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L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 15 samedi 19 avril 2014, 02:40:59

Oui, pour sur, John n'est pas prêt à rejoindre le SHIELD. La guerre menée par le Gouvernement américain contre les rebelles, menés par Captain America, a laissé trop de traces. Si sa sœur -Sue Storm, la femme invisible- et lui étaient devenus des rebelles à l'instant-même où ils avaient choisis de ne pas se laisser recenser, cela n'avait pas été le cas pour tout le monde. La scission était telle que les 4 Fantastiques s'étaient séparés. John, lui, n'imaginait pas la suite sans les autres. Il se considérait comme étant le maillon d'un tout, ce tout formé lui-même de 4 maillons : Mister Fantastic avait rejoins le Gouvernement, tandis que la Chose s'était exilé en France. John, lui, n'avait pas tenu longtemps. La rébellion, mal organisée, craquait. Souvent repérés, cela devenait de la survie plus que de la vie. En venant ici, il voulait être tranquille quelques temps. Ce n'était pas parti pour, certes.

John, perdu dans ses pensées, revint à lui quand Carol reprit la parole, cette fois tout près de lui. Il ne mit pas bien longtemps avant de réaliser le rapprochement, fin mais bien visible, opéré par la jeune femme.

*Des remords.. tu parles.*

Son regard bleuté vint se poser sur le visage de la jeune héroïne, et un sourire en coin, limite amusé, se forma sur le sien.

- Un... éclope ? Voyez-vous ça...

Il marqua un temps d'arrêt et son regard se déporta, un court instant, vers le décolleté absolument incroyable qui s'offrait désormais à lui. Imperceptiblement, la jeune blonde s'était penchée en avant pour déposer un verre d'eau sur la table, et, évidemment, la vue était absolument dantesque. Cela faisait d'ailleurs longtemps que le jeune homme n'avait pas vu une poitrine aussi... intéressante. Les japonaises semblaient bien moins fournis que les américaines sur ce point-là, sauf exceptions. John releva rapidement les yeux quand la jeune femme ajouta que se faire border par une femme était plutôt agréable.

- Et bien pour tout vous dire, ça fait déjà quelques temps que je n'ai plus été bordé, vous savez on vieillit... Encore faut-il se faire border par une femme qui soit... agréable ? ajouta-t-il d'un air interrogatif, reportant clairement son regard sur la poitrine de la jeune femme, parfaitement mise en valeur par le costume de cette dernière.

A vrai dire, il ne savait pas ce que Carol cherchait. Après tout, il la connaissait depuis une heure, deux tout au plus. Mais comment résister aux sous-entendus suspects de la si charmante Miss Marvel ? John déglutit en fixant sa partenaire dans les yeux, lui offrant ce qui devait être son plus beau sourire.

- Et puis vous savez, j'aurai aimé me faire border dans un avion de chasse en vol. Cela doit être absolument.. grisant. Un peu comme de l'alcool, vous ne pensez pas ?

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 16 dimanche 20 avril 2014, 00:59:27

« Et puis vous savez, j'aurai aimé me faire border dans un avion de chasse en vol. Cela doit être absolument.. grisant. Un peu comme de l'alcool, vous ne pensez pas ? »

Carol hocha lentement la tête. Elle restait relativement proche du jeune homme, et se redressa alors, s’écartant ce dernier. Savait-il donc qu’elle avait des tendances alcooliques ? Pour elle, ce n’était qu’une curieuse circonstance. Carol avait effectivement des problèmes avec l’alcoolémie. Quand elle avait été limogée de l’armée, elle avait pris pour habitude de boire, afin d’oublier sa souffrance, d’oublier le fait qu’elle avait tout perdu. Elle avait progressivement sombré, ne trouvant un mince espoir dans cette vie laborieuse qu’en buvant. Elle avait même hésité à rejoindre les Alcooliques Anonymes, et, en un sens, elle était redevable à Rachel Hawkes d’être revenue dans sa vie. Iron Girl lui avait permis de redonner un sens à sa vie, de faire autre chose que simplement boire et travailler dans une épicerie sous les ordres d’un type qui ne cherchaient qu’à la baiser contre le vestiaire.

Miss Marvel s’écarta de l’homme, croisant les bras sous sa poitrine. Elle était suffisamment lucide pour savoir qu’elle lui plaisait. Ce n’était pas le premier militaire qui l’avait complimenté sur sa beauté. À la base militaire, en Afghanistan, ou quand elle était affectée à de porte-avions, il ne se passait pas une fois sans qu’un soldat ne vienne lui faire des avances. Le sexisme était quelque chose de très présent dans l’armée, même au 21ème siècle. C’est sans doute ce qui avait amené Carol à devenir bisexuelle. Cependant, Jonathan n’était pas aussi lourd que les anciens Marines de la base, aux blagues graveleuses, et aux propositions indécentes, qui flirtaient avec le harcèlement. Fort heureusement, Carol pouvait se féliciter de ne s’être jamais abaissée à se laisser aller. Tous les rabaissements machistes auxquels elle avait droit n’étaient rien en comparaison du sentiment de liberté et de plénitude qu’elle ressentait quand elle était dans son avion. Elle pouvait voir les nuages, filer à la lisière entre le ciel et l’espace, et voyait le monde depuis les nuages. Des visions magnifiques, tout simplement. En ce sens, elle comprendrait la Torche : il n’y avait pas de meilleures choses au monde que de pouvoir ainsi observer le monde depuis son cockpit, les mains serrées sur le manche, en observant le soleil se coucher lentement, éclairant de sa lueur orangée l’espace alentour.

*Oui..., songea-t-elle. Des visions magnifiques...*

Tout cela appartenait au passé. Maintenant, elle avait encore mieux. Il n’y avait plus d’obstacles entre elle et le ciel, entre ses doigts et les nuages. Elle pouvait s’enfoncer dans ces derniers comme un boulet de canon, les couper en deux, et foncer à une vitesse supersonique. Lentement, Carol revenait à sa situation actuelle, au fait qu’elle hébergeait un individu capable de se transformer en torche humaine, un fin séducteur, plutôt mignon, et qui, surtout, semblait cacher quelque chose d’important, une blessure. Les gens désinvoltes agissaient souvent ainsi, feignant le détachement et le désintéressement, afin de dissimuler ce qu’ils cachaient réellement en eux. C’était une sorte de protection naturelle que l’esprit forgeait pour se protéger de nouvelles blessures à venir, et pour arriver à guérir. Johnny cachait-il une telle blessure en eux ? Comme elle ? Carol l’ignorait. Elle ne pouvait que le présumer, et, de toute façon, elle ne voulait pas vraiment en savoir plus.

Pour l’heure, elle considérait les propositions de l’homme, et finit par sourire.

« Grisant, ouais... Mais je ne suis pas sûre qu’on aurait pas la place pour ça dans un cockpit... Reposez-vous en paix, Johnny, je veillerai sur vous. »
DC d’Alice Korvander.

