspérait, énerver et dégoutter. Elle avait l’impression que l'annexienne la prenait pour une simple enfant, une personne qui ne savait pas ce qu'elle fessait et qui fallait dorloter. Elle ne pouvait se soustraire à ce baiser, bloquer et prise au dépourvue, elle ne répondit pas aux baisser, cherchant à ce faire vomir, sans y parvenir. Elle aurait presque envie de pleurer, cette femme ne fessait que jouer, alors que ses camarades et elle se battait pour vivre, pour rester libre et ne pas vivre dans cet enfer. Mais elles se battaient pour rien, juste pour l'amuser et lui donner envie.
Quand l'annexienne rompit le baiser, ce fut un soulagement pour Mistrial, même si la sentit remuer sur elle, ne lui plaisait pas. Elle crachat sur le côté, montrant ce qu'elle en pensait de ce baiser. Elle sentit la main de l'annexienne découper sa combinaison au niveau de son intimité.
« Bientôt, tu réaliseras toute la chance que tu as d’être ici, ma chérie... Et tu réaliseras ici que tu as d’autres fonctions que mourir... Surtout quand un a un corps aussi joli que le tien. Maintenant... Passons aux choses sérieuses. »-Mais ta pas comprit ou.. oh et puis merde. Grogna Mistrial.
A ce moment, l'annexienne pinça un de ses tétons, en même temps qu'elle la pénétra d'un coup. Si les autres avaient eu mal avec l’imposante verge de l'annexienne, Mistrial n'émit aucun son, si ce n'est qu'un gémissement, suivit d'un souffle. Son vagin s'habitua rapidement au diamètre de l’intrus, preuve qu'elle avait sans doute connue une présence de même gabarit. L'annexienne allait voire que Mistrial allait être plus résistante que les autres, qui étaient trop sensible ou parce que ce fut leur première fois.
Mistrial n'était pas à sa première fois et savait plutôt bien se maîtriser durant ces moments, si sont corps pouvait céder, son esprit serait une autre affaire,. Mistrial ne prenait plaisir qu'avec ceux qu'elle apprécie et si elle à envie. Et en l’occurrence, l'annexienne n'avait aucun des deux. Mais cela ne l'empecher pas de s'enfoncer avec vigueur et ardeur au plus profond de Mistrial, sa bite touchant le col, le heurtant avec force, raclant les parois sec, les humidifiant par la quantité de mouille, de cyprine et de sperme qui était encore dessus, et par la mouille de Mistrial qui fessait de faible et timide apparition. Les coups de bassins soulevaient et secouer le corps de Mistrial, qui ne pouvait que grincer des dents pour ne pas hurler sa rage et ne pas pousser de gémissement, le plaisir naissant lentement et faiblement.
Son seins n'était pas laisser de côté, devant subir la torture que lui infligaient les doigts de l'annexienne, tirant dessus, le compressant, tournant dessus. Ses tétons se durcirent et pointèrent, celui entre les doigts de l'annexienne, subit d’incessant manège, allant à droite puis à gauche, s'enfoncer dans le seins, puis se tirer vers le plafond. Mistrial respirait rapidement et expirait lentement, gardant le contrôle de son corps, même si elle ne pouvait supprimer le plaisir, elle pouvait le contrôler. L'annexienne l'embrassa à nouveau, au cou cette fois, léchant son uniforme. Mistrial sentit la langue de l'annexienne a travers sa combinaison, ce qui était gênant, pourquoi es qu'elle avait des combinaison aussi fini et moulante ? Elle se posa pour la première fois cette question.
Et cela dura encore longtemps, Mistrial résista, ne poussa aucun crie, que des gémissement sous les coups, une souffle chaud, le corps secouer des pénétration dans son vagin lubrifier correctement par ça mouille après un moment. L'annexienne y allait avec toujours autant d'ardeur, comme à chaque soldates qui passaient. Puis après de longue minute, l'annexienne donna un dernier coup, le plus fort de tous, manquant de traverser son col, se vidant en Mistrial remplissant son utérus, sonn foutre heurtant la parois d'en face, avant de couler, et de recevoir un nouveau jet de foutre, s'écrasant dans le sperme déjà présent, le tout en hurlant. Mais Mistrial, elle, elle ne jouit pas.
