Prélude
N'y a-t-il rien de plus beau que d'admirer les prémices d'une immense scène, où tout acteurs connaît son rôle à la perfection ? Qu'en serait-il alors si un de ses acteurs en venait à perdre son rôle et chercher, sous des méandres d'interrogations, aussi dense que le serait l'enlacement d'une femme-serpent furieuse , les réponses à l'existence de ce monde-ci. Ainsi ne vous êtes-vous jamais demandés qui du dieu ou de l'animal, même le plus insignifiant, a connu la vie en premier ? Nombre d'espèces intelligentes, dont l'histoire persiste de nos jours, dirons qu'il s'agit des dieux. Cependant, ne pensez-vous pas que sous les dieux se cachent les peurs et les désirs des hommes ou des femmes ? Dans ce cas comment ne pas envisager les dieux comme une représentation autoritaire de nos pulsions. Nous pouvons constater par de nombreux écrits, plus ou moins critiqués par la religion la plus influente, qu'il existe bon nombre de divinité. Citons par exemple Zeus, qui fait office tant de figure paternelle par sa puissance, pouvant être traduit pour nous comme la force de travail et économique, que de leader, par l'autorité qu'il possède sur les autres déités. Nous avons aussi Vénus, déesse de l'amour, qui est un pur fantasme des hommes sur l'idéal féminin et aussi, une pulsion sexuelle refoulée par la monogamie instituée par la société. Mais je m'éloigne de ma théorie. Commençons par la question, pour les personnes de la noblesse nous pourrions aussi dire qu'il s'agit d'une problématique.
La voici donc, peut-on supposer que les divinités, nés par notre subconscient et notre dévotion, puissent périr voire retourner à l'état de simple être mortel, si l'on advenait à couper toute interactions entre êtres mortels et êtres divins.
Vous me dites que je suis un hérétique ? *rire* De nombreux sorciers et sorcières par le passé n'étaient que des savants, cherchant à percer le mystère de l'immortalité. Je ne suis qu'un philosophe, ainsi que le précurseur d'un domaine que je nommerais ... anthropologie. Vous me demandez ce qu'est cette matière, il s'agit d'une étude longue et sérieuse de société, pour répondre à des questions et trouver des solutions, pour améliorer le système actuel. Même si cette dernière partie est difficile, à cause d'un ancrage, omniprésent, de la religions dans les sociétés évoluées et patriarcales.
biographie
En effet j'ai oublié de me présenter. Cependant, je ne vous dévoilerais par ma véritable identité, nulle envie de terminer brûler vif comme une ancienne femme. Elle avait dirigé par le passé, l'armée de Terra contre une menace venant par-delà les mers. Mon nom de plume est Phyloria.
Je suis connu par Ashnard pour avoir écrit un livre nommé "Le développement d'une nation par la puissance et l'ordre naturel". L'empereur en personne m'a invité pour discuter de ce livre qui l'avait intrigué. J'ai aussi écrit sur Tekhos le titre étant "La féminité et l'art militaire développent-elles l'innovation ?", même si ce terrain était hermétique à toute divulgations d'informations. Cela ne m'a pas empêché d'énoncer les points forts d'une citée gouvernée par les femmes et la discipline militaire. Nexus fut mon dernier sujet d'étude, voulant répondre à la question sur l'évolution d'une société dite primitive à une société basée sur la royauté, ainsi que sur les différentes interactions entre les différents mondes sociaux. L'ex-reine prit la peine de nommer ce livre "La loi des mondes d'une nation". Sans doute a-t-elle voulu mettre en avant un point commun entre tous ses différents mondes sociaux. Mon prochain sujet, si vous n'avez pas lu mon prologue, sera sur le statut des divinités dans le monde des mortels et les facteurs de leurs existences, voire de leurs inexistences. Pour cela je vais devoir faire une étude initiale sur différentes civilisations, de taille réduite ou ayant une évolution moins axé sur la technologie. Ainsi sera-t-il plus simple de constater si ce type de civilisation bénéficie d'une religion et si elle est basée sur un dieu unique ou non, mettant en lumière la question d'une évolution des pratiques religieuses en fonction de la société.