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 17 dimanche 20 avril 2014, 16:02:31

Avait-il dit quelque chose qui ne lui avait pas plu ? Il n'en avait pas la moindre idée, mais la jeune femme s'était subitement écartée de lui. Terminée la magnifique vision qui s'offrait à lui. La Torche fronça les sourcils. Cette jeune ex-pilote de chasse semblait avoir une expérience de la vie assez considérable mais, paradoxalement, il ne lui donnait pas plus de 25 ans. Soit quelques années de moins que lui. Il porta à sa bouche le verre d'eau et but une nouvelle gorgée. Salvatrice, dans sa gorge était sèche. Il n'osait pas briser le silence qui s'était installé dans le petit appartement. Carol semblait perdue dans ses pensées. La jeune femme n'en était que plus intéressante. Pas seulement charmante, non. John ne comprenait pas bien son rôle dans toute cette histoire. Pourquoi cet attachement au SHIELD ? Dans quelle foutue ville était-il tombé ? Finalement, la jeune femme reporta son attention sur lui, lui accordant même un sourire.

"Grisant, ouais... Mais je ne suis pas sûre qu’on aurait pas la place pour ça dans un cockpit... Reposez-vous en paix, Johnny, je veillerai sur vous."

John eu un sourire. Il n'aurait surement rien du tout. Du moins pas aujourd'hui. Pas de réconfort après l'effort. Contribuer à la destruction d'un golem sanguinaire serait la seule action majeure de la journée.

- Merci à vous. C'est gentil de me laisser me reposer ici.

John se leva de sa chaise, parvenant cette fois à rester debout, même si son genou le faisait encore souffrir. Il s'étira et fixa la jeune femme. Elle était presque aussi grande que lui.

- Je suppose qu'il n'y a pas de chambre d'amis, alors est-ce déplacé de vous demander où est votre lit ?

Johnny eu un sourire amusé. Il allait dormir un peu, se reposer, puis il ne recroiserait surement plus de si tôt la jeune femme. Mais la question se posait : étaient-ils les seuls ici ? Seikusu commençait sérieusement à ressembler à une succursale de l'enfer, et les Super-Héros pouvaient y être légions. Il ne souhaitait en aucun cas refaire parti d'un groupe. L'époque des 4 Fantastiques était révolue. Pour le moment, John souhaitait l'anonymat, le repos. Les blessures du passé étaient encore trop profondes. Démarrer une nouvelle vie ici, rencontrer une femme. Voilà qui semblait être un bon plan.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 18 lundi 21 avril 2014, 01:22:05

« Je suppose qu'il n'y a pas de chambre d'amis, alors est-ce déplacé de vous demander où est votre lit ? »

L’homme s’était relevé, et avait tapé dans le mille. Pas de chambre d’amis, en effet. Le studio était trop petit pour ça, ce qui revenait à dire que l’homme dormirait dans sa chambre. Carol n’en était pas spécialement choquée. Elle n’était plus aussi prude qu’il y a quelques années... Pas quand on vivait à Seikusu, et qu’on se baladait dehors avec la moitié du corps à l’air. Elle le regarda lentement, puis hocha la tête.

« Vu que je vous ai invité... Je ne crois pas que ce le soit... Mais, puisque vous allez partager mon intimité, je crois qu’on peut se tutoyer, non ? »

Souvent, femme varie, et il était aussi difficile de parier sur ce que voulait une femme que de parier sur une main gagnante au poker. Néanmoins, elle trouvait l’homme mignon... Ça, c’était vrai. En revanche, elle n’appréciait pas cette espèce de comportement lâche qu’il semblait avoir en lui. Quand on avait des pouvoirs aussi grands, il fallait bien s’en servir à quelque chose, non ? Certes, les hommes étaient libres, mais elle trouvait juste que c’était du gâchis. Cependant, elle ne le jugeait pas non plus, car elle se doutait bien qu’il avait du vivre plus de choses qu’elle, et elle était suffisamment intelligente pour savoir que le monde ne se résumait pas qu’à des choses toutes blanches ou toutes noires. Pour reprendre le titre de ce livre qui faisait fureur chez les quinquagénaires, il y avait, dans le monde, des nuances de grey.

Quoiqu’il en soit, Carol ouvrit la porte menant à sa chambre. C’était une petite pièce confortable, avec une fenêtre, des rideaux, un lit 2 places, une table de chevet, et, à droite du lit, une armoire comprenant ses affaires, comme des costumes de rechange. Il y avait, sur la table de chevet, un livre avec un marque-pages. C’était un thriller jubilatoire avec une intrigue menée tambour battant : Psycho Killer. Le lit était fait, les draps étaient propres, et, non, il n’y avait pas d’ours en peluche... Ni de draps avec des motifs de cœur, ni même de la soie fine.

« Voilà pour toi, Johnny... »

Elle se retourna alors, et l’embrassa sur la commissure des lèvres, instinctivement, posant ses mains brièvement sur ses épaules, en appui. Le baiser fut aussi bref qu’inattendu, et elle lui sourit ensuite en s’écartant, bras croisés. Après tout, c’était censé être lui le séducteur, non ? Ah, ces hommes... Il fallait toujours tout faire à leur place, même la séduction ! Les temps avaient effectivement bien changé.

Carol ignorait si elle allait revoir Johnny après ça, mais, comme lui, elle estimait qu’il essaierait de mettre de la distance entre elle et lui, et qu’elle ne le reverrait jamais. Elle ferait son rapport au SHIELD, certes, mais elle savait que l’organisme avait un certain talent pour la dissimulation et le secret.

Comme Jonathan, Miss Marvel venait d’oublier qu’il ne fallait jamais dire jamais.
DC d’Alice Korvander.

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 19 lundi 21 avril 2014, 02:14:10

Elle était bien plus qu'aimable de le laisser se reposer chez elle, alors même qu'ils ne se connaissaient que depuis tout au plus deux heures. Certes, le fait de devoir travailler ensemble pour abattre un golem gigantesque prêt à mettre la ville à feu et à sang, cela rapprochait considérablement. John aurait pu y rester en se retrouvant dans la créature, mais Carol avait également prit des risques en venant aider La Torche lorsque celui-ci essayait tant bien que mal de mettre le monstre hors d'état de nuire. Il aurait bien fini par y arriver, mais Miss Marvel avait été d'une aide non négligeable.

L'ex-pilote de chasse aurait également été bien ennuyé, nu dans une ruelle, en plein jour, si la jeune femme ne l'avait pas retrouvé pour lui permettre de venir ici se changer. Sa seule crainte, maintenant, était d'être traqué par le SHIELD. Il savait à quoi s'attendre. Il faudrait peut-être qu'il change ses plans très prochainement. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, c'était bien ça le dicton ? Un grand pouvoir impliquait aussi d'aimer être emmerdé. Mais au final, ni lui, ni aucun autre Super-Héros ne pouvait se plaindre. On leur permettait d'avoir accès à une vie absolument hors du commun. Dangereuse, certes, mais plus qu'intéressante. Johnny avait presque fini par oublier l'adrénaline que procurait un combat aérien contre une créature de ce genre. C'en était presque... excitant. Mais il avait souffert de la séparation des 4 Fantastiques. Arrogant, frimeur et souvent pitre, John n'en restait pas moins un affectif. Un de ces hommes qui marchent à la confiance. Or, il ne savait plus en qui avoir confiance, ou pas.

