Les quatre perverses avaient joué ensemble comme des hyènes en rut, et, maintenant, Mélinda se reprenait... Avant d’entendre Arillé dire qu’elle en voulait plus. Elle avait laissé l’elfe avaler son sperme, puis cette dernière se redressa un peu, formulant à la vampire une demande qui, sur le coup, l’interpella un peu... Goûter aux autres fruits du harem. Elle papillonna des yeux, surprise, car elle pensait que, après ces ébats, Arillé aurait demandé le droit de se reposer. Mélinda lui avait défoncé son joli petit corps de pute, et, pourtant, loin d’être rassasiée, elle voulait maintenant en découvrir plus... Et termina par un argument qui fit sourire Mélinda, un petit sourire amusé montrant une partie de ses belles dents blanches :
«
J’ai des envie de cuir, de latex et de fouets… »
Mélinda sourit donc, et se redressa à son tour, venant caresser l’une des joues de la Princesse elfique en se penchant vers elle.
«
Hum... Sa Majesté est une belle petite salope... Mais soit. »
Elle voulait souffrir ? Très bien ! Elle allait être servie ! Mélinda l’embrassa donc tendrement, puis la releva.
«
Très bien, très bien... Nous allons te préparer, alors, le temps que tes nouvelles Maîtresses viennent s’occuper de toi... »
La belle Arillé allait ainsi comprendre que Mélinda était loin d’être la plus sévère et la plus vicieuse des femmes présentes au sein du harem. Mélinda l’amena sur le lit, où elle s’assit confortablement, et la vampire sortit des sangles et des cordes, puis s’empressa d’acheter Arillé, par les jambes, et par les bras. Écartées l’un de l’autre, ses bras étaient tendus dans des directions différentes, et ses jambes furent également attachées au sol. La vampire termina cette présentation par un
gag ball sur la bouche d’Arillé, le nouant proprement à l’arrière de sa nuque. Son office terminé, la vampire sortit après un clin d’œil, emmenant avec elle Lua et Tyrie, et referma la porte derrière leurs fesses... Après avoir soufflé sur les bougies permettant d’éclairer la pièce.
Dans l’obscurité, Arillé en était résolue à attendre, ses bras et ses jambes écartés, surtout ses bras. Incapable de parler ou de bouger, prisonnière, le temps sembla défiler incessamment. On voyait parfois des ombres remuer sous l’embrasure de la porte, mais il n’y avait personne qui daignait entrer. Dans cette obscurité ambiante, avoir une notion précise du temps était difficile, et il fallut attendre un certain temps avant que la porte en bois ne finisse par s’ouvrir à un nouveau. Un rai de lumière jaillit de dehors, et une silhouette musclée et féminine entra, avant de refermer la porte derrière elle, et de se mettre à marcher. Sans rien dire, et sans même regarder Arillé, faisant comme si elle n’était qu’un élément du décor, la femme entreprit de rallumer les candélabres.
Ayumi était l’une des grandes perverses du harem de Mélinda, une femme sportive, hermaphrodite, qui aimait faire de la musculature, et usait de ses beaux muscles pour violer pendant des heures des lycéennes, des petites pucelles, ou des salopes. L’une de ses plaisirs ultimes était de se faire sucer la queue tout en faisant des haltères... Ou, plus généralement, de faire l’amour pendant qu’elle fortifiait son corps. Perverse dominatrice et brutale jusqu’au bout des doigts, elle tenait, dans une main, un curieux masque noir. Faiblement vêtue, uniquement d’un court maillot de bain bleue dissimulant son intimité, filant dans le creux de ses fesses pour masquer ses tétons, Ayumi finit par s’approcher d’Arillé.
«
Salut, salope. Je me fiche de savoir ton nom, je me fiche de connaître tes motivations, ou quoi que ce soit. À partir de maintenant, ta vie est entre mes doigts, salope. En conséquence, tu t’appelleras ‘‘Salope’’ à partir de maintenant. D’accord, Salope ? »
Elle n’attendait pas spécialement une réponse, et approcha son masque spécial.
«
Je vais te guider dans mes locaux, où une autre Maîtresse s’occupera de te défoncer le cul... Pour l’heure, tu n’es plus une femme, mais un vulgaire objet sexuel. Pour cela, je vais te mettre ce masque sur le visage. Sa particularité est qu’il bloquera l’usage de tous tes sens, à l’exception du toucher. Bien... Sur ce, commençons, Salope. »
Elle se glissa dans le dos de «
Salope », et lui retira son
gag ball, et avant même que la femme ne puisse émettre la moindre forme de protestation, même si elle en avait envie, Ayumi mit sur son visage le masque en latex. Il n’y avait pas d’espaces sur les yeux, et des sangles permettant de serrer le masque, et, ainsi, d’empêcher la personne le portant de pouvoir voir, renifler, ou entendre... Elle respirait par le biais d’un petit tube filant depuis ses lèvres, et, de fait, des barres à hauteur des lèvres empêchaient l’esclave portant ce masque de fermer la bouche. Ayumi batailla pendant quelques minutes avec les sangles, jusqu’à pouvoir mettre le masque, puis elle entreprit de déshabiller Arillé, et de la rhabiller proprement.
En définitive, Arillé se retrouva avec une
tenue magnifique, à la fois courte, noire, en latex, et nue. Elle ne pouvait désormais plus rien entendre, si ce n’est le son de sa propre respiration, ou les battements de son cœur. Ce faisant, le corps attacherait encore plus d’importance au toucher, et Ayumi allait le prouver rapidement. Elle mit autour d’Arillé un collier, y attache une laisse, et la souleva, puis attacha ses bras à une sangle en hauteur.
Ce faisant, Ayumi, un sourire sur les lèvres, laissa planer quelques minutes. Arillé ne pouvait plus rien faire, plus rien faire d’autre qu’attendre, une attente terrible et épuisante. Elle, elle en profita pour aller saisir un fouet, et, après quelques moulinets, souleva son fouet, et l’abattit à plusieurs reprises sur le dos de la femme, le fouet venant claquer dans son dos, la morsure giflant son dos à plusieurs reprises.
Et ce n’était qu’un début...