Vous êtes intelligent, vous avez tout de suite remarqué que je n'étais pas humain. Je suis le familier du premier seigneur d'Ashnard. N'étant plus rattaché à cette nation, car les générations suivantes ont simplement oubliés de renouveler le contrat. L'empereur a tenté sa chance, seulement son pouvoir est bien minuscule par rapport à mon ancien maître. La marque sur mon front est un avertissement aux nécromanciens et autres pratiquants de rituel. Elle sert aussi à marquer mon inhumanité.
Je suis d'un âge avancé, pour avoir pu, entre autre, converser avec le seigneur des vampires qui nous a quittés, laissant derrière lui une meute de loups cherchant toujours des brebis à égorger.
Si l'on part sur la formulation des humains, je suis un homme. Me changer en femme n'est nullement dérangeant pour moi. Le premier seigneur d'Ashnard aimait de temps à autres savourer un corps de femme, même si sa préférence restait envers les hommes.
Pour ce qui est de mon expérience ... je la définirais sous le terme "variés", n'ayant pas spécialement eu un maître inventif ou désirant des pratiques spéciales comme, étrangler sa partenaire ou s'en servir comme table dans la salle à manger.
Psychée
Ce que beaucoup s'imagine souvent, c'est qu'un familier est une création jeune qui est appelée au pied de son maître. Une créature soumise. Nombre d'imprudents finissent ainsi dans le ventre d'un démon de la gourmandise ou violés par une créature à l'appétit sexuel immense. Ce qu'il faut savoir sur le concept de familier, c'est qu'il s'agit avant tout d'une créature appelée et qui a eu une vie. Aussi mon ancien maître a-t-il vite compris que je n'étais pas du genre à servir de bibelot. Ne pensez pas me dicter vos lois, seules exceptions faites qu'il s'agisse d'une décision personnelle, je ne m'y plierais pas. Je suis libre et ouvert aux échanges. Cependant, ne croyez à aucun moment arriver me mettre une laisse autour du cou, car vous découvrirez que ma puissance est égale à ma cruauté. Curieux de nature il est de mon devoir de l'assouvir en me posant de nombreuses questions et en cherchant à y répondre. Ainsi en suis-je arrivé à être doté d'une certaine connaissance générale.
Selon mon savoir personnel, la magie repose sur des fondamentaux spécifiques, rendant donc deux lieux strictement différents. Il n'est rien de plus détestable qu'un magicien pensant tout connaître de ce système complexe par la pratique de quelques rituels. Sous ses rouages se cachent la puissance des dieux, une vie d'humain ne pouvant gratter que la surface. Il est bien plus plaisant d'entendre de la bouche des maîtres qu'ils sont encore loin de percer ce secret. D'ailleurs, j'ai une grande estime envers les personnes qui, comme moi, consacrent une attention titanesque sur leurs travaux. Le domaine importe peu que cela soit pour un simple dessin ou l'élaboration d'une technologie dangereuse. Comme tout scientifique qui se respecte j'ai conscience que le risque zéro est utopique, d'où une grande prudence. Si la perfection existait il n'y aurait pas autant de problèmes. Quand on en vient à vouloir me barrer la route, je suppose que vous êtes conscient de risquer vos vies et je vous écarterais par la force, si nécessaire. Mieux vaut vous montrer dès le départ vos erreurs, que de tenter d'utiliser la douceur des mots qui n'auront aucun effet, si ce n'est vous surestimer. Contrairement à la plupart des humains je suis bien conscient d'avoir une aptitude qui pourrait me hisser au rang de dieu, mais là n'est pas ma vocation, je ne dois pas être moi-même le sujet de mes études, tel est ma devise. Cette devise tiens en compte qu'il m'est tout à fait permit d'interagir et de participer dans les sociétés infiltrés. Je peux ainsi avoir une vision intérieure et extérieure, complétant mes analyses. Pour moi une étude se doit d'avoir le plus de résultat possible, permettant une vision concrète et non basé sur une vision superficielle. C'est pour cela que je ne m'interroge pas sur la "hiérarchie" de l'évolution, voulant que les terranides soient une espèce primitive, préférant mettre en avant le fait qu'ils pourraient avoir un ancêtre commun avec les humains, avoir développés une société répondant à leurs besoins. Étant un être instruit je ne cache pas une certaine difficulté à comprendre les comportements idiots et enfantin, étant d'un point de vue personnel, un blocage du savoir. Sans le savoir un être ne peut comprendre les mécanismes de sa société et s'y intégrer.