- Oui, je crois que l'on peut se tutoyer toi et moi. Après tout, nous ne sommes pas si différents.

Les deux individus pénétrèrent dans la chambre de la jeune femme. Une petite pièce, loin d'être exigu, plutôt confortable à première vue. Un grand lit deux places, une armoire dont dépassait le bout de ce qui semblait être un costume. A côté du lit, une table de chevet et un livre. John aimait lire et se cultiver, mais n'en parlait presque jamais. Une chambre tout à fait normale, une chambre d'adulte. Le jeune Storm, à l'entrée de la chambre, n'eut même pas le temps de comprendre pourquoi ni comment les lèvres de Carol s'étaient retrouvés au coin de sa bouche. Les mains de la jeune femme se posèrent l'espace d'une seconde sur ses épaules, tout aussi rapidement que le fut ce baiser. A vrai dire, John fut surpris et, face à la jeune femme qui s'était retournée et retrouvée à quelques centimètres de lui, il avait posé, par réflexe, les mains sur sa taille.

Ses mains aussi ne furent pas longtemps sur la taille de Miss Marvel, qui se trouvait toujours devant lui et lui souriait. Bizarrement, le jeune homme ne pensait plus à la douleur de son genou. A vrai dire, son cerveau fumait. Ne s'était-elle pas éloignée de lui quelques secondes auparavant, juste après lui avoir offert une vue plongeante sur son décolleté ? Et que voulait dire cet espèce de baiser à la commissure de la bouche ? Super-Héros ou pas, une femme restait parfaitement incompréhensible. La seule différence ? Mieux valait ne pas trop énerver une Super-Héros incompréhensible. Elle pouvait vous faire bien plus mal qu'une simple jeune femme lambda. John failli bien rester planter là, en bug absolu. Ses instincts le ramènent finalement à la réalité.

Quand ses lèvres entrèrent en contact avec celles de la jeune femme, il ne sut pas vraiment pourquoi il l'avait fait. Il prenait le risque qu'elle le repousse vraiment cette fois-ci, et il n'aurait alors qu'à s'envoler par la fenêtre, après s'être déshabiller pour ne pas carboniser les vêtements qu'elle lui avait prêté, question de respect. Mais il le fit. Il ne l'agressa pas, ne la plaqua pas contre le mur telle une espèce de brute sans cerveau et poussée par ses pulsions sexuelles. Non, il resta calme et s'empêcha par la même occasion de s'enflammer. Il embrassa tout simplement la belle blonde qui se tenait devant lui.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 20 mardi 22 avril 2014, 02:27:26

Le pauvre homme semblait être en train de surchauffer. Que faire ? Passer l’éponge ? L’embrasser ? Rire comme un idiot ? Obi-Wan Kenobi ? Les choix se multipliaient dans sa tête, et Carol dut de se retenir de pouffer. Elle avait l’impression que le jeune homme venait de redevenir un adolescent boutonneux venant d’être embrassé par la fille qui passait son temps à le charrier. C’était bien connu : quand un gosse aimait quelqu’un, la meilleure manière qu’il avait de montrer cet amour était de dénigrer ladite personne. La psychologie humaine était avant tout paradoxale. Et on retrouvait la même logique chez les adultes. Il y avait, en réalité, fondamentalement assez peu de différences entre un adulte et un enfant. Comme l’enfant, l’adulte avait peur d’afficher réellement ses sentiments. La femme craignait de passer pour une fille facile, l’homme pour un pied tendre. Cependant, Carol avait laissé suffisamment de signaux et de coups de pieds à Jonathan pour que ce dernier ne se trompe pas. Il semblait peser le pour et le contre, hésitant entre deux options.

Finalement, la Torche trancha, et posa ses mains sur les hanches de Miss Marvel. Un frisson la traversa, elle entrouvrit ses lèvres, sentit ses seins s’enfoncer mollement contre le torse de l’homme, et ce fut ensuite l’heure du baiser. Elle ferma les yeux en penchant la tête sur le côté, et répondit au baiser de l’homme. Il était lent, timide, peu assuré, comme s’il craignait une réaction négative... Alors qu’elle venait de l’inviter dans son lit ! C’était à croire que la légendaire témérité des hommes, leur audace et leur désinvolture, s’étaient effondrés à l’aube du troisième millénaire. Ou alors, c’était le fait de tomber sur une super-héroïne... Une femme qui pouvait dégommer un mur de béton d’un coup de poing, ça devait être intimidant, non ? En tout cas, elle appréciait ce baiser.

*Il embrasse plutôt bien, pour un retraité...*

Jonathan aurait sûrement opté pour un baiser assez court, simplement afin de tâter le terrain, mais, à sa décharge, il y avait longtemps que Carol n’avait pas couché avec un homme. Elle faisait surtout l’amour avec Rachel, qui s’avérait être une amante plutôt gourmande, mais cette dernière était souvent très occupée... Et Carol n’en était pas au point d’acheter des vibromasseurs. Elle sentit le désir exploser en elle, et, tout en conservant les yeux clos, soupira de plaisir, avant d’enrouler ses mains gantées autour de la nuque de l’homme, l’enlaçant comme seules les femmes savaient le faire.

L’une de ses mains caressa tendrement ses cheveux, et elle se blottit un peu plus contre lui. Carol était une femme assez grande, et Jonathan la dépassait seulement d’un ou deux centimètres. Pas besoin de se hisser sur la pointe des pieds. En se pressant contre lui, elle l’amena à se déplacer un peu en arrière. Ses chevilles heurtèrent le rebord du lit, probablement le bien meuble le plus entretenu dans tout son studio. Carol l’embrassait maintenant plus nerveusement, tirant sur ses lèvres, avant d’aller jouer avec sa langue, la glissant dans sa bouche. Pouvait-on encore se méprendre sur ses intentions, maintenant ? La seule chose qu’elle craignait vraiment était que l’homme ne se mette à flamber. Carol était forte, résistante, mais pas ignifuge.

Le baiser se prolongea ainsi, et elle déplaça lentement ses mains, agrippant la veste qu’elle avait fourni à l’homme...Et le poussa alors soudainement, sans prévenir. L’homme s’étala sur le lit, et, en souriant, Carol s’avança un peu, se mettant à gauche et à droite de l’homme, les genoux pliés. Lentement, tout en l’observant, et en lui laissant surtout le soin de la mater, elle dénoua le ruban qui longeait son corps, retirant le lacet. Elle se pencha alors sur l’homme, se laissant tomber, et fit passer le ruban sous sa tête, tenant ensuite le tissu entre ses deux mains. Elle l’emprisonnait, et, en souriant, retourna ensuite happer ses lèvres, pour un nouveau baiser. Elle remua lentement son corps sur l’homme, essayant de sentir la virilité de ce dernier se réveiller, tout en retournant jouer avec sa langue en lui.

Ses mains relâchèrent ensuite le ruban, et elle se redressa lentement, ses mains allant caresser les épaules de l’homme, s’appuyant dessus.

« Tu sais quoi ? demanda-t-elle alors, de manière purement rhétorique. Pour une torche éteinte, tu sais encore allumer le feu chez les autres... »

Elle frotta ensuite son nez contre le sien, ses cheveux tombant en rideau sur le corps de l’homme, et le laissa faire, attendant de voir comment il allait réagir.
DC d’Alice Korvander.