L'annexienne embrassa à nouveau Mistrial, qui sentant la geler partir, tenta de se dérober au baiser, mais la mains de l'annexienne l'en empêcha et ayant plus de force qu'elle, Mistrial ne put s'y soustraire. Leur corps se frottant, la verge toujours en elle, telle une épée dans un fourreau, le baisser dura longtemps, Mistrial tenta de le briser, l'annexienne empêchant ses tentatives de fuites. Elle tenta même de mordre les lèvres de l'annexienne, mais qui rester hors de porter de ses dents, ses lèvres prisonnières de celles de l'annexienne. Ce fut après un long, très long moment que l'annexienne rompit le baiser, un filet de bave reliant les deux bouches, puis elle se retira d'elle, un filer de sperme reliant la verge et le vagin, avant de se rompre et revenir sur la verge t-elle un élastique.
« Allez... Va donc jouer avec tes copines, Mistrial... »-Fou toi de ma gueule ! C'est pas un bac à sable où je vais que je sache ! S'attendant à voir les tentacules apparaître, Mistrial paniqua un peu quand elle se sentie disparaître dans le sol, de sentir cettte texture organique l'aspirer et la recouvrir lentement. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait pas ce débattre. Même si elle savait que l'annexienne ne cherchait pas à la tuer, cela ne l’empêcha d'avoir peur.
Toujours coincer dans leur alcôve, les autres regardèrent effarer Mistrial disparaître peu à peu dans le sol, ses membres disparaissant en premier, puis le bassin, les épaules, le ventre puis la tête, ne laissant que le buste, qui fut engloutit par le sol. Et comme à chaque fois, la même situation, l'annexienne attendit que l'une d'elles se dévouent. Mais cella ne viendra pas, l'annexienne pouvaient constater que les mentalité avaient changer. Au début elles étaient effrayer et apeurer, maintenant, elles sont terroriser et désespérer.
De l'espoir, il n'en rester que flamme, mais une flamme mourante sur le point d'expirer à tout moment, Tirch, un espoir qui tenait plus de l’illusion et du désespoir que de l'espoir lui même. Tirch commençait elle même à paniquer sur son sort, elle qui depuis le début était aussi insensible face au sort de ses camarades. Avant que Mistrial n'intervienne, l'espoir ne se reposer plus sur Mistrial ou Tirch, mais aussi sur des armes secrètes, du moins pour certaine. Quand l'annexienne dit à Mistrial qu'elle savait pour son bras et qu'elle diminuer la puissance, ces espoirs c'étaient évanouit, l'annexienne ayant sûrement retirer leur dernière armes.
Shield avait deux petites dague énergétique au avant bras, et Ilinia des couteaux de lancer dans des compartiment secret dans son armure au niveaux des mollets, contant s'en servir pour essaye de se suicider et d'emporter avec elles, d'autre de ses camarades. Aucune ne se dévoua, au bord des larmes, au portes du désespoir, laissant ainsi à l'annexienne le choix de sa futur proie.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce faire avaler par le sol fut une expérience bizarre et atroce, c'est comme-ci elle s'était faite avaler par un géant, et qu'elle glissait dans le colon. Elle ne voyait rien, elle était serré, n'ayant peu de place pour se déplacer, ne pouvant même pas mettre son bras sur son torse, mais elle glissait entre les parois. La glissade dura un moment, jusqu'à ce qu'elle soit expulser de force, de la texture organique. Elle tomba du plafond droit vers le monstre, dont les proportions remplissait entièrement la salle, si bien que Mistrail était déjà au cœur des tentacules avant de s'en rendre compte.
Et comme les autres, des dizaines de tentacules entrèrent dans son combinaison, deux grosses tentacules s'emparèrent de sa poitrine avant de commencer à les malmener, un autre pénétra son vagin et un dernier découpa sa combinaison pour atteindre son cul, dont le troue fut lubrifier, avant d'être pénétrer par une tentacule énorme, qui malmena ses entrailles. Mais aucune ne pénétra sa bouche, la qu'elle était solidement fermer, les dents serrer, si fort que Mistrial cherchait à les briser pas la pression. Une tentacule passa entre ses lèvres et tapa contre ses dents, cherchant à entrer dans sa bouche, sans succès. Pour rien au monde, Mistrial ouvrirait la bouche ! Même quand elle aperçut ses camarades, elle garda la bouche fermer respirant travers ses dents, pour ne pas à supporter l'odeur du sperme qui emplissait la salle.
Des aiguilles se plantèrent dans son cou, diffusant un aphrodisiaque, pour la faire céder. Mais Mistrial ne céda pas, gardant la bouche fermer. Pourquoi fessait t-elle ça ? Pourquoi ne pas abandonner ? Mistrial refuser d'abandonner, refuser de donner satisfaction, préférant mener un combat sans raisons et sans chance de réussite que d'abandonner pour les mêmes raisons.