Comme tout être je possède des désirs, l'un d'eux étant de juger si les sociétés de Terra vont s'unir ou non. Dans le second cas je n'aurais d'autre choix que de devenir une menace suffisamment importante pour engendrer une unification temporaire, créant ainsi des interactions "contre-nature". Mon objectif est que les fondements instables des nations, comme le principe de l'esclavagisme, l'informatique de Tekhos et le pouvoir absolu d'Ashnard, soient dissout pour former de nouvelles fondations. Le but n'est nullement d'affaiblir les nations, mais les renforcer. Pour ce qui est de la menace formienne. Elle reste pour moi une source d'adaptation, il suffit juste qu'elle affecte les autres civilisations pour les pousser à une évolution technique ou organique. Cette civilisation reste cependant inconnue et j'y éprouve une forte envie de pouvoir l'étudier. Quand je ne suis pas sur le terrain à étudier les sociétés, il m'arrive d'avoir des envies de voyages et errer sur Terra, vivant tel un aventurier.
Polymorphisme
Mon apparence première, celle que seul les morts et mon ancien maître a pu observer, se rapprochant de beaucoup aux écrits sur les kitsunes, renardes à l'apparence charmeuse et qui n'avait aucune rivalité, que cela soit dans la beauté ou encore la capacité à user de la magie de dissimulation. Bien sûr il s'agit là d'une idée. Je possède effectivement des oreilles et cinq queues de renarde, étant de la couleur de ma chevelure associée aux blés murs. Mes yeux sont rouge et illuminés, surtout lors des nuits de pleine lune où mon regard devient encore plus déstabilisant. La grande différence, avec les kitsunes, est que toute ma peau est recouverte d'un pelage blanc, m'approchant des terranides des pays froids. Sous ma véritable apparence tout mon corps est parcouru par une émanation blanchâtre. Il s'agit d'un relâchement constant d'énergie. Si vous ne la voyez pas c'est alors que je suis sur le point d'user de mes capacités. Rien ne sert de courir, il est souvent trop tard et dans le cas où vous pouvez courir rapidement, sachez que je le peux aussi. Je suis l'archétype du chasseur. Rapidité, force, agilité, vous vous retrouverez presque toujours inférieur à moi. L'endurance ? Sauf dans un plumard et encore, vous ne pourrez pas m'épuiser. Aux yeux de beaucoup, je suis un être surpassant l'humain et sans faille, pourtant il en existe. Mes appendices bestiaux sont très sensibles, pour rentrer dans une description plus précise, tout mon corps est plus sensible que les humains, devenant une force pour la traque, comme une faiblesse dans la posture de la proie capturée.
Sous cette forme je porte un collier à base de différente pierres, le porter me permet de ne pas déchaîner une puissance bien plus grande. Pour le faire, sans que mes émanations viennent à s'intensifier et exploser, garantissant la stérilité sur un rayon de deux kilomètres, il faut me laisser faire un petit rituel. Pour ce qui est de la tenue de prêtresse se composant, d'un haut de kimono à manche longue et lâche, d'une jupe tombant jusqu'aux cheville, d'une paire de chaussure et d'une ceinture, vous pouvez le retirer sans soucis. Je possède sous cette forme mon arme, un arc noir étant parcouru par mes émanations. Je matérialise mes flèches, donc pas besoin de carquoi. Ses projectiles sont noirs et blancs, s'entourant d'un rouge électrique quand je les charge de mon pouvoir. Les dégâts varient selon l'intensité de la charge, pouvant détruire une montagne si je la charge d'un dixième. Vous comprenez donc que chargé au maximum une flèche peut devenir une arme de destruction massive.
| FORME ABANDONEE |
Parlons à présent de mon apparence d'emprunt. Mes attributs disparaissent, mes émanations se rassemblant sous la forme de vêtement assez riche, permettant une reconstitution des vêtements dans le cas où ils viendraient à se faire déchiqueter. Mes cheveux sont aussi noirs que l'encre. Mes yeux restent rubis, l'effet fluorescent en moins. Mon pelage blanc disparaît pour laisser une peau légèrement pâle. Le reste de ma morphologie ne change pas, tout comme mes capacités. Ma sensibilité reste la même. Mon arc prend la forme d'un grimoire que seul moi peut l"ouvrir. L'idiot qui voudrait essayer recevra en premier lieu une petite décharge électrique bénigne en guise d'unique avertissement, se faisant ensuite griller jusqu'à la dernière cellule vivante lors du second essai. Cette électricité affecterait même un élémentaire de foudre c'est dire sa nature spéciale.