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 21 mardi 22 avril 2014, 13:23:11

Ce baiser, il ne l'avait pas prémédité, ne l'avait pas imaginé en patientant de trouver le moment propice pour le tenter. Il ne pensait pas obligatoirement le prolonger de longues minutes, ne savait pas si la jeune femme y serait réceptive ou pas. Après tout, ne lui avait-elle pas offert une vue plongeante sur son décolleté avant de finalement s'écarter de lui lorsqu'il avait fait un ou deux sous-entendus peu discrets ? John n'avait pas l'habitude de douter de cette manière. Au cours de "sa vie d'avant" -comme il avait tendance à l'appeler- il n'avait jamais hésité avec une femme. Jonathan Storm était connu pour être un jeune pilote de chasse talentueux, surement parmi les meilleurs, et son arrogance semblait proportionnelle à son talent. Il voulait une femme ? Il finissait par l'avoir.

Aujourd'hui, il n'avait pas tout fait pour embrasser Miss Marvel. Evidemment, c'était une belle jeune femme. Une des plus belles qu'il ait surement pu voir dans sa vie. Grande, magnifique, des formes particulièrement agréables... Que demander de plus ? Finalement, ses mains prirent appui sur les hanches de Carol, et le baiser se prolongea. Alors que les mains gantées de la jeune femme s'enroulèrent autour de sa nuque, sa propre langue s'infiltra dans la bouche de la belle blonde, dansant avec la sienne dans un véritable appel au plaisir. Elle fini par se blottir contre lui, et John nota qu'il ne devait pas se baisser pour l'embrasser.

*Une grande blonde... parfait.*


Puis il se retrouva plaqué sur le lit. Ils s'en étaient dangereusement rapprochés et la jeune femme fini par l'y pousser lorsque ses jambes furent collés contre le rebord du matelas. Il bascula donc en arrière et ne s'étonna pas de la force avec laquelle il fit plaquer. Il pu observer la belle créature blonde s'installer au dessus de lui, lui emprisonnant la tête dans le ruban rouge tout droit sorti de son costume. Si elle souhait enflammer La Torche, elle était en train de réussir. Il senti son corps remuer contre son bassin, et une vague de frissons parcouru son bas-ventre.

*Elle est forte.*

"Pour une torche éteinte, tu sais encore allumer le feu chez les autres... "

John eu un sourire amusé alors qu'elle venait frotter son nez contre le sien. Elle était véritablement excitante. Il n'avait encore jamais rien fais avec une autre Super-Héros. S'était-il cantonné aux femmes "normales" ? Peut-être un peu trop. Il redressa légèrement le visage, venant se frayer un chemin entre les cheveux de la jeune femme pour chuchoter à son oreille.

- Une torche... éteinte ?

Le jeune homme releva ses bras et glissa en douceur ses mains sur les fesses de Carol, encore engoncées dans son costume.

- Je vais devoir te montrer que la torche est loin d'être éteinte très chère..

John n'allait pas se laisser traiter de torche éteinte sans réagir. Non. La bouche de l'ex-fantastique se posa sur le cou de la jeune blonde, et la langue de John ne tarda pas à venir titiller la peau, froide, de sa compagne. Il choisit l'option "descente" et progressa rapidement vers le décolleté plongeant de Carol. Alors que sa bouche glissait au sommet de sa poitrine cachée, la flexibilité de sa nuque ne lui permit pas d'aller plus bas. Sourire amusé. D'un coup de rein qu'elle en vit pas venir, il fit rouler la jeune femme sur le lit et se retrouva sur elle, la fixant de ses yeux bleus azur.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 22 mercredi 23 avril 2014, 02:06:02

C’était un grand tort de sous-estimer les pulsions sexuelles des super-héroïnes... Quand on se promenait dehors avec une tenue qui aurait volontiers pu enflammer un club de strip-tease, c’est qu’on pouvait faire preuve d’une activité sexuelle particulièrement intense. En tout cas, c’était le cas pour Carol, qui avait embrassé cet homme avec passion, et l’immobilisait contre elle, savourant le contact de son corps, appréciant la bosse en agrandissement dans son pantalon, qui remontait lentement pour taper son bassin. Elle appréciait toujours autant ce contact, cet aveu implicite, un simple mouvement physique, mais qui valait bien mille discours. Très subtilement, elle avait choisi de provoquer un peu Johnny, pour le réveiller, pour le titiller... Avec les hommes, ça marchait plutôt bien,e t elle ne fut pas déçue. Elle sourit légèrement, une lueur amusée dans le regard, en le voyant réagir, et glisser ses mains le long de ses hanches, pour lui peloter les fesses. Carol ferma brièvement les yeux en soupirant, et bomba un peu son cul, appréciant le contact des mains de l’homme sur son corps. C’était toujours aussi agréable de se sentir désirée. Elle soupira lentement, et sentit l’homme poser ses lèvres sur son corps.

« Je vais devoir te montrer que la torche est loin d'être éteinte très chère.. , souffla l’homme.
 -  Je... Hum… Mais je ne demande que ça... »

Il lui embrassa tendrement le cou, la faisant frissonner, et elle conserva ses mains gantées sur les épaules de l’homme, sentant sa bouche glisser, descendant le long de son corps. Elle se redressa un peu, sentant les mains de l’homme s’accroître sur son postérieur, afin d’y avoir un appui. Sa bouche vint brièvement caresser le bout de ses seins, durcissant légèrement ses tétons. Ceci trahissait le fait que la vie sexuelle de Miss Marvel était plutôt faible en ce moment, et elle laissa un nouveau soupir de plaisir s’échapper de ses lèvres. Malheureusement, l’homme manquait de temps pour vraiment atteindre les seins de Miss Marvel, et sans prévenir, la renversa alors, inversant les rôles.

Carol poussa un soupir en se retrouvant couchée sur le dos, et vit l’homme se placer au-dessus d’elle, une main posée sur son torse, appuyée sur son costume, son regard se plantant dans le sien. Carol ne dit rien pendant quelques secondes, remuant lentement ses jambes, croisant également son regard, puis se mit à sourire. Elle releva alors ses jambes, et les enroula autour du torse de l’homme, amenant ainsi son bassin à retourner se plaquer contre le sien, tandis qu’elle lui caressait les cheveux, guidant sa tête vers ses seins.

« Il me semble qu’ils te tentaient, non ? Viens les palper... Si tu te débrouilles bien, peut-être que je retirerais le costume... »

Miss Marvel avait aussi un certain fantasme caché pour le fétichisme, un fantasme qui s’était réveillé à Seikusu. Si sa tenue était résistante, elle était aussi, parallèlement, très moulante. Elle utilisait ses mains pour amener la tête de Johnny vers ses seins, tout en défaisant un peu son étreinte autour de ses cuisses. Elle ne devait pas oublier qu’elle avait une force surhumaine, ce qu’elle avait en effet tendance à occulter sous l’excitation sexuelle.

Et elle n’avait pas envie de briser la nuque de Jonathan par inadvertance !
« Modifié: mercredi 23 avril 2014, 12:04:57 par Carol Danvers »
DC d’Alice Korvander.

