Trouver les vêtements appropriés ne fut pas long. La chambre comprenait un meuble abritant une multitude de vêtements. On ne s’en rendait pas compte, mais le harem de Mélinda était une véritable usine à engorger de l’argent. Outre le prix des murs et du mètre carré, l’établissement se situant tout de même le long d’un des principaux boulevards ashnardiens, il y avait aussi tous ces frais supplémentaires : les vêtements à acheter, à réparer, à nettoyer, les chambres, le ménage, le remplacement des draps déchirés... Le service comptable du harem ne s’ennuyait pas, et, de ce que Mélinda savait en consultant les rapports de ses comptables, les actifs dépassaient pour l’heure largement les passifs de son patrimoine. Elle n’avait donc aucune raison de s’en faire. Le cul restait une affaire rentable à tout point de vue, et elle trouva les vêtements qu’elle cherchait, puis se retourna, et profita tout simplement du spectacle.
Arillé, une princesse qui voulait se faire traiter en toute discrétion comme la reine des putes. Mélinda comprenait ça, car c’était quelque chose qu’elle vivait assez fréquemment avec Alice... C’était comme si le sentiment de diriger vous amenait parfois à vous demander ce que ça faisait d’être de l’autre côté. Pour Alice, c’était pleinement ça, et, manifestement, Arillé ressentait la même chose. La vampire avait toutes les raisons du monde d’être heureuse : non seulement elle allait se rapprocher d’une princesse, soit s’offrir un nouveau marché, mais elle allait satisfaire les fantasmes de cette dernière, ce qui, autrement dit, signifiait que, outre le simple accord commercial, un lien d’amitié risquait de se tisser. Après cette séance, Arillé saurait qu’elle pouvait revenir ici quand bon lui semblerait pour se faire à nouveau tringler dans tous les sens du terme. L’une de ses esclaves, Tyrie, lui défonçait joyeusement le cul, et la vampire avait sur les lèvres un sourire évasif, rêveur. C’était si bon, de voir une sodomie en direct... Une levrette, avec une Princesse qui se mettait à hurler sous l’impulsion de ses esclaves. Tyrie finit par retirer sa verge de son cul, et éjacula sur le visage d’Arillé, l’éclaboussant de sperme.
Mélinda, assise sur un fauteuil face à ce spectacle, avait les jambes croisées, et un sourire sur le visage, dévoilant ses magnifiques dents blanches. Elle s’avança, se laissant tomber en avant, atterrissant sur les genoux, inspectant le visage d’Arillé, un visage qui dégoulinait de foutre, et se rapprocha un peu. Sa langue sortit de sa bouche, et elle lui lécha la joue, remontant le long de ce sperme.
« Qu’est-ce que tu es sale, Arillé..., commenta-t-elle. Une incorrigible pute qui ne demande qu’à se faire baiser la gueule et défoncer tout le corps... »
Dans le sexe, sous-estimer le poids et l’importance des mots était une grave erreur, une erreur que Mélinda ne comptait pas faire. Elle continuait à lui nettoyer le visage avec sa langue, tout en réfléchissant à ce qu’elle pouvait faire. Les idées, en réalité, ne manquaient pas, mais il fallait les ordonner. Tyrie avait déjà commencé à la sodomiser, mais sans aller jusqu’au bout... Et il ne fallait pas non plus négliger Lua. Un défi intéressant pour l’imagination sexuelle de Mélinda, qui, fort heureusement, avait avec elle plusieurs siècles de pratique.
« Lua, termine ! Nettoie cette salope ! »
Mélinda se releva en croisant les bras. Elle était de plus en plus excitée, et laissa à Lua tout le temps nécessaire pour s’occuper du visage de la belle elfe. Elle en profita pour récupérer une cravache, et tourna autour d’elle, puis frappa ses fesses à plusieurs reprises avec cet instrument. Le cul d’Arillé était bien rouge, rappelant à Mélinda à quel point elle adorait la sodomie. D’aucuns auraient pu croire que faire du sexe depuis si longtemps aurait pu finir par la lasser, mais c’était mal connaître la grande perversion de la vampire, une perversion qui ne cessait de s’amplifier au fur et à mesure du temps.
Après plusieurs coups de cravache, elle se pencha à nouveau, et vint lécher son fondement, posant chacune de ses mains sur ses fesses, les malaxant tendrement. Sa langue fila vers sa rondelle ouverte, et elle remua sa langue, l’enfonçant ici, remuant d’avant en arrière, en soupirant et en gémissant. Plus elle s’attaquait à ce joli cul, et plus l’excitation montait, avec cette naturelle et nécessaire frustration sexuelle, qui se concentrait à hauteur de ses cuisses. Mélinda se redressa ensuite, Lua ayant fini de la nettoyer.
« Bien... Comme nous avons une esclave de marque, mes chéries, il faut s’occuper d’elle. Lua ? Tu vas te glisser sous ses jambes, et lécher son intimité... Tu es douée avec ta langue, alors un petit cunni’ ne pourra pas te faire pas de mal. Toi, Tyrie, puisque tu aimes le visage de cette salope, tu vas lui baiser la gueule... Moi, je vais finir le travail entamé sur son cul. »
Voilà ce qu’on pouvait appeler une saine répartition des tâches. Mélinda se défit de sa robe, puis se concentra, et fit pousser sa verge, qui jaillit de son intimité, après avoir brièvement déformé son vagin. Elle posa ensuite sa main sur son sexe, un beau vit qui pulsait entre ses doigts sous l’effet du désir, un désir fort, sa queue n’étant qu’à quelques centimètres de son cul, de cette porte intime, petite et étroite, qu’il était si bon de défoncer.
Et elle l’enfonça en elle, administrant alors une grosse claque sur le cul de l’elfe.