Il s'agit de ma nouvelle forme suite à mes
escarmouches avec Nexus et l'Ordre Immaculé. Je mis l'accent sur la couleur de l'or, me basant sur les légendes de la cité des héros où ils possèdent richesse et amour. Je pris donc cette fois une forme féminine, pour changer un peu de mes autres formes.
Histoire
Qu'est-ce qui donne naissance à un familier ? La question pourrait avoir comme réponse, le désir des êtres vivants. Cependant, cette réponse est sans le moindre fondement, vu que des êtres se font tuer lors de l'invocation, cela sous-entendrait qu'ils ont été conçu pour se donner la mort. Un moyen peu probable, bien que charmant, pour un suicide. Selon certaines théories savante d'Ashnard, il s'agirait en vérité d'une espèce distincte évoluant par des lois métaphysiques différente à celle de Terra. Vient alors la raison de la connexion entre le monde des familiers et celui de Terra. Aucune théorie viable n'a pu déterminer ce passage à sens unique.
Quand je suis né j'avais déjà mes cinq queues et mes émanations n'étaient que peu visible. Dans ce monde les familiers vivent en communauté, défini par l'âge et la puissance. Une hiérarchie existe, un peu similaire à celle d'Ashnard, bien que dans ce monde les plus puissants ne sont pas forcément ceux qui gouvernent. Le monde des familiers est scindé en plusieurs régions, chacune regroupant des familiers pacifique. Dans les contrées du nord où le froid est mortel on y met les familiers sachant vivre dans des conditions extrêmes. Pour mon cas je fus placé sur une île déserte où sont les êtres à la puissance latente.
Comme tous les familier je suis né comme ça, sans la rencontre d'un mâle et d'une femelle, né de rien ou d'une chose indéfinissable. Dans mes premières années mon esprit fut formé, absorbant la connaissance disséminée dans l'air que je respirais. J'ai appris à matérialiser mon arc et mes flèches, dévoilant à cet instant le pouvoir destructeur que je détenais. J'ai développéen trois ans ma puissance pour en faire un objet d'intimidation, devenant rapidement un familier respecté et craint. Le premier a avoir subi ma colère fut un familier dragon, emportant un bout de l'île dans la démonstration de ma puissance.
Ce ne fut qu'un peu plus tard que j'allais être convoqué par mon ancien maître. J'appris le sens de la défaite, me prenant de court pour me démontrer qu'il existait des esprits capables de ruse et ayant une puissance identique à la mienne. Je fus donc son familier, l'aidant dans son optique d'expansion, formant les frontières de l'empire actuel. Bien qu'étant cruel et sans pitié, il était aussi très affectueux avec ma personne, me payant avec du plaisir toute actions le satisfaisant. Mon ancien maître avait beau être d'une intelligence hors norme et d'une grande puissance, il n'avait pas l'immortalité, finissant rapidement par vieillir. Je me souviens encore de son dernier souhait, celui de mourir avec moi à ses côtés. En guise de cadeau d'adieu je lui offris son dernier plaisir charnel, dévoilant ma véritable apparence, usant de ma magie pour le conserver en vie un temps. Il reçut un plaisir inégalable. Que donner de mieux pour un homme aimant le sexe presque autant que le pouvoir et la conquête.
Son successeur était trop faible et craintif. Au lieu de renouveler le contrat comme l'avait stipulé son père, il a voulu m'emprisonner dans une cellule supposée me contenir. Si elle fut efficace pendant près de cinquante ans, les runes magiques ne purent endiguer la puissance grandissante en moi. Le jour de ma libération le château de mon ancien maître s'effondra. L'empereur d'aujourd'hui se targue d'une bâtisse, reconstruite, qui n'arrive pas à la cheville de la magnificence du château original. L'empereur suivant fut plus intelligent et fit part de sa crainte, sa franchise lui permit de me proposer de m'exiler un temps et d'effacer mes traces des registres. Le familier du fondateur de l'empire d'Ashnard n'existait plus dans l'Histoire, si ce n'est les survivants des conquêtes de mon ancien maître et la famille impériale.