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Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 23 mercredi 23 avril 2014, 03:28:41

Pour sur, il ne s'attendait guère à vivre une journée pareille. Se retrouver successivement en plein affrontement contre un golem géant, aux côtés d'une jeune et pulpeuse Super-Héroïne blonde, puis dans le lit de cette dernière, tout aussi excitée que lui à l'idée de s'envoyer en l'air une seconde fois aujourd'hui, de manière beaucoup plus charnelle cette fois-ci. Alors qu'il use de sa force surnaturelle pour la retourner sur le lit et se retrouver sur elle, elle lui rappelle bien vite qu'elle aussi n'est pas comme les autres, d'autant plus qu'elle n'a pas besoin de devenir une torche humaine pour jouir de la totalité de ses super-pouvoirs. En une fraction de seconde, les jambes de la jeune femme s'enroulèrent autour de son torse, leurs bassins dangereusement collés l'un à l'autre.

"Il me semble qu’ils te tentaient, non ? Viens les palper... Si tu te débrouilles bien, peut-être que je retirerais le costume..."
"Fais bien attention, si le costume tarde à être retiré je pourrais bien.. m'enflammer."

C'est après un clin d’œil complice que le jeune homme laisse les mains de sa compagne lui prendre la tête et la diriger vers sa formidable poitrine. Le cliché de la grande blonde aux gros seins n'en est peut-être pas tant un que ça, tant la vue plongeante sur son décolleté l'attire depuis le début de leur conversation dans la pièce d'à côté. La tenue de la jeune femme n'aide d'ailleurs pas John à calmer ses ardeurs : elle moule à la perfection les formes de la Miss. Tout homme sain d'esprit n'aurait qu'une envie. Plonger le visage entre ces deux atouts. Le jeune Storm vient poser sa bouche sur le haut de la poitrine de Carol, et la bosse de son propre jean enfle encore un peu plus. Alors qu'elle desserre légèrement l'étreinte de ses cuisses -et quelle étreinte !- John remonte une de ses main et la pose directement sur le sein gauche de la jeune femme qui, les yeux à demi-fermés, profite de l'instant.

Alors que sa langue descend petit à petit et rencontre finalement le haut du cuir de la tenue de Carol, La Torche vient mordre, tout en douceur, le téton de la jeune femme par dessus la matière noire. Un téton qui a l'air de sacrément commencer à s'impatienter sous ce tissu collant. De l'autre côté, sa main se fait plus pressante, malaxant sans vergogne cette chair absolument désirable.

La bosse de son jean vient frotter l'arrière des cuisses de la jeune femme et, à ce contact, le corps tout entier de Johnny se crispe. Depuis son arrivée au Japon, ses conquêtes se font plus rares. L'ex-fantastique, qui essaie de rester discret, ne multiplie plus les relations d'un soir. Ou d'une matinée, en l'occurrence. Et cela fait quelques temps qu'il n'a plus connu cette sensation de désir sexuel intense envers une belle inconnue rencontrée quelques minutes, quelques heures auparavant. Le fait que l'inconnue soit une jeune femme dotée de super-pouvoirs exacerbe peut-être encore plus ce désir, ces envies. Il en oublie d'ailleurs totalement sa douleur au genou. Ce n'est pas aujourd'hui, du moins pas tout de suite, qu'il pourra se reposer.

Il était bien trop occupé à toucher de toutes les manières possibles les formes de la jeune femme. Il regrettait seulement que le costume soit encore présent et, si le cuir aidait aussi à apporter un peu de piment à l'acte sexuel, il ne serait pas forcément fâché de le voir finir par terre, libérant ainsi ce corps splendide dont il allait devoir s'occuper aujourd'hui.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 24 vendredi 25 avril 2014, 01:53:12

On ne portait pas une telle tenue sans avoir développé un certain attrait pour le fétichisme. Jadis, ce truc aurait été pour Carol à classer dans la catégorie des « pervers irrécupérables », au même titre que la fellation, la sodomie, la zoophilie, la pédophilie... Bref, tous les mots en « -ilie », ou presque. Depuis qu’elle était à Seikusu, et qu’elle se promenait dans un costume moulant, cet avis de républicaine pure souche avait progressivement décru, et Carol était maintenant ouverte à bien des pratiques qu’elle aurait jugé impensables jadis, comme la sodomie... Ou le fétichisme. Elle vit Jonathan se rapprocher lentement, pétrissant son costume avec ses doigts, avant d’y approcher ses lèvres. Elle se doutait bien que l’homme aurait préféré sentir directement la peau de la femme, plutôt que son costume, et Miss Marvel trouvait qu’il y avait là quelque chose de supplémentaire, de délicieusement excitant aussi. Le sexe, c’était tout un art, toute une science qu’il fallait maîtriser à la perfection. Ce n’était pas que de l’instinct pur, il y avait aussi toute une maîtrise derrière, tout un jeu de désir et de frustration. Le sexe se baladait entre des émotions totalement contradictoires : souffrance, plaisir, frustration, désir... Il fallait jongler avec tout ça pour que le rendu final soit inoubliable. Carol sentit l’une des mains caresser son sein gauche, le durcissant. Elle gémit à nouveau, remuant lentement sur le lit, sentant encore la virilité de l’homme taper contre ses cuisses. Son mât était en train de fièrement se dresser, et ça, ça la tentait de plus en plus !

De plus, les baisers sur ses seins n’aidaient guère Carol à rester pudique. Elle soupirait lentement, poussant quelques discrets gémissements en caressant les cheveux de l’homme, la tête basculée en arrière. Le plafond n’étant pas très beau à voir, elle conservait les yeux clos, savourant cette agréable sensation, savourant ces promesses d’un plaisir bien plus immense après. L’homme continuait à s’appliquer, avec un indéniable talent, et une expertise très appréciable, et elle continua à le laisser faire pendant un certain temps, encore, avant d’inverser à nouveau les rôles.

Ses seins étaient alors bien tendus, et, sous l’effet de la langue de l’homme, on pouvait voir l’un d’eux se mouler dans sa tenue, à l’emplacement de l’éclair orange qui serpentait le long de sa tenue. Jonathan suçait plutôt bien, et Carol le repoussa alors. Elle décala pour ça ses mains, les faisant glisser le long de ses cheveux pour les reposer sur ses épaules, pressa dessus, et le poussa. Il se retrouva à nouveau couché sur le dos, l’extrémité de ses jambes filant hors du lit, et Carol bondit à nouveau sur lui, s’asseyant à califourchon, sourire coquin sur les lèvres, la virilité de l’homme allant caresser ses cuisses. Elle apprécia cette bosse, et, comme pour éviter d’inutiles questions, Carol posa un doigt sur les lèvres de l’homme, lui intimant le silence.

« Je crois qu’il y a une partie de ton anatomie qui a besoin d’être soulagée, Johnny... »

Et une belle pièce, en réalité. En souriant, Carol, qui s’était légèrement penchée, se redressa lentement, puis se laissa glisser hors du lit, ses jambes foulant le sol, les jambes de la Torche à gauche et à droite de la sienne. Elle lui sourit, et vint caresser sa verge, à travers le jean, pressant le pantalon, savourant le contact de ce sexe, la vigueur qui s’en dégageait, puis, lentement, elle déboutonna le jean, et tira un peu dessus, jusqu’à faire sortir ce sexe de son antre. Elle posa ensuite ses doigts gantés dessus, caressant la hauteur de cette verge. Carol agissait avec un certain talent, et sans aucune pudeur notable. On était entre adultes, après tout.

Elle masturba ce sexe pendant quelques secondes, afin de le sentir grossir davantage, laissant l’opportunité à l’homme, s’il le souhaitait, de se redresser. Carol le sentait glisser contre sa paume, et entreprit ensuite de se rapprocher, venant le lécher, sa langue glissant dessus. Elle joua avec, déposant quelques baisers le long de sa surface, de la base du sexe jusqu’à son extrémité, titillant également un peu les testicules de l’homme, sa langue glissant sans hésitation sur les poils pubiens. Frustration, encore. C’était ainsi que le monde tournait.

« Hum-hum... Tu as une belle queue... »

Elle en profitait pour le complimenter, exagérant très légèrement ses gémissements, car elle savait que les hommes aimaient bien ça. Elle observa ensuite la virilité de l’homme, retirant ses doigts. Son serpent pointait vers le haut, assoiffé, impatient de sentir à nouveau le traitement de la super-héroïne, et elle ne tarda pas à y retourner, l’enfournant cette fois-ci dans sa bouche, pour une fellation du tonnerre.
DC d’Alice Korvander.

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 25 vendredi 25 avril 2014, 03:02:54

L'appel de la chair. Qu'existait-il de plus excitant, en ce moment, qu'une partie torride, langoureuse, épique, sauvage, bestiale et humide de jambes en l'air ? Pour certain, l'adrénaline d'un saut en parachute -ou d'un saut à l'élastique- provoquait une excitation sans précédent, avec tous les aspects physiques du sexe en moins. Pour d'autres, la drogue voire l'alcool suffisaient à provoquer une telle décharge électrique au niveau du cortex cérébral que l'individu se retrouvait en train de planer dans un état censé être le bien être, mais n'étant en réalité qu'un leurre. John était d'avis que le sexe était l'instinct le plus primitif de l'homme, mais, au bout du compte, il était ce pourquoi l'être humain avait le droit de vivre. La reproduction n'était-elle pas la condition sine qua non à la survie de l'humanité ? Le sexe était véritablement un aspect primordial de l'avis d'un humain. Depuis la nuit des temps, le coït était là, encré en chacun de nous. Seulement, désormais, ce n'était plus obligatoirement une nécessité. Non, c'était un plaisir.

Et John l'avait comprit. Tout comme, à n'en pas douter, la jeune Super-Héroïne blonde qui se dressait maintenant à califourchon sur lui. Passablement excitée par les caresses du jeune américain sur le latex recouvrant sa poitrine, la blonde aux super-pouvoirs l'avait repoussé sur le lit telle une brindille. Lui-même n'était pas dénué de force, mais il pouvait user des siennes presque exclusivement lorsqu'il se transformait en une véritable allumette humaine. Carol, elle, usait de sa force surhumaine au quotidien. Actuellement, ce n'était pas pour déplaire à l'ex-Fantastique qui, en bon pilote de chasse, était tout simplement prêt à s'envoyer en l'air avec une collègue. Il bénissait intérieurement l'heureuse coïncidence qui avait permit que Miss Marvel et lui aient tous les deux fait parti de l'US Air Force.

Carol, plus jeune que lui de plusieurs années et qui aurait surement été sous son commandement s'il n'avait pas abandonné l'armée, avait aujourd'hui décidé de prendre les choses en main. Elle lui intima l'ordre de se taire d'un habile doigt déposé sur ses lèvres, et le regard bleu azur du jeune homme lui fit bien comprendre qu'il se taisait pour l'heure, mais qu'elle finirait pas être "son quatre heures". Il est vrai, pourtant, qu'il préférait se taire. Il n'eut plus aucune envie de parler lorsqu'elle vint se mettre presque à genou entre ses jambes pendante du lit, et entama de presser sa verge, par dessus son jean.

Une gigantesque décharge électrique parcourue le corps du jeune homme qui ferma à demi les yeux, profitant de cet agréable picotement. Enfin une femme sure d'elle et qui n'avait pas peur de dire ce qu'elle voulait. De le montrer, en l'occurrence. Son organe ne resta cependant pas bien longtemps sous cloche, et la jeune blonde eu la politesse d'enfin libérer la bête. Une bête qui se dressa fièrement devant elle, dure et droite comme un i. La jeune femme ne le laissait pas indifférent, et il ne pu s'empêcher de se redresser légèrement sur le matelas, juste assez pour pouvoir assister à ce magnifique spectacle. Les sensations étaient extraordinaires. Sa main gantée montait et descendait le long de son sexe, et le cuir procurait surement plus de sensation que si la jeune femme avait eu la main non-couverte. Quoi qu'il en soit, il en attendait plus.

Manifestement, elle aussi. Quand sa langue se posa pour la première fois sur le bout de son pénis, c'est un frisson qui le parcouru. Elle le fit ensuite languir, déposant quelques baisers de-ci de-là sur la peau tendue de cette généreuse partie de son anatomie. Le pire vint quand elle entreprit de lécher ses bourses, sans ménagement aucun. Chez John, les testicules pouvaient être une zone particulièrement érogène si tenté que l'on s'en occupe bien. Or, Miss Marvel semblait douée.

"Hum-hum... Tu as une belle queue... "

Terminé le temps des causeries d'après-combat, terminé le temps des gamelles à cause d'un genou défaillant. La belle blonde pulpeuse se lâchait, et Johnny n'avait qu'une hâte : en faire autant. Dans les deux sens du terme. Là aussi, la jeune femme semblait lire dans ses pensées. Après une période de flottement, où son sexe se redressa dans un ultime soubresaut, incroyablement dressé devant le nez de sa compagne, elle l'enfourna littéralement dans sa bouche, dans sa totalité. Son sexe disparu autour des lèvres de la jeune femme, et John pu sentir l'incroyable sensation de son gland tapant le palais de cette dernière, puis s'enfonçant dans sa bouche sans ménagement. Ses lèvres se refermèrent sur la base de sa verge, et lorsque sa langue s'activa à sucer le principal attribut masculin du jeune homme, ce dernier semblait déjà monté au paradis. Il observait la jeune femme, le souffle court, et ne pu s'empêcher de passer la main dans ses longs cheveux blonds. Un geste typiquement masculin, qui laissait surement croire aux hommes que cela motivait leur partenaire à rendre la fellation encore plus sensationnelle. Mais John n'avait aucunement besoin d'appuyer sur la tête de sa compagne pour que celle-ci laisse le bout de la verge s'enfoncer dans sa gorge.