Ne pouvant retourner dans mon monde, j'ai pris la décision d'errer sur Terra, pour découvrir les grandes nations. Ainsi je pus voir Nexus s'agrandir, Tekhos muter pour devenir une ville-forteresse, les premières escarmouches entre tekhanes et formiens. Tout se savoir fut engrangé. Je pus écouter des savants éprouver leurs théories jusqu'à finir la tête tranchée ou sur le bûcher pour hérésie. La place du marché de Nexus qui ne contenait qu'un stand de vente d'esclave fut rapidement envahit par d'autres. J'observais l'évolution des plus grandes sociétés de Terra et une chose restait en tête. La guerre était toujours présente. J'avais vu lors des conquêtes nombres de mort et voilà qu'à présent je voyais les familles de ses victimes, pleurant, certaines détruites et mourantes. J'ai patienté, le temps d'étudier tous ses phénomènes, pour chercher une solution. Les êtres intelligents et évolués étaient vaniteux, désirant toujours plus. Le seul instant où ils devenaient plus solidaire et clame étaient lors de grandes difficultés.
Connaissant ma puissance je vis là une opportunité de changer ses grandes nations, ainsi que les petites qui dégénéraient vers la guerre. Pour cela j'ai entrepris une étude fine des différentes sociétés. Ashnard fut la plus facile, étant la première où j'ai évolué, ma puissance permettant de me faire respecter et étudier en paix. Nexus fus plus difficile, leurs conceptions étant peu commune à celles de l'empire. Tekhos quant à elle peut être considérée comme une étude incomplète. Le confinement des informations, le statut des mâles si bas et le fait que ma puissance pouvait causer une chasse au familier, étaient des facteurs fermant le terrain à une bonne étude. J'ai appris par ses différentes études, que l'élitisme était partout présente et que donc il fallait viser les personnes cultivées pour changer les sociétés sans user de ma puissance.
C'est ainsi que le rôle de Phyloria fut conçu, devenant un savant voulant partager son étude auprès des êtres cultivés. Si pour beaucoup mes écrits furent considérés comme de l'hérésie, certains n'hésitant pas à brûler mes livres ou me juger comme pratiquant un art interdit. Oui ses idiots ont essayé de faire croire que la statistique et l'analyse des faits étaient une forme de magie. Manque de chance pour eux la richesse et l'influence de ceux et celles aimant mes écrits permettait un jugement en ma faveur, gagnant ainsi de l'argent facilement.
Je fus invité dans bon nombre de demeures, pouvant consulter à ma guise les plus grandes bibliothèques de Nexus et échanger avec les magiciens les plus instruit d'Ashnard. J'ai acquis par ses longs siècles de travaux une connaissance fiable sur la faune, la flore et aussi la magie. Découvrant que mes émanations sont un savant mélange de magie, d'essence vital et de sentiment. Ma puissance naturelle était plus forte que l'écaille des dragons, plus dévastatrice que la magie classique. J'étais le candidat idéal pour remplacer Alduin, le dévoreur de monde.
Je vins donc à le provoquer en duel, dans le monde des morts et, reçu son autorisation de purifier ce monde en son nom si je le souhaitais, devenant ce que les humains nommeraient un serviteur-dragon. Ce fut donc dans un but de compréhension, que j'ai décidé d'étudier les petites civilisations et savoir si je serai le grand méchant ou non.
Compagnon héroïque découvert :
Kullass : Il s'agit d'une dragonne de l'Est, connu pour avoir été emporté dans les Ténèbres et l'avoir dévoré pour ramener le soleil aux hommes., le condamnant à ne pouvoir vivre au soleil sans souffrir le martyre. Elle est l'une des héros soutenant pleinement Phyloria, pensant qu'il est le plus à même de changer le monde en limitant les sacrifices inutile. Elle est aussi l'un des verrous évitant Phyloria de devenir fou et de devenir l'incarnation de l'Apocalypse.