Galvanisé par cette fellation, le jeune homme, tremblant de plaisir, trouva la force de se redresser et de faire ce dont il avait envie de faire depuis la petite discussion du salon. Sa main fusa et se glissa entre le sein gauche de la jeune femme et le costume en cuir noir, attrapant ainsi la généreuse poitrine qu'il rêvait de voir se ballotter sans costume de latex. Le contact de cette chaude et douce peau fini d'enfoncer le jeune Storm dans un état de bien-être absolu. Il se prit même à pincer avec tendresse le téton de la jeune femme, respirant de plus en plus fort tandis qu'augmentait le plaisir que lui procurait Carol, qui alternait désormais entre sa verge et ses bourses. John ne pu l'empêcher, et son gland s'humidifia du liquide séminal et qui précédait le sperme. La jeune femme pu le sentir avec sa langue, et le sourire de satisfaction qu'elle afficha ne laissait pas place au doute. Mais lui n'était pas prêt à jouir, même si l'envie de voir ses lèvres trempées de sa semence était bien présente. Il voulait que le combat dure, que cela soit intense, même pour cette petite mise en bouche. Cette grosse mise en bouche.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 26 samedi 26 avril 2014, 02:44:34

Si on lui avait dit, il y a quelques mois, qu’elle aurait sucé la queue d’un homme qu’elle venait de rencontrer il y a à peine quelques heures (et encore...), Carol n’y aurait certainement pas cru. Tout comme elle aurait ri au nez de l’individu lui ayant dit qu’elle se déplacerait à moitié à poil, elle aurait trouvé que c’était là une blague très particulière. Pourtant, c’était bien ce qu’elle faisait. Elle respirait lentement, inspirant et expirant par le nez, ses gémissements étouffés par la verge de l’homme. Elle avait les genoux posés sur son parquet, et les yeux clos, remuant d’avant en arrière, répétant l’éternelle litanie en deux temps de la danse sexuelle : haut, et bas. Avant. Arrière. Avant. Arrière. Ce n’était pas plus compliqué que ça, et c’était en même temps très pointilleux. Elle essayait d’aspirer de l’air en glissant le long de ce morceau de chair, comme si elle aspirait profondément. Ceci avait pour effet de creuser délicieusement ses joues, et d’exciter davantage le membre planté en elle. Elle se débrouillait pour ne jamais le retirer. Elle n’était pas une grande experte en matière de fellations, mais elle savait y faire. Ce n’était fondamentalement pas très compliqué. Il fallait surtout conserver son calme, et y aller tranquillement, sans vouloir aller trop vite, ou être trop gourmande. Prendre son temps, voilà. La tâche paraissait aisée en théorie, mais, en pratique, elle aussi était excitée, et cette excitation la rendait plus instable, plus intrépide.

Elle conservait une main sur la base de la chair, écartant ses doigts quand elle se rapprochait, tandis que l’autre se rapprochait de son intimité, la caressant à travers le costume quand le besoin était trop fort. C’était différent des hommes : un plaisir intime plus discret, mais non moins ardent... Comme si elle avait une démangeaison dans son trou, une sorte d’inflammation qui nécessitait une compresse pour aller mieux... Et une grosse compresse, du calibre de celle qu’elle avait dans la bouche, par exemple. Elle se soulageait avec ses doigts, mais ce n’est pas ça qui la ferait jouir. Pour l’heure, Carol avait les choses en main... Ou en bouche, plutôt. On était chez elle, et il était donc normal qu’elle mène le rythme. Les mains moites de la Torche ne tardèrent pas à caresser ses cheveux, la faisant frissonner. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle aimait ça : qu’on lui caresse les cheveux quand elle astiquait le mât de ses amants. L’ancienne Carol aurait trouvé être la reine des putes, une salope hors concours. L’actuelle Carol trouvait ça normal. C’était l’atmosphère de Seikusu, tout simplement... Ou le fait de porter des collants en cuir, une tenue moulante, et de se promener entre les toits. Mine de rien, quand on avait des supers-pouvoirs, tout était remis en perspective. Pendant ses années à l’US Air Force, elle avait suivi les règles du jeu. Pas de sexe, rien d’autre que le boulot, l’armée, la patrie, et son avion. Sa récompense avait été d’être balancée aux oubliettes comme une malpropre, alors elle pouvait emmerder bien profondément toute cette moralité hypocrite bienpensante. Elle n’avait eu que pour effet de lui briser méchamment les ovaires.

Sentir les doigts de l’homme sur ses cheveux était donc délicieusement excitant, et elle se débrouillait pour essayer d’enchaîner les gorges profondes. Ça, c’était plus difficile qu’on ne le pensait, car la respiration était alors bloquée, créant une sensation de haut-le-cœur qu’il fallait savoir appréhender, pour ne pas paniquer. Cependant, les hommes adoraient ça, et Carol essayait donc de glisser le plus loin possible sur cette verge, la sentant taper contre sa gorge. Elle y restait plusieurs secondes, et revenait ensuite en arrière, sa langue glissant le long de cette verge, essayant de l’entourer. La langue était un organe relativement mou et flasque, ce qui permettait de l’incurver, et ainsi de glisser le long de cette verge humide. C’était sale, crade... Délicieux !

« Hum-huuummmm... !! » gémissait-elle.

Elle sentit ensuite Jonathan se redresser lentement, et l’une de ses mains glissa vers elle, trouvant un moyen d’atteindre l’un de ses seins. Il passa par le côté, et put ainsi glisser sa main sous la combinaison. Carol en fut légèrement surprise, et remua un peu des  jambes, avant de sentir ses doigts presser son téton, tirant sur la combinaison. La femme gémit à nouveau, et ses dents râpèrent très légèrement sur la verge de l’homme. Difficile de sentir le liquide séminal de l’homme : elle avait déjà du mal avec toute la salive qui emplissait sa bouche, mais d’exquises sensations de plaisir traversèrent son corps, partant à hauteur du téton. Ses paupières s’ouvrirent et s’entrouvrirent, et, progressivement, elle prenait aussi conscience que cette tenue était gênante, restreignant les mouvements de l’homme.

C’est ce qui finit par l’amener, au bout d’un certain temps à se relever lentement. Elle se plaça devant l’homme, et, lentement, défit sa combinaison, en tirant sur les pans à hauteur de son cou. Elle la fit ainsi passer par-dessus ses épaules, et, lentement, la combinaison glissa le long de son corps, dévoilant ainsi tout son corps. Elle ne portait plus que ses gants et ses collants, et lui fit un sourire ravageur en se rapprochant à nouveau. Elle posa chacune de ses mains sur les épaules de l’homme, et remonta jusqu’à sa nuque, tout en sentant sa virilité caresser ses cuisses.

« Je pense que, comme ça, mes seins et mon corps devraient davantage te plaire, non ? »
DC d’Alice Korvander.

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Jonathan S. Storm

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 27 dimanche 27 avril 2014, 02:41:10

Quelle exquise sensation. Le mot semblait faible pour décrire le plaisir procuré au jeune homme grâce à cette fellation. Les femmes n'étaient pas toutes adeptes de l'acte, et certaines s'y prenaient plus que mal, croyant faire plaisir à leur partenaire en mordant la verge à certains endroits où, au contraire, cela relève plutôt de la gêne voire de la douleur. Fort heureusement, sa compagne de l'après-midi savait particulièrement bien de servir de sa bouche. John lui caressait sans ménagement ses longs cheveux blonds, se permettant de temps à autres d'appuyer légèrement sur le crâne de la jeune femme qui, certes, maîtrisait parfaitement l'art de la gorge profonde. Le gland de l'ex-fantastique allait frapper dans la gorge de la jeune femme, ressortant systématiquement trempé de longs filets de salive de la jeune femme. Particulièrement dégoûtant pour certain, et particulièrement jouissif pour lui.

Sa queue avait eu le temps de prendre de l'ampleur, et une ampleur de cette taille là pouvait permettre maintes et maintes folies. Un bruit de succion se faisait entendre à chaque gorge profonde, et le jeune homme retardait tant bien que mal le moment où il ne pourrait plus se retenir. Fort heureusement, la jeune femme retira sa bouche, décidant d'offrir un nouveau plaisir à son compagnon. Un plaisir visuel cette fois-ci. Elle retira sans difficulté son costume, ne gardant sur ses collants et ses gants de cuir. John, avachi sur le lit, jean baissé aux chevilles et verge dressée vers le ciel, ne pouvait qu'admirer le corps splendide de la jeune femme. De sa poitrine parfaite, généreuse et qui tenait bien en place, à son intimité imberbe, tout semblait parfait. Elle se rapprocha de lui, posant chacune de ses mains sur les épaules de La Torche. Il ne put qu'être béat devant la vue qui s'offrait à lui.

- C'est vrai que c'est encore mieux ainsi mais.. je n'ai pas goûté.

Il répondit au sourire de la jeune femme par une moue provocatrice et la frit grimper sur le lit, debout, chacune de ses jambes autour de lui. Il se redressa, assis, le visage à hauteur de l'entre-jambe de Carol. Il leva la tête et posa son regard dans celui de la jeune femme, l'attrapant en douceur par les fesses. Il palpa son postérieur mais l'abandonna bien vite, glissant un doigt sur la surface de son intimité. Quelle belle après-midi.

Sa verge trempée ne faiblissait pas, et l'idée d'offrir du plaisir à sa compagne l'excitait surement tout autant que d'en recevoir. La réaction que pouvait entraîner ce plaisir serait surement fougueuse, et les futurs ébats en sortiraient largement gagnants. John continuait à caresser la surface de la fente humide de la blonde, se régalant de cette peau si douce. C'est en lui envoyant un regard plein de défi qu'il se redressa encore, le visage à quelques centimètres de son vagin, et y inséra le bout de son index. Il patienta quelques instants en sentant les cuisses de la jeune femme se crisper très légèrement, puis le remua à l'intérieur, comme il caressait quelque chose. Sa propre bouche, à moitié ouverte, ne rêvait que d'entrer en contact avec l'objet principal de son plaisir. Il se permit d'abord de la faire languir en glissant la pointe de sa langue sur l'intérieur de sa cuisse.

Le sexe n'était pas destiné à être délivré de manière brute et à ne durer que de courtes minutes. C'état un jeu dont les règles se renouvelaient continuellement. Aujourd'hui, il avait prit l'option de faire patienter sa partenaire. De la faire monter en pression, petit à petit, pour lui permettre l'explosion totale. Exactement comme pour le bouchon d'une bouteille de champagne. La comparaison semblait bien trouvée, mais John lui même avait été soumis à la tentation quelques minutes auparavant, lorsque son "matériel" avait disparu dans la gorge de la Super-Héroïne. Aussi, lorsque sa langue effleura l'entrée du paradis et qu'il goûta pour la première fois Carol Danvers, il ne pu pas la faire attendre plus longtemps. Sa langue avait déjà parcouru sa fente de bas en haut, son regard encore à moitié posé sur le sien.

Carol Danvers

E.S.P.er

Re : L'appel du devoir [Jonathan S. Storm]

Réponse 28 lundi 28 avril 2014, 02:34:10

Jonathan avait la bouche entrouverte pendant quelques secondes, avec l’air d’un parfait ahuri. L’image fit sourire Carol. Sa virilité trempée de salive devait lui peser bien lourd, maintenant. Elle aurait pu continuer jusqu’à le faire jouir, mais elle savait qu’un homme qui se déchargeait peinait à retrouver une érection de taille convenable... Et une super-héroïne se devait tout de même d’être un peu gourmande. Cette queue qu’elle avait sucée et léchée, elle voulait la sentir en elle, bien profondément, plantée dans sa chair. Maintenant qu’elle était à poil (pour ainsi dire), elle pouvait le dire sans souci : il y avait tellement longtemps qu’on ne l’avait pas baisé qu’elle en avait sacrément envie. Elle s’attendait à ce que l’homme vienne suçoter ses seins, mais, au lieu de ça, il l’amena à se tenir debout au milieu du lit, et se mit à genoux devant elle. Un bref frémissement traversa son corps quand elle sentit la virilité de l’homme glisser le long de ses jambes, caressant son corps. Il voulait également jouer avec elle, ce qu’elle comprit bien... Tout en se demandant s’il allait pouvoir tenir. Certes, elle avait son trou en feu, mais elle n’avait pas un bâton qui tapait sur son corps. Carol n’avait jamais pu éprouver cette sensation, mais elle se disait que... Et bien... Ça devait faire mal. Elle, elle ressentait juste une espèce de démangeaison un peu forte, comme quand ça vous grattait en bas du dos, mais que vous étiez incapables d’atteindre la zone à en question, à croire que Dieu lui-même était un éternel farceur.

Lentement, elle sentit les doigts de l’homme jouer avec son bassin, tapotant ses fesses, les pressant, la faisant soupirer. Sa tête était proche du plafond, et, si elle redressait les bras, elle pourrait sans doute le toucher. Au lieu de ça, elle choisit de les baisser, et rendit à Johnny la monnaie de sa pièce en lui caressant les cheveux, plaquant sa tête contre son intimité, sentant sa langue remuer en elle, ainsi que son doigt. Le regard de l’homme l’observait légèrement, guettant probablement une quelconque réaction de plaisir... Ce à quoi il eut droit quand la langue s’enfonça dans son sexe, caressant sa peau.

« Haaann..., soupira l’intéressée. Mais viens-tu donc, haaa... »

Sa main se raffermit sur la tête de l’homme, et elle écarta davantage les jambes, le poussant, le pressant, afin qu’il daigne s’occuper de son intimité. Cette dernière était fraîchement épilée et rasée, le signe que Carol entretenait son capital beauté, veillant ainsi à rester au top. Après tout, il aurait été maladroit que des poils pubiens dépassent de son costume... Le genre de petits détails auxquels on ne pensait pas forcément. Pour l’heure, elle ne pensait qu’à cet homme, à sa queue, et s’imaginait déjà être prise par ce dernier. En sentant sa langue jouer contre elle, son nez glisser sur sa peau, elle mouillait délicieusement, son intimité se remplissant de cyprine. Oui, ce Jonathan était effectivement doué, et elle ne pouvait que l’admettre. Il savait y faire avec les femmes, et le sentir en elle, voilà qui était un véritable régal.

Carol ne s’en lassait pas, et n’avait qu’une envie : que les choses aillent encore plus vite, de manière plus intense.

Contrairement aux hommes, Carol pouvait jouir plusieurs fois d’affilée, après tout. Mine de rien, dans ce genre de circonstance, c’était un grand avantage.
DC d’Alice Korvander.

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